mardi 31 mars 2009

infanticide

SKCenter :

Trois fillettes. Promesse, un mois, Mandy, quatre ans, Kimberley, cinq ans. Toutes empoisonnées aux médicaments. Deux sont mortes à huit mois d'intervalle. Promesse et Kimberley. Après avoir avalé des neuroleptiques, à des «doses propres à tuer un cheval», selon l'expression de la présidente, Monique Zerbib. En une semaine, fin août 2006, Kimberley aura été sauvée de deux intoxications avant la dernière, fatale.

À l'origine de tout cela, leur mère. Maria "Jessie" Debard, 27 ans, l'énigme assise dans le box des assises depuis hier, reconnaît avoir administré les produits à ses enfants. Sans pouvoir donner de motif à ses actes. «J'avais pris beaucoup de cachets. Promesse ne voulait pas dormir ce soir-là. J'ai donné des gouttes juste pour qu'elle dorme. Elle ne s'est pas réveillée». Quant à Kimberley, «je ne pensais pas que ça allait la décéder».

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peut-être une partie de l'énigme dans le fait que la personne (27 ans aujourd'hui, donc entrée d'une période critique septennale) se trouvait en 2006 dans une année du cycle critique physique sextennal et une année particulière qui est l'année 1 d'un nouveau cycle de 23 ans.
ensuite il serait intéressant de connaître le jour critique émotionnel (ci-dessous le lundi pourrait apparaître) et enfin la situation des enfants serait importante à connaître aussi car elle permettrait de voir comment ils se sont comportés : un enfant peut être par exemple agressif ou hyperactif un jour critique émotionnel ou physique, et "aider" une maman malade à déraper... un bébé peut excessivement pleurer un jour critique physique (c'est le jour des bébés secoués... ou tués...) d'ailleurs la maman dit que bébé ne voulait pas dormir et que les autres étaient "agités" de sorte qu'elle voulait les calmer au moyen de médicaments. la situation biorythmique peut confirmer un mal-être ou une hyperactivité des enfants ce jour là


REPÈRE CHRONOLOGIE

2 janvier 2006 : Promesse, un mois et une semaine, décède de l'administration de Laroxyl, un antidépresseur. L'empoisonnement sera déterminé après la mort de sa soeur.
23 août 2006 : Mandy, 5 ans, et Kimberley, 4 ans, sont hospitalisées pour intoxication. La première a avalé huit médicaments différents, la seconde quatre ainsi que quatre pièces de monnaie. Les deux fillettes sont sauvées.
24 août 2006 : nouvelle intoxication grave de Kimberley, à l'hôpital, avec un test ORL dérobé sur place. Elle sort le lendemain rétablie.
28 août 2006 : Kimberley décède d'une ingestion massive de Tercian, un neuroleptique.



le 2 janvier 2006 est un lundi : c'est le jour du décès du bébé Promesse à un mois et une semaine.

Sa 19 août 2006
Di 20
Lu 21
Ma 22
Me 23
Je 24

Ve 25
Sa 26
Di 27
Lu 28
Ma 29
Me 30
Je 31

Jason

SK Center :

Je n'ai pas tué Jason", affirme son père

Issam Mareghni, meurtrier présumé du petit Jason soutient, dans les journaux du groupe Sud Presse, qu'il n'a pas tué son fils d'à peine trois ans: "Non, je n'ai pas tué Jason! Je n'avais que lui au monde". Le jeune homme prône la thèse de l'accident.

Le papa de 25 ans est au coeur d'une polémique depuis qu'il est suspecté d'avoir tué son fils à coups de chaussures et de l'avoir enterré à deux pas de l'endroit où Stacy et Nathalie avaient été retrouvées à Liège. "Je ne suis pas un monstre. Comment aurais-je pu tuer mon petit garçon? Je n'avais que lui dans ce monde. Je l'adorais. Si j'ai dealé de la drogue, c'était pour lui donner un appartement", dit Mareghni, depuis Tunis, où il s'est réfugié.

Issam Mareghni affirme que son fils est mort de manière accidentelle. "Nous jouions dehors et il est tombé sur la rampe d'un escalier, sur le côté. Il a continué à jouer puis nous sommes rentrés à l'appartement", raconte-t-il. Il dit ensuite s'être endormi. Je me suis réveillé, vers 20h. Amine était tout près de la cheminée. Il allait mettre la main dans le feu. Je ne pouvais rien faire d'autre que de lui lancer une chaussure de marque Palladium. Je lui ai jetée pour lui faire peur. Et j'ai touché l'endroit où il s'était blessé".

Le papa aurait remarqué vers 5h45 le décès de son fils: "J'étais paniqué, atterré. Je m'en veux de n'avoir rien remarqué. Je ne me le pardonnerai jamais. J'aurais dû aller à l'hôpital". Au lieu de cela, il choisit d'enterrer "provisoirement" le corps de Jason.

Source : 7 sur 7

Le corps du petit garçon a été retrouvé après que la compagne d'Issam, Philomena, ait indiqué à la police l'endroit où son père l'avait enterré.

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la situation biorythmique du père et du bébé le jour du drame permettrait peut-être d'avoir une idée de plus...

compatibilité

Südtirol.online :
Familiendrama: Frau enthauptet aufgefunden
Schreckliche Szenen haben sich am Montagmorgen in einer Wohnung in Catania abgespielt. Eine 41-jährige Frau wurde in einer Blutlache liegend in ihrer Küche aufgefunden, am Hals trug sie eine klaffende Wunde, ihr Kopf hing nur mehr lose am Hals.

Im Moment werden sowohl der Ehemann als auch der Sohn der Tat verdächtigt. Beide hatten die Tat bereits gestanden, um dann ihr Geständnis wieder zurückzuziehen.
Vater gesteht zuerst, dann Sohn

Es war zunächst der 35-jährige Ehemann von Maria Pia Scuto, der sich den Ordnungshütern stellte. Er habe auf seine Frau aus Eifersucht eingeschlagen bis sie tot gewesen sei, so der 35-Jährige zu den Polizeibeamten.

Die Ermittlungen liefen jedoch weiter, am Nachmittag kam es zur Wende im Fall: Plötzlich legte der 15-jährige Sohn des Ehepaares Riccio eine Generalbeichte ab und beteuerte seine Mutter angegriffen zu haben, um den Vater vor ihr zu schützen.

Nur wenige Zeit später zog der Junge das Geständnis zurück. Er habe dieses nur abgelegt, um zu verhindern, dass sein Vater ins Gefängnis gebracht wird.

Vater unter dringendem Tatverdacht

Sowohl der Vater als auch der Sohn befinden sich weiterhin in der Quästur, wo sie verhört werden. Laut Homepage des "Corriere della Sera" steht jedoch der Vater unter dringendem Tatverdacht.

joi

Montag, 30. März 2009

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apparemment en Sicile, à Catane, un drame conjugal aggravé par une compatibilité septennale ; un mari de 35 ans pourrait avoir décapité son épouse de 41 ans probablement au cours d'une dispute :
les différends peuvent devenir particulièrement violents et totalement déraper lorsque les deux se trouvent dans une période critique... car les deux sont alors en période d'agressivité
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lundi 30 mars 2009

suicides en série ?

20minutesfr :
Suicides en série sur les rails
La direction régionale de la SNCF se « pose la question ». Pour l'instant, elle demeure sans réponse. Trois personnes ont trouvé la mort sur les voies ferrées ce week-end dans trois secteurs différents. A chaque fois, il s'agirait d'un suicide. Le premier s'est produit vendredi en début de soirée au niveau de Saint-Amand-les-Eaux. Un homme d'une quarantaine d'années a été percuté par un TER.

Samedi, une femme allongée sur les voies près de Saint-Pol-sur-Ternoise a connu le même sort. Le troisième drame a eu lieu hier matin, lorsqu'une autre femme, qui longeait les rails près de Pérenchies, a été tuée par un train de marchandises.

L'Union-L'Ardennais :
Samedi soir, un homme de 28 ans, habitant Viels-Maisons, a mis fin à ses jours brutalement en faisant face à un train.

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l'âge des personnes serait intéressant et même plus précisément leur date de naissance car on a tendance à passer à l'acte suicidaire plus en période critique septennale et en jour critique émotionnel : l'homme de 28 ans par exemple se trouve dans une période critique septennale.

Lucien Léger

http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=4312&hl=

Wikipédia :
Lucien Léger, né à Paris le 30 mars 1937 et mort à Laon en juillet 2008, était un criminel français, condamné à la réclusion criminelle à perpétuité pour le meurtre d'un enfant. Il fut le plus ancien détenu de France avant d'être libéré le 3 octobre 2005 après 41 ans d'emprisonnement, un record en Europe.
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Le 26 mai 1964, en fin d'après-midi, disparition de Luc Taron, un enfant de 11 ans.

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il a enlevé et tué Luc Taron alors qu'il avait 27 ans et deux mois. (on entre dans la période critique septennale des 28 ans aux alentours de 27 ans et demi)
le 26 mai 1964 est un jour doublement critique physique et émotionnel... (P7 et E8)
l'un ou l'autre de ces jours critiques sont souvent présents lors de crimes, car jours de pulsions : là nous avons les deux


Di 24
Lu 25
Ma 26 P(7) E(8)
Me 27
Je 28


Lucien Léger est mort à son domicile de Laon début juillet 2008, son corps n'ayant été découvert que le 18 juillet.
on ne sait donc pas quel jour, le décès, si j'ai bien compris.

parricide

Kurier :
Streit eskalierte: Salzburger erstach Vater
Ein 52-jähriger Landwirt aus Anif beendete eine jahrelange Familienauseinandersetzung mit einem Mord. Er stellte sich selbst.
Der mutmaßliche Täter überraschte seinen Vater im Bett. In Anif bei Salzburg soll ein 52-jähriger Landwirt am Sonntagvormittag seinen Vater mit mehreren Messerstichen in die Herzgegend getötet haben. Ein jahrelanger Streit über die Art, wie er den vom Vater übernommenen Hof führte, wurde damit blutig beendet. Seit längerem habe er überlegt, freiwillig aus dem Leben zu scheiden, doch gestern sei der Entschluss gekommen, den Altbauer umzubringen, damit seine Familie nicht weiter terrorisiert werde, sagte der Salzburger bei der ersten Vernehmung.

Es sei eine jahrelange Tyrannei gewesen, so dass "er seit über drei Jahren mit sich selbst gekämpft hat", erläuterte der ermittelnde Staatsanwalt Marcus Neher am Sonntagnachmittag bei einem Pressegespräch. Die ganze Familie habe unter dem fast 83-Jährigen gelitten, so der mutmaßliche Täter. Am Samstag habe er sich schließlich dazu durchgerungen, einen Schlussstrich zu ziehen, denn selbst habe er sich nicht so aus dem Leben davonstehlen wollen.

Mit einem Küchenmesser suchte der Sohn heute gegen 10.00 Uhr den betagten Mann im Nachbarhaus auf. Er fand ihn im Bett vor. Noch einmal suchte er das Gespräch, das aber wie immer und ohne erwünschtes Ergebnis verlief. Wieder bekam er zu hören, dass er den Hof nicht richtig führe und sich zu wenig um die eigenen Kinder kümmere. Als der Streit dann eskalierte, stach der 52-Jährige auf den im Bett Liegenden ein, nach eigenen Angaben gezielt in die Herzgegend und vermutlich viermal. Weder schrie das Opfer noch wehrte es sich, es habe nur schwer geatmet, gab er später zu Protokoll. Dann ließ er die Waffe in der Brust stecken und ging zurück in sein Haus.

Geburtstag auf der Polizeiinspektion
Der Sohn des mutmaßlichen Täters hätte sich seinen 21. Geburtstag wohl anders vorgestellt: Als er sich am Vormittag zu seinem Vater an den Tisch setzte, ersuchte ihn dieser, die Polizei zu verständigen, weil er soeben den Großvater ermordet habe. Als der Junior dann um 10.38 Uhr die Polizeiinspektion anrief, ergriff der Bauer selbst den Hörer und legte ein Geständnis ab. Kurz darauf ließ er sich widerstandslos festnehmen. Sein Sohn begleitete ihn zur Vernehmung.

"Er wirkte auf mich einigermaßen verzweifelt, aber nicht über die Tat, sondern über die Situation der Familie", beschrieb der Staatsanwalt den Verdächtigen. Dass seine Mutter - die Gattin des Opfers - erst in der Vorwoche verstorben ist, dürfte laut Neher keinen Zusammenhang mit der Tat gehabt haben.

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un agriculteur de 52 ans a fini par tuer son père avec lequel il était en désaccord depuis de longues années, et qui, paraît-il tyrannisait toute la famille...

on peut relever que le père avait 83 ans et se trouvait donc probablement à l'entrée de sa période critique septennale des 84 ans, de quoi peut-être le rendre particulièrement insupportable.
mais encore : le fils est dans sa 53ème année qui est une année critique physique.
et aussi cette phrase (traduite grosso modo) de la part de l'avocat de l'intéressé : "cela fait trois ans que l'intéressé lutte avec lui-même avant d'en venir à cette décision..." or il y a trois ans c'était 49 ans et période critique septennale, pour lui.
il est enfin précisé qu'il a pris la décision de tuer le père samedi, après avoir longuement hésité entre son propre suicide et ce meurtre...
on pourrait dire que les périodes critiques réciproques ont eu un rôle, ici : celle des 49 ans qui a apparemment traumatisé et fait sombrer le meurtrier et celle des 84 ans du vieux resté totalement étanche aux demandes de son fils. celui-ci avait en effet encore une fois essayé de discuter le jour du crime et cela s'est terminé en refus et dispute...

il est allé le poignarder dans son lit, dans la maison voisine...
la vieille mère venait de décéder la semaine avant.

dimanche 29 mars 2009

chiens tueurs

http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=29783

Une fillette de 6 ans a été tuée par des chiens de sa famille

" Une fillette de six ans est morte samedi, après avoir été mordue près de son domicile par deux dogues allemands appartenant à sa famille, aux Grandes-Loges (Marne), un village proche de Chalons-en-Champagne, a-t-on appris dimanche auprès de la préfecture.
"La fillette était sortie de la maison aux alentours de 16H00 et les parents, ne la voyant pas revenir, se sont inquiétés. Elle a été retrouvée près des deux dogues allemands de la maison, décédée", a indiqué à l'AFP la directrice de cabinet du préfet de la Marne, Sylvaine Astic.
L'enfant a été "a priori égorgée par les deux chiens, alors qu'elle se trouvait dans un lieu qui leur était réservé", a-t-elle ajouté.
Le dogue allemand n'est pas classé dans la catégorie des chiens dangereux.

"On ne sait pas si c'est en jouant avec les chiens. Les chiens étaient bien dans un chenil clôturé, avec des protections de type chantier d'environ deux mètres. La gamine est passée par le garage. Est-ce qu'elle est passée par un interstice entre deux plaques, deux parapets ? On n'en sait pas plus", a indiqué de son côté Jean-Pierre Chauvet, adjoint au maire de Grandes-Loges.
Les chiens de la famille étaient "toujours au domicile, il n'y a jamais eu de souci avec les chiens", selon M. Chauvet, également voisin de la famille.
"La mère était prudente vis-à-vis des chiens. C'est un accident. Comme beaucoup de propriétaires de chiens, elle avait confiance en ses animaux", a-t-il précisé.
Les parents pensaient que leur fille "s'était perdue ou qu'elle était allée se promener sans leur dire", selon Mme Astic.

"Les parents sont très choqués et ont été pris en charge par une cellule d'urgence médico-psychologique pour qu'on puisse en savoir un petit peu plus", selon la directrice de cabinet.
L'enquête a été confiée à la gendarmerie de Chalons-en-Champagne.

Selon un éleveur interrogé par l'AFP, un dogue allemand adulte ne pèse pas moins de 80-85 kg et dépasse souvent les 85 cm au garrot. "

Source : AFP 29 mars 2009
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deux chiens peuvent avoir un comportement très différent d'un seul chien dans une famille... ils peuvent adopter à certains moments un comportement de meute... mais même avec un chien il faut être prudent car il s'installe une hiérarchie et le chien pourra très bien vouloir se situer au-dessus de l'enfant de la famille.

il y a deux éléments que j'aurais tendance à vérifier et dont j'ai toujours tenu compte pour mes enfants : le jour critique émotionnel est/peut être le jour des "bêtises" ; ce jour là un enfant peut être tenté d'en faire plus, tenté par des choses inhabituelles : je pense que çà peut s'expliquer par le phénomène de pulsion/désinhibition... qui fait que l'on aura moins peur et on sera plus entreprenant... ce jour là. la fillette avait-elle l'habitude d'entrer dans le chenil ? à défaut les chiens peuvent la considérer comme un intrus sur leur territoire... ce serait à vérifier mais j'ai tendance à penser qu'il y a plus d'accidents pour cette raison là, le jour critique émotionnel. c'est un jour de "prise de risque".

et autre chose importante : le jour critique émotionnel est "émotionnel" - il modifie, même parfois imperceptiblement pour nous, notre "état" et c'est notre jour de tension, parfois de mauvaise humeur et de colère. même si elle n'apparaît pas, le chien, qui a des sens plus "affinés" va nous ressentir comme agressif ce jour là. et cela peut donner lieu à des morsures ou des accidents plus graves...

discours

Inde: le petit-fils d'Indira Gandhi arrêté après un discours antimusulman

NEW DELHI (AFP) — Le petit-fils de l'ex-Premier ministre de l'Inde Indira Gandhi, au centre d'une polémique après un véhément discours antimusulman dans le cadre de la campagne des législatives d'avril-mai, a été arrêté samedi, a-t-on appris de source policière.

Varun Gandhi, candidat à la députation du parti nationaliste hindou (Bharatiya Janata Party, BJP ou Parti du peuple indien) a été placé en détention dans l'Etat d'Uttar Pradesh (nord).

"Je suis prêt à aller en prison", a assuré l'intéressé âgé de 29 ans.

Le jeune homme a déclenché une tempête politique depuis qu'une télévision a diffusé des extraits d'un discours en hindi où il affirmait que le BJP "couperait la tête de musulmans".

Ceux-ci "portent des noms effrayants, comme 'Karimullah' ou 'Mazullah', si bien que quand vous les croisez la nuit, vous avez peur", avait ajouté Varun Gandhi.

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5iWmGz7F-8TkaW2XyWKZdMs1KuQlw

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certains discours peuvent aussi, comme ici probablement, être le résultat d'un passage ou d'un séjour dans une période critique septennale... la perception des choses et les inhibitions ne sont parfois pas les mêmes qu'en temps "ordinaire"... :-)

suicide

Midi Libre :
Hérault
Un drame de la détresse humaine à HérépianLes Hauts cantons ne sont pas toujours calmes. Bédarieux, Hérépian... services sociaux et de gendarmerie pourraient disserter longtemps sur la question. Ils sont, au quotidien, confrontés à la dure réalité de la vie, à ces familles tiraillées, recomposées, parfois dans une grande misère sociale.

Que dire alors de l'histoire, triste et dramatique, de cette Hérépiannaise âgée de 42 ans ? Fragile et handicapée à 80 %, secours et gendarmes l'ont retrouvée morte à son domicile, un logement social, vendredi dernier vers 17 h, dans le quartier de la Tuilerie, avenue Marie-Curie, à Hérépian. Si une autopsie du corps a été envisagée dans un premier temps par les gendarmes, ceux-ci se sont ravisés : le suicide serait la cause du décès.

La victime était d'« une grande faiblesse psychologique », témoignent des gens du quartier. Au point de se laisser dominer par sa fille et son petit ami, prétendent-ils. Tout ce joli monde vit chez elle. « A son crochet », indiquent encore des proches. Factures impayées, les dettes s'accumulent. La quadragénaire multiplie les rencontres avec les services sociaux de Bédarieux : « Elle nous sollicitait sans cesse dans le but qu'on lui attribue des aides. » Elle allait même jusqu'à quémander un peu de nourriture, racontent certains voisins. L'Hérépiannaise serait très vite tombée dans une déchéance irréversible. Son appartement se serait peu à peu mué en un squat invivable avec l'arrivée de deux autres membres de la famille.

C'est à la mi-février que la situation empire. Le voisinage de la victime assiste toutes les nuits ou presque à des courses poursuites en voiture dans ce quartier de la Tuilerie, à des règlements de compte, sur fond d'alcool et de drogue. Les dépôts de plainte s'accumulent sur les bureaux de la brigade de gendarmerie du secteur. Le week-end du 21 et 22 février, toute la famille aurait été mêlée à une bagarre. Battes de base-ball, armes à feu... Secours et gendarmes sont sur place. Un des "locataires", qui circule dans une voiture immatriculée dans le Tarn, est entendu toute une soirée dans les locaux des militaires. « L'enquête n'ira pas très loin, il faut faire preuve de bon sens ; il est temps qu'il s'en aille, les habitants retrouveront un peu de tranquillité », déclare une source proche du dossier. Mais le quartier est loin d'avoir retrouvé son calme.

Dans la nuit du 25 au 26 février, des coups de feu et des bris de vitres auraient été entendus dans le fameux appartement de l'avenue Marie-Curie. Rien n'a changé. Même le départ des squatters pour les Pyrénées-Orientales il y a une douzaine de jours.
L'Hérépiannaise est recluse chez elle. « Par peur de représailles, des ennuis avec la justice , raconte un riverain. La semaine dernière, elle est encore allée solliciter de la nourriture aux portes de ses voisins. » Vendredi dernier, elle était retrouvée morte. Chez elle.

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l'arrivée d'une période critique septennale (42 ans ici) accentue l'effet le désespoir et la détresse d'où fort risque de passage à l'acte suicidaire pour des personnes qui sont mal : cette période et souvent un jour critique émotionnel greffé dessus (ici vendredi ?) peut avoir un effet déclencheur.

samedi 28 mars 2009

meurtre du Creusot

http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=3763&hl=

Les parents du meurtrier présumé s'interrogent


Quelle est l'étincelle qui a fait perdre toute lucidité à Fabrice Dubois ? Gisèle, sa maman, souligne la contrariété soudaine de son fils, quelques heures avant le drame.

Qu'est-ce qui a pu pousser Fabrice Dubois, décrit par ses voisins et amis comme quelqu'un de foncièrement calme, à ce dramatique « pétage de plomb », l'amenant à tuer sa femme Nathalie qui avait quitté le domicile conjugal, et son amant, le 14 décembre dernier au Creusot

Pour la famille, sûrement pas l'alcool. Gisèle Dubois, la maman du meurtrier présumé, a tenu à réagir aux propos avancés la semaine dernière par les parents de Nathalie. « Ses frères, ses amis, moi, nous nous sommes offusqués de lire qu'il était violent et sous l'emprise de l'alcool. Fabrice était un « père café » ! Il lui arrivait de boire à l'occasion comme tout le monde mais pas plus que ça… une bière de temps en temps ! » Et le compagnon de Gisèle de se remémorer, les yeux mouillés, quelques souvenirs « Quand ils ont construit la maison, j'ai donné la main, comme le père de Nathalie d'ailleurs, il buvait de l'eau. Quand elle passait, il lui demandait si elle pouvait lui amener une bière… c'est tout ! Et quand elle ne lui amenait pas, il continuait le chantier ». Il se rappelle néanmoins l'avoir vu lors d'un repas arrosé, en famille « Mais dans ces cas-là, il n'était pas violent, il était plutôt déconneur, à rigoler ! ».

« Visiblement contrarié »;

Parfaitement lucide sur la vie de couple qui n'était plus sereine depuis plusieurs mois entre leur fils et leur belle-fille, et vigilant aux détails privés qui témoignent d'une telle situation, Gisèle et son compagnon s'interrogent sur l'hallucinante décision de Fabrice dimanche soir.

« On s'est quitté dimanche soir après la remise des prix de la quinzaine commerciale de Saint-Yan, il était bien, il n'avait même pas parlé de Nathalie de l'après-midi et il devait faire l'aller-retour Poisson - Saint-Yan (NDR : où résident les parents de Fabrice) pour ramener un vêtement. On a été surpris, d'abord parce qu'il a mis au moins 1 h 30, alors qu'il faut 1/2 heure maximum, et ensuite parce qu'il était visiblement contrarié. On lui a proposé de rester pour la soupe, il n'a même pas voulu, il est reparti. Je ne sais pas ce qui s'est passé dimanche soir, mais il y a eu quelque chose ! (NDR : avant 22 heures !) », s'exclame Gisèle. La goutte d'eau qui a fait déborder le vase ? « Et puis on n'a pas compris le lendemain matin, quand on est allé à la maison de Poisson avec la police, il y avait un foutoir dans le garage ! Des cartons éventrés, des papiers de partout, des tiroirs renversés alors que tout était rangé d'habitude », rajoute Gisèle, qui n'a pas pu parler à son fils depuis son interpellation lundi dernier. « Il m'a juste fait appeler par une assistante sociale de Varennes (NDR : site pénitentiaire) pour apporter de l'argent afin qu'il achète du chocolat et du café ».

Eric Dujardin

Source : Le Journal de Saône-et-Loire

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il s'agit du "meurtre du Creusot" :
Un couple tué au Creusot

Une femme d'une quarantaine d'années et son concubin ont été tués à l'arme blanche, dimanche soir au Creusot (Saône-et-Loire), et la fille de l'homme blessée.
..........
Sources : AFP/Le Parisien

et :
Après une enquête des policiers du Creusot, l'auteur présumé des faits, Fabrice Dubois, 42 ans, a été interpellé alors qu'il s'apprêtait à reprendre son travail chez Eternit, lundi matin à Vitry-en-Charollais.

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une partie de la réponse est, pour moi du moins, dans cette dernière phrase : "période critique septennale des 42 ans".

une autre partie concernant la "contrariété" dont il est plusieurs fois question dans l'article - pourrait se trouver dans le jour critique émotionnel de l'intéressé, si on ne trouve pas d'autre cause extérieure... on entre dans le jour critique émotionnel le soir et il faudrait donc que l'intéressé soit un natif du lundi, le "pétage de plombs" s'étant déroulé dimanche soir... la description faite par les parents correspond assez avec celle d'une entrée dans un jour critique émotionnel...
sinon, effectivement faut chercher encore autre chose...

infanticide et suicide

http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=4299&hl=
Fait divers - “Elle n’a pas supporté de se voir comme une meurtrière”

Hospitalisée en psychiatrie depuis six mois dans la banlieue orléanaise, une mère de famille s’est échappée mercredi avant de se suicider. En septembre dernier, dépressive, elle a tué deux de ses trois filles dans la maison familiale, à Orléans.
Depuis le drame, Laurence, 46 ans, était rongée par la culpabilité. Et n’imaginait pas d’autre issue que celle de rejoindre ses filles, Alois, 12 ans, et Sibylle, 10 ans, mortes en septembre dernier. Etranglées de ses propres mains. Mise en examen pour « assassinats et tentative d’assassinat », il semble que ces dernières semaines, la mère de famille ne supportait plus de vivre avec ce poids. « La cassure s’est produite au moment de son placement en détention provisoire en février dernier, précise son avocate, Me Pascale Wlodyka. Depuis, elle ne se considérait plus uniquement comme une malade. Mais aussi comme une meurtrière ». Une réalité qu’elle n’est pas parvenue à accepter.


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Source : France Soir


RAPPEL DES FAITS

Source : Le Parisien du 17 septembre 2008

Orléans : la mère infanticide placée en hôpital psychiatrique17.09.2008, 07h00

SOUPÇONNÉE d'avoir étranglé deux de ses enfants et blessé grièvement un troisième, Laurence, une habitante d’Orléans de 46 ans, a été placée d’office en hôpital psychiatrique. Un juge d’instruction a signifié à cette mère de famille sa mise en examen pour « assassinats et tentative d’assassinat ».

Ce week-end, en pénétrant dans le pavillon cossu d’un quartier du sud d’Orléans, pompiers et policiers ont découvert une scène d’horreur. Ils ont retrouvé cette femme prostrée et en pleurs. A ses côtés, Florane, sa fille de 14 ans, grièvement blessée aux bras, totalement hébétée. Au premier étage, Alois, son fils de 12 ans, et Sibylle, sa petite fille de 10 ans, gisaient étranglés sur leurs lits. Ne parvenant pas à tuer ses trois enfants, mais avec la volonté de s’asphyxier et de disparaître avec eux, Laurence avait allumé le feu dans la cheminée et fermé toutes les trappes de la maison. Florane a réussi à appeler les secours.

« Elle avait beaucoup de mal avec un de ses enfants lourdement handicapé », témoigne une proche. À bout, totalement désemparée, Laurence travaillait comme assistante sociale depuis dix-neuf ans à la Caisse d’allocations familiales du Loiret.Elle était depuis peu séparée de son mari. Cette fille demédecin avait grandi auprès d’un frère autiste, souffrant d’une quadriplégie. À ce titre, sa famille avait fondé avec d’autres parents une association d’entraide aux handicapés. À leur initiative, un centre de jour pour jeunes polyhandicapés s’était ouvert il y a une vingtaine d’années. Mais à plusieurs reprises, sa famille avait tiré la sonnette d’alarme et demandé la création de maisons pour adultes. Dernièrement, Laurence avait séjourné dans une clinique pour de longs traitements antidépression.

« Elle paraissait au bout du rouleau »

Hier, dans les écoles des deux fillettes, les enseignants ont ouvert une cellule d’écoute avec trois psychologues pour les enfants. « Elle paraissait au bout du rouleau, extrêmement fatiguée, totalement désabusée », commente aujourd’hui un avocat qui l’a assistée lors de sa garde à vue. « C’est une personne douce, très attentionnée, disponible pour les autres » affirment, très affectés, ses collègues de travail.
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ce serait à vérifier mais je crains que cet engrenage dramatique ne soit également - comme de nombreux drames - lié à l'entrée dans la période critique septennale des 42 ans par la personne en question. Pour vérifier cela il faudrait connaître le parcours de la famille, époux compris, depuis qu'elle en est séparée : les conflits démarrent très souvent avec l'entrée dans une période critique de l'un des époux, parfois des deux s'il y a compatibilité, et ensuite arrive un enchaînement infernal : on se sépare et naissent ensuite d'autres conflits au sujet des enfants ou encore comme cela a l'air d'être le cas ici, l'un des deux conjoints se retrouve tout seul avec ses enfants et tous ses problèmes sur les bras... c'est alors l'overdose qui fait disjoncter...
sous réserve que ce soit le cas c'est le type de scénario qui doit être pris et modifié lorsque l'on voit surgir les premiers problèmes avec l'arrivée d'une période critique septennale.

Michael

Wikipédia :
Michael Joseph Jackson est un auteur-compositeur-interprète, danseur-chorégraphe et homme d'affaires américain né le 29 août 1958 à Gary.
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Accusation d'abus sexuel et premier mariage (1993 - 1994)
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En août 1993, Michael Jackson est accusé d'abus sexuel sur mineur par un enfant de treize ans
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c'était ses 35 ans et période critique septennale.
c'est une particularité de la période critique septennale des 35 ans que d'être celle où certains individus attirés par les enfants on tendance à passer aux actes.

meurtrier septennal

http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=4292&hl=

Oise : le meurtrier présumé du curé arrêté 12 ans après



2Un homme de 46 ans a été interpellé mercredi à Alès dans le Gard dans le cadre de l'enquête sur le meurtre du père Jean-Claude Guéguen, curé de Pont-Sainte-Maxence (Oise).

Le corps sans vie de Jean-Claude Guéguen avait été retrouvé le 9 juillet 1997, dans la chambre à coucher du presbytère.

Le crime avait été d'une violence extrême, le corps du curé et son visage présentaient des traces de coups particulièrement violents.

Pendant de longues années, les gendarmes ont enquêté en vain, à la recherche de son ou de ses meurtriers, sans résultat, au point que le dossier se concluera par un non-lieu.
Mais en mars 2008, le fichier national des empreintes génétiques (Fnaeg) effectue un rapprochement entre le profil génétique extrait de la salive retrouvé sur deux mégots près du presbytère, et celui d'un homme alors détenu à la maison d'arrêt de Valence (Drôme). Mais officiellement, il n'y a plus d'enquête, et il faut disposer d'un cadre procédural pour agir : à la fin de l'année dernière, le parquet de Senlis (Oise) ouvre une nouvelle information judiciaire sur le crime.



Après de longues recherches, le suspect, un Gardois, est localisé par les gendarmes de la section des recherches d'Amiens dans une famille de gitans sédentarisés dans le quartier des Tamaris à Alès, où il a été interpellé mercredi matin. Au bout de deux jours de garde à vue à la gendarmerie d'Alès, il a été transféré ce matin vers Senlis, où il devait être mis en examen en fin de journée et écroué par le juge d'instruction de Senlis pour le meurtre du père Jean-Claude Guéguen

En matière de meurtre, la prescription est de dix ans. Mais ce délai est à prendre en compte à partir du dernier acte d'enquête, et non de la date du crime. Le meurtrier présumé du père Guégen pourrait donc être jugé devant une cour d'assises.

Sources : Le Parisien/ Midi Libre

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46 ans aujourd'hui, il y a 12 ans il se trouvait à 34 ans, à l'entrée de sa période critique septennale des 35 ans.

crime d'amour

crime d'amour est souvent septennal (période critique des 56 ans)
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=4296&hl=

Dix ans de prison pour un crime d'amour



Finalement, la peine d'emprisonnement est apparue presque accessoire, hier, au terme du procès de Joël Mallet, jugé pour avoir tenté d'assassiner sa femme, le 19 janvier 2006 à Balaruc-les-Bains. Parce que l'accusé, comme la victime, miraculée après avoir pris une balle en pleine tête mais lourdement handicapée, ont avant tout leur vie gâchée.

« Je regrette profondément au fond de moi, je ne lui demande pas de me pardonner », a conclu le premier, effondré, qui a été condamné hier soir à dix ans de réclusion sans jamais contester les faits ou se chercher d'excuse pour avoir tiré sur celle qu'il aimait par-dessus tout. « Je ne sais pas combien vous allez lui mettre de prison, ça m'est égal, je souffre tous les jours à cause de lui alors lui parler, non, lui pardonner, non », a déclaré Michèle, désormais hémiplégique à vie et souffrant de troubles psychologiques.

Durant ces deux jours de procès, la cour a tenté de comprendre le cheminement funeste de Joël Mallet, un restaurateur respectable de 59 ans, qui n'avait jamais fait parler de lui, n'affichant aucun penchant pour la bouteille et pas spécialement violent. Non, l'idée de la séparation d'avec Michèle, courtisée par un autre et qui avait décidé de refaire sa vie, lui a paru insupportable. Trop dur à encaisser.
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vendredi 27 mars 2009

tentative d'enlèvement

http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=29768
Un jeune homme tente d'enlever deux bébés dans un parc de Saint-Laurent-du-Var

" Un homme de 34 ans a été discrètement interné lundi après avoir tenté à deux reprises d'avoir enlevé des enfants à Saint-Laurent-du-Var. D'abord dimanche puis Lundi, où il a tenté d'emmener deux jumeaux de 14 mois, dans le parc Layet se juste derrière la mairie. La jeune maman était en train de s'occuper d'un des bébés, le petit garçon, quand l'individu s'est emparé de la petite fille qui était en train de faire ses premiers pas, et est parti avec en courant. La maman a heureusement réussi à le stopper : « elle ne sait pas marcher, laissez là », a-t-elle lancé à l'homme qui s'est brusquement arrêté. Tendant doucement les bras à sa petite fille, la maman a finalement réussi à la reprendre. Elle est alors retournée vers son deuxième enfant. Mais pas assez vite ; l'homme l'avait suivie, et avant qu'elle n'arrive, a saisi le petit garçon qu'il a fait sauter dans ses bras, « avec un air bizarre ». Terrorisée mais avec sang-froid, la jeune maman a finalement réussi à calmer l'individu et à reprendre son enfant.

Complètement terrifiée, la jeune femme a remis ses deux bébés dans la poussette, décidée à rentrer chez elle au plus vite. C'est alors qu'elle s'est rendue compte que l'homme la suivait de loin, se cachait, repartait, en émettant des bruits bizarres. Comme elle arrivait à proximité de son domicile, il a bondi devant elle. Elle a appelé au secours. Un passant s'est interposé entre elle et l'individu tandis qu'elle appelait la police. Deux minutes plus tard, le ravisseur était interpellé et menotté par les policiers municipaux, puis conduit dans les bureaux de la police nationale où il a été placé en garde à vue.

La même scène la veille !

Il s'est avéré que les mêmes faits s'étaient produits la veille au même endroit. L'individu, un Laurentin, s'en était pris cette fois à trois enfants qui jouaient dans le parc Layet. L'homme les avaient poursuivis en courant mais ils avaient réussi à s'échapper. La veille également, un peu plus tôt dans la journée, il se serait présenté aux policiers, disant qu'il était sous l'emprise de médicaments et qu'il ne se sentait pas bien. Puis il était reparti.

Selon un témoin en relation avec cette affaire, l'individu serait déjà bien connu des services de police pour des faits similaires, violences et agressions.
Mais chaque fois, il semble qu'il aurait été reconnu pénalement irresponsable. Lundi, le maire de Saint-Laurent-du-Var a engagé une procédure d'hospitalisation d'office. L'homme a finalement été placé en service de psychiatrie à l'hôpital Sainte-Marie de Nice.

Hier une plainte a été déposée au commissariat de Cagnes-sur-Mer."

Un article d'Isabelle Brette.


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c'est le genre d'incident à prendre encore plus au sérieux car il arrive au moment propice : l'entrée dans la période critique septennale des 35 ans...
si l'on tient compte des périodes critiques septennales on sait qu'il peut y avoir danger à ce moment là.

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prof

3ème oeil :
Une prof envoie des photos d'elle, nue, à son élève de 16 ans

" Une prof de Kungsbacka, en Suède, est accusée de harcèlement sexuel sur l'un de ses élèves de 16 ans. Elle lui a envoyé des photos d'elle où elle pose dans le plus simple appareil.

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j'aurais bien aimé connaître l'âge de cette prof... :-)

infanticide et suicide

canoe.infos :
Tragédie à Sherbrooke
La mère aurait tué son fils avant de se suicider
Agence QMI Ghislain Allard
26/03/2009 12h45

Un garçon de neuf ans et sa mère de 43 ans ont été retrouvés sans vie a Sainte-Élie, hier

Deux corps sans vie ont été retrouvés, hier, vers 10h, au 2299, chemin Gendron, dans le secteur Saint-Élie, à Sherbrooke. Il s’agit de Sylvie Laneuville, 43 ans, et de son fils de neuf ans, Jérome Laneuville-Grenier.
Tout porte à croire qu’il s’agit d’un autre drame familial. La mère aurait tué son fils avant de retourner l’arme vers elle. «L’hypothèse la plus envisagée est celle du meurtre suivi d’un suicide», confirme Martin Carrier, porte-parole du Service de police de Sherbrooke (SPS).

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La mère de 43 ans aurait été affecté par la séparation avec son conjoint.

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conflit de séparation aux conséquences désastreuses... lié probablement à la période critique septennale des 42 ans pour cette personne ?

mais... il faudrait voir la situation du conjoint également...

suicide

LaRep.com :
Stupeur et interrogations après le suicide d'une collégienne à Chartres
Publié le 26 mars 2009 - 21:55
Une jeune fille de 14 ans s'est suicidée par pendaison lundi, à son domicile. Elle fréquentait le collège Saint-marie. Ce drame suscite émoi et incompréhension.

C'est un drame qui suscite l'émoi et l'incompréhension en centre ville de Chartres. Le suicide par pendaison d'une adolescente de 14 ans découverte lundi à 17 heures à son domicile. Certaines de ses amies l'avaient vue pour la dernière fois ce même jour après qu'elle eut quitté à 13 h 30 le collège Sainte-Marie qu'elle fréquentait.

Face à ce drame, une cellule psychologique a été mise en place dans l'établissement. « Un psychiatre et des infirmières vont être là pendant quinze jours pour écouter les élèves et les enseignants qui le souhaitent », indique un prêtre du collège.
Un courrier a été adressé à chacune des familles avec un numéro d'appel au cas où. Une réunion pourrait être organisée avec une association spécialisée dans la prévention du suicide afin de permettre à chacun de s'exprimer. Ce drame fait écho au suicide d'un collégien de 14 ans survenu en octobre dernier et qui fréquentait l'établissement privé Saint-Ferdinand de Chartres.

Pas de mot à la famille
La police a lancé des investigations pour faire la lumière sur les raisons du drame survenu lundi. L'adolescente n'a pas laissé de mot à sa famille pour expliquer son geste. Mais en aurait laissé à ses camarades. Notamment au travers de discussions sur Internet. Le contenu de son ordinateur doit être analysé. L'environnement social de la jeune adolescente a été étudié.

Certains de ses camarades ont été entendus par les fonctionnaires de police. « A priori, le lien entre les deux suicides n'est pas établi », indique une source proche de l'enquête qui doit se poursuivre encore quelques jours.
Thierry Châtellier

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14 ans c'est bien sûr pleine période critique septennale, celle de l'adolescence...
ici on pourrait vérifier si les ados sont passés à l'acte leur jour critique émotionnel, ce qui est souvent le cas, s'agissant du "jour hebdomadaire de désespoir, pulsions et colère" ; sa prise en compte et une information adéquate permettrait parfois d'éviter un drame, car c'est ce jour là que ceux qui ont des problèmers chaussent des lunettes particulièrement noires, qui vont leur permettre de passer à l'acte.


la dangerosité d'un jour critique émotionnel pour des gens qui ont des problèmes au point de penser au suicide ou d'avoir des tendances suicidaires, est due au fait que ce jour là est un jour qui va "pousser à agir" (il est fait pour çà, pour nous inciter à avancer) mais il peut alors amplifier les problèmes (les grossir exagérément) et nous faire agir dans le mauvais sens : au moyen de pulsions, mais aussi pour aider à cela en diminuant voire en éliminant nos inhibitions habituelles.
et çà se passe ce jour là bien plus qu'un autre : si on arrive à le comprendre et à en tenir compte on risque moins de se faire prendre au mirage de la gravité de nos problèmes et de la solution suicidaire. souvent, une fois le jour critique émotionnel passé ç'est à dire le lendemain, on voit les choses différemment... jusqu'au jour critique suivant... parfois la semaine d'après... (les jours critiques émotionnels sont hebdomadaires et sont souvent d'intensité différente).

jeudi 26 mars 2009

drame conjugal

canoe-infos :
Drame familial
Un drame fait trois orphelins
Marc Pigeon
Le Journal de Montréal
25/03/2009 05h52




Le divorce de leurs parents a tourné au cauchemar pour trois adolescents devenus orphelins, hier, à la suite de ce qui a toutes les apparences d'un drame conjugal, à Laval.
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Vers 15 h 15, l'aîné des trois enfants du couple, âgé de 15 ans, a retrouvé les corps d'un homme et d'une femme près l'un de l'autre, au sous-sol du bungalow. Lorsqu'il a contacté le 911, il a indiqué avoir retrouvé ses parents.
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Les victimes auraient été abattues de projectiles à la tête. L'hypothèse la plus plausible aux yeux des détectives est celle d'un meurtre suivi d'un suicide.

Bien que les victimes n'étaient pas identifiées formellement hier soir, les parents, tous deux d'origine libanaise, manquaient à l'appel. Il s'agit de Jinane Ghannoum, 38 ans, employée à la Caisse populaire du Marigot, de Laval, et Mahboub El-Hage, 57 ans, chauffeur de taxi.

Après plusieurs années de vie commune, le couple en serait venu à entamer des procédures de divorce, en août dernier. Une procédure indéterminée a d'ailleurs eu lieu dans ce dossier, la veille du drame.
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À l'automne dernier, quelques épisodes de violence conjugale ont eu lieu. Des procédures pour menaces de mort, voies de fait, intimidation et bris d'engagement ont été entamées contre lui en octobre. El-Hage avait annoncé au tribunal son intention de régler son dossier en plaidant coupable, ce qu'il devait faire le 15 avril.

Malgré tout ce que Mme Ghannoum a vécu, «elle n'en avait pas peur», a confié Mme Fares, une voisine devenue une grande amie depuis la séparation du couple.

«Tout ça arrive après un divorce, dit-elle. Elle était très gentille. C'est très dommage, surtout pour les enfants», dit-elle en retenant difficilement ses émotions.
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on trouve le plus souvent les périodes critiques septennales lors de drames familiaux ou conjugaux. même si ce n'est parfois pas directement, comme ici, il faut remonter en amont pour retracer le scénario :
- ce n'est pas précisé ici mais les problèmes ont pu commencer avec l'arrivée de la période critique septennale de l'épouse, à 35 ans... (elle en avait 38 aujourd'hui, donc cela remonte à environ trois ans - les relations dans un couple peuvent commencer à s'envenimer dès ce moment là...)
- ce qui semble plus clairement apparaître c'est le comportement en période critique septennale de l'époux : il avait 56 ans l'année dernière lorsque "À l'automne dernier, quelques épisodes de violence conjugale ont eu lieu. Des procédures pour menaces de mort, voies de fait, intimidation et bris d'engagement ont été entamées contre lui en octobre." probablement que la séparation et le divorce sont liés à cela...

dans ce scénario on ne sort pas de la période critique, elle ne s'arrête pas comme elle le devrait, à son terme... ce qui explique la tension et son crescendo...

par contre pris à l'avance on peut voir arriver et comprendre le conflit qui monte : je sais et dis toujours "attention si vous arrivez dans une période critique septennale..." (ici c'est à 34 ans et demi que "démarre" l'épouse et 55 ans et demi que "démarre l'époux"...) il faudrait alors organiser un système d'aide et d'explication, de surveillance et de suivi aussi, d'assistance, car en période critique septennale on peut devenir rétif et étanche... mais on sait que ces périodes peuvent arriver et on sait largement à l'avance exactement à quel moment elles arrivent...
la réponse est alors oui, on peut prévenir et parfois éviter ce genre de drame.

suicide

Unis jusque dans la mort
C'est le voisin d'une maison située avenue de Kerdun au Pouliguen, à deux pas de la côte sauvage, qui a donné l'alerte hier, vers 14 h. Les volets du domicile de ce couple âgé de 86 et 84 ans n'avaient pas été ouverts comme à l'ordinaire, ce qui n'a pas manqué d'intriguer le riverain.Les policiers du commissariat de La Baule y ont fait une macabre découverte. Dans la chambre, les deux octogénaires étaient allongés sur le lit, tous les deux sans vie. Le mari a, selon les premiers éléments de l'enquête, tiré une balle dans la tête de son épouse avec une arme de petit calibre, avant de se suicider en ingurgitant des médicaments.

La mise en scène (des roses et une urne funéraire retrouvées dans la chambre, ainsi que des écrits concernant les obsèques laissés à leur fils, en évidence sur une table) ne laissait, apparemment, aucun doute sur l'origine de ce drame lié à la maladie d'Alzheimer dont souffrait la vieille dame.

F. LB

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je retiens l'article parce que j'ai remarqué que les meurtres et suicides pour Alzheimer arrivaient souvent lorsque la personne malade se trouvait en période critique septennale. comme je n'avais pas l'âge de la dame, à force de chercher j'ai trouvé chez PresseOcean.fr...
et ici aussi elle a 84 ans. je suspecte que la période critique septennale est en cause car ses symptômes peuvent être celle "d'une subite aggravation de Alzheimer" ; et j'ai vu une vieille personne se porter à nouveau très bien après la période en question alors qu'elle était subitement devenue impotante durant bien une année.

Raoul Villain

Wikipédia :
Raoul Villain, né le 19 septembre 1885 à Reims, tué le 17 septembre 1936 à Ibiza, est un nationaliste français, assassin de Jean Jaurès.


Plaque commémorative au Café du Croissant, 146 rue Montmartre (à l’angle du côté pair de la rue du Croissant), 2e arrondissement de Paris, Paris.Fils d'un greffier au tribunal de Reims, surveillant au lycée Stanislas, adhérent de la « Ligue des jeunes amis de l'Alsace-Lorraine », groupement d'étudiants nationalistes, et un temps militant du Sillon, le mouvement chrétien social de Marc Sangnier condamné par Pie X en 1910, partisan de la guerre. Il assassine, par deux balles dans la tête, Jean Jaurès au Café du Croissant, 146 rue Montmartre à Paris (2e arrondissement), le vendredi 31 juillet 1914 à 21h40.

Cet assassinat a lieu trois jours avant le début de la Première Guerre mondiale, et en précipite le déclenchement des hostilités, notamment en facilitant le ralliement de la gauche, y compris beaucoup de socialistes qui hésitaient, à l'« Union sacrée ».

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Raoul Villain, né le 19 septembre 1885. Il assassine Jean Jaurès le vendredi 31 juillet 1914 à 21h40.

28 ans et 10 mois : c'est sa période critique septennale. mais le vendredi 31 juillet 1914 c'est aussi l'entrée dans son jour critique émotionnel E15.
(1)

je pense que si on reprend les différents événements de l'Histoire on retrouve - en particulier pour ce genre d'éléments, un "coup de pouce" de la période critique septennale et/ou du jour critique émotionnel... comme c'est le cas ici.
il est assez compréhensible que l'Histoire de l'Humanité soit émaillée et se soit même déroulée en fonction des épisodes de pulsions de ses composants...


(1) natif du samedi il passe à l'acte vendredi soir. (le jour critique émotionnel est toujours le jour de naissance, mais ce jour démarre déjà la veille vers 18 heures, moment où les pulsions sont souvent les plus importantes.)

mercredi 25 mars 2009

métamorphose

qu'est ce qui peut faire que quelqu'un en arrive subitement à tuer son ou ses enfants, à commettre un ou des viols, un crime ou des crimes en série, à passer à des actes d'inceste ou de pédophilie, à se suicider alors que l'on ne s'y attend pas... ?

seule une véritable métamorphose peut parfois expliquer ces gestes, qualifiés, quand ils arrivent à certaines personnes, d'incompréhensibles, inattendus, inexplicables, de coup de folie, ou autres termes encore, qui signifient que l'on ne comprend pas vraiment ce qui a pu amener la personne à ces extrémités...

et très souvent l'arrivée d'une période critique septennale est la raison de cette métamorphose : on la trouvera dans de nombreux drames du type de ceux que je viens de citer.

l'explication est, pour moi, assez simple : au cours de sa vie l'humain passe par des périodes de changements successifs que l'on peut effectivement considérer comme des métamorphoses... pour comprendre il faut penser à la période de l'adolescence (c'est la seconde période critique septennale de notre vie) qui est parmi toutes ces périodes, la plus flagrante, la plus voyante, celle qui amène le plus de changements dans notre vie puisqu'il s'agit du passage de l'enfant à l'âge adulte. cela peut entraîner toutes les perturbations très diverses parfois, que l'on connaît bien chez tous nos ados...

imaginons à présent que cette période de changement se reproduit de la même façon, avec plus ou moins d'intensité, mais différemment car avec des buts et des résultats différents, chaque septième année de notre vie : vous aurez compris alors pourquoi beaucoup d'infanticides et autres crimes, viols, suicides... les très nombreuses et profondes dépressions aussi... arrivent à l'occasion de ces périodes.(1)

durant le temps d'une période critique septennale (c'est le nom que j'ai donné à ces "périodes de métamorphose" - dont chacune est différente car elle a ses carastéristiques propres à chaque âge) nous pouvons beaucoup changer et certains peuvent devenir extrêmement perturbés. important : en général la grande majorité de ces étapes de notre évolution que sont ces périodes critiques, (par lesquelles nous passons tous sans exception parce qu'elles sont inhérentes au mécanisme de la vie) ces périodes se passent sans encombres et même sont souvent profitables ce qui est d'ailleurs leur but (nous faire grandir, avancer... par étapes, par à-coups...), dans certains cas, exceptionnellement, çà peut se passer mal ou très mal, du fait des pulsions qui surviennent, et que l'on va avoir du mal à gérer, à contrôler.

j'ai cité dans la colonne de droite les dates des périodes dont je parle : cela permet de les anticiper et de se préparer. on sera alors moins pris au dépourvu lorsqu'elles arrivent. se rappeler de ces périodes et de leurs éventuelles conséquences (voyez la quantité d'exemples que contient ce blog et mes autres) permet aussi de mieux comprendre et d'expliquer ce qui arrive à certaines personnes que nous cotoyons, d'éclaircir aussi de nombreux faits dramatiques passés...


(1) les périodes critiques septennales - en quelque sorte nos adolescences successives - (le mot vient du verbe latin adolescere qui signifie grandir vers)
se déroulent autour de nos âges septennaux, soit aux alentours de 7 ans, 14 ans, 21 ans, 28 ans, 35 ans, 42 ans, 49 ans, 56 ans, 63 ans, 70 ans, 77 ans, 84 ans, etc...

beau père violeur

Le beau-père gourou violait pour créer "sa" famille
" Les époux Bernard sont poursuivis pour
les viols de leurs filles.

« J'ai installé une secte à la maison dédiée aux Bernard... Et puis, il y a eu cette monstruosité. (...) Je n'ai jamais été dupe de ce système. » Le procès d'Assises de Patrick Bernard, poursuivi avec son épouse pour viols sur ascendant à l'encontre de ses deux belles-filles, mineures au moment des faits, a livré, hier, ses nouvelles vérités par la voix même des accusés.

Patrick Bernard a « simplifié » le travail du président, du procureur de la République et de l'avocat de la partie civile en confirmant d'emblée que "Robert", le double mystique qui commandait à la famille tous ses actes, y compris les plus ignobles, était « une fiction, un moyen d'avoir des relations de sang avec Lætitia ».
Les véritables rapports du couple sont apparus, hier, au grand jour. Géraldine Bernard agissant ou laissant faire « par amour ». Patrick Bernard, lui, avouait ne plus aimer son épouse. « Elle m'aimait plus que tout. Pour moi, c'était la mère de mes enfants, pas la femme de ma vie. » Géraldine Bernard, tête baissée accuse le coup. Quelques instants plus tôt, à la question « pourquoi avez- vous toléré cette relation ? », elle répondra : « Patrick était plus que tout, plus que ma vie. » Et de poursuivre en justifiant ainsi la naissance de Deborah, fruit des relations entre Lætitia et son beau-père. « Patrick voulait un autre enfant. J'ai été voir un gynéco car j'avais fait ligaturer mes trompes. Pour moi, il était logique que cela soit Lætitia qui est un enfant. » Logique à la fois ignoble et implacable qui satisfait le désir de Patrick Bernard de fonder « une famille qui m'appartienne à moi. (...) Deborah, c'était une Bernard. » C'est cette même logique de soumission et d'appartenance, selon Patrick Bernard qui le guide dans cette spirale infernale. « Je voulais des liens de sang avec Audrey et Lætitia et je voulais ma famille. »Plus tôt dans la matinée, le témoignage de Jonathan, beau-fils de Patrick Bernard confirmera la violence que faisait régner le père. Violence insidieuse et redoutable issue de ce cercle sectaire. Mais aussi violences physiques dont sera victime le jeune garçon à plusieurs reprises.

Les faits débuteront pour Lætitia en 1994 alors qu'elle a 11 ans par un premier baiser sur la bouche imposé. Un an plus tard, elle assiste aux ébats de ses parents. 1996 commence le calvaire des rapports forcés, parfois à trois - une dizaine de fois selon la mère - puis quasi quotidien avec Patrick Bernard.
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http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=29738

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le couple Bernard a 55 aujourd'hui. il y a donc compatibilité entre les deux, qui vont avoir leurs périodes critiques toujours en même temps.
le début des faits remonte à 1994/1996 avec l'arrivée de la période critique septennale des 42 ans pour les deux personnes.

les faits de viols, inceste, pédophilie "démarrent" très souvent avec l'arrivée d'une période critique septennale en raison des pulsions et des transformations qui y sont liées.

face cachée...

sur-ouest.com :
ASSISES DE LA DORDOGNE. Thierry Caballero est jugé pour des viols et tentatives, en 2007, en Bergeracois

Une face cachée ?

Un visage poupin, des cheveux blonds coupés en brosse, chemise blanche, et veste noire à col mao. Thierry Caballero ressemble à n'importe quel homme de 29 ans. « Calme », « poli », « timide » disent même les témoins. Pourtant, depuis hier, ce mécanicien de Saint-Georges-de-Blancaneix comparait devant la cour d'assises de la Dordogne pour les viols et tentatives de viols de quatre femmes âgées de 17 ans à 64 ans, en juin et juillet 2007.

Toutes les quatre sont présentes au procès pour entendre et peut-être comprendre comment un homme sans histoire, père de deux enfants, peut du jour au lendemain devenir un « violeur en série », agissant toujours selon le même mode opératoire.

Il circule en scooter et prétexte une panne sur son véhicule. Il sonne à la porte et réclame un tournevis pour effectuer une réparation. Il revient, demande s'il peut se laver les mains ou téléphoner et c'est là qu'il attaque ses victimes, avec un couteau pour trois d'entre elles. La première, le 4 juin 2007 à Pineuilh (33). Une jeune fille de 17 ans qu'il viole. Puis, un mois plus tard, le 4 juillet 2007, à Bergerac, il tente d'abuser d'une femme de 47 ans. Le 16 juillet 2007, nouvelle tentative à Cours-de-Pile avec une jeune femme de 26 ans et enfin le 18 juillet à Varennes, il viole une dame de 64 ans.

Dès son arrestation et hier encore à l'audience, Thierry Caballero a reconnu être l'auteur de ces crimes commis « parce qu'il avait envie d'une relation sexuelle ». Ces victimes étaient choisies au hasard. Il tentait sa chance pour voir si elles étaient seules. Si quatre victimes sont connues, il avoue une quinzaine de visites qui n'ont pas abouti.

Selon le rapport de l'expert psychiatrique, « c'est le scénario qui a fonction de fétiche mais pas la femme violée ».

« Comme si de rien n'était »

Hier après-midi, experts et témoins ont parlé de la personnalité de l'accusé qui semble en totale contradiction avec ses actes. Enfance classique, parents séparés, études moyennes et pas de difficultés à avoir des petites amies. Tous parlent d'un garçon « gentil, réservé, serviable mais influençable ». Des accès de violence et des altercations avec des automobilistes émaillent son casier judiciaire.

C'est la dégradation de ses relations avec sa dernière compagne, qui aurait refusé tout rapport sexuel après la naissance de leur fille, qui aurait engendré son mal-être. « Je ne comprends pas ces gestes-là, ce n'était pas le Thierry qu'on connaît », confie sa mère. Pour sa marraine « ça allait tellement mal dans son couple qu'il a dû vouloir s'affirmer autrement ».

Plus inquiétant, le témoignage d'une de ses amies de jeunesse : « Il est venu à la maison deux jours après l'agression de Pineuilh. Il a pris de mes nouvelles, comme si de rien n'était. »

Ce « déni de la réalité des faits », c'est bien ce qui préoccupait l'experte psychologue lors de sa rencontre avec l'accusé en prison, parlant d'un homme « loin de la réalité concernant les faits, n'éprouvant aucune culpabilité, incapable de contrôler ses pulsions ». S'il est décrit comme une personnalité fragile, aucune pathologie n'explique son comportement. « Peut-être qu'il a une face cachée ? », se hasarde l'experte.

Depuis son arrestation, Thierry Caballero a rédigé des lettres d'excuses aux victimes mais hier il n'a pas eu de mots pour elles. Tentant un début d'explication, il a prononcé cette phrase terrible pour les parties civiles : « Ce n'est qu'à la quatrième fois que je me suis rendu compte que c'était grave. »

Les débats reprennent ce matin.


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ici la face cachée que l'on cherche est peut-être l'entrée dans la période critique septennale des 28 ans (27 ans et demi environ)...
on pourrait encore vérifier d'autres choses : agressions de préférence le lundi = natif du lundi ? (jour critique émotionnel est jour de pulsions)
accès de violence et altercations au casier judiciaire... quel jour (jour critique émotionnel ?)

activateur

Un délégué syndical se suicide dans la Vienne
NOUVELOBS.COM | 25.03.2009 | 08:53
L'employé de l'usine de porcelaine Deshoulières SA à Chauvigny a laissé une lettre expliquant que la pression professionnelle était trop importante.

Un délégué syndical de l'usine de porcelaine Deshoulières SA à Chauvigny (Vienne) s'est donné la mort mardi après avoir laissé une lettre dans laquelle il explique son geste, a-t-on appris, mercredi 25 mars, de sources syndicales.
Le corps de Philippe Widdershoven, âgé de 56 ans, demeurant à Morthemer (Vienne) a été retrouvé mardi dans l'étang de la commune par trois pêcheurs.
Selon les premiers éléments de l'enquête confiée à la gendarmerie de Chauvigny, il s'agit d'un suicide par noyade. Les enquêteurs ont trouvé la photocopie d'une lettre écrite par la victime sur le bureau du local syndical de l'entreprise.
Dans cette lettre, Philippe Widdershoven a expliqué son geste par la pression professionnelle trop importante. Il a demandé pardon à sa famille et demandé que son suicide soit considéré comme un accident du travail, toujours de même source.

"Consternés"
L'homme avait commencé sa carrière en 1979 comme chronométreur sur les chaînes puis avait gravi les échelons pour devenir directeur informatique du groupe. Il était marié et père d'une fille.
"Nous sommes consternés. Philippe Widdershoven occupait un poste important dans l'entreprise. Toutes nos pensées vont vers sa famille, ses proches", a indiqué la direction qui a rencontré mardi après-midi les représentants du personnel.
L'usine emploie 130 salariés et avait licencié 84 personnes en décembre dans le cadre d'une restructuration. La manufacture de porcelaine Deshoulières était passée sous le contrôle du porcelainier russe Lomonosov en 2003.

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l'arrivée d'une période critique septennale ou le séjour dans cette période (ici celle de 56 ans) peut constituer un "activateur" de dépression ou d'envie de suicide... nous entrons alors dans une période lors de laquelle nous chaussons des lunettes noires : cette période est "à durée limitée" de sorte qu'en la prenant en compte on pourrait à mon avis éviter certains suicides... ces périodes et leurs effets sur le psychisme sont en effet connus à l'avance, puisqu'il s'agit d'un cycle qui fonctionne à la manière d'un calendrier...
le patron Joël Gamelin a lui aussi été victime de l'arrivée de sa période critique septennale des 56 ans...
le jour critique émotionnel est également un déclencheur et il ne m'étonnerait pas que Philippe Widdershoven soit un natif du mardi : le jour critique émotionnel est un jour de passage à l'acte en cas de désespoir. cela aussi, si on en tient compte, permet de parer aux actes désespérés.

visions et coup de folie

Elle tue sa mère à grands coups de crucifix

Lourdes. C'est sur fond de mysticisme et de démence que s'est noué ce drame, lundi, dans un petit appartement de la rue de l'église.

« J'ai eu des visions dans un rêve. J'ai vu que j'étais le diable, que j'étais le mal et que je devais en faire », voilà ce qu'aurait déclaré à la police élisabeth F., 34 ans, peu après avoir tué sa mère, Thérèse D., 81 ans, dans la nuit de dimanche à lundi.

http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=4251&hl=

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quand je vois qu'il est question de visions je cherche et je trouve très souvent la période critique septennale (ici celle des 35 ans et probablement l'entrée à 34 ans et demi ou pas loin) mais aussi le jour critique émotionnel (date de naissance ?) ce sont deux "déclencheurs" de visions... et dans certains cas exceptionnels heureusement, de coups de folie comme celui-ci...

édit 27/03 :
(trouvé sur SKCenter)
Lannemezan. La tueuse au crucifix retrouvée morte


Après avoir tué sa mère à Lourdes, Élizabeth F. est découverte sans vie au pied de son lit à l'hôpital psychiatrique.

Élizabeth F., 34 ans, est décédée hier, à l'hôpital psychiatrique de Lannemezan. Pour l'instant, rien n'explique cette mort. Photo Raymond Springinsfeld.Toute action en justice est désormais éteinte : le corps sans vie d'Élizabeth F. a été découvert, hier, à 10 h 30, à côté de son lit d'hôpital.

« On ne peut rien dire pour l'instant, pour la bonne raison qu'on ne sait rien du tout », expliquait, hier après-midi, le procureur de la République Gérard Aldigé, qui confirme la mort de la jeune femme. Dans la nuit de lundi dernier, Élizabeth, 34 ans, avait tué sa mère à Lourdes, dans un accès de rage et de violence hors du commun. La vieille dame de 81 ans avait succombé sous les coups de lampe de chevet, de latte de lit et probablement d'un crucifix (voir nos précédentes éditions). Aussitôt après le drame, le procureur avait évoqué la possibilité d'une maladie mentale. À tout le moins d'un comportement très altéré. Élizabeth, vu son état psychique, avait été admise à l'hôpital psychiatrique de Lannemezan, pour y suivre des soins appropriés.

D'après nos informations, la jeune femme aurait été déjà placée en hôpital psychiatrique par le passé au moins une fois.

Depuis qu'elle était entrée à Lannemezan, Élizabeth recevait un traitement, son traitement habituel, sans doute un peu modifié. Hier matin, ce traitement lui a été administré de façon normale et la jeune femme n'était pas plus agitée qu'à l'accoutumée. Elle avait été placée dans une chambre seule. Deux heures plus tard, à 10 h 30, le personnel soignant découvrait Élizabeth, étendue morte à côté de son lit. Aucune trace sur le corps et rien qui puisse donner une explication : « Nous ne savons rien sur les causes de cette mort, poursuivait Gérard Aldigé. Nous ne privilégions rien. C'est la raison pour laquelle j'ai demandé qu'une autopsie soit pratiquée par le docteur Michel Disteldorf. Il y aura également des analyses toxicologiques qui seront faites ».

Pour le moment, rien ne peut faire penser à un suicide, mais rien non plus n'empêche les enquêteurs d'y penser. Le décès peut très bien avoir une cause organique simple, comme une crise cardiaque par exemple. Les résultats de l'autopsie ne seront pas connus avant lundi après-midi.

Source : La Dépêche

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situation biorythmique le jour du décès ?

mardi 24 mars 2009

suicide

trouvé en feuilletant un ancien téléobs :



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bizarre histoire d'enlèvements... la thèse officielle de la mort peut effectivement coller avec la période critique septennale des 28 ans qui est une période favorable à la dépression et au suicide...

drame

canadian press :
Louise Desnoyers plaiderait coupable du meurtre de son fils au Vermont


NORTH HERO, Vermont — Louise Desnoyers, accusée d'avoir noyé son fils de huit ans en 2006 au lac Champlain, s'apprêterait à plaider coupable lundi prochain devant un tribunal du Vermont.

Mme Desnoyers a d'abord plaidé non coupable en raison de son état psychologique pour le meurtre de Nicholas Desnoyers-Langlois. En octobre dernier, un juge de l'Etat du Vermont l'a jugée apte mentalement à subir son procès.

L'avocat qui la conseille au Québec, maître Jean-Pierre Rancourt, s'attend à ce qu'elle enregistre la semaine prochaine un plaidoyer de culpabilité de meurtre au deuxième degré au palais de justice du comté de Grand Isle. Si elle avait subi un procès, elle risquait d'être reconnue coupable de meurtre au premier degré, ce qui aurait entraîné une sentence minimale de 30 ans de pénitencier. En plaidant coupable, elle risque une sentence variant entre sept et dix ans de prison ferme.

Son fils a été noyé près de l'Isle La Motte sur le lac Champlain. Son corps a été attaché à une bouée de bateau. Mme Desnoyers s'est gravement blessée lorsqu'elle a tenté de se suicider. La police et les procureurs affirmaient qu'elle était perdue à la suite de sa rupture avec le père du jeune noyé.

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drame septennal : la personne était âgée de 48 ans à l'époque et, semble-t-il, empêtrée dans des problèmes conjugaux...
en période critique septennale on est différent, on n'a pas les mêmes critères de discernement : il survient des pulsions alors que parallèlement on est moins inhibé et cela peut donner des catastrophes...

étranglés...

rtl.infos.be :
Frasnes-lez-Anvaing:
Sans enfant, ce couple de personnes handicapées avait l'habitude de recevoir des gens chez eux. Ils recevaient régulièrement des personnes ayant besoin d'argent ou d'une aide quelconque. Deux des trois femmes soupçonnées seraient en aveux et n'éprouveraient aucun remord. Toutes les trois, des Renaisiennes, ont été arrêtées ce lundi soir. Il s’agirait de connaissances du couple, qui auraient quitté les lieux du crime en vélomoteur.

Elles auraient donné au couple un gâteau contenant une importante dose de narcotique pour les droguer avant de les étrangler. Leur forfait accompli, les trois femmes sont reparties, à bord de deux vélomoteurs, avec l'argent du couple. Des voisins ont vu les trois femmes quitter la maison.

Afin de faciliter le vol qu'elles entendaient commettre, les trois femmes ont cuisiné un gâteau nappé d'une sauce hypnotique. Le trio est arrivé sur les lieux du drame sur 2 cyclomoteurs, qui ont été repérés par des voisins. Sur place, elles ont offert le gâteau, le café, puis fait la vaisselle. Assez rapidement, Daniel Beache, âgé de 73 ans, s'est endormi. La substance hypnotique faisant moins d'effet sur Mechtilde Plume, un des femmes lui a placé la tête dans un sac en plastique, puis l'a étranglée. "Cette dame de 78 ans a été étranglée soit avec les anses du sac en plastique, soit avec une ceinture. Son mari a également été étranglé. Le trio a ensuite fouillé l'habitation afin de mettre la main sur de l'argent. Selon la femme de ménage, il n'y avait que quelques centaines d'euros dans une cache au rez-de-chaussée. Le trio a ensuite remis la maison en ordre, puis a pris la fuite.



Condamnée en 2000 à 25 ans de prison et libérée en 2007

Isabelle Dhert, âgée de 33 ans, nie toute implication. Elle nie même être venue sur les lieux. Elle a déjà été condamnée en 2000 par la Cour d'assises de Gand à 25 ans de réclusion pour meurtre. Elle avait étranglé son ancienne compagne. Isabelle Dhert a été libérée sous conditions en 2007", a expliqué mardi le 1er substitut du procureur du roi de Tournai Jean-Bernard Cambier. Isabelle Dhert a été placée mardi sous mandat d'arrêt du chef de vol avec meurtre pour faciliter ce vol.

Mélissa Fruit, âgée de 28 ans, et Jacqueline Dhert, âgée de 55 ans, doivent encore être entendues par la magistrate instructrice. Selon le parquet de Tournai, Jacqueline Dhert connaissait les victimes et avait déjà fait appel à leurs services.
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on verra si l'on trouve des explications à ce scénario hallucinant d'horreur et de bêtise...
toujours est-il que je retrouve deux périodes critiques septennales : celle de 28 ans et celle de 56 ans...

Michael Peterson

SKCenter :
Au milieu de la nuit de 9 décembre 2001, Michael Peterson appelle les services d’urgence de Durham, en Caroline du Nord, pour signaler qu’il vient de trouver sa femme inconsciente au bas de l’escalier. Il leur précise qu’elle respire très faiblement et qu’elle a dû tomber. Mais lorsque la police découvre la mare de sang répandue autour du corps de la victime ainsi que les blessures qui lacèrent son crâne, la conclusion est immédiate : c’est un crime. Et Michael Peterson en devient le principal suspect. Une semaine plus tard, il est mis en examen pour l’assassinat de sa femme et prend l’un des meilleurs avocats de Caroline du Nord pour conseil: David Rudolf. Malgré les apparences qui l’accablent, ses enfants le soutiennent pleinement, et il clame vigoureusement son innocence.

Quelques mois après la mort de Kathleen, sa fille Caitlin change d'avis et prend publiquement position contre son beau-père Michael. Sa volte face s'explique d'abord par la découverte d'une face cachée de la vie de Michael : la police a découvert dans son ordinateur des preuves d'une vie sexuelle peu orthodoxe. Michael Peterson est bisexuel. Il voyait, de temps en temps, des jeunes hommes qu'il payait. Rien dans les éléments récoltés par la police n'indique que cela a une relation quelconque avec la mort de Kathleen, mais pour le procureur, Jim Hardin, le mobile du crime devient clair : Kathleen a appris ce soir-là les secrets de son mari, l'a menacé de le quitter, une dispute s'en est suivie. Et il l'a tuée.

Dans les semaines qui suivent la mort de Kathleen, l'accusation fait une découverte qui ne fait que renforcer ses convictions : en 1985, une très proche amie de Michael Peterson, Elisabeth Ratliff, a été retrouvée morte au bas d'un escalier et Michael Peterson est supposé être la dernière personne à l'avoir vue vivante. Cela se passait en Allemagne, lorsque Michael Peterson et sa première femme Patti y vivaient. Pour la police l'adage " il n'y a pas de coïncidence en criminologie " est plus que jamais d'actualité : Michael Peterson est " un tueur en série de l'escalier ".
Alors que la police allemande et l'autopsie avaient clairement conclu à une mort accidentelle, le procureur, Jim Hardin, décide d'exhumer le corps d'Elisabeth Ratliff enterrée au Texas et de le transporter en Caroline du Nord afin de pratiquer une nouvelle autopsie.
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http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=4245&st=0&#entry18583

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Michael Peterson est né le samedi 23/10/1943
Kathleen est née le samedi 21/02/1953 et décédée le 9/12/2001 dans la nuit.

Michael a 58 ans et 1 mois et se trouve en situation E9 samedi et E10 dimanche. donc pratiquement neutre pour période et jours. sauf si l'on tient compte d'un cycle physique sextennal les années 58/59 sont critiques.
Kathleen à 48 ans et 9 mois vient d'entrer dans sa période critique septennale des 49 ans. (à 48 ans et demi) situation neutre pour le jour.

pour Elisabeth Ratliff je n'ai pas trouvé la date de naissance mais née en 1942 et morte le 25/11/1985 (43 ans dont pas loin de sa période critique septennale dont elle vient de sortir).
le 25/11/1985 pour Michael c'est : 42 ans et un mois donc pleine période critique septennale.
jour neutre.

en fait il manque le jour critique émotionnel qui est souvent le déclencheur d'un conflit, d'une dispute. sinon il y a la période critique septennale de Kathleen qui pourrait être un équivalent. je ne dispose pas de suffisamment de données pour ce qui est des "années critiques physiques" (Michael) au moment du drame de Elisabeth Ratliff, c'est Michael qui se trouvait en période critique septennale...

natalie wood

wikipédia :
Natalie Wood, née Natalia Nikolaevna Zakharenko, aussi connue sous le nom de Natasha Gurdin, est une actrice américaine, née le 20 juillet 1938 à San Francisco (Californie) et décédée le 29 novembre 1981 près de l'île Santa Catalina, toujours en Californie, à la suite d'une noyade.
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Une mort étrange
(Cet article ou cette section est sujet à caution car il ne cite pas suffisamment ses sources. (septembre 2008)

Les circonstances de sa mort demeurent floues. En marge du tournage de Brainstorm, Wood était sur le yacht Splendor avec Robert Wagner, l'acteur Christopher Walken et le capitaine du bateau mais les témoignages ne concordèrent pas sur tous les points. Certains témoins l'auraient entendu appeler à l'aide après être tombée dans l'eau, mais Wagner et Walken affirmèrent le contraire. Officiellement, sa mort fut déclarée accidentelle mais les résultats de l'autopsie n'allaient pas dans ce sens avec la découverte de marques suspectes et de substances toxiques dans son corps. Elle se serait droguée ou aurait bu de l'alcool par dépit et serait tombée dans l'eau ou s'y serait jetée à cause de ces substances.

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Natalie Wood est en jour et période neutre : donc bizarre qu'elle se soit "droguée" ou soit tombée par dessus bord... mais bon... (pas loin de sa période critique des 42 ans toutefois)
Walken est aussi en période neutre...
Wagner ne l'est pas : il se trouve à la veille de son jour critique émotionnel E22... du coup il me vient un doute...
il semblerait cependant que tout le monde était pas mal alcoolisé de sorte qu'on ne saura probablement jamais ce qui s'est passé...

isabelle adjani

wikipédia :
Isabelle Yasmine Adjani, née le 27 juin 1955 à Paris, est une actrice française. Débutant à 14 ans au théâtre, puis entrant à la Comédie-Française, elle devient très célèbre à la fin des années 1970 grâce au cinéma où elle s'impose comme une héroïne fragile, perturbée ou mystérieuse dans des genres divers: polars, films dramatiques, comédies et films à costume.
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En 1996, fatiguée, elle quitte la capitale française et s'établit en Suisse, à Genève.
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là aussi on peut lire certains épisodes septennaux :
débuts à 14 ans, départ, "fatiguée" en 1996 (période critique septennale des 42 ans).

pédophilie

3ème oeil :
Un prêtre a violé son neveu pendant dix ans

" Un prêtre franciscain belge âgé de 46 ans, qui a reconnu avoir violé son neveu entre 1997 et 2006, est jugé depuis lundi et jusqu'à mercredi devant la cour d'assises du Rhône.

L'accusé, Yves Soudan, ordonné prêtre en 1992, s'était dénoncé dans une lettre au procureur de la République de Lyon en juin 2006, après que la victime a avoué les faits à ses parents, et avait été placé sous mandat de dépot.

Son neveu, âgé de 8 ans lors des premiers attouchements, s'est porté partie civile ainsi que ses parents. Les débats se déroulent à huis clos à leur demande, même si trois membres de la famille ont été autorisés à assister au procès.
Déjà condamné en mai 2003 à Rennes pour agressions sexuelles à un an de prison dont 9 mois avec sursis, le prêtre a tenté de minimiser les faits lors de l'instruction, évoquant la passivité de son neveu.

Celui-ci a reconnu que son oncle ne l'avait jamais frappé, expliquant aux enquêteurs qu'il "avait trop peur et trop honte, qu'il était sous son emprise, qu'il en faisait des cauchemars et qu'il pleurait".
Les faits se sont produits lors de vacances familiales, pendant un pèlerinage sur les chemins de Compostelle et chez la grand mère de la victime, qui avait alors entre 8 et 17 ans."

Source : AFP (24 mars 2009)

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jalonnement septennal ?
ordonné prête en période critique septennale des 28 ans, premiers viols en 1997 (période critique septennale des 35 ans).

meurtre

librairie 3ème oeil :
Le meutrier présumé de Colette Clément placé en détention

" Interpellé mercredi dernier à Thivars par les gendarmes de Lucé, Guy Baudrillard, 55 ans, a été mis en examen pour « homicide volontaire » par la juge d'instruction. Pour l'heure, il ne reconnaît pas les faits.

Samedi matin, Guy Baudrillard, 55 ans, a passé sa première nuit derrière les barreaux. Interpellé mercredi dernier, le meurtrier présumé de Colette Clément avait dans un premier temps été placé en garde à vue. À l'issue de celle-ci, prolongée de 24 heures, il a été présenté à la juge d'instruction Anne-Sophie Jarnevic qui lui a signifié sa mise en examen pour « homicide volontaire ». Le parquet a sollicité sa mise en détention.
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période critique septennale des 56 ans ? jour critique émotionnel ?

Mélissa

wikipédia :
Mélissa Theuriau, est une journaliste française née le 18 juillet 1978 à Échirolles, dans la banlieue sud de Grenoble.
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En mai 2006, elle crée la surprise en refusant une proposition de TF1 pour être le « joker » de Claire Chazal, ce qui ne correspondait pas à ses attentes.

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elle est entrée en janvier 2006 dans la période critique septennale des 28 ans.
les périodes septennales sont souvent périodes de "bifurcations" et de grandes décisions.

Louise Michel

wikipédia :
Louise Michel, née le 29 mai 1830 à Vroncourt-la-Côte (Haute-Marne) et morte le 9 janvier 1905 à Marseille, alias Enjolras, est une militante anarchiste et l’une des figures majeures de la Commune de Paris. Première à arborer le drapeau noir, elle popularise celui-ci au sein du mouvement anarchiste.
...
Louise a quarante ans quand éclate la Commune de Paris ; elle y sera très active. Selon une anecdote fameuse, le 22 janvier 1871, en habit de garde nationale, elle fait feu sur l'Hôtel-de-Ville. Propagandiste, garde au 61e bataillon de Montmartre, ambulancière, et combattante, elle anime aussi le Club de la Révolution à l'église Saint-Bernard de la Chapelle. Les 17 et 18 mars, elle participe activement à l'affaire des canons de la garde nationale sur la butte Montmartre............
Entre 1871 et 1873, elle passe vingt mois en détention à l'Abbaye d'Auberive (transformée en prison) et se voit condamnée à la déportation. C’est le temps où la presse versaillaise la nomme la Louve avide de sang ou la Bonne Louise.
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1871 est le début de la période critique septennale des 42 ans.
le 22 janvier 1871 est un lendemain de jour critique émotionnel E8, alors que le 18 mars... est un jour critique émotionnel E8. cela peut cependant être lié au fait que Louise Michel est une native du samedi alors que les événements ont souvent lieu le WE... ?

Jamel

wikipédia :
Jamel Debbouze, né le 18 juin 1975 à Paris, est un humoriste, acteur, producteur, producteur exécutif français d'origine marocaine.
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Le 17 janvier 1990, alors qu'il traverse les voies à la gare de Trappes, Jamel est happé par le train Paris-Nantes lancé à 150 km/h. Il perd l'usage de son bras droit à la suite de cet accident, au cours duquel un autre jeune homme, Jean-Paul Admette, trouve la mort. Jamel Debbouze a été poursuivi pour homicide involontaire suite à la mort du jeune homme et a obtenu un non-lieu par manque de preuves.

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jour critique émotionnel E8 et période critique septennale des 14 ans (il a alors 14 ans et 7 mois), pour Jamel Debouze ce jour là...
(noter toutefois que l'accident est arrivé apparement le soir aux alentours de 20H : on sort du jour critique émotionnel le jour même à 18H, en principe)
je n'ai pas trouvé la date de naissance de Jean-Paul Admette : il aurait été intéressant de comparer.

lundi 23 mars 2009

Loïc Sécher

SKCenter :

Nouvel espoir pour Loïc Sécher

la suspension de peine pour Loïc Sécher, en délibéré

Lundi 16 mars à Paris, la commission de révision des condamnations pénales examinait une nouvelle fois la demande de suspension de peine présentée à la mi-février par Corinne Le Saint, la nouvelle avocate de Loïc Sécher. La commission donnera sa position au terme d’un nouveau délibéré, le lundi 23 mars.

Originaire de La Chapelle-Saint-Sauveur (Loire-Atlantique), Loïc Sécher purge actuellement et depuis 2003, une peine de prison à Nantes pour viols sur mineure. Il a toujours clamé son innocence et son accusatrice s’est rétractée au printemps 2008
« Une expertise a conclu à la crédibilité des propos de la victime, ce qui veut dire qu'elle s'est rétractée en connaissance de cause »,
positive Jean-Pierre Chesné, membre du comité de soutien à l'ouvrier agricole de la Chapelle-Saint-Sauveur, près d'Ancenis. En cas de libération, Loïc Sécher pourrait être hébergé chez des amis, en Savoie.


RAPPEL DES FAITS

En prison pour viol, son accusatrice se rétracte

Loïc Sécher, condamné à seize ans de prison en 2003, est incarcéré à Nantes. La jeune fille qui l'accusait de viol dit, aujourd'hui, avoir menti.
- En décembre 2003, la cour d'assises de Loire-Atlantique condamnait Loïc Sécher à seize ans de réclusion criminelle pour viols, tentatives de viol et agressions sexuelles sur mineure. Un verdict confirmé en appel par la cour d'assises d'Ille-et-Vilaine, en 2004, puis par la Cour de cassation en 2005.

Âgé de 47 ans, l'homme purge sa peine à Nantes. Il a déjà passé six années derrière les barreaux. Aujourd'hui, un élément nouveau pourrait permettre de rouvrir son dossier. La jeune femme qui l'accusait le dit innocent.

Ni tests ADN, ni confrontation

L'affaire débute en 2000, à La Chapelle-Saint-Sauveur, un village de 700 habitants, en Loire-Atlantique. Une adolescente, âgée de 14 ans, accuse Loïc Sécher de viols, tentatives de viol et agressions sexuelles répétées. L'homme, célibataire, habite son quartier et connaît sa famille. La jeune fille est fragile psychologiquement, mais jugée crédible par trois experts psychiatres au cours de l'instruction.

Fils d'agriculteur, ouvrier arboricole, puis employé dans un golf, avant de se retrouver au chômage, Loïc Sécher, sans antécédent judiciaire, clame son innocence. Aucun test ADN n'est pratiqué, aucune confrontation n'a lieu. Sur la foi des déclarations de la jeune fille et de rapports médicaux indiquant qu'elle a subi des violences, il est condamné. « Au début, il en voulait à la terre entière. Puis, converti à l'Islam, il disait qu'Allah jugerait les siens, mais que lui n'avouerait jamais un crime qu'il n'avait pas commis », se souvient Maurice Thareau, membre du comité de soutien Justice et Vérité, qui compte 200 membres et aide Loïc Sécher depuis 2006.

Demande de révision

En avril dernier, la jeune femme, âgée maintenant de 22 ans et hospitalisée pour ses difficultés psychologiques, revient sur ses déclarations. D'abord en privé, puis devant les gendarmes, qui l'ont entendue début juillet. Elle n'explique pas son revirement ni ce qui se serait passé à l'époque. Mais, cette fois encore, elle est jugée crédible par les spécialistes. « Elle a le courage de dire que Loïc Sécher est innocent, salue son avocate, Me Cécile de Oliveira. On espère qu'il pourra être rejugé. »

C'est, bien sûr, aussi l'objectif de Me Yann Choucq, l'avocat du condamné. Il déposera, cette semaine, une requête en révision du procès ainsi qu'une demande de suspension de peine auprès de la Cour de cassation.

Pour Cécile de Oliveira, il faut s'interroger sur les débuts de l'enquête, sur « le recueil initial de la parole de l'adolescente qui s'est ensuite murée dans le mutisme ». Yann Choucq dénonce, lui, « un tel conditionnement de la société dans le compassionnel qu'il faut un coupable ! »

S'il est blanchi, Loïc Sécher demandera réparation pour ses années de prison. D'après son avocat, il n'en veut pas à la jeune fille. « Il dit qu'elle souffre et n'est pas forcément responsable de son malheur. »

Source : Ouest France juillet 2008

BLOG AFFAIRE LOIC SECHER
http://affaireloicsecher.over-blog.com/

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aux dernières nouvelles Loïc Sécher reste en prison : délibéré de la Commission de Révision des Peines.

en regardant les détails et données de plus près on pourrait certainement trouver là aussi des choses intéressantes car on ne contruit pas ce scénario à l'encontre de ses pulsions...
on peut voir si les dates des soi-disant viols correspondent à une situation en jour critique émotionnel ou physique pour Loïc Sécher, ou encore période critique septennale... (pas le cas il semble) ou en jour critique émotionnel pour la jeune fille... (on fantasme ce jour là de préférence ; on fantasme aussi en période critique septennale : nous y sommes pour les 14 ans de l'adolescente, mais on est aussi pris de remords à l'occasion de cette période de "prise de conscience" et là aussi je pense que nous y sommes, en période critique de 21 ans... cela peut d'ailleurs expliquer le silence de sept années... d'une période critique à la suivante...
jour de l'accusation par la jeune fille (verbale ou écrite) ? (jour critique émotionnel) jour des aveux de mensonge, également... idem...
l'ensemble du parcours psychiatrique laisse certainement apparaître les "points sensibles" de la jeune fille (toujours jour critique émotionnel, de préférence, mais aussi jour critique physique, moins souvent... etc...

empoisonneur

Librairie 3ème oeil :
Le vigneron servait de l’arsenic à son épouse
" Un exploitant de vin de Chablis a été mis en examen et interdit de séjour dans son département pour avoir tenté d’empoisonner son épouse avec de l’arsenic.

En rêvait-il tellement de ce domaine de 43 ha riche d’un vignoble réputé de premiers crus de vins de Chablis ? Mais cette propriété appartenait à son épouse, Josyane, 48 ans, qui la tenait de son père, l’infatigable créateur du domaine de Oliveira, plusieurs fois récompensé pour la qualité de ses vins. Jacky Chatelain, 51 ans, l’ex-mari de Josyane, est aujourd’hui soupçonné d’avoir empoisonné sa femme pendant plusieurs mois entre 2004 et 2005 avec des cristaux d’arsenic provenant d’un insecticide agricole, le Pyral. L’époux avait à l’époque une relation adultère. En cas de décès de sa femme, Jacky prenait le contrôle du domaine. Il a été arrêté par la police judiciaire d’Auxerre et a avoué. Trois fois par semaine, il versait une dose de poison dans le repas du soir. Il a été mis en examen pour « tentavive d’empoisonnement », mais laissé libre sous contrôle judiciaire avec interdiction de séjour dans le département.

« Il voulait la rendre dépendante de lui »

Au retour des vacances d’été en 2004 dans le Var, Josyane Chatelain se plaint de nausées violentes. Elle perd du poids, ses ongles tombent, ses cheveux disparaissent par poignées. L’une de ses soeurs lui conseille de consulter dans un hôpital parisien. En décembre 2004, cette fille de vigneron est opérée d’une tumeur à l’intestin. Le chirurgien, étonné par ces lésions, la dirige vers le centre antipoison Fernand-Widal à Paris. Là, des spécialistes diagnostiquent un empoisonnement à l’arsenic. Les médecins signalent les faits au procureur d’Auxerre. Une première enquête permet de découvrir sur l’exploitation de Oliveira un produit à base d’arsenic servant à tuer un parasite de la vigne. Les services sanitaires testent les personnels et la famille, tous indemnes, seule la mère est malade. L’enquête en restera pourtant là.

Mais Josyane va de plus en plus mal. Les nausées reprennent dès son retour de l’hôpital en janvier 2005. Toutefois, malgré des troubles neurologiques et des paralysies partielles, Josyane survit. Elle ne recouvre la santé qu’en 2006, lorsque Jacky et elle divorcent. Une séparation qui met un terme à ce qui avait été il y a plus de trente ans un vrai mariage d’amour. Jacky, originaire du village voisin de Poinchy, ancien mécanicien, était tombé très amoureux de la fille de vigneron. Rétablie, Josyane reprend vie, mais son empoisonnement reste inexpliqué.

En septembre, la nomination d’une nouvelle juge d’instruction accélère l’enquête, confiée désormais à la police judiciaire. Entre-temps, un rapport d’un expert toxicologue, Didier Gosset, établit que cette femme a bien « été victime d’une intoxication chronique arsenicale à épisode suraigu ». Début mars, la PJ arrêtait l’ex-mari à Cavalaire (Var), où il réside depuis la séparation. Il a expliqué aux enquêteurs qu’il « ne voulait pas tuer son ex-épouse » mais « la rendre dépendante de lui ». Il a tenté de justifier son acte en disant qu’il avait fait « cela par amour », se sentant délaissé et qu’il voulait qu’elle « s’occupe de lui ». « Josyane de Oliveira est aujourd’hui sauvée. Mais elle a eu bien du mal à croire que son mari l’empoisonnait. Elle a même culpabilisé, se croyant responsable de ce qui lui était arrivé », analyse M e Alain Thuault. Jacky Chatelain risque trente ans de réclusion. « Un homme désespéré », selon son avocat, M e Bernard Revest."

Un article de Jean-Marc Ducos.



Source : LE PARISIEN (23 mars 2009

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il faudrait pouvoir vérifier plus précisément les dates, mais "ce qu'on a du mal à croire" peut arriver durant cet état particulier qu'est la période critique septennale d'une personne : ici peut-être celle des 49 ans... ?

meurtre

SKCenter :


Procès du meurtrier présumé d'Elisabeth Stibling : morte au service des autres

Le drame avait causé un très vif émoi. Du 31 mars au 3 avril prochain au palais de justice de Privas se tiendra le procès en assises de Christian Lopez. L'homme est accusé du meurtre d'Elisabeth Stibling. Cette infirmière libérale est morte étranglée au soir du 23 décembre 2006. Au moment de son arrestation comme lors de la reconstitution, Christian Lopez dit avoir appelé la victime ce soir-là parce qu'il « voulait parler à quelqu'un ». Âgé de 39 ans au moment des faits, il était sous tutelle renforcée.

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passage à l'acte son jour critique émotionnel ?
le 23/12/2006 est un samedi mais comme le crime a été commis le soir c'est dimanche qui est à prendre en compte.

tranquilles...

SKCenter :
Affaire Émile Créteur : un crime barbare qui ne sera jamais jugé


Un homme de 27 ans révèle que sa mère et son amant ont tué ce retraité de Villeneuve-d'Ascq quinze ans plus tôt. Mais le crime a été prescrit. Plus désagréable encore :

Émile Créteur n'a toujours pas de sépulture.

« Assassiné, enterré et oublié du monde depuis quinze ans », titrait La Voix du Nord du 19 novembre 2005. L'article promettait un débat intéressant autour de la prescription : le droit prévoit que si un crime n'est pas élucidé au bout de dix ans, son auteur est quitte.

Le débat a bien eu lieu, entre les magistrats, dans le huis-clos de leurs cabinets. Le 19 mars 2007, un non-lieu a été rendu. Fred* et Suzanne* ne devront jamais rendre de comptes à la justice.
Printemps 1990, à Villeneuve-d'Ascq. Ils squattent chez Émile Créteur, 64 ans, au 4e étage de la tour des Pins. Le retraité leur demande de partir. Ses « hôtes » le séquestrent pendant une semaine, sans lui donner à manger, ni à boire. Sans avoir vraiment le courage de le tuer non plus. Le calvaire d'Émile dure huit jours. La mort le délivre.

Pour faire disparaître le corps, Fred et Suzanne ont eu du mal. Entre la pioche qui casse parce que la terre est trop dure, dans la carrière de Lesquin où ils voulaient enterrer le cadavre. Et ce dernier qui ne brûle pas comme il faut quand on l'asperge d'essence. Et qu'il a fallu découper à la scie, avant de l'enterrer finalement en contrebas de l'autoroute A1, à Ronchin.
Jonathan, le fils de Suzanne, a tout raconté aux policiers au printemps 2005. Il n'en pouvait plus d'avoir ça sur la conscience. Il avait douze ans lorsqu'il a assisté à toutes ces scènes d'horreur, donnant même parfois un coup de main. Mais quinze ans après les faits, ses révélations arrivent trop tard. La justice a passé l'éponge, comme le veut la loi. « C'est écoeurant !, s'emporte Marie-Claude de Michiel, qui dirigeait l'association de quartier Résidence Plus, dans laquelle Émile Créteur était bénévole à Villeneuve-d'Ascq. On peut laisser mourir un homme pire que pour un chien et vivre libre comme si de rien n'était. Pourtant, ils ont reconnu les faits ! »

« Pas une justice de fait divers »

Fred et Suzanne n'ont pas été avares de détails devant les enquêteurs de la brigade criminelle de Lille, qui les ont interpellés en octobre 2005. « S'ils ont avoué, c'est justement parce qu'ils savaient que leur crime serait prescrit, ils avaient tout intérêt à le faire !
», explique le procureur de l'époque, Laurent de Caigny.
Ce dernier avait tout tenté pour suspendre la prescription. Notamment en tentant de démarrer le compteur à partir du moment où il a eu connaissance du crime (2005) et non au moment des faits (1990). Mais la défense a démontré que la justice aurait pu avoir connaissance des faits bien plus tôt... si la police avait fait son travail à l'époque.
Quand Denise Créteur, la belle-soeur d'Émile, était allée au commissariat de Villeneuve-d'Ascq, on l'avait éconduite poliment mais fermement, sans enregistrer sa plainte. Denise, 82 ans, soupire : « Les policiers m'ont dit qu'Émile fréquentait des gens pas recommandables.
» Ce qui aurait aussi bien pu les amener à faire des recherches.
« Je trouve cela plutôt rassurant qu'on n'ait pas cédé à une justice d'émotion, que ce dossier n'ait pas donné lieu à une énième nouvelle loi de faits divers ! », estime Anne-Charlotte Legrois, l'avocate de Suzanne. « La prescription pour les contraventions, au bout d'un an, tout le monde est content. Pourquoi pas pour les crimes ? », renchérit Anne Nappez, l'avocate de Fred. •

(1) « Les grandes affaires criminelles du Nord - Pas-de-Calais », en vente en kiosque à partir du 10 juin.
*Prénoms d'emprunt.

Source : La Voix du Nord

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je n'ai pas réussi à trouver l'âge des auteurs au moment des faits.
par contre intéressant que c'est à 27 ans (à l'entrée dns la période critique septennale des 28 ans) que le fils a des problèmes avec sa conscience... au point d'aller dénoncer le scénario.
par contre il est effectivement inquiétant qu'un criminel ne puisse plus être jugé après dix ans... : tenez bon...