samedi 30 novembre 2013

casse-cou

Liège: une maman de 21 ans fracasse la tête de son bébé et affirme que sa fille est «une casse-cou»
Une Liégeoise de 21 ans a confié sa petite fille aux médecins de la Citadelle en mai 2010. L’enfant était alors en arrêt respiratoire et les médecins avaient pensé directement au syndrome du « bébé secoué ».
Des manœuvres de réanimation et plus d’un mois d’hospitalisation aux soins intensifs avaient permis de la sortir d’affaire, mais les médecins avaient opéré des examens de contrôle et constaté de nombreuses traces de coups, récentes ou non, ainsi qu’une ancienne fracture du crâne… Deux dents avaient en outre été arrachées à l’enfant! La mère a livré une série d’explications assez invraisemblables, prétextant d’abord que la petite était une « casse-cou » (elle avait alors 18 mois!) ou encore qu’elle s’était fait un œil au beurre noir rien qu’en se frottant la paupière… Une peine d’un an de prison avait été requise par le ministère public, mais les juges ont estimé que ce n’était pas assez et ont condamné la Liégeoise à 20 mois de prison assortis d’un sursis probatoire.
http://www.sudinfo.be/870172/article/regions/liege/actualite/2013-11-29/liege-une-maman-avait-fracasse-le-crane-de-son-bebe

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assassinat

Berck-sur –mer : la mère confondue par l'Adn avoue
La jeune femme arrêtée hier vendredi à Saint-Mandé près de Paris est bien la mère de la filette retrouvée morte à Berck. Elle est entre les mains de la justice et sera mise en examen pour assassinat. Elle a reconnu les faits. D'après les analyses ADN, la femme arrêtée vendredi soir près de Paris est bien la mère de la fillette retrouvée morte sur la plage de Berck-sur-Mer, dans le Pas-de-Calais, le 20 novembre dernier. Cette femme de 36 ans a été interpellée à Saint-Mandé, dans le Val-de-Marne, et placée en garde à vue hier vendredi en fin d'après-midi. Les enquêteurs étaient à la recherche d'une femme âgée d'une trentaine d'années, à la peau noire, qui a été vue à Paris à la gare du Nord en compagnie de l'enfant la veille de la disparition. Elle a ensuite était vu seule au retour le jour de la découverte du corps de la fillette sur la plage. Personne n'a réclamé le corps de la petite fille d'environ douze mois et aucune disparition d'enfant correspondant à son signalement n'avait été signalée. Les premiers résultats de l'autopsie ont permis d'établir que la fillette a succombé à un œdème pulmonaire, vraisemblablement consécutif à une noyade.
http://www.franceinfo.fr/justice/meurtre-d-une-fillette-a-berck-la-mere-entre-les-mains-de-la-justice-1232225-2013-11-30

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je m'y attendais un peu car un scénario aussi fou ne pouvait pratiquement qu'avoir une implication et explication septennales : voir probablement la période critique septennale des 35 ans...
il y a la période critique septennale, ses dépressions et changements de personnalité, ses comportements irrationnels et coups de folie... mais il y a aussi un élément curieux dans ce drame : la mère était dans une grosse impasse avec son bébé, celui-ci n'ayant aucune existence légale... elle risquait donc des problèmes tôt ou tard, lorsque l'administration ou quelqu'un d'autre demandera d'où vient cet enfant...
or, le noyer revient à le faire disparaître ni vu ni connu : ainsi il n'aurait jamais existé.
étonnant aussi son voyage à Berck et le dépôt sur la plage : c'est une sorte de suicide ou de jeu du destin qu'elle pratique car elle doit forcément avoir pensé que l'on risquait de retrouver le bébé. a-t-elle pensé que l'on ne trouverait pas sa mère ?
si elle l'avait jeté dans la Seine elle n'aurait pas eu besoin de faire son voyage... on ne l'aurait peut-être jamais retrouvé et elle n'aurait alors pas été inquiétée...
et enfin, peut-être ce bébé était-il considéré de trop, au milieu d'un couple qui a des problèmes, et dont les deux partenaires se trouvent chacun dans l'une de ses périodes critiques.



et l'épisode critique qui lui a permis de mener ce drame aussi "sereinement" ? (jour critique intellectuel ? il faudrait, pour cela, voir la situation le jour du drame...)
édit 1/12 :
La mère de la fillette noyée à Berck-sur-Mer (Pas-de-Calais) a été mise en examen pour assassinat et placée en détention provisoire, a indiqué samedi soir son avocate Me Fabienne Roy-Nansion à la sortie du tribunal de Boulogne-sur-Mer. Elle réalise ce qu'elle a fait" et exprime des remords, a ajouté l'avocate. Elle ne cherche pas à se trouver des excuses. Au contraire, elle dit n'être pas défendable". Interpellée vendredi en région parisienne et placée en garde à vue à Nanterre avant son transfert, la mère a avoué au cours de son audition s'être rendue à Berck pour "mettre fin aux jours de son enfant", selon le parquet. Me Roy-Nansion a évoqué "une jeune femme au profil psychologique tout à fait étonnant, qui s'est expliquée complètement sur son acte, (...) qui dit avoir aimé profondément sa fille, qui analyse son geste, tente de l'analyser", et qui "dans un moment de détresse, d'isolement, de solitude absolue est passée à l'acte". Elle décrit une femme qui "s'exprime très bien", "particulièrement intelligente" et "extrêmement cultivée".(...)

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retrouvé mort

vendredi 29 novembre Un dentiste a été retrouvé sans vie dans son cabinet de Dourdan, samedi 24 novembre. D'après les premiers éléments de l'enquête, la victime se serait entaillée le cou à hauteur de la carotide. Un scalpel et un miroir ont été retrouvés à ses pieds. Toutes les hypothèses sont envisagées par les hommes de la section de recherche (SR) de Paris, en charge du dossier, même si la thèse du suicide parait privilégiée. Aucune trace de lutte n'a été trouvée dans le cabinet dentaire et sur le corps du dentiste, âgé de 49 ans, a-t-on appris de source judiciaire. Des analyses sont en cours et l'enquête se poursuit.
http://www.le-republicain.fr/faits-divers/1033-dourdan-un-dentiste-retrouve-mort-dans-son-cabinet
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suicide de la période critique septennale des 49 ans ? (rythmes semestriel et courts à voir)

retrouvé mort

Yale : Un professeur retrouvé mort en prison
 Un professeur de l'université de Yale a été retrouvé mort dans sa cellule en prison. Son décès reste un mystère pour la police. meltyCampus vous en dit plus. Les services de police sont au coeur de l'enquête Samuel See, un professeur de l'université de Yale, a été retrouvé mort dimanche dernier dans sa cellule. Selon le porte-parole du département de la justice, R H, l'homme de 34 ans a été placé dans sa cellule à 21h10 mais retrouvé mort le lendemain à 6h. À ce jour, l'enquête n'a pas su déterminer les causes de son décès, aucun signe d'abus physique ou de suicide n'a été constaté. Le professeur qui enseignait l'anglais et la littérature moderne, venait d'être arrêté suite à une violente dispute avec son présumé mari, Saunder Ganglani. Ce dernier a été placé en détention en même temps que Samuel. Les deux hommes se sont disputés à la maison de Samuel See alors que Saunder Ganglani était venu récupérer des affaires. Une ordonnance de protection l'un envers l'autre leur avait été assignée, un ordre non respecté par Ganglani selon le HuffingtonPost. Lorsque la police est intervenue, See a été très agressif envers les policiers, selon le porte-parole de la police David Hartman. Il aurait notamment crié sur un policier "je te tuerai… Je te détruirai." See a ensuite été transporté à l'hôpital de Yale-New Haven pour soigner une blessure au-dessus de l'œil. Puis, il a été mené en détention au commissariat de New Haven. L'université d'Harvard s'est exprimée dans un communiqué, faisant part de sa "profonde tristesse d'apprendre la mort de Samuel See" et adressant ses condoléances "à sa famille, ses collègues et ses étudiants de l'université, et ses amis de Yale..." Le professeur était en effet très apprécié et admiré à la fac. Sa mort place le commissariat sous enquête des US Marshals.
http://www.meltycampus.fr/yale-un-professeur-retrouve-mort-en-prison-a231816.html

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(période critique septennale des 35 ans)

meurtre

Meurtre de Duchesne : le militaire avait demandé de l'aide
 Le militaire retraité, auteur des coups de feu qui ont tué un jeune homme et blessé un autre, dimanche dernier à Duschesne au Lamentin avait demandé l'aide des forces de l'ordre. Se sentant menacé, il a dû se défendre selon ses proches.
Jeudi après-midi, le juge des libertés a refusé la remise en liberté sous contrôle judiciaire du militaire à la retraite, auteur des coups de feu qui ont tué le jeune homme de 28 ans, et blessé son frère, dimanche dernier à Duchesne, au Lamentin. Le juge estime qu'une libération aurait été mal perçue le jour des obsèques du jeune homme, vendredi après-midi au Lamentin. Les circonstances se précisent Les investigations des enquêteurs permettent aujourd'hui de mieux comprendre l'enchaînement des faits. Le dimanche 24 novembre, l'épouse du militaire croise sur la route le jeune homme qui doit faire un écart pour éviter un accrochage. Furieux, il se rend au domicile du militaire, pour lui dire que sa femme conduit dangereusement. La manière et le ton ne plaisent pas au militaire. Il demande fermement au jeune homme de retirer sa voiture de sa propriété. C'est en partant précipitamment que ce dernier fait une mauvaise manoeuvre sur un chemin étroit et se retrouve dans un ravin avec femme et enfants à bord. La colère du jeune homme est encore plus vive, deux de ses frères et un ami se rendent à nouveau au domicile du militaire à la retraite. Les propos s'enveniment, l'homme de 47 ans, s'empare d'un pistolet automatique, tire sur le jeune homme et le touche en pleine tête, le frère reçoit une balle à l'abdomen. L'auteur des faits a demandé de l'aide Selon l'avocate du militaire à la retraite, se sentant menacé, son client a demandé l'aide de la police. Au téléphone, un correspondant lui aurait répondu qu'il devait plutôt joindre les gendarmes, mais il était trop tard... Le militaire à la retraite plaide la légitime défense, son avocate prépare une nouvelle demande de remise en liberté sous contrôle judiciaire, probablement dés la semaine prochaine.
http://martinique.la1ere.fr/2013/11/29/meurtre-de-duchesne-le-militaire-avait-demande-de-l-aide-89599.html

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(deux personnes en période critique)

triple infanticide

Triple infanticide : la mère avoue
 La mère de famille qui a été retrouvée sous l’emprise de médicaments à son domicile de Gergy, en région chalonnaise, le vendredi soir 1er novembre aux côtés de ses trois enfants morts, a pu être entendue par un juge d’instruction chalonnais. Selon nos informations, il y a une dizaine de jours, l’état de santé de Céline Rubey, âgée de 29 ans, a été jugé compatible avec une audition. Et durant cette première comparution, la mère des trois garçons a reconnu avoir tué ses enfants par l’absorption de médicaments pour l’aîné et par étouffement pour les deux plus jeunes, même si le rapport d’autopsie complet n’a pas été communiqué. (...)
 « Elle voulait partir avec ses enfants » Céline Rubey a déclaré au juge qu’elle voulait mettre un terme à la vie de ses fils et à la sienne également, « qu’elle voulait partir définitivement avec eux ». Elle n’a pas expliqué pourquoi elle a décidé de mettre un terme de manière si brutale à sa vie de famille. Interrogés le lendemain des faits, des proches avaient fait état que Céline, « une chouette fille paumée avait déjà dit qu’elle voulait se foutre en l’air avec ses gamins ». Une première alerte avait été donnée durant l’été dernier 2013 où cette femme domiciliée alors dans un appartement à Châtenoy-le-Royal depuis deux ans avait été retrouvée par les policiers chalonnais, divaguant seule au bord de la route et tenant des propos incohérents. Hospitalisée durant une courte période, celle que ses amies nommaient la « mère courage » avait pu récupérer ensuite ses enfants pour venir s’installer à Gergy, dans la maison de sa mère. Pour débuter une nouvelle vie.
Ses voisins parlant d’une femme s’occupant sérieusement des enfants « toujours propres et souriants ». Des experts nommés L’élément déclencheur du geste fatal le jour de la Toussaint reste inconnu. Cette mère de famille, séparée des deux pères de ses enfants Liam, Imran et Zayd, trois garçons, l’aîné âgé de 6 ans, et des jumeaux de 18 mois, n’avait pas reçu de courriers de la justice lui signifiant que ses enfants allaient être placés. Elle disposait d’un cadre familial protecteur puisque sa mère et ses proches l’accompagnaient avec force pour qu’elle tente de faire face à une vie de mère seule au foyer. Le parquet de Chalon a ouvert à la mi-novembre une information judiciaire pour ce triple infanticide et une semaine plus tard, le juge d’instruction était le seul habilité à l’entendre. Elle a été mise en examen pour « meurtres sur mineurs de moins de 15 ans ». Le magistrat instructeur a demandé un rapport d’expertises psychiatriques pour savoir notamment si le discernement de la jeune femme était altéré ou aboli au moment des faits. Un rapport réalisé par des professionnels basés dans le Rhône et qui déterminera la responsabilité pénale de la mise en cause. Céline Rubey est toujours placée dans un centre hospitalier spécialisé, sous le régime de la détention provisoire, en attendant que l’enquête fasse toute la lumière sur cette tragédie.
http://www.lejsl.com/faits-divers/2013/11/30/triple-infanticide-la-mere-avoue

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pour les éléments déclencheurs il faudra probablement s'intéresser à la période critique septennale des 28 ans et aux éléments critiques des cycles courts pouvant induire le passage à l'acte. (voir aussi la situation le jour de la première alerte cet été : elle sera possiblement la même que le jour du drame).

vendredi 29 novembre 2013

écroué

Un psychiatre écroué à Strasbourg pour agressions sexuelles
Cinq jeunes patientes l'ont accusé de viol... Un psychiatre de 64 ans, accusé de viol et agressions sexuelles par cinq jeunes patientes, a été mis en examen et écroué à Strasbourg, a-t-on appris vendredi auprès de son avocat. Le Dr Alain Pidolle, qui exerce dans un centre médico-social à Phalsbourg (Moselle) et dans un hôpital psychiatrique à Lorquin (Moselle), nie toutes les charges qui pèsent sur lui, a souligné Me Renaud Bettcher. Une première procédure en 2012 Le praticien était déjà sous le coup d'une mise en examen depuis janvier - mais il avait alors été laissé en liberté sous contrôle judiciaire -, sur la base des accusations d'une adolescente de 17 ans: la jeune fille affirmait avoir subi des attouchements au domicile du médecin, en décembre 2012. Suite à cette première procédure, évoquée à l'époque dans la presse régionale, «les langues se sont déliées, et quatre autres jeunes femmes se sont manifestées auprès de la justice», a expliqué Me Bettcher, confirmant des informations révélées par les Dernières nouvelles d'Alsace. Les plaignantes, majeures au moment des faits, évoquent des agressions sexuelles, et pour l'une d'elles, un viol. Les faits auraient été commis en 2011 et 2012. Avec ces nouvelles accusations, «on a franchi un pas supplémentaire», a observé l'avocat, ce qui a conduit au placement du médecin en détention provisoire. Certains éléments rapportés par les victimes présumées sont corroborés par des témoins: ainsi une infirmière aurait vu des photos de patientes nues, que le Dr Pidolle aurait prises en forêt. Une autre infirmière rapporte que le psychiatre aurait «prescrit» à certaines patientes de se masturber régulièrement.
http://www.20minutes.fr/societe/1256837-20131129-psychiatre-ecroue-a-strasbourg-agressions-sexuelles

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(période critique septennale des 63 ans) ?

drame conjugal

Familiendrama in Sachsen Mann tötet Frau und sich selbst Ein 47-Jähriger Mann aus Sachsen hat offenbar seine Frau getötet und danach sich selbst umgebracht. Angehörige fanden die Leichen der Eheleute in der Wohnung der Familie in Frankenberg, wie die Polizei Chemnitz mitteilte. Nach bisherigen Erkenntnissen hat er erst die 35-jährige Frau erschossen und dann sich, sagte die Sprecherin der Chemnitzer Staatsanwaltschaft, Ingrid Burghart, der Nachrichtenagentur dpa. Es habe Probleme in der Beziehung des Paares gegeben, das einen Sohn im Teenageralter hinterlasse, sagte sie. Zu weiteren Hintergründen machte Burghart keine Angaben. Eine Beteiligung Dritter werde aber derzeit ausgeschlossen.
http://www.n-tv.de/ticker/Mann-toetet-Frau-und-sich-selbst-article11812826.html

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cet homme de 47 ans aurait tué son épouse âgée de 35 ans, puis se serait suicidé ensuite.
(compatibilité à risque : les deux personnes sont en période critique)


irresponsable

Loire : le meurtrier d'une cliente d'hypermarché déclaré irresponsable
L'homme de 42 ans, qui a tué d'un coup de couteau une cliente d'hypermarché qu'il ne connaissait pas à La Ricamarie (Loire), en janvier dernier, a été déclaré pénalement irresponsable, selon des sources judiciaires jeudi.
«Le rapport des experts psychiatres qui l'ont examiné conclut à l'abolition de son discernement», a déclaré Me Daniel Dupuy, l'avocat du mari et des enfants de la victime. Selon eux, le meurtre de Jeanne Guerdener, âgée de 68 ans, qui effectuait seule des courses dans l'hypermarché lorsqu'elle a reçu un coup de couteau mortel au cou, est en lien direct avec la maladie de l'auteur. Déclaré non conscient de son acte, non accessible à une sanction pénale, le quadragénaire ne comparaîtra donc pas devant la cour d'assises de la Loire pour y être jugé. Dans les prochaines semaines ou les prochains mois, il devrait bénéficier d'un non-lieu une fois l'instruction terminée, indique Me Dupuy qui n'a «pas demandé de contre expertise du rapport de qualité rendu par les psychiatres». Les médecins préconisent « un internement longue durée» Les médecins estiment que cet Algérien de 42 ans, marié et père de quatre enfants, souffre d'une «maladie mentale grave et évolutive, une schizophrénie paranoïde, qui donne notamment lieu à des hallucinations auditives chez les sujets qui en sont atteints». Ils préconisent un «internement psychiatrique sécurisé de longue durée» pour l'homme qui est placé sous mandat de dépôt dans un établissement spécialisé. «L'époux et les fils de Jeanne Guerdener sont contraints d'accepter cette décision, difficile pour eux, qui conduit à ce que l'assassin ne sera pas jugé et qu'il ne verront même jamais son visage autrement qu'à travers les photos et vidéos floues diffusées par presse», a déclaré leur avocat. C'est au terme d'une longue enquête de la police judiciaire que le quadragénaire a été interpellé à son domicile de Saint-Etienne, le 16 avril dernier, deux mois et demi après le meurtre de cette femme dans une grande surface d'une ville voisine le 29 janvier. Après avoir repéré les lieux la veille, en dissimulant dans un rayon un couteau pris dans celui des articles ménagers de l'hypermarché Casino de La Ricamarie, cet homme sans casier judiciaire ni suivi médical a frappé au hasard la malheureuse victime, avec laquelle il n'avait aucun lien et qu'il ne connaissait pas, avant de repartir discrètement et sans être inquiété. Source : Le Parisien le 28 novembre 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=16614&hl=

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irresponsabilité... pour ce drame septennal (période critique septennale des 42 ans), préparé la veille, curieusement...
(jour critique ?)

drame

Alexi Bacanov jugé pour le meurtre du soigneur du Sporting graulhétois : «J'étais angoissé, je me sentais persécuté...» Alexi Bacanov, ex-joueur de rugby, accusé de meurtre, a déroulé, hier, le long fleuve de sa vie sereine. Jusqu’à ce que ses troubles psychiques ne prennent le dessus et le conduisent à l’irréparable. Verdict, ce soir. Paul Brayette, c’était quelqu’un de bien, de sympa, de serviable. Ce sont ses amis qui le disent. Le soir du drame, le 22 avril 2010, ce boulanger à la retraite de 61 ans, était venu donner un coup de main au patron du bar «Chez Patate» à Graulhet. C’était un soir de fête et ses pizzas ont été appréciées. C’est dans cette ambiance qu’il a trinqué avec Alexi Bacanov, l’ex-joueur de rugby, une relation qu’il appréciait. Mais dans la nuit, tout a basculé et Paul, le soigneur du Sporting club graulhétois, est mort au domicile d’Alexi chez qui il était allé goûter l’eau-de-vie de Roumanie. Alexi, ou ce qui lui ressemblait, l’a massacré à coups de poing et pied avant d’aller se livrer au poste de police. (...) Source : La Dépêche le 29 novembre 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=7003&hl=

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drame familial

Saint-Marc-sur-Mer : Une femme et sa fille poignardées, le concubin se pend ...
Le drame s'est noué peu avant 22h, mercredi soir. Une femme de 44 ans a été poignardée au ventre, et sa fille de dix ans dans le dos à Saint-Marc-sur-Mer. Toutes deux ont été transportées à l'hôpital. Parallèlement, les secours ont découvert sur place le concubin pendu et décédé à l'intérieur du pavillon. D'après les premiers éléments de l'enquête, une dispute aurait éclaté au sein du couple. Ouest-France Donnez votre avis ...
http://www.saint-nazaire.maville.com/actu/actudet_-drame-familial-a-saint-nazaire-une-femme-et-sa-fille-poignardees-le-concubin-se-pend_fil-2440012_actu.Htm

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(pas d'indication de l'âge du concubin pour l'instant)

édit 30/11 :
Drame familial à Saint-Marc-sur-Mer
Les faits se sont déroulés mercredi soir, vers 21h50, dans une maison d’un lotissement du quartier de Saint-Marc-sur-Mer, à Saint-Nazaire. Selon les premiers élements de l’enquête, au cours d’une dispute, un homme de 42 ans aurait frappé au couteau sa concubine, la blessant grièvement au ventre, ainsi que sa belle-fille de 10 ans, touchée au dos. Les deux victimes ont réussi à sortir dans le jardin avant d’être pris en charge par un voisin, qui a appelé les secours. Elles ont été transportées à la Cité sanitaire de Saint-Nazaire.La police a retrouvé l’homme pendu dans l’escalier.
http://www.lechodelapresquile.fr/2013/11/28/il-blesse-sa-compagne-et-sa-belle-fille-au-couteau-puis-se-pend/

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comme probablement la plupart des drames conjugaux, familiaux, infanticides, aussi, un drame de la période critique septennale : ici celle des 42 ans si les données sont justes.

drame

Incendie et drame familial
Les sapeurs-pompiers ont facilement maîtrisé l'incendie, mais n'ont pas pu sauver la désespérée.
Appelés pour un début d’incendie dans un pavillon, pompiers et gendarmes ont découvert le corps d’une femme qui avait mis fin à ses jours. C'est vraisemblablement un drame familial qui s'est joué, hier, en début de matinée, à la sortie de la commune de Tavant, aux portes de L'Ile-Bouchard, en face de la nouvelle caserne des sapeurs-pompiers du Bouchardais. Alertés par le voisinage à propos d'un dégagement de fumée provenant d'un pavillon et de ses bâtiments annexes, gendarmes et sapeurs-pompiers sont intervenus rapidement dans cette maison particulière située au lieu dit « Les Pâtureaux ». S'ils ont pu, sans trop de mal, grâce à d'importants moyens, éteindre l'incendie, les sauveteurs ont été surpris de constater qu'il y avait eu plusieurs départs de feu dans la maison et les bâtiments voisins. 
Ambulancière de 45 ans N'ayant trouvé personne dans l'habitation, les gendarmes ont poursuivi leurs investigations et découvert, dans la grange, le corps de l'occupante du pavillon. Malgré les efforts d'une équipe médicale du Samu, cette jeune femme de 45 ans, ambulancière de profession, n'a pu être ranimée. Prévenu alors qu'il se trouvait au travail, le concubin de la victime est revenu sur les lieux, ne pouvant que constater le drame. Si les circonstances exactes devront être déterminées précisément par l'enquête ouverte par la gendarmerie, tout porte à croire, hélas !, que c'est une affaire privée, sur fond de séparation, qui a amené la défunte à mettre le feu à cette maison, que ce couple discret habitait depuis une dizaine d'années, avant d'accomplir un geste funeste. Ayant mobilisé deux douzaines de sapeurs-pompiers, en raison des départs multiples de feu, ainsi qu'une vingtaine de gendarmes de la compagnie de Chinon et de la brigade motorisée, ce drame a perturbé la circulation sur l'axe L'Ile-Bouchard - Tavant durant une bonne partie de la matinée.
http://www.lanouvellerepublique.fr/Indre-et-Loire/Actualite/Faits-divers-justice/n/Contenus/Articles/2013/11/29/Incendie-et-drame-familial-1705514

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accident

Drame des Estivales 2011 : la jeune conductrice est condamnée à 5 ans de prison dont 3 avec sursis
Le 13 août 2011, une conductrice ivre fauchait un groupe de jeunes gens à la sortie des Estivales, tuant l'un d'eux, Mathieu et blessant 3 autres. La jeune femme était jugée devant le tribunal correctionnel de Montpellier pour "homicide involontaire".
La jeune femme de 23 ans a été condamnée à 5 ans de prison dont 3 ans avec sursis. 2 ans de mise à l'épreuve avec obligation de soins et 2 ans d'annulation du permis de conduire. Une jeune femme en état d'ivresse qui avait fauché en août 2011 à Montpellier des piétons, faisant un mort et deux blessés, dont un aujourd'hui lourdement handicapé, a été condamnée, jeudi, par le tribunal correctionnel à cinq ans de prison, dont trois avec sursis et mise à l'épreuve. (.?..)
La jeune femme a affirmé ne plus se souvenir de l'accident. Et si elle a reconnu avoir bu, se reprochant son inconscience, elle a aussi admis qu'elle s'interrogeait sur les raisons pour lesquelles elle avait perdu le contrôle de sa voiture à ce moment-là. Selon un expert, une longue trace de freinage démontre que le frein à main a été serrée, ce qu'elle pense ne pas avoir fait. (...)
Rappel des faits : le 13 août 2011 L'accident dramatique a eu lieu, avenue du père Soulas, vers une heure du matin, le 13 août 2011, à Montpellier. L'étudiante roulait à vive allure quand l'une de ses passagers lui a demandé de ralentir. C'est à priori en freinant brutalement que la conductrice a perdu le contrôle de sa voiture. Le véhicule a alors heurté 4 personnes qui attendaient un taxi. Mathieu, 26 ans, a été tué sur le coup. Deux autres jeunes hommes sont gravement blessés, victimes de multiples fractures. La jeune femme est placée en garde à vue. Son taux d'alcoolémie est élévé : 2 grammes 55. Ce soir-là, elle avait beaucoup bu aux Estivales et roulait très vite, brûlant même plusieurs feux rouges. Incarcérée quelque temps, la jeune conductrice comparaît libre, cet après midi, à la barre du tribunal correctionnel de Montpellier.
http://languedoc-roussillon.france3.fr/2013/11/28/drame-des-estivales-2011-la-jeune-conductrice-comparait-devant-le-tribunal-de-montpellier-366873.html

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jeudi 28 novembre 2013

métier à risque

C'est mon boulot Il doit licencier 250 personnes en un mois : le récit du burn-out d'un DRH
C'était en 2010 : Jacky Lhoumeau était alors DRH dans un grand groupe pharmaceutique. La direction lui demande d'un jour à l'autre de mettre à la porte 250 des 1.400 salariés du site dans lequel il travaille. Il doit les avertir que dans un mois ils seront à la porte. Il prend leur colère en pleine figure, tout seul. Et il finit par craquer... Il en a tiré un livre-témoignage très touchant : "D comme DRH et dépressif", aux éditions Tatamis.
(...)
http://www.franceinfo.fr/economie/c-est-mon-boulot/il-doit-licencier-250-personnes-en-un-mois-le-recit-du-burn-out-d-un-drh-1229613-2013-11-28

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né en 1956, il peut être risqué de devoir prendre en charge un tel plan social... alors que l'on entre soi-même dans une période critique : çà peut se terminer avec une dépression septennale des 56 ans... c'est peut-être ce qui s'est produit... 
on pourrait d'ailleurs tenir compte des jours et périodes critiques pour améliorer l'ambiance et le confort dans les entreprises... 

suicide

Un policier de 24 ans s'est suicidé avec son arme de service au commissariat central de Nantes où il travaillait. Le jeune homme, qui s'occupait de l'accueil du commissariat central de Nantes, place Waldeck-Rousseau, s'est suicidé dans les toilettes peu après 13 heures. (...)
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/nantes-un-jeune-policier-se-suicide-dans-son-commissariat-8320902.html

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rock star

Ian Watkins, le chanteur des Lostprophets, a plaidé coupable lors du premier jour de son procès pour agressions sexuelles sur mineurs. Le « rocker dépravé » a reconnu avoir tenté de violer un bébé avec la complicité de deux jeunes femmes elles aussi sur le banc des accusés. Les deux fans, jeunes mamans de 21 et 24 ans, était prêtes à mettre leur enfant à la disposition de leur idole. Interviewée par le Mirror, l’ancienne petite amie du rocker, Joanna Majic, affirme qu’elle a tenté à plusieurs reprises d’avertir la police après qu’il lui a avoué ses fantasmes pédophiles « de plus en plus sombres »
http://www.parismatch.com/Actu/Faits-divers/Les-noirs-fantasmes-du-rocker-pedophile-538371

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"de plus en plus sombres" à mesure qu'arrivait la période critique septennale des 35 ans ? 
(pas trouvé le moment de l'origine des faits, il pourrait là aussi s'agir d'un comportement dépravé ayant un lien avec l'arrivée d'une période critique septennale...) (les mamans fan ont l'air aussi d'être chacune dans l'une de leurs périodes critiques)
Ian Watkins est du 30 juillet 1977 et a donc 36 ans aujourd'hui. (entrée en période critique des 35 ans fin 2011, jusqu'en juillet 2013)

libérées

La police libère trois adolescentes séquestrées dans une maison en Arizona
La police a libéré trois adolescentes, âgées de 12, 13 et 17 ans, séquestrées peut-être pendant deux ans dans une maison de Tucson en Arizona, ont indiqué des media américains mercredi. Les trois jeunes filles ont été emmenées par les policiers.
L'affaire a été découverte lorsque les deux plus jeunes filles sont parvenues à fuir chez un voisin. Elles ont raconté que leur beau-père, Fernando Richter, 34 ans, les avait menacé avec un couteau et les séquestrait depuis deux ans dans la maison. Elles n'ont plus vu leur soeur aînée durant tout ce temps. La police a trouvé la soeur aînée dans une chambre de la maison, apprend-on sur le site Tucsonnews.com. Les trois jeunes filles ont déclaré qu'elles n'avaient droit qu'à un repas par jour et n'avaient plus pu prendre de bain depuis six mois. Les voisins ont affirmé ignorer que des enfants habitaient dans cette maison. La police a interpellé le beau-père et la mère, âgée de 32 ans, pour kidnapping et abus émotionnels et physiques sur mineurs. L'homme est également soupçonné d'abus sexuels sur enfants de moins de 15 ans. Source : Belga le 27 novembre 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=19140&hl=

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père noël...

Un Père Noël accusé d'attouchements sur une elfe
Un Père Noël américain soupçonné d'attouchements sur une elfe devra répondre de ses actes devant un tribunal... le 24 décembre prochain. Le suspect, Herbert Jones, un Américain de 62 ans employé comme "Père Noël" dans un centre commercial du Massachusetts aux Etats-Unis, a été arrêté ce samedi 23 novembre suite à une plainte d'une jeune femme de 18 ans, employée comme "elfe", qui l'accuse d'attouchements sexuels et d'attentat à la pudeur.
L'homme, qui plaide non coupable, a finalement été libéré moyennant une caution de 1.000 dollars (soit environ 730 euros). En attendant son procès qui se tiendra le 24 décembre prochain, soit le jour du réveillon de Noël, il lui est strictement interdit de retourner travailler dans ce centre commercial et de postuler pour un autre job de Père Noël." Source : 7 SUR 7.BE (28 novembre 2013)
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=42831

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même le père noël n'échappe pas aux risques et pulsions du moment de l'entrée dans l'une de ses périodes critiques septennales... :-)

mercredi 27 novembre 2013

suicide

Un employé du Crédit agricole s'est donné la mort mardi à l'aide d'une arme de poing dans des locaux de la direction régionale du groupe, à Châlons-en-Champagne, a-t-on appris auprès du parquet.
L'homme, âgé de 54 ans et marié sans enfant, a été découvert mardi matin au sous-sol des locaux du Crédit agricole par les salariés d'une entreprise qui intervenait dans un local d'archives, a indiqué Christian de Rocquigny, procureur de la République de Châlons.
"L'inspection du travail avait été saisie de difficultés de climat au sein de l'entreprise", a ajouté le procureur, qui s'est toutefois montré prudent sur les motivations de ce geste, "car on ne sait jamais les ressorts qui conduisent un homme à mettre fin à ses jours". Le corps doit être examiné mercredi par un médecin légiste, et des collègues de travail vont être entendus pour tenter de trouver la motivation de ce geste.
http://www.europe1.fr/Faits-divers/Un-employe-du-Credit-agricole-se-suicide-1721743/

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évadé

Nantes : un détenu s'évade à l'aide d'un cutter et blesse trois gardiens.
Un détenu du centre pénitentiaire de Nantes s'est évadé mercredi matin lors d'un transfert médical, blessant à cette occasion ses trois gardiens avec un cutter. Les trois hommes ont été atteints, selon les cas, à la main, au visage et aux jambes, a indiqué le secrétaire CGT du centre pénitentiaire de Nantes, Samuel Gauthier.
Le gardien blessé aux jambes devait subir une opération pour sa blessure jugée «sérieuse». «Le détenu avait une blessure à la cheville, donc la pratique c'est de les transférer (...) à l'hôpital pour faire des examens complémentaires», a expliqué Samuel Gauthier. (...)
«Malheureusement, le niveau de vigilance avait été revu à la baisse dernièrement pour ce détenu», a-t-il indiqué. Le parquet de Nantes, qui a confirmé l'évasion et les trois blessés, a «délivré et diffusé un mandat de recherche» pour retrouver le fugitif, un Brestois de 27 ans. «Les forces de police disponibles sont mobilisées», a précisé le parquet. Selon cette même source, «le détenu avait été condamné pour une tentative de meurtre et il faisait aussi l'objet d'un mandat de la Juridiction interrégionale spécialisée (JIRS), qui traite de la criminalité organisée».
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/11/27/01016-20131127ARTFIG00345-nantes-un-detenu-s-evade-a-l-aide-d-un-cutter-et-blesse-trois-gardiens.php

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drame

Forcené de l’Yonne: l’homme retrouvé pendu, l’enfant sain et sauf
Le négociateur du GIGN ne parvenant pas à entrer en contact avec le forcené, l’équipe d’assaut a pénétré dans la maison et trouvé l’homme de 56 ans pendu. L’enfant était sain et sauf dans une chambre, située au premier étage. Auparavant, l’homme avait blessé son épouse par balle avec un pistolet de calibre 22 LR. Vers 10H00, cette femme de 46 ans, grièvement blessée à la tête, est parvenue à s’enfuir de chez elle et à se réfugier chez un voisin, qui a donné l’alerte, a précisé à l’AFP le colonel Olivier Le Bianic, commandant du groupement de gendarmerie de l’Yonne. Son pronostic vital étant «très engagé», (...)
http://www.liberation.fr/societe/2013/11/27/forcene-de-l-yonne-l-homme-retrouve-pendu-l-enfant-sain-et-sauf_962406

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si les données d'âge s'avèrent justes (plusieurs données pour l'instant) il s'agirait là aussi d'un drame septennal, la personne se trouvant dans sa période critique des 56 ans.

édit :
Selon le préfet.., le forcené avait déjà été condamné en 1994, pour violence sur une femme,
(il pourrait alors s'agir d'une récidive septennale (période critique septennale des 35 ans) mais il faudrait connaître le moment précis des violences de cette époque.

recherchée

Fillette morte à Berck : la femme recherchée est la mère
La police a lancé un appel à témoins pour retrouver une femme noire d'une trentaine d'années. Elle serait le «dernier adulte ayant eu en charge ce bébé dans la journée de mardi et dans la nuit de mardi à mercredi». (...)
Fillette morte à Berck: le gérant de l'hôtel décrit une mère d'un «calme absolu» Cette information, dévoilée par RTL lundi, a été confirmée mardi par des sources proches de l'enquête. Cette femme a été vue seule à Paris après la découverte du corps. La petite fille d'un an avait été retrouvée mercredi sur la plage, morte noyée. L'enfant avait été promenée la veille, en poussette, par cette femme. (...)
Plusieurs témoins «qui ont vu [la femme et l'enfant] sur place à Berck» ont été entendus, avance également une source syndicale, selon qui la jeune femme «a demandé les horaires des marées» à un passant. Les enquêteurs avancent donc à grands pas dans cette mystérieuse affaire. Ils savent que cette femme est rentrée seule dans la capitale. L'examen des images de plusieurs caméras de vidéosurveillance de la gare du Nord, à Paris, ont permis d'établir que la femme vue le mardi dans cette même gare, puis à hôtel de Berck-sur-Mer, était revenue mercredi. Soit quelques heures à peine après la découverte du corps de la fillette sur la plage. Les enquêteurs perdent ensuite sa trace dans la gare du Nord. Cette femme est «susceptible de séjourner en Ile-de-France», estiment par conséquent les enquêteurs. Il reste que, pour l'heure, malgré l'appel à témoin lancé vendredi, aucune disparition d'enfant n'a été signalée. L'appel à témoin précise que la femme recherchée a la peau noire, qu'elle est âgée d'une trentaine d'années et s'exprime «en langue française». Les policiers espèrent pouvoir l'identifier rapidement.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/fillette-morte-a-berck-la-femme-recherchee-est-de-la-meme-famille-25-11-2013-3348435.php

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meurtre

Meurtre d'Anne Barbot : Le mari et l’une de ses proches en garde à vue
Le mari d'Anne Barbot, retrouvée morte dans sa voiture calcinée, en mars, a été placé en garde à vue avec l'une de ses proches. Info Ouest-France Les gendarmes ont placé en garde à vue le mari d’Anne Barbot dont le corps a été découvert, le 28 mars, par un joggeur, dans sa 306 calcinée, à Saint-Michel-et-Chanveaux (Maine-et-Loire). Une femme proche du mari a également été placée en garde à vue. Les gendarmes ont investi le domicile où vivait Anne Barbot, à Vritz (Loire-Atlantique), pour procéder à de nouvelles recherches techniques et scientifiques. En mai, Didier Barbot avait voulu mettre fin à ses jours, tout près du lieu où sa femme avait été retrouvée, morte.
http://www.angers.maville.com/actu/actudet_-meurtre-d-anne-barbot-le-mari-et-l-une-de-ses-proches-en-garde-a-vue_fil-2438686_actu.Htm

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(Anne BARBOT née BLIN décès survenu à l'aube de ses 39 ans).
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=17055&hl=

Anne Barbot a disparu le samedi 16 mars dernier... le mari a fait une tentative de suicide le samedi 25 mai...
(jour critique émotionnel ?)(effectivement veille de E8 - natif du dimanche)


édit 14/01/2015 :
Didier BARBOT Vritz est né le 2 septembre 1973
meurtre apparemment le soir du jour critique physique P19 (il est un équivalent du jour critique émotionnel) à 39 ans et sept mois.
(les données concernant son amie apparemment également active lors du meurtre, seraient aussi nécessaires, mais pas trouvées - 1975)

15 mars 2013 (2/09/1973)
Lu 11
Ma 12
Me 13 I(17)
Je 14 P(18)
Ve 15 P(19)
Sa 16
Di 17 E(22)
Lu 18
Ma 19

dépression

Jean Rochefort raconte sa "dépression suicidaire très violente"
A 83 ans, Jean Rochefort publie son premier livre, "Ce genre de choses". Dans les pages de Libération, l'acteur revient sur une période noire de sa vie. "Un des charmes de l'écriture, c'est qu'on est assis", déclare Rochefort quand on lui demande ce qui l'a poussé à rédiger ses mémoires. "Je suis à l'âge où la position m'intéresse de plus en plus. Sinon, j'ai commencé par acheter un crayon et une gomme. J'ai ressenti assez vite plaisir et désespoir. On écrit le soir, on se couche radieux et, le lendemain matin, on a envie de se foutre par la fenêtre. Les six premiers mois, j'ai failli renoncer." Angoissé par notre 21e siècle, l'artiste se décrit comme "spleenesque" et aussi profondément dépressif. "Je suis assez compétent en la matière: cinq dépressions ces dix dernières années, couché sept à huit mois à chacune. C'est arrivé après Don Quichotte. Dépression suicidaire très violente. La seule joie de mes journées, c'était quand j'avais trouvé l'endroit pour me tuer. A ce moment-là, il faut faire très gaffe, ne pas rester seul." Jean Rochefort a été "sauvé" par un psychiatre. "À force de travail sans succès avec moi, il m'a dit: Il y a une solution, c'est Paris. J'habitais Rambouillet, où j'élevais des chevaux: parti de Paris à 30 ans j'y suis revenu à 80." Proche du public désormais, il se rend compte: "À cause de mon âge, de cette route que nous avons faite ensemble plusieurs générations et moi, est né chez les gens un genre de désir de me contacter, me parler, me toucher."
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1526/Showbiz/article/detail/1747245/2013/11/26/Jean-Rochefort-raconte-sa-depression-suicidaire-tres-violente.dhtml

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çà fait effectivement beaucoup, cinq dépressions en dix ans... :-) mais peut-être un rythme individuel à étudier...
par contre c'est maintenant (novembre 2013) que Jean Rochefort (du 29 avril 1930) entre dans sa période critique septennale des 84 ans... alors attention à la nouvelle dépression...  :-) 
attention aussi au jour critique émotionnel, notre jour "préférentiel" de gros blues, s'il a lieu, ici toujours le mardi, dès lundi soir...
Don Quichotte c'était apparemment en 2000 et dépression septennale des 70 ans...
sinon entretemps il y a eu 2007 (77 ans) ? 

spectre

Un crâne humain fait ressurgir le spectre de l'affaire Godard 
"Si c'est celui du Dr Godard, on le saura assez vite, mais nous sommes là pour l'instant dans le domaine du fantasme", a déclaré Gérard Zaug, procureur de la République à Saint-Brieux, au lendemain de la découverte. 
Dimanche dernier, un promeneur a retrouvé une mâchoire humaine sur la plage des Rosaires à Plérin, dans la Baie de Saint-Brieuc. C'est dans cette même Baie qu'ont été aperçus pour la dernière fois, le 2 septembre 1999, le Dr Yves Godard et ses deux enfants. Leur bateau avait alors été contrôlé par les douanes. Le rapprochement est donc tentant. "Il ne s'agit a priori pas du crâne de quelqu'un qui aurait disparu dans les semaines passées. Le réflexe est de penser à l'affaire Godard", a reconnu le procureur de la République, tout en ajoutant que rien ne permet pour l'instant d'accréditer cette hypothèse. Le crâne découvert dimanche par un promeneur sur la plage des Rosaires à Plérin a été transmis à l'institut médico-légal de Nantes à des fins d'expertise ADN, La famille Godard avait disparu en 1999. 
Le Dr Yves Godard, établi à Tilly-sur-Seules (Calvados), a été recherché pour homicide volontaire sur son épouse, dont on n'a jamais retrouvé le corps. L'enquête sur ce drame, non résolu, avait été rythmée par des découvertes macabres. Le 6 juin 2000, un chalutier avait ainsi remonté du fond de la baie de Saint-Brieuc le crâne de la fille, Camille. 
En septembre 2006, un tibia et un fémur du père avaient été retrouvés par un bateau de pêche au large de Roscoff (Finistère). En septembre 2012, après 13 ans d'enquête, le parquet de Saint-Malo avait annoncé la fermeture de l'instruction "faute de charges".
http://basse-normandie.france3.fr/2013/11/27/un-crane-humain-fait-ressurgir-le-spectre-de-l-affaire-godard-365991.html



(Wikipédia l'affaire Godard)
Le lundi 30 août 1999, le docteur Yves Godard, médecin et acupuncteur de 43 ans, donne ses dernières consultations à son cabinet, situé au 1 boulevard Maréchal–Lyautey à Caen. Le lendemain, il annule tous ses rendez-vous, trie ses papiers à son cabinet et emmène ses enfants pêcher aux étangs de Planquery, seize kilomètres à l'ouest de Juvigny. Le 1er septembre, il quitte Saint-Malo à bord d'un voilier du port de plaisance des Sablons, ponton E, accompagné de ses deux enfants  : Camille (6 ans) et Marius (4 ans), son épouse Marie-France étant absente de ce voyage. Il confie au loueur du Sun Odyssey 30 Nick, voilier de 8,90 m, sa volonté d'effectuer une croisière côtière jusqu'à Perros-Guirec, avec un retour prévu le 5 septembre. Il a, au préalable, acheté à Saint-Malo des produits de nettoyage et des serpillères qu'il laisse dans son véhicule sur le parking du port.
Le 2 septembre, le Nick est contrôlé entre le cap d'Erquy et le Cap Fréhel par la douane. Les douaniers procèdent à un contrôle de routine du voilier et aperçoivent l'un des enfants assoupi dans le bateau. Le voilier navigue alors au moteur alors que le vent est établi. L'un des douaniers est intrigué par le comportement du médecin et vérifie son histoire auprès du loueur de Saint-Malo.
Le voilier du docteur Godard semble ensuite rester quelques jours près de l'anse de Bréhec, entre Plouha et Plouézec, sur la côte du Goëlo. Le voilier est identifié par plusieurs témoignages à Bréhec entre le 2 septembre et le 5 septembre. Parmi eux, la vendeuse de gaufres du petit port qui reconnaît formellement le médecin caennais et ses enfants, venus lui acheter des gaufres le 3 septembre. Le lendemain, le Nick apparemment abandonné est aperçu par un couple de promeneurs non loin de la pointe de Minard à Plouézec.
La petite annexe pneumatique du Nick est récupérée par un chalutier le 5 septembre, le jour où le voilier aurait dû rentrer à Saint-Malo. Elle dérivait abandonnée à une trentaine de milles marins des côtes de l'île de Batz (Finistère). On y retrouve un blouson et un chéquier au nom d'Yves Godard. Intrigués, les gendarmes maritimes de Roscoff ouvrent une enquête pour disparition inquiétante. Le 7 septembre, le docteur Godard n'est toujours pas revenu à Saint-Malo, où les gendarmes se rendent et découvrent de larges traces de sang et des doses de morphine dans le Volkswagen Combi du médecin.
Cette découverte précipite les événements. Le 8 septembre, la gendarmerie procède à une perquisition dans la maison des Godard à Tilly-sur-Seulles, au hameau de Juvigny, à une quinzaine de kilomètres à l'ouest de Caen. Les gendarmes y découvrent également d'importantes traces de sang dans la chambre du couple, la salle de bain et le salon. Le 10 septembre, une information judiciaire est ouverte pour homicide volontaire à l'encontre du médecin, avec un mandat d'arrêt international. L'enquête est confiée au juge Gérard Zaug du tribunal de Saint-Malo. Le 16 septembre, le sang prélevé dans le Combi et à Juvigny est identifié comme étant celui de Marie-France Godard, que personne n'a vue depuis le 31 août.

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situation de Yves Godard et de son épouse au moment de leur disparition :
Yves Godard est né le 2 juin 1955  (donnée Interpol et carte professionnelle, et non 1956 comme dit Wikipédia)
août 1999 (2/06/1955)
Sa 28
Di 29
Lu 30
Ma 31 (annulation des rendez-vous)
Septembre 1999
Me 1 I(26)
Je 2 P(18) E(8) (contrôle de gendarmerie)
Ve 3 P(19)
Sa 4
Di 5
Lu 6
Ma 7

la décision d'annuler les rendez-vous peut être mise en rapport avec la survenance du jour critique intellectuel et de l'épisode triplement critique à venir.
le jour critique intellectuel i126 peut être mis en rapport avec le jour critique émotionnel E8 de l'épouse. (conflit ?) l'ensemble est un épisode "down" allant du 31 août au soir au vendredi 3 septembre.
âge 44 ans et 3 mois : pas de période critique longue mais à voir période critique septennale des 42 ans et ce qui s'est passé depuis.
jeudi 2 septembre : le contrôle d'un gendarme "intrigué" correspond à un jour fortement critique de Yves Godard (jour critique physique P18/jour critique émotionnel E8


son épouse Marie-France Godard est née le 2 mai 1956 (43 ans et 4 mois)(juste sortie de sa période critique septennale des 42 ans)
août 1999 (2/05/1956)
Sa 28 I(17)
Di 29 P(1)
Lu 30
Ma 31 
Septembre 1999
Me 1 E(8)
Je 2
Ve 3 P(6)
Sa 4 P(7)

drame

Bourg-de-Péage : un homme de 83 ans tente de tuer sa femme et blesse grièvement un policier
Hier soir, vers 23h40, l'alerte a été rapidement donnée par des témoins découvrant une femme blessée dans la rue. À proximité un homme armé d'un couteau. Sur place, les policiers de la Bac de Romans tentent de neutraliser l'homme par deux tirs de flashball. En vain. Un policier est grièvement blessé par un coup de couteau porté par l'homme au niveau de l'artère fémorale. Finalement interpellé, l'homme, est âgé de 83 ans et vit à Bourg-de-Péage. Sa femme, sérieusement touchée est âgée de 73 ans. L'octogénaire est en garde à vue. Aujourd'hui, mardi,17 heures. Selon nos informations, l’état psychologique de l’octogénaire n’étant pas compatible avec un régime de garde à vue, ce dernier a fait l’objet d’un placement en soins psychiatriques sur décision du représentant de l’Etat. Source : Le Dauphiné le 26 novembre 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=19132&hl=

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(l'homme entre dans sa période critique septennale des 84 ans)

mardi 26 novembre 2013

suicide

SNCF : suicide d'un agent retrouvé pendu sur son lieu de travail à Paris
Un agent de la SNCF a été retrouvé pendu samedi sur son lieu de travail, plusieurs jours après le signalement de sa disparition, a-t-on appris mardi 26 novembre auprès du syndicat SUD-Rail et de la SNCF. Selon le syndicat, l'homme âgé de 48 ans s'est "suicidé par pendaison" dans un escalier de service des locaux des services d'ingénierie de la SNCF situés dans le XIIIe arrondissement, où il travaillait comme planificateur de projet. "Son épouse avait signalé sa disparition le lundi (18 novembre)", a précisé à l'AFP le syndicat, pour qui "le fait qu'il n'ait été retrouvé qu'après plusieurs jours en dit long sur la déshumanisation de la SNCF". (...)
http://www.rtl.fr/actualites/info/article/sncf-suicide-d-un-agent-retrouve-pendu-sur-son-lieu-de-travail-a-paris-7767320423

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suicide

Suicide d’une commissaire divisionnaire
Le corps sans vie de la commissaire brevetée divisionnaire Valérie Chalet, de la zone Bruxelles Nord, a été trouvé dimanche à Anderlecht. La disparition, qui remontait à lundi passé, figurait depuis le week-end sur le site internet de la police fédérale. Pour le parquet, aucun doute que la policière de 38 ans a volontairement mis fin à ses jours. (...)
Le lundi 18, elle est absente. À partir de ce jour-là, son GSM est coupé, sa Citroën C3 noire introuvable. Sa mère signale la disparition vendredi passé. Dimanche après-midi, on songe à la maison de la grand-mère, vide depuis que la dame âgée a dû être placée, avenue Capitaine Fossoul à Anderlecht. Car Valérie, qu’on appelait la Cavalière, adorait sa grand-mère. La Citroën est dans le garage. Et dans le véhicule, la commissaire qui, pour mettre fin à ses jours, avait raccordé le pot d’échappement à l’habitacle et laissé tourner le moteur. L’état du corps est compatible avec un décès déjà survenu lundi 17.
http://www.dhnet.be/actu/faits/suicide-d-une-commissaire-divisionnaire-529425f23570386f7f34c269

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inexpliquée

Newtown : une tuerie à jamais inexpliquée ?
Adam Lanza a assassiné 27 personnes, dont 20 enfants, dans l'école primaire Sandy Hook de Newtown en 2012. L'enquête n'a pas permis d'expliquer son geste. Adam Lanza, l'auteur du massacre de l'école primaire Sandy Hook, à Newtown (Connecticut) l'an dernier, était un jeune homme très perturbé, obsédé par les massacres, mais rien n'a permis aux enquêteurs américains d'expliquer les raisons de son acte prémédité. "
Pourquoi le tireur a-t-il tué 27 personnes dont 20 enfants ? Malheureusement, cette question restera peut-être à jamais sans réponse", écrit le procureur de l'État du Connecticut (nord-est), dans le rapport d'enquête publié lundi. Ce rapport établit que Lanza, 20 ans, a agi seul et avait prémédité son acte, y compris son suicide, sans que l'on sache "pourquoi il a fait ça, et pourquoi il a choisi l'école primaire Sandy Hook". Sur 44 pages, le rapport du procureur Stephen Sedensky, qui met un terme à l'enquête, raconte le déroulement du drame durant lequel "en moins de 11 minutes, 20 élèves de CP et six adultes ont perdu la vie" le 14 décembre 2012, dans cette petite ville tranquille, en plus du tueur qui s'est suicidé dans une classe, et de sa mère, tuée le matin même dans son lit de plusieurs balles dans la tête. Adama Lanza, 49 kilos, souffrait de "graves troubles mentaux qui affectaient sa capacité à vivre une vie normale et à interagir avec les autres, même ceux dont il aurait dû être proche", écrit le rapport, qui décrit un jeune homme qui par exemple ne communiquait avec sa mère que par e-mail, dans une maison où les enquêteurs ont retrouvé de nombreuses armes à feu achetées légalement par celle-ci.
Nancy Lanza avait encore rédigé un chèque pour son fils, afin qu'il achète une nouvelle arme pour Noël. "Obsédé par les massacres" Adam Lanza "était obsédé par les massacres, en particulier celui du lycée de Columbine (Colorado)", où deux élèves avaient ouvert le feu tuant 12 lycéens et un enseignant avant de se suicider le 20 avril 1999, selon les enquêteurs. Ceux-ci ont retrouvé chez lui de nombreux documents électroniques sur ce massacre, ainsi que des images de lui avec un pistolet sur la tempe, deux vidéos montrant des suicides, des vidéos montrant des enfants abattus, un jeu vidéo mettant en scène un tueur entrant dans une école... Il avait bloqué les fenêtres de sa chambre avec des sacs poubelle noirs, ainsi que celles de la salle d'ordinateur à côté. Personne n'avait le droit d'y entrer. Le rapport précise aussi qu'il n'avait donné aucune indication à qui que ce soit de ce qu'il préparait, qu'il a agi seul et qu'il avait prémédité son geste.
Sur son corps, à l'école, les enquêteurs ont retrouvé 253 munitions. Après avoir tiré sur une porte vitrée pour entrer dans Sandy Hook avec une arme semi-automatique, vers 9 h 30, il avait tué la directrice et la psychologue qui s'étaient précipitées en entendant le bruit, puis était entré dans deux classes de CP : dans la première classe, il avait tué l'enseignante, son assistante et 15 enfants de 6 et 7 ans avec son arme semi-automatique. Un seul enfant avait survécu. Dans la deuxième classe, Lanza tuera les deux adultes, et cinq enfants. Neuf petits écoliers réussiront à s'enfuir. (...)
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=16145&st=45&hl=
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pas tout à fait inexpliquée... trois éléments, dans la situation psychique du moment, chez Lanza :
(par ordre d'importance)
- période critique septennale des 21 ans
- jour critique intellectuel i17 la veille du drame 
- l'épisode triplement critique qui précède le drame (P17/P19 - E8)
le drame lui-même est commis en jour neutre mais à l'issue des éléments 2 et 3 ci-dessus, le lendemain matin d'un "jour critique du cerveau"
- natif du 22

14 décembre 2012 (22/04/1992)
Je 6
Ve 7
Sa 8
Di 9
Lu 10 P(17)
Ma 11 P(18)
Me 12 P(19) E(8)
Je 13 I(17)
Ve 14
Sa 15
Di 16
Lu 17 P(1)

psychopathe

Un chercheur en neurosciences découvre qu'il a le cerveau et les gènes d'un psychopathe
Dans un livre paru le mois-dernier, The Psychopath Inside, le chercheur en neurosciences James Fallon raconte avoir découvert qu'il avait le cerveau et les gènes d'un psychopathe. Il examinait, rapporte le site Smithsonian, des images du cerveau (scan) de tueurs en série, dans le cadre d'un projet de recherche à l'Université de Californie à Irvine, afin d'identifier des patterns anatomiques liés aux tendances psychopathes dans la vie réelle. (...)
Il présentait une faible activité dans certaines zones des lobes frontaux et temporaux liées à l'empathie, la moralité et la maîtrise de soi. Ses vérifications ont abouti à "une révélation troublante": le cerveau psychopathique était le sien. "Je n'ai jamais tué personne, ou violé quelqu'un" dit-il. "Donc, la première chose que j'ai pensé était que peut-être mon hypothèse était fausse, et que ces zones du cerveau ne reflètent pas la psychopathie ou le comportement meurtrier".
Mais les résultats de tests génétiques ont montré qu'il portait tous les allèles connus pour être liés à risque élevé d'agression, de violence et faible empathie tels qu'une variante du gène MAO-A. Finalement, suite à des recherches supplémentaire sur la psychopathie, il a conclu qu'il était vraiment un psychopathe, d'un type relativement bon, que lui-même et d'autres appellent un "psychopathe pro-social", quelqu'un qui a du mal à ressentir une véritable empathie pour les autres, mais qui maintient tout de même son comportement à peu près dans les limites socialement acceptables.
La découverte n'était pas tout à fait un choc, admet-il, car il a toujours été conscient d'être quelqu'un particulièrement motivé par le pouvoir et la manipulation des autres. De plus, sa famille comprend 7 meurtriers présumés, incluant Lizzie Borden, célèbre accusée du meurtre à la hache de son père et de sa belle-mère en 1892. Mais le fait qu'une personne ayant les gènes et le cerveau d'un psychopathe puisse devenir un scientifique non-violent, stable et qui réussit l'a amené à reconsidérer l'ambiguïté du terme psychopathie. Ce n'est pas tous les psychopathes qui tuent; certains, comme Fallon, présentent d'autres types de comportements psychopathes.
Pourquoi a-t-il pu tempérer son comportement, alors que d'autres deviennent violents et finissent en prison ? Fallon qui croyait auparavant au déterminisme génétique croit maintenant que son enfance a contribué à l'empêcher "de prendre un chemin plus effrayant". "J'étais aimé, et ça m'a protégé" dit-il. En partie à cause d'une série de fausses couches qui ont précédé sa naissance, il a reçu beaucoup d'attention de ses parents. Il y a aussi un troisième ingrédient, souligne-t-il, en plus de la génétique et de l'environnement: le libre arbitre. "Depuis que j'ai trouvé tout cela", dit-il, "j'ai fait un effort pour essayer de changer mon comportement". "J'ai fait plus consciemment des choses qui sont considérées comme la bonne chose à faire, et pensé plus aux sentiments des autres". Mais, ajoute-t-il, "en même temps, je ne fais pas cela parce que je suis bien tout à coup, je le fais à cause de l'orgueil, parce que je veux montrer à tout le monde et à moi-même que je peux retirer cette influence." " Source : PSYCHOMEDIA.QC.CA (25 novembre 2013)
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=42815

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intéressant... j'aurais tendance à y rajouter les mêmes éléments qui m'intéressent toujours... ce sont les épisodes de pulsions/désinhibition de nos cycles psychiques et c'est à mon avis leur survenance périodique qui fait momentanément se lever l'empathie alors que les pulsions affaiblissent la maîtrise de soi... ce qui peut conduire à un drame si d'autres éléments extérieurs et un scénario adéquats sont présents. la personnalité étant à considérer également... 
jours et périodes critiques sont ainsi des éléments déclencheurs d'un drame et il sont très fréquemment voire généralement... présents, pour cela...

et le cas cité de Lizzie Borden est un exemple intéressant... car sa situation comporte deux éléments forts qui ne vont pas du tout en sa faveur... même si elle a été acquittée faute de preuves suffisantes... :

Lizzie Andrew Borden (19 juillet 18601er juin 1927) était une vieille fille de Nouvelle-Angleterre, qui fut la figure centrale d'une affaire judiciaire autour du double meurtre à la hache de son père et de sa belle-mère, le 4 août 1892 à Fall River, dans le Massachusetts, aux États-Unis. Les meurtres, le procès, et le suivi du procès par les médias devinrent une « cause célèbre », et ce fait divers a conservé sa notoriété dans la culture populaire américaine et dans la criminologie. Même si Lizzie Borden fut acquittée lors de son procès, personne d'autre ne fut poursuivi, et elle est devenue une icône du folklore américain. Le débat sur l'identité réelle du tueur persiste jusqu'à ce jour. (Wikipédia)

août 1892 (19/07/1860)
Août 1892
Lu 1 P(18)
Ma 2 P(19)
Me 3
Je 4 E(1)
Ve 5
Sa 6
Di 7 P(1) I(26)

par ordre d'importance : 
- jour critique émotionnel E1 (le plus fort des quatre jours critiques de ce cycle)
- proximité de son 32ème anniversaire 
- proximité de l'épisode critique physique P18/P19

demande

Un meurtrier et violeur en série veut être euthanasié parce qu'il va "certainement récidiver"
Le juge des référés de Bruxelles n'a pas pu poursuivre lundi le traitement du dossier concernant Frank Van Den Bleeken, un homme se trouvant en prison depuis près de 30 ans et actuellement interné dans l'aile psychiatrique de la prison de Merksplas.
L'intéressé avait demandé en octobre dernier à pouvoir être transféré dans une institution aux Pays-Bas ou à être euthanasié, estimant qu'il ne recevait pas de soins adaptés dans notre pays. Le 16 décembre prochain, la cour d'appel devra se pencher sur ce dossier, la ministre de la Justice Annemie Turtelboom ayant fait appel d'un jugement intermédiaire du juge des référés demandant la réalisation de devoirs complémentaires. Frank Van Den Bleeken, qui aura bientôt 50 ans, se trouve en prison depuis près de 30 ans pour plusieurs viols, dont un qui s'est terminé par le meurtre de sa victime et pour lequel il a été condamné il y a 25 ans. Il estime que, s'il sort de prison, il récidivera "certainement et rapidement", n'ayant, selon lui, pas reçu de soins adaptés en Belgique.
Il y a trois ans, Frank Van Den Bleeken avait demandé à être euthanasié en raison d'une souffrance psychique insupportable. La Commission fédérale Euthanasie lui avait toutefois répondu qu'elle n'examinerait cette demande que lorsque toutes les possibilités thérapeutiques seraient épuisées. L'homme a récemment demandé à pouvoir être transféré aux Pays-Bas dans une clinique néerlandaise spécialisée où il pourrait bénéficier de soins adaptés mais la Commission de défense sociale de Bruxelles, dépendant du ministère de la Justice, et son instance d'appel ont refusé un tel transfert, argumentant que la loi belge ne permettait pas d'extrader à l'étranger des internés. Frank Van Den Bleeken a en conséquence décidé de citer en référé Annemie Turtelboom. Le juge des référés a décidé de demander des devoirs complémentaires dans ce dossier, constatant que d'autres internés étrangers ont déjà été accueillis dans l'institution néerlandaise en question. Il souhaite savoir si la ministre de la Justice avait déjà étudié la possibilité d'un tel transfert pour Frank Van Den Bleeken, et a en outre demandé à consulter le dossier d'internement ainsi que les rapports psychiatrique et psychosocial. La ministre est allée en appel de cette décision, ce qui a pour conséquence de renvoyer provisoirement le dossier devant la cour d'appel. Il sera étudié le 16 décembre, avant d'ensuite revenir devant le même juge des référés le 19 décembre."
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=42818

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il y a trois ans l'intéressé se trouvait dans son année critique P1 et entrait ensuite dans sa période critique septennale des 49 ans, ce qui peut éventuellement expliquer sa dépression, ses douleurs psychiques, et sa demande d'euthanasie. le meurtre pour lequel il a été emprisonné a l'air d'avoir été commis en période critique septennale des 21 ans.

drame

Déjà suspecté d'un meurtre en 2008, un homme tue son ex-femme à Molenbeek
Son ex ne lui a laissé aucune chance en la poignardant pas moins de huit fois tant à hauteur du thorax que de la gorge…
Voilà un énième drame qui rappellera – si tant est qu’il le fallait encore – que la journée internationale d’hier pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes n’a pas été instituée pour rien Pas plus tard que dimanche, Hanane M., 35 ans, a été sauvagement assassinée par son ex-mari, Badr E. M., 34 ans. Cela, au sein de son appartement molenbeekois sis boulevard Louis Mettewie.
Son assassin s’est présenté aux alentours de 16 h 55 sur le pas de sa porte. “Il a toqué à de multiples reprises mais sans succès”, raconte la voisine qui a pu donner l’alerte en temps réel. “Comme son ex-femme ne voulait pas lui ouvrir, il a ensuite défoncé sa porte moins de trois minutes plus tard. J’ai alors entendu deux à trois cris de détresse et, puis, plus rien mis à part des boums comme s’il y a avait une bagarre.” Avant de contacter nos services de police sur le coup de 16 h 59, notre voisine s’est encore présentée à son tour sur le pas de porte de la victime. “J’ai demandé ce qu’il se passait mais s’en est suivi un long silence pour seule réponse…”
Arrivés sur place, les intervenants n’ont quant à eux pas eu de mal à coincer l’assassin. Badr. E. M. se trouvait alors juste à côté du corps de son ex-femme et leur a lancé  : “C’est moi qui ai fait ça”
Hanane M. gisait dans une mare de sang au beau milieu de son salon. Il l’avait poignardée pas moins de huit fois tant à hauteur du thorax que de la gorge. Les policiers locaux de la zone Bruxelles Ouest ont tenté de stabiliser la victime en attendant l’arrivée des services de secours mais il n’y avait malheureusement plus rien à faire. Âgé de 13 ans, le fils d’Hanane M. n’a pas assisté à la scène mais il a toutefois pris connaissance du drame en regagnant son domicile à l’issue du week-end qu’il venait de passer chez son papa biologique. Précisons que Badr. E. M. n’en serait pas à son coup d’essai puisqu’il aurait déjà été inquiété en 2008 pour… un meurtre." Un article de D. Ha. & Gilbert Dupont.
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=42819

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l'auteur du meurtre entre dans sa période critique septennale des 35 ans, donc drame septennal, et probablement récidiviste septennal, 2008 étant à mettre en rapport avec la période critique septennale des 28 ans qui vient alors de se passer.

suicide

Un enfant de 12 ans retrouvé pendu dans les Yvelines
Un enfant de 12 ans a été retrouvé pendu ce lundi soir, peu après 18 h 30, dans sa chambre, à son domicile de Limay (Yvelines). Le garçon était hébergé dans une famille d'accueil. Ce sont les parents de cette famille qui l'ont découvert. Il a été rapidement pris en charge par les secours et transporté à l'hôpital dans un état désespéré. L'enfant est décédé dans la soirée. On ne connait pas encore les raisons de son geste." Un article de Medhi Gherdane. Source : LE PARISIEN.FR (26 novembre 2013)
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=42822

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suicides

Paris: nouveau suicide d'un couple de retraités
Deux octogénaires ont été retrouvés morts hier à leur domicile parisien après avoir mis fin volontairement à leurs jours quatre jours après le suicide d'un autre couple de retraités dans une chambre d'un hôtel de luxe, a annoncé aujourd'hui une source policière.
"Ce couple s'est visiblement suicidé en absorbant des médicaments". Les deux retraités, âgés de 84 et 81 ans, ont été retrouvés par la femme de ménage dans leur chambre, dans l'ouest de Paris. Ils ont laissé "un courrier dans lequel ils expliquent leur geste", selon cette source, confirmant une information du Parisien. Vendredi, un mari et sa femme, tous deux âgés de 86 ans, ont été retrouvés morts dans la chambre d'un grand hôtel parisien, le Lutetia. Ils avaient décidé de se suicider dans cette chambre après y avoir passé leur dernière nuit ensemble. Le couple avait été retrouvé vendredi matin par le personnel. Ces deux octogénaires avaient aussi laissé une lettre dans laquelle ils expliquaient leur geste. Ils avaient été retrouvés sur le lit, "un sac plastique sur la tête et se tenant la main", a expliqué une autre source policière.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/11/26/97001-20131126FILWWW00272-paris-nouveau-suicide-d-un-couple-de-retraites.php

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déserteur

Le légionnaire au masque de tête de mort dépressif, deux fois déserteur et condamné à 3 ans avec sursis
La photo AFP du légionnaire du 1er REC d'Orange avait fait le buzz en janvier et posé des questions sur l'image de l'armée française en opération (relire ici notre texte de l'époque). La communication est une arme en OPEX. Et l'état-major lui avait volé dans les plumes à son retour d'opération. Non en le rapatriant illico. Le colonel Bruno Louisfert, chef du SIRPA Terre, nous l'affirme ce lundi 25 novembre, en apportant quelques précisions sur la fin de parcours chaotique de ce légionnaire. Cette affaire n'aurait pas dû aller plus loin mais le légionnaire a sombré dans la dépression depuis... Il a été condamné à 3 ans avec sursis vendredi pour avoir menacé un pharmacien d'une kalachnikov. Triste histoire. Selon le colonel Bruno Louisfert, et contrairement à ce qui a été dit et écrit à l'époque, le légionnaire fautif n'a " pas été rapatrié. Il a fini sa mission avec son escadron et est rentré fin février. Il n'a pas non plus été sanctionné de 40 jours. Sa sanction fut beaucoup moins lourde ". Sans précision supplémentaire sur le format de la sanction en question. " On ne communique pas là dessus. " Reste que le parcours de ce Polonais de 36 ans s'est ensuite mal terminé. En plusieurs temps administratifs selon le chef du SIRPA Terre. Parti en permission, il fut porté absent mi-avril pour absence irrégulière et ne répondait plus aux sollicitations. Alors porté déserteur, il revint de lui-même mi-mai. Il fut alors sanctionné pour désertion (sans précision mais on peut envisager une suspension de la solde pendant l'absence, puis une peine de 20 jours d'arrêt pour une première désertion et 40 pour une seconde)(...)
http://defense.blogs.lavoixdunord.fr/archive/2013/11/25/le-legionnaire-au-masque-de-tete-de-mort-depressif-et-condam-12405.html

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comportements et dépession septennale ? (période critique septennale des 35 ans)

une case en moins

UNE CASE EN MOINS - La dépression, Michel-Ange et moi Dessin et scénario : Ellen Forney - Editeur : Delcourt, collection Outsider - Prix : 15 euros. Un artiste est-il fou, un fou est-il artiste ? Au vu de l’imposante liste des peintres, poètes et écrivains atteints d’un syndrome bipolaire (ou présumés comme tels), on peut se poser la question. D’ailleurs c’est aussi celle que se pose Ellen Forney, dessinatrice américaine d’à peine 30 ans, elle-même diagnostiquée bipolaire chronique. Sélectionné dans la liste des best-sellers du New York Times, "Une case en moins" est le journal de bord de la jeune femme, de l’acceptation de la maladie (aux périodes d’euphorie créatrice succèdent celles de dépression) à la "stabilisation" en passant par les séances de psy, les essais de traitements médicamenteux, le yoga et l’exercice de la bande dessinée comme forme de thérapie. Diplômée en psychologie et professeur de BD au Cornish College of Arts à Seattle, Ellen Forney traîne avec elle un bon bagage. Sur la forme, l’album de 256 pages fourmille de techniques inventives pour nous décrire son quotidien hors norme : listes, tableaux, schémas et esquisses sont là pour expliquer au lecteur la complexité de la maladie. Dans ses périodes d’euphorie, le cerveau d’Ellen est comme en ébullition, des dizaines d’idées s’échappant à la minute. Les planches partent alors aussi dans tous les sens. Bien sûr, ce roman graphique a un côté redondant mais c’est aussi le propre de la maladie de resurgir à intervalles réguliers. Sur le fond, le propos est à la fois touchant et plein d’autodérision. "Une case en moins" est donc un album instructif d’une qualité narrative incontestable. Ellen Forney a été nominée à deux reprises aux prestigieux Eisner Awards ("I Love Led Zeppelin", "I was seven in ’75"). - Delcourt

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le trouble bipolaire a de fréquents liens avec nos cycles psychiques et émotionnels et les downs correspondent souvent aux périodes et jours critiques...
Ellen Forney est née le 8 mars 1968 est est donc passée par ses périodes critiques des 28 ans en 1996, des 35 ans en 2003 puis celle des 42 ans en 2010.
elle a apparemment aussi intitulé l'un de ses livres "j'avais 7 ans en 1975" - sa première période critique septennale... (paru en 2001) :-)
son site http://ellenforney.com/