de la dispute au féminicide...
le psychisme de l'humain, nos humeurs, nos émotions, ne sont pas stables et uniformes, mais ils oscillent régulièrement. ces oscillations sont des "pulsations du vivant" et se produisent avec une régularité horlogère à partir de notre jour de naissance et jusqu'à notre mort. cette régularité permet de repérer
et connaître à l'avance nos "jours et épisodes critiques"... jours et
épisodes "à risque"... les effets induits par ces jours et épisodes
critiques étant un effet de pulsions et simultanément de désinhibition. l'effet de pulsions peut nous inciter à agir, réagir, et remettre en cause, (d'où les disputes et différends, voire les ruptures) alors que l'effet de désinhibition va faire en sorte que nous osions, que nos barrières habituelles soient levées
(d'où les drames en jours et épisode critiques bien plus fréquemment
qu'à d'autres moments, parce qu'alors on ne peut pas se retenir ou on
n'a pas envie de se retenir, bien au contraire, nos comportements peuvent devenir excessifs)...
car ce sont ces jours et épisodes critiques qui généralement sont à l'origine d'états très variables qui peuvent aller de la déprime à la mauvaise voire très mauvaise humeur, de la colère, voire de la rage...
ce sont ces épisodes de "dépression" (au sens "météo" et non pas au sens maladie) qui seront très
fréquemment à l'origine de différends, disputes, mésententes - pouvant
aller jusqu'à la volonté de rompre, et alors dans l'extrême...
au drame lorsqu'un conjoint en vient à être violent voire à tuer
l'autre...
c'est un travail et une recherche qui restent encore à faire pour confirmer le mécanisme (car nos jours et épisodes critiques sont une pure mécanique du vivant et de notre psychisme) :
lorsque l'on prend la date de naissance d'une personne auteur et/ou parfois aussi victime de violences ou d'un drame, on trouvera généralement un ou plus souvent plusieurs
des éléments critiques déclencheurs cités ci-dessous. il s'agit ensuite d'apprendre à gérer ces éléments lorsqu'ils surviennent... (et ils sont connus à l'avance)...
prévention : connaître le mécanisme qui est au fond assez simple,
- repérer et connaître ses jours et épisodes critiques et être alors d'une prudence particulière dans ses actions et réactions
- repérer et connaître les jours critiques de l'autre aussi
- vérifier la situation de ses rythmes et cycles en cas de mal-être
aussi
bien sûr se rappeler que le conjoint (et les enfants) ne sont pas notre
propriété, que les mésententes possibles sont humaines et doivent être
réglées autrement que par la violence...
- l'alcool intervient assez fréquemment lors de certains types de violences : il faut savoir - et donc se méfier - que nos jours et épisodes critiques peuvent donner envie de boire ou de boire plus...
quels sont alors ces rythmes qu'il convient d'observer ?
ce sont certains jours, certaines semaines et certaines années...
- élément important car fréquent puisque hebdomadaire, facile à se rappeler, est le jour critique émotionnel ... qui est toujours le jour de la semaine où nous sommes nés (parce
qu'il s'agit d'une pulsation tous les sept jours) (c'est ainsi qu'il
arrive que des gens se disputent chaque semaine le jour de naissance de
l'un et/ou de l'autre)(attention le jour critique émotionnel démarre
déjà la veille au soir : par exemple un natif du dimanche devra toujours
être sur ses gardes dès samedi soir et jusqu'à dimanche soir - les jours voisins doivent aussi être observés)
- épisodes critiques semestriels : facile aussi, puisqu'il s'agit des semaines autour, avant et après l'anniversaire, ainsi qu'à l'opposé de cette période donc à six mois de là... (5/7mois)
- périodes critiques septennales (facile aussi, puisqu'il s'agit de nos années d'âge de la table de sept les années voisines étant aussi à observer.
un peu moins fréquemment en cause, mais à mentionner :
- années P1 et année i1 : âges autour de 23 et 46 ans (années P1 s'agissant d'un rythme - physique - de 23 années), et autour de 33 ans (année i1 d'un autre rythme - du cerveau et de la pensée - de 33 ans)
- jours P17/P18/P19 : c'est là le seul élément qui est un peu plus compliqué à repérer : un possible "down" qui se produit tous les 23 jours et qui est repérable sur ce logiciel calendrier http://biorythm.online.fr/w/
(épisode important car il peut être à l'origine d'effets analogues à ceux du jour critique émotionnel cité en premier), donc ce sont les jours marqués P18 sur le graphique, et jour avant et suivant)
et enfin... il est encore important de savoir que les éléments ci-dessus peuvent survenir séparément ou ensemble, et qu'ensemble ils seront d'un effet bien plus prononcé...
par exemple si le jour critique émotionnel est hebdomadaire, il va être de plus d'effet s'il survient en épisode critique semestriel, et ces éléments pourront faire encore plus d'effet s'ils surviennent en période critique septennale...
(ces éléments peuvent être à l'origine de dépressions "hebdomadaires", "semestrielles", ou "septennales", sachant
qu'un état dépressif peut parfois induire de l'agressivité et de la
violence... ils sont aussi fréquemment présents en cas de suicide, par exemple)
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
pages
- Accueil
- bonjour !
- en résumé
- apprenons à utiliser
- analyser
- effets
- modification de nos paramètres
- années de vie
- jours critiques des rythmes courts
- épisodes critiques semestriels
- périodes critiques des cycles longs
- pulsions/désinhibition
- rythmes et cycles
- cycles de l'humeur
- dépression
- prévention des drames
- prévention du suicide
- suicide sur RV
- prévention des accidents
- biorythmes
- jour critique émotionnel
- glossaire
- ce qu'il est utile de savoir avant d'être mal...
- rythmes courts à voir
- éléments moteurs
- éveil
- en pratique "petit guide"
- le secret des faits divers
- pulsations du vivant
- sauts évolutifs
- violences et drames conjugaux
- disparitions
- questionnements
- similitudes
- pédophilie septennale
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire