disparitions

si elles ne sont pas accidentelles (elles arrivent alors surtout en jour critique physique), elles ont tendance à survenir suite à de gros coups de blues ou dépression, ou aussi suite à des différends et disputes, coups de colère, et alors de préférence le jour critique émotionnel (ou jour voisin) ou en épisode critique semestriel et/ou période critique septennale et elles ne sont pas sans risque, à ce moment-là, s'agissant d'éléments "colère", "prise de risque", et/ou désespoir. le risque peut être accentué par l'effet de désinhibition que peuvent provoquer jours et épisodes critiques : ils peuvent alors inciter à d'éventuelles "mauvaises rencontres"... ou décisions excessives...
un jour critique intellectuel semble aussi  pouvoir donner lieu à disparition (jour critique du cerveau donc moins un mouvement d'humeur)
(l'épisode critique physique et émotionnel P17/P18/P19 (tous les 23 jours)  peut être en cause aussi, car important équivalent du jour critique émotionnel)


prévention : en cas de souci examiner la situation de ses rythmes... (ici pour les rythmes courts car ce sont surtout eux qui ont un effet "au jour le jour" : http://biorythm.online.fr/w/ ) il faut toujours avoir présent à l'esprit que notre jour critique émotionnel (c'est le jour de la semaine où nous sommes nés) et notre période critique semestrielle (c'est les parages de notre anniversaire et à l'opposé à six mois de là) et/ou une période critique septennale (ce sont nos années d'âge de la table de sept et années voisines) sont des éléments qui ont la propriété de "grossir" la perception de nos problèmes et peuvent nous faire avoir des réactions excessives, qui pourront parfois conduire à prendre de gros risques (le jour critique émotionnel est aussi, pour cela, le "jour des suicides").
si on a pris le pli, on sait qu'il est indispensable de relativiser et se maîtriser, de s'interdire des actes graves, auxquels nous pourrions être poussés parce que nous nous trouvons momentanément en situation de pulsions/désinhibition de notre psychisme. en quelque sorte ne pas se "faire piéger", se surveiller et "se tenir à carreau" notre jour critique émotionnel. (c'est toujours le jour de la semaine où nous sommes nés - donc attention à sa survenance hebdomadaire : résultat d'un rythme à pulsation de notre humeur chaque septième jour de notre vie à partir du jour de naissance)... on peut réellement se dire que "demain çà ira mieux", ce qui est généralement le cas une fois le jour critique passé. (surveiller toutefois aussi les jours qui entourent le jour critique émotionnel - jour avant et jour après - car l'effet peut se communiquer)
(surveiller ensuite les jours et épisodes critiques à venir (le jour critique émotionnel, par exemple, est hebdomadaire) car ils peuvent donner lieu à récidive de soucis, problèmes et comportements)... 

pour prévenir les problèmes, il nous faudra encore apprendre à repérer, expliquer et soigner les possibles dépressions hebdomadaires, semestrielles et septennales... liées aux rythmes naturels du psychisme humain...

lorsqu'une personne disparaît on peut avoir de suite certains éléments en regardant la situation de ses rythmes au moyen de sa date de naissance (jour critique émotionnel ou jour voisin, épisode P17/P19, épisode critique semestriel, période critique septennale, jour critique intellectuel, etc... sont autant de possibles "éléments dépression" pouvant alors tendre - mais sans certitude, bien sûr, vers une disparition volontaire...

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