il ne s'agit que d'une indication mais qui peut être très utile si l'on veut essayer de comprendre ce qui a pu arriver. une personne aura en effet plus tendance à agir ou réagir d'une certaine façon, à passer à l'acte, bien plus à un moment donné - celui de ses pulsions cycliques - plutôt qu'à un autre moment.
ce regard permet d'analyser les événements passés, ceux présents, et il permet aussi de prévenir d'éventuels risques futurs...
que faut-il regarder ? (je pratique ainsi pour tous les faits divers qui m'intéressent de plus près, si je veux avoir une sorte de "radiographie de l'état des personnes" au moment précis d'un fait divers).
- la personne se trouve-t-elle dans une période critique septennale, ou au moment de l'entrée dans une telle période ou encore au moment de la sortie d'une telle période : la période critique septennale est une période qui peut être de fortes perturbations (dépression, agressivité, pulsions, désinhibition, etc...) et le moment de l'entrée dans cette période se situe environ un an avant un anniversaire septennal, donc l'anniversaire précédent).
- la personne se trouve-t-elle dans son jour critique émotionnel ? il s'agit du jour de naissance de la personne : né un mardi on se trouve dans son jour critique émotionnel toujours du lundi soir (18H environ étant pic de pulsions/désinhibition car moment de l'entrée dans une nouvelle "journée chronobiologique") et jusqu'au mardi soir, ce tout au long de sa vie. et ce jour est aussi - comme la période précédente mais en raccourci - un jour de perturbations possibles liées à un effet de pulsions/désinhibition. (par exemple jour des coups de blues, des disparitions et suicides (suite à coup de blues subit et violent que j'appelle "dépression foudroyante", des disputes, des "dérapages" parfois violents, jour des drames et passages aux actes...)(il faut observer les jours à côté également)
- la personne se trouve-t-elle à proximité de sa date anniversaire ? les quatre semaines environ qui précèdent et celles qui suivent la date anniversaire sont une période de possibles "pulsions/dépression" (passages à l'actes suicidaires p.ex., violences aussi...) (voir aussi à l'opposé, à six mois de là, s'agissant d'un rythme semestriel dont aussi pic de pulsions à 5/7 ou 7/5 mois de l'anniversaire)
- la personne se trouve-t-elle dans un jour critique physique ? c'est jour de pulsions physiques et émotionnelles, mais aussi jour "maillon faible" de notre organisme.. (incidents de santé)... (les jours P17/P18/P19 sont particuliers, car pouvant équivaloir à un jour critique émotionnel cité plus haut)
- la personne se trouve-t-elle dans un jour critique intellectuel ? le jour critique intellectuel est un jour critique du cerveau et de la pensée pouvant conduire, du fait d'une hyperactivité cérébrale ce jour-là, à de graves comportements perturbés. (parfois du ressort de la psychiatrie)(idem autour des âges de 26 et 33 ans)
lors de l'analyse d'un scénario il faut, si plusieurs personnes sont impliquées, s'intéresser à la situation cyclique de chacune d'entre elles : dans le cas d'un drame familial par exemple ou d'une altercation, il arrive que ce soit parfois la victime et pas systématiquement l'auteur, qui se trouve dans l'une des "situations à risques" décrites ci-dessus. cela peut alors être le résultat de réactions et comportements particuliers liés à cette situation et qui auront induit une action chez l'autre, ce qui arrive plus fréquemment que l'on pense.
mais encore... (et ceci est important) si un suicide ou un drame familial sont le plus souvent liés à une période ou un jour critique s'ils arrivent par exemple à 34/35 ans, 41/42 ans, 48/49, ou 55/56 ans, etc... etc... quid des événements arrivant en dehors de ces "périodes critiques" ? il faut alors examiner l'origine et le point de départ des problèmes et remonter parfois un ou deux ans sinon bien plus, même, en amont car il peut s'agir par exemple d'une dépression ayant démarré lors des années dont je parle ci-dessus : ainsi une personne suicidaire et qui passe à l'acte à 32 ans va peut-être avoir des problèmes liés à une dépression septennale arrivée lors de ses 28 ans, et dont elle ne s'est pas sortie depuis... idem pour un père ou une mère à l'origine d'un drame familial, par exemple. et en dehors d'une période critique septennale c'est souvent le jour critique émotionnel - équivalent court - qui est présent, et joue le rôle d'un "déclencheur".
tout cela me fait penser que les épisodes de pulsions de nos rythmes et cycles psychiques et émotionnels (cycles longs et rythmes courts) jouent presque toujours un rôle lors d'événements dramatiques : il faut en effet un déclencheur suffisamment puissant pour en arriver à certaines extrémités.
exprimé autrement, les drames ont tendance à arriver, voire souvent ne peuvent arriver que lors de certaines "fenêtres" cycliques : c'est la présence de ces fenêtres, certes fréquentes et d'effet et d'intensité variable, qui permettent souvent de mieux comprendre un drame arrivé, mais aussi de faire une efficace prévention.
les cycles longs produisent et régissent des périodes critiques plus ou moins longues arrivant de façon espacée, souvent de plusieurs années,
les rythmes moyens sont à épisodes critiques semestriels
alors que les rythmes courts sont à l'origine de jours ou épisodes critiques courts et de façon rapprochée. (tous les quelques jours). et les jours critiques des rythmes courts sont encore plus à risque s'ils se situent à l'intérieur d'une période critique semestrielle ou longue, s'ils surviennent ensemble ou successivement...
en fait beaucoup d'actes graves ont tendance à arriver en raison de la présence par hasard coïncidente, d'éléments "pulsions/désinhibition" : si ces éléments qui "poussent et désinhibent", donc modifient notre raison et notre raisonnement, ne sont pas là du fait d'une autre situation cyclique de la personne à ce moment-là, il y a de fortes chances qu'un scénario n'arrive pas ou se déroule différemment.
important encore : ne pas oublier que alcool et drogues ont tendance à cumuler leurs effets un peu analogues, avec ceux des jours et épisodes critiques des rythmes et cycles.
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EN MATIERE CRIMINELLE, l'observation des rythmes et cycles peut apporter des réponses ou des éléments très intéressants : elle permet d'avoir ce que j'appelle une "radiographie de l'état des personnes" au moment d'un drame. c'est une sorte de "détecteur des éléments déclencheurs"...
afin qu'un drame puisse arriver il faut que certaines conditions, certains éléments, soient réunis, et les éléments de nos différents rythmes et cycles psychiques et émotionnels en font partie : ils sont même essentiels, car ils sont en quelque sorte les clés qui permettent à un drame d'arriver, au point que j'ai tendance à penser que le drame ne peut arriver sans l'un ou l'autre - souvent plusieurs - de ces éléments clés...
ce sont donc eux qu'il faut rechercher et analyser et eux que l'on trouvera très fréquemment.
en amont ce sont donc aussi eux, qui, pris et observés à l'avance, devraient permettre de faire une prévention efficace.
(ce sont d'ailleurs aussi ces mêmes éléments qui vont faire faire les "bêtises"... qui vont envoyer les gens en prison...)
par exemple...
alcool : la consommation d'alcool a une incidence sur le fonctionnement des rythmes naturels de l'humain : elle peut déclencher prématurément des actions par suite d'un cumul de l'effet de désinhibition lié à sa consommation et à la survenance de jours et épisodes critiques ; par ailleurs la survenance d'un jour ou épisode critique peut aussi pousser à boire en raison de l'humeur alors possiblement dépressive...
aveux : le jour critique émotionnel est notre "jour de vérité".
nous sommes "différents" et dans un "état particulier" ce jour-là, de
sorte que l'on peut tenir compte de cela pour opérer un interrogatoire
par exemple. nous sommes fragilisés et moins enclins à mentir. mais
comme nous avons moins de moyens de résistance il y a aussi le risque
que nous acceptions de dire n'importe quoi, ce dont il faut tenir
compte.
en
général cependant, je pense que l'on peut "profiter" du jour critique
émotionnel d'une personne, un délinquant, ou meurtrier p.ex., pour
l'interroger ce jour-là : on aura devant soi une personne plus
"authentique", plus vraie et "honnête", plus sensible mais aussi plus
fragile, qu'un autre jour.
le jour critique émotionnel peut cependant aussi avoir l'effet inverse et devenir un jour de blocage, de colère...
"bavures" : ce sont des erreurs souvent graves et
qui peuvent être commises par un policier au cours d'une opération,
mais aussi par un malfaiteur ou même un tiers en cause... et elles sont
bien plus rendues possibles lorsque les personnes se trouvent dans une situation critique. (voir
dans la rubrique "meurtre" ci-dessous car ce sont les mêmes éléments
pulsions/désinhibition qui font que l'on est plus enclin à l'erreur ou
aux réactions violentes ou impulsives...)(j'appelle parfois le jour
critique émotionnel et la période critique septennale jour ou période "de la gâchette facile")...
bébé secoué : lorsqu'un bébé est secoué c'est fréquemment parce qu'il pleurait trop et que l'adulte ne le supporte plus. or bébé a tendance à pleurer de façon insistante son jour critique physique. l'adulte, quant à lui, a tendance à craquer son jour critique émotionnel, et parfois certains jours critiques physiques forts, et aussi autour de ses périodes critiques septennales et autres périodes critiques des cycles longs.
différend : la situation d'autres personnes (mêlées lors d'un différend ou d'une dispute par exemple) doit également être examinée car les éléments critiques et déclencheurs peuvent se trouver parfois chez la victime et pas toujours ou uniquement chez l'auteur d'un drame. certaines situations font en effet que - malgré nous - nous devenons experts en provocation et en moyens de faire exploser l'autre. (lorsque nous nous trouvons en jour ou période critique émotionnelle par exemple)
disparition : lors de la disparition d'une personne l'examen de sa situation cyclique permet parfois d'avoir de suite une première idée sachant par exemple que le jour critique émotionnel est fréquemment présent en cas de fugue, hélas aussi en cas de suicide. une période critique septennale aussi... parfois certains jours critiques physiques qui peuvent être des jours de mal-être "moral" également (surtout l'épisode P17/P18/P19) ; la proximité de l'anniversaire, aussi... ou à six mois de là...
un jour critique intellectuel semble pouvoir donner lieu à disparition (jour critique du cerveau donc moins un mouvement d'humeur, mais plus lié à hyperactivité cérébrale)
chez un enfant un jour critique émotionnel peut signifier aussi un enlèvement, l'enfant accosté étant fragilisé ce jour-là car plus et trop confiant, et enclin à se faire convaincre car il sera plus favorable aux contacts...(désinhibition)
DRAMES FAMILIAUX ET CONJUGAUX :
l'un ou l'autre ou plusieurs des éléments suivants sont très souvent présents.
- période critique septennale (séjour ou entrée dans la période critique)
- jour critique émotionnel (E1 - E8 - E15 - E22)(le jour-même ou le jour à côté)
- certains jours critiques physiques (P1 - P17/P18/P19 - P6/P7 - P12)
- certains années critiques physiques (23 ans, 47 ans, p.ex.)
- la proximité de la date anniversaire ou à six mois de là
- certains jours critiques intellectuels (i1 - i9 - i17 - i26)
- certaines années critiques intellectuelles (33 ans p.ex.)
si
ces éléments ne sont pas présents, il faut aller regarder en amont pour
tenter de reconstituer le parcours des personnes impliquées dans un
drame.
un
drame perpétré à 37 ou 38 ans peut signifier que les tensions et/ou la
dépression couvent depuis que la personne est entrée dans sa période
critique septennale des 35 ans...
souvent un couple "fonctionne" normalement mais lorsque l'un des deux partenaires arrive dans l'une de ses périodes critiques peut se mettre en route une lente mésentente qui peut finir par une séparation, laquelle peut alors exceptionnellement donner sur un drame familial.
les éléments critiques, éléments "moteurs", peuvent aussi se trouver chez la victime.
"forcené" : un
forcené est souvent une personne qui "craque" par suite de tensions qui
l'accablent (fréquemment par exemple une séparation, une mésentente ou
dispute, etc...) ou encore une personne qui a des problèmes psychiques
ou psychiatriques, ou aussi une personne suicidaire (suicide par police interposée). cela lui arrivera de préférence son "jour maillon
faible" qu'est le jour critique émotionnel, et/ou en période critique des cycles longs. en observant sa situation des rythmes, si la date de naissance est connue, on pourra avoir sur le champ une indication sur la "sévérité" de son état du moment. savoir aussi qu'un jour
critique se termine en principe autour de 18h lorsque démarre la journée
chronobiologique suivante, ce qui peut faire arrêter un comportement ou
l'atténuer... ceci restant toutefois à étudier...
infanticides : voir les rubriques violences conjugales (les violences sur les enfants ont tendance à avoir lieu dans les mêmes conditions) et drames familiaux et conjugaux, également, les éléments "déclencheurs" étant les mêmes.
dans certains cas il faut aussi regarder la situation de l'enfant... chez
lequel on trouvera alors des éléments qui ont pu directement ou
indirectement être en cause lors de violences : un enfant peut être
ressenti comme "insupportable" lorsqu'il se trouve dans une période ou certains jours critiques par exemple... (hyperactif ou colérique son jour critique émotionnel - hebdomadaire - p.ex., insomniaque son jour critique physique, (le jour critique physique est pour cela fréquemment le jour des bébés secoués, etc...) il peut être fragilisé lorsqu'il se trouve dans un jour critique physique, etc...
situations qui peuvent parfois, déclencher une exacerbation chez l'adulte...
meurtre : on peut vérifier s'il y a présence d'un ou plusieurs éléments "pulsions/désinhibition" :
- période critique septennale (séjour ou proximité de la période critique)
- jour critique émotionnel (E1 - E8 - E15 - E22)(le jour-même ou le jour à côté)
- certains jours critiques physiques (P17/P18/P19 - P1 - P6/P7 - P12)
- certains années critiques physiques (23 ans, 47 ans, p.ex.)
- la proximité de la date anniversaire (ou 5/7 mois de cette date)
- certains jours critiques intellectuels (i9 - i1 - i17 - i26)
- certaines années critiques intellectuelles (33 ans p.ex.)
cela reste bien sûr à étudier, mais le jour critique émotionnel semble être présent plus fréquemment en cas d'action impulsive (colère, rage, explosion...) alors que le jour critique intellectuel semble présent lors de meurtres "froids" au point que j'ai tendance à l'appeler (en particulier i9) le "jour des tueurs". un jour critique physique semble présent moins souvent et plus lié à des pulsions physiques. (sauf P17/P18/P19 = physique et émotionnel)
mythomanie :
la police se trouve parfois confrontée à des personnes qui inventent
des agressions... il peut être intéressant là aussi de savoir (mais cela
reste çà étudier statistiquement avec des cas arrivés) que cela a plus
tendance à arriver lorsque les personnes se trouvent en période critique septennale ou en jour critique émotionnel. (dépression septennale et dépression hebdomadaire) ou encore en jour critique intellectuel (plutôt alors du ressort de la psychiatrie).
pédophilie : s'agissant de périodes de pulsions, j'ai constaté la présence très fréquente d'une période critique septennale ou de l'arrivée de celle-ci, lors du "démarrage" ou de la récidive, de certains comportements pédophiles, au point que j'ai tendance à distinguer la pédophilie de la pédophilie septennale. la pédophilie
septennale est souvent une pédophilie occasionnelle d'une personne qui a succombé à ses affects,
émotions et sentiments momentanés en raison de pulsions particulières
orientées et d'une désinhibition survenant périodiquement.
cela reste à étudier,
mais la "pédophilie septennale" donc périodique, semble plus fréquente
que la "pédophilie permanente", ceci étant probablement dû au fait
qu'elle peut concerner beaucoup plus de monde.
psychiatrie : lorsqu'il
arrive des passages à l'acte qui ont un lien avec des états
irresponsables, ceux-ci sont fréquemment commis lors "d'épisodes
pulsions-désinhibition" de leurs auteurs. on peut donc là aussi tenter de prévoir à l'avance les risques de passage à l'acte ainsi que les risques de récidive.
en cause :
- période critique septennale (séjour ou entrée dans une période critique)
- jour critique émotionnel
- jour critique physique
- certaines années critiques physiques et intellectuelles
- la proximité de la date anniversaire ou à six mois de là
- jours critiques intellectuels (car jours critiques d'un rythme du cerveau)
- avec prudence (je note croyant avoir remarqué, mais à étudier et mystère à expliquer : les équilibristes que semblent parfois être, plus que d'autres, certains natifs d'un 22... ou 21...)
récidive : le système peut être très intéressant pour prévenir la récidive puisque l'on connaît les moments à risque... : les récidives ont tendance à avoir lieu en raison de l'effet de pulsions/désinhibition survenant au moments indiqués ci-dessus. on peut donc connaître à l'avance les moments et périodes à risque. (par exemple arrivée d'une période critique septennale, ou jour critique émotionnel hebdomadaire : il faut tenir compte de ces éléments lorsque l'on craint une récidive). (les cycles expliquent par exemple les violences arrivant à sept années d'intervalle (récidive septennale) ou le jour critique émotionnel, çàd toujours le même jour de la semaine ou le jour à côté)... un incident arrivé un jour critique émotionnel pourra parfois se reproduire un autre jour équivalent suivant : le savoir permet de prévenir. d'autant plus important que dans certains cas particuliers les récidives peuvent aller avec des dégâts crescendo...
similitudes :
suicide : on peut vérifier lors d'un suicide si certains "éléments-suicide" sont présents. on trouvera alors fréquemment :
- jour critique émotionnel (E1 - E8 - E15 - E22)(le jour-même ou le jour à côté)
- période critique septennale (arrivée, séjour ou fin la période critique)
- certains jours critiques physiques (P17/P18/P19 - P1 - P6/P7 - P12)
- certains jours critiques intellectuels (i1 - i9 - i17 - i26)
- la proximité de la date anniversaire (ou 5/7 mois de cette date, s'agissant d'un rythme psychique semestriel)
idem pour les jours de tentatives de suicides : s'il y a plusieurs tentatives on peut vérifier en quelle situation cyclique elles ont eu lieu de sorte que cela permet alors de savoir (pour prévenir ensuite) quels sont les "points cycliques sensibles" de la personne. on remarquera fréquemment que les tentatives ont lieu le jour critique émotionnel, donc toujours le même jour de la semaine ou dès la veille au soir de ce jour. et le suicide, si suicide réussi il y a, risque fort d'avoir aussi lieu ce jour-là. (j'ai appelé pour cela le jour critique émotionnel le "jour du suicide"...)
la présence des éléments ci-dessus peut aussi permettre de parfois pencher vers un suicide - en cas de doute - lors d'un accident automobile (platane, mur, poids lourd en sens inverse, train, noyade, etc... sans traces de freinage p.ex.) (suicides bien plus fréquents qu'on ne le pense)
(une prévention consiste alors en cas de coups de blues ou de dépression, désespoir, à vérifier si leur raison n'est pas entièrement ou en partie, la situation dans l'un de nos "downs"' naturels... : cela doit aider à rassurer et à gérer)
terrorisme : les terroristes sont fréquemment des "septennaux"
c'est à dire des personnes dans ou autour de l'une de leurs périodes critiques
septennales. cela est lié au fait que la période critique septennale a la
propriété de susciter les vocations, de motiver et mobiliser. et d'éventuelles
actions peuvent alors être dramatiquement efficaces en raison d'une part de
l'ingéniosité et l'énergie développées grâce à la situation en période critique,
mais aussi de la désinhibition accompagnant celle-ci... il y a souvent aussi une part d'envie suicidaire (dépression septennale)...
tueur en série : un tueur en série aura également tendance à agir en fonction de ses épisodes de pulsions/désinhibition divers. et comme ci-dessus, cela permet de voir s'il existe un lien entre différents meurtres, par exemple. un tueur en série peut avoir tendance à agir de préférence son jour critique émotionnel (donc les meurtres sont commis chaque fois le même jour de la semaine ou le jour à côté) ou encore son jour critique physique ou intellectuel... (j'ai appelé le jour critique intellectuel i9 le "jour des tueurs" car je le retrouve assez fréquemment, notamment lors de meurtres "sans états d'âme") cela permet aussi de voir si une personne est plus sensible et fonctionne plus selon l'un ou l'autre de ses trois rythmes... (émotionnel, physique, intellectuel) il y a ainsi des acteurs de leur rythme émotionnel, ou de leur rythme physique, ou encore de leur rythme intellectuel : ils ont alors tendance à plus agir lors de la survenance des jours critiques des rythmes respectifs.
certains tueurs peuvent agir lors de leurs périodes critiques septennales (pulsions septennales) et faire des pauses de six ou sept ans entre celles-ci : ces pauses ont été constatées par les spécialistes criminologues mais pas expliquées : voilà qui est fait.
violences conjugales : elles ont fréquemment un lien avec nos jours et périodes critiques et de ce fait elles ont tendance à intervenir le jour critique émotionnel (notre jour de mauvaise humeur voire de colère)... (ou le jour à côté par un effet d'accumulation) ... ce jour étant hebdomadaire,
il arrive des situations où des violences ont lieu au rythme des
semaines et toujours le même jour de la semaine... cela permet de
reconnaître le rôle d'un rythme émotionnel.
la période critique septennale est une période longue de possibles tensions voire fortes tensions : un très grand nombre de mésententes et séparations démarrent à ce moment-là en raison d'un possible changement de comportement et de personnalité.
certains jours et années critiques physiques peuvent également jouer un rôle.
ne pas oublier qu'un "moteur" peut se trouver chez la victime
(plus fréquemment qu'on ne le pense, jours et périodes critiques
pouvant donner lieu à des comportements de harcèlement et provocations
par exemple), ou chez les deux partenaires d'un couple s'il existe une
forme de compatibilité.
les
dérapages ou la "sortie des gonds" ou encore "péter les plombs" comme
on dit souvent, ont aussi tendance à arriver en situation de fragilité,
donc en période critique ou en jour critique voire les deux réunis...
des incidents arrivent aussi en dehors d'une période critique : il faut alors chercher le point de départ des problèmes, et remonter parfois bien en amont, jusqu'à la période critique septennale précédente lors
de laquelle peut avoir "démarré" une "descente aux enfers"... : une
dépression dont la personne n'est pas sortie, par exemple. un jour critique émotionnel est probablement fréquemment présent, mais cela reste à vérifier avec les cas arrivés.
viols : ils ont aussi tendance à avoir lieu en fonction des pulsions de l'auteur. cela reste à étudier au moyen d'un grand nombre de données, mais les pulsions sexuelles semblent plus présentes à certains moments "pulsions" qu'à d'autres :
- période critique septennale (séjour ou entrée dans la période critique)
- jour critique émotionnel
- jours critiques physiques
- certains années critiques physiques
- la proximité de la date anniversaire
- certains jours critiques intellectuels
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EN MATIERE D'ACCIDENT : nos périodes et jours critiques sont là aussi fréquemment présents et en cause...
par ordre d'importance :
- les jours ou situations des rythmes courts :
jour critique physique P1- P17/P18/P19 - P12 - P6/P7
(le jour critique physique est typiquement un "jour accident" : nous sommes plus fatigués, moins "flexibles", plus distraits, moins prudents et moins réactifs), etc...
jour critique émotionnel E1 - E8 - E15 - E22 (nous sommes plus entreprenants, pouvons être de mauvaise humeur donc parfois plus agressifs, plus enclins à prendre des risques que nous ne prendrions pas un autre jour - jour possiblement présent aussi lors "d'accidents suicides" (p.ex.collisions frontales, chutes - aussi possible épisode P17/P19 équivalent du jour critique émotionnel)
jour critique intellectuel : c'est surtout le premier jour du cycle (i1) qui peut jouer un rôle (notre façon de penser et réagir est différente)
- périodes critiques des cycles longs :
périodes critiques septennales : pour les cycles longs ce sont surtout elles qui sont fréquemment présentes.
nous sommes moins prudents, plus entreprenants voire plus enclins à prendre des risques... (désinhibition)(un peu l'équivalent du jour critique émotionnel, mais sur une durée plus longue)
années sextennales et critiques intellectuelles : bien moins fréquemment rencontrées, mais reste à étudier.
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en matière de santé...
maladie/malaises : nombre de maladies et/ou malaises semblent avoir tendance à survenir "à la faveur" d'un jour ou surtout d'un épisode critique, en particulier les épisodes critiques semestriels et surtout remarqué, les périodes critiques septennales.
sujet restant cependant à étudier.
- jour critique physique (P1 - P17/P18/P19 - P6/P7 - P12)
- jour critique émotionnel (E1 - E8 - E15 - E22)
- jour critique intellectuel (i1 - i9 - i17 - i26)
on peut assez facilement connaître la situation des cycles psychiques et émotionnels longs chez une personne sujet d'un fait divers ou d'un drame parce que son âge est généralement indiqué par les médias (on sait par exemple si une personne se trouve en période critique si elle entre ou se trouve dans un âge de la table de sept, donc l'une de ses périodes critiques septennales - périodes sensibles).
le second élément très important est hélas le plus souvent impossible à vérifier : il faut en effet connaître la date de naissance d'une personne pour connaître la situation de ses rythmes courts en particulier son jour critique émotionnel...
probablement jour le plus fréquent de tous types de passages à l'acte... (violents, criminels et suicidaires...). cette situation indique en effet nos "jours pulsions-désinhibition" lors desquels ont tendance à arriver les drames de toute sorte.
j'ai constaté qu'il fallait également considérer les jours à côté du jour critique émotionnel : la tension accumulée peut "faire craquer" avant le jour critique émotionnel, c'est à dire à son arrivée, soit le jour avant, mais elle peut aussi faire craquer le jour après - c'est selon les éléments du scénario - si par exemple la personne est arrivée à se maîtriser... mais ne tient pas plus longtemps, les tensions restant présentes et accumulées.
à étudier également : il me semble avoir constaté la présence plus fréquente de 18h ou à côté, lors de passages à l'acte : ce moment est selon moi le moment de changement de la journée chronobiologique et on entre alors dans la journée du lendemain. c'est, pour moi, un "élément pulsions".
sans la date de naissance (car les cycles courts démarrent le jour de la naissance et ne varient pas tout au long de la vie) on ne dispose en quelque sorte que de la moitié des données importantes qui pourraient correspondre à un acte et nous permettre de comprendre en partie pourquoi il est arrivé, quels en sont les éléments déclencheurs ou au moins "faciliteurs"...
voici les "configurations" principalement rencontrées :
- situation critique des rythmes courts (p.ex. jour critique émotionnel)
- situation critique des cycles longs (p.ex. période critique septennale)
- situation en période critique semestrielle (à proximité de l'anniversaire et à six mois de là)
- situation comportant deux ou trois des éléments précédents. (probablement configuration la plus fréquente)
ou dit encore autrement :
il y a un "schéma standard d'un drame"...
le schéma d'un drame est fréquemment le même, et l'on retrouvera souvent les mêmes éléments "faciliteurs" voire déclencheurs liés aux rythmes et cycles psychiques de l'humain. ceux-ci défilent avec une régularité horlogère à partir du jour de notre naissance et comportent périodiquement des éléments "activateurs" probablement destinés à "faire évoluer le système"...
ces éléments sont fréquemment en cause lorsqu'arrive un drame car ils sont des jours ou épisodes de "pulsions/désinhibition", c'est à dire que dans ces moments-là nous sommes poussés à agir et nous sommes en même temps désinhibés, c'est à dire que nous n'avons plus de réticence à agir... même si c'est parfois dans le mauvais sens.
et ces éléments sont en gigogne, puisque le mécanisme des divers rythmes et cycles dont je parle est un système en gigogne : (en couleur les éléments les plus fréquemment rencontrés)
- rythmes courts : (ce sont les fameux "biorythmes", mais interprétés un peu différemment)
- rythme psychique et émotionnel de 28 jours (pulsations tous les 7 jours, donc "jour critique émotionnel" hebdomadaire)
- rythme physique de 23 jours (pulsations tous les six jours)(psychiques plus sensibles les jours P17/P18/P19)
- rythme intellectuel de 33 jours (pulsations tous les huit jours)
- cycles moyens : c'est un rythme semestriel dont les épisodes critiques se situent autour de la période anniversaire, et à l'opposé à six mois de cette période. (5/7 mois)
- cycles longs :
-"périodes critiques septennales" (nos âges de la table de sept et autour de ces âges)
- année critiques physiques (surtout autour de 23 ans et 47 ans)
- années critiques intellectuelles (autour de 33 ans)
lorsque l'on regarde la situation de l'auteur d'un drame, (parfois aussi de la victime) on trouvera généralement un ou plus souvent (car ils sont bien plus efficaces alors) plusieurs des éléments ci-dessus.