http://lorient.letelegramme.com/local/morbihan/lorient/couronne/guidel/guidel-56-tombe-de-son-embarcation-un-pecheur-retrouve-mort-sur-une-plage-30-09-2011-1448630.php
Guidel (56). Tombé de son embarcation, un pêcheur retrouvé mort sur une plage
La nuit dernière, le corps d'un pêcheur de 55 ans, originaire de Briec-de-l'Odet (29), a été retrouvé sur la plage de la Falaise, à Guidel-plages (56). Ce dernier, qui rentrait de l'île de Groix avec un autre passager, serait tombé de son embarcation hier, vers 22 h 30, dans l'embouchure de la Laïta, côté bas Pouldu, à Clohars-Carnoët. Son camarade n'est pas parvenu à le sauver. Ce sont les pompiers qui ont retrouvé son corps vers 1 h.
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ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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vendredi 30 septembre 2011
dépression septennale
http://letoileshediac.jminforme.ca/article/1444014
Gaston Doiron parle ouvertement de sa dépression
Comme bien des gens qui en ont souffert, Gaston Doiron croyait dur comme fer que la dépression, ce n'était pas pour lui. Travaillant plus qu'il n'en faut, toujours au service des autres, il dégageait l'image d'un homme solide comme le roc, imperturbable. Jusqu'au moment où cet «accident de parcours», comme il l'appelle maintenant, l'a frappé de plein fouet le 15 mars 2006, à 15h15, dit-il précisément.
Expert en sinistre d'assurances depuis plus de 36 ans et animateur à la radio de CKRO-Radio Péninsule tous les lundis soirs depuis une quinzaine d'années, il était du genre à ne dire jamais «non!». Jusqu'à cet instant fatidique qui a totalement chamboulé la moindre parcelle de vie de cet homme énergique qui vient de célébrer ses 60 ans.
«Sur le coup, c'était comme un coup de deux par quatre en pleine face. Puis je me suis aperçu par après que ça faisait huit mois que ça traînait. Je ne filais pas, mais je me disais toujours que ça va aller mieux. Jusqu'à cet instant précis. Je n'étais plus capable d'avancer, je n'avais plus le goût à l'ouvrage. J'étais vidé, plus capable. Je prenais ma douche et je pouvais dormir deux heures par après, tellement j'étais sans énergie. Moi qui adorait tondre ma pelouse, c'était les voisins qui venaient la faire! Les médecins ont diagnostiqué une dépression sévère», raconte-t-il en détails.
Sujet tabou s'il en est un, la dépression est une maladie qui frappe qui et quand ça lui chante, semble-t-il. Souvent, elle fait son ravage petit peu par petit peu, chaque jour. Épuisement professionnel, dit-on régulièrement. Puis Bang! Elle donne le grand coup. La question a d'ailleurs récemment fait les manchettes avec le suicide de deux joueurs de hockey professionnel.
Psychologues, psychiatres, médications : les outils sont mis à la disposition de Gaston Doiron pour qu'il puisse se sortir de ce marasme. Mais il dégringole jusqu'au fond du baril, au point où il ne voyait plus de solutions. Car il a failli passer l'arme à gauche. Encore là, il se rappelle très bien de la date. C'était le 18 novembre 2006.
«J'ai posé le geste, avoue-t-il avec franchise et humilité. Aujourd'hui, je n'en suis pas fier. Mais dans ma tête à ce moment-là, je ne commettais pas à l'irréparable. Je ne voulais pas mourir. Dans mon idée, je voulais seulement dormir pendant quelques années pour qu'à mon réveil, ce cauchemar soit derrière moi. Mon corps et mon cerveau n'en pouvaient plus. Je voulais m'offrir le cadeau de dormir pour ne plus vivre dans cet enfer... C'est ma fille qui m'a sauvé. Je ne savais pas qu'elle était là...»
Dans sa condition, Gaston Doiron doit même être interné. On le dénude alors de tout ce qui pourrait lui servir pour se blesser ou pire encore, mettre fin prématurément à ses jours. La fierté en prend pour son rhume.
«J'ai vu la couleur du fond du baril et c'est noir pas à peu près! Tout a alors chambardé. C'est quand tu es privé de tout que tu t'aperçois que tu avais tout. Et quand tu regardes en haut, tu vois le soleil et tu veux y retourner. Les médecins nous donnent des outils pour nous en sortir, mais ça revient à nous à pousser le commutateur à «on». Et c'est ce que j'ai fait», raconte-t-il sans honte.
Remonter la pente ne se fait pas en une journée, convient-il. C'est un travail de longue haleine. Entouré de gens qui l'aiment, il franchit avec succès chacune des étapes de la réhabilitation. Cela a pris deux ans. Maintenant, il se sent mieux dans sa peau. Il a repris le travail. Il sait qu'il est guéri de la dépression, mais croit également que cette aventure aura laissé quelques séquelles en lui. Comme un alcoolique à la merci du prochain verre, ose-t-il comparer.
Puis, un jour, Gaston a voulu jeter sur papier son expérience. Pendant un an et demi, il écrit, il efface, il corrige un manuscrit en secret. Lui vient alors l'idée d'une conférence. Avec l'aide de Normande Mazerolle, il raconte sa vie devant une centaine de personnes, ce printemps, à Caraquet.
«À Caraquet, je leur ai dit la vérité. Je suis entré dans la dépression, je l'ai vécue et j'en suis sorti. Quelques semaines plus tard, j'ai rencontré une personne qui était présente à ma conférence. Elle m'a dit qu'elle n'est plus la même personne depuis. Je sais que ça ne sera pas tout le monde qui pourra s'en sortir comme j'ai pu le faire, mais si j'ai pu aider une personne... Les gens ont peur de parler de la dépression parce qu'on ne veut pas passer pour un fou. C'est le mot dont tout le monde a peur. Je sais que ce n'est pas facile, mais on peut finir par s'en relever. Il faut en parler, ce n'est pas une honte», assure-t-il.
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apparemment une intéressante description d'une dépression septennale des 56 ans...
Gaston Doiron parle ouvertement de sa dépression
Comme bien des gens qui en ont souffert, Gaston Doiron croyait dur comme fer que la dépression, ce n'était pas pour lui. Travaillant plus qu'il n'en faut, toujours au service des autres, il dégageait l'image d'un homme solide comme le roc, imperturbable. Jusqu'au moment où cet «accident de parcours», comme il l'appelle maintenant, l'a frappé de plein fouet le 15 mars 2006, à 15h15, dit-il précisément.
Expert en sinistre d'assurances depuis plus de 36 ans et animateur à la radio de CKRO-Radio Péninsule tous les lundis soirs depuis une quinzaine d'années, il était du genre à ne dire jamais «non!». Jusqu'à cet instant fatidique qui a totalement chamboulé la moindre parcelle de vie de cet homme énergique qui vient de célébrer ses 60 ans.
«Sur le coup, c'était comme un coup de deux par quatre en pleine face. Puis je me suis aperçu par après que ça faisait huit mois que ça traînait. Je ne filais pas, mais je me disais toujours que ça va aller mieux. Jusqu'à cet instant précis. Je n'étais plus capable d'avancer, je n'avais plus le goût à l'ouvrage. J'étais vidé, plus capable. Je prenais ma douche et je pouvais dormir deux heures par après, tellement j'étais sans énergie. Moi qui adorait tondre ma pelouse, c'était les voisins qui venaient la faire! Les médecins ont diagnostiqué une dépression sévère», raconte-t-il en détails.
Sujet tabou s'il en est un, la dépression est une maladie qui frappe qui et quand ça lui chante, semble-t-il. Souvent, elle fait son ravage petit peu par petit peu, chaque jour. Épuisement professionnel, dit-on régulièrement. Puis Bang! Elle donne le grand coup. La question a d'ailleurs récemment fait les manchettes avec le suicide de deux joueurs de hockey professionnel.
Psychologues, psychiatres, médications : les outils sont mis à la disposition de Gaston Doiron pour qu'il puisse se sortir de ce marasme. Mais il dégringole jusqu'au fond du baril, au point où il ne voyait plus de solutions. Car il a failli passer l'arme à gauche. Encore là, il se rappelle très bien de la date. C'était le 18 novembre 2006.
«J'ai posé le geste, avoue-t-il avec franchise et humilité. Aujourd'hui, je n'en suis pas fier. Mais dans ma tête à ce moment-là, je ne commettais pas à l'irréparable. Je ne voulais pas mourir. Dans mon idée, je voulais seulement dormir pendant quelques années pour qu'à mon réveil, ce cauchemar soit derrière moi. Mon corps et mon cerveau n'en pouvaient plus. Je voulais m'offrir le cadeau de dormir pour ne plus vivre dans cet enfer... C'est ma fille qui m'a sauvé. Je ne savais pas qu'elle était là...»
Dans sa condition, Gaston Doiron doit même être interné. On le dénude alors de tout ce qui pourrait lui servir pour se blesser ou pire encore, mettre fin prématurément à ses jours. La fierté en prend pour son rhume.
«J'ai vu la couleur du fond du baril et c'est noir pas à peu près! Tout a alors chambardé. C'est quand tu es privé de tout que tu t'aperçois que tu avais tout. Et quand tu regardes en haut, tu vois le soleil et tu veux y retourner. Les médecins nous donnent des outils pour nous en sortir, mais ça revient à nous à pousser le commutateur à «on». Et c'est ce que j'ai fait», raconte-t-il sans honte.
Remonter la pente ne se fait pas en une journée, convient-il. C'est un travail de longue haleine. Entouré de gens qui l'aiment, il franchit avec succès chacune des étapes de la réhabilitation. Cela a pris deux ans. Maintenant, il se sent mieux dans sa peau. Il a repris le travail. Il sait qu'il est guéri de la dépression, mais croit également que cette aventure aura laissé quelques séquelles en lui. Comme un alcoolique à la merci du prochain verre, ose-t-il comparer.
Puis, un jour, Gaston a voulu jeter sur papier son expérience. Pendant un an et demi, il écrit, il efface, il corrige un manuscrit en secret. Lui vient alors l'idée d'une conférence. Avec l'aide de Normande Mazerolle, il raconte sa vie devant une centaine de personnes, ce printemps, à Caraquet.
«À Caraquet, je leur ai dit la vérité. Je suis entré dans la dépression, je l'ai vécue et j'en suis sorti. Quelques semaines plus tard, j'ai rencontré une personne qui était présente à ma conférence. Elle m'a dit qu'elle n'est plus la même personne depuis. Je sais que ça ne sera pas tout le monde qui pourra s'en sortir comme j'ai pu le faire, mais si j'ai pu aider une personne... Les gens ont peur de parler de la dépression parce qu'on ne veut pas passer pour un fou. C'est le mot dont tout le monde a peur. Je sais que ce n'est pas facile, mais on peut finir par s'en relever. Il faut en parler, ce n'est pas une honte», assure-t-il.
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apparemment une intéressante description d'une dépression septennale des 56 ans...
malaise, suicide ou meurtre ?
http://www.ouest-france.fr/region/bretagne_detail_-Le-mari-de-la-noyee-de-Guern-demande-sa-mise-en-examen_39382-1994863_actu.Htm
Morbihan
Le mari de la noyée de Guern demande sa mise en examen
Nouveau rebondissement dans l'affaire de la noyée de Guern. En juillet 2005 était découvert, dans l'étang d'une maison de la petite commune de Guern, près de Pontivy (Morbihan) le corps sans vie de Marie-Thérèse Bogard, alors âgée de 56 ans. Malaise, suicide ou meurtre ? L'instruction d'un juge lorientais s'était soldée par un non-lieu.
Le fils de la victime, David Le Goff, estimant que la noyade de sa mère n'avait rien d'accidentel, avait fait appel. La Chambre de l'instruction de la cour d'appel de Rennes, au printemps dernier, a infirmé le non-lieu et demandé un supplément d'information. Une juge du pôle de l'instruction de Lorient a été désignée.
Une confrontation est prévue
Elle vient de mettre Robert Henry en examen pour meurtre. Toutefois, l'ancien époux de Mme Bogard et beau-père de M. Le Goff affirme que c'est à sa demande, afin d'avoir accès au dossier et ainsi assurer sa défense. Depuis la noyade en effet, David Le Goff l'accuse nommément d'être l'assassin de sa mère.
Depuis sa mise en examen, M. Henry a été entendu à trois reprises par la juge et a reçu la visite de la brigade de recherches des gendarmes.Une confrontation avec le fils de la défunte et M. Henry est programmée le 27 octobre prochain devant la juge lorientaise, six ans après les faits.
...................
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aussi
http://www.ouest-france.fr/region/bretagne_detail_-Il-veut-la-verite-sur-la-mort-de-sa-mere-_8619-1994850_actu.Htm
=============
peut-être que l'examen de la situation cyclique des personnes dirait quelque chose ?
le suicide a tendance à intervenir plus à certains moments qu'à d'autres... et les meurtres également... et les malaises aussi...
(période critique septennale (nous y sommes, à 56 ans) de la victime et/ou de l'auteur accusé...
idem pour le jour critique émotionnel qui est fréquemment le "jour du suicide"... mais aussi le "jour des disputes et altercations" - jour critique physique en cas de malaise)
cela n'apporte pas de preuve, mais peut faire pencher plus dans un sens que dans l'autre...
Morbihan
Le mari de la noyée de Guern demande sa mise en examen
Nouveau rebondissement dans l'affaire de la noyée de Guern. En juillet 2005 était découvert, dans l'étang d'une maison de la petite commune de Guern, près de Pontivy (Morbihan) le corps sans vie de Marie-Thérèse Bogard, alors âgée de 56 ans. Malaise, suicide ou meurtre ? L'instruction d'un juge lorientais s'était soldée par un non-lieu.
Le fils de la victime, David Le Goff, estimant que la noyade de sa mère n'avait rien d'accidentel, avait fait appel. La Chambre de l'instruction de la cour d'appel de Rennes, au printemps dernier, a infirmé le non-lieu et demandé un supplément d'information. Une juge du pôle de l'instruction de Lorient a été désignée.
Une confrontation est prévue
Elle vient de mettre Robert Henry en examen pour meurtre. Toutefois, l'ancien époux de Mme Bogard et beau-père de M. Le Goff affirme que c'est à sa demande, afin d'avoir accès au dossier et ainsi assurer sa défense. Depuis la noyade en effet, David Le Goff l'accuse nommément d'être l'assassin de sa mère.
Depuis sa mise en examen, M. Henry a été entendu à trois reprises par la juge et a reçu la visite de la brigade de recherches des gendarmes.Une confrontation avec le fils de la défunte et M. Henry est programmée le 27 octobre prochain devant la juge lorientaise, six ans après les faits.
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aussi
http://www.ouest-france.fr/region/bretagne_detail_-Il-veut-la-verite-sur-la-mort-de-sa-mere-_8619-1994850_actu.Htm
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peut-être que l'examen de la situation cyclique des personnes dirait quelque chose ?
le suicide a tendance à intervenir plus à certains moments qu'à d'autres... et les meurtres également... et les malaises aussi...
(période critique septennale (nous y sommes, à 56 ans) de la victime et/ou de l'auteur accusé...
idem pour le jour critique émotionnel qui est fréquemment le "jour du suicide"... mais aussi le "jour des disputes et altercations" - jour critique physique en cas de malaise)
cela n'apporte pas de preuve, mais peut faire pencher plus dans un sens que dans l'autre...
drame familial
http://www.rp-online.de/panorama/ausland/Deutscher-toetet-Frau-und-Kind_aid_1024949.html
Familiendrama in Dominikanischer Republik
Deutscher tötet Frau und Kind
Santo Domingo (RPO). Ein Mann aus Bayern hat in der Dominikanischen Republik seine Frau, seine Tochter und die drei Haustiere der Familie getötet. Anschließend nahm sich der 31-jährige Roman B. selbst mit einem Strick das Leben, wie die Polizei am Mittwoch mitteilte.
Laut der Angaben in seinem Reisepass stammte er aus Altötting in Oberbayern.
Die Leichen seien in dem Haus des Paars in dem bei deutschen Touristen beliebten Ferienort Sousa, nördlich der Hauptstadt Santo Domingo gefunden worden, sagte Polizeisprecher Jesus Cordero. Der Mann, seine 29 Jahre alte venezolanische Frau und die neunjährige Tochter hätten dort seit zwei Monaten gelebt.
Nach Angaben eines Gerichtsmediziners ereignete sich die Tat wohl am Montag. Der Mann vergiftete nach Darstellung der Polizei seinen Hund und die zwei Katzen und platzierte sie neben die Leiche seiner Tochter. In einem kurzen Abschiedsbrief habe Roman B. von der Liebe zu seiner Frau und seiner Tochter geschrieben und auf finanzielle Probleme hingewiesen.
Er hinterließ einen Ring und eine Uhr im Wert von etwa 4.400 Euro und eine Louis-Vuitton-Tasche im Wert von über 500 Euro, mit dem Verweis, die Gegenstände sollten verkauft werden, um für das Begräbnis der Familie aufzukommen. Die deutsche Botschaft in Santo Domingo hatte nach eigener Auskunft keine Kenntnis von dem Vorfall.
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Familiendrama in Dominikanischer Republik
Deutscher tötet Frau und Kind
Santo Domingo (RPO). Ein Mann aus Bayern hat in der Dominikanischen Republik seine Frau, seine Tochter und die drei Haustiere der Familie getötet. Anschließend nahm sich der 31-jährige Roman B. selbst mit einem Strick das Leben, wie die Polizei am Mittwoch mitteilte.
Laut der Angaben in seinem Reisepass stammte er aus Altötting in Oberbayern.
Die Leichen seien in dem Haus des Paars in dem bei deutschen Touristen beliebten Ferienort Sousa, nördlich der Hauptstadt Santo Domingo gefunden worden, sagte Polizeisprecher Jesus Cordero. Der Mann, seine 29 Jahre alte venezolanische Frau und die neunjährige Tochter hätten dort seit zwei Monaten gelebt.
Nach Angaben eines Gerichtsmediziners ereignete sich die Tat wohl am Montag. Der Mann vergiftete nach Darstellung der Polizei seinen Hund und die zwei Katzen und platzierte sie neben die Leiche seiner Tochter. In einem kurzen Abschiedsbrief habe Roman B. von der Liebe zu seiner Frau und seiner Tochter geschrieben und auf finanzielle Probleme hingewiesen.
Er hinterließ einen Ring und eine Uhr im Wert von etwa 4.400 Euro und eine Louis-Vuitton-Tasche im Wert von über 500 Euro, mit dem Verweis, die Gegenstände sollten verkauft werden, um für das Begräbnis der Familie aufzukommen. Die deutsche Botschaft in Santo Domingo hatte nach eigener Auskunft keine Kenntnis von dem Vorfall.
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accident
http://www.blogger.com/post-create.g?blogID=4813911213920244538
Drame de Soyaux: l'autopsie ne révèle ni lésion ni malformation
Le décès accidentel de Tylane 10 ans à l'école Jean-Moulin de Soyaux suscite encore l'incompréhension. Les suites de ce tragique accident.
L'autopsie ordonnée par le parquet d'Angoulême à la suite du décès de la petite Tylane, 10 ans, à l'école Jean-Moulin de Soyaux a été pratiquée, ce jour, au CHU de Bordeaux par deux médecins légistes dont l'un spécialiste en anatomopathologie de l'enfant.
Au terme du rapport provisoire de ces experts, il ressort, selon le communiqué de presse transmis par le parquet:
- l'absence de lésions traumatiques, notamment au thorax, de nature à expliquer le décès
- l'absence de malformations macroscopiques cardiaques
Des examens médico-légaux complémentaires ont été ordonnés par le parquet d'Angoulême pour tenter d'établir les causes exactes du décès, indéterminées à ce stade des investigations.
Les résultats de ces examens ne pourront être connus que dans un délai minimum de trois semaines en raison de leur nature.
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Drame de Soyaux: l'autopsie ne révèle ni lésion ni malformation
Le décès accidentel de Tylane 10 ans à l'école Jean-Moulin de Soyaux suscite encore l'incompréhension. Les suites de ce tragique accident.
L'autopsie ordonnée par le parquet d'Angoulême à la suite du décès de la petite Tylane, 10 ans, à l'école Jean-Moulin de Soyaux a été pratiquée, ce jour, au CHU de Bordeaux par deux médecins légistes dont l'un spécialiste en anatomopathologie de l'enfant.
Au terme du rapport provisoire de ces experts, il ressort, selon le communiqué de presse transmis par le parquet:
- l'absence de lésions traumatiques, notamment au thorax, de nature à expliquer le décès
- l'absence de malformations macroscopiques cardiaques
Des examens médico-légaux complémentaires ont été ordonnés par le parquet d'Angoulême pour tenter d'établir les causes exactes du décès, indéterminées à ce stade des investigations.
Les résultats de ces examens ne pourront être connus que dans un délai minimum de trois semaines en raison de leur nature.
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jeudi 29 septembre 2011
drame
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=11729&hl=
France: gêné par son voisin qui tond la pelouse, il l’abat puis se suicide
Dans le département de l'Yonne, un octogénaire a abattu avec un fusil son voisin, qu’il jugeait trop bruyant en tondant sa pelouse, avant de retourner l’arme contre lui.
Le drame s'est déroulé dans la ville de Sauvigny-le-Bois, dans l'Yonne. © Google Maps
Un homme de 83 ans a abattu mercredi avec un fusil son voisin, qu’il jugeait trop bruyant en tondant sa pelouse, avant de retourner l’arme contre lui à Sauvigny-le-Bois, près d’Avallon (Yonne), a-t-on appris jeudi auprès du parquet d’Auxerre.
"Les deux corps ont été découverts ce matin vers 09h30 par un voisin. L’un d’entre eux, âgé de 64 ans, était étendu sur un carré d’herbe avec une tondeuse à proximité, il a été victime d’une décharge de chevrotine", a déclaré le procureur de la République du tribunal d’Auxerre, François Pérain.
Selon l’expert balistique, le coup de fusil provenait de chez le voisin de la victime, où le corps d’un autre homme de 83 ans a été retrouvé dans son atelier qui donnait sur la pelouse du premier, a poursuivi M. Pérain, expliquant que les faits remontaient à mercredi "entre 15 heures et 16 heures".
"Il s’est donné la mort avec le même fusil de chasse", grâce à un "dispositif artisanal pour actionner le fusil placé sous son menton", a détaillé le représentant du parquet, pour qui la thèse du suicide est donc "prioritaire".
Un "conflit" entre ces deux hommes, inconnus des services de police, existait depuis "des mois, voire des années" à propos d’un "droit de passage étant donné que leurs terrains étaient imbriqués", selon le procureur.
"Lorsqu’il tondait sa pelouse, il passait sous la fenêtre de son voisin", a ajouté François Pérain, à propos de la première victime.
Source : Le Matin Online
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France: gêné par son voisin qui tond la pelouse, il l’abat puis se suicide
Dans le département de l'Yonne, un octogénaire a abattu avec un fusil son voisin, qu’il jugeait trop bruyant en tondant sa pelouse, avant de retourner l’arme contre lui.
Le drame s'est déroulé dans la ville de Sauvigny-le-Bois, dans l'Yonne. © Google Maps
Un homme de 83 ans a abattu mercredi avec un fusil son voisin, qu’il jugeait trop bruyant en tondant sa pelouse, avant de retourner l’arme contre lui à Sauvigny-le-Bois, près d’Avallon (Yonne), a-t-on appris jeudi auprès du parquet d’Auxerre.
"Les deux corps ont été découverts ce matin vers 09h30 par un voisin. L’un d’entre eux, âgé de 64 ans, était étendu sur un carré d’herbe avec une tondeuse à proximité, il a été victime d’une décharge de chevrotine", a déclaré le procureur de la République du tribunal d’Auxerre, François Pérain.
Selon l’expert balistique, le coup de fusil provenait de chez le voisin de la victime, où le corps d’un autre homme de 83 ans a été retrouvé dans son atelier qui donnait sur la pelouse du premier, a poursuivi M. Pérain, expliquant que les faits remontaient à mercredi "entre 15 heures et 16 heures".
"Il s’est donné la mort avec le même fusil de chasse", grâce à un "dispositif artisanal pour actionner le fusil placé sous son menton", a détaillé le représentant du parquet, pour qui la thèse du suicide est donc "prioritaire".
Un "conflit" entre ces deux hommes, inconnus des services de police, existait depuis "des mois, voire des années" à propos d’un "droit de passage étant donné que leurs terrains étaient imbriqués", selon le procureur.
"Lorsqu’il tondait sa pelouse, il passait sous la fenêtre de son voisin", a ajouté François Pérain, à propos de la première victime.
Source : Le Matin Online
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faiblesse
http://www.europe1.fr/Faits-divers/Lyon-le-numero-2-de-la-PJ-en-garde-a-vue-743399/
Lyon : le numéro 2 de la PJ en garde à vue
C’est un énorme coup de tonnerre chez les hauts-fonctionnaires de la police. Le directeur-adjoint de la police judiciaire de Lyon, Michel Neyret, a été arrêté jeudi à 6h du matin et placé en garde à vue dans le cadre d’une enquête de corruption et de trafic de stupéfiants, selon les informations recueillies par Europe 1.
Toujours selon nos informations, c’est l’IGS (inspection générale des services) qui est allé interpeller à son domicile le numéro 2 de la PJ lyonnaise, âgé de 55 ans.
Michel Neyret aurait été placé sur écoutes depuis plusieurs mois. Le dossier serait accablant : il est soupçonné de corruption et aurait notamment vendu des informations à des trafiquants de cocaïne, qui ont ainsi pu échapper à divers coups de filet.
Michel Neyret est une figure de la PJ. Ce grand flic, admiré et respecté par ses pairs, a fait l'essentiel de sa carrière à Lyon et à Nice.
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Lyon : le numéro 2 de la PJ en garde à vue
C’est un énorme coup de tonnerre chez les hauts-fonctionnaires de la police. Le directeur-adjoint de la police judiciaire de Lyon, Michel Neyret, a été arrêté jeudi à 6h du matin et placé en garde à vue dans le cadre d’une enquête de corruption et de trafic de stupéfiants, selon les informations recueillies par Europe 1.
Toujours selon nos informations, c’est l’IGS (inspection générale des services) qui est allé interpeller à son domicile le numéro 2 de la PJ lyonnaise, âgé de 55 ans.
Michel Neyret aurait été placé sur écoutes depuis plusieurs mois. Le dossier serait accablant : il est soupçonné de corruption et aurait notamment vendu des informations à des trafiquants de cocaïne, qui ont ainsi pu échapper à divers coups de filet.
Michel Neyret est une figure de la PJ. Ce grand flic, admiré et respecté par ses pairs, a fait l'essentiel de sa carrière à Lyon et à Nice.
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fini
http://french.peopledaily.com.cn/Sports/7607361.html
Après 3 ans de dépression, Kaka prouve qu'il est digne des 65 millions d'euros que le Real a payés pour lui
Les 80 000 supporters de Bernabeu se sont levés pour saluer le meilleur Kaka ! Grâce aux buts inscrits par Cristiano Ronaldo, Kaka et Benzema, le Real Madrid a humilié l'Ajax Amsterdam et a remporté sa 2e victoire de la Ligue des Champions européenne de cette saison. Selon le journal espagnol « Marca », la star brésilienne Kaka a joué son meilleur match depuis son arrivée au Real Madrid. Lorsqu'il a été remplacé, tous les spectateurs du stade se sont levés pour le saluer. Cela signifie que Kaka a regagné l'amour des supporters du Real, qui sont toujours exigeants. Par ailleurs, c'est la première fois que Kaka, Cristiano Ronaldo et Benzema – les trois joueurs achetés par Florentino depuis son entrée en fonction – ont inscrit les buts ensemble dans un seul match.
Après avoir subi doutes et blessures pendant deux ans, hier soir, Kaka est redevenu Kaka. Il est digne des 65 millions d'euros que le Real Madrid a payés pour lui, en commençant à rendre Bernabeu agréablement surpris. Kaka a eu de bonnes performances lors du match contre le Vallecano de Madrid, alors que lors du match contre l'Ajax Amsterdam, il a même favorisé 3 buts de l'équipe. Cela a signifié qu'il entre graduellement dans la formation et la stratégie de José Mourinho. Ses buts et ses bonnes performances ont apporté une grande joie aux gens qui lui font confiance.
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après... une dépression septennale des 28 ans ?
(du 22 avril 1982 sa période critique se termine cette année en avril...)
Après 3 ans de dépression, Kaka prouve qu'il est digne des 65 millions d'euros que le Real a payés pour lui
Les 80 000 supporters de Bernabeu se sont levés pour saluer le meilleur Kaka ! Grâce aux buts inscrits par Cristiano Ronaldo, Kaka et Benzema, le Real Madrid a humilié l'Ajax Amsterdam et a remporté sa 2e victoire de la Ligue des Champions européenne de cette saison. Selon le journal espagnol « Marca », la star brésilienne Kaka a joué son meilleur match depuis son arrivée au Real Madrid. Lorsqu'il a été remplacé, tous les spectateurs du stade se sont levés pour le saluer. Cela signifie que Kaka a regagné l'amour des supporters du Real, qui sont toujours exigeants. Par ailleurs, c'est la première fois que Kaka, Cristiano Ronaldo et Benzema – les trois joueurs achetés par Florentino depuis son entrée en fonction – ont inscrit les buts ensemble dans un seul match.
Après avoir subi doutes et blessures pendant deux ans, hier soir, Kaka est redevenu Kaka. Il est digne des 65 millions d'euros que le Real Madrid a payés pour lui, en commençant à rendre Bernabeu agréablement surpris. Kaka a eu de bonnes performances lors du match contre le Vallecano de Madrid, alors que lors du match contre l'Ajax Amsterdam, il a même favorisé 3 buts de l'équipe. Cela a signifié qu'il entre graduellement dans la formation et la stratégie de José Mourinho. Ses buts et ses bonnes performances ont apporté une grande joie aux gens qui lui font confiance.
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après... une dépression septennale des 28 ans ?
(du 22 avril 1982 sa période critique se termine cette année en avril...)
rattrapé
http://www.lefigaro.fr/international/2011/09/28/01003-20110928ARTFIG00703-un-pirate-de-l-air-americain-arrete-apres-41-ans-de-cavale.php
Un pirate de l'air américain arrêté après 41 ans de cavale
Un meurtre. Une évasion de prison. Un détournement d'avion spectaculaire lors duquel les pirates de l'air forceront les policiers américains à se présenter sur le tarmac de Miami en maillot de bain pour déposer une rançon. Une fuite en Algérie et, enfin, quarante et un ans de cavale… Le scénario aurait peut-être été retoqué par Hollywood tant il paraît surréaliste. Mais c'est une histoire vraie. Celle du meurtrier George Wright, 68 ans, rattrapé ce lundi par son passé dans une petite ville proche de Lisbonne, où il vivait sous la fausse identité de José Luis Jorge Dos Santos et où il vient d'être arrêté par la police portugaise. Un succès gratifiant pour le FBI, qui avait ressorti son dossier de la poussière en 2002 pour tout reprendre à zéro ; soulevant chaque pierre et ne négligeant aucun indice, pour retrouver sa trace.
................................
Des policiers en maillot de bain
Le groupe marxiste, formé d'anciens des Black Panthers, prône la lutte armée pour libérer «la nation noire» de ses «oppresseurs» blancs. Une manière de donner une justification idéologique au meurtre sordide qu'il a commis. La cellule clandestine, qui vit en communauté, décide une action spectaculaire pour récupérer des fonds pour la «cause noire». C'est ainsi qu'en 1972, déguisé en prêtre et muni d'une fausse identité, George Wright monte à bord d'un avion de la compagnie Delta en partance de Detroit pour Miami. Plusieurs complices, ainsi que sa compagne et sa petite fille de 2 ans, sont à bord. Les malfaiteurs prennent en otages les 86 passagers du vol et font route vers Miami. Là, ils récupèrent une rançon d'un million de dollars apportée par des policiers forcés de se présenter en maillot, en échange de la libération des voyageurs. Wright et ses complices forcent alors les pilotes à faire route vers Boston, avant de s'enfuir vers l'Algérie pour demander asile.
...........
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les "preneurs d'otages" de ce type sont fréquemment des septennaux (la période critique donne des idées et des ailes) : ici, si c'est bien calculé c'est aussi la période critique septennale des 28 ans qui est présente ou à côté...
Un pirate de l'air américain arrêté après 41 ans de cavale
Un meurtre. Une évasion de prison. Un détournement d'avion spectaculaire lors duquel les pirates de l'air forceront les policiers américains à se présenter sur le tarmac de Miami en maillot de bain pour déposer une rançon. Une fuite en Algérie et, enfin, quarante et un ans de cavale… Le scénario aurait peut-être été retoqué par Hollywood tant il paraît surréaliste. Mais c'est une histoire vraie. Celle du meurtrier George Wright, 68 ans, rattrapé ce lundi par son passé dans une petite ville proche de Lisbonne, où il vivait sous la fausse identité de José Luis Jorge Dos Santos et où il vient d'être arrêté par la police portugaise. Un succès gratifiant pour le FBI, qui avait ressorti son dossier de la poussière en 2002 pour tout reprendre à zéro ; soulevant chaque pierre et ne négligeant aucun indice, pour retrouver sa trace.
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Des policiers en maillot de bain
Le groupe marxiste, formé d'anciens des Black Panthers, prône la lutte armée pour libérer «la nation noire» de ses «oppresseurs» blancs. Une manière de donner une justification idéologique au meurtre sordide qu'il a commis. La cellule clandestine, qui vit en communauté, décide une action spectaculaire pour récupérer des fonds pour la «cause noire». C'est ainsi qu'en 1972, déguisé en prêtre et muni d'une fausse identité, George Wright monte à bord d'un avion de la compagnie Delta en partance de Detroit pour Miami. Plusieurs complices, ainsi que sa compagne et sa petite fille de 2 ans, sont à bord. Les malfaiteurs prennent en otages les 86 passagers du vol et font route vers Miami. Là, ils récupèrent une rançon d'un million de dollars apportée par des policiers forcés de se présenter en maillot, en échange de la libération des voyageurs. Wright et ses complices forcent alors les pilotes à faire route vers Boston, avant de s'enfuir vers l'Algérie pour demander asile.
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les "preneurs d'otages" de ce type sont fréquemment des septennaux (la période critique donne des idées et des ailes) : ici, si c'est bien calculé c'est aussi la période critique septennale des 28 ans qui est présente ou à côté...
mercredi 28 septembre 2011
le prix du bonheur ?
http://www.francesoir.fr/actualite/sante/tranquillisants-et-somniferes-favorisent-alzheimer-142242.html
Tranquillisants et somnifères favorisent Alzheimer
Une nouvelle étude vient affirmer que la surconsommation de tranquillisants et de somnifères favoriseraient le développement d'Alzheimer.
Un pavé dans la mare, rien de moins. Valium, Témesta, Xanax, Lexomil, Stilnox, Mogadon, Tranxène, etc., largement consommés en France seraient dangereux pour la santé. Selon une étude publiée par Sciences et Avenir dans son numéro du mois d'octobre la consommation de ces tranquillisants et somnifères pendant des années favorisent le développement de la maladie d'Alzheimer.
Les responsables sont les benzodiazépines, les molécules actives dans ces médicaments psychotropes. Ce n'est pas la première fois qu'une étude tire la sonnette d'alarme sur la dangerosité de ces médicaments. « En termes de santé publique, c’est un signal d’alerte très fort. Avec la nôtre, cela porte à neuf le nombre d’études qui ont été menées et dont la majorité va dans le sens d’une association entre la consommation au long cours de tranquillisants et somnifères et la maladie d’Alzheimer » explique ainsi le professeur Bernard Bégaud dans le magazine.
16.000 à 31.000 cas par an
Ce qui est particulièrement inquiétant c'est que les Français surconsomment ce type de médicaments, environ 120 millions de boîtes sont vendues par an. La France consomme cinq à dix fois plus de somnifères et d'anxiolytiques que ses voisins européens. « Chaque année, en France, 16.000 à 31.000 cas d'Alzheimer seraient ainsi attribuables à ces traitements par benzodiazépines » poursuit Sciences et Avenir.
Le problème était déjà évoqué en 2006 dans un rapport de l'Office parlementaire des politiques de santé sur les médicaments psychotropes. « Depuis, il ne s'est strictement rien passé », déplore le spécialiste...
===============
il faudrait faire comme les Russes : ils entendent relancer massivement la culture du canabis... pas nocif et aussi efficace... l'article est en anglais mais si j'ai bien compris il est même précisé que le retour de la culture du canabis permettrait d'enrayer la production/consommation de médicaments équivalents falsifiés ou du marché noir...
http://rt.com/news/drug-cannabis-production-russia-553/
Tranquillisants et somnifères favorisent Alzheimer
Une nouvelle étude vient affirmer que la surconsommation de tranquillisants et de somnifères favoriseraient le développement d'Alzheimer.
Un pavé dans la mare, rien de moins. Valium, Témesta, Xanax, Lexomil, Stilnox, Mogadon, Tranxène, etc., largement consommés en France seraient dangereux pour la santé. Selon une étude publiée par Sciences et Avenir dans son numéro du mois d'octobre la consommation de ces tranquillisants et somnifères pendant des années favorisent le développement de la maladie d'Alzheimer.
Les responsables sont les benzodiazépines, les molécules actives dans ces médicaments psychotropes. Ce n'est pas la première fois qu'une étude tire la sonnette d'alarme sur la dangerosité de ces médicaments. « En termes de santé publique, c’est un signal d’alerte très fort. Avec la nôtre, cela porte à neuf le nombre d’études qui ont été menées et dont la majorité va dans le sens d’une association entre la consommation au long cours de tranquillisants et somnifères et la maladie d’Alzheimer » explique ainsi le professeur Bernard Bégaud dans le magazine.
16.000 à 31.000 cas par an
Ce qui est particulièrement inquiétant c'est que les Français surconsomment ce type de médicaments, environ 120 millions de boîtes sont vendues par an. La France consomme cinq à dix fois plus de somnifères et d'anxiolytiques que ses voisins européens. « Chaque année, en France, 16.000 à 31.000 cas d'Alzheimer seraient ainsi attribuables à ces traitements par benzodiazépines » poursuit Sciences et Avenir.
Le problème était déjà évoqué en 2006 dans un rapport de l'Office parlementaire des politiques de santé sur les médicaments psychotropes. « Depuis, il ne s'est strictement rien passé », déplore le spécialiste...
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il faudrait faire comme les Russes : ils entendent relancer massivement la culture du canabis... pas nocif et aussi efficace... l'article est en anglais mais si j'ai bien compris il est même précisé que le retour de la culture du canabis permettrait d'enrayer la production/consommation de médicaments équivalents falsifiés ou du marché noir...
http://rt.com/news/drug-cannabis-production-russia-553/
suicide
http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/09/28/une-gendarme-se-suicide-dans-sa-caserne-a-lyon_1578827_3224.html
Une gendarme se suicide dans sa caserne à Lyon
L'inspection générale de la gendarmerie a été saisie d'une enquête après le suicide, à l'aide de son arme de service, d'une femme gendarme de 32 ans dans sa caserne à Lyon, a-t-on appris mercredi 28 septembre. Elle a été retrouvée morte samedi dans la caserne Delfosse, où elle était affectée, son arme de service près du corps.
Selon l'Association de défense des droits des militaires (Adefdromil), qui revendique 1 500 adhérents, Myriam Sakhri l'avait "contactée en juillet" dernier, puis quelques jours avant son suicide, "pour [leur] faire part de sa souffrance morale qui résultait de son travail" et notamment des "allusions et injures à caractère raciste".
"Elle avait raconté les allusions et injures à caractère raciste, les humiliations, dont elle avait fait l'objet", selon le président de cette association, Jacques Bessy, qui s'exprimait sur le site de l'Adefdromil.
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Une gendarme se suicide dans sa caserne à Lyon
L'inspection générale de la gendarmerie a été saisie d'une enquête après le suicide, à l'aide de son arme de service, d'une femme gendarme de 32 ans dans sa caserne à Lyon, a-t-on appris mercredi 28 septembre. Elle a été retrouvée morte samedi dans la caserne Delfosse, où elle était affectée, son arme de service près du corps.
Selon l'Association de défense des droits des militaires (Adefdromil), qui revendique 1 500 adhérents, Myriam Sakhri l'avait "contactée en juillet" dernier, puis quelques jours avant son suicide, "pour [leur] faire part de sa souffrance morale qui résultait de son travail" et notamment des "allusions et injures à caractère raciste".
"Elle avait raconté les allusions et injures à caractère raciste, les humiliations, dont elle avait fait l'objet", selon le président de cette association, Jacques Bessy, qui s'exprimait sur le site de l'Adefdromil.
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suicide
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/societe/20110928.FAP5398/une-fonctionnaire-du-tresor-public-se-donne-la-mort-a-auch.html
Une fonctionnaire du Trésor public se donne la mort à Auch
TOULOUSE (AP) — Une fonctionnaire du Trésor public s'est donné la mort mardi après-midi par arme à feu à Auch (Gers), sur son lieu de travail, a-t-on appris mercredi de source judiciaire.
Agée de 43 ans, cet agent des impôts était employé au service de la monnaie au Trésor public d'Auch. Le corps de la fonctionnaire a été retrouvé mardi après-midi dans la salle des coffres où elle s'était enfermée pour se donner la mort. Elle aurait au préalable laissé sur son bureau une lettre d'explication.
"Une enquête est en cours pour déterminer les motivations de cette personne, mais pour l'instant rien ne permet d'établir, bien au contraire, que son geste ait un lien avec ses conditions de travail. Il semblerait que des problèmes strictement personnels en soient à l'origine", a déclaré mercredi matin à l'Associated Press le procureur de la République d'Auch, Alix Cabot-Chaumeton.
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la période critique septennale des 42 ans vient de se terminer... (dépression septennale ?)... jour critique émotionnel ?
Une fonctionnaire du Trésor public se donne la mort à Auch
TOULOUSE (AP) — Une fonctionnaire du Trésor public s'est donné la mort mardi après-midi par arme à feu à Auch (Gers), sur son lieu de travail, a-t-on appris mercredi de source judiciaire.
Agée de 43 ans, cet agent des impôts était employé au service de la monnaie au Trésor public d'Auch. Le corps de la fonctionnaire a été retrouvé mardi après-midi dans la salle des coffres où elle s'était enfermée pour se donner la mort. Elle aurait au préalable laissé sur son bureau une lettre d'explication.
"Une enquête est en cours pour déterminer les motivations de cette personne, mais pour l'instant rien ne permet d'établir, bien au contraire, que son geste ait un lien avec ses conditions de travail. Il semblerait que des problèmes strictement personnels en soient à l'origine", a déclaré mercredi matin à l'Associated Press le procureur de la République d'Auch, Alix Cabot-Chaumeton.
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la période critique septennale des 42 ans vient de se terminer... (dépression septennale ?)... jour critique émotionnel ?
tentative d'infanticide
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=37563
Une femme arrêtée après avoir tenté de tuer ses enfants à Rijkevorsel
" Une femme de 39 ans, domiciliée à Rijkevorsel, a été placée sous mandat d'arrêt pour double tentative d'assassinat après avoir essayé lundi de tuer ses deux enfants et de mettre fin à ses jours, a indiqué mardi le parquet de Turnhout. La femme et les deux enfants ont été découverts par la police dans leur habitation.
Un collègue de la trentenaire s'est présenté lundi matin au domicile de l'intéressée, situé dans l'Eekhofstraat, parce qu'elle n'était pas venue travailler. Vers 11h00, il a averti un membre de la famille et la police.
Cette dernière a découvert la femme et ses deux enfants - un adolescent de 13 ans et une fille de 10 ans - dans la chambre à coucher.
Il ressort des premières constatations que la femme a d'abord administré des somnifères aux enfants, avant d'en prendre elle-même et d'ouvrir une bonbonne de gaz butane. L'enquête ultérieure devra confirmer cette version. La mère a entre-temps pu quitter l'hôpital et a été placée mardi sous mandat d'arrêt par le juge d'instruction. Les enfants se trouvent, eux, toujours à l'hôpital."
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Une femme arrêtée après avoir tenté de tuer ses enfants à Rijkevorsel
" Une femme de 39 ans, domiciliée à Rijkevorsel, a été placée sous mandat d'arrêt pour double tentative d'assassinat après avoir essayé lundi de tuer ses deux enfants et de mettre fin à ses jours, a indiqué mardi le parquet de Turnhout. La femme et les deux enfants ont été découverts par la police dans leur habitation.
Un collègue de la trentenaire s'est présenté lundi matin au domicile de l'intéressée, situé dans l'Eekhofstraat, parce qu'elle n'était pas venue travailler. Vers 11h00, il a averti un membre de la famille et la police.
Cette dernière a découvert la femme et ses deux enfants - un adolescent de 13 ans et une fille de 10 ans - dans la chambre à coucher.
Il ressort des premières constatations que la femme a d'abord administré des somnifères aux enfants, avant d'en prendre elle-même et d'ouvrir une bonbonne de gaz butane. L'enquête ultérieure devra confirmer cette version. La mère a entre-temps pu quitter l'hôpital et a été placée mardi sous mandat d'arrêt par le juge d'instruction. Les enfants se trouvent, eux, toujours à l'hôpital."
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fusillade de Zoug
http://www.tsr.ch/info/suisse/3421663-la-tuerie-de-zoug-s-est-deroule-il-y-a-dix-ans-jour-pour-jour-le-drame-sans-precedent-a-fait-14-morts.html
Les commémorations des dix ans de la fusillade de Zoug, qui avait fait 14 morts et 15 blessés le 27 septembre 2001, se sont déroulées mardi. La présidente de la Confédération Micheline Calmy-Rey a assisté au concert du souvenir dans l'église d'Unteraegeri (ZG). "On ne pourra jamais vraiment répondre à la question, "pourquoi"?. Mais avant tout, il faut vivre avec", a déclaré M.Calmy-Rey dans une brève allocution. La salle du Parlement, où le tireur avait fait feu, était décorée de fleurs et ouverte pour qu'on puisse s'y recueillir. Les cloches de toutes les églises du canton ont retenti à midi. >
Il y a 10 ans jour pour jour, Friedrich Leibacher pénétrait dans le Parlement zougois, y tuant 14 personnes. La Suisse prenait alors conscience qu'elle n'était pas à l'abri d'un attentat. En 2 minutes 30, ce citoyen en conflit avec les autorités a abattu 11 députés et 3 membres du gouvernement avant de se suicider. Il a aussi fait 15 blessés, dont certains grièvement touchés. Cette tuerie sans précédent a choqué tout le pays et même à l'étranger. Jusqu'alors, le Parlement n'était quasi pas protégé. Depuis, le canton a pris des mesures, avec entre autres la présence de policiers durant les séances.
======================
si l'on regarde la situation cyclique de Friedrich Leibacher on y trouve certains "éléments moteurs"...
Wikipédia :
Friedrich Heinz Leibacher (July 21, 1944 – September 27, 2001) was a Swiss spree killer who killed 14 members of the Zug canton Parliament, injuring 18 others, before committing suicide.
At 10:30 AM on September 27, 2001 Leibacher entered the Zug Parliament disguised as a police officer and armed with a pistol, a revolver, a pump-action shotgun, and a rifle. He made his way to the Parliament chamber where he fired more than 90 shots randomly. Politicians and journalists alike were hit, although Robert Bisig escaped unscathed. Finally, Leibacher detonated a small home-made bomb, then shot himself. He left behind a suicide note describing his action as a "Day of rage for the Zug mafia"...
septembre 2001 (21/07/1944)
Lu 24 P(1)
Ma 25
Me 26
Je 27
Ve 28 E(1)
Sa 29 P(6) I(1)
Di 30 P(7)
- la période critique septennale des 56 ans vient de se terminer et je pense qu'elle n'est pas étrangère à son projet...
- passage à l'acte la veille, à l'arrivée de son "jour de colère" qu'est le jour critique émotionnel E1 : E1 étant le jour critique le plus "fort" des quatre, premier jour d'un nouveau cycle émotionnel de 28 jours...
- présence ou proximité des tois jours premiers jours de chaque cycle (P1 - E1 - i1)
Les commémorations des dix ans de la fusillade de Zoug, qui avait fait 14 morts et 15 blessés le 27 septembre 2001, se sont déroulées mardi. La présidente de la Confédération Micheline Calmy-Rey a assisté au concert du souvenir dans l'église d'Unteraegeri (ZG). "On ne pourra jamais vraiment répondre à la question, "pourquoi"?. Mais avant tout, il faut vivre avec", a déclaré M.Calmy-Rey dans une brève allocution. La salle du Parlement, où le tireur avait fait feu, était décorée de fleurs et ouverte pour qu'on puisse s'y recueillir. Les cloches de toutes les églises du canton ont retenti à midi. >
Il y a 10 ans jour pour jour, Friedrich Leibacher pénétrait dans le Parlement zougois, y tuant 14 personnes. La Suisse prenait alors conscience qu'elle n'était pas à l'abri d'un attentat. En 2 minutes 30, ce citoyen en conflit avec les autorités a abattu 11 députés et 3 membres du gouvernement avant de se suicider. Il a aussi fait 15 blessés, dont certains grièvement touchés. Cette tuerie sans précédent a choqué tout le pays et même à l'étranger. Jusqu'alors, le Parlement n'était quasi pas protégé. Depuis, le canton a pris des mesures, avec entre autres la présence de policiers durant les séances.
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si l'on regarde la situation cyclique de Friedrich Leibacher on y trouve certains "éléments moteurs"...
Wikipédia :
Friedrich Heinz Leibacher (July 21, 1944 – September 27, 2001) was a Swiss spree killer who killed 14 members of the Zug canton Parliament, injuring 18 others, before committing suicide.
At 10:30 AM on September 27, 2001 Leibacher entered the Zug Parliament disguised as a police officer and armed with a pistol, a revolver, a pump-action shotgun, and a rifle. He made his way to the Parliament chamber where he fired more than 90 shots randomly. Politicians and journalists alike were hit, although Robert Bisig escaped unscathed. Finally, Leibacher detonated a small home-made bomb, then shot himself. He left behind a suicide note describing his action as a "Day of rage for the Zug mafia"...
septembre 2001 (21/07/1944)
Lu 24 P(1)
Ma 25
Me 26
Je 27
Ve 28 E(1)
Sa 29 P(6) I(1)
Di 30 P(7)
- la période critique septennale des 56 ans vient de se terminer et je pense qu'elle n'est pas étrangère à son projet...
- passage à l'acte la veille, à l'arrivée de son "jour de colère" qu'est le jour critique émotionnel E1 : E1 étant le jour critique le plus "fort" des quatre, premier jour d'un nouveau cycle émotionnel de 28 jours...
- présence ou proximité des tois jours premiers jours de chaque cycle (P1 - E1 - i1)
homicide
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=11702&hl=
Un détenu valaisan tué dans sa cellule en France
Lundi au petit matin, un prisonnier a frappé à la tête son codétenu à la maison d’arrêt de Bonneville. La victime est décédée cet après-midi à l'hôpital.
C’est le codétenu qui a alerté un surveillant, vers 8h du matin. « Il a mal à la tête », a-t-il affirmé en parlant de son compagnon de cellule. En réalité, le prétendu migraineux git dans son sang sur son lit. Cet homme de 42 ans né à Grimisuat, dans le Valais est immédiatement transféré au centre hospitalier de Metz-Tessy. Il décède à 14h30. L’autopsie de son corps aura lieu demain à Grenoble.
Incarcéré à la maison d’arrêt de Bonneville depuis aout, il purgeait une peine de 3 mois pour violences volontaires. Depuis jeudi dernier, le Valaisan avait intégré le nouveau quartier homme, partageant sa cellule de 14 m2 avec un homme de 49 ans. Ce dernier est, quant à lui, incarcéré pour une durée de 6 mois pour non respect du suivi socio judiciaire. Condamné pour viol dans le Doubs à 18 mois ferme et 10 ans de suivi socio judiciaire, il n’a pas respecté cette seconde partie de la peine.
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c'est une situation de compatibilité à risque avec deux septennaux dans la même cellule...
Un détenu valaisan tué dans sa cellule en France
Lundi au petit matin, un prisonnier a frappé à la tête son codétenu à la maison d’arrêt de Bonneville. La victime est décédée cet après-midi à l'hôpital.
C’est le codétenu qui a alerté un surveillant, vers 8h du matin. « Il a mal à la tête », a-t-il affirmé en parlant de son compagnon de cellule. En réalité, le prétendu migraineux git dans son sang sur son lit. Cet homme de 42 ans né à Grimisuat, dans le Valais est immédiatement transféré au centre hospitalier de Metz-Tessy. Il décède à 14h30. L’autopsie de son corps aura lieu demain à Grenoble.
Incarcéré à la maison d’arrêt de Bonneville depuis aout, il purgeait une peine de 3 mois pour violences volontaires. Depuis jeudi dernier, le Valaisan avait intégré le nouveau quartier homme, partageant sa cellule de 14 m2 avec un homme de 49 ans. Ce dernier est, quant à lui, incarcéré pour une durée de 6 mois pour non respect du suivi socio judiciaire. Condamné pour viol dans le Doubs à 18 mois ferme et 10 ans de suivi socio judiciaire, il n’a pas respecté cette seconde partie de la peine.
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c'est une situation de compatibilité à risque avec deux septennaux dans la même cellule...
furie
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=37553
A Nancy, une femme poignarde son ex sous les yeux des policiers
" Un différend conjugal s’est terminé à coups de couteau dimanche soir à Nancy. La victime est aussi blessée par balle. Son pronostic vital est engagé.
Le parquet de Nancy va ouvrir aujourd’hui une information judiciaire pour « tentative de meurtre » après le drame conjugal qui s’est produit dimanche soir, en plein centre-ville de Nancy, dans un immeuble cossu de la rue Jeanne-d’Arc. Une Nancéienne de 44 ans est soupçonnée d’avoir poignardé son « ex » après lui avoir tiré dessus à plusieurs reprises. Le dernier coup de couteau a été donné sous les yeux des policiers qui intervenaient !
Il est 22 h ce dimanche soir quand le poste de commandement du boulevard Lobau reçoit plusieurs appels leur signalant des « coups de feu ». Une patrouille de la BAC (Brigade anticriminalité) accompagnée de sapeurs-pompiers — est aussitôt dépêchée sur place. Les policiers qui pénètrent dans l’immeuble entendent d’effroyables appels au secours provenant du dernier étage. La voix est masculine. Ils montent les escaliers quatre à quatre. Une porte s’ouvre. Un homme surgit, poursuivi par une femme. Elle lui assène un violent coup de couteau dans le dos. Alors qu’elle tente d’en donner un deuxième, un des policiers la frappe au poignet avec sa matraque télescopique. Elle lâche son arme d’une trentaine de centimètres. L’homme descend un étage et s’écroule sur le palier. La victime est aussitôt prise en charge par les secours.
3 BALLES, 9 COUPS DE COUTEAU
Médicalisé sur place, le malheureux sera transporté inconscient à l’hôpital central dans un état jugé « critique ». Selon les premières constatations, son corps porte les traces d’au moins trois impacts de balles et de neuf coups de couteau. Son pronostic vital est engagé. L’auteur des coups de couteau, blessée au poignet, est elle aussi transportée à l’hôpital central pour y être soignée.
Comment expliquer cet accès de folie ? Quelle est la nature exacte du différend ? Pourquoi lui en voulait-elle tant au point de vouloir le tuer ?
Est-elle aussi l’auteur des coups de feu ? Avec quelle arme ? Les policiers de la brigade criminelle de la Sûreté départementale n’ont pu véritablement commencer leur enquête qu’hier après-midi. L’auteur de l’agression n’ayant pas pu être entendue plus tôt tandis que la victime était toujours entre la vie et la mort.
Selon nos informations, la victime, environ 41 ans, a un temps partagé sa vie avec celle qui a tenté de le tuer. Le couple aurait eu un enfant. C’est la mère âgée de 44 ans qui avait la garde de la fillette, absente au moment du drame. La mère et l’enfant avaient emménagé dans l’immeuble il y a moins d’un an. Ils n’avaient encore jamais fait parler d’eux d’après les voisins, abasourdis."
Un article de Saïd LABIDI.
Source : L'EST REPUBLICAIN (27 septembre 2011
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A Nancy, une femme poignarde son ex sous les yeux des policiers
" Un différend conjugal s’est terminé à coups de couteau dimanche soir à Nancy. La victime est aussi blessée par balle. Son pronostic vital est engagé.
Le parquet de Nancy va ouvrir aujourd’hui une information judiciaire pour « tentative de meurtre » après le drame conjugal qui s’est produit dimanche soir, en plein centre-ville de Nancy, dans un immeuble cossu de la rue Jeanne-d’Arc. Une Nancéienne de 44 ans est soupçonnée d’avoir poignardé son « ex » après lui avoir tiré dessus à plusieurs reprises. Le dernier coup de couteau a été donné sous les yeux des policiers qui intervenaient !
Il est 22 h ce dimanche soir quand le poste de commandement du boulevard Lobau reçoit plusieurs appels leur signalant des « coups de feu ». Une patrouille de la BAC (Brigade anticriminalité) accompagnée de sapeurs-pompiers — est aussitôt dépêchée sur place. Les policiers qui pénètrent dans l’immeuble entendent d’effroyables appels au secours provenant du dernier étage. La voix est masculine. Ils montent les escaliers quatre à quatre. Une porte s’ouvre. Un homme surgit, poursuivi par une femme. Elle lui assène un violent coup de couteau dans le dos. Alors qu’elle tente d’en donner un deuxième, un des policiers la frappe au poignet avec sa matraque télescopique. Elle lâche son arme d’une trentaine de centimètres. L’homme descend un étage et s’écroule sur le palier. La victime est aussitôt prise en charge par les secours.
3 BALLES, 9 COUPS DE COUTEAU
Médicalisé sur place, le malheureux sera transporté inconscient à l’hôpital central dans un état jugé « critique ». Selon les premières constatations, son corps porte les traces d’au moins trois impacts de balles et de neuf coups de couteau. Son pronostic vital est engagé. L’auteur des coups de couteau, blessée au poignet, est elle aussi transportée à l’hôpital central pour y être soignée.
Comment expliquer cet accès de folie ? Quelle est la nature exacte du différend ? Pourquoi lui en voulait-elle tant au point de vouloir le tuer ?
Est-elle aussi l’auteur des coups de feu ? Avec quelle arme ? Les policiers de la brigade criminelle de la Sûreté départementale n’ont pu véritablement commencer leur enquête qu’hier après-midi. L’auteur de l’agression n’ayant pas pu être entendue plus tôt tandis que la victime était toujours entre la vie et la mort.
Selon nos informations, la victime, environ 41 ans, a un temps partagé sa vie avec celle qui a tenté de le tuer. Le couple aurait eu un enfant. C’est la mère âgée de 44 ans qui avait la garde de la fillette, absente au moment du drame. La mère et l’enfant avaient emménagé dans l’immeuble il y a moins d’un an. Ils n’avaient encore jamais fait parler d’eux d’après les voisins, abasourdis."
Un article de Saïd LABIDI.
Source : L'EST REPUBLICAIN (27 septembre 2011
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lundi 26 septembre 2011
combustion spontanée
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1504/Insolite/article/detail/1324397/2011/09/26/Un-homme-officiellement-mort-de-combustion-spontanee.dhtml
Un homme officiellement mort de combustion spontanée
Le 22 décembre dernier, Michael Faherty, 76 ans, a été retrouvé calciné dans sa maison sans qu'aucun autre élément de la maison n'ait été brûlé. Cette semaine, l'enquête a déterminé que Monsieur Faherty était officiellement mort de combustion humaine spontanée, selon l'Irish Times.
D'après la BBC, il s'agirait du premier cas reconnu de combustion spontanée dans le pays. Les enquêteurs et les experts ont déterminé qu'il n'y avait eu aucun élément déclencheur extérieur et que le feu dans la cheminée n'était pas en cause.
Le 22 décembre, un voisin avait appelé les secours vers 3h du matin en entendant une alarme incendie. Michael Faherty avait été retrouvé allongé sur le dos, son corps entièrement brûlé, mais seuls le sol sous son corps et le plafond au dessus de lui avaient également été endommagés par la fumée.
Faherty avait été retrouvé près de la cheminée. D'après l'un des experts, les rares cas de combustion humaine spontanée ont généralement lieu à proximité d'une cheminée. (7sur7Sydney/ca)
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Un homme officiellement mort de combustion spontanée
Le 22 décembre dernier, Michael Faherty, 76 ans, a été retrouvé calciné dans sa maison sans qu'aucun autre élément de la maison n'ait été brûlé. Cette semaine, l'enquête a déterminé que Monsieur Faherty était officiellement mort de combustion humaine spontanée, selon l'Irish Times.
D'après la BBC, il s'agirait du premier cas reconnu de combustion spontanée dans le pays. Les enquêteurs et les experts ont déterminé qu'il n'y avait eu aucun élément déclencheur extérieur et que le feu dans la cheminée n'était pas en cause.
Le 22 décembre, un voisin avait appelé les secours vers 3h du matin en entendant une alarme incendie. Michael Faherty avait été retrouvé allongé sur le dos, son corps entièrement brûlé, mais seuls le sol sous son corps et le plafond au dessus de lui avaient également été endommagés par la fumée.
Faherty avait été retrouvé près de la cheminée. D'après l'un des experts, les rares cas de combustion humaine spontanée ont généralement lieu à proximité d'une cheminée. (7sur7Sydney/ca)
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infanticide
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=8045&hl=
Bébé défenestré : la mère déclarée "irresponsable"
Une contre expertise médicale conclut à « l'irresponsabilité totale », de Cécile B., cette jeune maman accusée d'avoir défenestré son nourrisson, le 26 août 2010, à Toulouse.
C'est une pièce majeure du dossier qui pourrait signer la fin d'une affaire aussi effroyable que dramatique. Un an après la mise en examen pour meurtre aggravé de Cécile B, cette jeune maman qui avait défenestré du huitième étage de son appartement son bébé de 15 jours, le 26 août 2010, allées Jean-Jaurès, à Toulouse, deux experts psychiatres concluent à « l'irresponsabilité totale », de la jeune femme. Dans cette contre expertise réalisée à la de mande du parquet, Jean-Michel Masson et le professeur Brion considèrent qu'au moment des faits, le discernement de Cécile B, alors âgée de 34 ans, et le contrôle de ses actes étaient « totalement abolis. » Ces conclusions arrivent six mois après une première expertise médicale affirmant que la jeune femme n'était pas accessible à une sanction pénale. Depuis plus d'un an, Cécile B. est détenue en unité psychiatrique. « Dans un système pénal où la liberté est la règle et la détention l'exception, cette femme aurait dû être remise en liberté tout de suite », réagit l'avocat de la jeune mère, Me Simon Cohen. Et d'ajouter : « On savait depuis l'origine que cette femme n'était pas responsable de son acte. Mais malheureusement, la réaction répulsive suscitée par les faits l'a emporté sur l'analyse objective de la maladie psychiatrique de cette personne. » Selon les médecins, Cécile B., suivie médicalement depuis 2004, souffre d'une « décompensation psychiatrique majeure. » Sans avoir eu connaissance de ce dernier rapport, l'avocat de la jeune femme a déposé une énième demande de remise en liberté. Elle devrait être examinée dans les prochains jours. L'instruction de cette affaire dramatique se poursuit. « Le dossier n'est pas pour autant terminé, relève le procureur de la République, Michel Valet. Mais cette seconde expertise peut accélérer les choses », conclut-il.
Source : La Dépêche
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le cycle psychique et émotionnel septennal apparaît ici également : entrée dans la période critique septennale des 35 ans au moment du drame, et, précédemment, début de problèmes en 2004 la période critique septennale précédente, celle des 28 ans... en quelque sorte une rechute septennale...
jour critique émotionnel ?
Bébé défenestré : la mère déclarée "irresponsable"
Une contre expertise médicale conclut à « l'irresponsabilité totale », de Cécile B., cette jeune maman accusée d'avoir défenestré son nourrisson, le 26 août 2010, à Toulouse.
C'est une pièce majeure du dossier qui pourrait signer la fin d'une affaire aussi effroyable que dramatique. Un an après la mise en examen pour meurtre aggravé de Cécile B, cette jeune maman qui avait défenestré du huitième étage de son appartement son bébé de 15 jours, le 26 août 2010, allées Jean-Jaurès, à Toulouse, deux experts psychiatres concluent à « l'irresponsabilité totale », de la jeune femme. Dans cette contre expertise réalisée à la de mande du parquet, Jean-Michel Masson et le professeur Brion considèrent qu'au moment des faits, le discernement de Cécile B, alors âgée de 34 ans, et le contrôle de ses actes étaient « totalement abolis. » Ces conclusions arrivent six mois après une première expertise médicale affirmant que la jeune femme n'était pas accessible à une sanction pénale. Depuis plus d'un an, Cécile B. est détenue en unité psychiatrique. « Dans un système pénal où la liberté est la règle et la détention l'exception, cette femme aurait dû être remise en liberté tout de suite », réagit l'avocat de la jeune mère, Me Simon Cohen. Et d'ajouter : « On savait depuis l'origine que cette femme n'était pas responsable de son acte. Mais malheureusement, la réaction répulsive suscitée par les faits l'a emporté sur l'analyse objective de la maladie psychiatrique de cette personne. » Selon les médecins, Cécile B., suivie médicalement depuis 2004, souffre d'une « décompensation psychiatrique majeure. » Sans avoir eu connaissance de ce dernier rapport, l'avocat de la jeune femme a déposé une énième demande de remise en liberté. Elle devrait être examinée dans les prochains jours. L'instruction de cette affaire dramatique se poursuit. « Le dossier n'est pas pour autant terminé, relève le procureur de la République, Michel Valet. Mais cette seconde expertise peut accélérer les choses », conclut-il.
Source : La Dépêche
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le cycle psychique et émotionnel septennal apparaît ici également : entrée dans la période critique septennale des 35 ans au moment du drame, et, précédemment, début de problèmes en 2004 la période critique septennale précédente, celle des 28 ans... en quelque sorte une rechute septennale...
jour critique émotionnel ?
dimanche 25 septembre 2011
décès
http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Un-cycliste-meurt-d-un-arret-cardiaque-au-barrage-de-la-Rance_40771-1993102-pere-bre_filDMA.Htm
Saint-Malo
Un cycliste meurt d’un arrêt cardiaque au barrage de la Rance
Le cycliste de 55 ans est décédé au bord de la route, dans la montée en venant de Dinard.
En début d’après-midi, les secours sont intervenus sur la route du barrage de la Rance, entre Dinard et Saint-Malo. Un cycliste de 55 ans venait de s’effondrer sur le bas-côté de la chaussée. Il a été victime d’un arrêt cardiaque en plein effort, alors qu’il montait une côte assez raide, dans les virages, en direction de Saint-Malo.
Malgré les efforts des médecins du Smur pour le réanimer, il est décédé.
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Saint-Malo
Un cycliste meurt d’un arrêt cardiaque au barrage de la Rance
Le cycliste de 55 ans est décédé au bord de la route, dans la montée en venant de Dinard.
En début d’après-midi, les secours sont intervenus sur la route du barrage de la Rance, entre Dinard et Saint-Malo. Un cycliste de 55 ans venait de s’effondrer sur le bas-côté de la chaussée. Il a été victime d’un arrêt cardiaque en plein effort, alors qu’il montait une côte assez raide, dans les virages, en direction de Saint-Malo.
Malgré les efforts des médecins du Smur pour le réanimer, il est décédé.
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accident
Saint-Germain-en-Coglès
Un motard de 27 ans décède dans un accident, près de Fougères
Un motard de 27 ans domicilié à Lécousse, près de Fougères, est décédé, ce midi, dans un accident de la circulation. Il est entré en collision frontale avec une voiture conduite par une femme âgée de 46 ans et habitant Le Châtellier aux alentours de 13 h 30, à hauteur de la chapelle Sainte-Eustache à Saint-Etienne-en-Coglès, près de Fougères. L’automobiliste a été légèrement blessée et conduite au centre hospitalier de Fougères par les sapeurs-pompiers.
La circulation sur la route départementale 155 a été coupée pendant l’intervention des secours, qui ont quitté les lieux vers 15 h 15.
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Un motard de 27 ans décède dans un accident, près de Fougères
Un motard de 27 ans domicilié à Lécousse, près de Fougères, est décédé, ce midi, dans un accident de la circulation. Il est entré en collision frontale avec une voiture conduite par une femme âgée de 46 ans et habitant Le Châtellier aux alentours de 13 h 30, à hauteur de la chapelle Sainte-Eustache à Saint-Etienne-en-Coglès, près de Fougères. L’automobiliste a été légèrement blessée et conduite au centre hospitalier de Fougères par les sapeurs-pompiers.
La circulation sur la route départementale 155 a été coupée pendant l’intervention des secours, qui ont quitté les lieux vers 15 h 15.
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suicides
http://www.macommune.info/actualite/deux-hommes-tues-par-deux-trains-dans-le-jura--22489.html
Deux hommes tués par deux trains dans le Jura
A Dole, un homme de 72 ans s’est jeté ce samedi vers 9h sous le TGV reliant Paris à Lausanne. Un autre homme a ensuite été tué par le train Strasbourg Lyon.
Le septuagénaire s’est suicidé vers 9h. A un passage à niveau, l’homme s’est jeté sous le TGV. La circulation perturbée durant près de deux heures.
Ce samedi après-midi à Dignia près de Lons-le-Saunier, un homme de 58 ans s’est également jeté sous le train Strasbourg Lyon.
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Deux hommes tués par deux trains dans le Jura
A Dole, un homme de 72 ans s’est jeté ce samedi vers 9h sous le TGV reliant Paris à Lausanne. Un autre homme a ensuite été tué par le train Strasbourg Lyon.
Le septuagénaire s’est suicidé vers 9h. A un passage à niveau, l’homme s’est jeté sous le TGV. La circulation perturbée durant près de deux heures.
Ce samedi après-midi à Dignia près de Lons-le-Saunier, un homme de 58 ans s’est également jeté sous le train Strasbourg Lyon.
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accident de Marcoule
http://www.2000watts.org/index.php/energytrend/nucleaire/nucleaire-nouvelles/692-marcoule-lemploye-decede-enterre-dans-un-cercueil-blinde.html
Marcoule:
L'Employé Décédé Enterré dans un Cercueil Blindé
C'est curieux comme les media français ignorent la suite de l’accident nucléaire de Marcoule alors qu'un ouvrier espagnol de 51 ans est décédé et 4 autres employés blessés. C’est dans la presse espagnole qu’il faut rechercher des informations.
Ainsi selon le quotidien espagnol El Publico, l’employé qui est décédé, M. José Marin, a été contaminé et son cercueil, mis en terre samedi, est protégé par un blindage spécial. Sa famille n'a pas été autorisée à voir son corps. Le quotidien croit également savoir qu'aucune autopsie n'a été effectuée. Seuls les gendarmes, équipés de combinaisons de protection radioactive, ont eu accès au hangar où a eu lieu l'explosion.
Mort Brûlé par des métaux radioactifs
Selon les premières auditions, le four avait été remis le matin même en fonctionnement après plusieurs pannes et avait atteint 1.500 degrés. Mais la fusion du métal ne s'est pas faite, ce qui aurait conduit M. José Marin à intervenir à l'aide d'une barre à mine" sur le métal chauffé. C'est après son intervention qu'une boule de feu comme "un geyser de métal radioactif en fusion" l'a tué et brûlé grièvement son collègue.
==============
je ne sais pas ce que vaut cette description de l'accident, mais je me suis demandé si c'est vrai, si une intervention à ce moment-là au moyen d'une barre à mine pouvait bien être indiquée...
suis donc parti à la recherche de la date de naissance de l'intéressé pour voir s'il ne se trouvait pas dans un jour critique... (les jours critiques sont très fréquemment présents lors de toutes sortes d'accidents, du fait que nous ne sommes pas ces jours-là dans notre forme et état optimaux...)
j'ai trouvé sur Facebook :
http://fr-fr.facebook.com/pages/Accident-Nucl%C3%A9aire-de-Marcoule/273701305992275
"José Marin aurait dû fêter ses 52 ans, le 20 novembre prochain et devenir grand-père".
cette donnée me permet de regarder la situation cyclique de la personne :
(donc sous réserve que la donnée trouvée soit juste)
septembre 2011 (20/11/1959)
Je 1
Ve 2 E(15)
Sa 3
Di 4
Lu 5 P(12) I(9)
Ma 6
Me 7
Je 8
Ve 9 E(22)
Sa 10
Di 11 P(18)
Lu 12 P(19)
Ma 13I(17)
Me 14
Je 15
Ve 16E(1)
et je trouve effectivement l'important down P18/P19 la veille d'un jour critique intellectuel i17...
Marcoule:
L'Employé Décédé Enterré dans un Cercueil Blindé
C'est curieux comme les media français ignorent la suite de l’accident nucléaire de Marcoule alors qu'un ouvrier espagnol de 51 ans est décédé et 4 autres employés blessés. C’est dans la presse espagnole qu’il faut rechercher des informations.
Ainsi selon le quotidien espagnol El Publico, l’employé qui est décédé, M. José Marin, a été contaminé et son cercueil, mis en terre samedi, est protégé par un blindage spécial. Sa famille n'a pas été autorisée à voir son corps. Le quotidien croit également savoir qu'aucune autopsie n'a été effectuée. Seuls les gendarmes, équipés de combinaisons de protection radioactive, ont eu accès au hangar où a eu lieu l'explosion.
Mort Brûlé par des métaux radioactifs
Selon les premières auditions, le four avait été remis le matin même en fonctionnement après plusieurs pannes et avait atteint 1.500 degrés. Mais la fusion du métal ne s'est pas faite, ce qui aurait conduit M. José Marin à intervenir à l'aide d'une barre à mine" sur le métal chauffé. C'est après son intervention qu'une boule de feu comme "un geyser de métal radioactif en fusion" l'a tué et brûlé grièvement son collègue.
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je ne sais pas ce que vaut cette description de l'accident, mais je me suis demandé si c'est vrai, si une intervention à ce moment-là au moyen d'une barre à mine pouvait bien être indiquée...
suis donc parti à la recherche de la date de naissance de l'intéressé pour voir s'il ne se trouvait pas dans un jour critique... (les jours critiques sont très fréquemment présents lors de toutes sortes d'accidents, du fait que nous ne sommes pas ces jours-là dans notre forme et état optimaux...)
j'ai trouvé sur Facebook :
http://fr-fr.facebook.com/pages/Accident-Nucl%C3%A9aire-de-Marcoule/273701305992275
"José Marin aurait dû fêter ses 52 ans, le 20 novembre prochain et devenir grand-père".
cette donnée me permet de regarder la situation cyclique de la personne :
(donc sous réserve que la donnée trouvée soit juste)
septembre 2011 (20/11/1959)
Je 1
Ve 2 E(15)
Sa 3
Di 4
Lu 5 P(12) I(9)
Ma 6
Me 7
Je 8
Ve 9 E(22)
Sa 10
Di 11 P(18)
Lu 12 P(19)
Ma 13I(17)
Me 14
Je 15
Ve 16E(1)
et je trouve effectivement l'important down P18/P19 la veille d'un jour critique intellectuel i17...
drame familial
http://www.ad-hoc-news.de/zwei-tote-bei-familiendrama-im-main-tauber-kreis--/de/News/22442946
Zwei Tote bei Familiendrama im Main-Tauber-Kreis
Ein 45-jähriger Mann hat im Boxberger Ortsteil Schweigern (Main-Tauber-Kreis) seine 78 Jahre alte Mutter erstochen und sich erhängt. Das teilten Polizei und die Staatsanwaltschaft Mosbach am Donnerstag mit. Polizisten hatten die Toten am Mittwoch gefunden. Sie waren alarmiert worden, nachdem Mutter und Sohn mehrere Tage lang nicht gesehen worden waren.
........... das Motiv war zunächst noch unklar.
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Zwei Tote bei Familiendrama im Main-Tauber-Kreis
Ein 45-jähriger Mann hat im Boxberger Ortsteil Schweigern (Main-Tauber-Kreis) seine 78 Jahre alte Mutter erstochen und sich erhängt. Das teilten Polizei und die Staatsanwaltschaft Mosbach am Donnerstag mit. Polizisten hatten die Toten am Mittwoch gefunden. Sie waren alarmiert worden, nachdem Mutter und Sohn mehrere Tage lang nicht gesehen worden waren.
........... das Motiv war zunächst noch unklar.
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coup de folie
http://mcetv.fr/mon-mag/2409-drame-a-lyon-un-jeune-de-18-ans-poignarde-a-mort-sa-mere-de-63-ans
Drame à Lyon : un jeune de 18 ans poignarde à mort sa mère de 63 ans
Un jeune lyonnais de 18 ans a poignardé à mort sa mère et blessé très grièvement son père dans la nuit de vendredi à samedi
Un jeune de 18 ans a été interpellé dans la nuit de vendredi à samedi après avoir poignardé mortellement sa mère et blessé très grièvement son père.
Le drame s’est passé dans le domicile familial situé dans le 6e arrondissement de Lyon.
La mère âgée de 63 est décédée suite à ses blessures peu après son arrivée à l’hôpital. Le pronostic vital du père n’est pas engagé.
Le jeune lyonnais de 18 ans arrêté près du domicile familial peu après les fait. Il a été placé en garde à vue.
=================
Drame à Lyon : un jeune de 18 ans poignarde à mort sa mère de 63 ans
Un jeune lyonnais de 18 ans a poignardé à mort sa mère et blessé très grièvement son père dans la nuit de vendredi à samedi
Un jeune de 18 ans a été interpellé dans la nuit de vendredi à samedi après avoir poignardé mortellement sa mère et blessé très grièvement son père.
Le drame s’est passé dans le domicile familial situé dans le 6e arrondissement de Lyon.
La mère âgée de 63 est décédée suite à ses blessures peu après son arrivée à l’hôpital. Le pronostic vital du père n’est pas engagé.
Le jeune lyonnais de 18 ans arrêté près du domicile familial peu après les fait. Il a été placé en garde à vue.
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samedi 24 septembre 2011
retrouvé mort
http://www.nytimes.com/2011/09/24/sports/football/orlando-brown-who-sued-nfl-over-errant-flag-dies-at-40.html
Orlando Brown, Who Sued N.F.L. Over Errant Flag, Dies at 40
Orlando Brown, a bruising offensive tackle for the Cleveland Browns and the Baltimore Ravens who was temporarily blinded in one eye by a referee’s errant penalty flag, leading him to file a $200 million lawsuit against the National Football League, was found dead Friday in his Baltimore apartment. He was 40.
There were no signs of foul play or suspicious materials at the scene, Anthony Guglielmi, director of public affairs for the Baltimore Police Department, said.
Brown, a 6-foot-7, 360-pound lineman nicknamed Zeus, was a stalwart for both the Ravens and the Browns. He was one of the highest-paid offensive linemen in the N.F.L. and started 119 games in his 129-game career.
Brown was sidelined by an accident on Dec. 19, 1999, while playing for the Browns in a game against the Jacksonville Jaguars. When the referee Jeff Triplette tossed his flag, weighted with BBs, it struck Brown in the right eye, missing his helmet’s face guard. Brown walked off the field, but furious, he returned and shoved Triplette to the turf.
The league suspended him indefinitely for assaulting Triplette but lifted the suspension after it was found that the flag had temporarily blinded Brown. The Browns released him in 2000.
In 2001, Brown sued the league for $200 million, saying the flag incident prematurely ended his career. According to reports, he settled for a sum between $15 million and $25 million in 2002.
Brown came out of retirement in 2003 to play for the Ravens, and as a blocker he became an integral part of running back Jamal Lewis’s 2,066-yard rushing season. Brown started 35 games before retiring in 2005.
Orlando Claude Brown was born in Washington on Dec. 12, 1970. He attended Howard D. Woodson High School there before attending South Carolina State. He was signed as an undrafted free agent by the Browns in 1993.
Survivors include three sons, Orlando Jr., Justin Wallace and Braxton.
Brown opened a Fatburger restaurant franchise in Elkridge, Md., in 2009.
He retained ties to the Ravens, most recently mentoring the second-year offensive tackle Ramon Harewood.
For months after his eye injury, Brown kept a referee’s flag in his locker, and he watched closely when referees signaled penalties.
“They’re still throwing them in there,” he told The Associated Press in 2000. “I wish he just would have dropped it, that’s all.”
========
c'est un décès à l'arrivée de son jour critique émotionnel E1.
Orlando Brown, Who Sued N.F.L. Over Errant Flag, Dies at 40
Orlando Brown, a bruising offensive tackle for the Cleveland Browns and the Baltimore Ravens who was temporarily blinded in one eye by a referee’s errant penalty flag, leading him to file a $200 million lawsuit against the National Football League, was found dead Friday in his Baltimore apartment. He was 40.
There were no signs of foul play or suspicious materials at the scene, Anthony Guglielmi, director of public affairs for the Baltimore Police Department, said.
Brown, a 6-foot-7, 360-pound lineman nicknamed Zeus, was a stalwart for both the Ravens and the Browns. He was one of the highest-paid offensive linemen in the N.F.L. and started 119 games in his 129-game career.
Brown was sidelined by an accident on Dec. 19, 1999, while playing for the Browns in a game against the Jacksonville Jaguars. When the referee Jeff Triplette tossed his flag, weighted with BBs, it struck Brown in the right eye, missing his helmet’s face guard. Brown walked off the field, but furious, he returned and shoved Triplette to the turf.
The league suspended him indefinitely for assaulting Triplette but lifted the suspension after it was found that the flag had temporarily blinded Brown. The Browns released him in 2000.
In 2001, Brown sued the league for $200 million, saying the flag incident prematurely ended his career. According to reports, he settled for a sum between $15 million and $25 million in 2002.
Brown came out of retirement in 2003 to play for the Ravens, and as a blocker he became an integral part of running back Jamal Lewis’s 2,066-yard rushing season. Brown started 35 games before retiring in 2005.
Orlando Claude Brown was born in Washington on Dec. 12, 1970. He attended Howard D. Woodson High School there before attending South Carolina State. He was signed as an undrafted free agent by the Browns in 1993.
Survivors include three sons, Orlando Jr., Justin Wallace and Braxton.
Brown opened a Fatburger restaurant franchise in Elkridge, Md., in 2009.
He retained ties to the Ravens, most recently mentoring the second-year offensive tackle Ramon Harewood.
For months after his eye injury, Brown kept a referee’s flag in his locker, and he watched closely when referees signaled penalties.
“They’re still throwing them in there,” he told The Associated Press in 2000. “I wish he just would have dropped it, that’s all.”
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c'est un décès à l'arrivée de son jour critique émotionnel E1.
ronald janssen
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1724/Meurtre-d-Annick/article/detail/1323107/2011/09/23/Ronald-Janssen-portrait-d-un-tueur-de-la-nuit.dhtml
Ronald Janssen, portrait d'un tueur de la nuit
Hyper-médiatisé en Flandre (la salle d'audience était pleine à craquer mardi), le procès de Ronald Janssen n'est autre que celui du dernier tueur en série du pays, celui d'un psychopathe à la double personnalité. Les débats tiendront en haleine tout le Nord du pays, qui se fascine pour l'affaire. Plus de 250 journalistes ont fait une demande d'accréditation. Ce vendredi, place à la lecture de l'acte d'accusation par l'avocat général Patrick Boyen et à l'interrogatoire de Ronald Janssen.
Considéré par beaucoup comme un instituteur modèle, un homme jovial, sincère et responsable, Janssen avait aussi une face cachée. La nuit venue, il se muait en prédateur, violeur et tueur de jeunes femmes. Pour ses proches, "Ronny" (c'est le surnom que ses parents lui avaient donné) est aussi quelqu'un de nerveux, inflexible, soupçonneux, impulsif et solitaire. Son enfance a été marquée du sceau de la violence.
A l'école, on se moque de son zézaiement
Ronald Alain Janssen, né à Boorsem en 1969,
....................
Plainte pour viol (2005)
En 2005, les problèmes relationnels du couple mèneront à une rupture définitive. Leurs philosophies de vie semblent incompatibles. Janssen met cela sur le compte de ses insomnies. La relation connait un triste point d'orgue en décembre 2005: Nathalie dépose plainte contre son mari pour viol. Janssen lui aurait administré un anti-dépresseur (TRAZOLAN) avant de la violer. Selon lui, il s'agit d'une relation sexuelle consentante. L'affaire sera classée sans suite sur base du doute. A l'époque, le couple entretient des relations de voisinage conflictuelles avec la famille Appeltans.
En août 2008 (plus d'un an après le meurtre d'Annick Van Uytsel), il aurait confié à une connaissance que Kevin, le petit ami de Shana Appeltans, se moquait de lui et qu'il n'hésiterait pas à lui "tirer une balle dans la tête" s'il n'arrêtait pas.
"Si tu fais l'amour avec moi, je te relâche"
La nuit du 1er au 2 janvier 2010, Ronald Janssen met sa menace à exécution. Il s'empare de deux revolvers et d'une bouteille de white spirit remplie d'essence et sonne au domicile des Appeltans. Il somme Kevin de prendre le volant de l'Opel Corsa, Shana de prendre place à l'arrière. Arrivé à la Rozendelstraat, juste à côté de l'E-314, Janssen abat Kevin de deux balles dans la tête. Là, il prend le volant du véhicule et s'arrête un peu plus loin. Il promet à Shana de la libérer "si elle fait l'amour" avec lui. Après le viol, il demande à la jeune femme de lui tourner le dos et l'abat froidement.
.......................
Par après, le tueur avoue le meurtre sur Annick Van Uytsel en avril 2007. La nuit du 27 au 28 avril, il kidnappe, séquestre et frappe à mort (à l'aide d'un marteau) la jeune fille, revenue d'une soirée à Schaffen.
................
==============
j'ai relevé quelques données dans cet article. ne connaissant pas la date de naissance précise de l'intéressé on peut tout de même voir s'il existe un lien entre les différents meurtres, et cela pourrait bien être le cas.
naissance 1969
séparation 2005 : (période critique septennale des 35 ans)
nuit du 27 au 28 avril 2007 (c'est le 28 qui est à considérer) c'est un samedi (38 ans)
nuit du 1er au 2 janvier 2010 (c'est le 2 janvier qui est à considérer) c'est un samedi (41 ans = entrée période critique septennale des 42 ans)
si l'on calcule le rythme émotionnel allant du 28 avril 2007 au 2 janvier 2010 (date des drames) on trouve le même jour critique du cycle psychique et émotionnel. (cycle de 28 jours)...
il resterait à vérifier si samedi est le jour critique émotionnel de l'intéressé puisque c'est le jour où ses descriptions (notamment désinhibition et coup de rage), peuvent correspondre. (1)
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=37531
"Je n'en pouvais plus, j'étais fou de rage, fou de rage. Je ne peux même pas mettre de mots", a déclaré Ronald Janssen, affirmant que c'est une explosion de rage envers le jeune homme qui l'a poussé à aller sonner, dans la nuit du 1er au 2 janvier, à la porte des Appeltans, où Kevin Paulus (22 ans) et Shana Appeltans (18 ans) se trouvaient seuls.
(1) les drames ont tendance à être liés aux jours critiques de leurs auteurs, surtout critiques émotionnels mais aussi parfois physiques ou intellectuels, car ce sont des "jours pulsions/désinhibition" : un tueur aura alors tendance à agir un tel jour plutôt qu'un autre. le jour critique émotionnel par exemple, étant hebdomadaire et toujours le même jour de la semaine il s'en suit que - si une personne est sensible à ses cycles - ce qui est souvent le cas - les passages à l'acte, et les cas de récidive, ont lieu le même jour de la semaine.
il y a cependant des coïncidences également, bien entendu...
Ronald Janssen, portrait d'un tueur de la nuit
Hyper-médiatisé en Flandre (la salle d'audience était pleine à craquer mardi), le procès de Ronald Janssen n'est autre que celui du dernier tueur en série du pays, celui d'un psychopathe à la double personnalité. Les débats tiendront en haleine tout le Nord du pays, qui se fascine pour l'affaire. Plus de 250 journalistes ont fait une demande d'accréditation. Ce vendredi, place à la lecture de l'acte d'accusation par l'avocat général Patrick Boyen et à l'interrogatoire de Ronald Janssen.
Considéré par beaucoup comme un instituteur modèle, un homme jovial, sincère et responsable, Janssen avait aussi une face cachée. La nuit venue, il se muait en prédateur, violeur et tueur de jeunes femmes. Pour ses proches, "Ronny" (c'est le surnom que ses parents lui avaient donné) est aussi quelqu'un de nerveux, inflexible, soupçonneux, impulsif et solitaire. Son enfance a été marquée du sceau de la violence.
A l'école, on se moque de son zézaiement
Ronald Alain Janssen, né à Boorsem en 1969,
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Plainte pour viol (2005)
En 2005, les problèmes relationnels du couple mèneront à une rupture définitive. Leurs philosophies de vie semblent incompatibles. Janssen met cela sur le compte de ses insomnies. La relation connait un triste point d'orgue en décembre 2005: Nathalie dépose plainte contre son mari pour viol. Janssen lui aurait administré un anti-dépresseur (TRAZOLAN) avant de la violer. Selon lui, il s'agit d'une relation sexuelle consentante. L'affaire sera classée sans suite sur base du doute. A l'époque, le couple entretient des relations de voisinage conflictuelles avec la famille Appeltans.
En août 2008 (plus d'un an après le meurtre d'Annick Van Uytsel), il aurait confié à une connaissance que Kevin, le petit ami de Shana Appeltans, se moquait de lui et qu'il n'hésiterait pas à lui "tirer une balle dans la tête" s'il n'arrêtait pas.
"Si tu fais l'amour avec moi, je te relâche"
La nuit du 1er au 2 janvier 2010, Ronald Janssen met sa menace à exécution. Il s'empare de deux revolvers et d'une bouteille de white spirit remplie d'essence et sonne au domicile des Appeltans. Il somme Kevin de prendre le volant de l'Opel Corsa, Shana de prendre place à l'arrière. Arrivé à la Rozendelstraat, juste à côté de l'E-314, Janssen abat Kevin de deux balles dans la tête. Là, il prend le volant du véhicule et s'arrête un peu plus loin. Il promet à Shana de la libérer "si elle fait l'amour" avec lui. Après le viol, il demande à la jeune femme de lui tourner le dos et l'abat froidement.
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Par après, le tueur avoue le meurtre sur Annick Van Uytsel en avril 2007. La nuit du 27 au 28 avril, il kidnappe, séquestre et frappe à mort (à l'aide d'un marteau) la jeune fille, revenue d'une soirée à Schaffen.
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j'ai relevé quelques données dans cet article. ne connaissant pas la date de naissance précise de l'intéressé on peut tout de même voir s'il existe un lien entre les différents meurtres, et cela pourrait bien être le cas.
naissance 1969
séparation 2005 : (période critique septennale des 35 ans)
nuit du 27 au 28 avril 2007 (c'est le 28 qui est à considérer) c'est un samedi (38 ans)
nuit du 1er au 2 janvier 2010 (c'est le 2 janvier qui est à considérer) c'est un samedi (41 ans = entrée période critique septennale des 42 ans)
si l'on calcule le rythme émotionnel allant du 28 avril 2007 au 2 janvier 2010 (date des drames) on trouve le même jour critique du cycle psychique et émotionnel. (cycle de 28 jours)...
il resterait à vérifier si samedi est le jour critique émotionnel de l'intéressé puisque c'est le jour où ses descriptions (notamment désinhibition et coup de rage), peuvent correspondre. (1)
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=37531
"Je n'en pouvais plus, j'étais fou de rage, fou de rage. Je ne peux même pas mettre de mots", a déclaré Ronald Janssen, affirmant que c'est une explosion de rage envers le jeune homme qui l'a poussé à aller sonner, dans la nuit du 1er au 2 janvier, à la porte des Appeltans, où Kevin Paulus (22 ans) et Shana Appeltans (18 ans) se trouvaient seuls.
(1) les drames ont tendance à être liés aux jours critiques de leurs auteurs, surtout critiques émotionnels mais aussi parfois physiques ou intellectuels, car ce sont des "jours pulsions/désinhibition" : un tueur aura alors tendance à agir un tel jour plutôt qu'un autre. le jour critique émotionnel par exemple, étant hebdomadaire et toujours le même jour de la semaine il s'en suit que - si une personne est sensible à ses cycles - ce qui est souvent le cas - les passages à l'acte, et les cas de récidive, ont lieu le même jour de la semaine.
il y a cependant des coïncidences également, bien entendu...
drame familial
http://www.metrofrance.com/info/probable-drame-familial-dans-le-gard-un-couple-et-ses-enfants-retrouves-morts/mkix!rxSzTLV94pSbE/
Probable drame familial dans le Gard : un couple et ses enfants retrouvés morts
La femme disparue il y a quinze jours à Bagnols-sur-Cèze est morte au domicile de son ex-mari, comme ce dernier, et leurs enfants de deux et cinq ans…
Dans le Gard, la police qui enquêtait depuis le début du mois sur la disparition d'une femme de 38 ans et de ses deux enfants a découvert leur corps ainsi que celui de l'ex-mari, et père de famille, qui les aurait tués avant de se suicider, a-t-on appris vendredi auprès du parquet de Nîmes.
La mère étouffée, les enfants et le père morts par balle
Les corps des deux adultes et de leurs enfants âgés de deux et cinq ans ont été retrouvés dans l'après-midi du 23 septembre à Bagnols-sur-Cèze, a annoncé le procureur de la République Robert Gelli en début de soirée, précisant que l'hypothèse d'un drame familial était la plus plausible, avant même les constatations du médecin légiste qui venait d'arriver sur place.
Un peu plus tard, il a précisé à l'AFP que, selon les premières constatations, la mère était morte étouffée, que sa fille retrouvée dans un canapé, une peluche entre les mains, avait vraisemblablement été tuée dans son sommeil d'une balle dans la tête, de même que le fils, exécuté dans son lit, et le père, un chauffeur routier de 35 ans qui gisait à proximité.
Les décès remonteraient à une quinzaine de jours...
Selon le légiste, les meurtres et le probable suicide remonteraient à la nuit du 5 au 6 septembre, soit le jour même de la disparition, a indiqué le substitut Eric Emmanuelidis.
Une enquête avait été ouverte au début du mois après la disparition de la mère de famille, disparition jugée d'autant plus inquiétante que la perquisition rapidement menée à son domicile de Bagnols-sur-Cèze n'avait produit aucune espèce d'explication.
Les enquêteurs avaient dès lors concentré leurs efforts sur le passé de la disparue, ce qui les a finalement conduits chez son ex-mari, un appartement situé dans un immeuble de standing situé rue Saint-Victor, au centre de la même commune. De fait, l'occupant des lieux n'avait pas non plus donné signe de vie depuis plusieurs jours…
Dans l'attente des autopsies, la date des décès reste à préciser, mais elle remonte assurément à plusieurs jours d'après les témoignages des voisins.
Un couple plus ou moins séparé, mais sans histoire...
L'un d'eux, Patrick Vauthier, résidant au troisième étage, alors que les corps ont été découverts au premier, a en effet raconté que depuis près d'une semaine, une odeur de charogne flottait autour de l'appartement.
Selon lui, le père y habitait depuis le début de l'année, et ces derniers temps, le reste de la famille y apparaissait régulièrement.
"Je la voyais souvent. Je lui ouvrais la porte et je l'aidais à monter le landau", a-t-il ainsi déclaré à la presse en parlant de la mère, ajoutant que c'était un couple "sans histoire", qui ne faisait pas de bruit…
Ils "avaient l'habitude de se séparer et de se retrouver", a confirmé le substitut Emmanuelidis, précisant que cela ne signifiait pas pour autant qu'ils se remettaient vraiment ensemble.
Quoi qu'il en soit, "l'homme n'avait pas l'air particulièrement dépressif", a indiqué un autre habitant de l'immeuble sous couvert d'anonymat. En apparence en tout cas...
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drame de la période critique septennale : de très nombreux drames, probablement la majorité, ont un lien avec nos cycles psychiques et les périodes critiques de l'une ou de l'autre des personnes impliquées... lien direct, comme ici, où le mari se trouve dans sa période critique des 35 ans - et peut-être dans son jour critique émotionnel - fréquemment jour de passage à l'acte - (à vérifier et à comparer avec celui de l'ex-épouse car il peut aussi être en cause)- ou lien indirect si un drame se produit plus tardivement, en dehors de la période critique, par suite d'une dépression septennale par exemple, ou d'un jour critique émotionnel...
l'intérêt de "découvrir" et expliquer les rythmes et cycles - étonnant d'ailleurs, que çà n'ait pas encore été fait - est de pouvoir prévenir et gérer à l'avance sachant qu'un jour ou une période à risque arrive...
Probable drame familial dans le Gard : un couple et ses enfants retrouvés morts
La femme disparue il y a quinze jours à Bagnols-sur-Cèze est morte au domicile de son ex-mari, comme ce dernier, et leurs enfants de deux et cinq ans…
Dans le Gard, la police qui enquêtait depuis le début du mois sur la disparition d'une femme de 38 ans et de ses deux enfants a découvert leur corps ainsi que celui de l'ex-mari, et père de famille, qui les aurait tués avant de se suicider, a-t-on appris vendredi auprès du parquet de Nîmes.
La mère étouffée, les enfants et le père morts par balle
Les corps des deux adultes et de leurs enfants âgés de deux et cinq ans ont été retrouvés dans l'après-midi du 23 septembre à Bagnols-sur-Cèze, a annoncé le procureur de la République Robert Gelli en début de soirée, précisant que l'hypothèse d'un drame familial était la plus plausible, avant même les constatations du médecin légiste qui venait d'arriver sur place.
Un peu plus tard, il a précisé à l'AFP que, selon les premières constatations, la mère était morte étouffée, que sa fille retrouvée dans un canapé, une peluche entre les mains, avait vraisemblablement été tuée dans son sommeil d'une balle dans la tête, de même que le fils, exécuté dans son lit, et le père, un chauffeur routier de 35 ans qui gisait à proximité.
Les décès remonteraient à une quinzaine de jours...
Selon le légiste, les meurtres et le probable suicide remonteraient à la nuit du 5 au 6 septembre, soit le jour même de la disparition, a indiqué le substitut Eric Emmanuelidis.
Une enquête avait été ouverte au début du mois après la disparition de la mère de famille, disparition jugée d'autant plus inquiétante que la perquisition rapidement menée à son domicile de Bagnols-sur-Cèze n'avait produit aucune espèce d'explication.
Les enquêteurs avaient dès lors concentré leurs efforts sur le passé de la disparue, ce qui les a finalement conduits chez son ex-mari, un appartement situé dans un immeuble de standing situé rue Saint-Victor, au centre de la même commune. De fait, l'occupant des lieux n'avait pas non plus donné signe de vie depuis plusieurs jours…
Dans l'attente des autopsies, la date des décès reste à préciser, mais elle remonte assurément à plusieurs jours d'après les témoignages des voisins.
Un couple plus ou moins séparé, mais sans histoire...
L'un d'eux, Patrick Vauthier, résidant au troisième étage, alors que les corps ont été découverts au premier, a en effet raconté que depuis près d'une semaine, une odeur de charogne flottait autour de l'appartement.
Selon lui, le père y habitait depuis le début de l'année, et ces derniers temps, le reste de la famille y apparaissait régulièrement.
"Je la voyais souvent. Je lui ouvrais la porte et je l'aidais à monter le landau", a-t-il ainsi déclaré à la presse en parlant de la mère, ajoutant que c'était un couple "sans histoire", qui ne faisait pas de bruit…
Ils "avaient l'habitude de se séparer et de se retrouver", a confirmé le substitut Emmanuelidis, précisant que cela ne signifiait pas pour autant qu'ils se remettaient vraiment ensemble.
Quoi qu'il en soit, "l'homme n'avait pas l'air particulièrement dépressif", a indiqué un autre habitant de l'immeuble sous couvert d'anonymat. En apparence en tout cas...
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drame de la période critique septennale : de très nombreux drames, probablement la majorité, ont un lien avec nos cycles psychiques et les périodes critiques de l'une ou de l'autre des personnes impliquées... lien direct, comme ici, où le mari se trouve dans sa période critique des 35 ans - et peut-être dans son jour critique émotionnel - fréquemment jour de passage à l'acte - (à vérifier et à comparer avec celui de l'ex-épouse car il peut aussi être en cause)- ou lien indirect si un drame se produit plus tardivement, en dehors de la période critique, par suite d'une dépression septennale par exemple, ou d'un jour critique émotionnel...
l'intérêt de "découvrir" et expliquer les rythmes et cycles - étonnant d'ailleurs, que çà n'ait pas encore été fait - est de pouvoir prévenir et gérer à l'avance sachant qu'un jour ou une période à risque arrive...
crash
http://www.focus.de/panorama/welt/kuriose-crashfahrt-rentnerin-demoliert-bei-probefahrt-autohaus_aid_668479.html
Kuriose Crashfahrt
Rentnerin demoliert bei Probefahrt Autohaus
Sie wollte einen Kleinwagen testen, ein paar Runden um den Block fahren. Doch die entspannte Probefahrt wurde für eine Rentnerin aus Thüringen schnell zum Horrortrip. Die Bilanz: ein Schaden von über 100 000 Euro.
Die 77-Jährige war bei der Probefahrt am Freitagmorgen kaum vom Gelände des Autohauses im thüringischen Apolda gefahren, da streifte sie schon ein geparktes Auto. Vor Schreck verlor die Rentnerin die Kontrolle über den Kleinwagen. Über eine Bordsteinkante und durch eine Hecke schoss sie zurück auf das Gelände des Autohauses, durchbrach die Tür eines Verkaufspavillons, rammte drei weitere Autos und raste durch die gegenüberliegende Glaswand wieder hinaus. Erst ein geparktes Auto konnte die Unglücksfahrt der Frau stoppen. Die Rentnerin saß nach Informationen der „Thüringer Allgemeinen“ unter Schock und völlig benommen einige Minuten in dem Fahrzeug, bis sie wieder einen klaren Gedanken fassen konnte. Glück im Unglück: Verletzt wurde niemand.
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mémé, 77 ans, voulait faire un essai au volant d'une petite voiture qu'elle désirait éventuellement acheter...
bilan 100 000 euros de dégats dans la concession automobile après qu'elle ait tout cassé sur son passage...
Kuriose Crashfahrt
Rentnerin demoliert bei Probefahrt Autohaus
Sie wollte einen Kleinwagen testen, ein paar Runden um den Block fahren. Doch die entspannte Probefahrt wurde für eine Rentnerin aus Thüringen schnell zum Horrortrip. Die Bilanz: ein Schaden von über 100 000 Euro.
Die 77-Jährige war bei der Probefahrt am Freitagmorgen kaum vom Gelände des Autohauses im thüringischen Apolda gefahren, da streifte sie schon ein geparktes Auto. Vor Schreck verlor die Rentnerin die Kontrolle über den Kleinwagen. Über eine Bordsteinkante und durch eine Hecke schoss sie zurück auf das Gelände des Autohauses, durchbrach die Tür eines Verkaufspavillons, rammte drei weitere Autos und raste durch die gegenüberliegende Glaswand wieder hinaus. Erst ein geparktes Auto konnte die Unglücksfahrt der Frau stoppen. Die Rentnerin saß nach Informationen der „Thüringer Allgemeinen“ unter Schock und völlig benommen einige Minuten in dem Fahrzeug, bis sie wieder einen klaren Gedanken fassen konnte. Glück im Unglück: Verletzt wurde niemand.
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mémé, 77 ans, voulait faire un essai au volant d'une petite voiture qu'elle désirait éventuellement acheter...
bilan 100 000 euros de dégats dans la concession automobile après qu'elle ait tout cassé sur son passage...
drame conjugal
http://www.thueringer-allgemeine.de/startseite/detail/-/specific/Toedliches-Familiendrama-von-Wiehe-wird-verhandelt-2019128775
Tödliches Familiendrama von Wiehe wird verhandelt
Der 63-jährige Angeklagte soll im April seine geschiedene Ehefraum im gemeinsamen Haus erschossen haben.
Ein halbes Jahr nach einem tödlichen Familiendrama im thüringischen Wiehe muss sich ab Montag ein 63 Jahre alter Mann vor dem Landgericht Mühlhausen verantworten. Die Staatsanwaltschaft wirft ihm Totschlag und gefährliche Körperverletzung vor.
Mühlhausen. Er soll im April seine geschiedene Ehefrau im gemeinsamen Haus erschossen haben. Der Tat soll eine Auseinandersetzung sowie erheblicher Alkoholkonsum vorausgegangen sein. Im weiteren Verlauf habe der Jäger dann wutentbrannt einen Revolver aus seinem Waffenschrank geholt und seine Ex-Frau angeschossen. Später soll er der Verletzten eine Ohrfeige verpasst und ihr aus nächster Nähe in den Kopf geschossen haben.
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Tödliches Familiendrama von Wiehe wird verhandelt
Der 63-jährige Angeklagte soll im April seine geschiedene Ehefraum im gemeinsamen Haus erschossen haben.
Ein halbes Jahr nach einem tödlichen Familiendrama im thüringischen Wiehe muss sich ab Montag ein 63 Jahre alter Mann vor dem Landgericht Mühlhausen verantworten. Die Staatsanwaltschaft wirft ihm Totschlag und gefährliche Körperverletzung vor.
Mühlhausen. Er soll im April seine geschiedene Ehefrau im gemeinsamen Haus erschossen haben. Der Tat soll eine Auseinandersetzung sowie erheblicher Alkoholkonsum vorausgegangen sein. Im weiteren Verlauf habe der Jäger dann wutentbrannt einen Revolver aus seinem Waffenschrank geholt und seine Ex-Frau angeschossen. Später soll er der Verletzten eine Ohrfeige verpasst und ihr aus nächster Nähe in den Kopf geschossen haben.
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jeudi 22 septembre 2011
arrêté
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1502/Belgique/article/detail/1323074/2011/09/22/Cadavre-a-Herenthout-le-mari-sous-mandat-d-arret.dhtml
Cadavre à Herenthout: le mari sous mandat d'arrêt
Le mari de 35 ans de la jeune femme de 30 ans découverte sans vie jeudi, dans la cave de son dernier domicile, à Herenthout, en province d'Anvers, a été placé sous mandat d'arrêt pour meurtre, a indiqué jeudi le parquet de Turnhout.
Vanessa Luyks était portée disparue depuis mai. La police a seulement été prévenue début septembre et a ouvert une enquête. Un agent de quartier qui devait voir Vanessa Luyks ne l'a pas aperçue à plusieurs reprises. Etant donné, d'après le parquet, qu'elle n'avait plus été vue et qu'aucune déclaration n'a été faite sur sa disparition, les enquêteurs ont privilégié la piste du délit. Les autorités judiciaires avaient encore diffusé un avis de recherche la semaine dernière.Une équipe de la police locale et de la police judiciaire fédérale de Turnhout, assistées par la Protection civile et des services spécialisés de la police fédérale ont procédé jeudi à une perquisition au dernier domicile de la jeune femme. Le corps sans vie a été découvert dans la cave. Il était déjà dans un état de décomposition avancée.
L'identité exacte de la jeune femme doit encore être établie avec certitude via l'autopsie. Les circonstances et la date du décès ne sont pas encore connues. (belga)
drame familial
http://www.bild.de/regional/stuttgart/stuttgart-regional/zwei-leichen-entdeckt--vermutlich-familiendrama-20097292.bild.html
Zwei Leichen entdeckt - Vermutlich Familiendrama
Boxberg (dpa/lsw) - Ein Familiendrama hat sich nach ersten Erkenntnissen der Polizei in einem Wohnhaus in Boxberg (Main-Tauber-Kreis) abgespielt. Die Beamten hatten die Leichen eines 45-Jährigen und seiner 78 Jahre alten Mutter in dem Einfamilienhaus am Mittwochnachmittag gefunden. Wie Staatsanwaltschaft Mosbach und die Polizei Tauberbischofsheim am Donnerstag mitteilten, hat der Sohn nach ersten Ermittlungen seine Mutter erstochen und sich anschließend erhängt. Die genauen Tatumstände soll eine Obduktion der Leichen klären. Nachbarn hatten am Mittwoch die Polizei alarmiert, weil sie die 78-Jährige und den Mann seit Sonntagabend nicht mehr gesehen hatten.
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Zwei Leichen entdeckt - Vermutlich Familiendrama
Boxberg (dpa/lsw) - Ein Familiendrama hat sich nach ersten Erkenntnissen der Polizei in einem Wohnhaus in Boxberg (Main-Tauber-Kreis) abgespielt. Die Beamten hatten die Leichen eines 45-Jährigen und seiner 78 Jahre alten Mutter in dem Einfamilienhaus am Mittwochnachmittag gefunden. Wie Staatsanwaltschaft Mosbach und die Polizei Tauberbischofsheim am Donnerstag mitteilten, hat der Sohn nach ersten Ermittlungen seine Mutter erstochen und sich anschließend erhängt. Die genauen Tatumstände soll eine Obduktion der Leichen klären. Nachbarn hatten am Mittwoch die Polizei alarmiert, weil sie die 78-Jährige und den Mann seit Sonntagabend nicht mehr gesehen hatten.
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meurtre
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=11641&hl=
Décapitée et ses seins accrochés à la porte de la chambre
La justice américaine a dévoilé les détails macabres d’un meurtre survenu à North Naples en Floride en juillet dernier. Suzanne Bishop avait été profondément mutilée par son meurtrier.
Le 26juillet dernier, les parents de Christopher Cerna (34 ans) avaient alerté les secours après avoir découvert leur fils ensanglanté en état de choc dans son appartement. Les officiers de policier, à leur arrivée, n’étaient pas parvenus à tirer la moindre répondre de lui. En inspectant les lieux, ils avaient découvert la tête d’une femme, Suzanne Bishop (45 ans). Les agents n’étaient pas au bout de leurs surprises.
En inspectant la chambre principale, les policiers ont trouvé le corps de la victime baignant dans une mare de sang. Deux couteaux et une batte de base-ball gisaient à proximité. Le torse avait été découpé. Christopher Cerna avait accroché ses seins à l’encadrement de la porte.
Quelques détails jettent la suspicion sur la santé mentale du meurtrier. Le DVD de Blood Feast (1963) était inséré dans son lecteur. Ce film raconte l’histoire d’un homme ayant assassiné une femme et utilisé les parties de son corps pour ressusciter une déesse égyptienne. Serna possédait aussi une encyclopédie des tueurs en série.
Serna et sa victime s’étaient perdus de vue après s’être connus durant leur jeunesse. Ils formaient un couple depuis trois mois.
Source : Sud Presse
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l'arrivée d'une période critique septennale (ici celle des 35 ans) peut opérer des comportements plutôt très inquiétants chez certaines personnes... rarement, heureusement...
jour critique émotionnel ?
Décapitée et ses seins accrochés à la porte de la chambre
La justice américaine a dévoilé les détails macabres d’un meurtre survenu à North Naples en Floride en juillet dernier. Suzanne Bishop avait été profondément mutilée par son meurtrier.
Le 26juillet dernier, les parents de Christopher Cerna (34 ans) avaient alerté les secours après avoir découvert leur fils ensanglanté en état de choc dans son appartement. Les officiers de policier, à leur arrivée, n’étaient pas parvenus à tirer la moindre répondre de lui. En inspectant les lieux, ils avaient découvert la tête d’une femme, Suzanne Bishop (45 ans). Les agents n’étaient pas au bout de leurs surprises.
En inspectant la chambre principale, les policiers ont trouvé le corps de la victime baignant dans une mare de sang. Deux couteaux et une batte de base-ball gisaient à proximité. Le torse avait été découpé. Christopher Cerna avait accroché ses seins à l’encadrement de la porte.
Quelques détails jettent la suspicion sur la santé mentale du meurtrier. Le DVD de Blood Feast (1963) était inséré dans son lecteur. Ce film raconte l’histoire d’un homme ayant assassiné une femme et utilisé les parties de son corps pour ressusciter une déesse égyptienne. Serna possédait aussi une encyclopédie des tueurs en série.
Serna et sa victime s’étaient perdus de vue après s’être connus durant leur jeunesse. Ils formaient un couple depuis trois mois.
Source : Sud Presse
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l'arrivée d'une période critique septennale (ici celle des 35 ans) peut opérer des comportements plutôt très inquiétants chez certaines personnes... rarement, heureusement...
jour critique émotionnel ?
étranglée
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=11644&hl=
Jugée pour avoir étranglé sa fille qui refusait de prendre un bain
Kimberly Fry (38 ans) est jugée à North Kingstown (Rhode Island) pour le meurtre de sa fille Camden (8 ans) en 2009. Une dispute a éclaté car la fillette refusait de prendre un bain.
Rude tâche qui attend l’avocat de Kimberly Fry. Il va s’employer à démontrer que cette maman ne voulait pas tuer sa fille alors qu’elle l’étranglait à mains nues. Camden avait refusé de prendre un bain comme demandé. Son papa qui n’était pas présent dans la maison au moment des faits avait découvert son cadavre le lendemain matin dans le lit de la fillette. Interrogée à l’hôpital, la mère infanticide avait craqué et avoué
Sources : Sud Presse/Mail Online
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jour critique émotionnel ? période critique septennale des 35 ans ?
(jour critique physique P7 - i17 chez la fillette Camden qui est du 6/05/2001)
Jugée pour avoir étranglé sa fille qui refusait de prendre un bain
Kimberly Fry (38 ans) est jugée à North Kingstown (Rhode Island) pour le meurtre de sa fille Camden (8 ans) en 2009. Une dispute a éclaté car la fillette refusait de prendre un bain.
Rude tâche qui attend l’avocat de Kimberly Fry. Il va s’employer à démontrer que cette maman ne voulait pas tuer sa fille alors qu’elle l’étranglait à mains nues. Camden avait refusé de prendre un bain comme demandé. Son papa qui n’était pas présent dans la maison au moment des faits avait découvert son cadavre le lendemain matin dans le lit de la fillette. Interrogée à l’hôpital, la mère infanticide avait craqué et avoué
Sources : Sud Presse/Mail Online
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jour critique émotionnel ? période critique septennale des 35 ans ?
(jour critique physique P7 - i17 chez la fillette Camden qui est du 6/05/2001)
il craque
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=5315&st=15&hl=
Jugé pour avoir découpé vivante une retraitée : Yves Bureau craque et pleure
Yves Bureau a craqué ce jeudi. Il est accusé du meurtre d'Edith Muhr, une retraitée allemande et comparaît devant la cour d'assises de Dordogne depuis lundi
Il avait dit qu'il allait "expliquer." Dans cette salle des assises de la Dordogne bondée où règne une grande tension, Yves Bureau est jugé depuis lundi pour le meurtre d'Edith Muhr, torturée et découpée vivante en septembre 2009.
L'accusé a craqué ce jeudi et s'est effondré en pleurs sur son siège lorsque qu'un témoin a évoqué des détails concernant Edith Muhr et notamment décrit la façon dont elle était habillée le jour funeste. Yves Bureau n'a pour autant fait aucune déclaration.
............................
Selon un psychologue présent au Palais de justice de Périgueux, l'évocation de détails réels du jour du crime par le témoin a probablement fissuré les "défenses mentales" de l'accusé jusqu'alors insensible dans son box et explique sa réaction émotionnelle.
============
je ne connais pas le jour critique émotionnel de l'intéressé puisqu'il faut connaître sa date de naissance. il n'est cependant pas impossible que ce soit le jeudi... : c'est là que l'on a tendance à craquer... car c'est notre "jour sensible", lors duquel on est différent...
mais c'est aussi, pour cela, le jour des passages à l'actes parfois insensés... : on peut donc voir quel jour a eu lieu le crime... et c'est bien un jeudi (10 septembre 2009)
(ce peut être une coïncidence, aussi, mais fréquemment les crimes et les récidives sont commis un jour critique en raison de notre état particulier ce jour-là...)
Jugé pour avoir découpé vivante une retraitée : Yves Bureau craque et pleure
Yves Bureau a craqué ce jeudi. Il est accusé du meurtre d'Edith Muhr, une retraitée allemande et comparaît devant la cour d'assises de Dordogne depuis lundi
Il avait dit qu'il allait "expliquer." Dans cette salle des assises de la Dordogne bondée où règne une grande tension, Yves Bureau est jugé depuis lundi pour le meurtre d'Edith Muhr, torturée et découpée vivante en septembre 2009.
L'accusé a craqué ce jeudi et s'est effondré en pleurs sur son siège lorsque qu'un témoin a évoqué des détails concernant Edith Muhr et notamment décrit la façon dont elle était habillée le jour funeste. Yves Bureau n'a pour autant fait aucune déclaration.
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Selon un psychologue présent au Palais de justice de Périgueux, l'évocation de détails réels du jour du crime par le témoin a probablement fissuré les "défenses mentales" de l'accusé jusqu'alors insensible dans son box et explique sa réaction émotionnelle.
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je ne connais pas le jour critique émotionnel de l'intéressé puisqu'il faut connaître sa date de naissance. il n'est cependant pas impossible que ce soit le jeudi... : c'est là que l'on a tendance à craquer... car c'est notre "jour sensible", lors duquel on est différent...
mais c'est aussi, pour cela, le jour des passages à l'actes parfois insensés... : on peut donc voir quel jour a eu lieu le crime... et c'est bien un jeudi (10 septembre 2009)
(ce peut être une coïncidence, aussi, mais fréquemment les crimes et les récidives sont commis un jour critique en raison de notre état particulier ce jour-là...)
parricide
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=11628&hl=
Le parricide avait bouleversé Rochefort
Un parricide douloureux. C'est une affaire à haute intensité émotionnelle qui va être jugée, aujourd'hui et demain, à la cour d'assises de Saintes. Un Rochefortais âgé de 36 ans, Christophe Poulard, comparaît pour avoir tué sa mère, âgée de 67 ans au moment des faits, le 17 janvier 2009, rue Reverseaux à Rochefort. Le prévenu, qui s'était livré aux policiers, est incarcéré depuis le 19 janvier 2009.
La cour aura à se pencher sur ce qui s'est passé ce soir-là, vers 20 h 50, et sur les événements qui ont amené à ce drame. L'accusé partageait une maison avec sa mère, veuve, qui souffrait d'une pathologie mentale de type schizophrénique. Elle était suivie depuis l'âge de 16 ans.
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Le parricide avait bouleversé Rochefort
Un parricide douloureux. C'est une affaire à haute intensité émotionnelle qui va être jugée, aujourd'hui et demain, à la cour d'assises de Saintes. Un Rochefortais âgé de 36 ans, Christophe Poulard, comparaît pour avoir tué sa mère, âgée de 67 ans au moment des faits, le 17 janvier 2009, rue Reverseaux à Rochefort. Le prévenu, qui s'était livré aux policiers, est incarcéré depuis le 19 janvier 2009.
La cour aura à se pencher sur ce qui s'est passé ce soir-là, vers 20 h 50, et sur les événements qui ont amené à ce drame. L'accusé partageait une maison avec sa mère, veuve, qui souffrait d'une pathologie mentale de type schizophrénique. Elle était suivie depuis l'âge de 16 ans.
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suicide
Nouveau suicide d'un adolescent gay de 14 ans
Le jeune Jamey Rodemeyer, 14 ans, s'est donné la mort à son domicile de de Buffalo, dimanche après avoir affiché un hommage en ligne à la chanteuse sur son blog.
L'adolescent était gay et subissait un harcèlement lié à son homosexualité aussi bien dans son environnement scolaire que sur Internet.
Samedi soir, veille de sa mort, le garçon a affiché une phrase d'une chanson de Lady Gaga sur sa page Facebook: "Ne m'oubliez pas quand je viendrai pleurer à la porte du ciel."
La chanteuse a réagi sur Twitter hier en affirmrant avoir passé ces derniers jours à "réfléchir et pleurer".
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Jamey Rodemeyer. March 21, 1997 – September 18, 2011.
septembre 2011 (21/03/1997)
Lu 12 I(9)
Ma 13
Me 14 P(1)
Je 15
Ve 16 E(1)
Sa 17
Di 18
Lu 19 P(6)
Ma 20 P(7) I(17)
Jamey Rodemeyer avait 14 ans et six mois.
Le jeune Jamey Rodemeyer, 14 ans, s'est donné la mort à son domicile de de Buffalo, dimanche après avoir affiché un hommage en ligne à la chanteuse sur son blog.
L'adolescent était gay et subissait un harcèlement lié à son homosexualité aussi bien dans son environnement scolaire que sur Internet.
Samedi soir, veille de sa mort, le garçon a affiché une phrase d'une chanson de Lady Gaga sur sa page Facebook: "Ne m'oubliez pas quand je viendrai pleurer à la porte du ciel."
La chanteuse a réagi sur Twitter hier en affirmrant avoir passé ces derniers jours à "réfléchir et pleurer".
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Jamey Rodemeyer. March 21, 1997 – September 18, 2011.
septembre 2011 (21/03/1997)
Lu 12 I(9)
Ma 13
Me 14 P(1)
Je 15
Ve 16 E(1)
Sa 17
Di 18
Lu 19 P(6)
Ma 20 P(7) I(17)
Jamey Rodemeyer avait 14 ans et six mois.
infanticide
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=37498
Une fillette étranglée par sa mère sur son ancien lieu de travail
" Une enfant de dix ans a été étranglée par sa mère à La Haye alors que celle-ci rendait visite à ses anciens collègues sur son ancien lieu de travail. En sortant des bureaux du syndicat CNV, la mère a alors étranglé sa fille.
La femme de 38 ans n'avait pourtant présenté aucun signe inquiétant avant ce geste inexpliqué. Ses collègues n'ont pas compris ce qui a pu se passer dans le jardin des bâtiments du syndicat, alors que leur ex-collègue quittait tranquillement les lieux en compagnie de ses enfants, un garçon et une fille.
Selon le porte-parole de l'entreprise, les travailleurs vaquaient à nouveau à leurs occupations lorsqu'un vent de panique s'est emparé des bureaux. Le corps de la petite fille avait été aperçu inanimé. Les services de secours ont tenté, en vain, de réanimer l'enfant. La mère, qui était restée immobile devant la scène, a été arrêtée par les forces de l'ordre après que le décès fut constaté. Elle avait observé le déroulement de l'intervention médicale sans réagir.
Les collègues, sous le choc, sont interrogés. Mais selon les proches de la suspecte, rien n'indiquait des velléités de meurtre lors de sa visite de courtoisie, lit-on dans AD. Le père, s'est effondré en apprenant la nouvelle, relate encore le journal néerlandais."
Source : 7 SUR 7.BE
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Une fillette étranglée par sa mère sur son ancien lieu de travail
" Une enfant de dix ans a été étranglée par sa mère à La Haye alors que celle-ci rendait visite à ses anciens collègues sur son ancien lieu de travail. En sortant des bureaux du syndicat CNV, la mère a alors étranglé sa fille.
La femme de 38 ans n'avait pourtant présenté aucun signe inquiétant avant ce geste inexpliqué. Ses collègues n'ont pas compris ce qui a pu se passer dans le jardin des bâtiments du syndicat, alors que leur ex-collègue quittait tranquillement les lieux en compagnie de ses enfants, un garçon et une fille.
Selon le porte-parole de l'entreprise, les travailleurs vaquaient à nouveau à leurs occupations lorsqu'un vent de panique s'est emparé des bureaux. Le corps de la petite fille avait été aperçu inanimé. Les services de secours ont tenté, en vain, de réanimer l'enfant. La mère, qui était restée immobile devant la scène, a été arrêtée par les forces de l'ordre après que le décès fut constaté. Elle avait observé le déroulement de l'intervention médicale sans réagir.
Les collègues, sous le choc, sont interrogés. Mais selon les proches de la suspecte, rien n'indiquait des velléités de meurtre lors de sa visite de courtoisie, lit-on dans AD. Le père, s'est effondré en apprenant la nouvelle, relate encore le journal néerlandais."
Source : 7 SUR 7.BE
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drame de la séparation
http://www.bild.de/regional/bremen/bremen-regional/ehemann-attackiert-seine-frau-mit-messer-20074604.bild.html
Ehemann attackiert seine Frau mit Messer
MITTWOCH, 21. SEPTEMBER 2011,
Bremen (dpa/lni) - Bei einem Familiendrama in Bremen hat ein 45 Jahre alter Mann seine Frau lebensgefährlich verletzt. Wie die Polizei am Mittwoch mitteilte, stach der Mann auf der Straße mehrfach auf die 34-Jährige Frau ein, die inzwischen getrennt von ihm lebt. Passanten schrien den Mann an, er solle aufhören, berichtete eine Polizeisprecherin. Der 45-Jährige ließ daraufhin von seiner Frau ab und flüchtete in ein Haus. Mit Hilfe von Zeugenaussagen konnte die Polizei ihn später festnehmen. Die Ehefrau wurde mit schweren Verletzungen ins Krankenhaus eingeliefert, ist aber mittlerweile außer Lebensgefahr. Gegen den Mann wurde Haftbefehl beantragt. Die Polizei vermutet einen Beziehungsstreit als Hintergrund der Tat.
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Ehemann attackiert seine Frau mit Messer
MITTWOCH, 21. SEPTEMBER 2011,
Bremen (dpa/lni) - Bei einem Familiendrama in Bremen hat ein 45 Jahre alter Mann seine Frau lebensgefährlich verletzt. Wie die Polizei am Mittwoch mitteilte, stach der Mann auf der Straße mehrfach auf die 34-Jährige Frau ein, die inzwischen getrennt von ihm lebt. Passanten schrien den Mann an, er solle aufhören, berichtete eine Polizeisprecherin. Der 45-Jährige ließ daraufhin von seiner Frau ab und flüchtete in ein Haus. Mit Hilfe von Zeugenaussagen konnte die Polizei ihn später festnehmen. Die Ehefrau wurde mit schweren Verletzungen ins Krankenhaus eingeliefert, ist aber mittlerweile außer Lebensgefahr. Gegen den Mann wurde Haftbefehl beantragt. Die Polizei vermutet einen Beziehungsstreit als Hintergrund der Tat.
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suicides
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/societe/20110922.OBS0856/paris-val-de-marne-trois-suicides-de-policiers.html
PARIS/VAL-DE-MARNE. Trois suicides de policiers
Un policier a été retrouvé inanimé, jeudi 22 septembre vers 8h, dans sa voiture stationnée à l'entrée du parc des Buttes-Chaumont, face à la mairie du 19ème arrondissement de Paris.
Un policier retrouvé mort à Paris
"Ce policier s'est suicidé avec son arme à feu" confie la mairie du 19ème au "Nouvel Observateur", ajoutant qu'il s'agit "d'un drame personnel" et que cela "n'a absolument rien à voir avec un acte de violences urbaines."
Selon une source policière au "Nouvel Observateur", ce policier était âgé de 30 ans et travaillait pour le SDPJ (service départemental de la police judiciaire) du Val-de-Marne.
Un policier grièvement blessé à Chevilly-Larue
Par ailleurs, un autre policier a également tenté de mettre fin à ses jours jeudi aux alentours de 9h à Chevilly-Larue, dans le Val-de-Marne.
"Il a ouvert le feu sur sa femme dans la rue à quelques mètres du domicile familial, avant de retourner son arme de service contre lui" indique au "Nouvel Observateur" une autre source policière évoquant "un drame familial" et ajoutant que "le policier âgé de 37 ans et sa femme de 28 ans, hospitalisés, sont grièvement blessés".
Un policier s'est pendu à Alfortville
Un policier travaillant pour la BRF (brigade des réseaux ferrés) a également été retrouvé pendu jeudi 22 septembre dans la matinée à son domicile d'Alfortville, dans le Val-de-Marne toujours. Il était âgé de 35 ans. Selon une troisième source policière, les causes de ce drame seraient "purement privées."
Les différentes sources policières s'accordent à dire qu'aucun lien ne peut pour l'heure être établi entre ces trois drames.
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je regarde toujours l'âge des personnes car les cycles qui m'intéressent ne sont jamais bien loin...
la personne de 35 ans se trouvait par exemple en pleine période critique septennale.
pour le couple de 37/28 ans il pourrait s'agir d'une séparation septennale :
l'épouse semble se trouver dans sa période critique, la séparation semblant dater de l'entrée en période critique septennale des 35 ans de l'époux... (de très nombreuses séparations prennent naissance avec l'arrivée d'une période critique septennale de l'un ou l'autre des partenaires d'un couple)
"A Chevilly, peu avant 9 heures, un policier en poste au dépôt du tribunal de Paris, qui souhaitait reprendre la vie commune avec son épouse, quittée trois ans plus tôt, l’a mortellement blessée de deux balles avant de retourner l’arme contre lui."
http://aucoindemarue.blogspot.com/
(sous réserve de l'exactitude des données, bien entendu)
pour la troisième personne (il n'y a que trois suicides et non quatre, comme annoncé apparemment suite à une erreur de domiciliation) il conviendrait d'en savoir un peu plus sur sa situation et son passé récent (je pense à la période critique des 28 ans qui vient de se passer : il arrive parfois que l'on ne se sorte pas d'une dépression septennale)
dans tous les cas il serait aussi intéressant de vérifier si le jour critique émotionnel des personnes impliquées peut être en cause (il est fréquemment présent en cas de passage à l'acte suicidaire) et sinon il s'agit tout de même d'une curieuse série de "suicides à la chaîne"...
PARIS/VAL-DE-MARNE. Trois suicides de policiers
Un policier a été retrouvé inanimé, jeudi 22 septembre vers 8h, dans sa voiture stationnée à l'entrée du parc des Buttes-Chaumont, face à la mairie du 19ème arrondissement de Paris.
Un policier retrouvé mort à Paris
"Ce policier s'est suicidé avec son arme à feu" confie la mairie du 19ème au "Nouvel Observateur", ajoutant qu'il s'agit "d'un drame personnel" et que cela "n'a absolument rien à voir avec un acte de violences urbaines."
Selon une source policière au "Nouvel Observateur", ce policier était âgé de 30 ans et travaillait pour le SDPJ (service départemental de la police judiciaire) du Val-de-Marne.
Un policier grièvement blessé à Chevilly-Larue
Par ailleurs, un autre policier a également tenté de mettre fin à ses jours jeudi aux alentours de 9h à Chevilly-Larue, dans le Val-de-Marne.
"Il a ouvert le feu sur sa femme dans la rue à quelques mètres du domicile familial, avant de retourner son arme de service contre lui" indique au "Nouvel Observateur" une autre source policière évoquant "un drame familial" et ajoutant que "le policier âgé de 37 ans et sa femme de 28 ans, hospitalisés, sont grièvement blessés".
Un policier s'est pendu à Alfortville
Un policier travaillant pour la BRF (brigade des réseaux ferrés) a également été retrouvé pendu jeudi 22 septembre dans la matinée à son domicile d'Alfortville, dans le Val-de-Marne toujours. Il était âgé de 35 ans. Selon une troisième source policière, les causes de ce drame seraient "purement privées."
Les différentes sources policières s'accordent à dire qu'aucun lien ne peut pour l'heure être établi entre ces trois drames.
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je regarde toujours l'âge des personnes car les cycles qui m'intéressent ne sont jamais bien loin...
la personne de 35 ans se trouvait par exemple en pleine période critique septennale.
pour le couple de 37/28 ans il pourrait s'agir d'une séparation septennale :
l'épouse semble se trouver dans sa période critique, la séparation semblant dater de l'entrée en période critique septennale des 35 ans de l'époux... (de très nombreuses séparations prennent naissance avec l'arrivée d'une période critique septennale de l'un ou l'autre des partenaires d'un couple)
"A Chevilly, peu avant 9 heures, un policier en poste au dépôt du tribunal de Paris, qui souhaitait reprendre la vie commune avec son épouse, quittée trois ans plus tôt, l’a mortellement blessée de deux balles avant de retourner l’arme contre lui."
http://aucoindemarue.blogspot.com/
(sous réserve de l'exactitude des données, bien entendu)
pour la troisième personne (il n'y a que trois suicides et non quatre, comme annoncé apparemment suite à une erreur de domiciliation) il conviendrait d'en savoir un peu plus sur sa situation et son passé récent (je pense à la période critique des 28 ans qui vient de se passer : il arrive parfois que l'on ne se sorte pas d'une dépression septennale)
dans tous les cas il serait aussi intéressant de vérifier si le jour critique émotionnel des personnes impliquées peut être en cause (il est fréquemment présent en cas de passage à l'acte suicidaire) et sinon il s'agit tout de même d'une curieuse série de "suicides à la chaîne"...
mercredi 21 septembre 2011
retrouvés morts
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/09/20/97001-20110920FILWWW00606-un-couple-age-retrouve-mort-chez-lui.php
Un couple âgé retrouvé mort chez lui
Un homme et une femme de 91 ans ont été retrouvés morts aujourd'hui dans leur pavillon de Rueil-Malmaison, dans les Hauts-de-Seine.
Selon les premiers éléments de l'enquête, "l'homme a laissé une lettre dans laquelle il manifestait son envie de se suicider, évoquant la vieillesse et la difficulté de vivre avec une personne qui perd la tête", a expliqué une source policière.
Une autopsie des deux corps retrouvés dans deux pièces différentes du pavillon devra déterminer les causes de leur décès, difficile à établir lors des premières constatations.
C'est leur voisin qui a alerté ce matin la police municipale, inquiet de voir que leur poubelle restait sur le trottoir depuis plusieurs jours.
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Un couple âgé retrouvé mort chez lui
Un homme et une femme de 91 ans ont été retrouvés morts aujourd'hui dans leur pavillon de Rueil-Malmaison, dans les Hauts-de-Seine.
Selon les premiers éléments de l'enquête, "l'homme a laissé une lettre dans laquelle il manifestait son envie de se suicider, évoquant la vieillesse et la difficulté de vivre avec une personne qui perd la tête", a expliqué une source policière.
Une autopsie des deux corps retrouvés dans deux pièces différentes du pavillon devra déterminer les causes de leur décès, difficile à établir lors des premières constatations.
C'est leur voisin qui a alerté ce matin la police municipale, inquiet de voir que leur poubelle restait sur le trottoir depuis plusieurs jours.
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suicide
http://www.leprogres.fr/jura/2011/09/21/dole-depressif-fuyant-l-hopital-il-vole-une-voiture-et-met-fin-a-ses-jours-sur-l-a6
Dole : dépressif, fuyant l’hôpital, il vole une voiture et met fin à ses jours sur l’A6
Jeudi soir, vers 20 h 15, un Dolois d’une cinquantaine d’années, qui regagnait son domicile du Val Fleuri et attendait au feu rouge devant l’hôpital est le témoin d’une violente altercation entre un homme et une femme. L’homme s’était jeté sur la femme et l’étranglait.
Voyant que la vie de cette dernière était menacée, notre Dolois, n’écoutant que son courage (deux autres automobilistes de passage avaient préféré poursuivre leur route) sort de sa voiture et repousse l’agresseur, qui n’oppose d’ailleurs aucune résistance.
Du personnel soignant de l’hôpital, précipitamment sorti de l’établissement, arrivera également sur place. Mais l’agresseur présumé — un jeune homme de grande taille au crâne rasé — s’engouffre dans la « 205 » du Dolois, abandonnée moteur tournant au feu, et s’enfuit au volant du véhicule… Le quinquagénaire se rend au commissariat pour déposer plainte. Ses papiers sont restés dans sa voiture. Le lendemain, les policiers l’informent du dénouement tragique de l’affaire. Le voleur, qui avait entre-temps abandonné le véhicule, a été percuté le lendemain par un semi-remorque sur l’A.6, entre Saint-Georges-de-Reneins et Belleville, dans le Rhône. Les témoignages d’automobilistes et du chauffeur du poids lourd ont très vite mis les gendarmes du peloton d’autoroute local sur la piste du suicide. La victime marchait sur la bande d’arrêt d’urgence peu après 12 h vendredi lorsqu’elle s’est jetée sous les roues du camion, qui n’a pu l’éviter. Cet homme de 30 ans, domicilié en Côte-D’or, souffrait de dépression. Et c’est parce qu’un médecin de l’hôpital dolois envisageait de l’hospitaliser qu’il a quitté précipitamment jeudi soir l’établissement.
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Dole : dépressif, fuyant l’hôpital, il vole une voiture et met fin à ses jours sur l’A6
Jeudi soir, vers 20 h 15, un Dolois d’une cinquantaine d’années, qui regagnait son domicile du Val Fleuri et attendait au feu rouge devant l’hôpital est le témoin d’une violente altercation entre un homme et une femme. L’homme s’était jeté sur la femme et l’étranglait.
Voyant que la vie de cette dernière était menacée, notre Dolois, n’écoutant que son courage (deux autres automobilistes de passage avaient préféré poursuivre leur route) sort de sa voiture et repousse l’agresseur, qui n’oppose d’ailleurs aucune résistance.
Du personnel soignant de l’hôpital, précipitamment sorti de l’établissement, arrivera également sur place. Mais l’agresseur présumé — un jeune homme de grande taille au crâne rasé — s’engouffre dans la « 205 » du Dolois, abandonnée moteur tournant au feu, et s’enfuit au volant du véhicule… Le quinquagénaire se rend au commissariat pour déposer plainte. Ses papiers sont restés dans sa voiture. Le lendemain, les policiers l’informent du dénouement tragique de l’affaire. Le voleur, qui avait entre-temps abandonné le véhicule, a été percuté le lendemain par un semi-remorque sur l’A.6, entre Saint-Georges-de-Reneins et Belleville, dans le Rhône. Les témoignages d’automobilistes et du chauffeur du poids lourd ont très vite mis les gendarmes du peloton d’autoroute local sur la piste du suicide. La victime marchait sur la bande d’arrêt d’urgence peu après 12 h vendredi lorsqu’elle s’est jetée sous les roues du camion, qui n’a pu l’éviter. Cet homme de 30 ans, domicilié en Côte-D’or, souffrait de dépression. Et c’est parce qu’un médecin de l’hôpital dolois envisageait de l’hospitaliser qu’il a quitté précipitamment jeudi soir l’établissement.
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meurtre
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=5252&hl=
Jugée pour avoir jeté une enfant du 6e étage
Karine Torchi est jugée jusqu’à vendredi pour le meurtre d’une fillette de 27 mois.
Ils attendent de comprendre. Mais il n’est pas certain que les proches de Samya obtiennent des réponses. « C’est le procès de l’inexplicable », confie Me Patrick Uzan, le défenseur de Karine Torchi. « Elle se demande comment elle va expliquer ce qui n’est pas inexplicable… », poursuit l’avocat. Karine Torchi, une mère de famille de 38 ans, va tenter de s’expliquer devant la cour d’assises de l’Ain, à Bourg-en-Bresse, chargée de la juger pour le meurtre de Samya, 27 mois, et l’empoisonnement de son neveu, en 2004. Karine Torchi, reconnaît la défenestration de la petite fille mais pas l’injection d’une piqûre d’insuline à Yanis. Sa sœur Brigitte, avait déposé plainte à son encontre à la suite du décès de la petite fille. Aujourd’hui, elle attend, angoissée, ce procès. « Elle m’accuse d’avoir commis ce geste, j’appréhende de la revoir », confie Brigitte.
Tout a commencé le 29 juillet 2009, au pied d’un immeuble de la cité du Clos-Marcel, à Belley (Ain), là où le corps de Samya a été découvert. A l’époque, la famille croit d’abord à un accident. L’enfant serait tombé de la fenêtre du sixième étage de l’appartement familial. Mais un mois plus tard, l’affaire rebondit : Karine Torchi avoue avoir tué la fillette. « Les gendarmes m’ont appelé pour me dire qu’elle avait fait des aveux. Elle leur a dit que Samya était en train de jouer sur mon lit. Elle ne sait pas pourquoi, elle l’a attrapée par les hanches et elle l’a jetée… », racontait Vanessa Rougris, à France-Soir, après ce drame. Un choc pour la jeune maman.
"Ce n’était pas possible"
Karine et Vanessa se sont rencontrées sept ans plus tôt, à Belley. Elles sont alors voisines. A la fin du mois de juillet, Karine Torchi doit conduire ses trois enfants chez leur père dont elle est séparée. Vanessa propose à son amie de l’héberger chez elle à l’occasion de ce passage dans la région. Trois jours après son arrivée, alors que Vanessa est dans la cuisine et que sa fille joue dans sa chambre, Samya bascule dans le vide. Il est 19 h 30. La piste de l’accident est privilégiée. Mais les constations techniques ne collent pas : le store de la fenêtre est pratiquement baissé. « Ce n’était pas possible que Samya soit tombé de là », concluait alors Vanessa. Brigitte lui fait part de ses doutes. Elle ne comprend pas le comportement détaché de sa sœur durant les obsèques et même après. Elle n’en dort plus. Bien décidée à découvrir la vérité, elle se rend à la gendarmerie de Belley.
D’autres faits troublants
Face aux enquêteurs, Brigitte raconte une troublante histoire. En 2004, Yanis, son fils de 11 mois, a fait trois jours de coma après avoir reçu une piqûre d’insuline. Ce jour-là, il était sous la surveillance de Karine qui est diabétique. Aucune enquête n’est menée à l’époque mais cette fois-ci Brigitte dépose plainte. En fouillant dans le passé de la suspecte, les militaires font découvrir d’autres curieux événements. A l’âge de 13 ans, alors que Karine Torchi faisait le ménage chez des voisins, un garçonnet est tombé par la fenêtre. « La maison était de plain-pied, il a eu le bras cassé », rapportait alors Brigitte. Deux ans plus tard, Karine Torchi aurait brûlé le doigt d’un enfant avec un fer à repasser. Des faits aujourd’hui couverts par la prescription et pour lesquels l’accusée n’est donc pas poursuivie. Ils seront toutefois abordés lors des débats et risquent de peser dans la décision du jury. Karine Torchi encourt la réclusion criminelle à perpétuité.
Source : France Soir
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il serait peut-être intéressant de vérifier s'il existe un lien avec les périodes et jours critiques pendant lesquels certaines personnes peuvent être "poussées et désinhibées" et peuvent alors aller jusqu'à commettre des actes autrement incompréhensibles et inexplicables...
édit : je viens de me compte que j'avais déjà regardé ce drame à l'époque, et effectivement le jour critique émotionnel pourrait y être...
http://rythmescycleshumains.blogspot.com/2009/09/karine-torchi.html
édit 23/09 :
Assises de l'Ain. Trente ans de réclusion pour avoir jeté un enfant par la fenêtre et empoisonné un bébé.
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=5252&hl=
quelques données ici encore :
http://www.leprogres.fr/ain/2011/09/24/meurtre-et-empoisonnement-d-enfants-30-ans-de-reclusion-pour-karine-torchi
(21/05/2004 vendredi donc pas de jour critique émotionnel, mais donnée fort intéressante quand même, car jour critique physique P1 jour "pulsions" pratiquement aussi important, mais un peu d'un autre ordre)
(2000 est l'entrée dans la période critique septennale des 28 ans)
(14 ans autre période critique septennale)
trois faits précédents qui auraient pu alerter ?
Jugée pour avoir jeté une enfant du 6e étage
Karine Torchi est jugée jusqu’à vendredi pour le meurtre d’une fillette de 27 mois.
Ils attendent de comprendre. Mais il n’est pas certain que les proches de Samya obtiennent des réponses. « C’est le procès de l’inexplicable », confie Me Patrick Uzan, le défenseur de Karine Torchi. « Elle se demande comment elle va expliquer ce qui n’est pas inexplicable… », poursuit l’avocat. Karine Torchi, une mère de famille de 38 ans, va tenter de s’expliquer devant la cour d’assises de l’Ain, à Bourg-en-Bresse, chargée de la juger pour le meurtre de Samya, 27 mois, et l’empoisonnement de son neveu, en 2004. Karine Torchi, reconnaît la défenestration de la petite fille mais pas l’injection d’une piqûre d’insuline à Yanis. Sa sœur Brigitte, avait déposé plainte à son encontre à la suite du décès de la petite fille. Aujourd’hui, elle attend, angoissée, ce procès. « Elle m’accuse d’avoir commis ce geste, j’appréhende de la revoir », confie Brigitte.
Tout a commencé le 29 juillet 2009, au pied d’un immeuble de la cité du Clos-Marcel, à Belley (Ain), là où le corps de Samya a été découvert. A l’époque, la famille croit d’abord à un accident. L’enfant serait tombé de la fenêtre du sixième étage de l’appartement familial. Mais un mois plus tard, l’affaire rebondit : Karine Torchi avoue avoir tué la fillette. « Les gendarmes m’ont appelé pour me dire qu’elle avait fait des aveux. Elle leur a dit que Samya était en train de jouer sur mon lit. Elle ne sait pas pourquoi, elle l’a attrapée par les hanches et elle l’a jetée… », racontait Vanessa Rougris, à France-Soir, après ce drame. Un choc pour la jeune maman.
"Ce n’était pas possible"
Karine et Vanessa se sont rencontrées sept ans plus tôt, à Belley. Elles sont alors voisines. A la fin du mois de juillet, Karine Torchi doit conduire ses trois enfants chez leur père dont elle est séparée. Vanessa propose à son amie de l’héberger chez elle à l’occasion de ce passage dans la région. Trois jours après son arrivée, alors que Vanessa est dans la cuisine et que sa fille joue dans sa chambre, Samya bascule dans le vide. Il est 19 h 30. La piste de l’accident est privilégiée. Mais les constations techniques ne collent pas : le store de la fenêtre est pratiquement baissé. « Ce n’était pas possible que Samya soit tombé de là », concluait alors Vanessa. Brigitte lui fait part de ses doutes. Elle ne comprend pas le comportement détaché de sa sœur durant les obsèques et même après. Elle n’en dort plus. Bien décidée à découvrir la vérité, elle se rend à la gendarmerie de Belley.
D’autres faits troublants
Face aux enquêteurs, Brigitte raconte une troublante histoire. En 2004, Yanis, son fils de 11 mois, a fait trois jours de coma après avoir reçu une piqûre d’insuline. Ce jour-là, il était sous la surveillance de Karine qui est diabétique. Aucune enquête n’est menée à l’époque mais cette fois-ci Brigitte dépose plainte. En fouillant dans le passé de la suspecte, les militaires font découvrir d’autres curieux événements. A l’âge de 13 ans, alors que Karine Torchi faisait le ménage chez des voisins, un garçonnet est tombé par la fenêtre. « La maison était de plain-pied, il a eu le bras cassé », rapportait alors Brigitte. Deux ans plus tard, Karine Torchi aurait brûlé le doigt d’un enfant avec un fer à repasser. Des faits aujourd’hui couverts par la prescription et pour lesquels l’accusée n’est donc pas poursuivie. Ils seront toutefois abordés lors des débats et risquent de peser dans la décision du jury. Karine Torchi encourt la réclusion criminelle à perpétuité.
Source : France Soir
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il serait peut-être intéressant de vérifier s'il existe un lien avec les périodes et jours critiques pendant lesquels certaines personnes peuvent être "poussées et désinhibées" et peuvent alors aller jusqu'à commettre des actes autrement incompréhensibles et inexplicables...
édit : je viens de me compte que j'avais déjà regardé ce drame à l'époque, et effectivement le jour critique émotionnel pourrait y être...
http://rythmescycleshumains.blogspot.com/2009/09/karine-torchi.html
édit 23/09 :
Assises de l'Ain. Trente ans de réclusion pour avoir jeté un enfant par la fenêtre et empoisonné un bébé.
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=5252&hl=
quelques données ici encore :
http://www.leprogres.fr/ain/2011/09/24/meurtre-et-empoisonnement-d-enfants-30-ans-de-reclusion-pour-karine-torchi
(21/05/2004 vendredi donc pas de jour critique émotionnel, mais donnée fort intéressante quand même, car jour critique physique P1 jour "pulsions" pratiquement aussi important, mais un peu d'un autre ordre)
(2000 est l'entrée dans la période critique septennale des 28 ans)
(14 ans autre période critique septennale)
trois faits précédents qui auraient pu alerter ?
mardi 20 septembre 2011
suicide
http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Adolescent-decede-a-Languidic-la-these-du-suicide-confirmee_40771-1991238-pere-bre_filDMA.Htm
Languidic
Adolescent décédé à Languidic : la thèse du suicide confirmée
L’autopsie pratiquée ce matin sur le corps du garçon décédé samedi matin, à Languidic (Morbihan), confirme que c’est bien le choc avec le véhicule qui est la cause du décès. Pour autant, le parquet de Lorient ne devrait pas engager de poursuites judiciaires à l’encontre de l’automobiliste, un chauffeur de taxi.
En effet, l’accident s’est produit de nuit, sous la pluie, et la victime, âgée de 14 ans, habillée de sombre et recroquevillée au sol, tournait le dos aux voitures arrivant dans son sens. Ce qui accrédite la thèse du suicide, d’autant que des témoins entendus depuis le drame ont expliqué avoir constaté « la grande tristesse » du collégien lors de la soirée de vendredi. Une soirée durant laquelle l’adolescent avait absorbé de l’alcool et qui se déroulait près d’un an après l’accident mortel dont son père avait été victime, non loin de là.
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Languidic
Adolescent décédé à Languidic : la thèse du suicide confirmée
L’autopsie pratiquée ce matin sur le corps du garçon décédé samedi matin, à Languidic (Morbihan), confirme que c’est bien le choc avec le véhicule qui est la cause du décès. Pour autant, le parquet de Lorient ne devrait pas engager de poursuites judiciaires à l’encontre de l’automobiliste, un chauffeur de taxi.
En effet, l’accident s’est produit de nuit, sous la pluie, et la victime, âgée de 14 ans, habillée de sombre et recroquevillée au sol, tournait le dos aux voitures arrivant dans son sens. Ce qui accrédite la thèse du suicide, d’autant que des témoins entendus depuis le drame ont expliqué avoir constaté « la grande tristesse » du collégien lors de la soirée de vendredi. Une soirée durant laquelle l’adolescent avait absorbé de l’alcool et qui se déroulait près d’un an après l’accident mortel dont son père avait été victime, non loin de là.
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exécution
http://www.france-info.com/monde-ameriques-2011-09-20-troy-davis-sera-execute-demain-563115-14-16.html
Troy Davis sera exécuté demain
FRANCE INFO -
La justice a refusé d’accorder sa grâce à Troy Davis, un Noir condamné à la peine capitale en 1989 pour le meurtre d’un policier blanc. Cet homme devenu le symbole de la lutte contre la peine de mort a passé 20 ans dans le couloir de la mort en Géorgie, au Sud-Est des Etats-Unis.
Son exécution doit avoir lieu demain.
...................
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Wikipédia :
Troy Anthony Davis est un Afro-Américain, né le 9 octobre 1968, emprisonné et condamné à mort à la prison de Jackson (État de la Georgie) en 1991 pour le meurtre d'un policier, commis dans la nuit du 19 août 1989 à Savannah dans l'État américain de Géorgie.
================
je suis allé voir sa situation le jour du crime qu'il est censé avoir commis...
je cherche en général des éléments comme le jour critique émotionnel (le "jour de la gachette facile"), ce qui n'est pas le cas ici puisque nous tombons sur un jour neutre, lendemain de jour critique physique P7.
le seul élément "pulsions" présent est toutefois la pleine période critique septennale des 21 ans...
ceci dit, l'humain devrait avoir dépassé le stade de la peine de mort...
il a encore du chemin à faire, si l'on veut éviter tous ceux qui s'alignent encore au gré des actualités et des jours...
Troy Davis sera exécuté demain
FRANCE INFO -
La justice a refusé d’accorder sa grâce à Troy Davis, un Noir condamné à la peine capitale en 1989 pour le meurtre d’un policier blanc. Cet homme devenu le symbole de la lutte contre la peine de mort a passé 20 ans dans le couloir de la mort en Géorgie, au Sud-Est des Etats-Unis.
Son exécution doit avoir lieu demain.
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Wikipédia :
Troy Anthony Davis est un Afro-Américain, né le 9 octobre 1968, emprisonné et condamné à mort à la prison de Jackson (État de la Georgie) en 1991 pour le meurtre d'un policier, commis dans la nuit du 19 août 1989 à Savannah dans l'État américain de Géorgie.
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je suis allé voir sa situation le jour du crime qu'il est censé avoir commis...
je cherche en général des éléments comme le jour critique émotionnel (le "jour de la gachette facile"), ce qui n'est pas le cas ici puisque nous tombons sur un jour neutre, lendemain de jour critique physique P7.
le seul élément "pulsions" présent est toutefois la pleine période critique septennale des 21 ans...
ceci dit, l'humain devrait avoir dépassé le stade de la peine de mort...
il a encore du chemin à faire, si l'on veut éviter tous ceux qui s'alignent encore au gré des actualités et des jours...
retrouvé mort
http://www.liberation.fr/depeches/01012360942-un-garcon-de-12-ans-retrouve-mort-etouffe-dans-sa-chambre
Un garçon de 12 ans retrouvé mort étouffé dans sa chambre
STRASBOURG (AFP) - Un garçon de 12 ans a été retrouvé lundi soir étouffé dans sa chambre avec un sac plastique sur la tête et une ceinture autour du cou à Ostheim (Haut-Rhin), a-t-on appris auprès des pompiers et des gendarmes mardi.
Les enquêteurs, qui écartent a priori la thèse d'un acte criminel, ne savaient pas en l'état s'il s'agissait d'un suicide ou d'un "jeu du foulard" qui aurait mal tourné.
Le garçon s'était apparemment disputé avec sa mère avant d'aller s'enfermer dans sa chambre, ont précisé les pompiers. Il a été découvert peu après, vers 19H00, mais les secours n'ont pas pu le ranimer.
Une enquête a été ouverte, confiée à la brigade de gendarmerie de Ribeauvillé (Haut-Rhin).
Le "jeu du foulard", dans lequel les enfants bloquent leur respiration jusqu'à l'évanouissement, provoque chaque année des accidents. En 2010, 22 enfants y ont succombé.
Ce phénomène, resté dans l'ombre jusqu'aux premiers articles de presse au début des années 2000, est d'autant plus complexe à appréhender qu'il n'est pas toujours aisé d'établir si le décès est lié à la recherche de sensations ou s'il s'agit d'un suicide.
Un garçon de 12 ans retrouvé mort étouffé dans sa chambre
STRASBOURG (AFP) - Un garçon de 12 ans a été retrouvé lundi soir étouffé dans sa chambre avec un sac plastique sur la tête et une ceinture autour du cou à Ostheim (Haut-Rhin), a-t-on appris auprès des pompiers et des gendarmes mardi.
Les enquêteurs, qui écartent a priori la thèse d'un acte criminel, ne savaient pas en l'état s'il s'agissait d'un suicide ou d'un "jeu du foulard" qui aurait mal tourné.
Le garçon s'était apparemment disputé avec sa mère avant d'aller s'enfermer dans sa chambre, ont précisé les pompiers. Il a été découvert peu après, vers 19H00, mais les secours n'ont pas pu le ranimer.
Une enquête a été ouverte, confiée à la brigade de gendarmerie de Ribeauvillé (Haut-Rhin).
Le "jeu du foulard", dans lequel les enfants bloquent leur respiration jusqu'à l'évanouissement, provoque chaque année des accidents. En 2010, 22 enfants y ont succombé.
Ce phénomène, resté dans l'ombre jusqu'aux premiers articles de presse au début des années 2000, est d'autant plus complexe à appréhender qu'il n'est pas toujours aisé d'établir si le décès est lié à la recherche de sensations ou s'il s'agit d'un suicide.
suicide
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=37456
Un détenu se pend avec son kit anti-suicide
" Un jeune homme de 23 ans s'est pendu dans la nuit de dimanche à lundi à la maison d'arrêt de la Santé à Paris. Le détenu, qui avait déjà été incarcéré, est mort après avoir utilisé le pyjama de son kit anti-suicide. Il avait déjà tenté de mettre fin à ses jours. Le parquet de Paris a ouvert une enquête.
Une série de mesures destinées à lutter contre le suicide en prison ont été instaurées en 2009. Parmi les dispositions figurait la généralisation de ces "kits de protection" destinés aux détenus susceptibles d'attenter à leurs jours, et contenant notamment des matelas anti-feu et des pyjamas en papier à usage unique pour éviter les pendaisons. Plus de 1.100 ont été utilisés depuis 2009, selon le ministère de la Justice qui a dressé la semaine dernière un bilan de ces mesures de prévention.
En avril dernier déjà, un détenu de 23 ans s'était pendu en utilisant également le pyjama de son kit anti-suicide accroché aux barreaux de sa cellule du centre pénitentiaire du Havre."
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(23 ans est une année critique P1)
Un détenu se pend avec son kit anti-suicide
" Un jeune homme de 23 ans s'est pendu dans la nuit de dimanche à lundi à la maison d'arrêt de la Santé à Paris. Le détenu, qui avait déjà été incarcéré, est mort après avoir utilisé le pyjama de son kit anti-suicide. Il avait déjà tenté de mettre fin à ses jours. Le parquet de Paris a ouvert une enquête.
Une série de mesures destinées à lutter contre le suicide en prison ont été instaurées en 2009. Parmi les dispositions figurait la généralisation de ces "kits de protection" destinés aux détenus susceptibles d'attenter à leurs jours, et contenant notamment des matelas anti-feu et des pyjamas en papier à usage unique pour éviter les pendaisons. Plus de 1.100 ont été utilisés depuis 2009, selon le ministère de la Justice qui a dressé la semaine dernière un bilan de ces mesures de prévention.
En avril dernier déjà, un détenu de 23 ans s'était pendu en utilisant également le pyjama de son kit anti-suicide accroché aux barreaux de sa cellule du centre pénitentiaire du Havre."
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(23 ans est une année critique P1)
disparition
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=11556&hl=
Pas de traces du docteur Cassiède
Les gendarmes poursuivent leurs recherches.
Cela fait désormais dix jours que le médecin, bien connu des Condomois, n'a pas donné de signes de vie à sa famille. Hier, les gendarmes indiquaient mettre leurs espoirs dans d'éventuels témoignages, notamment concernant l'Audi A1 rouge avec laquelle Philippe Cassiède est parti le 9 septembre. Le véhicule est immatriculé BG 077 ZX. Marié et sans enfant, le généraliste était « surmené au travail » et souffrait d'une « fragilité psychiatrique » indiquent les gendarmes.
Le quinquagénaire faisait l'objet d'un « suivi psychiatrique » et était « apparemment dans l'attente de résultats d'examens médicaux », a-t-on précisé de même source.
Sa femme, qui a donné l'alerte, et ses proches ne s'attendaient pas à sa disparition, a indiqué la gendarmerie, qui a lancé un appel à témoin et alerté Interpol, le médecin ayant l'habitude de voyager et ayant exprimé son souhait d'aller vivre à l'étranger. « Il a travaillé normalement la veille de sa disparition et tout avait l'air de bien aller. Rien ne laissait présager une disparition brutale », indiquait hier son collègue, le docteur Pierre Bonnafous.
Source : Sud Ouest
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la personne aurait 51 ans.
édit 21/09 :
http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/drome-disparition-de-toufik-10-ans-seul-le-velo-a-ete-retrouve-21-09-2011-1438165.php
Le Dr Cassiède retrouvé mort à Moncrabeau
Un corps en état de décomposition a été découvert hier soir à 18h30 dans un bois, près de la Baïse, à Moncrabeau, une commune frontalière du Gers, route de Nérac. Selon toute probabilité, il s'agirait du Dr Philippe Cassiède, visiblement mort par arme à feu. Le corps gisait non loin de l'Audi A1 de couleur rouge dans laquelle ce médecin condomois âgé de 51 ans avait disparu le 9 septembre.
..........................
Triste fin pour ce médecin condomois qui semble ne pas avoir supporté la dégradation de son état de santé. Il avait eu un cancer un an avant. .................
............... Les craintes étaient montées d'un cran quand ils avaient découvert qu'il avait acheté une carabine de chasse dans le Lot-et-Garonne le jour de sa disparition, ce qui avait amené les enquêteurs à diffuser un appel à témoins dans la presse le 16 septembre.
................
=================
édit 23/09 : je n'ai pas trouvé l'âge exact du Dr Cassiède (50 ans ou 51 ans) mais je pense bien entendu à la période critique septennale des 49 ans et sa dépression... ses maladies, également...
édit 22/10 pour une date de naissance trouvée sur le Net :
(sous réserve que la date soit juste car les articles de presse disent 51 ans alors que la date dit 50 ans - ce qui nous rapproche d'ailleurs de la période critique septennale des 49 ans)
9 septembre 2011 (11/12/1960)
Je 1 P(12)
Ve 2
Sa 3
Di 4 E(22) I(17)
Lu 5
Ma 6
Me 7 P(18)
Je 8 P(19)
Ve 9
Sa 10
Di 11 E(1)
Lu 12
Ma 13 P(1) I(26)
Me 14
la disparition aurait alors eu lieu le lendemain du jour critique physique P19.
approche du jour critique émotionnel E1 le dimanche qui suit, la personne étant native du dimanche.
50 ans et 9 mois.
Pas de traces du docteur Cassiède
Les gendarmes poursuivent leurs recherches.
Cela fait désormais dix jours que le médecin, bien connu des Condomois, n'a pas donné de signes de vie à sa famille. Hier, les gendarmes indiquaient mettre leurs espoirs dans d'éventuels témoignages, notamment concernant l'Audi A1 rouge avec laquelle Philippe Cassiède est parti le 9 septembre. Le véhicule est immatriculé BG 077 ZX. Marié et sans enfant, le généraliste était « surmené au travail » et souffrait d'une « fragilité psychiatrique » indiquent les gendarmes.
Le quinquagénaire faisait l'objet d'un « suivi psychiatrique » et était « apparemment dans l'attente de résultats d'examens médicaux », a-t-on précisé de même source.
Sa femme, qui a donné l'alerte, et ses proches ne s'attendaient pas à sa disparition, a indiqué la gendarmerie, qui a lancé un appel à témoin et alerté Interpol, le médecin ayant l'habitude de voyager et ayant exprimé son souhait d'aller vivre à l'étranger. « Il a travaillé normalement la veille de sa disparition et tout avait l'air de bien aller. Rien ne laissait présager une disparition brutale », indiquait hier son collègue, le docteur Pierre Bonnafous.
Source : Sud Ouest
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la personne aurait 51 ans.
édit 21/09 :
http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/drome-disparition-de-toufik-10-ans-seul-le-velo-a-ete-retrouve-21-09-2011-1438165.php
Le Dr Cassiède retrouvé mort à Moncrabeau
Un corps en état de décomposition a été découvert hier soir à 18h30 dans un bois, près de la Baïse, à Moncrabeau, une commune frontalière du Gers, route de Nérac. Selon toute probabilité, il s'agirait du Dr Philippe Cassiède, visiblement mort par arme à feu. Le corps gisait non loin de l'Audi A1 de couleur rouge dans laquelle ce médecin condomois âgé de 51 ans avait disparu le 9 septembre.
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Triste fin pour ce médecin condomois qui semble ne pas avoir supporté la dégradation de son état de santé. Il avait eu un cancer un an avant. .................
............... Les craintes étaient montées d'un cran quand ils avaient découvert qu'il avait acheté une carabine de chasse dans le Lot-et-Garonne le jour de sa disparition, ce qui avait amené les enquêteurs à diffuser un appel à témoins dans la presse le 16 septembre.
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édit 23/09 : je n'ai pas trouvé l'âge exact du Dr Cassiède (50 ans ou 51 ans) mais je pense bien entendu à la période critique septennale des 49 ans et sa dépression... ses maladies, également...
édit 22/10 pour une date de naissance trouvée sur le Net :
(sous réserve que la date soit juste car les articles de presse disent 51 ans alors que la date dit 50 ans - ce qui nous rapproche d'ailleurs de la période critique septennale des 49 ans)
9 septembre 2011 (11/12/1960)
Je 1 P(12)
Ve 2
Sa 3
Di 4 E(22) I(17)
Lu 5
Ma 6
Me 7 P(18)
Je 8 P(19)
Ve 9
Sa 10
Di 11 E(1)
Lu 12
Ma 13 P(1) I(26)
Me 14
la disparition aurait alors eu lieu le lendemain du jour critique physique P19.
approche du jour critique émotionnel E1 le dimanche qui suit, la personne étant native du dimanche.
50 ans et 9 mois.
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