c'est sous réserve, notamment de l'exactitude des données que j'ai trouvées.
mais je n'avais pas bien compris pourquoi aucun indice chez Philipp Garrido au moment de l'enlèvement de la jeune Jaycee (ni période critique, ni jour critique) ce n'est pas habituel et il manquait donc un "moteur"...
ce moteur on le trouve chez Nancy Garrido - et il en est ainsi pour d'autres affaires que j'ai vues ces derniers temps... les femmes pourraient "agir par procuration" ou au moins activer quelque chose de latent chez leur homme...
situation de Nancy Garrido le 10 juin 1991, jour de l'enlèvement :
(sous réserve qu'elle soit effectivement née le 18 juillet 1955)
juin 1991
Ve 7
Sa 8 I(9)
Di 9 P(1)
Lu 10 E(8)
Ma 11
Me 12
Nancy Garrido se trouve :
- en jour critique émotionnel E8 le lendemain d'un jour critique physique P1.
le jour critique émotionnel est par conrtre le plus important, ici.
- elle finit mais se trouve encore dans sa période critique septennale des 35 ans
(à un mois de son 36ème anniversaire)
on pourrait encore vérifier les faits précédents de Garrido puisqu'il s'agit d'un récidiviste apparemment...
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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lundi 31 août 2009
samedi 29 août 2009
suicide en prison
L'Humanité :
Suicide d’un détenu à Luynes
Prison . Depuis janvier, 95 prisonniers ont mis fin à leurs jours. Les syndicats dénoncent des mesures insuffisantes.
Il avait trente-six ans, était condamné pour vols et dégradations, devait être libéré en janvier prochain et avait, selon le parquet d’Aix, fait plusieurs séjours en hôpital psychiatrique. Voilà tout ce qu’on savait, hier, de l’identité et du parcours du détenu, retrouvé pendu dans sa cellule, mercredi, à la prison de Luynes, près d’Aix-en-Provence. On sait aussi qu’il est le quatre-vingt-quinzième d’un macabre décompte tenu par diverses ONG, dont Ban public, qui recense le nombre de « suicides ou morts suspectes en détention » depuis le début de l’année.
.............
================
à moins de supprimer les prisons ou de placer un gardien derrière chaque prisonnier, il doit être difficile d'éviter les suicides.
la prison est le lieu "à risque de suicide" par excellence : on a envie d'en sortir d'une façon ou d'une autre...
on peut par contre s'intéresser aux "moments de faiblesse", ou plutôt moments à risque ou aux moments où le risque est le plus important :
- la période critique septennale : dans le cas ci-dessus il est possible que nous ayons à faire à une période critique des 35 ans qui finit mal... surtout qu'il est effectivement précisé que l'intéressé était plusieurs fois en hôpital psychiatrique...
- le jour critique émotionnel... aussi, est le second élément à risque pour un passage à l'acte.
on devrait pouvoir facilement vérifier si les données ci-dessus sont intéressantes à prendre en compte rien qu'au moyen de l'analyse des 95 cas arrivés depuis le début de l'année...
car si oui ce sont des éléments qui permettraient, avec d'autres, de faire de la prévention.
Suicide d’un détenu à Luynes
Prison . Depuis janvier, 95 prisonniers ont mis fin à leurs jours. Les syndicats dénoncent des mesures insuffisantes.
Il avait trente-six ans, était condamné pour vols et dégradations, devait être libéré en janvier prochain et avait, selon le parquet d’Aix, fait plusieurs séjours en hôpital psychiatrique. Voilà tout ce qu’on savait, hier, de l’identité et du parcours du détenu, retrouvé pendu dans sa cellule, mercredi, à la prison de Luynes, près d’Aix-en-Provence. On sait aussi qu’il est le quatre-vingt-quinzième d’un macabre décompte tenu par diverses ONG, dont Ban public, qui recense le nombre de « suicides ou morts suspectes en détention » depuis le début de l’année.
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à moins de supprimer les prisons ou de placer un gardien derrière chaque prisonnier, il doit être difficile d'éviter les suicides.
la prison est le lieu "à risque de suicide" par excellence : on a envie d'en sortir d'une façon ou d'une autre...
on peut par contre s'intéresser aux "moments de faiblesse", ou plutôt moments à risque ou aux moments où le risque est le plus important :
- la période critique septennale : dans le cas ci-dessus il est possible que nous ayons à faire à une période critique des 35 ans qui finit mal... surtout qu'il est effectivement précisé que l'intéressé était plusieurs fois en hôpital psychiatrique...
- le jour critique émotionnel... aussi, est le second élément à risque pour un passage à l'acte.
on devrait pouvoir facilement vérifier si les données ci-dessus sont intéressantes à prendre en compte rien qu'au moyen de l'analyse des 95 cas arrivés depuis le début de l'année...
car si oui ce sont des éléments qui permettraient, avec d'autres, de faire de la prévention.
oasis... oasis...
Le Monde :
Noel Gallagher quitte le groupe Oasis
28.08.09 | 23h20
Le musicien britannique Noel Gallagher quitte le groupe rock Oasis après des dissensions avec son frère Liam, a annoncé vendredi le site du groupe.
"C'est avec une certaine tristesse et avec un grand soulagement que je vous annonce que je quitte Oasis ce soir. Les gens écriront et diront ce qu'ils veulent, mais je ne pouvais tout simplement plus travailler avec Liam un jour de plus", déclare Noel Gallagher dans un bref message sur le site internet du groupe.
Le groupe anglais Oasis, tête d'affiche d'un festival de rock dans la région parisienne, a annulé sa participation vendredi soir en dernière minute, suite à une altercation en coulisses entre les frères Gallagher, les deux membres fondateurs du groupe, avait annoncé l'organisation du festival.
====================
lorsqu'il y a dissension on peut regarder la situation des personnes pour mieux comprendre ce qui se passe :
Noel Thomas David Gallagher (born on 29 May 1967)
William John Paul "Liam" Gallagher (born on 21 September 1972)
ici c'est bien Noël Gallagher qui est dans sa période critique septennale des 42 ans,
depuis novembre de l'année dernière.
août 2009 (29/05/1967)
Je 27
Ve 28
Sa 29 P(1)
Di 30
Lu 31 E(8)
Noël Gallagher est entré en outre vendredi soir dans son jour critique physique P1 : vraiment pas ce qu'il faut pour un concert... c'est le jour le plus difficile des quatre jours critiques du cycle physique.
pour Liam Gallagher c'est pas tout à fait RAS :
il a 37 ans en septembre donc pas de période critique.
août 2009 (21/09/1972)
Me 26
Je 27 P(12) E(22) I(26)
Ve 28
avec un jour triple critique qui précède le jour critique du frère se trouvant dans sa période critique... il y a largement de quoi faire des étincelles si on n'y prend garde... l'effet critique de ces trois jours est cependant passé d'ici vendredi soir, sauf s'il y a eu par exemple un problème entre les deux le jeudi en question ou dès mercredi soir moment du début du jour triple critique.
Noel Gallagher quitte le groupe Oasis
28.08.09 | 23h20
Le musicien britannique Noel Gallagher quitte le groupe rock Oasis après des dissensions avec son frère Liam, a annoncé vendredi le site du groupe.
"C'est avec une certaine tristesse et avec un grand soulagement que je vous annonce que je quitte Oasis ce soir. Les gens écriront et diront ce qu'ils veulent, mais je ne pouvais tout simplement plus travailler avec Liam un jour de plus", déclare Noel Gallagher dans un bref message sur le site internet du groupe.
Le groupe anglais Oasis, tête d'affiche d'un festival de rock dans la région parisienne, a annulé sa participation vendredi soir en dernière minute, suite à une altercation en coulisses entre les frères Gallagher, les deux membres fondateurs du groupe, avait annoncé l'organisation du festival.
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lorsqu'il y a dissension on peut regarder la situation des personnes pour mieux comprendre ce qui se passe :
Noel Thomas David Gallagher (born on 29 May 1967)
William John Paul "Liam" Gallagher (born on 21 September 1972)
ici c'est bien Noël Gallagher qui est dans sa période critique septennale des 42 ans,
depuis novembre de l'année dernière.
août 2009 (29/05/1967)
Je 27
Ve 28
Sa 29 P(1)
Di 30
Lu 31 E(8)
Noël Gallagher est entré en outre vendredi soir dans son jour critique physique P1 : vraiment pas ce qu'il faut pour un concert... c'est le jour le plus difficile des quatre jours critiques du cycle physique.
pour Liam Gallagher c'est pas tout à fait RAS :
il a 37 ans en septembre donc pas de période critique.
août 2009 (21/09/1972)
Me 26
Je 27 P(12) E(22) I(26)
Ve 28
avec un jour triple critique qui précède le jour critique du frère se trouvant dans sa période critique... il y a largement de quoi faire des étincelles si on n'y prend garde... l'effet critique de ces trois jours est cependant passé d'ici vendredi soir, sauf s'il y a eu par exemple un problème entre les deux le jeudi en question ou dès mercredi soir moment du début du jour triple critique.
vendredi 28 août 2009
folie septennale
Emission Café Crimes : faut-il juger les fous ?
Café crimes : responsabilité pénale et folie
édition du 28 Août 2009
Jacques Pradel pose la question : "Faut-il juger les fous ?" Pour y répondre, l'avocat Gilbert Collard et le psychiatre des hôpitaux, Serge Tribolet sont sur le plateau. En illustration, le cas d'un violeur récidiviste, Pierre Bodein dit Pierrot le fou.
===============
Pierre Bodein aussi est un "fou" septennal : il est dans sa période critique des 56 ans lorsqu'il tue trois personnes après être sorti de prison... peut-être... au mauvais moment...
Café crimes : responsabilité pénale et folie
édition du 28 Août 2009
Jacques Pradel pose la question : "Faut-il juger les fous ?" Pour y répondre, l'avocat Gilbert Collard et le psychiatre des hôpitaux, Serge Tribolet sont sur le plateau. En illustration, le cas d'un violeur récidiviste, Pierre Bodein dit Pierrot le fou.
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Pierre Bodein aussi est un "fou" septennal : il est dans sa période critique des 56 ans lorsqu'il tue trois personnes après être sorti de prison... peut-être... au mauvais moment...
enlèvement
Welt online :
Porträt: Entführer glaubte Gottes Stimme zu hören
Großansicht San Francisco (dpa) - Der mutmaßliche Entführer der Kalifornierin Jaycee Lee Dugard war der Polizei aufgefallen, als er in der Stadt Berkeley Flugblätter mit religiösen Schriften austeilte.
Nachbarn und Bekannte beschrieben den 58 Jahre alten Phillip Garrido als religiösen Fanatiker, der davon berichtete, dass er Gottes Stimme höre. «In den letzten zwei Jahren verfiel er immer mehr diesem seltsamen religiösen Kram. Er tat uns fast leid», sagte der Geschäftsmann Tim Allen, der bei Garrido Visitenkarten drucken ließ, dem TV-Sender Sender KCRA.
===============
lui aussi entendait les anges depuis ces deux dernières années : cela correspond à l'entrée dans la période critique septennale des 56 ans. au point qu'il a créé sa propre église : mais c'était peut-être aussi une solution pratique pour se faire pardonner ses crimes...
l'enlèvement, il y a 18 ans de la jeune Jaycee le 10 juin 1991 ne permet pas de constater un lien avec les cycles qui m'intéressent :
Phillip Garrido 58 ans date de naissance 04-05-1951
juin 1991 (5 avril 1951)
Di 9
Lu 10
Ma 11 I(26)
Me 12
un jour critique émotionnel le lendemain. 40 ans et 2 mois.
(la 41ème année de vie est une année critique physique équivalente de P 18)
et pour ceux qui (comme moi) s'intéressent à plein de choses et donc aussi aux "ressemblances" selon des critères variés, dont ceux liés aux comportements, aux caractères et personnalités en fonction du moment de naissance :
Garrido est né le 5 avril 1951.
Fritzl est né le 9 avril 1935.
Fourniret est né le 4 avril 1942.
Porträt: Entführer glaubte Gottes Stimme zu hören
Großansicht San Francisco (dpa) - Der mutmaßliche Entführer der Kalifornierin Jaycee Lee Dugard war der Polizei aufgefallen, als er in der Stadt Berkeley Flugblätter mit religiösen Schriften austeilte.
Nachbarn und Bekannte beschrieben den 58 Jahre alten Phillip Garrido als religiösen Fanatiker, der davon berichtete, dass er Gottes Stimme höre. «In den letzten zwei Jahren verfiel er immer mehr diesem seltsamen religiösen Kram. Er tat uns fast leid», sagte der Geschäftsmann Tim Allen, der bei Garrido Visitenkarten drucken ließ, dem TV-Sender Sender KCRA.
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lui aussi entendait les anges depuis ces deux dernières années : cela correspond à l'entrée dans la période critique septennale des 56 ans. au point qu'il a créé sa propre église : mais c'était peut-être aussi une solution pratique pour se faire pardonner ses crimes...
l'enlèvement, il y a 18 ans de la jeune Jaycee le 10 juin 1991 ne permet pas de constater un lien avec les cycles qui m'intéressent :
Phillip Garrido 58 ans date de naissance 04-05-1951
juin 1991 (5 avril 1951)
Di 9
Lu 10
Ma 11 I(26)
Me 12
un jour critique émotionnel le lendemain. 40 ans et 2 mois.
(la 41ème année de vie est une année critique physique équivalente de P 18)
et pour ceux qui (comme moi) s'intéressent à plein de choses et donc aussi aux "ressemblances" selon des critères variés, dont ceux liés aux comportements, aux caractères et personnalités en fonction du moment de naissance :
Garrido est né le 5 avril 1951.
Fritzl est né le 9 avril 1935.
Fourniret est né le 4 avril 1942.
Elisabeth Smart
Elizabeth Smart kidnapping
From Wikipedia, the free encyclopedia
Elizabeth Ann Smart (born November 3, 1987) is an American woman who was abducted from her Salt Lake City, Utah bedroom on June 5, 2002 at the age of 14.
...
On the evening of June 4, 2002, the family attended an award ceremony at Elizabeth's school. After the family returned home and got ready for bed, Ed made sure the doors were all locked, but he did not turn on the alarm. "If the children got up and moved (in the night), it would set the alarm off. And so we just said we’re not going to bother with it," Lois later explained.[2]
In the early hours of the morning, Brian David Mitchell broke into the home and came to the bedroom that Elizabeth shared with her 9-year-old sister, Mary Katherine.[3] While Mary Katherine pretended to be asleep,[4] she watched the abduction,[5] and later gave these statements as to what happened:
=================
BRYAN DAVID MITCHELL,. DOB 10/18/53
WANDA EILEEN BARZEE. DOB 11/06/45
l'enlèvement de Elisabeth Smart a eu lieu la nuit du 4 au 5 juin 2002 :
BRYAN DAVID MITCHELL,. DOB 10/18/53
Juin 2002 (18/10/1953 (Mitchell)
Sa 1
Di 2 E(8)
Lu 3
Ma 4 P(6)
Me 5 P(7) I(9)
Je 6
Ve 7
c'est un jour critique physique P6/P7 pour Bryan David Mitchell, mais surtout probablement le jour critique du cerveau qu'est le jour critique intellectuel i9... en outre il a 48 ans et 7 mois et se trouve en période critique septennale des 49 ans et d'un épisode critique semestriel...
WANDA EILEEN BARZEE. DOB 11/06/45
Juin 2002 6/11/1945 - Barzee)
Sa 1
Di 2
Lu 3
Ma 4 E(1)
Me 5 P(12)
Je 6 I(9)
Ve 7
épisode triple critique comportant le jour critique émotionnel E1, jour critique physique P12 et jour critique intellectuel i9, ce jour là pour Wanda Eileen Barzee. elle a 56 ans et 7 mois et se trouve donc en situation quasi identique que Mitchell : en période critique septennale des 56 ans et épisode critique semestriel...
l'enlèvement d'Elisabeth Smart a donc été perpétré par deux personnes se trouvant chacune dans une période critique septennale et chacune un jour de pulsion, jour triple pour Barzee. Mitchell se serait d'ailleurs pris pour Jésus, semble-t-il...
autres :
"En 2006, Natascha Kampusch, enlevée le 2 mars 1998, à l'âge de dix ans, avait pu s'enfuir, saine et sauve."
son ravisseur Wolfgang Priklopil se trouvait dans sa période critique septennale des 35 ans lorsqu'il a enlevé Natascha, et a agit son jour critique émotionnel.(né lundi - agit lundi)
"En mars dernier, le procès de Josef Fritzl a défrayé la chronique. Accusé d'avoir séquestré sa fille Elisabeth pendant 24 ans dans la cave-cachot de sa maison, lui faisant sept enfants, il a été condamné à la réclusion à perpétuité."
Josef Fritzl a agit son jour critique émotionnel le mardi - son jour de naissance donc - lorsqu'il a décidé d'enfermer définitivement sa fille à la cave. c'était à 49 ans sa période critique septennale. et c'est à 42 ans, période précédente, qu'il a commencé à abuser de sa fille.
From Wikipedia, the free encyclopedia
Elizabeth Ann Smart (born November 3, 1987) is an American woman who was abducted from her Salt Lake City, Utah bedroom on June 5, 2002 at the age of 14.
...
On the evening of June 4, 2002, the family attended an award ceremony at Elizabeth's school. After the family returned home and got ready for bed, Ed made sure the doors were all locked, but he did not turn on the alarm. "If the children got up and moved (in the night), it would set the alarm off. And so we just said we’re not going to bother with it," Lois later explained.[2]
In the early hours of the morning, Brian David Mitchell broke into the home and came to the bedroom that Elizabeth shared with her 9-year-old sister, Mary Katherine.[3] While Mary Katherine pretended to be asleep,[4] she watched the abduction,[5] and later gave these statements as to what happened:
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BRYAN DAVID MITCHELL,. DOB 10/18/53
WANDA EILEEN BARZEE. DOB 11/06/45
l'enlèvement de Elisabeth Smart a eu lieu la nuit du 4 au 5 juin 2002 :
BRYAN DAVID MITCHELL,. DOB 10/18/53
Juin 2002 (18/10/1953 (Mitchell)
Sa 1
Di 2 E(8)
Lu 3
Ma 4 P(6)
Me 5 P(7) I(9)
Je 6
Ve 7
c'est un jour critique physique P6/P7 pour Bryan David Mitchell, mais surtout probablement le jour critique du cerveau qu'est le jour critique intellectuel i9... en outre il a 48 ans et 7 mois et se trouve en période critique septennale des 49 ans et d'un épisode critique semestriel...
WANDA EILEEN BARZEE. DOB 11/06/45
Juin 2002 6/11/1945 - Barzee)
Sa 1
Di 2
Lu 3
Ma 4 E(1)
Me 5 P(12)
Je 6 I(9)
Ve 7
épisode triple critique comportant le jour critique émotionnel E1, jour critique physique P12 et jour critique intellectuel i9, ce jour là pour Wanda Eileen Barzee. elle a 56 ans et 7 mois et se trouve donc en situation quasi identique que Mitchell : en période critique septennale des 56 ans et épisode critique semestriel...
l'enlèvement d'Elisabeth Smart a donc été perpétré par deux personnes se trouvant chacune dans une période critique septennale et chacune un jour de pulsion, jour triple pour Barzee. Mitchell se serait d'ailleurs pris pour Jésus, semble-t-il...
autres :
"En 2006, Natascha Kampusch, enlevée le 2 mars 1998, à l'âge de dix ans, avait pu s'enfuir, saine et sauve."
son ravisseur Wolfgang Priklopil se trouvait dans sa période critique septennale des 35 ans lorsqu'il a enlevé Natascha, et a agit son jour critique émotionnel.(né lundi - agit lundi)
"En mars dernier, le procès de Josef Fritzl a défrayé la chronique. Accusé d'avoir séquestré sa fille Elisabeth pendant 24 ans dans la cave-cachot de sa maison, lui faisant sept enfants, il a été condamné à la réclusion à perpétuité."
Josef Fritzl a agit son jour critique émotionnel le mardi - son jour de naissance donc - lorsqu'il a décidé d'enfermer définitivement sa fille à la cave. c'était à 49 ans sa période critique septennale. et c'est à 42 ans, période précédente, qu'il a commencé à abuser de sa fille.
jeudi 27 août 2009
drame de la séparation
tdg.ch :
Drame familial à Lancy: un père tue sa fille et se suicide
Le jour n'était pas encore levé quand la centrale d'urgence de la police a reçu un appel téléphonique. Plusieurs patrouilles se sont rendues sur place. Elles ont dû forcer la porte de l'appartement précise le communiqué de presse à 12h34, confirmant l'information donnée sur le site internet de la Tribune de Genève dès 9 heures.
Une fois à l'intérieur, les policiers ont découvert deux personnes mortellement blessées par balle. Il s'agit d'un père, âgé de 62 ans, et de sa fille de 17 ans.
Selon les premiers éléments de l'enquête, il aurait agi après que sa femme lui ait annoncé son intention de divorcer. L'homme a profité de l'absence de cette dernière, sortie promener le chien, pour commettre son crime.
=================
là aussi, cherchons le lien probable : entrée dans la période critique septennale des 63 ans, aux alentours de 62 ans et demi...
les origines d'une séparation sont souvent à trouver dans l'entrée en période critique septennale de l'un ou l'autre partenaire d'un couple : la situation peut devenir insupportable et invivable.
il nous faudra apprendre à gérer de tels moments et périodes critiques surtout que l'on connaît à l'avance leurs dates et leurs symptômes... et les risques.
jour critique émotionnel ?
Drame familial à Lancy: un père tue sa fille et se suicide
Le jour n'était pas encore levé quand la centrale d'urgence de la police a reçu un appel téléphonique. Plusieurs patrouilles se sont rendues sur place. Elles ont dû forcer la porte de l'appartement précise le communiqué de presse à 12h34, confirmant l'information donnée sur le site internet de la Tribune de Genève dès 9 heures.
Une fois à l'intérieur, les policiers ont découvert deux personnes mortellement blessées par balle. Il s'agit d'un père, âgé de 62 ans, et de sa fille de 17 ans.
Selon les premiers éléments de l'enquête, il aurait agi après que sa femme lui ait annoncé son intention de divorcer. L'homme a profité de l'absence de cette dernière, sortie promener le chien, pour commettre son crime.
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là aussi, cherchons le lien probable : entrée dans la période critique septennale des 63 ans, aux alentours de 62 ans et demi...
les origines d'une séparation sont souvent à trouver dans l'entrée en période critique septennale de l'un ou l'autre partenaire d'un couple : la situation peut devenir insupportable et invivable.
il nous faudra apprendre à gérer de tels moments et périodes critiques surtout que l'on connaît à l'avance leurs dates et leurs symptômes... et les risques.
jour critique émotionnel ?
Ted Kennedy
Wikipédia :
Edward Moore Kennedy, Sr., né le 22 février 1932 à Boston et mort le 25 août 2009 à Hyannis Port
....
..
........
Chappaquiddick
Le 18 juillet 1969, à la suite d'une soirée donnée sur l'île de Chappaquiddick, à bord de son Oldsmobile Delta 88, Ted Kennedy effectua une sortie de route à la hauteur du Dike Bridge. Sa voiture plongea dans la rivière et coula.
Ted Kennedy n'était pas seul à bord et sa jeune passagère, Mary Jo Kopechne, mourut noyée. Ted Kennedy, qui tenta sans succès de la sauver, retourna chercher de l'aide au lieu où s'était tenue la soirée. Kennedy parla de l'accident à de nombreuses personnes, y compris les parents de la victime et son avocat, avant que la police ne fût prévenue. C'est un groupe de pêcheurs qui retrouva la voiture le lendemain matin, puis, plus tard, le corps de Kopechne fut repêché.
Ce n'est que lorsque la voiture fut identifiée comme appartenant à Ted Kennedy que celui-ci fut enfin interrogé par la police.
L'accident devint un scandale national. Kennedy fut critiqué de n'avoir pas su venir à l'aide de Kopechne et pour n'avoir pas contacté d'abord la police, mais son avocat, et pour avoir attendu le lendemain matin pour signaler l'accident.
De nombreuses allégations circulèrent et continuent de circuler, notamment selon lesquelles Ted Kennedy aurait été ivre au volant de sa voiture, n'aurait pas essayé de sauver la jeune fille et aurait tenté d'abuser d'elle.
Kennedy plaida coupable d'avoir quitté les lieux de l'accident. Il fut condamné à 2 mois de prison avec sursis.
====================
Ted Kennedy est décédé durant sa période critique septennale des 77 ans (il souffrait d'une tumeur au cerveau). le lendemain d'un jour critique physique P19 et émotionnel E1.
août 2009
Sa 22 I(26)
Di 23 P(18)
Lu 24 P(19) E(1)
Ma 25
Me 26
situation le jour de son accident :
juillet 1969
Me 16
Je 17
Ve 18
Sa 19 P(1) I(1)
Di 20
le 18 est jour neutre mais le soir (l'accident est apparemment arrivé le soir) Ted Kennedy est entré dans un double critique physique et émotionnel P1 - i1. P1 est le typique jour des accidents, mais aussi jour de pulsions.
la passagère était en période critique septennale des 28 ans :
Mary Jo Kopechne (July 26, 1940 – July 18, 1969) was an American teacher, secretary and political campaign specialist who died in an accident on Chappaquiddick Island while a passenger in a car being driven by United States Senator Ted Kennedy.
période critique septennale des 28 ans - bien que sur le point d'en sortir, une semaine avant son anniversaire, et son jour critique émotionnel E1... (trois éléments à retenir : avant de connaître ces données j'étais sceptique mais là je suis épaté car çà donne une idée du scénario qui a pu se passer... E1 étant notre plus fort "jour de colère"... et ils y sont quasiment tous les deux...)
juillet 1969 (26/07/1940)
Ma 15
Me 16
Je 17
Ve 18 E(1)
Sa 19 I(26)
Di 20 P(7)
Lu 21
Edward Moore Kennedy, Sr., né le 22 février 1932 à Boston et mort le 25 août 2009 à Hyannis Port
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Chappaquiddick
Le 18 juillet 1969, à la suite d'une soirée donnée sur l'île de Chappaquiddick, à bord de son Oldsmobile Delta 88, Ted Kennedy effectua une sortie de route à la hauteur du Dike Bridge. Sa voiture plongea dans la rivière et coula.
Ted Kennedy n'était pas seul à bord et sa jeune passagère, Mary Jo Kopechne, mourut noyée. Ted Kennedy, qui tenta sans succès de la sauver, retourna chercher de l'aide au lieu où s'était tenue la soirée. Kennedy parla de l'accident à de nombreuses personnes, y compris les parents de la victime et son avocat, avant que la police ne fût prévenue. C'est un groupe de pêcheurs qui retrouva la voiture le lendemain matin, puis, plus tard, le corps de Kopechne fut repêché.
Ce n'est que lorsque la voiture fut identifiée comme appartenant à Ted Kennedy que celui-ci fut enfin interrogé par la police.
L'accident devint un scandale national. Kennedy fut critiqué de n'avoir pas su venir à l'aide de Kopechne et pour n'avoir pas contacté d'abord la police, mais son avocat, et pour avoir attendu le lendemain matin pour signaler l'accident.
De nombreuses allégations circulèrent et continuent de circuler, notamment selon lesquelles Ted Kennedy aurait été ivre au volant de sa voiture, n'aurait pas essayé de sauver la jeune fille et aurait tenté d'abuser d'elle.
Kennedy plaida coupable d'avoir quitté les lieux de l'accident. Il fut condamné à 2 mois de prison avec sursis.
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Ted Kennedy est décédé durant sa période critique septennale des 77 ans (il souffrait d'une tumeur au cerveau). le lendemain d'un jour critique physique P19 et émotionnel E1.
août 2009
Sa 22 I(26)
Di 23 P(18)
Lu 24 P(19) E(1)
Ma 25
Me 26
situation le jour de son accident :
juillet 1969
Me 16
Je 17
Ve 18
Sa 19 P(1) I(1)
Di 20
le 18 est jour neutre mais le soir (l'accident est apparemment arrivé le soir) Ted Kennedy est entré dans un double critique physique et émotionnel P1 - i1. P1 est le typique jour des accidents, mais aussi jour de pulsions.
la passagère était en période critique septennale des 28 ans :
Mary Jo Kopechne (July 26, 1940 – July 18, 1969) was an American teacher, secretary and political campaign specialist who died in an accident on Chappaquiddick Island while a passenger in a car being driven by United States Senator Ted Kennedy.
période critique septennale des 28 ans - bien que sur le point d'en sortir, une semaine avant son anniversaire, et son jour critique émotionnel E1... (trois éléments à retenir : avant de connaître ces données j'étais sceptique mais là je suis épaté car çà donne une idée du scénario qui a pu se passer... E1 étant notre plus fort "jour de colère"... et ils y sont quasiment tous les deux...)
juillet 1969 (26/07/1940)
Ma 15
Me 16
Je 17
Ve 18 E(1)
Sa 19 I(26)
Di 20 P(7)
Lu 21
Chris Brown et Rihanna
20minutes :
Les détails de l'altercation entre Chris Brown et Rihanna
PEOPLE - La justice vient de rendre public le rapport de police qui détaille l'agression dont à été victime la chanteuse...
On en sait plus sur ce qui s’est passé le 8 février dernier, entre Rihanna et Chris Brown. La justice vient de divulguer le rapport des policiers qui sont arrivés les premiers auprès de la jeune femme après l’agression.
Un rapport dont le site TMZ divulgue l’intégralité, et qui fourmille de détails d’une violence inénarrable. Jusqu’à présent, on savait seulement qu’une dispute liée à la jalousie de la jeune femme aurait dégénéré et que le chanteur l'aurait rouée de coups en hurlant qu'il allait la tuer.
Selon le rapport de police en question, lorsque les officiers sont arrivés, alertés par des cris, ils ont trouvé Rihanna «très énervée et en pleurs», assise dans un véhicule en stationnement. Ils ont pu voir les bleus, blessures et contusions sur le visage et le bras gauche de la chanteuse. D’après la police, Chris Brown portait ce soir-là une grosse bague à la main droite, qui a causé ces blessures à la jeune femme.
«Assure-toi que la police soit chez moi quand j’arrive»
La chanteuse leur a expliqué qu’elle venait de se disputer avec Chris Brown. Le déclencheur de cette dispute? On l’ignore. Toujours est-il que les deux amants se sont insultés, et en sont venus aux mains. Le chanteur a même tenté d’étouffer sa compagne.
...
http://www.20minutes.fr/article/343141/People-Les-details-de-l-altercation-entre-Chris-Brown-et-Rihanna.php
===================
pour essayer de mieux cerner une dispute conjugale on peut examiner la situation des cycles émotionnels des personnes :
Chris Brown (5/05/1989)
février 2009
Me 4
Je 5 P(18)
Ve 6 E(22)
Sa 7
Di 8 I(26)
Lu 9
Chris Brown est dans un jour critique intellectuel, mais ce cycle ne semble pas avoir beaucoup d'incidence sur nos comportements émotionnels.
Rihanna (20/02/1988)
février 2009
Je 5 I(1)
Ve 6
Sa 7 E(15)
Di 8 P(1)
Lu 9
pleine période critique septennale des 21 ans et proximité de la date anniversaire.
c'est donc Rihanna qui est nettement en situation "à risque" puisqu'elle sort samedi de son jour critique émotionnel E15 pour entrer dans un jour critique physique P1 (on entre d'un jour de colère dans un jour de mauvaise forme physique)...
elle se trouve en plein dans sa période critique septennale des 21 ans - qui peut être une période de sérieuse dépression, augmentée par des tensions qui arrivent avec l'approche de l'anniversaire (je considère comme une période à risque de dépression les quatre semaines précédant une date anniversaire).
il arrive fréquemment, lors d'une altercation dans un couple que l'un - en situation à risque donc de grand stress - fasse craquer l'autre qui se trouve en situation neutre. cela pourrait aussi être le cas ici.
on ne peut pas toujours parler de faute de l'un ou de l'autre, dans la mesure où les personnes ignorent les effets d'une période et d'un jour critiques : tant que nous ignorons et par conséquent ne tenons pas compte de nos cycles psychiques et émotionnels et des conséquences qu'ils peuvent induire, c'est un peu comme si nous nous faisions manipuler par eux à notre insu... ce ne sera plus le cas lorsque nous aurons compris le mécanisme.
Les détails de l'altercation entre Chris Brown et Rihanna
PEOPLE - La justice vient de rendre public le rapport de police qui détaille l'agression dont à été victime la chanteuse...
On en sait plus sur ce qui s’est passé le 8 février dernier, entre Rihanna et Chris Brown. La justice vient de divulguer le rapport des policiers qui sont arrivés les premiers auprès de la jeune femme après l’agression.
Un rapport dont le site TMZ divulgue l’intégralité, et qui fourmille de détails d’une violence inénarrable. Jusqu’à présent, on savait seulement qu’une dispute liée à la jalousie de la jeune femme aurait dégénéré et que le chanteur l'aurait rouée de coups en hurlant qu'il allait la tuer.
Selon le rapport de police en question, lorsque les officiers sont arrivés, alertés par des cris, ils ont trouvé Rihanna «très énervée et en pleurs», assise dans un véhicule en stationnement. Ils ont pu voir les bleus, blessures et contusions sur le visage et le bras gauche de la chanteuse. D’après la police, Chris Brown portait ce soir-là une grosse bague à la main droite, qui a causé ces blessures à la jeune femme.
«Assure-toi que la police soit chez moi quand j’arrive»
La chanteuse leur a expliqué qu’elle venait de se disputer avec Chris Brown. Le déclencheur de cette dispute? On l’ignore. Toujours est-il que les deux amants se sont insultés, et en sont venus aux mains. Le chanteur a même tenté d’étouffer sa compagne.
...
http://www.20minutes.fr/article/343141/People-Les-details-de-l-altercation-entre-Chris-Brown-et-Rihanna.php
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pour essayer de mieux cerner une dispute conjugale on peut examiner la situation des cycles émotionnels des personnes :
Chris Brown (5/05/1989)
février 2009
Me 4
Je 5 P(18)
Ve 6 E(22)
Sa 7
Di 8 I(26)
Lu 9
Chris Brown est dans un jour critique intellectuel, mais ce cycle ne semble pas avoir beaucoup d'incidence sur nos comportements émotionnels.
Rihanna (20/02/1988)
février 2009
Je 5 I(1)
Ve 6
Sa 7 E(15)
Di 8 P(1)
Lu 9
pleine période critique septennale des 21 ans et proximité de la date anniversaire.
c'est donc Rihanna qui est nettement en situation "à risque" puisqu'elle sort samedi de son jour critique émotionnel E15 pour entrer dans un jour critique physique P1 (on entre d'un jour de colère dans un jour de mauvaise forme physique)...
elle se trouve en plein dans sa période critique septennale des 21 ans - qui peut être une période de sérieuse dépression, augmentée par des tensions qui arrivent avec l'approche de l'anniversaire (je considère comme une période à risque de dépression les quatre semaines précédant une date anniversaire).
il arrive fréquemment, lors d'une altercation dans un couple que l'un - en situation à risque donc de grand stress - fasse craquer l'autre qui se trouve en situation neutre. cela pourrait aussi être le cas ici.
on ne peut pas toujours parler de faute de l'un ou de l'autre, dans la mesure où les personnes ignorent les effets d'une période et d'un jour critiques : tant que nous ignorons et par conséquent ne tenons pas compte de nos cycles psychiques et émotionnels et des conséquences qu'ils peuvent induire, c'est un peu comme si nous nous faisions manipuler par eux à notre insu... ce ne sera plus le cas lorsque nous aurons compris le mécanisme.
éléments déclencheurs
un drame peut arriver à tout moment selon la situation et l'état des personnes. mais il y a certains éléments qui font qu'il y a plus de "chance" ou de risque qu'il arrive à un moment plutôt qu'à un autre.
la période critique septennale et le jour critique émotionnel sont deux éléments que l'on retrouvera souvent, voire majoritairement, lorsqu'il y a un drame conjugal ou pour une autre raison ("disjonction" quelqu'un qui disjoncte, comme on dit).
cela s'explique par le fait que période critique septennale et jour critique émotionnel sont des périodes/jours de pulsions (la tension est très accentuée : nous sommes poussés à agir, ce qui peut nous faire "sortir de nos gonds", exploser...) désinhibition (la conscience est modifiée de sorte que nous sommes désinhibés et oublions la gravité des choses ou encore l'estimons différemment : c'est un peu comme si nous avions bu).
c'est pour cela qu'en examinant un drame arrivé on trouvera souvent que l'auteur, ou l'un ou l'autre des partenaires d'un couple dans le cas d'un drame conjugal ou familial, se trouve en période critique septennale ou en jour critique émotionnel : nous tenons alors probablement le détonateur ou l'élément déclencheur du comportement ou du passage à l'acte. c'est d'ailleurs valable pour les suicidaires aussi, pour les mêmes raisons de pulsions/déinhibition.
le côté très intéressant c'est que période critique septennale et jour critique émotionnel sont connus à l'avance (1), ce qui permet par conséquent de prévoir l'arrivée de ces périodes à risque : on pourrait donc, en prenant en compte cette règle, éviter pas mal de grands malheurs...
voir la méthode dans l'encadré tout en bas de cette page.
(1) s'agissant de deux cycles de notre psychisme et de nos émotions qui démarrent au moment de la naissance et nous accompagnent définitivement tout au long de notre vie, les périodes et jours critiques sont connus et peuvent être très facilement calculés dès le jour de la naissance d'une personne.
la période critique septennale et le jour critique émotionnel sont deux éléments que l'on retrouvera souvent, voire majoritairement, lorsqu'il y a un drame conjugal ou pour une autre raison ("disjonction" quelqu'un qui disjoncte, comme on dit).
cela s'explique par le fait que période critique septennale et jour critique émotionnel sont des périodes/jours de pulsions (la tension est très accentuée : nous sommes poussés à agir, ce qui peut nous faire "sortir de nos gonds", exploser...) désinhibition (la conscience est modifiée de sorte que nous sommes désinhibés et oublions la gravité des choses ou encore l'estimons différemment : c'est un peu comme si nous avions bu).
c'est pour cela qu'en examinant un drame arrivé on trouvera souvent que l'auteur, ou l'un ou l'autre des partenaires d'un couple dans le cas d'un drame conjugal ou familial, se trouve en période critique septennale ou en jour critique émotionnel : nous tenons alors probablement le détonateur ou l'élément déclencheur du comportement ou du passage à l'acte. c'est d'ailleurs valable pour les suicidaires aussi, pour les mêmes raisons de pulsions/déinhibition.
le côté très intéressant c'est que période critique septennale et jour critique émotionnel sont connus à l'avance (1), ce qui permet par conséquent de prévoir l'arrivée de ces périodes à risque : on pourrait donc, en prenant en compte cette règle, éviter pas mal de grands malheurs...
voir la méthode dans l'encadré tout en bas de cette page.
(1) s'agissant de deux cycles de notre psychisme et de nos émotions qui démarrent au moment de la naissance et nous accompagnent définitivement tout au long de notre vie, les périodes et jours critiques sont connus et peuvent être très facilement calculés dès le jour de la naissance d'une personne.
dépression
radio-canada.ca :
Lucette Dubé fait face à la justice
La forcenée qui a causé tout un émoi lundi à Shawinigan devra faire face à 14 chefs d'accusation, dont trois de tentative de meurtre: un contre son conjoint et deux contre des policiers de la Sûreté du Québec.
C'est de son lit aux soins intensifs de l'hôpital de Shawinigan que Lucette Dubé, 43 ans, a comparu mardi.
La procureure de la Couronne, Catherine Lacoursière, s'oppose à la remise en liberté provisoire de l'accusée: « Ce sont des infractions de violence dans lesquelles on retrouve une arme à feu, c'est mieux pour la protection du public ».
Lorsqu'elle sortira de l'hôpital, Lucette Dubé sera détenue en attendant son enquête sur remise en liberté qui a été fixée à mardi prochain.
Confidences du conjoint de l'accusée
Même s'il a été une cible, Jean-Guy Perron comprend le désarroi de sa conjointe. « Je vais essayer de l'aider le plus possible. Il faut qu'elle s'en sorte, il faut qu'elle soit suivie », dit-il.
Il ajoute que c'est une série de facteurs qui auraient mené Lucette Dubé à commettre ces gestes.
« Elle a besoin de soins. Elle fait une dépression à la suite du suicide de son frère et de sa soeur il y a trois ans. Depuis ce temps-là, elle prend de la drogue et de la boisson, surtout de la drogue. »
Barricadée dans sa maison de la rue Ridge, à Shawinigan, Lucette Dubé a tenu le siège pendant 18 heures de dimanche à lundi. Armée, elle a fait feu en direction de son conjoint qui rentrait à la maison, ainsi qu'en direction de deux policiers de la Sûreté du Québec qui tentaient de la convaincre de se rendre.
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probablement chercher la dépression septennale des 42 ans ici aussi...
Lucette Dubé fait face à la justice
La forcenée qui a causé tout un émoi lundi à Shawinigan devra faire face à 14 chefs d'accusation, dont trois de tentative de meurtre: un contre son conjoint et deux contre des policiers de la Sûreté du Québec.
C'est de son lit aux soins intensifs de l'hôpital de Shawinigan que Lucette Dubé, 43 ans, a comparu mardi.
La procureure de la Couronne, Catherine Lacoursière, s'oppose à la remise en liberté provisoire de l'accusée: « Ce sont des infractions de violence dans lesquelles on retrouve une arme à feu, c'est mieux pour la protection du public ».
Lorsqu'elle sortira de l'hôpital, Lucette Dubé sera détenue en attendant son enquête sur remise en liberté qui a été fixée à mardi prochain.
Confidences du conjoint de l'accusée
Même s'il a été une cible, Jean-Guy Perron comprend le désarroi de sa conjointe. « Je vais essayer de l'aider le plus possible. Il faut qu'elle s'en sorte, il faut qu'elle soit suivie », dit-il.
Il ajoute que c'est une série de facteurs qui auraient mené Lucette Dubé à commettre ces gestes.
« Elle a besoin de soins. Elle fait une dépression à la suite du suicide de son frère et de sa soeur il y a trois ans. Depuis ce temps-là, elle prend de la drogue et de la boisson, surtout de la drogue. »
Barricadée dans sa maison de la rue Ridge, à Shawinigan, Lucette Dubé a tenu le siège pendant 18 heures de dimanche à lundi. Armée, elle a fait feu en direction de son conjoint qui rentrait à la maison, ainsi qu'en direction de deux policiers de la Sûreté du Québec qui tentaient de la convaincre de se rendre.
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probablement chercher la dépression septennale des 42 ans ici aussi...
mercredi 26 août 2009
désespoir
Spiegel.online :
Pforzheim
Frau wirft ihre Kinder vom Balkon und springt selbst
Tödliche Familienträgodie in Pforzheim: Eine 27-jährige Mutter hat ihr Baby und ihren vierjährigen Sohn vom Balkon geworfen und ist dann selbst gesprungen. Nur der Junge überlebte mit lebensgefährlichen Verletzungen.
Pforzheim - Das zwei Monate alte Mädchen war beim Aufprall auf den Rasen sofort tot. Die Mutter starb später in einer Klinik an ihren schweren Verletzungen. Ein Nachbar sah zufällig, wie die Kinder und die Mutter in die Tiefe stürzten. Er alarmierte um 8.19 Uhr am Mittwoch die Rettungskräfte.
Der Ehemann war an seinem Arbeitsplatz und erlitt bei der Nachricht einen Schock. Er wurde von einem Notfall-Seelsorger betreut und konnte noch nicht vernommen werden, wie der Pforzheimer Oberstaatsanwalt Christoph Reichert sagte. Nach seinen Angaben handelt es sich um eine türkische Familie.
Die Ermittler fanden in der Wohnung Schriftstücke auf Türkisch - möglicherweise ein Abschiedsbrief der Frau. Diese müssten noch übersetzt werden, sagte der Oberstaatsanwalt. Über das Motiv der 27-Jährigen sei noch nichts bekannt. Es werde wegen eines vollendeten und eines versuchten Tötungsdelikts ermittelt. Die Leichen sollen obduziert werden.
"Nach den bisherigen Feststellungen hat die Frau zunächst den Säugling und dann das Kind vom Balkon geworfen", teilte die Polizei mit. Dies habe ein Augenzeuge ausgesagt, der auch den Rettungsdienst alarmierte. Ein Fremdverschulden schlossen die Beamten aus.
Das Drama in Pforzheim reiht sich ein in eine Serie von Familiendramen, von denen der sogenannte "Badewannen-Mord" derzeit in Stuttgart vor dem Landgericht verhandelt wird: Eine 42-jährige Mutter aus Schorndorf (Rems-Murr-Kreis) soll ihre fünfjährige Tochter und ihren vierjährigen Sohn im vergangenen Mai in der heimischen Badewanne ertränkt haben. Danach soll sie versucht haben, sich das Leben zu nehmen.
Junge Mutter wollte sich von Nachbarbalkon abseilen und stirbt
Im Märkischen Kreis ist eine 28-jährige Frau aus Werdohl bei einem Sturz aus 14 Metern Höhe ums Leben gekommen: Die Tür zu ihrer Wohnung, in der sich ihr einjähriger Sohn aufhielt, war zugefallen. Daraufhin versuchte sie, sich von einem Nachbarbalkon in der fünften Etage auf ihren eigenen Balkon abzuseilen, wie die Polizei am Mittwoch berichtete.
Das Seil riss, und die junge Frau prallte auf den Asphalt. Die Mutter von drei Kindern erlag noch an der Unfallstelle ihren schweren Verletzungen. Gegen den 79-jährigen Nachbarn, von dessen Balkon aus die 28-Jährige hinunterkletterte, leitete die Staatsanwaltschaft Hagen ein Ermittlungsverfahren ein. Es bestehe der Anfangsverdacht der fahrlässigen Tötung, sagte Oberstaatsanwalt Hans-Werner Münker.
Der Rentner habe der Frau das Seil gegeben, das offenbar jedoch viel zu dünn gewesen sei, um ihr Gewicht zu tragen. Ob es tatsächlich zu einer Anklage kommt, ist laut Staatsanwaltschaft aber noch unklar.
jjc/AP/dpa
=====================
désespoir et inconscience... les périodes critiques septennales peuvent nous inciter à des tas de comportements, depuis les actes désespérés jusqu'aux actes dangereux voire inconscients.
ce même article du Spiegel cite le cas de cette femme de 27 ans (entrée dans la période critique septennale des 28 ans) qui a jeté son bébé du balcon, puis son second enfant de quatre ans, pour finir par sauter elle même. seul le fils de 4 ans a survécu grièvement blessé.
il y a peu c'est une femme de 42 ans qui a noyé ses deux enfants dans la baignoire, puis a tenté de se suicider.
le troisième cas est celui d'une femme de 28 ans bloquée sur son palier parce que la porte de son appartement dans lequel se trouvait son enfant s'est fermée. elle a demandé à son voisin du 5ème étage de lui prêter une corde pour se hisser depuis chez lui d'un balcon au sien : la corde pas assez solide s'est cassée et la femme - mère de trois enfants - s'est tuée en tombant sur l'asphalte.
la désinhibition à laquelle donne lieu la survenance et le séjour en période critique septennale est faite pour nous faire agir et bouger, réaliser ce que nous avons envie de faire depuis longtemps : parfois çà fonctionne dans le mauvais sens.
de même, face à un problème, nous risquons de nous surestimer car du fait de cette désinhibition et absence de freins les critères de danger sont très atténués... pas du tout les mêmes qu'en période "neutre".
Pforzheim
Frau wirft ihre Kinder vom Balkon und springt selbst
Tödliche Familienträgodie in Pforzheim: Eine 27-jährige Mutter hat ihr Baby und ihren vierjährigen Sohn vom Balkon geworfen und ist dann selbst gesprungen. Nur der Junge überlebte mit lebensgefährlichen Verletzungen.
Pforzheim - Das zwei Monate alte Mädchen war beim Aufprall auf den Rasen sofort tot. Die Mutter starb später in einer Klinik an ihren schweren Verletzungen. Ein Nachbar sah zufällig, wie die Kinder und die Mutter in die Tiefe stürzten. Er alarmierte um 8.19 Uhr am Mittwoch die Rettungskräfte.
Der Ehemann war an seinem Arbeitsplatz und erlitt bei der Nachricht einen Schock. Er wurde von einem Notfall-Seelsorger betreut und konnte noch nicht vernommen werden, wie der Pforzheimer Oberstaatsanwalt Christoph Reichert sagte. Nach seinen Angaben handelt es sich um eine türkische Familie.
Die Ermittler fanden in der Wohnung Schriftstücke auf Türkisch - möglicherweise ein Abschiedsbrief der Frau. Diese müssten noch übersetzt werden, sagte der Oberstaatsanwalt. Über das Motiv der 27-Jährigen sei noch nichts bekannt. Es werde wegen eines vollendeten und eines versuchten Tötungsdelikts ermittelt. Die Leichen sollen obduziert werden.
"Nach den bisherigen Feststellungen hat die Frau zunächst den Säugling und dann das Kind vom Balkon geworfen", teilte die Polizei mit. Dies habe ein Augenzeuge ausgesagt, der auch den Rettungsdienst alarmierte. Ein Fremdverschulden schlossen die Beamten aus.
Das Drama in Pforzheim reiht sich ein in eine Serie von Familiendramen, von denen der sogenannte "Badewannen-Mord" derzeit in Stuttgart vor dem Landgericht verhandelt wird: Eine 42-jährige Mutter aus Schorndorf (Rems-Murr-Kreis) soll ihre fünfjährige Tochter und ihren vierjährigen Sohn im vergangenen Mai in der heimischen Badewanne ertränkt haben. Danach soll sie versucht haben, sich das Leben zu nehmen.
Junge Mutter wollte sich von Nachbarbalkon abseilen und stirbt
Im Märkischen Kreis ist eine 28-jährige Frau aus Werdohl bei einem Sturz aus 14 Metern Höhe ums Leben gekommen: Die Tür zu ihrer Wohnung, in der sich ihr einjähriger Sohn aufhielt, war zugefallen. Daraufhin versuchte sie, sich von einem Nachbarbalkon in der fünften Etage auf ihren eigenen Balkon abzuseilen, wie die Polizei am Mittwoch berichtete.
Das Seil riss, und die junge Frau prallte auf den Asphalt. Die Mutter von drei Kindern erlag noch an der Unfallstelle ihren schweren Verletzungen. Gegen den 79-jährigen Nachbarn, von dessen Balkon aus die 28-Jährige hinunterkletterte, leitete die Staatsanwaltschaft Hagen ein Ermittlungsverfahren ein. Es bestehe der Anfangsverdacht der fahrlässigen Tötung, sagte Oberstaatsanwalt Hans-Werner Münker.
Der Rentner habe der Frau das Seil gegeben, das offenbar jedoch viel zu dünn gewesen sei, um ihr Gewicht zu tragen. Ob es tatsächlich zu einer Anklage kommt, ist laut Staatsanwaltschaft aber noch unklar.
jjc/AP/dpa
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désespoir et inconscience... les périodes critiques septennales peuvent nous inciter à des tas de comportements, depuis les actes désespérés jusqu'aux actes dangereux voire inconscients.
ce même article du Spiegel cite le cas de cette femme de 27 ans (entrée dans la période critique septennale des 28 ans) qui a jeté son bébé du balcon, puis son second enfant de quatre ans, pour finir par sauter elle même. seul le fils de 4 ans a survécu grièvement blessé.
il y a peu c'est une femme de 42 ans qui a noyé ses deux enfants dans la baignoire, puis a tenté de se suicider.
le troisième cas est celui d'une femme de 28 ans bloquée sur son palier parce que la porte de son appartement dans lequel se trouvait son enfant s'est fermée. elle a demandé à son voisin du 5ème étage de lui prêter une corde pour se hisser depuis chez lui d'un balcon au sien : la corde pas assez solide s'est cassée et la femme - mère de trois enfants - s'est tuée en tombant sur l'asphalte.
la désinhibition à laquelle donne lieu la survenance et le séjour en période critique septennale est faite pour nous faire agir et bouger, réaliser ce que nous avons envie de faire depuis longtemps : parfois çà fonctionne dans le mauvais sens.
de même, face à un problème, nous risquons de nous surestimer car du fait de cette désinhibition et absence de freins les critères de danger sont très atténués... pas du tout les mêmes qu'en période "neutre".
corbeau
Menaces: le corbeau de Besson retrouvé
lefigaro.fr
La police scientifique a retrouvé le corbeau qui menaçait de mort, le ministre de l'immigration Eric Besson a annoncé ce matin RTL. La police a découvert dans un coin de la feuille, des traces de stylo, invisibles à l'œil nu. Le "corbeau" avait, en effet, fait l'erreur d'écrire cette lettre de menace sur un bloc-notes. Une erreur fatale car ses coordonnées, notées sur un autre courrier de ce bloc à papier, se sont, du coup, retrouvées en filigrane sur la fameuse lettre.
Agé de 70 ans, l'homme a reconnu les faits avant d'être remis en liberté. Opposé à la politique d'immigration mis en place par le ministre, il a assuré avoir seulement voulu lui faire peur.
=====================
le corbeau est aussi un animal septennal...
c'est en période critique septennale que nous viennent ou reviennent toutes sortes d'envies ou d'idées enfouies dans nos tréfonds, et c'est à ce moment là qu'il faut réfléchir par deux fois à nos actes car un effet de pulsion/désinhibition peut nous faire faire des choses que nous regretterions beaucoup par la suite... tout en nous demandant comment nous avons bien pu en arriver là... la réponse est alors souvent dans la période critique septennale.
lefigaro.fr
La police scientifique a retrouvé le corbeau qui menaçait de mort, le ministre de l'immigration Eric Besson a annoncé ce matin RTL. La police a découvert dans un coin de la feuille, des traces de stylo, invisibles à l'œil nu. Le "corbeau" avait, en effet, fait l'erreur d'écrire cette lettre de menace sur un bloc-notes. Une erreur fatale car ses coordonnées, notées sur un autre courrier de ce bloc à papier, se sont, du coup, retrouvées en filigrane sur la fameuse lettre.
Agé de 70 ans, l'homme a reconnu les faits avant d'être remis en liberté. Opposé à la politique d'immigration mis en place par le ministre, il a assuré avoir seulement voulu lui faire peur.
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le corbeau est aussi un animal septennal...
c'est en période critique septennale que nous viennent ou reviennent toutes sortes d'envies ou d'idées enfouies dans nos tréfonds, et c'est à ce moment là qu'il faut réfléchir par deux fois à nos actes car un effet de pulsion/désinhibition peut nous faire faire des choses que nous regretterions beaucoup par la suite... tout en nous demandant comment nous avons bien pu en arriver là... la réponse est alors souvent dans la période critique septennale.
sniper
24Heures :
Méthode "sournoise"
Pour le procureur, le soldat qui venait de terminer son école de recrues a agi de manière particulièrement sournoise et avec sang-froid ce 23 novembre 2007. Il a quitté son appartement dans la ferme intention d’aller abattre quelqu’un au hasard. Et juste après avoir tué l’adolescente de 16 ans qu’il ne connaissait même pas, il est revenu sur les lieux du crime pour demander ce qui s’était passé aux policiers et à l’ami de la victime. Rapidement suspecté, il avait été arrêté deux jours plus tard.
Le prévenu, de son côté, ne s’explique pas son geste: "je ne sais pas pourquoi je l’ai fait", a-t-il déclaré mardi à la Cour. Le 23 novembre 2007, il avait tiré avec son fusil d’assaut depuis une colline distante d’environ 80 mètres sur l’apprentie qui se trouvait avec son ami dans un abribus à Zurich-Höngg. Il avait subtilisé la balle mortelle lors d’un exercice de tir durant son école de recrues
====================
jour critique émotionnel ou physique ?
il serait intéressant de le vérifier au moyen de la simple date de naissance car ce serait une explication partielle mais d'importance, de ce geste.
en tous cas la période critique septennale y est, ce qui est déjà un élément.
Méthode "sournoise"
Pour le procureur, le soldat qui venait de terminer son école de recrues a agi de manière particulièrement sournoise et avec sang-froid ce 23 novembre 2007. Il a quitté son appartement dans la ferme intention d’aller abattre quelqu’un au hasard. Et juste après avoir tué l’adolescente de 16 ans qu’il ne connaissait même pas, il est revenu sur les lieux du crime pour demander ce qui s’était passé aux policiers et à l’ami de la victime. Rapidement suspecté, il avait été arrêté deux jours plus tard.
Le prévenu, de son côté, ne s’explique pas son geste: "je ne sais pas pourquoi je l’ai fait", a-t-il déclaré mardi à la Cour. Le 23 novembre 2007, il avait tiré avec son fusil d’assaut depuis une colline distante d’environ 80 mètres sur l’apprentie qui se trouvait avec son ami dans un abribus à Zurich-Höngg. Il avait subtilisé la balle mortelle lors d’un exercice de tir durant son école de recrues
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jour critique émotionnel ou physique ?
il serait intéressant de le vérifier au moyen de la simple date de naissance car ce serait une explication partielle mais d'importance, de ce geste.
en tous cas la période critique septennale y est, ce qui est déjà un élément.
dépression
Michael Beasley (né le 9 janvier 1989 à Frederick, Maryland) est un basketteur américain.
---------------
sport24.com :
Beasley au fond du trou
Promis à un grand avenir et à un statut de titulaire à l’aile avec Miami la saison prochaine, Michael Beasley a pourtant sombré dans la dépression. Le numéro 2 de la draft 2008 a été admis dans un hôpital de Houston ces derniers jours.
«J’ai le sentiment que cela ne sert à rien de vivre. Je suis fini. J’ai l’impression que tout le monde est contre moi.»
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une assez typique entrée dans la période critique septennale des 21 ans : çà peut arriver à 20 ans et demi, surtout.
l'entrée dans une période critique septennale se fait environ six mois avant l'anniversaire septennal et peut donner lieu à des états d'âme dépressifs assez fulgurants... et durables - la période critique dure en moyenne une année sinon plus. cela dépend de l'état, de la sensibilité et de la personnalité...
et çà ne touche pas systématiquement tout le monde, je ne sais pourquoi, mais il se passe quand même la plupart du temps un "ressenti" qui peut revêtir des formes très diverses.
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sport24.com :
Beasley au fond du trou
Promis à un grand avenir et à un statut de titulaire à l’aile avec Miami la saison prochaine, Michael Beasley a pourtant sombré dans la dépression. Le numéro 2 de la draft 2008 a été admis dans un hôpital de Houston ces derniers jours.
«J’ai le sentiment que cela ne sert à rien de vivre. Je suis fini. J’ai l’impression que tout le monde est contre moi.»
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une assez typique entrée dans la période critique septennale des 21 ans : çà peut arriver à 20 ans et demi, surtout.
l'entrée dans une période critique septennale se fait environ six mois avant l'anniversaire septennal et peut donner lieu à des états d'âme dépressifs assez fulgurants... et durables - la période critique dure en moyenne une année sinon plus. cela dépend de l'état, de la sensibilité et de la personnalité...
et çà ne touche pas systématiquement tout le monde, je ne sais pourquoi, mais il se passe quand même la plupart du temps un "ressenti" qui peut revêtir des formes très diverses.
infanticide et suicide
au sujet de ce drame qui a traumatisé toute La Réunion je découvre (SKCenter) des données qui m'intéressent beaucoup... et qui - pour moi en tous cas - expliquent :
- “Nono” est né le 21 septembre 1958 dans le quartier du Butor,
- la maman a 42 ans
Antoine Volry n'a donc pas 55 ans comme précisé initialement mais - si la donnée est juste - aurait eu 51 ans en septembre prochain. cette date permet de regarder la situation de la personne le jour du drame (la nuit de dimanche à lundi) :
août 2009
Ve 21
Sa 22
Di 23 E(8)
Lu 24
et il s'agit effectivement d'un jour critique émotionnel dimanche "jour des explosions"... le jour critique émotionnel est pour cela aussi le jour du suicide.
le second élément est le fait - que je regarde aussi si je peux - l'épouse se trouve en période critique septennale. c'est un élément qui peut contribuer à accentuer les problèmes dans un couple, et en tous cas n'arrange pas une séparation.
- une naissance le 21 septembre 1958 signifie que l'intéressé aurait eu 51 ans le 21 septembre prochain : or je sait aussi que la tension monte à l'approche d'une date anniversaire.
et enfin... certainement à l'origine des problèmes ayant débouché sur une séparation, le fait que l'intéressé soit passé par sa période critique septennale des 49 ans de 48 ans et demi à 50 ans : soit de avril 2007 à septembre 2008. et la séparation qui s'en suit ne fait qu'aggraver les choses.
la compatibilité entre les deux époux fait que leurs deux périodes critiques septennales se succèdent : le mari est d'abord dans une période à risque, puis l'épouse... et il n'est pas impossible que les deux périodes se chevauchent durant un laps de temps.
ces aspects semblent ressortir de ces alinéas :
"Depuis leur retour de métropole, rien ne va plus entre Christine et Antoine. Le couple se déchire sous les yeux de leurs quatre enfants. La mère de famille décrit son époux comme quelqu’un de violent. Il y a un an, elle décide de rompre. L’ancien postier, affecté au centre de tri du Chaudron, prend la séparation comme un échec cuisant. Le divorce est prononcé et la garde des enfants partagée. Sur le plan professionnel, Antoine Volry subit également un revers. Il se dit victime de harcèlement. Ou bien le prétend-il, pour cacher une dépression plus profonde ? Toujours est-il qu’il bénéficie d’un arrêt de maladie. Vivant seul dans sa grande maison, il s’installe dans une dépendance située au fond de la cour et laisse le reste à deux locataires. Pour les enfants, les parents restent en contact."
....
Au début des années 90, “Nono” regagne son île natale. Il est affecté au centre de tri du Chaudron. C’est à cette époque qu’il fait la connaissance de Christine Morel. Le couple se met en concubinage. De leur union naissent quatre enfants. En 2006, Jules-Antoine Vaulry fait l’acquisition de la coquette case de la rue Emile-Hoarau. Toute la famille s’y installe. Le bonheur est de courte durée. Les disputes se multiplient et le couple bat de l’aile. Il y a environ un an, Christine quitte le domicile conjugal avec ses enfants. Jules-Antoine Vaulry se retrouve seul dans sa grande maison. Il s’installe dans une dépendance située au fond de la cour et loue chacun des deux niveaux du pavillon."
il s'agit donc probablement d'un drame où le point de départ est l'entrée dans la période critique septennale de l'auteur : s'en suit des problèmes de couple et la séparation. puis arrive le drame, un jour de tension explosive le dimanche - les natifs du dimanche sont particulièrement mal lotis voir mes posts à ce sujet (le dimanche - jour où l'on se retrouve en famille - sera toujours leur "jour de colère".)
si l'on veut essayer de modifier le cours d'un tel scénario il faut agir loin en amont :
- savoir que le dimanche est sa vie durant un jour à risque de conflit, voire d'explosion.(c'est toujours le jour où l'on est né en raison d'un cycle des émotions de sept jours).
- savoir qu'après 48 ans peut arriver une période de grosses turbulences avec l'entrée à 48 ans et demi dans une période critique septennale. les risques sont un changement de personnalité momentané (de quelques mois à un ou même deux ans - plus si on s'enlise) qui peut entraîner une mésentente dans un couple, mésentente pouvant aller jusqu'à la séparation. (la période critique septennale est un élément très souvent sinon majoritairement présent lors d'une séparation). (le sentiment d'être harcelé au travail en est aussi un syptôme.)
si les deux personnes du couple sont conscientes de ce mécanisme on peut éviter le désastre ou on peut atténuer les effets dévastateurs d'une séparation.
- savoir (ici pour l'épouse) que l'on entre dans une période délicate après 41 ans (41 ans et demi qui est l'entrée dans la période critique septennale des 42 ans).
- prise en compte du jour critique émotionnel de l'épouse, pour éviter et sortir d'éventuelles disputes.
en résumé cela revient à appliquer la règle de calcul que je cite dans l'encadré, en bas de la présente page...
édit : j'ai vu ailleurs que l'on accusait l'intéressé de préméditation du fait qu'il a écrit le même dimanche une lettre expliquant son geste. je pense cependant que tout ce qui se passe durant la journée critique du dimanche fait partie de cet état de transe dans lequel on peut se trouver et ce n'est donc pas tout à fait de la préméditation l'état de conscience étant perturbé depuis samedi soir jusqu'à dimanche soir, durée de la journée critique.
- “Nono” est né le 21 septembre 1958 dans le quartier du Butor,
- la maman a 42 ans
Antoine Volry n'a donc pas 55 ans comme précisé initialement mais - si la donnée est juste - aurait eu 51 ans en septembre prochain. cette date permet de regarder la situation de la personne le jour du drame (la nuit de dimanche à lundi) :
août 2009
Ve 21
Sa 22
Di 23 E(8)
Lu 24
et il s'agit effectivement d'un jour critique émotionnel dimanche "jour des explosions"... le jour critique émotionnel est pour cela aussi le jour du suicide.
le second élément est le fait - que je regarde aussi si je peux - l'épouse se trouve en période critique septennale. c'est un élément qui peut contribuer à accentuer les problèmes dans un couple, et en tous cas n'arrange pas une séparation.
- une naissance le 21 septembre 1958 signifie que l'intéressé aurait eu 51 ans le 21 septembre prochain : or je sait aussi que la tension monte à l'approche d'une date anniversaire.
et enfin... certainement à l'origine des problèmes ayant débouché sur une séparation, le fait que l'intéressé soit passé par sa période critique septennale des 49 ans de 48 ans et demi à 50 ans : soit de avril 2007 à septembre 2008. et la séparation qui s'en suit ne fait qu'aggraver les choses.
la compatibilité entre les deux époux fait que leurs deux périodes critiques septennales se succèdent : le mari est d'abord dans une période à risque, puis l'épouse... et il n'est pas impossible que les deux périodes se chevauchent durant un laps de temps.
ces aspects semblent ressortir de ces alinéas :
"Depuis leur retour de métropole, rien ne va plus entre Christine et Antoine. Le couple se déchire sous les yeux de leurs quatre enfants. La mère de famille décrit son époux comme quelqu’un de violent. Il y a un an, elle décide de rompre. L’ancien postier, affecté au centre de tri du Chaudron, prend la séparation comme un échec cuisant. Le divorce est prononcé et la garde des enfants partagée. Sur le plan professionnel, Antoine Volry subit également un revers. Il se dit victime de harcèlement. Ou bien le prétend-il, pour cacher une dépression plus profonde ? Toujours est-il qu’il bénéficie d’un arrêt de maladie. Vivant seul dans sa grande maison, il s’installe dans une dépendance située au fond de la cour et laisse le reste à deux locataires. Pour les enfants, les parents restent en contact."
....
Au début des années 90, “Nono” regagne son île natale. Il est affecté au centre de tri du Chaudron. C’est à cette époque qu’il fait la connaissance de Christine Morel. Le couple se met en concubinage. De leur union naissent quatre enfants. En 2006, Jules-Antoine Vaulry fait l’acquisition de la coquette case de la rue Emile-Hoarau. Toute la famille s’y installe. Le bonheur est de courte durée. Les disputes se multiplient et le couple bat de l’aile. Il y a environ un an, Christine quitte le domicile conjugal avec ses enfants. Jules-Antoine Vaulry se retrouve seul dans sa grande maison. Il s’installe dans une dépendance située au fond de la cour et loue chacun des deux niveaux du pavillon."
il s'agit donc probablement d'un drame où le point de départ est l'entrée dans la période critique septennale de l'auteur : s'en suit des problèmes de couple et la séparation. puis arrive le drame, un jour de tension explosive le dimanche - les natifs du dimanche sont particulièrement mal lotis voir mes posts à ce sujet (le dimanche - jour où l'on se retrouve en famille - sera toujours leur "jour de colère".)
si l'on veut essayer de modifier le cours d'un tel scénario il faut agir loin en amont :
- savoir que le dimanche est sa vie durant un jour à risque de conflit, voire d'explosion.(c'est toujours le jour où l'on est né en raison d'un cycle des émotions de sept jours).
- savoir qu'après 48 ans peut arriver une période de grosses turbulences avec l'entrée à 48 ans et demi dans une période critique septennale. les risques sont un changement de personnalité momentané (de quelques mois à un ou même deux ans - plus si on s'enlise) qui peut entraîner une mésentente dans un couple, mésentente pouvant aller jusqu'à la séparation. (la période critique septennale est un élément très souvent sinon majoritairement présent lors d'une séparation). (le sentiment d'être harcelé au travail en est aussi un syptôme.)
si les deux personnes du couple sont conscientes de ce mécanisme on peut éviter le désastre ou on peut atténuer les effets dévastateurs d'une séparation.
- savoir (ici pour l'épouse) que l'on entre dans une période délicate après 41 ans (41 ans et demi qui est l'entrée dans la période critique septennale des 42 ans).
- prise en compte du jour critique émotionnel de l'épouse, pour éviter et sortir d'éventuelles disputes.
en résumé cela revient à appliquer la règle de calcul que je cite dans l'encadré, en bas de la présente page...
édit : j'ai vu ailleurs que l'on accusait l'intéressé de préméditation du fait qu'il a écrit le même dimanche une lettre expliquant son geste. je pense cependant que tout ce qui se passe durant la journée critique du dimanche fait partie de cet état de transe dans lequel on peut se trouver et ce n'est donc pas tout à fait de la préméditation l'état de conscience étant perturbé depuis samedi soir jusqu'à dimanche soir, durée de la journée critique.
mardi 25 août 2009
suicide
LaCroix.com :
24/08/2009 19:34
PARIS (AFP) - Suicide de Jean-Pierre Bagard, président de Coca-Cola France
Le président de Coca-Cola Entreprise France, Jean-Pierre Bagard, est décédé lundi matin à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), a annoncé l'entreprise dans un communiqué, en précisant qu'il avait "décidé de mettre fin à ses jours".
Né le 26 juin 1959, Jean-Pierre Bagard avait fait toute sa carrière chez Coca-Cola où il était entré comme stagiaire à la sortie de son école de commerce, ICN Business School à Nancy.
Il avait pris la tête de Coca-Cola France en 2007.
"Jean-Pierre Bagard a décidé de mettre fin à ses jours", précise le communiqué.
Il était marié et père de deux garçons.
=================
la période critique des 49 ans s'est terminée fin juin dernier... sauf si elle s'est mal passée, mais dans ce cas il y aurait eu dépression depuis plus d'un an, sait-on jamais ? en tous cas le coca-cola ne semble pas rendre heureux...
situation neutre le 24 août.
août 2009 :
Je 20
Ve 21 P(12) E(8)
Sa 22
Di 23
Lu 24
Ma 25 I(9)
Me 26
Je 27 P(18)
Ve 28 P(19) E(15)
Sa 29
24/08/2009 19:34
PARIS (AFP) - Suicide de Jean-Pierre Bagard, président de Coca-Cola France
Le président de Coca-Cola Entreprise France, Jean-Pierre Bagard, est décédé lundi matin à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), a annoncé l'entreprise dans un communiqué, en précisant qu'il avait "décidé de mettre fin à ses jours".
Né le 26 juin 1959, Jean-Pierre Bagard avait fait toute sa carrière chez Coca-Cola où il était entré comme stagiaire à la sortie de son école de commerce, ICN Business School à Nancy.
Il avait pris la tête de Coca-Cola France en 2007.
"Jean-Pierre Bagard a décidé de mettre fin à ses jours", précise le communiqué.
Il était marié et père de deux garçons.
=================
la période critique des 49 ans s'est terminée fin juin dernier... sauf si elle s'est mal passée, mais dans ce cas il y aurait eu dépression depuis plus d'un an, sait-on jamais ? en tous cas le coca-cola ne semble pas rendre heureux...
situation neutre le 24 août.
août 2009 :
Je 20
Ve 21 P(12) E(8)
Sa 22
Di 23
Lu 24
Ma 25 I(9)
Me 26
Je 27 P(18)
Ve 28 P(19) E(15)
Sa 29
fugue
PYRENEES-ORIENTALES
Julie a été retrouvée à Toulouse, elle aurait fugué
NOUVELOBS.COM
Disparue depuis le 19 août, l'adolescente a été retrouvée dans une rue de Toulouse. La police a été alertée par les habitants du quartier de la présence d'une jeune fille correspondant au signalement.
Julie Doudoux a été retrouvée à Toulouse (DR)
L'adolescente de 14 ans qui avait disparu depuis le 19 août au Camping d'Elne (Pyrénées-Orientales), a été retrouvée vivante à Toulouse par la police, annonce mardi 25 août le procureur de la République de Perpignan, Jean-Pierre Dreno.
=================
çà se termine bien, heureusement. il faut dire que les fugues sont assez courantes chez les adolescents (c'est une période critique septennale des plus importantes).
on peut avoir une première idée en regardant le jour critique émotionnel car les fugueurs ont tendance à partir ce jour là : c'est un jour de décision et de passage aux actes.
Julie devrait dans ce cas être une native du jeudi puisqu'elle a fugué mercredi soir...
Julie a été retrouvée à Toulouse, elle aurait fugué
NOUVELOBS.COM
Disparue depuis le 19 août, l'adolescente a été retrouvée dans une rue de Toulouse. La police a été alertée par les habitants du quartier de la présence d'une jeune fille correspondant au signalement.
Julie Doudoux a été retrouvée à Toulouse (DR)
L'adolescente de 14 ans qui avait disparu depuis le 19 août au Camping d'Elne (Pyrénées-Orientales), a été retrouvée vivante à Toulouse par la police, annonce mardi 25 août le procureur de la République de Perpignan, Jean-Pierre Dreno.
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çà se termine bien, heureusement. il faut dire que les fugues sont assez courantes chez les adolescents (c'est une période critique septennale des plus importantes).
on peut avoir une première idée en regardant le jour critique émotionnel car les fugueurs ont tendance à partir ce jour là : c'est un jour de décision et de passage aux actes.
Julie devrait dans ce cas être une native du jeudi puisqu'elle a fugué mercredi soir...
meurtre et cannibalisme
SKCenter :
Meurtre avec actes de barbarie
L'impensable s'est produit dans l'une des 372 cellules de la maison d'arrêt de Rouen Dès janvier, l'affaire sera jugée à Rouen
Nicolas Cocaign sera seul dans le box des accusés lorsque la cour d'assises de la Seine-Maritime, à Rouen, examinera le crime qu'il a reconnu avoir commis dans la nuit du 2 au 3 janvier 2007, à la maison d'arrêt Bonne-Nouvelle.
Un temps mis en examen pour « assassinat » et « atteinte à l'intégrité d'un cadavre », cet homme qui aura 38 ans le 8 novembre prochain est désormais poursuivi pour « meurtre » et « actes de torture ou de barbarie ». Théoriquement, il encourt donc la réclusion criminelle à perpétuité. Toutefois, les sept psychiatres qui l'ont rencontré relèvent, tous, des traits de psychopathie dans sa personnalité et deux contre-expertises ont conclu à une « altération de son discernement » au moment des faits.
Nicolas Cocaign est-il fou ? La question, évidemment, sera abordée lors du procès, programmé début 2010. Une autre interrogation sera également soulevée par l'avocat de la défense Me Fabien Picchiottino : Nicolas Cocaign a-t-il voulu faire souffrir sa victime ?
L'accusé a en effet tenté d'étrangler et d'étouffer son codétenu avant de lui arracher un bout de poumon et de le manger. Et, selon les médecins-légistes qui ont pratiqué l'autopsie, l'acte de cannibalisme peut avoir été effectué du vivant de Thierry Baudry. Pour autant, Nicolas Cocaign - à la lisière du mysticisme - a expliqué lors de l'instruction aujourd'hui bouclée qu'il pensait ainsi prendre son âme (il croyait avoir extrait son cœur) et qu'il voulait « faire vite pour qu'il ne souffre pas ». Le meurtre a-t-il été accompagné de tortures ? Il y a quelques semaines, Me Picchiottino prévenait : « Je conteste cette poursuite car ce qui fait retenir au juge les actes de barbarie, ce n'est pas le cannibalisme, mais les coups, les tentatives de strangulation et d'étouffement. Ces violences ne peuvent être retenues car elles n'ont pas le caractère de gravité exceptionnelle exigé par la loi. »
Source : Paris Normandie
=========================
je suis toujours content de trouver des dates de naissance, pour étayer mes théories... ici cela nous donne une naissance du 8 novembre 1971 si la donnée est juste... mais je pense qu'elle l'est puisque le résultat correspond :
Janvier 2007
Lu 1 E(15)
Ma 2 P(6)
Me 3 P(7)
Je 4
Ve 5
jour critique physique P6/7 après un critique émotionnel E15... bref un effet cocaïne pour Cocaïgn... qui se trouve dans sa période critique septennale des 35 ans (35 ans et deux mois)- période de tous les délires et coups de folie possibles...
la période critique septennale étant terminée il n'est pas exclu que l'individu soit aujourd'hui changé, différent : ce serait même la norme. sauf que dans certains cas la situation "à risque" peut se poursuivre au-delà si on est "malade", et même se poursuivre jusqu'à la période critique septennale suivante, un peu comme un épisode "à durée déterminée" dans la vie d'un individu.
Meurtre avec actes de barbarie
L'impensable s'est produit dans l'une des 372 cellules de la maison d'arrêt de Rouen Dès janvier, l'affaire sera jugée à Rouen
Nicolas Cocaign sera seul dans le box des accusés lorsque la cour d'assises de la Seine-Maritime, à Rouen, examinera le crime qu'il a reconnu avoir commis dans la nuit du 2 au 3 janvier 2007, à la maison d'arrêt Bonne-Nouvelle.
Un temps mis en examen pour « assassinat » et « atteinte à l'intégrité d'un cadavre », cet homme qui aura 38 ans le 8 novembre prochain est désormais poursuivi pour « meurtre » et « actes de torture ou de barbarie ». Théoriquement, il encourt donc la réclusion criminelle à perpétuité. Toutefois, les sept psychiatres qui l'ont rencontré relèvent, tous, des traits de psychopathie dans sa personnalité et deux contre-expertises ont conclu à une « altération de son discernement » au moment des faits.
Nicolas Cocaign est-il fou ? La question, évidemment, sera abordée lors du procès, programmé début 2010. Une autre interrogation sera également soulevée par l'avocat de la défense Me Fabien Picchiottino : Nicolas Cocaign a-t-il voulu faire souffrir sa victime ?
L'accusé a en effet tenté d'étrangler et d'étouffer son codétenu avant de lui arracher un bout de poumon et de le manger. Et, selon les médecins-légistes qui ont pratiqué l'autopsie, l'acte de cannibalisme peut avoir été effectué du vivant de Thierry Baudry. Pour autant, Nicolas Cocaign - à la lisière du mysticisme - a expliqué lors de l'instruction aujourd'hui bouclée qu'il pensait ainsi prendre son âme (il croyait avoir extrait son cœur) et qu'il voulait « faire vite pour qu'il ne souffre pas ». Le meurtre a-t-il été accompagné de tortures ? Il y a quelques semaines, Me Picchiottino prévenait : « Je conteste cette poursuite car ce qui fait retenir au juge les actes de barbarie, ce n'est pas le cannibalisme, mais les coups, les tentatives de strangulation et d'étouffement. Ces violences ne peuvent être retenues car elles n'ont pas le caractère de gravité exceptionnelle exigé par la loi. »
Source : Paris Normandie
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je suis toujours content de trouver des dates de naissance, pour étayer mes théories... ici cela nous donne une naissance du 8 novembre 1971 si la donnée est juste... mais je pense qu'elle l'est puisque le résultat correspond :
Janvier 2007
Lu 1 E(15)
Ma 2 P(6)
Me 3 P(7)
Je 4
Ve 5
jour critique physique P6/7 après un critique émotionnel E15... bref un effet cocaïne pour Cocaïgn... qui se trouve dans sa période critique septennale des 35 ans (35 ans et deux mois)- période de tous les délires et coups de folie possibles...
la période critique septennale étant terminée il n'est pas exclu que l'individu soit aujourd'hui changé, différent : ce serait même la norme. sauf que dans certains cas la situation "à risque" peut se poursuivre au-delà si on est "malade", et même se poursuivre jusqu'à la période critique septennale suivante, un peu comme un épisode "à durée déterminée" dans la vie d'un individu.
accidents
une question qui me vient à l'esprit après avoir rencontré ces derniers temps certains accidents : du coup je pense qu'il serait intéressant ausi d'effectuer des statistiques qui tiennent compte des périodes critiques septennales...
je suspecte en effet qu'il y a plus d'accidents - accidents d'un certain type du moins - en période critique septennale : cela est lié à mon avis à cet état particulier dans lequel nous nous trouvons à ce moment-là : plus de prise de risque, et moins d'inhibition, c'est à dire moins de prudence, de méfiance, de peur...
les accidents seraient alors plus fréquents aux âges septennaux : les âges de la table de sept... (sachant que la période critique semble démarrer assez précisément déjà six mois avant un anniversaire septennal...)
je suspecte en effet qu'il y a plus d'accidents - accidents d'un certain type du moins - en période critique septennale : cela est lié à mon avis à cet état particulier dans lequel nous nous trouvons à ce moment-là : plus de prise de risque, et moins d'inhibition, c'est à dire moins de prudence, de méfiance, de peur...
les accidents seraient alors plus fréquents aux âges septennaux : les âges de la table de sept... (sachant que la période critique semble démarrer assez précisément déjà six mois avant un anniversaire septennal...)
lundi 24 août 2009
infanticide et suicide
Un homme tue ses 3 enfants et se suicide à La Réunion
Article posté par Stéphane Bourgoin le Lundi 24 août 2009 Librairie 3ème oeil.
" Un homme séparé de sa concubine depuis plusieurs mois a tué dans la nuit de dimanche à lundi à Saint-Joseph trois de ses enfants et blessé grièvement son épouse et un quatrième enfant avant de se suicider, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.
Les circonstances précises du drame ne sont pas encore établies, a indiqué le parquet de Saint-Pierre qui doit organiser un point-presse dans la journée.
Selon les premiers éléments de l'enquête, l'auteur des faits est un fonctionnaire retraité des douanes âgé de 55 ans, qui ne supportait pas la séparation avec sa concubine, avec qui il avait eu quatre enfants.
Lundi, vers 02H00 du matin, il s'est rendu au domicile de celle-ci, dans le quartier du Butor à Saint-Joseph (sud de l'île) et l'a grièvement blessée, probablement avec une arme blanche après avoir tué son fils aîné de 17 ans, selon une source proche de l'enquête.
L'homme est ensuite reparti à son domicile où il a tué ses deux enfants âgés de 5 et 6 ans et blessé son fils de 12 ans avant de retourner l'arme contre lui.
Plusieurs coups de feu et des cris ont été entendus par les voisins qui ont prévenu aussitôt les gendarmes. D'importants moyens ont alors été déployés pour investir la maison, les gendarmes croyant que le forcené avait pris ses enfants en otages. Mais à leur arrivée dans les lieux, il s'était déjà suicidé.
C'est le troisième drame de la séparation qui intervient en quelques semaines dans le sud de l'île. Un homme s'est immolé avec son bébé dans une voiture récemment à Saint-Philippe, et une jeune femme a été poignardé à mort fin juillet par son concubin qu'elle avait quitté. Une "marche blanche" rassemblant 300 personnes s'est déroulée samedi pour lui rendre hommage."
Source : AFP (24 août 2009)
===========================
55 ans et demi est l'entrée dans une période critique.
jour critique émotionnel ?
particulièrement dramatique d'en arriver là à l'âge de la retraite après avoir passé sa vie ensemble ! particulièrement dramatique si c'est séparation liée à la période critique septennale, ce mirage qui peut nous faire momentanément devenir invivable, ce qui va déboucher sur une séparation et parfois un drame !
c'est à étudier mais je suis persuadé qu'une fois le mirage passé tout pourrait rentrer dans l'ordre... à condition que l'on soit informé du phénomène pour y être préparé...
(sous réserve ici, de l'exactitude de l'âge car plusieurs cités)
Article posté par Stéphane Bourgoin le Lundi 24 août 2009 Librairie 3ème oeil.
" Un homme séparé de sa concubine depuis plusieurs mois a tué dans la nuit de dimanche à lundi à Saint-Joseph trois de ses enfants et blessé grièvement son épouse et un quatrième enfant avant de se suicider, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.
Les circonstances précises du drame ne sont pas encore établies, a indiqué le parquet de Saint-Pierre qui doit organiser un point-presse dans la journée.
Selon les premiers éléments de l'enquête, l'auteur des faits est un fonctionnaire retraité des douanes âgé de 55 ans, qui ne supportait pas la séparation avec sa concubine, avec qui il avait eu quatre enfants.
Lundi, vers 02H00 du matin, il s'est rendu au domicile de celle-ci, dans le quartier du Butor à Saint-Joseph (sud de l'île) et l'a grièvement blessée, probablement avec une arme blanche après avoir tué son fils aîné de 17 ans, selon une source proche de l'enquête.
L'homme est ensuite reparti à son domicile où il a tué ses deux enfants âgés de 5 et 6 ans et blessé son fils de 12 ans avant de retourner l'arme contre lui.
Plusieurs coups de feu et des cris ont été entendus par les voisins qui ont prévenu aussitôt les gendarmes. D'importants moyens ont alors été déployés pour investir la maison, les gendarmes croyant que le forcené avait pris ses enfants en otages. Mais à leur arrivée dans les lieux, il s'était déjà suicidé.
C'est le troisième drame de la séparation qui intervient en quelques semaines dans le sud de l'île. Un homme s'est immolé avec son bébé dans une voiture récemment à Saint-Philippe, et une jeune femme a été poignardé à mort fin juillet par son concubin qu'elle avait quitté. Une "marche blanche" rassemblant 300 personnes s'est déroulée samedi pour lui rendre hommage."
Source : AFP (24 août 2009)
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55 ans et demi est l'entrée dans une période critique.
jour critique émotionnel ?
particulièrement dramatique d'en arriver là à l'âge de la retraite après avoir passé sa vie ensemble ! particulièrement dramatique si c'est séparation liée à la période critique septennale, ce mirage qui peut nous faire momentanément devenir invivable, ce qui va déboucher sur une séparation et parfois un drame !
c'est à étudier mais je suis persuadé qu'une fois le mirage passé tout pourrait rentrer dans l'ordre... à condition que l'on soit informé du phénomène pour y être préparé...
(sous réserve ici, de l'exactitude de l'âge car plusieurs cités)
Bruce Mendenhall
wikipédia :
Bruce Mendenhall is an accused American serial killer. He has been implicated in the deaths of seven women at truck stops in Alabama, Tennessee, Indiana, and Georgia.[2] He is still under investigation for murders in Illinois, New Mexico, Oklahoma, and Texas.
...
Victims
Mendenhall's victims were primarily young prostitutes, usually found shot, though detectives have determined that his method of killing may have changed over the years. During questioning, he implicated himself in the shooting death of Hulbert, whose body was found on June 26, 2007.
He has also implicated himself in the shooting death of Symantha Winters, whose body was found June 6, 2007 in a trash can at a truck stop in Lebanon, Tennessee. She had a criminal record showing at least one previous charge of prostitution. On August 17, 2007, a Wilson County grand jury indicted Mendenhall for the murder of Winters.
The body of another victim he admits to murdering July 11, 2007 and leaving in a car at a Flying J truck stop on Interstate 465 in Indianapolis, Indiana has yet to be found or identified. Investigators said Mendenhall was initially cooperative but that he subsequently ceased to implicate himself in other murders. On July 28, police in Birmingham, Alabama charged Mendenhall with the murder of Lucille "Gretna" Carter, who was found nude in a trash bin with a plastic bag taped around her head on July 1. She was shot with a .22-caliber pistol.
Police are investigating the possibility that Mendenhall is responsible for other murders in the region including:
Deborah Ann Glover, an Atlanta prostitute whose body was found near a Motel 6 in Suwanee, Georgia on January 29, 2007. Police are certain that Mendenhall was in Georgia on the day Glover was shot.
Sherry Drinkard, a prostitute from Gary, Indiana whose body was found naked in a snow embankment
Tammy Zywicki, a student who was found stabbed to death on September 2, 1992. She vanished from Interstate 80 near LaSalle, Illinois nine days before, after dropping off her brother at Northwestern University.
Jennifer Smith, a prostitute found nude at a truck stop in Bucksnort, Tennessee in April 2005.
Robin Bishop, a prostitute who was run over at a truck stop on Interstate 40 in Fairview, Tennessee on July 1, 2007.
Belinda Cartwright, a hitchhiker who was run over at a truck stop in Georgia in 2001. A composite police sketch made of the suspect based on information from witnesses bears a striking resemblance to Mendenhall.
Carma Purpura, a 31-year old mother of two, who was last seen July 11, 2007 at a Far-Southside Indianapolis truck stop. On April 10, 2008, Marion County Prosecutor Carl Brizzi has charged Mendenhall with murder in the case. The woman's body has never been recovered, but DNA tests link a large quantity of the blood from Mendenhall's truck cab to the woman's parents. Investigators also found her cell phone, ATM card and clothing she wore on the day she disappeared.
============
né le 14 avril 1951, à défaut de connaître les jours des meurtres ou disparitions, on peut regarder et essayer de comparer les périodes critiques septennales de l'intéressé :
1951
1972 (21 ans)
1979 (28 ans)
1986 (35 ans)
1993 (42 ans)
2000 (49 ans)
2007 (56 ans)
les périodes critiques septennales sont des périodes "pulsions/désinhibition" plus qu'à d'autres moments, ce qui fait que souvent les passages à l'acte se font à ce moment-là, bien plus qu'à d'autre...
les "démarrages" ont lieu souvent en période critique septennale parce qu'il s'agit de l'arrivée d'un moment de "faiblesse" : le mécanisme de pulsion désinhibition va pousser la personne qui s'est tenue à carreau jusqu'ici.
j'ai aussi remarqué que le moment de l'entrée dans une période critique septennale (environ six mois avant l'anniversaire septennal) est un moment particulièrement "à risque"...
jour critique émotionnel : samedi.
le jour critique émotionnel est, à l'intérieur d'une période critique, mais aussi en général, un autre élément déclencheur (jour de pulsions/désinhibition) c'est en fait une période à risque "courte" puisque équivalent en une journée de la période critique longue qu'est la période septennale (quelques mois à un an et demi voire deux ans).
Bruce Mendenhall is an accused American serial killer. He has been implicated in the deaths of seven women at truck stops in Alabama, Tennessee, Indiana, and Georgia.[2] He is still under investigation for murders in Illinois, New Mexico, Oklahoma, and Texas.
...
Victims
Mendenhall's victims were primarily young prostitutes, usually found shot, though detectives have determined that his method of killing may have changed over the years. During questioning, he implicated himself in the shooting death of Hulbert, whose body was found on June 26, 2007.
He has also implicated himself in the shooting death of Symantha Winters, whose body was found June 6, 2007 in a trash can at a truck stop in Lebanon, Tennessee. She had a criminal record showing at least one previous charge of prostitution. On August 17, 2007, a Wilson County grand jury indicted Mendenhall for the murder of Winters.
The body of another victim he admits to murdering July 11, 2007 and leaving in a car at a Flying J truck stop on Interstate 465 in Indianapolis, Indiana has yet to be found or identified. Investigators said Mendenhall was initially cooperative but that he subsequently ceased to implicate himself in other murders. On July 28, police in Birmingham, Alabama charged Mendenhall with the murder of Lucille "Gretna" Carter, who was found nude in a trash bin with a plastic bag taped around her head on July 1. She was shot with a .22-caliber pistol.
Police are investigating the possibility that Mendenhall is responsible for other murders in the region including:
Deborah Ann Glover, an Atlanta prostitute whose body was found near a Motel 6 in Suwanee, Georgia on January 29, 2007. Police are certain that Mendenhall was in Georgia on the day Glover was shot.
Sherry Drinkard, a prostitute from Gary, Indiana whose body was found naked in a snow embankment
Tammy Zywicki, a student who was found stabbed to death on September 2, 1992. She vanished from Interstate 80 near LaSalle, Illinois nine days before, after dropping off her brother at Northwestern University.
Jennifer Smith, a prostitute found nude at a truck stop in Bucksnort, Tennessee in April 2005.
Robin Bishop, a prostitute who was run over at a truck stop on Interstate 40 in Fairview, Tennessee on July 1, 2007.
Belinda Cartwright, a hitchhiker who was run over at a truck stop in Georgia in 2001. A composite police sketch made of the suspect based on information from witnesses bears a striking resemblance to Mendenhall.
Carma Purpura, a 31-year old mother of two, who was last seen July 11, 2007 at a Far-Southside Indianapolis truck stop. On April 10, 2008, Marion County Prosecutor Carl Brizzi has charged Mendenhall with murder in the case. The woman's body has never been recovered, but DNA tests link a large quantity of the blood from Mendenhall's truck cab to the woman's parents. Investigators also found her cell phone, ATM card and clothing she wore on the day she disappeared.
============
né le 14 avril 1951, à défaut de connaître les jours des meurtres ou disparitions, on peut regarder et essayer de comparer les périodes critiques septennales de l'intéressé :
1951
1972 (21 ans)
1979 (28 ans)
1986 (35 ans)
1993 (42 ans)
2000 (49 ans)
2007 (56 ans)
les périodes critiques septennales sont des périodes "pulsions/désinhibition" plus qu'à d'autres moments, ce qui fait que souvent les passages à l'acte se font à ce moment-là, bien plus qu'à d'autre...
les "démarrages" ont lieu souvent en période critique septennale parce qu'il s'agit de l'arrivée d'un moment de "faiblesse" : le mécanisme de pulsion désinhibition va pousser la personne qui s'est tenue à carreau jusqu'ici.
j'ai aussi remarqué que le moment de l'entrée dans une période critique septennale (environ six mois avant l'anniversaire septennal) est un moment particulièrement "à risque"...
jour critique émotionnel : samedi.
le jour critique émotionnel est, à l'intérieur d'une période critique, mais aussi en général, un autre élément déclencheur (jour de pulsions/désinhibition) c'est en fait une période à risque "courte" puisque équivalent en une journée de la période critique longue qu'est la période septennale (quelques mois à un an et demi voire deux ans).
drame familial
Figaro :
Allemagne: 3 meurtres dans un camping
AFP
23/08/2009
Un bébé de dix mois semblait être le seul survivant d'un massacre commis dans la nuit de samedi à dimanche à coups de sabre et de couteau dans un camping allemand, et la police a interpellé le père de la fillette, qu'elle soupçonne de ce triple meurtre.
Au moment de son arrestation, le suspect âgé de 33 ans détenait un sabre de samouraï, des couteaux et des vêtements ensanglantés dans son véhicule, et était lui-même blessé au visage, ont précisé la police de Coesfeld et le parquet de Münster (Ouest) dans un communiqué. Il nie toute participation au massacre, mais les enquêteurs "n'ont pas de motif raisonnable de douter" que l'homme, interpellé dans les environs immédiats du lieu des crimes, soit l'auteur des coups mortels.
Les victimes sont un couple de 55 et 53 ans, ainsi que leur fille de 29 ans, qui n'est autre que la mère du bébé, apparemment séparée du père. "Il y a des indices selon lesquels il y avait des conflits entre l'homme de 33 ans et la famille des victimes, concernant la paternité et les pensions alimentaires", ont expliqué les enquêteurs.
Le massacre a eu lieu dans une maisonnette en bois d'un camping de Coesfeld, une petite ville située à 25 km environ de la frontière néerlandaise. L'alerte a été donnée par un homme occupant le bungalow voisin, réveillé en pleine nuit par les cris de sa voisine.
===================
l'auteur de ce drame n'est pas en période critique mais je relève (comme le précédent aussi) parce que son ex semble l'être ainsi qu'un parent : il faudrait en savoir plus sur leurs relations mais la situation en période critique peut se trouver chez l'autre, de sorte que dispute ou altercation peut dégénérer à cause de cela aussi...
jour critique émotionnel ?
Allemagne: 3 meurtres dans un camping
AFP
23/08/2009
Un bébé de dix mois semblait être le seul survivant d'un massacre commis dans la nuit de samedi à dimanche à coups de sabre et de couteau dans un camping allemand, et la police a interpellé le père de la fillette, qu'elle soupçonne de ce triple meurtre.
Au moment de son arrestation, le suspect âgé de 33 ans détenait un sabre de samouraï, des couteaux et des vêtements ensanglantés dans son véhicule, et était lui-même blessé au visage, ont précisé la police de Coesfeld et le parquet de Münster (Ouest) dans un communiqué. Il nie toute participation au massacre, mais les enquêteurs "n'ont pas de motif raisonnable de douter" que l'homme, interpellé dans les environs immédiats du lieu des crimes, soit l'auteur des coups mortels.
Les victimes sont un couple de 55 et 53 ans, ainsi que leur fille de 29 ans, qui n'est autre que la mère du bébé, apparemment séparée du père. "Il y a des indices selon lesquels il y avait des conflits entre l'homme de 33 ans et la famille des victimes, concernant la paternité et les pensions alimentaires", ont expliqué les enquêteurs.
Le massacre a eu lieu dans une maisonnette en bois d'un camping de Coesfeld, une petite ville située à 25 km environ de la frontière néerlandaise. L'alerte a été donnée par un homme occupant le bungalow voisin, réveillé en pleine nuit par les cris de sa voisine.
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l'auteur de ce drame n'est pas en période critique mais je relève (comme le précédent aussi) parce que son ex semble l'être ainsi qu'un parent : il faudrait en savoir plus sur leurs relations mais la situation en période critique peut se trouver chez l'autre, de sorte que dispute ou altercation peut dégénérer à cause de cela aussi...
jour critique émotionnel ?
drame conjugal
RP.online :
Familiendrama im Sauerland
Mann erschießt Ehefrau auf offener Straße
Ein 44 Jahre alter Mann hat am Samstag im sauerländischen Sundern auf offener Straße seine Frau erschossen. Anschließend hat er mit einer Pistole sich selbst in den Kopf gefeuert. Dabei erlitt er lebensgefährliche Verletzungen.
Die Hintergründe für die Bluttat sind bislang unklar. Laut einem Zeugen soll der Mann zweimal auf seine 42-jährige Frau gefeuert haben. Ersten Erkenntnissen zufolge hatte es zuvor einen Streit gegeben, bei dem der Mann seiner Frau vorwarf, ein Verhältnis zu haben. Als die Frau daraufhin mit zwei Kindern die Wohnung verließ, um zu Verwandten zu gehen, folgte ihr der Mann. Nach Polizeiangaben soll der Mann mehrmals auf seine 42-jährige Frau gefeuert haben. Nach der Tat soll er laut Medienangaben in einen nahe gelegenen Weg geflüchtet sein, wo er sich niederschoss.
Der Tatort in der Innenstadt wurde abgesperrt. Die Ermittlungen dauern an. Medienangaben zufolge wohnt das aus dem ehemaligen Jugoslawien stammende Ehepaar in der Nähe des Tatorts. Die Kinder sind in der Obhut des Jugendamtes.
Quelle: DDP/top
Familiendrama im Sauerland
Mann erschießt Ehefrau auf offener Straße
Ein 44 Jahre alter Mann hat am Samstag im sauerländischen Sundern auf offener Straße seine Frau erschossen. Anschließend hat er mit einer Pistole sich selbst in den Kopf gefeuert. Dabei erlitt er lebensgefährliche Verletzungen.
Die Hintergründe für die Bluttat sind bislang unklar. Laut einem Zeugen soll der Mann zweimal auf seine 42-jährige Frau gefeuert haben. Ersten Erkenntnissen zufolge hatte es zuvor einen Streit gegeben, bei dem der Mann seiner Frau vorwarf, ein Verhältnis zu haben. Als die Frau daraufhin mit zwei Kindern die Wohnung verließ, um zu Verwandten zu gehen, folgte ihr der Mann. Nach Polizeiangaben soll der Mann mehrmals auf seine 42-jährige Frau gefeuert haben. Nach der Tat soll er laut Medienangaben in einen nahe gelegenen Weg geflüchtet sein, wo er sich niederschoss.
Der Tatort in der Innenstadt wurde abgesperrt. Die Ermittlungen dauern an. Medienangaben zufolge wohnt das aus dem ehemaligen Jugoslawien stammende Ehepaar in der Nähe des Tatorts. Die Kinder sind in der Obhut des Jugendamtes.
Quelle: DDP/top
samedi 22 août 2009
drame
HRonline.de :
Rätselhafte Tat
Dreifache Mutter getötet
Eine dreifache Mutter aus Offenbach ist in der Nacht zum Samstag getötet worden. In der Wohnung der Frau fand die Polizei zudem einen schwer verletzten Mann.
Nach einem Notruf waren die Rettungskräfte zum Tatort im Stadtteil Lauterborn gefahren. Dort entdeckten sie die bereits tote 43-Jährige und den schwer verletzten 49-Jährigen. Die beiden Opfer wiesen Schnitt- und Stichverletzungen auf.
In welcher Beziehung der Schwerverletzte zu der Toten stand, sei noch unklar, sagte ein Polizeisprecher. Er sei weder der Ehemann der Frau noch der Vater ihrer drei Kinder und lebe unter einer anderen Adresse in Offenbach.
Die 13, 19 und 25 Jahre alten Söhne wurden von den Beamten "ohne wesentliche Verletzungen" in der Wohnung angetroffen. Sie standen unter Schock. Offenbar haben sie die Polizei alarmiert. Von der Vernehmung der Söhne erhoffen sich die Ermittler Informationen über das bislang rätselhafte Geschehen.
Rätselhafte Tat
Dreifache Mutter getötet
Eine dreifache Mutter aus Offenbach ist in der Nacht zum Samstag getötet worden. In der Wohnung der Frau fand die Polizei zudem einen schwer verletzten Mann.
Nach einem Notruf waren die Rettungskräfte zum Tatort im Stadtteil Lauterborn gefahren. Dort entdeckten sie die bereits tote 43-Jährige und den schwer verletzten 49-Jährigen. Die beiden Opfer wiesen Schnitt- und Stichverletzungen auf.
In welcher Beziehung der Schwerverletzte zu der Toten stand, sei noch unklar, sagte ein Polizeisprecher. Er sei weder der Ehemann der Frau noch der Vater ihrer drei Kinder und lebe unter einer anderen Adresse in Offenbach.
Die 13, 19 und 25 Jahre alten Söhne wurden von den Beamten "ohne wesentliche Verletzungen" in der Wohnung angetroffen. Sie standen unter Schock. Offenbar haben sie die Polizei alarmiert. Von der Vernehmung der Söhne erhoffen sich die Ermittler Informationen über das bislang rätselhafte Geschehen.
vendredi 21 août 2009
Jane Burgermeister
je me suis posé des question au sujet de sa théorie du complot de génocide mondial au moyen du vaccin contre la grippe H1N1... et çà m'a paru bizarre qu'elle puisse prétendre que Michael Jackson ait éventuellement pu être assassiné par la CIA... (1)
suis donc parti à la recherche de renseignements concernant cette personne et bizarrement... on ne trouve rien ou presque : ni photo ni données de naissance...
ce sont surtout ces dernières qui m'intéressaient car j'ai un peu l'expérience - au moyen des cycles septennaux - des personnes qui entrent dans un "délire paranoïaque" ou de persécution, à l'arrivée d'une période critique septennale.
un tel moment se retrouve très souvent lors des vocations naissantes des gourous mais aussi des personnes qui entendent subitement des voix, ont des visions, des channelings... bref toute une gamme de choses qui ne se ressemblent pas forcément mais qui ont pour résultat que des personnes s'attachent à une "idée fixe" : rien de péjoratif car ces personnes sont honnêtes et y croient vraiment... c'est l'un des symptômes propres à l'arrivée et la situation en période critique septennale.
alors pour en revenir à Jane Burgemeister - malgré google - je n'ai trouvé après une demie-heure de recherche, qu'une indication de profil dans Dailymotion... où elle indique avoir... 48 ans...
ne me serais-je pas trompé ? puisqu'elle pourrait être alors à l'entrée de sa période critique septennale des 49 ans... :-)
(on entre dans la période critique des 49 ans à 48 ans et demi et ce moment est un moment charnière particulier)...
donc avec réserves, la présente idée, car, comme dit, pas du tout sûr de l'exactitude de cette donnée concernant l'âge de Jane Burgermeister dont je ne sais pas grand chose car elle n'apparaît nulle part... on parle beaucoup de ses théories ces derniers temps, mais l'auteur donne un peu l'impression d'être un fantôme :-)
(1) voir mon post du 12 juillet où je relevais la situation à risque ou plutôt la mauvaise forme éventuelle du médecin de Michel Jackson le jour du décès de ce dernier...
suis donc parti à la recherche de renseignements concernant cette personne et bizarrement... on ne trouve rien ou presque : ni photo ni données de naissance...
ce sont surtout ces dernières qui m'intéressaient car j'ai un peu l'expérience - au moyen des cycles septennaux - des personnes qui entrent dans un "délire paranoïaque" ou de persécution, à l'arrivée d'une période critique septennale.
un tel moment se retrouve très souvent lors des vocations naissantes des gourous mais aussi des personnes qui entendent subitement des voix, ont des visions, des channelings... bref toute une gamme de choses qui ne se ressemblent pas forcément mais qui ont pour résultat que des personnes s'attachent à une "idée fixe" : rien de péjoratif car ces personnes sont honnêtes et y croient vraiment... c'est l'un des symptômes propres à l'arrivée et la situation en période critique septennale.
alors pour en revenir à Jane Burgemeister - malgré google - je n'ai trouvé après une demie-heure de recherche, qu'une indication de profil dans Dailymotion... où elle indique avoir... 48 ans...
ne me serais-je pas trompé ? puisqu'elle pourrait être alors à l'entrée de sa période critique septennale des 49 ans... :-)
(on entre dans la période critique des 49 ans à 48 ans et demi et ce moment est un moment charnière particulier)...
donc avec réserves, la présente idée, car, comme dit, pas du tout sûr de l'exactitude de cette donnée concernant l'âge de Jane Burgermeister dont je ne sais pas grand chose car elle n'apparaît nulle part... on parle beaucoup de ses théories ces derniers temps, mais l'auteur donne un peu l'impression d'être un fantôme :-)
(1) voir mon post du 12 juillet où je relevais la situation à risque ou plutôt la mauvaise forme éventuelle du médecin de Michel Jackson le jour du décès de ce dernier...
mercredi 19 août 2009
drame familial
welt online :
Familiendrama
Täter des Amoklaufs von Schwalmtal war als gewalttätig bekannt
(5) 19. August 2009, 14:19 Uhr
Nach der Schießerei mit drei Toten und einem Schwerverletzten in Schwalmtal ermittelt die Polizei gegen einen 71 Jahre alten Mann. Er soll als aggressiv und gewalttätig bekannt gewesen sein. "Mein Ex-Schwiegervater hat mir mehrfach mit Mord gedroht", sagte der Ex-Schwiegersohn einer Zeitung.
===================
trois morts lors d'un drame en Allemagne : une personne de 71 ans a tué deux avocats et un agent immobilier qui étaient venus estimer l'immeuble de sa fille séparée de son mari... connu pour être violent... il faudrait voir depuis quand il était devenu "insupportable" et aggressif... car il a derrière lui la période critique septennale des 70 ans... dont il aurait dû sortir l'année suivante...
Familiendrama
Täter des Amoklaufs von Schwalmtal war als gewalttätig bekannt
(5) 19. August 2009, 14:19 Uhr
Nach der Schießerei mit drei Toten und einem Schwerverletzten in Schwalmtal ermittelt die Polizei gegen einen 71 Jahre alten Mann. Er soll als aggressiv und gewalttätig bekannt gewesen sein. "Mein Ex-Schwiegervater hat mir mehrfach mit Mord gedroht", sagte der Ex-Schwiegersohn einer Zeitung.
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trois morts lors d'un drame en Allemagne : une personne de 71 ans a tué deux avocats et un agent immobilier qui étaient venus estimer l'immeuble de sa fille séparée de son mari... connu pour être violent... il faudrait voir depuis quand il était devenu "insupportable" et aggressif... car il a derrière lui la période critique septennale des 70 ans... dont il aurait dû sortir l'année suivante...
meurtre
SKCenter :
La Gendarmerie royale du Canada a arrêté une femme de 42 ans relativement au meurtre d'un jeune autiste de 12 ans à Grand Forks, en Colombie-Britannique.
Le corps de John Fulton a été retrouvé lundi soir dans un logement d'un complexe d'habitations subventionnées tout près de chez lui. Il avait été vu la dernière fois samedi après-midi assis près de la résidence familiale jouant avec un jeu vidéo.
Les policiers ont été alertés par un témoin que Kimberly Ruth Noyes se trouvait près d'une école du secteur. Elle a été arrêtée vers 15h50 mardi après-midi et elle est toujours retenue en détention préventive. Mme Noyes souffre de dépression et de syndrome bipolaire.
Cette dernière est interrogée par la police mais aucune accusation n'a été portée contre elle.
Selon les enquêteurs, il est encore trop tôt pour déterminer de quelle façon le jeune Fulton a été tué et s'il est mort à l'endroit où son corps a été retrouvé.
Ils refusent également de confirmer si un suspect a été identifié dans ce drame sordide.
(sources : Globe and Mail, The Vancouver Sun)
========================
tous les bipolaires ne sont pas des meurtriers, heureusement... d'ailleurs nous sommes tous bipolaires puisqu'il s'agit des pulsations même du vivant...
par contre le trouble bipolaire (1) est souvent directement lié à notre cycle psychique et émotionnel septennal : logique puisque c'est l'un de nos cycles de l'humeur.
c'est ainsi que les graves dépressions, le gros "downs" arrivent le plus souvent au moment de l'entrée dans une période critique septennale, ou durant cette période critique qui peut durer de quelques mois à un ou deux ans autour d'une année septennale - plus si les conditions sont mauvaises et que les problèmes ne sont pas résolus...
ici la personne se trouve apparemment en plein dans sa période critique septennale des 42 ans... et çà peut, exceptionnellement, conduire à des coups de folie... jour critique émotionnel ?
(1)Le trouble bipolaire est une catégorie des troubles de l'humeur, auparavant appelé PMD Psychose Maniaco-Dépressive. Ce trouble est caractérisé par la fluctuation anormale de l’humeur, qui oscille entre des périodes d’excitation marquée (manie) et de mélancolie profonde (dépression), entrecoupées de périodes de stabilité. (Wikipédia)
La Gendarmerie royale du Canada a arrêté une femme de 42 ans relativement au meurtre d'un jeune autiste de 12 ans à Grand Forks, en Colombie-Britannique.
Le corps de John Fulton a été retrouvé lundi soir dans un logement d'un complexe d'habitations subventionnées tout près de chez lui. Il avait été vu la dernière fois samedi après-midi assis près de la résidence familiale jouant avec un jeu vidéo.
Les policiers ont été alertés par un témoin que Kimberly Ruth Noyes se trouvait près d'une école du secteur. Elle a été arrêtée vers 15h50 mardi après-midi et elle est toujours retenue en détention préventive. Mme Noyes souffre de dépression et de syndrome bipolaire.
Cette dernière est interrogée par la police mais aucune accusation n'a été portée contre elle.
Selon les enquêteurs, il est encore trop tôt pour déterminer de quelle façon le jeune Fulton a été tué et s'il est mort à l'endroit où son corps a été retrouvé.
Ils refusent également de confirmer si un suspect a été identifié dans ce drame sordide.
(sources : Globe and Mail, The Vancouver Sun)
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tous les bipolaires ne sont pas des meurtriers, heureusement... d'ailleurs nous sommes tous bipolaires puisqu'il s'agit des pulsations même du vivant...
par contre le trouble bipolaire (1) est souvent directement lié à notre cycle psychique et émotionnel septennal : logique puisque c'est l'un de nos cycles de l'humeur.
c'est ainsi que les graves dépressions, le gros "downs" arrivent le plus souvent au moment de l'entrée dans une période critique septennale, ou durant cette période critique qui peut durer de quelques mois à un ou deux ans autour d'une année septennale - plus si les conditions sont mauvaises et que les problèmes ne sont pas résolus...
ici la personne se trouve apparemment en plein dans sa période critique septennale des 42 ans... et çà peut, exceptionnellement, conduire à des coups de folie... jour critique émotionnel ?
(1)Le trouble bipolaire est une catégorie des troubles de l'humeur, auparavant appelé PMD Psychose Maniaco-Dépressive. Ce trouble est caractérisé par la fluctuation anormale de l’humeur, qui oscille entre des périodes d’excitation marquée (manie) et de mélancolie profonde (dépression), entrecoupées de périodes de stabilité. (Wikipédia)
folle
99 ans de prison pour une mère qui a coupé les testicules de son fils
Article posté par Stéphane Bourgoin le Mercredi 19 août 2009
sur Librairie 3ème oeil.
" Un tribunal du Texas, aux Etats-Unis, a condamné à 99 ans de prison une mère de famille reconnue coupable d'avoir découpé les parties génitales de son fils âgé de cinq semaines, peut-on lire mardi dans le Houston Chronicle.
Selon l'accusation, la mère, âgée de 28 ans et toxicomane notoire, a agi sous l'influence de la drogue. Elle a nié les faits jusqu'au dernier moment, prétendant que son fils avait été attaqué par un chien qui lui avait mordu et arraché les testicules, rapporte encore le journal."
Article posté par Stéphane Bourgoin le Mercredi 19 août 2009
sur Librairie 3ème oeil.
" Un tribunal du Texas, aux Etats-Unis, a condamné à 99 ans de prison une mère de famille reconnue coupable d'avoir découpé les parties génitales de son fils âgé de cinq semaines, peut-on lire mardi dans le Houston Chronicle.
Selon l'accusation, la mère, âgée de 28 ans et toxicomane notoire, a agi sous l'influence de la drogue. Elle a nié les faits jusqu'au dernier moment, prétendant que son fils avait été attaqué par un chien qui lui avait mordu et arraché les testicules, rapporte encore le journal."
à la hache...
elle.fr :
CALVADOS : L’ADO AURAIT TUÉ SON BEAU-PÈRE POUR DÉFENDRE SA MÈRE 1
Voter pour ce dossier :
Drame familial cette nuit dans le Calvados. Alertés par un coup de téléphone passé d’un pavillon de Vendeuvre, près de Caen, les gendarmes ont fait une bien triste découverte : les corps d’une femme de 50 ans et de son compagnon de 63 ans, tués à coups de hache. Sur les lieux, le fils de la quinquagénaire, 19 ans et sa petite amie, 17 ans. Ils ont été placés en garde à vue et entendus par les enquêteurs. « Le beau-père aurait agressé la mère à coups de hache, avant dans un second temps d'agresser le beau-fils qui dit avoir récupéré la hache au cours de la bagarre et porté un coup mortel à la tête de son beau-père dans le but de se défendre » explique Jean-Pierre Triaulère, substitut du procureur de Caen. Selon les premiers éléments de l’enquête, cette version des faits semble cohérente même si d’autres hypothèses s’avèrent plausibles. La petite amie, « choquée », a précisé aux enquêteurs qu’elle dormait quand elle a entendu du bruit. J.DLR.
18/08/2009
====================
le beau-père est en pleine période critique septennale des 63 ans...
mais bon... il y a aussi des ados qui peuvent disjoncter...
le jour critique émotionnel des personnes dirait peut-être aussi quelque chose : c'est le jour des disputes et dérapages...
CALVADOS : L’ADO AURAIT TUÉ SON BEAU-PÈRE POUR DÉFENDRE SA MÈRE 1
Voter pour ce dossier :
Drame familial cette nuit dans le Calvados. Alertés par un coup de téléphone passé d’un pavillon de Vendeuvre, près de Caen, les gendarmes ont fait une bien triste découverte : les corps d’une femme de 50 ans et de son compagnon de 63 ans, tués à coups de hache. Sur les lieux, le fils de la quinquagénaire, 19 ans et sa petite amie, 17 ans. Ils ont été placés en garde à vue et entendus par les enquêteurs. « Le beau-père aurait agressé la mère à coups de hache, avant dans un second temps d'agresser le beau-fils qui dit avoir récupéré la hache au cours de la bagarre et porté un coup mortel à la tête de son beau-père dans le but de se défendre » explique Jean-Pierre Triaulère, substitut du procureur de Caen. Selon les premiers éléments de l’enquête, cette version des faits semble cohérente même si d’autres hypothèses s’avèrent plausibles. La petite amie, « choquée », a précisé aux enquêteurs qu’elle dormait quand elle a entendu du bruit. J.DLR.
18/08/2009
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le beau-père est en pleine période critique septennale des 63 ans...
mais bon... il y a aussi des ados qui peuvent disjoncter...
le jour critique émotionnel des personnes dirait peut-être aussi quelque chose : c'est le jour des disputes et dérapages...
mardi 18 août 2009
accident
Lorient. Percutée par un TGV une femme décède
Grosse émotion hier matin, dans le quartier du Gaillec, à Lorient (56), où se situe l'aire d'accueil des gens du voyage. Un des membres de la communauté - si les expertises en cours le confirment, une femme âgée de 56 ans - traverse la voie ferrée, qui longe le campement. Au même moment survient le TVGQuimper-Paris, qui roule à cet endroit à 120km/h. Il est 9h50. La femme est tuée sur le coup. Il ressort de l'audition du conducteur du train que ce dernier l'a aperçue sur le bas-côté et a actionné l'avertisseur sonore. Mais au lieu de rebrousser chemin, la victime a accéléré le pas et - chaussée de sabots - a trébuché sur le ballast. L'enquête a été confiée au commissariat de Lorient, pour éclaircir les circonstances de ce drame, qui a bouleversé la communauté des gens du voyage. Le trafic ferroviaire a été perturbé toute la matinée entre Quimper et Lorient
==============
lorsque quelqu'un se fait percuter par un train je vais toujours voir quel est l'âge de la personne... par curiosité.
56 ans ici : c'est la période critique septennale...
accident ?
Grosse émotion hier matin, dans le quartier du Gaillec, à Lorient (56), où se situe l'aire d'accueil des gens du voyage. Un des membres de la communauté - si les expertises en cours le confirment, une femme âgée de 56 ans - traverse la voie ferrée, qui longe le campement. Au même moment survient le TVGQuimper-Paris, qui roule à cet endroit à 120km/h. Il est 9h50. La femme est tuée sur le coup. Il ressort de l'audition du conducteur du train que ce dernier l'a aperçue sur le bas-côté et a actionné l'avertisseur sonore. Mais au lieu de rebrousser chemin, la victime a accéléré le pas et - chaussée de sabots - a trébuché sur le ballast. L'enquête a été confiée au commissariat de Lorient, pour éclaircir les circonstances de ce drame, qui a bouleversé la communauté des gens du voyage. Le trafic ferroviaire a été perturbé toute la matinée entre Quimper et Lorient
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lorsque quelqu'un se fait percuter par un train je vais toujours voir quel est l'âge de la personne... par curiosité.
56 ans ici : c'est la période critique septennale...
accident ?
drame conjugal
Un retraité tue sa femme de plusieurs dizaines de coups de couteau
mardi 19 JANVIER 2038
Un homme de 63 ans a tué de plusieurs dizaines de coups de couteau sa femme âgée de 64 ans, lundi en fin de journée au domicile de leur fille à Ormoy-la-Rivière (Essonne).
=======================
bizarre nouvelle datant du 19 janvier 2038 à 04H14 ? (sfr.fr)
mais je pense qu'il s'agit du 19 août d'après d'autres communiqués...
je n'en sais pas plus pour l'instant : à 63 ans on se trouve en pleine période critique septennale.
l'épouse n'en est pas loin (la période critique se termine en principe à 64 ans) de sorte qu'il n'est pas impossible que la situation entre les deux soit très tendue depuis un moment, puisqu'ils passent leur période septennale l'un après l'autre, avec une période en partie commune.
les drames n'arrivent pas systématiquement en période critique, ce serait trop facile et çà se saurait...
mais l'entrée en période critique et ensuite la situation en période critique durant une année à une année et demie, peut, dans certains cas et selon les personnes et leur état, avoir un effet déclencheur de tensions voire de graves tensions, débouchant exceptionnellement sur des coups de rage ou de folie.
il suffit d'une dispute, au départ : il faut encore voir quel est le jour critique émotionnel (des deux personnes) car on le retrouve souvent dans ces moments là.
mardi 19 JANVIER 2038
Un homme de 63 ans a tué de plusieurs dizaines de coups de couteau sa femme âgée de 64 ans, lundi en fin de journée au domicile de leur fille à Ormoy-la-Rivière (Essonne).
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bizarre nouvelle datant du 19 janvier 2038 à 04H14 ? (sfr.fr)
mais je pense qu'il s'agit du 19 août d'après d'autres communiqués...
je n'en sais pas plus pour l'instant : à 63 ans on se trouve en pleine période critique septennale.
l'épouse n'en est pas loin (la période critique se termine en principe à 64 ans) de sorte qu'il n'est pas impossible que la situation entre les deux soit très tendue depuis un moment, puisqu'ils passent leur période septennale l'un après l'autre, avec une période en partie commune.
les drames n'arrivent pas systématiquement en période critique, ce serait trop facile et çà se saurait...
mais l'entrée en période critique et ensuite la situation en période critique durant une année à une année et demie, peut, dans certains cas et selon les personnes et leur état, avoir un effet déclencheur de tensions voire de graves tensions, débouchant exceptionnellement sur des coups de rage ou de folie.
il suffit d'une dispute, au départ : il faut encore voir quel est le jour critique émotionnel (des deux personnes) car on le retrouve souvent dans ces moments là.
meurtre
Librairie 3ème oeil :
Saint-Etienne: il découpe son amie en six morceaux
" Dans la nuit du 14 au 15 août, un jeune homme qui fêtait à son domicile de Saint-Etienne ses 25 ans a étranglé son amie dont il avait fait la connaissance depuis quelques jours. Il l'a ensuite découpée en six morceaux avant de les déposer dans différentes poubelles. Il semblerait que la victime, toxicomane, ait avoué lui avoir transmis le virus du Sida. Il aurait ensuite perdu la raison.
Le drame se serait déroulé dans la nuit de du 14 au 15 août, au domicile de l'auteur du meurtre, rue des Forges à Saint-Etienne, dans le quartier La Rivière. Interpellé 24 heures après les faits près de la gare de Châteaucreux, le jeune homme a expliqué à la police la macabre nuit.
Né le 14 août 1984, selon ses dires, il fêtait son anniversaire en compagnie de sa nouvelle compagne âgée de 36 ans, dont il avait fait connaissance il y a une semaine. En fin de soirée, le jeune homme ivre aurait voulu partager un moment de tendresse avec cette dernière. Elle aurait catégoriquement refusé. Connue pour son passé de toxicomane, elle aurait avoué lui avoir transmis le virus du Sida. Il aurait perdu la raison. Il l'a frappé. Tombé au sol, elle aurait voulu se défendre en saisissant un couteau. Pris de panique, il lui aurait serré la gorge jusqu'à se rendre compte qu'il l'avait tuée.
Dans la foulée, il aurait emmené son corps dans la baignoire pour le découper en six morceaux. Il les aurait ensuite disposés dans des sacs et placés dans différentes poubelles de sa rue.
Ne pouvant pas garder ce lourd secret pour lui, il en aurait ensuite parlé à un ami ainsi qu'à un membre de la famille, expliquant qu'il avait "commis l'irréparable". Ces derniers auraient alerté les services de police. Très choqué, il a été placé en garde à vue la nuit dernière par la police.
Tous les colis ont été retrouvés dans la soirée de dimanche, ce qui a permis de reconstituer le corps."
Source : LE PROGRES DE LYON (17 août 2009)
=====================
on peut regarder la situation des cycles ici puisque nous avons la date de naissance (sous réserve qu'elle soit juste) :
août 2009 (14/08/1984)
Me 12
Je 13
Ve 14 P(1)
Sa 15
deux éléments "pulsions" sont présents : le jour critique physique P1 et la date anniversaire.
rien de particulier pour l'entrée dans la 26ème année.
Saint-Etienne: il découpe son amie en six morceaux
" Dans la nuit du 14 au 15 août, un jeune homme qui fêtait à son domicile de Saint-Etienne ses 25 ans a étranglé son amie dont il avait fait la connaissance depuis quelques jours. Il l'a ensuite découpée en six morceaux avant de les déposer dans différentes poubelles. Il semblerait que la victime, toxicomane, ait avoué lui avoir transmis le virus du Sida. Il aurait ensuite perdu la raison.
Le drame se serait déroulé dans la nuit de du 14 au 15 août, au domicile de l'auteur du meurtre, rue des Forges à Saint-Etienne, dans le quartier La Rivière. Interpellé 24 heures après les faits près de la gare de Châteaucreux, le jeune homme a expliqué à la police la macabre nuit.
Né le 14 août 1984, selon ses dires, il fêtait son anniversaire en compagnie de sa nouvelle compagne âgée de 36 ans, dont il avait fait connaissance il y a une semaine. En fin de soirée, le jeune homme ivre aurait voulu partager un moment de tendresse avec cette dernière. Elle aurait catégoriquement refusé. Connue pour son passé de toxicomane, elle aurait avoué lui avoir transmis le virus du Sida. Il aurait perdu la raison. Il l'a frappé. Tombé au sol, elle aurait voulu se défendre en saisissant un couteau. Pris de panique, il lui aurait serré la gorge jusqu'à se rendre compte qu'il l'avait tuée.
Dans la foulée, il aurait emmené son corps dans la baignoire pour le découper en six morceaux. Il les aurait ensuite disposés dans des sacs et placés dans différentes poubelles de sa rue.
Ne pouvant pas garder ce lourd secret pour lui, il en aurait ensuite parlé à un ami ainsi qu'à un membre de la famille, expliquant qu'il avait "commis l'irréparable". Ces derniers auraient alerté les services de police. Très choqué, il a été placé en garde à vue la nuit dernière par la police.
Tous les colis ont été retrouvés dans la soirée de dimanche, ce qui a permis de reconstituer le corps."
Source : LE PROGRES DE LYON (17 août 2009)
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on peut regarder la situation des cycles ici puisque nous avons la date de naissance (sous réserve qu'elle soit juste) :
août 2009 (14/08/1984)
Me 12
Je 13
Ve 14 P(1)
Sa 15
deux éléments "pulsions" sont présents : le jour critique physique P1 et la date anniversaire.
rien de particulier pour l'entrée dans la 26ème année.
dimanche 16 août 2009
Kay Redfield Jamison
Kay Redfield Jamison
aus Wikipedia, der freien Enzyklopädie
Kay Redfield JamisonKay Redfield Jamison (* 22. Juni 1946) ist eine US-amerikanische Psychologin, Psychiatrieprofessorin und Autorin mehrerer Bücher über die Krankheit bipolare Störung, an der sie selbst leidet.
Sie unterrichtet Psychiatrie an der Johns Hopkins University School of Medicine, und ist Ehrenprofessorin für Englisch an der Universität St Andrews. Jamison promovierte in Psychologie an der University of California, Los Angeles und wurde für den Titel Best Doctors in the United States nominiert. Die Zeitschrift Time wählte sie zu Hero of Medicine.
In ihren Werken setzt sie sich oft mit dem Thema Suizid auseinander. Sie selber unternahm im Alter von 28 Jahren einen Suizidversuch, indem sie versuchte, sich mit einer Überdosis von Lithium zu vergiften.
=================
une psychiatre américaine qui s'intéresse beaucoup au trouble bipolaire et au suicide. elle a elle même fait une tentative... à 28 ans... faudra que je lui parle de la période critique septennale et de ses dépressions, tiens... :-)
surtout qu'elle a écrit un bouquin sur le sujet à 49 ans...
An Unquiet Mind (1995) (Autobiografie),
aus Wikipedia, der freien Enzyklopädie
Kay Redfield JamisonKay Redfield Jamison (* 22. Juni 1946) ist eine US-amerikanische Psychologin, Psychiatrieprofessorin und Autorin mehrerer Bücher über die Krankheit bipolare Störung, an der sie selbst leidet.
Sie unterrichtet Psychiatrie an der Johns Hopkins University School of Medicine, und ist Ehrenprofessorin für Englisch an der Universität St Andrews. Jamison promovierte in Psychologie an der University of California, Los Angeles und wurde für den Titel Best Doctors in the United States nominiert. Die Zeitschrift Time wählte sie zu Hero of Medicine.
In ihren Werken setzt sie sich oft mit dem Thema Suizid auseinander. Sie selber unternahm im Alter von 28 Jahren einen Suizidversuch, indem sie versuchte, sich mit einer Überdosis von Lithium zu vergiften.
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une psychiatre américaine qui s'intéresse beaucoup au trouble bipolaire et au suicide. elle a elle même fait une tentative... à 28 ans... faudra que je lui parle de la période critique septennale et de ses dépressions, tiens... :-)
surtout qu'elle a écrit un bouquin sur le sujet à 49 ans...
An Unquiet Mind (1995) (Autobiografie),
samedi 15 août 2009
prédateur
3ème oeil :
À Marly, le grand-père était un « prédateur »
" Petit blouson beige, pantalon gris, lunettes en métal foncé... Ce papy de 70 ans, retraité des Mines et de l'usine, ne pourrait pas faire de mal à une mouche. Mais c'est un prédateur quand il est devant une adolescente.
À Marly, ce grand-père a appelé au secours au mois de juillet. Sa femme, victime d'un accident vasculaire cérébral, venait de rentrer à la maison dans un état très grave. Pour pouvoir faire les courses et le ménage, il a prié l'un de ses fils de lui envoyer sa fille de 17 ans. Il a insisté pour qu'elle reste « nuit et jour ».
La jeune fille a accepté. Elle est arrivée à Marly le 21 juillet. Le premier soir, son papy lui a demandé de s'asseoir à côté de lui, sur une chaise, pour regarder la télévision. Il a posé sa main sur son genou. Il a fini par des caresses sur le sexe. Plus tard, il lui a fait la bise et ils sont allés se coucher. La jeune fille était allongée depuis une vingtaine de minutes quand il est monté à l'étage, a fermé toutes les portes et s'est couché dans le lit pour une personne. Elle a continué à lui tourner le dos mais elle a senti ses caresses. La peur l'a envahie. Elle s'est mise à pleurer. Le grand-père est alors parti, jurant de ne plus l'embêter. Un quart d'heure plus tard, il a remonté l'escalier. Cette fois, il a tenté de la convaincre : « Réfléchis bien. Si tu dis oui, je te donne cinquante euros. Cent euros si tu veux. » La jeune fille a dit non. Dans ses dépositions, elle conclut : « D'ailleurs, je n'ai pas arrêté de le lui dire ».
Trois nuits de cauchemar
Le lendemain, au petit-déjeuner, le septuagénaire s'est confondu en excuses. Ça ne devait pas se reproduire. Ça s'est pourtant reproduit le soir, et le lendemain soir. Au bout de ces trois nuits cauchemardesques, la jeune fille a envoyé un message à son père pour qu'il vienne la rechercher. Elle l'a appelé et lui a raconté tout ce qui s'était passé. Le père s'est souvenu de certaines choses. La jeune fille a porté plainte.
Devant la barre du tribunal, le vieux monsieur a fait amende honorable. Il a tout reconnu. Il s'est une nouvelle fois excusé : « C'était des envies qui montaient, montaient. Je n'arrivais pas à résister. Je pensais que cela allait s'éteindre à la longue... » Car la libido du papy n'a pas déraillé avec l'âge. Elle était déjà bien perverse trente ans plus tôt. Ses filles, pendant l'enquête préliminaire, ont raconté des viols répétés entre 9 et 16 ans. Il les a reconnus. Ces faits extrêmement graves n'avaient jamais été dénoncés. Ils sont aujourd'hui prescrits. « Ça vous aurait valu vingt ans et la cour d'assises » a assené le président.
« Nous devons quand même en tenir compte car ils décrivent la personnalité du prévenu. Il serait inadmissible qu'il passe une nouvelle fois à travers les mailles du filet d'autant que l'expert psychiatre le décrit comme un prédateur sexuel potentiel notamment pour les jeunes filles de son entourage » s'est exclamé le procureur. Cette charge a fortement déplu à l'avocat de la défense qui a demandé au tribunal de rester concentré sur le dossier tel qu'il était et non pas comme il aurait dû l'être : « On tient pour acquises des choses qui ne le sont pas... » Le tribunal a cependant suivi les réquisitions. Le grand-père incestueux a été condamné à trois ans de prison dont deux assortis d'un sursis et d'une mise à l'épreuve avec obligation de soins. Il lui est désormais interdit d'approcher sa petite-fille et il devra lui verser 3 000 € pour le préjudice moral."
Un article de DIANE LENGLET.
Source : LA VOIX DU NORD (15 août 2009
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ce serait un point à étudier : la libido des périodes critiques septennales n'est pas la même qu'en dehors de ces périodes... çà peut donner des "prédateurs septennaux"...
À Marly, le grand-père était un « prédateur »
" Petit blouson beige, pantalon gris, lunettes en métal foncé... Ce papy de 70 ans, retraité des Mines et de l'usine, ne pourrait pas faire de mal à une mouche. Mais c'est un prédateur quand il est devant une adolescente.
À Marly, ce grand-père a appelé au secours au mois de juillet. Sa femme, victime d'un accident vasculaire cérébral, venait de rentrer à la maison dans un état très grave. Pour pouvoir faire les courses et le ménage, il a prié l'un de ses fils de lui envoyer sa fille de 17 ans. Il a insisté pour qu'elle reste « nuit et jour ».
La jeune fille a accepté. Elle est arrivée à Marly le 21 juillet. Le premier soir, son papy lui a demandé de s'asseoir à côté de lui, sur une chaise, pour regarder la télévision. Il a posé sa main sur son genou. Il a fini par des caresses sur le sexe. Plus tard, il lui a fait la bise et ils sont allés se coucher. La jeune fille était allongée depuis une vingtaine de minutes quand il est monté à l'étage, a fermé toutes les portes et s'est couché dans le lit pour une personne. Elle a continué à lui tourner le dos mais elle a senti ses caresses. La peur l'a envahie. Elle s'est mise à pleurer. Le grand-père est alors parti, jurant de ne plus l'embêter. Un quart d'heure plus tard, il a remonté l'escalier. Cette fois, il a tenté de la convaincre : « Réfléchis bien. Si tu dis oui, je te donne cinquante euros. Cent euros si tu veux. » La jeune fille a dit non. Dans ses dépositions, elle conclut : « D'ailleurs, je n'ai pas arrêté de le lui dire ».
Trois nuits de cauchemar
Le lendemain, au petit-déjeuner, le septuagénaire s'est confondu en excuses. Ça ne devait pas se reproduire. Ça s'est pourtant reproduit le soir, et le lendemain soir. Au bout de ces trois nuits cauchemardesques, la jeune fille a envoyé un message à son père pour qu'il vienne la rechercher. Elle l'a appelé et lui a raconté tout ce qui s'était passé. Le père s'est souvenu de certaines choses. La jeune fille a porté plainte.
Devant la barre du tribunal, le vieux monsieur a fait amende honorable. Il a tout reconnu. Il s'est une nouvelle fois excusé : « C'était des envies qui montaient, montaient. Je n'arrivais pas à résister. Je pensais que cela allait s'éteindre à la longue... » Car la libido du papy n'a pas déraillé avec l'âge. Elle était déjà bien perverse trente ans plus tôt. Ses filles, pendant l'enquête préliminaire, ont raconté des viols répétés entre 9 et 16 ans. Il les a reconnus. Ces faits extrêmement graves n'avaient jamais été dénoncés. Ils sont aujourd'hui prescrits. « Ça vous aurait valu vingt ans et la cour d'assises » a assené le président.
« Nous devons quand même en tenir compte car ils décrivent la personnalité du prévenu. Il serait inadmissible qu'il passe une nouvelle fois à travers les mailles du filet d'autant que l'expert psychiatre le décrit comme un prédateur sexuel potentiel notamment pour les jeunes filles de son entourage » s'est exclamé le procureur. Cette charge a fortement déplu à l'avocat de la défense qui a demandé au tribunal de rester concentré sur le dossier tel qu'il était et non pas comme il aurait dû l'être : « On tient pour acquises des choses qui ne le sont pas... » Le tribunal a cependant suivi les réquisitions. Le grand-père incestueux a été condamné à trois ans de prison dont deux assortis d'un sursis et d'une mise à l'épreuve avec obligation de soins. Il lui est désormais interdit d'approcher sa petite-fille et il devra lui verser 3 000 € pour le préjudice moral."
Un article de DIANE LENGLET.
Source : LA VOIX DU NORD (15 août 2009
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ce serait un point à étudier : la libido des périodes critiques septennales n'est pas la même qu'en dehors de ces périodes... çà peut donner des "prédateurs septennaux"...
parricide
trouvé sur Librairie 3ème oeil :
De l’arsenic dans le fromage blanc : l'affaire Arnaud Labrell
" En 2001, les époux Labrell décèdent dans le Haut-Rhin.
Joueur d’échecs invétéré et rejeton paresseux aux crochets de ses parents, Arnaud Labrell a bien failli réaliser, à 28 ans, le crime parfait. Un double parricide typiquement alsacien. L’empoisonneur saupoudrait d’arsenic le bibalakas destiné à son père et à sa mère, un plat régional à base de fromage blanc mélangé à de la ciboulette, de l’ail, du sel et du poivre. Il a échappé aux soupçons pendant dix-huit mois. C’est le saladier de bibalakas dévoré par les époux Labrell de Thann (Haut-Rhin) qui a été accusé de tous les maux après le dîner mortel du 9 octobre 2001. La crise de violents vomissements et de diarrhées aiguës de Gabrielle Labrell, 64 ans, vers 22 heures, a d’emblée été imputée à une «intoxication alimentaire».
«Mauvaise herbe»
Le soir même, le fils de la famille, Arnaud, qui occupe par intermittence le sous-sol de la maison familiale, détourne habilement les soupçons sur la nourriture prétendument avariée. Il n’hésite pas à engueuler ses parents devant les pompiers venus secourir sa mère : «Qu’est-ce que vous avez encore mangé comme saloperies ?» Il sème le doute sur leur hygiène alimentaire, leur reproche de «toujours bouffer des merdes périmées». Il ne se morfond pas trop sur l’état critique de sa mère, se prépare tranquillement des œufs au plat : «Je crevais de faim, j’étais bourré, n’importe qui dans ces conditions mangerait», se justifiera-t-il plus tard.
Lorsque le père, Pierre, commercial à la retraite âgé de 66 ans, se plaint à son tour des mêmes douleurs vers 23 h 30, le bibalakas est franchement suspecté. C’est le seul plat que les deux conjoints ont partagé. L’ambulancière, intervenue pour Pierre Labrell qui se tord de douleur, avise le fils en train de nettoyer le vomi, «totalement indifférent, nullement inquiet et même désinvolte». Le médecin urgentiste de Thann lui demande de l’aider à trouver le produit toxique. Arnaud Labrell prétend avoir fouillé la cuisine et retrouvé dans la poubelle un reste du fromage blanc qui, dit-il, «dégage une odeur nauséabonde». Pourtant, le laboratoire des services vétérinaires de Colmar qui l’analyse ne le trouve ni pourri ni frelaté, et conclut à l’absence de toxines.
Pourtant, Arnaud Labrell tient des propos énigmatiques à sa mère mourante : «Maman, ne t’en fais pas, la mauvaise herbe nous enterrera tous» si l’on en croit une infirmière de l’hôpital de Thann. Mais le décès, le lendemain, de Gabrielle Labrell puis celui de son mari Pierre, trois jours plus tard, ne sont en aucun cas imputés à leur fils.
«Haine»
Les gendarmes enquêtent sur d’autres hypothèses - le geste suicidaire, l’intoxication accidentelle par des champignons ou le crime de rôdeur - qui s’écroulent les unes après les autres. Mais la rumeur populaire et le curé de Thann se polarisent sur Arnaud Labrell qui, c’est de notoriété publique, détestait son père et qui, le jour des funérailles, n’a «manifesté aucun signe de souffrance ou d’émotion», selon le prêtre, et «ne paraissait nullement abattu par la mort de ses parents».
Sa sœur aînée Florence, professeur de psychologie, a «l’intuition que son frère a pu tuer les parents mais n’ose pas y croire», selon son avocat, Me Moser, et «tait ses doutes». Elle a trouvé pour curieux qu’Arnaud se cherche un alibi pour la soirée juste avant la mort du père. Il lui a fait peur la veille en rentrant à l’improviste chez elle par le toit de sa maison puis en évoquant, «sale, agité et incohérent», une conspiration de Ben Laden. Il a fini par s’endormir sur le canapé qui révélera, plus tard, des traces suspectes.
C’est Arnaud Labrell lui-même qui va guider les enquêteurs sur la bonne piste. C’est lui qui, le premier, a évoqué un empoisonnement alors que les médecins peinaient à déterminer les causes de la mort. Du coup, la justice a ouvert une enquête pour «empoisonnement» deux mois après le décès des époux Labrell. C’est lui encore qui aiguille les recherches sur de l’arsenic alors que les expertises toxicologiques n’ont pas été ordonnées par la juge d’instruction. Toujours un coup d’avance comme aux échecs. Cette stratégie le perdra. Car qui mieux que le tueur peut ainsi connaître l’arme du crime ?
La juge de Mulhouse, Ariane Combarel, fait donc exhumer les corps, en décembre 2001, pour une nouvelle autopsie. Les victimes ont bien avalé «une dose létale d’arsenic» le soir du dîner au bibalakas. De plus, l’analyse de leurs cheveux révèle qu’ils ont subi, auparavant, une intoxication chronique à l’arsenic, de onze mois pour le père et quatre mois pour la mère. Ce qui signe ce crime presque parfait. Seul, un très proche a pu empoisonner à petit feu Gabrielle et Pierre Labrell. Les gendarmes se concentrent donc sur leurs deux enfants.
Si l’aînée, Florence, et son mari étaient au mieux avec les victimes, les relations entre le fils, Arnaud, et ses parents étaient «exécrables». Cet enfant membre de la chorale des Petits chanteurs de Thann, écolier médiocre, adolescent «tête de mule», étudiant raté en histoire puis en sociologie, devenu un «antimilitariste primitif» et fumeur de cannabis, nourrit depuis ses jeunes années «une véritable haine» envers son père. La mère a toujours essayé «d’arranger les choses» et continuait à donner de l’argent à Arnaud (8 246 euros entre janvier 2000 et septembre 2001) qui gagnait une misère comme aide-éducateur au collège de Maseveaux.
Ultimatum
Mais les relations se sont «nettement dégradées» en 2001. Car Arnaud a découvert, par hasard, que ses parents ont signé, en début d’année, un testament qui lègue deux tiers de l’héritage à sa sœur Florence.
L’enquête démontre que les parents en ont marre de tenir à bout de bras ce fils indigne, ingrat et feignant qui n’a pas la reconnaissance du ventre, qui les traite mal et les insulte souvent. Pour la première fois, la mère a été d’accord avec le père pour poser un ultimatum à leur fils : Arnaud doit se débrouiller seul financièrement et ficher le camp de la maison au maximum à la Toussaint. Voilà le mobile du parricide.
Les gendarmes surveillent Arnaud Labrell et captent une conversation téléphonique suspecte avec un ami de la famille. Arnaud menace de tuer également sa sœur qui, convaincue de la culpabilité et «terrorisée», a déménagé en août 2002 à Tours et lui cache sa nouvelle adresse : «Florence, je veux pouvoir lui tomber dessus si j’en ai envie dans les douze heures. […] L’important c’est de frapper juste, au bon moment. […] Jamais deux sans trois, ma religion m’interdit le suicide, pas l’homicide.»
Arnaud Labrell sera mis en examen en mars 2003 après que des doses infimes d’arsenic ont été détectées sur ses vêtements, sur des meubles de sa chambre, sur le canapé de sa sœur, mais aussi sur ses cheveux. Une preuve que le fils a manipulé ce poison très volatil : «Vos cheveux sont devenus le calendrier de vos actes», lui a ainsi envoyé l’avocat général de la cour d’assises de Colmar qui l’a condamné, en mars 2005, à la réclusion criminelle à perpétuité. Le parricide n’a pas hésité à accuser son défunt père honni d’avoir monté un complot pour l’incriminer."
Un article de Patricia Tourancheau.
Source : LIBERATION (14 août 2009
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un scénario étonnant, mais ... période critique septennale des 28 ans ...
De l’arsenic dans le fromage blanc : l'affaire Arnaud Labrell
" En 2001, les époux Labrell décèdent dans le Haut-Rhin.
Joueur d’échecs invétéré et rejeton paresseux aux crochets de ses parents, Arnaud Labrell a bien failli réaliser, à 28 ans, le crime parfait. Un double parricide typiquement alsacien. L’empoisonneur saupoudrait d’arsenic le bibalakas destiné à son père et à sa mère, un plat régional à base de fromage blanc mélangé à de la ciboulette, de l’ail, du sel et du poivre. Il a échappé aux soupçons pendant dix-huit mois. C’est le saladier de bibalakas dévoré par les époux Labrell de Thann (Haut-Rhin) qui a été accusé de tous les maux après le dîner mortel du 9 octobre 2001. La crise de violents vomissements et de diarrhées aiguës de Gabrielle Labrell, 64 ans, vers 22 heures, a d’emblée été imputée à une «intoxication alimentaire».
«Mauvaise herbe»
Le soir même, le fils de la famille, Arnaud, qui occupe par intermittence le sous-sol de la maison familiale, détourne habilement les soupçons sur la nourriture prétendument avariée. Il n’hésite pas à engueuler ses parents devant les pompiers venus secourir sa mère : «Qu’est-ce que vous avez encore mangé comme saloperies ?» Il sème le doute sur leur hygiène alimentaire, leur reproche de «toujours bouffer des merdes périmées». Il ne se morfond pas trop sur l’état critique de sa mère, se prépare tranquillement des œufs au plat : «Je crevais de faim, j’étais bourré, n’importe qui dans ces conditions mangerait», se justifiera-t-il plus tard.
Lorsque le père, Pierre, commercial à la retraite âgé de 66 ans, se plaint à son tour des mêmes douleurs vers 23 h 30, le bibalakas est franchement suspecté. C’est le seul plat que les deux conjoints ont partagé. L’ambulancière, intervenue pour Pierre Labrell qui se tord de douleur, avise le fils en train de nettoyer le vomi, «totalement indifférent, nullement inquiet et même désinvolte». Le médecin urgentiste de Thann lui demande de l’aider à trouver le produit toxique. Arnaud Labrell prétend avoir fouillé la cuisine et retrouvé dans la poubelle un reste du fromage blanc qui, dit-il, «dégage une odeur nauséabonde». Pourtant, le laboratoire des services vétérinaires de Colmar qui l’analyse ne le trouve ni pourri ni frelaté, et conclut à l’absence de toxines.
Pourtant, Arnaud Labrell tient des propos énigmatiques à sa mère mourante : «Maman, ne t’en fais pas, la mauvaise herbe nous enterrera tous» si l’on en croit une infirmière de l’hôpital de Thann. Mais le décès, le lendemain, de Gabrielle Labrell puis celui de son mari Pierre, trois jours plus tard, ne sont en aucun cas imputés à leur fils.
«Haine»
Les gendarmes enquêtent sur d’autres hypothèses - le geste suicidaire, l’intoxication accidentelle par des champignons ou le crime de rôdeur - qui s’écroulent les unes après les autres. Mais la rumeur populaire et le curé de Thann se polarisent sur Arnaud Labrell qui, c’est de notoriété publique, détestait son père et qui, le jour des funérailles, n’a «manifesté aucun signe de souffrance ou d’émotion», selon le prêtre, et «ne paraissait nullement abattu par la mort de ses parents».
Sa sœur aînée Florence, professeur de psychologie, a «l’intuition que son frère a pu tuer les parents mais n’ose pas y croire», selon son avocat, Me Moser, et «tait ses doutes». Elle a trouvé pour curieux qu’Arnaud se cherche un alibi pour la soirée juste avant la mort du père. Il lui a fait peur la veille en rentrant à l’improviste chez elle par le toit de sa maison puis en évoquant, «sale, agité et incohérent», une conspiration de Ben Laden. Il a fini par s’endormir sur le canapé qui révélera, plus tard, des traces suspectes.
C’est Arnaud Labrell lui-même qui va guider les enquêteurs sur la bonne piste. C’est lui qui, le premier, a évoqué un empoisonnement alors que les médecins peinaient à déterminer les causes de la mort. Du coup, la justice a ouvert une enquête pour «empoisonnement» deux mois après le décès des époux Labrell. C’est lui encore qui aiguille les recherches sur de l’arsenic alors que les expertises toxicologiques n’ont pas été ordonnées par la juge d’instruction. Toujours un coup d’avance comme aux échecs. Cette stratégie le perdra. Car qui mieux que le tueur peut ainsi connaître l’arme du crime ?
La juge de Mulhouse, Ariane Combarel, fait donc exhumer les corps, en décembre 2001, pour une nouvelle autopsie. Les victimes ont bien avalé «une dose létale d’arsenic» le soir du dîner au bibalakas. De plus, l’analyse de leurs cheveux révèle qu’ils ont subi, auparavant, une intoxication chronique à l’arsenic, de onze mois pour le père et quatre mois pour la mère. Ce qui signe ce crime presque parfait. Seul, un très proche a pu empoisonner à petit feu Gabrielle et Pierre Labrell. Les gendarmes se concentrent donc sur leurs deux enfants.
Si l’aînée, Florence, et son mari étaient au mieux avec les victimes, les relations entre le fils, Arnaud, et ses parents étaient «exécrables». Cet enfant membre de la chorale des Petits chanteurs de Thann, écolier médiocre, adolescent «tête de mule», étudiant raté en histoire puis en sociologie, devenu un «antimilitariste primitif» et fumeur de cannabis, nourrit depuis ses jeunes années «une véritable haine» envers son père. La mère a toujours essayé «d’arranger les choses» et continuait à donner de l’argent à Arnaud (8 246 euros entre janvier 2000 et septembre 2001) qui gagnait une misère comme aide-éducateur au collège de Maseveaux.
Ultimatum
Mais les relations se sont «nettement dégradées» en 2001. Car Arnaud a découvert, par hasard, que ses parents ont signé, en début d’année, un testament qui lègue deux tiers de l’héritage à sa sœur Florence.
L’enquête démontre que les parents en ont marre de tenir à bout de bras ce fils indigne, ingrat et feignant qui n’a pas la reconnaissance du ventre, qui les traite mal et les insulte souvent. Pour la première fois, la mère a été d’accord avec le père pour poser un ultimatum à leur fils : Arnaud doit se débrouiller seul financièrement et ficher le camp de la maison au maximum à la Toussaint. Voilà le mobile du parricide.
Les gendarmes surveillent Arnaud Labrell et captent une conversation téléphonique suspecte avec un ami de la famille. Arnaud menace de tuer également sa sœur qui, convaincue de la culpabilité et «terrorisée», a déménagé en août 2002 à Tours et lui cache sa nouvelle adresse : «Florence, je veux pouvoir lui tomber dessus si j’en ai envie dans les douze heures. […] L’important c’est de frapper juste, au bon moment. […] Jamais deux sans trois, ma religion m’interdit le suicide, pas l’homicide.»
Arnaud Labrell sera mis en examen en mars 2003 après que des doses infimes d’arsenic ont été détectées sur ses vêtements, sur des meubles de sa chambre, sur le canapé de sa sœur, mais aussi sur ses cheveux. Une preuve que le fils a manipulé ce poison très volatil : «Vos cheveux sont devenus le calendrier de vos actes», lui a ainsi envoyé l’avocat général de la cour d’assises de Colmar qui l’a condamné, en mars 2005, à la réclusion criminelle à perpétuité. Le parricide n’a pas hésité à accuser son défunt père honni d’avoir monté un complot pour l’incriminer."
Un article de Patricia Tourancheau.
Source : LIBERATION (14 août 2009
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un scénario étonnant, mais ... période critique septennale des 28 ans ...
forcené
lavoixdunord :
Le GIPN déloge un forcené d'un appartement, hier
vendredi 14.08.2009, 04:42 - La Voix du Nord
Hier après-midi, un forcené s'est retranché dans un appartement de Lille-Moulins. Le GIPN est intervenu.
Tout commence dans la matinée. Une femme se présente à l'accueil du siège de Lille Métropole Habitat, à côté de la station de métro Porte de Valenciennes, boulevard de Belfort. Elle vit à quelques mètres de là, dans un appartement du bailleur social, rue Naquet.
« Elle est venue en prétextant payer une partie de son loyer en liquide. En fait, elle a sollicité notre aide car son ex-compagnon l'avait frappée dans la matinée », explique LMH. En début d'après-midi, des employés et policiers se rendent au logement, situé au cinquième et dernier étage, pour changer les serrures. L'ex-concubin, âgé de 35 ans, s'y trouve. Très énervé, il se retranche. De la fenêtre, il balance toutes sortes d'objets : télévision, sèchoir à linge, porte, chaises... L'un d'eux détruit le pare-brise arrière d'une voiture en stationnement.
Unité d'élite
D'importants renforts de police convergent, avec les pompiers. L'affaire vire au « spectacle », auquel assistent des dizaines de badauds.
Beaucoup filment ou photographient avec des téléphones portables.
Le gaz est coupé et l'immeuble évacué. Le forcené, seul, n'est armé que de couteaux. La crainte principale, c'est qu'il se jette dans le vide. Parfois, il se montre à la fenêtre, menaçant de sauter, lançant des insultes et réclamant... le GIPN ! Son souhait est exaucé face à une situation qui s'éternise.
Arrive donc le GIPN, avec ses hommes en noir, cagoulés et lourdement équipés. L'unité policière d'élite se déploie. Deux de ses agents montent sur le toit de l'immeuble, afin de passer, avec harnais et cordes, par le balcon arrière.
Vers 17 h 45, le trentenaire y apparaît justement, portable à l'oreille, sans les voir juste au-dessus de lui. En un éclair, ils descendent en rappel et l'interpellent. L'individu, très connu de la police et semble-t-il sorti récemment de prison, a été placé en garde à vue.
t B. DU.
===========================
il a l'air d'aimer le spectacle, pour en appeler au GIPN... mais bon à 35 ans tout est possible...
Le GIPN déloge un forcené d'un appartement, hier
vendredi 14.08.2009, 04:42 - La Voix du Nord
Hier après-midi, un forcené s'est retranché dans un appartement de Lille-Moulins. Le GIPN est intervenu.
Tout commence dans la matinée. Une femme se présente à l'accueil du siège de Lille Métropole Habitat, à côté de la station de métro Porte de Valenciennes, boulevard de Belfort. Elle vit à quelques mètres de là, dans un appartement du bailleur social, rue Naquet.
« Elle est venue en prétextant payer une partie de son loyer en liquide. En fait, elle a sollicité notre aide car son ex-compagnon l'avait frappée dans la matinée », explique LMH. En début d'après-midi, des employés et policiers se rendent au logement, situé au cinquième et dernier étage, pour changer les serrures. L'ex-concubin, âgé de 35 ans, s'y trouve. Très énervé, il se retranche. De la fenêtre, il balance toutes sortes d'objets : télévision, sèchoir à linge, porte, chaises... L'un d'eux détruit le pare-brise arrière d'une voiture en stationnement.
Unité d'élite
D'importants renforts de police convergent, avec les pompiers. L'affaire vire au « spectacle », auquel assistent des dizaines de badauds.
Beaucoup filment ou photographient avec des téléphones portables.
Le gaz est coupé et l'immeuble évacué. Le forcené, seul, n'est armé que de couteaux. La crainte principale, c'est qu'il se jette dans le vide. Parfois, il se montre à la fenêtre, menaçant de sauter, lançant des insultes et réclamant... le GIPN ! Son souhait est exaucé face à une situation qui s'éternise.
Arrive donc le GIPN, avec ses hommes en noir, cagoulés et lourdement équipés. L'unité policière d'élite se déploie. Deux de ses agents montent sur le toit de l'immeuble, afin de passer, avec harnais et cordes, par le balcon arrière.
Vers 17 h 45, le trentenaire y apparaît justement, portable à l'oreille, sans les voir juste au-dessus de lui. En un éclair, ils descendent en rappel et l'interpellent. L'individu, très connu de la police et semble-t-il sorti récemment de prison, a été placé en garde à vue.
t B. DU.
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il a l'air d'aimer le spectacle, pour en appeler au GIPN... mais bon à 35 ans tout est possible...
vendredi 14 août 2009
drame familial
Spiegel.online :
Ehepaar tötet behindertes Kind und sich selbst
Familientragödie in Düsseldorf: Die Polizei hat in einer Wohnung ein Ehepaar und dessen kleinen Sohn tot aufgefunden. Nach ersten Erkenntnissen gehen die Ermittler von einem sogenannten erweiterten Selbstmord aus - auch, weil ein Abschiedsbrief gefunden wurde.
Düsseldorf - Bei den Toten handelt es sich um einen 44-jährigen Diplomingenieur, seine 27-jährige Ehefrau und ihren gemeinsamen vierjährigen Sohn. Die Eltern hätten zuerst das schwerbehinderte Kind und anschließend sich selbst umgebracht, berichteten Polizei und Staatsanwaltschaft am Freitag.
Die Familie war bereits am späten Donnerstagnachmittag in ihrer Wohnung gefunden worden. Besorgte Nachbarn hatten die Polizei gerufen, weil sie die drei seit mehreren Tagen nicht mehr gesehen hatten. Daraufhin wurde die Wohnungstür aufgebrochen und die drei Leichen gefunden.
Bei der Familientragödie handele es sich offenbar um einen erweiterten Suizid, sagte Staatsanwalt Johannes Mocken. Die Toten wurden laut Polizei im aufgeräumten Schlafzimmer gefunden; ebenso ein Abschiedsbrief, der von dem Ehepaar gemeinsam verfasst worden sei. Hieraus und aus Befragungen des sozialen Umfeldes der Familie ergebe sich, dass die Eltern mit der schweren Krankheit ihres Kindes nicht zurechtgekommen seien und keinen anderen Ausweg mehr gesehen hätten.
Der Sohn war laut Mocken erheblich behindert und hatte keine Aussicht auf Besserung seines Gesundheitszustands. Dass die Eltern mit der Erkrankung ihres Wunschkindes nicht fertig geworden seien, hätten auch zahlreiche Nachbarn bestätigt, sagte der Staatsanwalt.
Einzelheiten zu den Todesumständen wollten weder Polizei noch Staatsanwaltschaft nennen. Das Ereignis sei tragisch und traurig genug, sagte ein Polizeisprecher.
siu/AP/ddp
========================
les parents âgés respectivement de 44 et 27 ans se seraient suicidés après avoir tué leur petit garçon gravement handicapé. il ne supportaient apparemment plus le handicap définitif de leur enfant.
on peut avoir des tendances suicidaires et des tendances plus fréquentes et importantes en période critique septennale : il faut en tenir compte.
ici reste à voir lequel des deux parents a été prédominant pour ce dramatique passage à l'acte.
on entre en période critique septennale à 27 ans et demi - moment charnière particulièrement "à risque", et ce pourrait être la situation de l'épouse...
le mari est passé par sa période critique de 41 ans et demi à 43 ans : on en sort indemne si tout se passe bien, mais pas forcément s'il y a problème, ce qui est aussi le cas ici, en raison du sévère handicap de leur petit enfant né il y a 4 ans...
Ehepaar tötet behindertes Kind und sich selbst
Familientragödie in Düsseldorf: Die Polizei hat in einer Wohnung ein Ehepaar und dessen kleinen Sohn tot aufgefunden. Nach ersten Erkenntnissen gehen die Ermittler von einem sogenannten erweiterten Selbstmord aus - auch, weil ein Abschiedsbrief gefunden wurde.
Düsseldorf - Bei den Toten handelt es sich um einen 44-jährigen Diplomingenieur, seine 27-jährige Ehefrau und ihren gemeinsamen vierjährigen Sohn. Die Eltern hätten zuerst das schwerbehinderte Kind und anschließend sich selbst umgebracht, berichteten Polizei und Staatsanwaltschaft am Freitag.
Die Familie war bereits am späten Donnerstagnachmittag in ihrer Wohnung gefunden worden. Besorgte Nachbarn hatten die Polizei gerufen, weil sie die drei seit mehreren Tagen nicht mehr gesehen hatten. Daraufhin wurde die Wohnungstür aufgebrochen und die drei Leichen gefunden.
Bei der Familientragödie handele es sich offenbar um einen erweiterten Suizid, sagte Staatsanwalt Johannes Mocken. Die Toten wurden laut Polizei im aufgeräumten Schlafzimmer gefunden; ebenso ein Abschiedsbrief, der von dem Ehepaar gemeinsam verfasst worden sei. Hieraus und aus Befragungen des sozialen Umfeldes der Familie ergebe sich, dass die Eltern mit der schweren Krankheit ihres Kindes nicht zurechtgekommen seien und keinen anderen Ausweg mehr gesehen hätten.
Der Sohn war laut Mocken erheblich behindert und hatte keine Aussicht auf Besserung seines Gesundheitszustands. Dass die Eltern mit der Erkrankung ihres Wunschkindes nicht fertig geworden seien, hätten auch zahlreiche Nachbarn bestätigt, sagte der Staatsanwalt.
Einzelheiten zu den Todesumständen wollten weder Polizei noch Staatsanwaltschaft nennen. Das Ereignis sei tragisch und traurig genug, sagte ein Polizeisprecher.
siu/AP/ddp
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les parents âgés respectivement de 44 et 27 ans se seraient suicidés après avoir tué leur petit garçon gravement handicapé. il ne supportaient apparemment plus le handicap définitif de leur enfant.
on peut avoir des tendances suicidaires et des tendances plus fréquentes et importantes en période critique septennale : il faut en tenir compte.
ici reste à voir lequel des deux parents a été prédominant pour ce dramatique passage à l'acte.
on entre en période critique septennale à 27 ans et demi - moment charnière particulièrement "à risque", et ce pourrait être la situation de l'épouse...
le mari est passé par sa période critique de 41 ans et demi à 43 ans : on en sort indemne si tout se passe bien, mais pas forcément s'il y a problème, ce qui est aussi le cas ici, en raison du sévère handicap de leur petit enfant né il y a 4 ans...
récidiviste septennal
France Info :
"Un préfet suspendu après une plainte pour "injures à caractère raciste"
France Info - 06:20
La décision a été prise hier par le ministère de l’Intérieur. Paul Girot de Langlade, coordinateur des Etats généraux de l’Outre-mer pour l’ile de la Réunion, aurait tenu des propos déplacés à l’encontre d’un agent de sécurité de l’aéroport d’Orly. Il a été suspendu de ses fonctions suite à un dépôt de plainte.
"On se croirait en Afrique" et "il n’y a que des noirs ici".... D’après le site internet Bakchich, qui se fait l’écho de l’affaire révélée par le site réunionnais Zinfos 974, voilà les propos qu’aurait tenus Paul Girot de Langlade le 31 juillet dernier à une employée de l’aéroport d’Orly.
L’agent de sécurité, d’origine antillaise, vient en effet de demander au préfet de vider ses poches après que l’alarme du portique a retenti à son passage. Ce dernier sort alors de ses gonds et c’est le dérapage verbal, à caractère raciste.
L’employée a immédiatement porté plainte au commissariat de Corbeil-Essonnes. Plainte transmise au parquet de Créteil le 11 août, a indiqué une source judiciaire. Hier, le ministère de l’Intérieur a décidé de suspendre Paul Girot de Langlade de sa fonction de coordinateur des Etats généraux de l’Outre-mer pour l’ile de la Réunion.
Il faut dire que ce n’est pas la première fois que le préfet est mis en cause pour des déclarations diffamatoires de ce type. En 2002, il avait notamment lancé, lors d’une conférence de presse à Carpentras, que les gens du voyage "vivent d’escroquerie et de rapines". D’abord inquiété par la justice, il a finalement été relaxé.
=====================
wikipédia :
Paul Girot de Langlade, haut fonctionnaire français, est né le 11 août 1946 à Meilhaud (Puy de Dôme).
la période critique septennale a un effet désinhibiteur...
celle des 63 ans c'est maintenant...
en 2002 c'était celle des 56 ans...
sinon c'est encore P1 le 31 juillet (on n'est pas en forme : jour critique physique) et proximité anniversaire (période "sensible")
le 23 octobre 2002 c'était P12 autre jour critique physique...
bizarrement c'est plutôt un comportement de jour critique émotionnel en général, mais en fait le jour critique physique peut aussi nous rendre de mauvais poil... :-)
"Un préfet suspendu après une plainte pour "injures à caractère raciste"
France Info - 06:20
La décision a été prise hier par le ministère de l’Intérieur. Paul Girot de Langlade, coordinateur des Etats généraux de l’Outre-mer pour l’ile de la Réunion, aurait tenu des propos déplacés à l’encontre d’un agent de sécurité de l’aéroport d’Orly. Il a été suspendu de ses fonctions suite à un dépôt de plainte.
"On se croirait en Afrique" et "il n’y a que des noirs ici".... D’après le site internet Bakchich, qui se fait l’écho de l’affaire révélée par le site réunionnais Zinfos 974, voilà les propos qu’aurait tenus Paul Girot de Langlade le 31 juillet dernier à une employée de l’aéroport d’Orly.
L’agent de sécurité, d’origine antillaise, vient en effet de demander au préfet de vider ses poches après que l’alarme du portique a retenti à son passage. Ce dernier sort alors de ses gonds et c’est le dérapage verbal, à caractère raciste.
L’employée a immédiatement porté plainte au commissariat de Corbeil-Essonnes. Plainte transmise au parquet de Créteil le 11 août, a indiqué une source judiciaire. Hier, le ministère de l’Intérieur a décidé de suspendre Paul Girot de Langlade de sa fonction de coordinateur des Etats généraux de l’Outre-mer pour l’ile de la Réunion.
Il faut dire que ce n’est pas la première fois que le préfet est mis en cause pour des déclarations diffamatoires de ce type. En 2002, il avait notamment lancé, lors d’une conférence de presse à Carpentras, que les gens du voyage "vivent d’escroquerie et de rapines". D’abord inquiété par la justice, il a finalement été relaxé.
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wikipédia :
Paul Girot de Langlade, haut fonctionnaire français, est né le 11 août 1946 à Meilhaud (Puy de Dôme).
la période critique septennale a un effet désinhibiteur...
celle des 63 ans c'est maintenant...
en 2002 c'était celle des 56 ans...
sinon c'est encore P1 le 31 juillet (on n'est pas en forme : jour critique physique) et proximité anniversaire (période "sensible")
le 23 octobre 2002 c'était P12 autre jour critique physique...
bizarrement c'est plutôt un comportement de jour critique émotionnel en général, mais en fait le jour critique physique peut aussi nous rendre de mauvais poil... :-)
jeudi 13 août 2009
culture à risque
LeParisien.fr :
Elle fait ses courses à la ferme... et reçoit 70 tirs de plomb
Drôle de surprise pour des courses à la ferme. Lundi matin, une femme agée d'une cinquantaine d'année a touchée par plus de 70 tirs de plombs alors qu'elle voulait acheter des légumes dans une ferme d'Anglade en Gironde. La quinquagénaire n'a heureusement été que légèrement blessée.
En foulant la propriété, elle aurait déclenché malgré elle un piège artisanal mis en place par l'agriculteur selon la radio Europe 1 qui révèle l'affaire ce mercredi matin.
Un fil de nylon enclenchait un système qui provoquait les tirs.
Interrogé par les gendarmes, le cultivateur de 43 ans a expliqué qu'il souhaitait protéger son exploitation. Mais les enquêteurs ont découvert que l'exploitant méfiant cultivait des plants de cannabis, qui aurait pû interresser des visiteurs curieux.
L'agriculteur a été jugé en comparution immédiate et condamné pour «blessures volontaire» à 4 mois avec surcis, et pourrait être poursuivit pour culture de cannabis.
======================
il serait intéressant de savoir de quand date ces idées de culture de cannabis et de piège à feu... car l'agriculteur sort à peine de sa période critique septennale des 42 ans...
Elle fait ses courses à la ferme... et reçoit 70 tirs de plomb
Drôle de surprise pour des courses à la ferme. Lundi matin, une femme agée d'une cinquantaine d'année a touchée par plus de 70 tirs de plombs alors qu'elle voulait acheter des légumes dans une ferme d'Anglade en Gironde. La quinquagénaire n'a heureusement été que légèrement blessée.
En foulant la propriété, elle aurait déclenché malgré elle un piège artisanal mis en place par l'agriculteur selon la radio Europe 1 qui révèle l'affaire ce mercredi matin.
Un fil de nylon enclenchait un système qui provoquait les tirs.
Interrogé par les gendarmes, le cultivateur de 43 ans a expliqué qu'il souhaitait protéger son exploitation. Mais les enquêteurs ont découvert que l'exploitant méfiant cultivait des plants de cannabis, qui aurait pû interresser des visiteurs curieux.
L'agriculteur a été jugé en comparution immédiate et condamné pour «blessures volontaire» à 4 mois avec surcis, et pourrait être poursuivit pour culture de cannabis.
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il serait intéressant de savoir de quand date ces idées de culture de cannabis et de piège à feu... car l'agriculteur sort à peine de sa période critique septennale des 42 ans...
Chemitta
Chemitta
"Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Cet article est une ébauche concernant la culture juive ou le judaïsme.
La Shmita ou Shemitah (en hébreu : שְׁמִטָּה -- "[Année de] Rémission") est une année sabbatique définie par la Torah pour l'agriculture : tous les sept ans, les agriculteurs juifs doivent observer une année de jachère. En quelque sorte, les terres doivent se reposer comme les humains doivent le faire le 7e jour de la semaine.
===================
la pause du 7ème jour de la semaine correspond en fait à notre jour critique émotionnel : en réalité il est individuel - il est notre "dimanche" individuel, que l'on devrait pouvoir prendre en compte. mais comme cela est difficile dans notre système de société nous avons instauré un dimanche collectif (samedi pour les israelites et vendredi pour les musulmans). cela donne lieu à des tas de problèmes, puisque le dimanche individuel ne peut plus être respecté...
en plus alors que j'écrivais que la journée biorythmique allait de 18H à 18H et non comme nos journées officielles de 0H à 0H je découvre :
"Le Sabbat est le jour de repos hebdomadaire (du vendredi soir au samedi soir) consacré à Dieu dont la Loi mosaique fait à tout juif une stricte obligation."
quant à la période critique septennale elle représente là aussi notre "année sabbatique" individuelle... dont on devrait tenir compte car cela éviterait des tas de problèmes et certainement aussi un bon nombre de drames...
"Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Cet article est une ébauche concernant la culture juive ou le judaïsme.
La Shmita ou Shemitah (en hébreu : שְׁמִטָּה -- "[Année de] Rémission") est une année sabbatique définie par la Torah pour l'agriculture : tous les sept ans, les agriculteurs juifs doivent observer une année de jachère. En quelque sorte, les terres doivent se reposer comme les humains doivent le faire le 7e jour de la semaine.
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la pause du 7ème jour de la semaine correspond en fait à notre jour critique émotionnel : en réalité il est individuel - il est notre "dimanche" individuel, que l'on devrait pouvoir prendre en compte. mais comme cela est difficile dans notre système de société nous avons instauré un dimanche collectif (samedi pour les israelites et vendredi pour les musulmans). cela donne lieu à des tas de problèmes, puisque le dimanche individuel ne peut plus être respecté...
en plus alors que j'écrivais que la journée biorythmique allait de 18H à 18H et non comme nos journées officielles de 0H à 0H je découvre :
"Le Sabbat est le jour de repos hebdomadaire (du vendredi soir au samedi soir) consacré à Dieu dont la Loi mosaique fait à tout juif une stricte obligation."
quant à la période critique septennale elle représente là aussi notre "année sabbatique" individuelle... dont on devrait tenir compte car cela éviterait des tas de problèmes et certainement aussi un bon nombre de drames...
Vincent Perez
Pure-People :
Vincent Perez : le comédien brise la promesse qu'il avait faite...
....
Cela faisait quatre ans déjà que Vincent Perez avait déserté les plateaux de cinéma. ............
Celui qui avait annoncé qu'on ne le verrait plus dans un film en costumes,
............
===================
les poses, changements de cap, ou décisions de s'arrêter sont souvent le fait d'une période critique septennale : là aussi si mes calculs sont bons Vincent Perez avait 42 ans il y a quatre ans...
Vincent Perez : le comédien brise la promesse qu'il avait faite...
....
Cela faisait quatre ans déjà que Vincent Perez avait déserté les plateaux de cinéma. ............
Celui qui avait annoncé qu'on ne le verrait plus dans un film en costumes,
............
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les poses, changements de cap, ou décisions de s'arrêter sont souvent le fait d'une période critique septennale : là aussi si mes calculs sont bons Vincent Perez avait 42 ans il y a quatre ans...
pédophile
Librairie 3ème oeil :
Un employé d'un intitut médico-éducatif détenait 94 000 images pédopornographiques
France > pédophilie
Article posté par Stéphane Bourgoin le Jeudi 13 août 2009
" Un homme âgé de 56 ans, déféré mardi soir au parquet d'Evry, sera jugé le 7 octobre par le tribunal correctionnel pour "détention d'images présentant un caractère pédopornographique", a-t-on appris mercredi de source judiciaire.
Plus de 94.000 images et 760 films à caractère pédopornographique ont été retrouvés sur son ordinateur personnel. Le suspect, inconnu des services de police, a été suspendu de son travail à l'Institut médico-éducatif de Massy (Essonne).
Une femme jalouse, pensant qu'il avait une relation adultérine, a découvert les images en fouillant sur son ordinateur. L'homme avait effectué des montages où il se mettait en scène avec des enfants."
Source : AFP (12 août 2009
======================
c'est peut-être une simple coïncidence que l'intéressé se trouve ne plein dans sa période critique septennale, mais pas sûr...
Un employé d'un intitut médico-éducatif détenait 94 000 images pédopornographiques
France > pédophilie
Article posté par Stéphane Bourgoin le Jeudi 13 août 2009
" Un homme âgé de 56 ans, déféré mardi soir au parquet d'Evry, sera jugé le 7 octobre par le tribunal correctionnel pour "détention d'images présentant un caractère pédopornographique", a-t-on appris mercredi de source judiciaire.
Plus de 94.000 images et 760 films à caractère pédopornographique ont été retrouvés sur son ordinateur personnel. Le suspect, inconnu des services de police, a été suspendu de son travail à l'Institut médico-éducatif de Massy (Essonne).
Une femme jalouse, pensant qu'il avait une relation adultérine, a découvert les images en fouillant sur son ordinateur. L'homme avait effectué des montages où il se mettait en scène avec des enfants."
Source : AFP (12 août 2009
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c'est peut-être une simple coïncidence que l'intéressé se trouve ne plein dans sa période critique septennale, mais pas sûr...
mercredi 12 août 2009
dérapage
tsr.ch :
Le président de l'UDC de la ville de Lucerne démissionne après avoir traité les Suissesses d'"épouvantails"
12.08.2009 14:46
Au coeur d'une polémique pour avoir critiqué l'apparence négligée des Suissesses et des femmes de gauche en particulier, le président de l'UDC de la ville de Lucerne, René Kuhn, démissionne. Marié à une Russe, il a créé un tollé en fustigeant les femmes de gauche "mal fagotées". Il accusait sur sa page web les Suissesses de "ne pas porter de bijoux et de ne pas se maquiller, alors qu'elles en auraient bien besoin", les taxant d'"épouvantails". Dans son message de démission, il s'est excusé. Il est en outre soupçonné d'avoir espionné les mails d'un élu du PS et est sous le coup d'une procédure pénale. (SWISS TXT)
================
drôle d'idée un tel dérapage pour un homme public/politique...
je suis bien sûr allé du même pas voir quel est son âge... 42 ans...
la période critique septennale peut nous rendre "différents" et nous n'avons alors pas les mêmes instruments de mesure dans la tête ; nous pouvons être "désinhibés", aussi... je n'ai pas trouvé la date du texte mais l'intéressé était dans son "jour de colère" dimanche soir et lundi :
août 2009 (17/04/1967)
Sa 8
Di 9
Lu 10 P(1) E(1)
Ma 11
Me 12
Le président de l'UDC de la ville de Lucerne démissionne après avoir traité les Suissesses d'"épouvantails"
12.08.2009 14:46
Au coeur d'une polémique pour avoir critiqué l'apparence négligée des Suissesses et des femmes de gauche en particulier, le président de l'UDC de la ville de Lucerne, René Kuhn, démissionne. Marié à une Russe, il a créé un tollé en fustigeant les femmes de gauche "mal fagotées". Il accusait sur sa page web les Suissesses de "ne pas porter de bijoux et de ne pas se maquiller, alors qu'elles en auraient bien besoin", les taxant d'"épouvantails". Dans son message de démission, il s'est excusé. Il est en outre soupçonné d'avoir espionné les mails d'un élu du PS et est sous le coup d'une procédure pénale. (SWISS TXT)
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drôle d'idée un tel dérapage pour un homme public/politique...
je suis bien sûr allé du même pas voir quel est son âge... 42 ans...
la période critique septennale peut nous rendre "différents" et nous n'avons alors pas les mêmes instruments de mesure dans la tête ; nous pouvons être "désinhibés", aussi... je n'ai pas trouvé la date du texte mais l'intéressé était dans son "jour de colère" dimanche soir et lundi :
août 2009 (17/04/1967)
Sa 8
Di 9
Lu 10 P(1) E(1)
Ma 11
Me 12
Burkini
Elle.fr :
UNE FEMME EN « BURQINI » RELANCE LA POLÉMIQUE SUR LA BURQA
Deux mois après la polémique sur la burqa, le burqini relance le débat. Mélange de « burqa » et de « bikini », le « burqini » désigne la tenue de bain islamique très couvrante, composée d’un voile, d’une tunique et d’un pantalon.
Selon « Le Parisien », Carole, une jeune française de 35 ans, convertie à l’islam à l’adolescence, s’est vue refuser l’accès au bassin pour port de « burkini ». Les faits se sont passés le 1er août à la piscine municipale d’Emerainville en Seine-et-Marne. La jeune femme avait acheté son burqini à Dubaï. « En le prenant, je m’étais dit que cela pouvait m’autoriser le plaisir de la baignade sans trop me découvrir, comme le recommande l’islam » explique-t-elle au « Parisien ». Elle appelle plusieurs piscines qui lui disent refuser le burqini avant d’opter pour celle d’Emerainville, où elle a ses habitudes. Les responsables lui refusent l’entrée et ne voient pas là l’objet d’une polémique. Selon Daniel Guillaume, vice président du syndicat intercommunal en charge du sport, il n’y aucun « préjugé » dans cette affaire. Il affirme qu’il s’agit de faire respecter le règlement de la piscine, qui consiste à autoriser uniquement la tenue réglementaire, « maillot de bain et bonnet » avec une douche au préalable. J.DLR
=========================
il serait intéressant de savoir, comme "elle y a ses habitudes" si c'était en en burkini ou en maillot de bain ?
survient une période critique septennale... on change d'habitude et l'on va se baigner en "burkini"...
et oui cela peut faire partie des "pulsions bizarres" - frisant la provocation - qui peuvent nous prendre dans ces périodes bien particulières que sont les périodes critiques du cycle psychique et émotionnel septennal...
UNE FEMME EN « BURQINI » RELANCE LA POLÉMIQUE SUR LA BURQA
Deux mois après la polémique sur la burqa, le burqini relance le débat. Mélange de « burqa » et de « bikini », le « burqini » désigne la tenue de bain islamique très couvrante, composée d’un voile, d’une tunique et d’un pantalon.
Selon « Le Parisien », Carole, une jeune française de 35 ans, convertie à l’islam à l’adolescence, s’est vue refuser l’accès au bassin pour port de « burkini ». Les faits se sont passés le 1er août à la piscine municipale d’Emerainville en Seine-et-Marne. La jeune femme avait acheté son burqini à Dubaï. « En le prenant, je m’étais dit que cela pouvait m’autoriser le plaisir de la baignade sans trop me découvrir, comme le recommande l’islam » explique-t-elle au « Parisien ». Elle appelle plusieurs piscines qui lui disent refuser le burqini avant d’opter pour celle d’Emerainville, où elle a ses habitudes. Les responsables lui refusent l’entrée et ne voient pas là l’objet d’une polémique. Selon Daniel Guillaume, vice président du syndicat intercommunal en charge du sport, il n’y aucun « préjugé » dans cette affaire. Il affirme qu’il s’agit de faire respecter le règlement de la piscine, qui consiste à autoriser uniquement la tenue réglementaire, « maillot de bain et bonnet » avec une douche au préalable. J.DLR
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il serait intéressant de savoir, comme "elle y a ses habitudes" si c'était en en burkini ou en maillot de bain ?
survient une période critique septennale... on change d'habitude et l'on va se baigner en "burkini"...
et oui cela peut faire partie des "pulsions bizarres" - frisant la provocation - qui peuvent nous prendre dans ces périodes bien particulières que sont les périodes critiques du cycle psychique et émotionnel septennal...
suicide
LeFigaro.fr :
France Télécom: nouveau suicide
AFP
12/08/2009
Entre 120 et 150 salariés de France Télécom manifestaient ce matin à Besançon après le suicide d'un agent dans la nuit de lundi à mardi dans son garage, a-t-on appris de source syndicale. "Depuis février 2008, c'est le 20e suicide enregistré à France Télécom par l'Observatoire du stress et de la mobilité forcée" créé par les syndicats Sud PTT et CFE-CGC, a indiqué à l'AFP Patrick Ackermann, délégué central de la fédération Sud PTT. Il a précisé qu'il y avait eu en outre 12 tentatives depuis février 2008, mais que c'était aussi le 4e suicide depuis le 14 juillet, même si "tous ces suicides ne sont pas équivalents".
Les salariés venus de tous les sites bisontins s'étaient réunis aujourd'hui à l'appel de la CGT et Sud PTT devant le siège de l'entreprise tandis que le directeur territorial Est Jean-Claude Burtin s'est rendu sur place à 10H00. Une cellule d'écoute a été mise en place pour les collègues du salarié.
Nicolas G., 28 ans, célibataire et sans enfant, exerçait comme technicien télécoms et "avait récemment été nommé sur un poste qu'il a ressenti comme très disqualifiant", a expliqué à l'AFP Jacques Trimaille, délégué Sud PTT. L'agent avait dû être hospitalisé et était suivi depuis. "C'est un problème global. Il n'y a peut-être pas qu'une seule cause, mais à 90% c'est un problème d'entreprise", a-t-il encore accusé.
Le 14 juillet, un salarié s'est suicidé à Marseille en mettant en cause dans une lettre son travail au sein du groupe et notamment la "surcharge de travail" et le "management par la terreur".
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nouveau suicide... septennal...
jour critique émotionnel ?
France Télécom: nouveau suicide
AFP
12/08/2009
Entre 120 et 150 salariés de France Télécom manifestaient ce matin à Besançon après le suicide d'un agent dans la nuit de lundi à mardi dans son garage, a-t-on appris de source syndicale. "Depuis février 2008, c'est le 20e suicide enregistré à France Télécom par l'Observatoire du stress et de la mobilité forcée" créé par les syndicats Sud PTT et CFE-CGC, a indiqué à l'AFP Patrick Ackermann, délégué central de la fédération Sud PTT. Il a précisé qu'il y avait eu en outre 12 tentatives depuis février 2008, mais que c'était aussi le 4e suicide depuis le 14 juillet, même si "tous ces suicides ne sont pas équivalents".
Les salariés venus de tous les sites bisontins s'étaient réunis aujourd'hui à l'appel de la CGT et Sud PTT devant le siège de l'entreprise tandis que le directeur territorial Est Jean-Claude Burtin s'est rendu sur place à 10H00. Une cellule d'écoute a été mise en place pour les collègues du salarié.
Nicolas G., 28 ans, célibataire et sans enfant, exerçait comme technicien télécoms et "avait récemment été nommé sur un poste qu'il a ressenti comme très disqualifiant", a expliqué à l'AFP Jacques Trimaille, délégué Sud PTT. L'agent avait dû être hospitalisé et était suivi depuis. "C'est un problème global. Il n'y a peut-être pas qu'une seule cause, mais à 90% c'est un problème d'entreprise", a-t-il encore accusé.
Le 14 juillet, un salarié s'est suicidé à Marseille en mettant en cause dans une lettre son travail au sein du groupe et notamment la "surcharge de travail" et le "management par la terreur".
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nouveau suicide... septennal...
jour critique émotionnel ?
infanticide
Une mère reconnaît avoir noyé ses deux enfants
Cette femme âgée de 39 ans a dit aux policiers avoir noyé les enfants, Teddy et Lisa, pour "les protéger de la mafia" puis avoir tenté de mettre fin à ses jours, a-t-on précisé de source judiciaire.
La mort par noyade a été confirmée par les premières constatations médico-légales.
Inconnue des services de police et sans antécédent psychiatrique connu jusqu'à ce jour, cette femme devait subir des examens psychiatriques complémentaires.
L'enquête ouverte initialement pour "homicide" pourrait déboucher sur une mise en examen pour "homicide volontaire", a-t-on précisé de même source.
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je prends note de ce drame, bien que pas de période critique septennale ici, puisque la personne est âgée de 39 ans. or les infanticides arrivent souvent en période critique septennale de leur auteur...
reste à vérifier si la personne a git son jour critique émotionnel, qui est un autre "élément déclencheur". elle serait dans ce cas une native du mardi, puisque les faits se sont produits mardi matin.
édit :
Le Progrès de Lyon :
"Après l'avoir examinée, un expert psychiatre a considéré que Véronique, 39 ans, mère au foyer, avait pu agir « au cours d'un épisode psychotique avec délire de persécution », a précisé le procureur adjoint. Selon l'expert-psychiatre, elle présentait au moment des faits une « altération du discernement et du contrôle de ses actes » mais non une abolition. Elle serait donc pénalement responsable mais avec une atténuation de responsabilité en raison de son état psychique. Selon une source proche de l'enquête, la mère a pu agir sous l'emprise d'un état délirant mais elle avait préalablement « réfléchi à son geste ». Pour preuve, une lettre qu'elle a laissée à son compagnon explicitant son acte. « Ce n'est pas l'écrit de quelqu'un qui aurait cédé à une pulsion subite », a ajouté cette source."
l'âge du père serait intéressant aussi... pas trouvé.
Cette femme âgée de 39 ans a dit aux policiers avoir noyé les enfants, Teddy et Lisa, pour "les protéger de la mafia" puis avoir tenté de mettre fin à ses jours, a-t-on précisé de source judiciaire.
La mort par noyade a été confirmée par les premières constatations médico-légales.
Inconnue des services de police et sans antécédent psychiatrique connu jusqu'à ce jour, cette femme devait subir des examens psychiatriques complémentaires.
L'enquête ouverte initialement pour "homicide" pourrait déboucher sur une mise en examen pour "homicide volontaire", a-t-on précisé de même source.
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je prends note de ce drame, bien que pas de période critique septennale ici, puisque la personne est âgée de 39 ans. or les infanticides arrivent souvent en période critique septennale de leur auteur...
reste à vérifier si la personne a git son jour critique émotionnel, qui est un autre "élément déclencheur". elle serait dans ce cas une native du mardi, puisque les faits se sont produits mardi matin.
édit :
Le Progrès de Lyon :
"Après l'avoir examinée, un expert psychiatre a considéré que Véronique, 39 ans, mère au foyer, avait pu agir « au cours d'un épisode psychotique avec délire de persécution », a précisé le procureur adjoint. Selon l'expert-psychiatre, elle présentait au moment des faits une « altération du discernement et du contrôle de ses actes » mais non une abolition. Elle serait donc pénalement responsable mais avec une atténuation de responsabilité en raison de son état psychique. Selon une source proche de l'enquête, la mère a pu agir sous l'emprise d'un état délirant mais elle avait préalablement « réfléchi à son geste ». Pour preuve, une lettre qu'elle a laissée à son compagnon explicitant son acte. « Ce n'est pas l'écrit de quelqu'un qui aurait cédé à une pulsion subite », a ajouté cette source."
l'âge du père serait intéressant aussi... pas trouvé.
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