http://www.leparisien.fr/chilly-mazarin-91380/morangis-une-cellule-psychologique-apres-le-suicide-du-proviseur-30-08-2011-1584049.php
Morangis : une cellule psychologique après le suicide du proviseur
morangis, Lycée Marguerite-Yourcenar, hier. Le proviseur, âgé de 55 ans, a été retrouvé mort dans son logement de fonction situé dans l’enceinte de l’établissement.
...................
Pas de signe avant-coureur
Pour l’instant, les raisons de cet acte désespéré ne sont pas encore déterminées. D’après les premiers éléments de l’enquête, il s’agirait d’un motif d’ordre personnel et non professionnel. « Il n’y a eu aucun signe avant-coureur, confirme Christian Wassenberg, l’inspecteur d’académie. Au contraire, c’était un collaborateur très précieux, un proviseur actif, quelqu’un d’attentif, à l’écoute de ses élèves. Nous sommes tous très affectés. »
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mardi 30 août 2011
lundi 29 août 2011
drame familial
http://www.leparisien.fr/faits-divers/des-vacanciers-retrouves-morts-en-corse-la-piste-du-drame-familial-29-08-2011-1583703.php
Des vacanciers retrouvés morts en Corse : la piste du drame familial.
Le père de famille aurait envoyé une lettre au sous-préfet de Calvi (Haute-Corse) annonçant son terrible geste. Ce lundi, vers 17 heures selon Europe 1, les gendarmes ont découvert quatre cadavres au rez-de-chaussée d'un petit immeuble d'Alcajola, entre Calvi et l'Ile Rousse.
Il s'agit des corps d'un couple et de ses deux enfants. Selon les premiers éléments de l'enquête, le père de famille - un vacancier originaire de l'Isère - se serait suicidé après avoir tué par balles sa femme et leurs deux enfants.
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pas de précision d'âge, pour le moment...
édit 30/08 :
http://www.leparisien.fr/faits-divers/drame-familial-en-corse-le-pere-de-famille-etait-depressif-29-08-2011-1583703.php
Les gendarmes ont découvert lundi les corps de Stéphane Saada, 50 ans, de son épouse Corinne, 51 ans, de leur fille de 12 ans et de leur fils de 10 ans, au rez-de-chaussée d'un petit immeuble d'Alcajola, une station balnéaire entre Calvi et l'Ile Rousse, très fréquentée l'été. Les gendarmes ont trouvé sur place «une carabine et des médicaments».
......................
Un pére de famille «dépressif»Le père de famille était dans «un état dépressif avancé» et connaissait des «difficultés personnelles et professionnelles»,.............
===============
la période critique septennale des 49 ans... est à côté... et vient de passer...
(dépression septennale ? dans les cas extrêmes, elle peut nous faire perdre la raison...)
édit 20/07/2012 pour un autre article contenant un élément "date" :
http://www.corsematin.com/article/faits-divers/drame-dalgajola-le-pere-de-famille-souffrait-dune-profonde-depression.449010.html
Drame d'Algajola : le père de famille souffrait d'une profonde "dépression" (.....)
Stéphane Saada, ce père de famille de 50 ans n'a pas renoncé, sa main n'a pas faibli, il a accompli son rôle de bourreau. (.....)
Quant aux faits eux-mêmes, il est encore prématuré d'en retracer la chronologie, les premières constatations de l'identité judiciaire laissent penser que la mort remonte à plusieurs jours.(.....)
Il a été confirmé que le courrier daté du 18 août 2011 de Grenoble a été oblitéré à Calvi le 26, et réceptionné en sous-préfecture le 29, en matinée, puis ouvert un peu avant 16 heures.
=============
une lettre écrite le 18 août 2011 (un jeudi) et oblitérée le 26 (un vendredi) pourrait signifier un jour critique émotionnel le jeudi...
ce serait à vérifier mais cela pourrait vouloir dire que l'homme s'est laissé un délai de réflexion d'une semaine, d'un jour critique au suivant... (le jour critique émotionnel est un jour "pulsions/désinhibition")
Des vacanciers retrouvés morts en Corse : la piste du drame familial.
Le père de famille aurait envoyé une lettre au sous-préfet de Calvi (Haute-Corse) annonçant son terrible geste. Ce lundi, vers 17 heures selon Europe 1, les gendarmes ont découvert quatre cadavres au rez-de-chaussée d'un petit immeuble d'Alcajola, entre Calvi et l'Ile Rousse.
Il s'agit des corps d'un couple et de ses deux enfants. Selon les premiers éléments de l'enquête, le père de famille - un vacancier originaire de l'Isère - se serait suicidé après avoir tué par balles sa femme et leurs deux enfants.
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pas de précision d'âge, pour le moment...
édit 30/08 :
http://www.leparisien.fr/faits-divers/drame-familial-en-corse-le-pere-de-famille-etait-depressif-29-08-2011-1583703.php
Les gendarmes ont découvert lundi les corps de Stéphane Saada, 50 ans, de son épouse Corinne, 51 ans, de leur fille de 12 ans et de leur fils de 10 ans, au rez-de-chaussée d'un petit immeuble d'Alcajola, une station balnéaire entre Calvi et l'Ile Rousse, très fréquentée l'été. Les gendarmes ont trouvé sur place «une carabine et des médicaments».
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Un pére de famille «dépressif»Le père de famille était dans «un état dépressif avancé» et connaissait des «difficultés personnelles et professionnelles»,.............
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la période critique septennale des 49 ans... est à côté... et vient de passer...
(dépression septennale ? dans les cas extrêmes, elle peut nous faire perdre la raison...)
édit 20/07/2012 pour un autre article contenant un élément "date" :
http://www.corsematin.com/article/faits-divers/drame-dalgajola-le-pere-de-famille-souffrait-dune-profonde-depression.449010.html
Drame d'Algajola : le père de famille souffrait d'une profonde "dépression" (.....)
Stéphane Saada, ce père de famille de 50 ans n'a pas renoncé, sa main n'a pas faibli, il a accompli son rôle de bourreau. (.....)
Quant aux faits eux-mêmes, il est encore prématuré d'en retracer la chronologie, les premières constatations de l'identité judiciaire laissent penser que la mort remonte à plusieurs jours.(.....)
Il a été confirmé que le courrier daté du 18 août 2011 de Grenoble a été oblitéré à Calvi le 26, et réceptionné en sous-préfecture le 29, en matinée, puis ouvert un peu avant 16 heures.
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une lettre écrite le 18 août 2011 (un jeudi) et oblitérée le 26 (un vendredi) pourrait signifier un jour critique émotionnel le jeudi...
ce serait à vérifier mais cela pourrait vouloir dire que l'homme s'est laissé un délai de réflexion d'une semaine, d'un jour critique au suivant... (le jour critique émotionnel est un jour "pulsions/désinhibition")
suicides
http://www.metrofrance.com/info/societe-generale-deux-suicides-sur-le-lieu-de-travail/mkhC!uDYU4o5c3xXEQ/
Deux salariés de la Société Générale se sont suicidés au mois d'août sur leur lieu de travail
Société Générale : deux suicides sur le lieu de travail
Deux salariés de la Société Générale ont mis fin à leurs jours sur leur lieu de travail en août. Une enquête a été ouverte pour déterminer si ces gestes sont liés ou non à l'environnement professionnel.
Deux suicides en moins d'un mois au sein du groupe Société Générale. Si "aucun élément ne permet de lier ces drames à l'environnement professionnel" indique la direction du groupe, les faits qui se sont déroulés sur le lieu de travail interpellent. D'autant plus que ces drames ont eu lieu dans un contexte bien particulier pour le groupe, "malmené par les marchés" et victime "d’attaques de rumeurs à répétition", note Le Parisien qui a révélé l'affaire ce lundi.
Parlant de "deux gestes extrêmement choquants", un responsable de la CFDT a précisé à l'AFP que "le premier salarié s'est jeté de la terrasse de l'immeuble en plein midi et le second s'est pendu dans un local technique dans l'après-midi". Respectivement le 9 août sur le site de Schiltigheim (Bas-Rhin) et le 24 août dans les locaux de Val de Fontenay à Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne).
Aucun des deux salariés - âgés de 49 et 58 ans - n'aurait laissé de message pour expliquer les raisons de leur geste.................
======================
un suicide septennal (période critique septennale des 49 ans) possiblement lié à une dépression septennale...
le second pourrait être un suicide septennal "indirect" : une période critique des 56 ans qui se passe mal et une dépression septennale qui s'ancre... cela peut conduire à un drame bien après la période critique... mais 58 ans est aussi une année critique physique P12 pouvant entraîner certains problèmes : c'est le parcours de la personne qui est bien sûr à examiner...
Deux salariés de la Société Générale se sont suicidés au mois d'août sur leur lieu de travail
Société Générale : deux suicides sur le lieu de travail
Deux salariés de la Société Générale ont mis fin à leurs jours sur leur lieu de travail en août. Une enquête a été ouverte pour déterminer si ces gestes sont liés ou non à l'environnement professionnel.
Deux suicides en moins d'un mois au sein du groupe Société Générale. Si "aucun élément ne permet de lier ces drames à l'environnement professionnel" indique la direction du groupe, les faits qui se sont déroulés sur le lieu de travail interpellent. D'autant plus que ces drames ont eu lieu dans un contexte bien particulier pour le groupe, "malmené par les marchés" et victime "d’attaques de rumeurs à répétition", note Le Parisien qui a révélé l'affaire ce lundi.
Parlant de "deux gestes extrêmement choquants", un responsable de la CFDT a précisé à l'AFP que "le premier salarié s'est jeté de la terrasse de l'immeuble en plein midi et le second s'est pendu dans un local technique dans l'après-midi". Respectivement le 9 août sur le site de Schiltigheim (Bas-Rhin) et le 24 août dans les locaux de Val de Fontenay à Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne).
Aucun des deux salariés - âgés de 49 et 58 ans - n'aurait laissé de message pour expliquer les raisons de leur geste.................
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un suicide septennal (période critique septennale des 49 ans) possiblement lié à une dépression septennale...
le second pourrait être un suicide septennal "indirect" : une période critique des 56 ans qui se passe mal et une dépression septennale qui s'ancre... cela peut conduire à un drame bien après la période critique... mais 58 ans est aussi une année critique physique P12 pouvant entraîner certains problèmes : c'est le parcours de la personne qui est bien sûr à examiner...
paratonnerre
http://www.lepost.fr/article/2011/08/28/2577117_un-paysan-survit-a-6-coups-de-foudre.html
Un paysan survit à 6 coups de foudre : on l'appelle "Paratonnerre"
Ce paysan cubain est un miraculé sans que personne n'arrive réellement à expliquer pourquoi. Comme le révèle Romandie News, Jorge marquez, surnommé "Paratonnerre" et âgé de 62 ans a réussi l'exploit de survivre à 6 coups de foudre !
Touché une première fois par la foudre le 5 juin 1982 alors qu'il était sur son tracteur, ce travailleur de la terre habitant à 650 km de la Havane est tombé "raide", l'éclair lui ayant éclaté les tympans et paralysé la main droite durant quelques temps comme il l'expliquait aux journalistes l'ayant interrogé. Pour autant celui-ci a survécu à ce premier orage.
A cinq autres reprises, ce dernier va être touché par la foudre. Deux fois en 1987, en 1991, en 1998 et en 2005. Devenu une légende dans son village de Las Tunas, "Paratonnerre" ne sait pour quelles raisons il a eu la vie sauve malgré tous ces chocs électriques mais espère qu'avant sa mort il pourra être ausculté en profondeur afin que les médecins puissent lui expliquer ce qu'il s'est passé et pourquoi il a été épargné.
Après avoir été brûlé au dos et au cuir chevelu, après avoir perdu les plombages de ses molaires, Jorge Marquez avoue avoir peur à chaque fois qu'il pleut, recommandant à chaque fois son "âme à dieu", bien qu'il ait été sauvé d'une mort foudroyante à plusieurs reprises.
=============
si l'on regarde ses périodes septennales on constate curieusement que la moitié des "coups de foudre" sont des "septennaux" :
(peut-être une coïncidence mais étonnant quand même - voir aussi la notion de "prise de risque", éventuellement)
(les autres c'est 33 et 38 ans)
62 ans aujourd'hui donne une naissance en 1949
et voici alors les périodes critiques :
1949
1956
1963
1970
1977
1984
1991
1998
2005
2012
Un paysan survit à 6 coups de foudre : on l'appelle "Paratonnerre"
Ce paysan cubain est un miraculé sans que personne n'arrive réellement à expliquer pourquoi. Comme le révèle Romandie News, Jorge marquez, surnommé "Paratonnerre" et âgé de 62 ans a réussi l'exploit de survivre à 6 coups de foudre !
Touché une première fois par la foudre le 5 juin 1982 alors qu'il était sur son tracteur, ce travailleur de la terre habitant à 650 km de la Havane est tombé "raide", l'éclair lui ayant éclaté les tympans et paralysé la main droite durant quelques temps comme il l'expliquait aux journalistes l'ayant interrogé. Pour autant celui-ci a survécu à ce premier orage.
A cinq autres reprises, ce dernier va être touché par la foudre. Deux fois en 1987, en 1991, en 1998 et en 2005. Devenu une légende dans son village de Las Tunas, "Paratonnerre" ne sait pour quelles raisons il a eu la vie sauve malgré tous ces chocs électriques mais espère qu'avant sa mort il pourra être ausculté en profondeur afin que les médecins puissent lui expliquer ce qu'il s'est passé et pourquoi il a été épargné.
Après avoir été brûlé au dos et au cuir chevelu, après avoir perdu les plombages de ses molaires, Jorge Marquez avoue avoir peur à chaque fois qu'il pleut, recommandant à chaque fois son "âme à dieu", bien qu'il ait été sauvé d'une mort foudroyante à plusieurs reprises.
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si l'on regarde ses périodes septennales on constate curieusement que la moitié des "coups de foudre" sont des "septennaux" :
(peut-être une coïncidence mais étonnant quand même - voir aussi la notion de "prise de risque", éventuellement)
(les autres c'est 33 et 38 ans)
62 ans aujourd'hui donne une naissance en 1949
et voici alors les périodes critiques :
1949
1956
1963
1970
1977
1984
1991
1998
2005
2012
drame conjugal
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=37304
Un homme tue son épouse à Plombières
" Un homme de 53 ans a tué par balle son épouse de 50 ans, dimanche en début d'après-midi à leur domicile conjugal de Plombières (province de Liège).
C'est l'un des fils de la victime qui a averti la police de la zone Pays de Herve vers 14h30. A leur arrivée, les policiers ont appréhendé le tireur, Jean M., qui n'a opposé aucune résistance. Il doit encore être entendu par les forces de l'ordre.
Les raisons de cet acte ne sont pas encore connues. Le couple était marié depuis une trentaine d'années. Trois enfants, aujourd'hui âgés d'une vingtaine d'années et ne vivant pas sous le même toit que leurs parents, sont nés de cet union.
Le parquet de Verviers fera de plus amples commentaires lundi sur la qualification des faits, l'arme utilisée ainsi que les circonstances. L'autopsie doit encore avoir lieu."
Source : BELGA (29 août 2011
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Un homme tue son épouse à Plombières
" Un homme de 53 ans a tué par balle son épouse de 50 ans, dimanche en début d'après-midi à leur domicile conjugal de Plombières (province de Liège).
C'est l'un des fils de la victime qui a averti la police de la zone Pays de Herve vers 14h30. A leur arrivée, les policiers ont appréhendé le tireur, Jean M., qui n'a opposé aucune résistance. Il doit encore être entendu par les forces de l'ordre.
Les raisons de cet acte ne sont pas encore connues. Le couple était marié depuis une trentaine d'années. Trois enfants, aujourd'hui âgés d'une vingtaine d'années et ne vivant pas sous le même toit que leurs parents, sont nés de cet union.
Le parquet de Verviers fera de plus amples commentaires lundi sur la qualification des faits, l'arme utilisée ainsi que les circonstances. L'autopsie doit encore avoir lieu."
Source : BELGA (29 août 2011
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déficience intellectuelle
http://www.francesoir.fr/actualite/sante/deficience-intellectuelle-une-mutation-genes-coupable-131580.html
Révolution dans le monde scientifique. L'origine de la déficience intellectuelle est enfin connue. Cette maladie, aux causes encore obscures jusque là, serait liée à une mutation génétique. C'est en tout cas ce que montrent les résultats d'une équipe de chercheurs français, publiés dans la revue Science, ce jeudi. Cette altération bouleverse le fonctionnement de gènes permettant au cerveau de se développer, de mûrir et de s'adapter afin de fonctionner normalement. C'est donc la plasticité cérébrale (c'est-à-dire, la capacité du système nerveux central à modifier sa structure et sa fonction en réponse à des contraintes) qui serait atteinte par cette mutation.
La déficience intellectuelle est définie comme « un fonctionnement intellectuel général inférieur à la moyenne, qui s'accompagne de limitations significatives des capacités d'adaptation ». Une personne ayant une déficience intellectuelle a une capacité plus limitée d'apprentissage. Sa compréhension se développe de façon décalée par rapport à la moyenne des gens. Cela se traduit par un rythme d'adaptation plus lent et des difficultés à faire face aux exigences de la vie quotidienne. Plus couramment connu sous le nom de retard mental, ce handicap héréditaire atteint près de 3% de la population mondiale. Voilà pourquoi les résultats de cette recherche bouleversent le monde scientifique.
Encore certaines origines indéterminées
Des chercheurs français ont pu démontrer que les cellules de patients ayant un quotient intellectuel inférieur à la moyenne présentent un défaut d'expression de certains gènes impliqués dans le fonctionnement du système nerveux central. « Les patients souffrant d'une déficience intellectuelle sont porteurs de cette mutation qui modifie les protéines impliquées dans la transcription des informations », explique Laurence Colleaux, une des co-auteurs de l'analyse, basés à l'Institut de génétique et de biologie moléculaire à Strasbourg.
« Cela nous laisse penser que cette anomalie des gènes serait une signature moléculaire de ce trouble », poursuit-elle. Cependant, les résultats de ces travaux ne permettent pas d'expliquer tous les facteurs de la déficience intellectuelle. En effet, si 20% des cas sont liés à des facteurs environnementaux et 40% proviennent de causes génétiques connues, il y a encore 40% des retards mentaux qui sont d'origine incertaine
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Révolution dans le monde scientifique. L'origine de la déficience intellectuelle est enfin connue. Cette maladie, aux causes encore obscures jusque là, serait liée à une mutation génétique. C'est en tout cas ce que montrent les résultats d'une équipe de chercheurs français, publiés dans la revue Science, ce jeudi. Cette altération bouleverse le fonctionnement de gènes permettant au cerveau de se développer, de mûrir et de s'adapter afin de fonctionner normalement. C'est donc la plasticité cérébrale (c'est-à-dire, la capacité du système nerveux central à modifier sa structure et sa fonction en réponse à des contraintes) qui serait atteinte par cette mutation.
La déficience intellectuelle est définie comme « un fonctionnement intellectuel général inférieur à la moyenne, qui s'accompagne de limitations significatives des capacités d'adaptation ». Une personne ayant une déficience intellectuelle a une capacité plus limitée d'apprentissage. Sa compréhension se développe de façon décalée par rapport à la moyenne des gens. Cela se traduit par un rythme d'adaptation plus lent et des difficultés à faire face aux exigences de la vie quotidienne. Plus couramment connu sous le nom de retard mental, ce handicap héréditaire atteint près de 3% de la population mondiale. Voilà pourquoi les résultats de cette recherche bouleversent le monde scientifique.
Encore certaines origines indéterminées
Des chercheurs français ont pu démontrer que les cellules de patients ayant un quotient intellectuel inférieur à la moyenne présentent un défaut d'expression de certains gènes impliqués dans le fonctionnement du système nerveux central. « Les patients souffrant d'une déficience intellectuelle sont porteurs de cette mutation qui modifie les protéines impliquées dans la transcription des informations », explique Laurence Colleaux, une des co-auteurs de l'analyse, basés à l'Institut de génétique et de biologie moléculaire à Strasbourg.
« Cela nous laisse penser que cette anomalie des gènes serait une signature moléculaire de ce trouble », poursuit-elle. Cependant, les résultats de ces travaux ne permettent pas d'expliquer tous les facteurs de la déficience intellectuelle. En effet, si 20% des cas sont liés à des facteurs environnementaux et 40% proviennent de causes génétiques connues, il y a encore 40% des retards mentaux qui sont d'origine incertaine
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incendie
http://www.lobservateurdebeauvais.fr/Chambly--L39institutrice-decede-dans-l39incendie-de-son-pavillon,1.media?a=4931
Chambly : L'institutrice décède dans l'incendie de son pavillon
Un dramatique incendie s'est déclaré vendredi après-midi dans un pavillon à Chambly. Le sinistre a provoqué la mort de la propriétaire des lieux.
Un dramatique incendie s'est déclaré vendredi 26 août vers 15h 30, dans un pavillon de Chambly situé avenue des Martyrs. Lors de leur intervention, les pompiers venus de Chambly, Persan et Précy-sur-Oise n'ont pu que constater le décès de l'occupante des lieux au coeur du brasier. Il s'agit d' une institutrice de 56 ans. C'est un voisin qui, aperçevant de la fumée, a appelé aussiôt les pompiers et coupé le compteur à gaz pour éviter toute explosion. On ne connaît pour l'heure l'origine de l'incendie et les circonstances du décès. Une enquête est ouverte. ...............
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Chambly : L'institutrice décède dans l'incendie de son pavillon
Un dramatique incendie s'est déclaré vendredi après-midi dans un pavillon à Chambly. Le sinistre a provoqué la mort de la propriétaire des lieux.
Un dramatique incendie s'est déclaré vendredi 26 août vers 15h 30, dans un pavillon de Chambly situé avenue des Martyrs. Lors de leur intervention, les pompiers venus de Chambly, Persan et Précy-sur-Oise n'ont pu que constater le décès de l'occupante des lieux au coeur du brasier. Il s'agit d' une institutrice de 56 ans. C'est un voisin qui, aperçevant de la fumée, a appelé aussiôt les pompiers et coupé le compteur à gaz pour éviter toute explosion. On ne connaît pour l'heure l'origine de l'incendie et les circonstances du décès. Une enquête est ouverte. ...............
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dépression
http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=9505
Le sport indispensable pour guérir de la dépression
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Le sport indispensable pour guérir de la dépression
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coup de folie
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=37299
la mère d'Alost qui a battu à mort ses 2 enfants inculpée de double assassinat
" La mère est soupçonnée d’avoir frappé à mort Jamal et Michaël. Son compagnon a déjà été libéré.
Ce vendredi, peu après 14 h, un policier a fait une macabre découverte dans une rue proche du centre-ville d’Alost (Belgique).
Il avait entendu une dame hurler et jeter un vase dans la rue. Et devant son refus d’ouvrir la porte, le policier a décidé, avec l’aide de plusieurs voisins, de rentrer par la force.
Dans l’appartement du deuxième étage, l’agent de police devait écarter de nombreux détritus qui jonchaient le sol pour pouvoir évoluer dans l’appartement. Et sous un tas de vêtements, les corps des deux fils de la dame, Jamal et Michaël Junior, ont été retrouvés.
Landu G., la maman, ne pouvait pas expliquer ce qui s’était passé et semblait très confuse.
Les demi-frères, âgés de 6 et 7 ans, ont chacun un papa différent, l’un vivant encore aux Pays-Bas et l’autre, Mike Garcia, le compagnon actuel de Landu. Ce dernier n’était pas présent sur les lieux du drame.
Selon le porte-parole du parquet de Termonde, Renzo Ottoy, citant le rapport d’un médecin légiste, les victimes “ont été battues à mort et tuées entre jeudi et vendredi matin” . Apparemment, ils se sont défendus avec force…
La mère de trente ans a été placée sous mandat d’arrêt pour motif de double assassinat. Certains riverains la décrivaient d’ailleurs comme étant “hystérique” . Le compagnon, lui, a été entendu par les policiers vendredi soir mais après vérification de son alibi – il se trouvait à Bruxelles au moment des faits – il a été libéré.
Landu G. souffre d’hallucinations. Son état psychique instable ne lui permettait pas de comprendre la gravité des faits. Elle a donc été envoyée dans l’aile psychiatrique de la prison de Termonde.
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la mère d'Alost qui a battu à mort ses 2 enfants inculpée de double assassinat
" La mère est soupçonnée d’avoir frappé à mort Jamal et Michaël. Son compagnon a déjà été libéré.
Ce vendredi, peu après 14 h, un policier a fait une macabre découverte dans une rue proche du centre-ville d’Alost (Belgique).
Il avait entendu une dame hurler et jeter un vase dans la rue. Et devant son refus d’ouvrir la porte, le policier a décidé, avec l’aide de plusieurs voisins, de rentrer par la force.
Dans l’appartement du deuxième étage, l’agent de police devait écarter de nombreux détritus qui jonchaient le sol pour pouvoir évoluer dans l’appartement. Et sous un tas de vêtements, les corps des deux fils de la dame, Jamal et Michaël Junior, ont été retrouvés.
Landu G., la maman, ne pouvait pas expliquer ce qui s’était passé et semblait très confuse.
Les demi-frères, âgés de 6 et 7 ans, ont chacun un papa différent, l’un vivant encore aux Pays-Bas et l’autre, Mike Garcia, le compagnon actuel de Landu. Ce dernier n’était pas présent sur les lieux du drame.
Selon le porte-parole du parquet de Termonde, Renzo Ottoy, citant le rapport d’un médecin légiste, les victimes “ont été battues à mort et tuées entre jeudi et vendredi matin” . Apparemment, ils se sont défendus avec force…
La mère de trente ans a été placée sous mandat d’arrêt pour motif de double assassinat. Certains riverains la décrivaient d’ailleurs comme étant “hystérique” . Le compagnon, lui, a été entendu par les policiers vendredi soir mais après vérification de son alibi – il se trouvait à Bruxelles au moment des faits – il a été libéré.
Landu G. souffre d’hallucinations. Son état psychique instable ne lui permettait pas de comprendre la gravité des faits. Elle a donc été envoyée dans l’aile psychiatrique de la prison de Termonde.
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forcené
http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/27/1154283-un-forcene-deloge-par-le-gipn-a-l-hopital.html
Agen. Un forcené délogé par le GIPN à l'hôpital
Hospitalisé au 3e étage de Saint-Esprit, un homme de 48 ans a été victime d'une crise de démence dans la nuit, armé, menaçant, et pyromane. Le GIPN a donné l'assaut.
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Agen. Un forcené délogé par le GIPN à l'hôpital
Hospitalisé au 3e étage de Saint-Esprit, un homme de 48 ans a été victime d'une crise de démence dans la nuit, armé, menaçant, et pyromane. Le GIPN a donné l'assaut.
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samedi 27 août 2011
suicide
http://www.mlyon.fr/53115-une-femme-s-est-suicidee-a-la-prison-de-corbas.html
Une femme s'est suicidée à la prison de Corbas
Agée de 26 ans, elle s'est pendue avec ses bas de contention dans la nuit de jeudi à vendredi.
Elle avait visiblement déjà essayé à plusieurs reprises de mettre fin à ses jours mais sans y parvenir.
La victime avait été écrouée en mais 2010 après avoir été condamnée par la justice grenobloise pour privation de soins suivie du décès de son enfant âgé de moins de 15 ans. Depuis, la femme incarcérée à Corbas était très fragile mentalement, en proie à la dépression. Elle avait fait plusieurs séjours à l'hôpital psychiatrique.
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peut-être avait-elle plutôt encore sa place à l'Hôpital...
Une femme s'est suicidée à la prison de Corbas
Agée de 26 ans, elle s'est pendue avec ses bas de contention dans la nuit de jeudi à vendredi.
Elle avait visiblement déjà essayé à plusieurs reprises de mettre fin à ses jours mais sans y parvenir.
La victime avait été écrouée en mais 2010 après avoir été condamnée par la justice grenobloise pour privation de soins suivie du décès de son enfant âgé de moins de 15 ans. Depuis, la femme incarcérée à Corbas était très fragile mentalement, en proie à la dépression. Elle avait fait plusieurs séjours à l'hôpital psychiatrique.
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peut-être avait-elle plutôt encore sa place à l'Hôpital...
primo-délinquant
http://www.ledauphine.com/vaucluse/2011/08/26/jean-claude-est-ce-qu-on-appelle-un-primo-delinquant
BOLLÈNE (VAUCLUSE)
Le primo délinquant dort en prison
Jean-Claude est ce qu’on appelle un primo délinquant. À 55 ans, il n’a jamais fait parler de lui. D’ailleurs, jusqu’en 2007, tout allait bien pour ce maçon. Jusqu’à ce qu’un grave accident du travail le brise. Handicapé, il touche aujourd’hui le tiers de son salaire. Soit 600 € mensuels. Une situation qui l’a conduit en dépression.
Mardi, sa vie a basculé une seconde fois. Déprimé, désargenté, en rupture avec sa famille, il tente de braquer une passante sur le parking d’un supermarché de Bollène. Il échoue lamentablement. Alors jeudi, il a la mauvaise idée d’aller braquer la coopérative céréalière de Bollène, armé d’un couteau. Il en repart avec 80 €, avant de se faire pincer dans les minutes qui suivent.
C’est donc cet homme totalement perdu que le tribunal correctionnel de Carpentras a jugé hier, en audience de comparution immédiate. Les juges et le parquet, ont voulu faire de cette audience un « électrochoc » pour le prévenu. « Pour qu’il comprenne qu’il est sur la mauvaise voie. » L’homme a été condamné à un an de prison dont onze mois assortis d’un sursis avec mise à l’épreuve. Quant à la partie ferme de la peine, Jean-Claude a commencé à la purger dès hier soir à la prison du Pontet.
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ou comment l'arrivée de la période critique septennale conduit à devenir un "primo-délinquant"... c'est peut-être plutôt d'un autre type d'aide dont l'intéressé aurait eu besoin...
sombré dans une dépression septennale, çà n'a pas de sens de mettre ce bonhomme en prison : un coup de massue supplémentaire...
attention au suicide...
BOLLÈNE (VAUCLUSE)
Le primo délinquant dort en prison
Jean-Claude est ce qu’on appelle un primo délinquant. À 55 ans, il n’a jamais fait parler de lui. D’ailleurs, jusqu’en 2007, tout allait bien pour ce maçon. Jusqu’à ce qu’un grave accident du travail le brise. Handicapé, il touche aujourd’hui le tiers de son salaire. Soit 600 € mensuels. Une situation qui l’a conduit en dépression.
Mardi, sa vie a basculé une seconde fois. Déprimé, désargenté, en rupture avec sa famille, il tente de braquer une passante sur le parking d’un supermarché de Bollène. Il échoue lamentablement. Alors jeudi, il a la mauvaise idée d’aller braquer la coopérative céréalière de Bollène, armé d’un couteau. Il en repart avec 80 €, avant de se faire pincer dans les minutes qui suivent.
C’est donc cet homme totalement perdu que le tribunal correctionnel de Carpentras a jugé hier, en audience de comparution immédiate. Les juges et le parquet, ont voulu faire de cette audience un « électrochoc » pour le prévenu. « Pour qu’il comprenne qu’il est sur la mauvaise voie. » L’homme a été condamné à un an de prison dont onze mois assortis d’un sursis avec mise à l’épreuve. Quant à la partie ferme de la peine, Jean-Claude a commencé à la purger dès hier soir à la prison du Pontet.
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ou comment l'arrivée de la période critique septennale conduit à devenir un "primo-délinquant"... c'est peut-être plutôt d'un autre type d'aide dont l'intéressé aurait eu besoin...
sombré dans une dépression septennale, çà n'a pas de sens de mettre ce bonhomme en prison : un coup de massue supplémentaire...
attention au suicide...
drame familial
http://www.lepost.fr/article/2011/08/26/2576275_vers-la-piste-du-drame-familial-pres-de-roubaix.html
Vers la piste du drame familial près de Roubaix
Une femme de 49 ans a été retrouvée gisant dans une mare de sang, mercredi matin, au bas de l'escalier. Elle aurait été violentée par son fils qui aurait tenté de faire croire à une chute. Les faits se sont produits près de Roubaix, dans la ville de Wasquehal. Le jeune homme âgé de 22 ans est présenté cet après-midi devant un juge d'instruction. Sa mère, quant à elle, est toujours entre la vie et la mort.
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Vers la piste du drame familial près de Roubaix
Une femme de 49 ans a été retrouvée gisant dans une mare de sang, mercredi matin, au bas de l'escalier. Elle aurait été violentée par son fils qui aurait tenté de faire croire à une chute. Les faits se sont produits près de Roubaix, dans la ville de Wasquehal. Le jeune homme âgé de 22 ans est présenté cet après-midi devant un juge d'instruction. Sa mère, quant à elle, est toujours entre la vie et la mort.
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drame de la séparation
http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/indre-et-loire-femme-poignardee-la-piste-du-drame-conjugal-26-08-2011-1410809.php
Indre-et-Loire. Femme poignardée : la piste du drame conjugal
Le corps d'une jeune femme avait été retrouvé en début de semaine au domicile de son concubin, à Pocé-sur-Cisse (Indre-et-Loire), qui venait d'être victime d'un accident mortel de la route. Les enquêteurs privilégient la piste du drame conjugal.
Le corps de la jeune femme de 27 ans avait été découvert par hasard par les forces de l'ordre. C'est après l'accident mortel de son concubin qu'elles se sont rendus à son domicile et qu'elles ont trouvé la malheureuse tuée à l'arme blanche. L'enquête s'oriente vers le drame conjugal.
Suicide possible du meurtrier présumé
"Le couple traversait de grosses turbulences, il y avait une perspective de séparation et lui le vivait mal", a précisé la vice-procureure de la République. L'homme, âgé d'une trentaine d'année et originaire du Vietnam n'aurait pas supporté cette perspective de séparation avec sa concubine de 27 ans, mère de deux enfants.
Aucune trace de freinage ou d'évitement n'a été retrouvée près de la pile de pont où la voiture du meurtrier présumé s'est écrasée. L'hypothèse du suicide est vraisemblable. "Tous les éléments vont dans le sens d'un homicide de cette femme par son compagnon", résume la vice-procureure. Et d'ajouter que pour le suicide éventuel du concubin, "on n'aura jamais de réponse certaine".
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Indre-et-Loire. Femme poignardée : la piste du drame conjugal
Le corps d'une jeune femme avait été retrouvé en début de semaine au domicile de son concubin, à Pocé-sur-Cisse (Indre-et-Loire), qui venait d'être victime d'un accident mortel de la route. Les enquêteurs privilégient la piste du drame conjugal.
Le corps de la jeune femme de 27 ans avait été découvert par hasard par les forces de l'ordre. C'est après l'accident mortel de son concubin qu'elles se sont rendus à son domicile et qu'elles ont trouvé la malheureuse tuée à l'arme blanche. L'enquête s'oriente vers le drame conjugal.
Suicide possible du meurtrier présumé
"Le couple traversait de grosses turbulences, il y avait une perspective de séparation et lui le vivait mal", a précisé la vice-procureure de la République. L'homme, âgé d'une trentaine d'année et originaire du Vietnam n'aurait pas supporté cette perspective de séparation avec sa concubine de 27 ans, mère de deux enfants.
Aucune trace de freinage ou d'évitement n'a été retrouvée près de la pile de pont où la voiture du meurtrier présumé s'est écrasée. L'hypothèse du suicide est vraisemblable. "Tous les éléments vont dans le sens d'un homicide de cette femme par son compagnon", résume la vice-procureure. Et d'ajouter que pour le suicide éventuel du concubin, "on n'aura jamais de réponse certaine".
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drame de la séparation
http://tianplus.blogs.nouvelobs.com/archive/2011/08/26/bayonne-un-couple-retrouve-mort-dans-un-appartement.html
BAYONNE. Un couple retrouvé mort dans un appartement
Il était aux environs de 15h, ce vendredi après-midi, quand les corps sans vie d'un homme et d'une femme, ont été découverts dans un appartement, à Bayonne (Pyrénées-Atlantiques).
Selon les premiers éléments de l'enquête, la femme aurait été tuée par l'homme qui se serait ensuite suicidé.
"L'homme et la femme, âgés respectivement de 47 et 40 ans, portaient de nombreuses traces de coups de couteau" a indiqué une source proche du dossier.
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BAYONNE. Un couple retrouvé mort dans un appartement
Il était aux environs de 15h, ce vendredi après-midi, quand les corps sans vie d'un homme et d'une femme, ont été découverts dans un appartement, à Bayonne (Pyrénées-Atlantiques).
Selon les premiers éléments de l'enquête, la femme aurait été tuée par l'homme qui se serait ensuite suicidé.
"L'homme et la femme, âgés respectivement de 47 et 40 ans, portaient de nombreuses traces de coups de couteau" a indiqué une source proche du dossier.
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suicide
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/08/25/97001-20110825FILWWW00594-rennes-un-gardien-de-prison-se-suicide.php
Rennes: un gardien de prison se suicide
Un gardien de la maison d'arrêt d'Evreux s'est suicidé par arme à feu dans la nuit de mardi à mercredi près de son domicile, en uniforme, a-t-on appris de sources concordantes. Il a été retrouvé à l'extérieur de son domicile. Selon FO Pénitentiaire et la CGT pénitentiaire, ses collègues de travail n'avaient décelé aucun signe avant-coureur d'un tel geste.
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Rennes: un gardien de prison se suicide
Un gardien de la maison d'arrêt d'Evreux s'est suicidé par arme à feu dans la nuit de mardi à mercredi près de son domicile, en uniforme, a-t-on appris de sources concordantes. Il a été retrouvé à l'extérieur de son domicile. Selon FO Pénitentiaire et la CGT pénitentiaire, ses collègues de travail n'avaient décelé aucun signe avant-coureur d'un tel geste.
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meurtre
http://www.leparisien.fr/bordeaux-33000/meurtre-d-une-magistrate-a-bordeaux-un-suspect-en-garde-a-vue-25-08-2011-1578765.php
Meurtre d'une magistrate à Bordeaux : un suspect en garde à vue.
Un homme de 44 ans, ancien compagnon de la magistrate tuée à Bordeaux, a été placé en garde à vue quelques heures après la découverte du corps, selon Europe 1 et le quotidien régional Sud-Ouest.
Le corps sans vie de cette femme de 43 ans a été retrouvé jeudi matin dans son véhicule garé proche de son domicile à Bordeaux, selon le procureur de la République, Claude Laplaud. Une autopsie était en cours jeudi en fin de journée et devrait apporter des précisions sur les causes exactes de la mort.
........................
Myriam Sanchez vivait seule avec ses deux enfants, séparée du père depuis 2009, dans une maison située dans la quartier Bastide, sur la rive droite de la Garonne.
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une séparation apparemment septennale, et qui se termine par un drame, chez ce couple où il semble y avoir une situation de compatibilité.
http://www.lexpress.fr/actualites/1/actualite/mort-de-la-magistrate-de-bordeaux-l-ex-compagnon-defere-samedi_1024233.html?actu=1
"Le procureur a révélé que lors de la séparation du couple début 2009, après presque 20 ans de vie commune, l'homme, sans antécédent judiciaire, avait vécu "un épisode dépressif assez sévère" qui avait entraîné "une médicalisation en hôpital psychiatrique"."
les périodes critiques septennales sont des "périodes à risque" lorsqu'elles arrivent, et elles sont à l'origine de nombreuses difficultés de couples, de nombreuses séparations, même et surtout ce sont elles qui sont généralement en cause lorsqu'arrivent des problèmes après une longue période de vie commune...
il faudrait prendre en compte ce mécanislme pour prévenir les dégats...
Meurtre d'une magistrate à Bordeaux : un suspect en garde à vue.
Un homme de 44 ans, ancien compagnon de la magistrate tuée à Bordeaux, a été placé en garde à vue quelques heures après la découverte du corps, selon Europe 1 et le quotidien régional Sud-Ouest.
Le corps sans vie de cette femme de 43 ans a été retrouvé jeudi matin dans son véhicule garé proche de son domicile à Bordeaux, selon le procureur de la République, Claude Laplaud. Une autopsie était en cours jeudi en fin de journée et devrait apporter des précisions sur les causes exactes de la mort.
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Myriam Sanchez vivait seule avec ses deux enfants, séparée du père depuis 2009, dans une maison située dans la quartier Bastide, sur la rive droite de la Garonne.
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une séparation apparemment septennale, et qui se termine par un drame, chez ce couple où il semble y avoir une situation de compatibilité.
http://www.lexpress.fr/actualites/1/actualite/mort-de-la-magistrate-de-bordeaux-l-ex-compagnon-defere-samedi_1024233.html?actu=1
"Le procureur a révélé que lors de la séparation du couple début 2009, après presque 20 ans de vie commune, l'homme, sans antécédent judiciaire, avait vécu "un épisode dépressif assez sévère" qui avait entraîné "une médicalisation en hôpital psychiatrique"."
les périodes critiques septennales sont des "périodes à risque" lorsqu'elles arrivent, et elles sont à l'origine de nombreuses difficultés de couples, de nombreuses séparations, même et surtout ce sont elles qui sont généralement en cause lorsqu'arrivent des problèmes après une longue période de vie commune...
il faudrait prendre en compte ce mécanislme pour prévenir les dégats...
vendredi 26 août 2011
papy braqueur
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/braqueur-de-75-ans-tue-de-trouville-une-facon-de-se-suicider-6660886.html
Braqueur de 75 ans tué : une façon de se suicider ?
Selon sa compagne, qui ne l'avait "jamais vu manipuler des armes", l'homme de 75 ans tué jeudi par les gendarmes après avoir attaqué le casino de Trouville et tiré sur les forces de l'ordre était "dépressif" et qu'il a fait là un acte suicidaire. Le scénario, lui, se précise.
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il serait intéressant de voir sa "situation du jour" pour voir s'il y a jour critique émotionnel... (le jour critique émotionnel est fréquemment le jour des suicides)
pas d'âge fortement critique, à 75 ans mais quand même une année P6/P7, l'approche d'une nouvelle période critique septennale après celle des 70 ans. dépression depuis quand ?
Braqueur de 75 ans tué : une façon de se suicider ?
Selon sa compagne, qui ne l'avait "jamais vu manipuler des armes", l'homme de 75 ans tué jeudi par les gendarmes après avoir attaqué le casino de Trouville et tiré sur les forces de l'ordre était "dépressif" et qu'il a fait là un acte suicidaire. Le scénario, lui, se précise.
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il serait intéressant de voir sa "situation du jour" pour voir s'il y a jour critique émotionnel... (le jour critique émotionnel est fréquemment le jour des suicides)
pas d'âge fortement critique, à 75 ans mais quand même une année P6/P7, l'approche d'une nouvelle période critique septennale après celle des 70 ans. dépression depuis quand ?
Oh Emma !
http://www.programme-tv.net/news/buzz/18795-buzz-troublante-video-postee-par-jim-carrey/
Buzz : La troublante vidéo postée par Jim Carrey
Jim Carrey a posté une bien étrange vidéo sur son blog dans laquelle il fait une déclaration d'amour à la très jeune actrice Emma Stone. Hilarant ou inquiétant ? Telle est la question qui affole le web aujourd'hui.
.....................
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délire septennal et de jour critique émotionnel E1... ? :-)
(le jour critique émotionnel est le "jour des élans"... )
Buzz : La troublante vidéo postée par Jim Carrey
Jim Carrey a posté une bien étrange vidéo sur son blog dans laquelle il fait une déclaration d'amour à la très jeune actrice Emma Stone. Hilarant ou inquiétant ? Telle est la question qui affole le web aujourd'hui.
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délire septennal et de jour critique émotionnel E1... ? :-)
(le jour critique émotionnel est le "jour des élans"... )
relation fusionnelle
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=9285&st=105&hl=
Jessica était "consentante" selon son père d'accueil
Gilles Patron, père d'accueil de Jessica, soeur jumelle de Laetitia tuée début 2011, mis en examen et écroué pour viol et agression sexuelle sur Jessica, a affirmé qu'elle était "consentante" lors d'une audience jeudi à Rennes pour réclamer son placement sous contrôle judiciaire.
"J'ai eu une relation fusionnelle avec Jessica... elle était consentante, amoureuse... je n'aurais jamais dû le faire", a-t-il regretté. "Jessica est vierge", a-t-il affirmé. "Elle n'a été ni violée ni agressée... j'en suis incapable... d'ailleurs, on pourrait le vérifier médicalement... je ne suis pas un délinquant sexuel", a encore affirmé Gilles Patron, 60 ans, déclenchant les larmes de son épouse présente à l'audience pour le soutenir ainsi que trois de ses enfants majeurs.
Il comparaissait devant les juges de la cour d'appel de Rennes qui doivent rendre vendredi à 10h00 leur décision sur son éventuelle sortie de prison pour être placé sous contrôle judiciaire. "C'est complètement fou ce que j'ai fait, je ne recommencerai pas", a-t-il déclaré en assurant que c'était la première fois qu'il avait une relation avec un enfant dont il avait la charge en tant que père d'accueil.
Environ une cinquantaine d'enfants ont été accueillis par la famille patron depuis le début de son activité comme famille d'accueil en 1995. Jessica avait révélé les faits aux gendarmes dans le cadre d'une enquête pour agression sexuelle ouverte après les plaintes contre Gilles Patron début août 2011 de deux des amies de la jeune femme, âgées de 19 ans.
dans un autre article il est dit :
"M. Patron fait en outre l'objet de mises en examen pour "agressions sexuelles" sur deux autres jeunes filles pour des faits commis entre 2007 et 2010 d'une part, et en 2011 d'autre part, a annoncé le procureur de la République adjoint de Nantes, Yves Gambert.
La soeur jumelle de Laetitia, Jessica, aujourd'hui âgée de 19 ans et qui résidait toujours chez M. et Mme Patron, a Pornic, a indiqué avoir eu des relations sexuelles contraintes avec Gilles Patron depuis "au moins ses 16 ans", indique-t-on de source judiciaire. Néanmoins la jeune fille n'a pas porté plainte.
M. Patron a reconnu en garde à vue les faits concernant Jessica, mais seulement à partir des 18 ans de la jeune fille et de manière consentie. Il a évoqué une "relation fusionnelle" et une "relation amoureuse consentie", a précisé M. Gambert.
M. Patron a par ailleurs "nié intégralement les allégations" concernant les deux amies de Jessica, a précisé le procureur adjoint.
..................
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je cherche toujours à savoir quand çà a "démarré" car on trouve fréquemment une période critique septennale en raison des pulsions et effets que celle-ci "éveille".
ce pourrait être le cas ici également si l'on regarde en arrière : nous trouvons la période critique septennale des 56 ans de l'intéressé au moment où les relations semblent avoir commencé... (2007 si 60 ans aujourd'hui)
Jessica était "consentante" selon son père d'accueil
Gilles Patron, père d'accueil de Jessica, soeur jumelle de Laetitia tuée début 2011, mis en examen et écroué pour viol et agression sexuelle sur Jessica, a affirmé qu'elle était "consentante" lors d'une audience jeudi à Rennes pour réclamer son placement sous contrôle judiciaire.
"J'ai eu une relation fusionnelle avec Jessica... elle était consentante, amoureuse... je n'aurais jamais dû le faire", a-t-il regretté. "Jessica est vierge", a-t-il affirmé. "Elle n'a été ni violée ni agressée... j'en suis incapable... d'ailleurs, on pourrait le vérifier médicalement... je ne suis pas un délinquant sexuel", a encore affirmé Gilles Patron, 60 ans, déclenchant les larmes de son épouse présente à l'audience pour le soutenir ainsi que trois de ses enfants majeurs.
Il comparaissait devant les juges de la cour d'appel de Rennes qui doivent rendre vendredi à 10h00 leur décision sur son éventuelle sortie de prison pour être placé sous contrôle judiciaire. "C'est complètement fou ce que j'ai fait, je ne recommencerai pas", a-t-il déclaré en assurant que c'était la première fois qu'il avait une relation avec un enfant dont il avait la charge en tant que père d'accueil.
Environ une cinquantaine d'enfants ont été accueillis par la famille patron depuis le début de son activité comme famille d'accueil en 1995. Jessica avait révélé les faits aux gendarmes dans le cadre d'une enquête pour agression sexuelle ouverte après les plaintes contre Gilles Patron début août 2011 de deux des amies de la jeune femme, âgées de 19 ans.
dans un autre article il est dit :
"M. Patron fait en outre l'objet de mises en examen pour "agressions sexuelles" sur deux autres jeunes filles pour des faits commis entre 2007 et 2010 d'une part, et en 2011 d'autre part, a annoncé le procureur de la République adjoint de Nantes, Yves Gambert.
La soeur jumelle de Laetitia, Jessica, aujourd'hui âgée de 19 ans et qui résidait toujours chez M. et Mme Patron, a Pornic, a indiqué avoir eu des relations sexuelles contraintes avec Gilles Patron depuis "au moins ses 16 ans", indique-t-on de source judiciaire. Néanmoins la jeune fille n'a pas porté plainte.
M. Patron a reconnu en garde à vue les faits concernant Jessica, mais seulement à partir des 18 ans de la jeune fille et de manière consentie. Il a évoqué une "relation fusionnelle" et une "relation amoureuse consentie", a précisé M. Gambert.
M. Patron a par ailleurs "nié intégralement les allégations" concernant les deux amies de Jessica, a précisé le procureur adjoint.
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je cherche toujours à savoir quand çà a "démarré" car on trouve fréquemment une période critique septennale en raison des pulsions et effets que celle-ci "éveille".
ce pourrait être le cas ici également si l'on regarde en arrière : nous trouvons la période critique septennale des 56 ans de l'intéressé au moment où les relations semblent avoir commencé... (2007 si 60 ans aujourd'hui)
fétiches
http://www.francesoir.fr/actualite/justice/versailles-fetichiste-des-pieds-condamne-2-ans-prison-130876.html
Versailles : Le fétichiste des pieds condamné à 2 ans de prison
Il comparaissait devant le tribunal de Versailles pour l'agression de plusieurs jeunes femmes.
« Oui, je suis fétichiste des pieds, uniquement des pieds féminins, c'est surtout la voute plantaire qui me... », déclare Marc, 42 ans, à la barre du tribunal correctionnel de Versailles. Demeurant à Mantes-la-Jolie, cet ancien surveillant dans les établissements scolaires était poursuivi pour « séquestration » et « agression sexuelle ». A l'issu de l'audience, la justice l'a déclaré coupable d'avoir agressé, entre janvier 2008 et février 2011, quatre jeunes femmes, âgées de 19 à 45 ans, en se masturbant contre leurs pieds. Il a été condamné à une peine de deux ans de prison ferme, assortie d'un an de sursis avec une mise à l'épreuve comportant une obligation de soins et l'interdiction de se rendre dans les gares entre 21 heures et 6 heures
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Versailles : Le fétichiste des pieds condamné à 2 ans de prison
Il comparaissait devant le tribunal de Versailles pour l'agression de plusieurs jeunes femmes.
« Oui, je suis fétichiste des pieds, uniquement des pieds féminins, c'est surtout la voute plantaire qui me... », déclare Marc, 42 ans, à la barre du tribunal correctionnel de Versailles. Demeurant à Mantes-la-Jolie, cet ancien surveillant dans les établissements scolaires était poursuivi pour « séquestration » et « agression sexuelle ». A l'issu de l'audience, la justice l'a déclaré coupable d'avoir agressé, entre janvier 2008 et février 2011, quatre jeunes femmes, âgées de 19 à 45 ans, en se masturbant contre leurs pieds. Il a été condamné à une peine de deux ans de prison ferme, assortie d'un an de sursis avec une mise à l'épreuve comportant une obligation de soins et l'interdiction de se rendre dans les gares entre 21 heures et 6 heures
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suicide
http://www.lechodelalys.fr/Actualite/la_une/2011/08/25/article_un_gendarme_se_suicide_sur_son_lieu_de_t.shtml
Un gendarme se suicide sur son lieu de travail
Mercredi 17 août, A J, 46 ans, s'est donné la mort dans les locaux de la brigade motorisée de Setques. Un temps affecté à la gendarmerie d'Aire-sur-la-Lys, il avait décidé d'y poser ses valises et d'y élever ses trois enfants avec sa femme,
A J, un gendarme de 46 ans, père de trois enfants, habitant Aire-sur-la-Lys, s'est donné la mort mercredi 17 août avec une arme à feu dans les locaux de la brigade motorisée de Setques où il était affecté, cinq minutes après avoir pris son poste.
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Un gendarme se suicide sur son lieu de travail
Mercredi 17 août, A J, 46 ans, s'est donné la mort dans les locaux de la brigade motorisée de Setques. Un temps affecté à la gendarmerie d'Aire-sur-la-Lys, il avait décidé d'y poser ses valises et d'y élever ses trois enfants avec sa femme,
A J, un gendarme de 46 ans, père de trois enfants, habitant Aire-sur-la-Lys, s'est donné la mort mercredi 17 août avec une arme à feu dans les locaux de la brigade motorisée de Setques où il était affecté, cinq minutes après avoir pris son poste.
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jeudi 25 août 2011
Tobias
http://www.welt.de/vermischtes/weltgeschehen/article13564491/Polizei-nimmt-Verdaechtigen-im-Mordfall-Tobias-fest.html
Polizei nimmt Verdächtigen im Mordfall Tobias fest
Er wurde missbraucht und erstochen: der Schüler Tobias aus Weil im Schönbuch. Der Fall blieb elf Jahre ungelöst. Nun hat die Polizei einen 47-Jährigen festgenommen.
Fast elf Jahre nach dem Mord an dem elfjährigen Tobias aus Weil im Schönbuch könnte der Fall gelöst sein. Die Polizei in Böblingen teilte mit, ein 47 Jahre alter Mann aus dem Landkreis Esslingen sei in dem Fall festgenommen worden. Er stamme nicht aus dem Umfeld der Familie des Jungen. Die Polizei sei ihm vielmehr bei Ermittlungen zu Kinderpornografie im Internet auf die Spur gekommen.
Schon damals ging die Polizei von einem Sexualverbrechen aus, der Junge war erstochen worden. Eine groß angelegte Suchaktion brachte jedoch keine Ergebnisse.
Der Mann sei auf einschlägigen Seiten unterwegs gewesen, teilte ein Sprecher mit. Bei der Durchsuchung seiner Wohnung sei man auf Material zum damaligen Fall gestoßen. Auch DNA-Analysen schienen den Verdacht zu bestätigen, hieß es. Details sollen auf einer Pressekonferenz von Polizei und Staatsanwaltschaft mitgeteilt werden.
Tobias war am 30. Oktober 2000 mit mehreren Messerstichen ermordet worden. Seine Eltern und die Polizei fanden die Leiche des Jungen an einem Fischweiher in Weil im Schönbuch. An der Kleidung des Kindes entdeckten die Ermittler fremde DNA. Ein Massen-Gentest an rund 13.000 Männern verlief erfolglos, der Mörder des Kindes wurde nicht gefunden.
Teenager jahrelang zu Unrecht verdächtigt
Immer wieder wurden Verdächtige überprüft, die einen Bezug zu dem Opfer oder dem Tatort hatten. Ein 16-Jähriger wurde festgenommen, nach vier Wochen jedoch wieder freigelassen. Das wollten die Eltern von Tobias nicht akzeptieren, scheiterten aber 2007 mit einem sogenannten Klageerzwingungsverfahren vor dem Oberlandesgericht Stuttgart.
Auch Plakataktionen oder Aufrufe im Fernsehen führten zu keinem Erfolg. Die Ermittlungen waren 2003 eingestellt worden, nachdem die Polizei über 1700 Spuren nachgegangen war. Zudem waren von 11.700 Bürgern aus der Gegend Speichelproben für DNA-Analysen genommen worden. Die einst bis zu 60 Mann starke „Soko Weiher“ wurde schließlich aufgelöst.
Im April hatte die Polizei routinemäßig einen Zusammenhang mit den Morden an dem neunjährigen Dennis K. und zweier weiterer Jungen in Norddeutschland geprüft, offenbar aber nicht gefunden. Gegen den 40-jährigen Verdächtigen in diesen Fällen wurde von der Staatsanwaltschaft Stade mittlerweile Anklage erhoben.
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le jeune Tobias de 11 ans a été poignardé à mort en octobre 2000. on avait une trace ADN mais pas de coupable. c'est maintenant, 11 années après, que la police a arrêté un homme de 47 ans dont la trace a été trouvée sur des sites pédopornographiques du Net...
un adolescent de 16 ans avait été longtemps suspecté et même incarcéré un moment... à tort...
si 47 ans aujourd'hui nous remontons pratiquement à la période critique septennale des 35 ans au moment des faits...
édit 8/03/2012 :
Tobias
(27/03/1989 - 30/10/2000)
http://www.welt.de/vermischtes/weltgeschehen/article13564523/Der-Mordfall-am-Schueler-Tobias-D-aus-Weil-im-Schoenbuch.html
Tobias s'est fait aborder et a apparemment suivi ensuite son meurtrier, son jour critique émotionnel E8. je vérifie cela car j'ai remarqué que les enfants avaient tendance à se faire enlever de préférence ce jour-là, le jour critique émotionnel étant alors une sorte de jour à risque : cela est lié selon moi au fait que le jour critique émotionnel on a tendance à accepter plus facilement et on cherche même les contacts. on est plus ouvert et confiant.
Polizei nimmt Verdächtigen im Mordfall Tobias fest
Er wurde missbraucht und erstochen: der Schüler Tobias aus Weil im Schönbuch. Der Fall blieb elf Jahre ungelöst. Nun hat die Polizei einen 47-Jährigen festgenommen.
Fast elf Jahre nach dem Mord an dem elfjährigen Tobias aus Weil im Schönbuch könnte der Fall gelöst sein. Die Polizei in Böblingen teilte mit, ein 47 Jahre alter Mann aus dem Landkreis Esslingen sei in dem Fall festgenommen worden. Er stamme nicht aus dem Umfeld der Familie des Jungen. Die Polizei sei ihm vielmehr bei Ermittlungen zu Kinderpornografie im Internet auf die Spur gekommen.
Schon damals ging die Polizei von einem Sexualverbrechen aus, der Junge war erstochen worden. Eine groß angelegte Suchaktion brachte jedoch keine Ergebnisse.
Der Mann sei auf einschlägigen Seiten unterwegs gewesen, teilte ein Sprecher mit. Bei der Durchsuchung seiner Wohnung sei man auf Material zum damaligen Fall gestoßen. Auch DNA-Analysen schienen den Verdacht zu bestätigen, hieß es. Details sollen auf einer Pressekonferenz von Polizei und Staatsanwaltschaft mitgeteilt werden.
Tobias war am 30. Oktober 2000 mit mehreren Messerstichen ermordet worden. Seine Eltern und die Polizei fanden die Leiche des Jungen an einem Fischweiher in Weil im Schönbuch. An der Kleidung des Kindes entdeckten die Ermittler fremde DNA. Ein Massen-Gentest an rund 13.000 Männern verlief erfolglos, der Mörder des Kindes wurde nicht gefunden.
Teenager jahrelang zu Unrecht verdächtigt
Immer wieder wurden Verdächtige überprüft, die einen Bezug zu dem Opfer oder dem Tatort hatten. Ein 16-Jähriger wurde festgenommen, nach vier Wochen jedoch wieder freigelassen. Das wollten die Eltern von Tobias nicht akzeptieren, scheiterten aber 2007 mit einem sogenannten Klageerzwingungsverfahren vor dem Oberlandesgericht Stuttgart.
Auch Plakataktionen oder Aufrufe im Fernsehen führten zu keinem Erfolg. Die Ermittlungen waren 2003 eingestellt worden, nachdem die Polizei über 1700 Spuren nachgegangen war. Zudem waren von 11.700 Bürgern aus der Gegend Speichelproben für DNA-Analysen genommen worden. Die einst bis zu 60 Mann starke „Soko Weiher“ wurde schließlich aufgelöst.
Im April hatte die Polizei routinemäßig einen Zusammenhang mit den Morden an dem neunjährigen Dennis K. und zweier weiterer Jungen in Norddeutschland geprüft, offenbar aber nicht gefunden. Gegen den 40-jährigen Verdächtigen in diesen Fällen wurde von der Staatsanwaltschaft Stade mittlerweile Anklage erhoben.
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le jeune Tobias de 11 ans a été poignardé à mort en octobre 2000. on avait une trace ADN mais pas de coupable. c'est maintenant, 11 années après, que la police a arrêté un homme de 47 ans dont la trace a été trouvée sur des sites pédopornographiques du Net...
un adolescent de 16 ans avait été longtemps suspecté et même incarcéré un moment... à tort...
si 47 ans aujourd'hui nous remontons pratiquement à la période critique septennale des 35 ans au moment des faits...
édit 8/03/2012 :
Tobias
(27/03/1989 - 30/10/2000)
http://www.welt.de/vermischtes/weltgeschehen/article13564523/Der-Mordfall-am-Schueler-Tobias-D-aus-Weil-im-Schoenbuch.html
Tobias s'est fait aborder et a apparemment suivi ensuite son meurtrier, son jour critique émotionnel E8. je vérifie cela car j'ai remarqué que les enfants avaient tendance à se faire enlever de préférence ce jour-là, le jour critique émotionnel étant alors une sorte de jour à risque : cela est lié selon moi au fait que le jour critique émotionnel on a tendance à accepter plus facilement et on cherche même les contacts. on est plus ouvert et confiant.
après Jobs
Apple entre dans l'ère de «l'après Steve Jobs»
A la surprise générale, Steve Jobs a cédé mercredi les rênes d'Apple à son adjoint, Tim Cook. Pas forcément parce que son état de santé s'aggrave mais plutôt pour se donner le temps de gérer une transition en douceur.
............................
http://www.lesechos.fr/investisseurs/actualites-boursieres/0201589034267-apple-entre-dans-l-ere-de-l-apres-steve-jobs-210195.php
===============
décision septennale, puisque Steve Jobs a 56 ans aujourd'hui.
en 2004 (période critique précédente, celle des 49 ans) Steve Jobs doit subir une intervention chirurgicale afin de retirer une tumeur cancéreuse pancréatique.
(Wikipédia)
A la surprise générale, Steve Jobs a cédé mercredi les rênes d'Apple à son adjoint, Tim Cook. Pas forcément parce que son état de santé s'aggrave mais plutôt pour se donner le temps de gérer une transition en douceur.
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http://www.lesechos.fr/investisseurs/actualites-boursieres/0201589034267-apple-entre-dans-l-ere-de-l-apres-steve-jobs-210195.php
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décision septennale, puisque Steve Jobs a 56 ans aujourd'hui.
en 2004 (période critique précédente, celle des 49 ans) Steve Jobs doit subir une intervention chirurgicale afin de retirer une tumeur cancéreuse pancréatique.
(Wikipédia)
mal terminé
http://www.tagesspiegel.de/berlin/polizei-justiz/frau-von-polizist-erschossen/4536386.html
54-Jährige griff Beamten an : Frau von Polizist erschossen
Eine 54-jährige Frau aus Reinickendorf ist am Mittwoch bei einem Polizeieinsatz ums Leben gekommen. Die Frau hatte zuvor offenbar einen Beamten mit einem Messer verletzt.
Tödlicher Schuss aus einer Polizeiwaffe: Ein Polizist hat am Mittwoch in einer Berliner Wohnung auf eine 54-jährige Frau geschossen und sie tödlich verletzt. Zuvor sei die Frau mit einem Messer auf einen Beamten losgegangen und habe ihn leicht verletzt, sagte eine Polizeisprecherin. Der Schuss sei am Nachmittag gefallen, als die Beamten einen Vorführungsbeschluss des Amtsgerichts Wedding vollstrecken wollten.
Mehrere Beamte waren laut Polizei mit Mitarbeitern des Bezirksamtes zu der Wohnung der 54-Jährigen in Reinickendorf gegangen.
Sie wollten die Frau auf Grundlage des Vorführungsbeschlusses mitnehmen. Die Frau habe sich dagegen gewehrt und ein Messer gezogen. Dann sei der Schuss aus der Dienstwaffe abgegeben worden.
Alarmierte Rettungskräfte hätten noch versucht, die Verletzte zu reanimieren, sagte die Polizeisprecherin. Die 54-Jährige sei dann aber noch in der Wohnung gestorben. Die Mordkommission hat die Ermittlungen übernommen. Das sei üblich in solchen Fällen, sagte die Sprecherin.
Richter erlassen einen Vorführungsbeschluss unter anderem dann, wenn Beschuldigte oder auch Zeugen ohne Entschuldigung nicht zu einem Gerichtstermin erscheinen. Dann werden die Betroffenen von Ordnungshütern zwangsweise abgeholt. Ein Vorführungsbeschluss ist aber noch kein Haftbefehl.
Er kann auch erwirkt werden, wenn es beispielsweise darum geht, einen psychisch Kranken vor einer Unterbringung in einem Krankenhaus von einem medizinischen Gutachter untersuchen zu lassen, der Patient sich aber weigert. Welcher Fall bei der 54 Jahre alten Frau vorlag, sagte die Polizei am Mittwoch nicht. (dpa)
===========
pas sûr de la traduction, mais si j'ai bien compris c'est un "mandat d'amener" qui se termine très mal, une femme de 54 ans, que l'on voulait contraindre à se présenter, ayant agressé et légèrement blessé un policier au moyen d'un couteau... s'est fait tuer d'un coup de feu... par la police.
il semblerait (c'est en Allemagne, comment çà se passe en France, je ne sais pas) qu'un mandat d'amener puisse être établi pour contraindre une personne (qui ne veut pas) par la force à comparaître devant un Tribunal (en tant qu'accusé ou témoin) ou devant un expert médical en cas de maladie psychique suspectée.
plutôt inquiétant, ce scénario... on ne connaît pas les motifs, pour le moment, de ce mandat d'amener...
édit :
http://www.berliner-kurier.de/berlin/polizei-prozesse/polizist-erschiesst-frau/-/7169126/9607384/-/
Hintergrund des tragischen Zwischenfalls soll eine geplante Zwangseinweisung in eine psychiatrische Klinik sein. Eine Polizeisprecherin: „Die Frau sollte zwangsvorgeführt werden, weil sie sich weigerte, dringend notwendige psychiatrische Hilfe freiwillig in Anspruch zu nehmen.“
apparemment la femme (53 ans d'après un autre article) devait être contrainte à intégrer une clinique psychiatrique pour s'y faire soigner, ce qu'elle a refusé...
cela repose le problème des soins psychiatriques sous contrainte... et des bavures policières...
54-Jährige griff Beamten an : Frau von Polizist erschossen
Eine 54-jährige Frau aus Reinickendorf ist am Mittwoch bei einem Polizeieinsatz ums Leben gekommen. Die Frau hatte zuvor offenbar einen Beamten mit einem Messer verletzt.
Tödlicher Schuss aus einer Polizeiwaffe: Ein Polizist hat am Mittwoch in einer Berliner Wohnung auf eine 54-jährige Frau geschossen und sie tödlich verletzt. Zuvor sei die Frau mit einem Messer auf einen Beamten losgegangen und habe ihn leicht verletzt, sagte eine Polizeisprecherin. Der Schuss sei am Nachmittag gefallen, als die Beamten einen Vorführungsbeschluss des Amtsgerichts Wedding vollstrecken wollten.
Mehrere Beamte waren laut Polizei mit Mitarbeitern des Bezirksamtes zu der Wohnung der 54-Jährigen in Reinickendorf gegangen.
Sie wollten die Frau auf Grundlage des Vorführungsbeschlusses mitnehmen. Die Frau habe sich dagegen gewehrt und ein Messer gezogen. Dann sei der Schuss aus der Dienstwaffe abgegeben worden.
Alarmierte Rettungskräfte hätten noch versucht, die Verletzte zu reanimieren, sagte die Polizeisprecherin. Die 54-Jährige sei dann aber noch in der Wohnung gestorben. Die Mordkommission hat die Ermittlungen übernommen. Das sei üblich in solchen Fällen, sagte die Sprecherin.
Richter erlassen einen Vorführungsbeschluss unter anderem dann, wenn Beschuldigte oder auch Zeugen ohne Entschuldigung nicht zu einem Gerichtstermin erscheinen. Dann werden die Betroffenen von Ordnungshütern zwangsweise abgeholt. Ein Vorführungsbeschluss ist aber noch kein Haftbefehl.
Er kann auch erwirkt werden, wenn es beispielsweise darum geht, einen psychisch Kranken vor einer Unterbringung in einem Krankenhaus von einem medizinischen Gutachter untersuchen zu lassen, der Patient sich aber weigert. Welcher Fall bei der 54 Jahre alten Frau vorlag, sagte die Polizei am Mittwoch nicht. (dpa)
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pas sûr de la traduction, mais si j'ai bien compris c'est un "mandat d'amener" qui se termine très mal, une femme de 54 ans, que l'on voulait contraindre à se présenter, ayant agressé et légèrement blessé un policier au moyen d'un couteau... s'est fait tuer d'un coup de feu... par la police.
il semblerait (c'est en Allemagne, comment çà se passe en France, je ne sais pas) qu'un mandat d'amener puisse être établi pour contraindre une personne (qui ne veut pas) par la force à comparaître devant un Tribunal (en tant qu'accusé ou témoin) ou devant un expert médical en cas de maladie psychique suspectée.
plutôt inquiétant, ce scénario... on ne connaît pas les motifs, pour le moment, de ce mandat d'amener...
édit :
http://www.berliner-kurier.de/berlin/polizei-prozesse/polizist-erschiesst-frau/-/7169126/9607384/-/
Hintergrund des tragischen Zwischenfalls soll eine geplante Zwangseinweisung in eine psychiatrische Klinik sein. Eine Polizeisprecherin: „Die Frau sollte zwangsvorgeführt werden, weil sie sich weigerte, dringend notwendige psychiatrische Hilfe freiwillig in Anspruch zu nehmen.“
apparemment la femme (53 ans d'après un autre article) devait être contrainte à intégrer une clinique psychiatrique pour s'y faire soigner, ce qu'elle a refusé...
cela repose le problème des soins psychiatriques sous contrainte... et des bavures policières...
suicide
http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/finistere/dirinon-le-ter-bloque-apres-un-suicide-24-08-2011-1408102.php
Dirinon.Le TER bloqué après un suicide
Une personne âgée a mis fin à ses jours, hier, peu avant 9h50, en se laissant percuter par le TER Landerneau-Quimper, devant la gare de Dirinon-Loperhet. Ce geste désespéré a provoqué l'immobilisation du train pendant un peu plus d'une heure. ...............
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Dirinon.Le TER bloqué après un suicide
Une personne âgée a mis fin à ses jours, hier, peu avant 9h50, en se laissant percuter par le TER Landerneau-Quimper, devant la gare de Dirinon-Loperhet. Ce geste désespéré a provoqué l'immobilisation du train pendant un peu plus d'une heure. ...............
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explosion
http://www.sudouest.fr/2011/08/24/deux-morts-dans-l-explosion-481424-3949.php
Deux morts dans l'explosion
Un couple de retraités a trouvé la mort après une explosion due à une fuite de gaz hier matin.
Une forte explosion a secoué le quartier Sans-Pareil d'Aramits hier matin vers 6 heures. La maison de Jean Sottou, 92 ans et son épouse Marie, 83 ans, venait de s'écrouler, prenant le couple au piège. Leurs corps n'ont été retrouvés que vers 11 heures par les pompiers et les gendarmes de la cellule d'identification criminelle de Pau.
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Deux morts dans l'explosion
Un couple de retraités a trouvé la mort après une explosion due à une fuite de gaz hier matin.
Une forte explosion a secoué le quartier Sans-Pareil d'Aramits hier matin vers 6 heures. La maison de Jean Sottou, 92 ans et son épouse Marie, 83 ans, venait de s'écrouler, prenant le couple au piège. Leurs corps n'ont été retrouvés que vers 11 heures par les pompiers et les gendarmes de la cellule d'identification criminelle de Pau.
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mercredi 24 août 2011
suicide septennal
http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/ille-et-vilaine/rennes-le-meurtrier-presume-d-anne-caudal-s-est-suicide-24-08-2011-1408798.php
Rennes. Le meurtrier présumé d'Anne Caudal s'est suicidé
Christophe Piedoux, le meurtrier présumé d'Anne Caudal, s'est suicidé dans la nuit de mardi à mercredi à la prison de Rennes où il était en détention provisoire. L'homme, âgé de 42 ans, était incarcéré depuis le 28 juillet dernier.
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la situation en période critique septennale de l'intéressé peut avoir contribué à l'ensemble de ce triste scénario... depuis son début...
Rennes. Le meurtrier présumé d'Anne Caudal s'est suicidé
Christophe Piedoux, le meurtrier présumé d'Anne Caudal, s'est suicidé dans la nuit de mardi à mercredi à la prison de Rennes où il était en détention provisoire. L'homme, âgé de 42 ans, était incarcéré depuis le 28 juillet dernier.
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la situation en période critique septennale de l'intéressé peut avoir contribué à l'ensemble de ce triste scénario... depuis son début...
à bout portant...
http://www.lematin.ch/faits-divers/drame-des-tpg-le-tueur-serait-un-collegue-vaudois
Meurtre des TPG: le tueur serait un collègue vaudois
L’employé des TPG abattu hier à Genève a été victime de l’un de ses subalternes, un père de famille de 47 ans.
B., un père de famille vaudois de 47 ans, avait rendez-vous lundi après-midi avec G., responsable de la maintenance des infrastructures aux Transports Publics Genevois, à la centrale du Bachet-de-Pesay. Ce qui aurait dû être une simple reprise de contact entre un employé déboussolé et son supérieur hiérarchique désireux de l’aider s’est transformé en une exécution.
Le présumé assassin, papa d’une petite fille de 2 ans, était en effet en rupture depuis un certain temps. Ses problèmes personnels avaient même fini par prendre le pas sur sa vie au sein de l’entreprise. De plus, le Vaudois était connu dans son entourage professionnel pour avoir fait de nombreuses dépressions. Au sein des TPG, différentes mesures avaient même été prises pour lui venir en aide.
Malgré tout, il aura choisi avant-hier d’abattre G., son supérieur. En pénétrant dans les locaux de la régie de transport aux alentours de 10 h, il lui a tiré deux fois dessus à bout portant.
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Meurtre des TPG: le tueur serait un collègue vaudois
L’employé des TPG abattu hier à Genève a été victime de l’un de ses subalternes, un père de famille de 47 ans.
B., un père de famille vaudois de 47 ans, avait rendez-vous lundi après-midi avec G., responsable de la maintenance des infrastructures aux Transports Publics Genevois, à la centrale du Bachet-de-Pesay. Ce qui aurait dû être une simple reprise de contact entre un employé déboussolé et son supérieur hiérarchique désireux de l’aider s’est transformé en une exécution.
Le présumé assassin, papa d’une petite fille de 2 ans, était en effet en rupture depuis un certain temps. Ses problèmes personnels avaient même fini par prendre le pas sur sa vie au sein de l’entreprise. De plus, le Vaudois était connu dans son entourage professionnel pour avoir fait de nombreuses dépressions. Au sein des TPG, différentes mesures avaient même été prises pour lui venir en aide.
Malgré tout, il aura choisi avant-hier d’abattre G., son supérieur. En pénétrant dans les locaux de la régie de transport aux alentours de 10 h, il lui a tiré deux fois dessus à bout portant.
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mardi 23 août 2011
Loriot
http://www.lexpress.fr/culture/livre/l-humoriste-allemand-loriot-est-decede_1023212.html
L'humoriste allemand Loriot est décédé
Loriot, comédien et dessinateur allemand, est mort le 22 août, à 87 ans. Son humour a marqué les générations d'après-guerre en Allemagne.
......
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Loriot est décédé à l'âge de 87 ans et 9 mois, son jour critique émotionnel E1.
L'humoriste allemand Loriot est décédé
Loriot, comédien et dessinateur allemand, est mort le 22 août, à 87 ans. Son humour a marqué les générations d'après-guerre en Allemagne.
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Loriot est décédé à l'âge de 87 ans et 9 mois, son jour critique émotionnel E1.
punition
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=37236
" Une mère de famille a versé de la sauce piquante dans la bouche de son fils adoptif parce qu'il "lui avait menti", mais en réalité, son but était d'obtenir des images sensationnelles afin d'être invitée à un show télévisé.
Jessica Beagley, 36 ans, a enregistré ce châtiment cruel le 21 octobre 2010, pour passer dans l'émission Mommy Confessions, selon la procureur en charge de l'affaire. Les faits se sont déroulés à Anchorage, aux USA.
Dans une vidéo de huit minutes, filmé par la soeur du garçon de 7 ans, on peut voir cette mère de famille verser de la sauce piquante dans la bouche de son fils, Kristoff, pour cause de mauvaise conduite à l'école et de mensonge. L'enfant se voit interdire de recracher pendant plus d'une minute. On y voit également Jessica Beagley en train de forcer son fils à prendre une douche froide avant de l'envoyer au lit.
"Il n'y a aucune raison au monde pour que quelqu'un blesse un enfant afin de passer dans un reality show" a expliqué la procureur Cynthia Franklin devant la cour. La diffusion de la vidéo lors de l'émission avait suscité l'indignation. En Russie, pays d'origine des enfants, on avait même exigé que les jumeaux soient ramenés au pays.
Mme Franklin a expliqué au jury que cette épisode n'était pas la première tentative de Madame Beagley pour attirer l'attention de l'émission. Contactée par le show, on lui avait demandé de fournir des vidéos prouvant qu'elle avait de grandes difficultés avec son enfant. Il n'en fallait pas plus pour motiver la mère de famille.
Selon l'avocat de cette dernière, Jessica Beagley et son mari, officier de police, ont tenté de calmer leur fils de plusieurs façons plus classiques (fessées, restrictions...), mais sans succès. Il a soutenu devant le jury que sa cliente s'est rendue à l'émission uniquement car elle était désespérée et voulait trouver de l'aide pour son fils.
Mais la procureur a souligné que cette mère indigne ne souhaitait pas calmer ses enfants, mais au contraire, les rendre encore plus difficiles afin de parvenir à ses fins, bien plus égoïstes. Le verdict n'a pas encore été rendu. Aujourd'hui, le petit Kristoff suit une thérapie."
================
la mère aurait apparemment aussi besoin d'une thérapie...
la période critique septennale est juste à côté : (celle des 35 ans- les "manoeuvres" durant depuis un moment déjà) avec un enfant septennal (Kristoff se trouvant également dans sa période critique à lui, celle des 7 ans, ce qui peut expliquer ses problèmes et comportements, notamment l'hyperactivité...)
" Une mère de famille a versé de la sauce piquante dans la bouche de son fils adoptif parce qu'il "lui avait menti", mais en réalité, son but était d'obtenir des images sensationnelles afin d'être invitée à un show télévisé.
Jessica Beagley, 36 ans, a enregistré ce châtiment cruel le 21 octobre 2010, pour passer dans l'émission Mommy Confessions, selon la procureur en charge de l'affaire. Les faits se sont déroulés à Anchorage, aux USA.
Dans une vidéo de huit minutes, filmé par la soeur du garçon de 7 ans, on peut voir cette mère de famille verser de la sauce piquante dans la bouche de son fils, Kristoff, pour cause de mauvaise conduite à l'école et de mensonge. L'enfant se voit interdire de recracher pendant plus d'une minute. On y voit également Jessica Beagley en train de forcer son fils à prendre une douche froide avant de l'envoyer au lit.
"Il n'y a aucune raison au monde pour que quelqu'un blesse un enfant afin de passer dans un reality show" a expliqué la procureur Cynthia Franklin devant la cour. La diffusion de la vidéo lors de l'émission avait suscité l'indignation. En Russie, pays d'origine des enfants, on avait même exigé que les jumeaux soient ramenés au pays.
Mme Franklin a expliqué au jury que cette épisode n'était pas la première tentative de Madame Beagley pour attirer l'attention de l'émission. Contactée par le show, on lui avait demandé de fournir des vidéos prouvant qu'elle avait de grandes difficultés avec son enfant. Il n'en fallait pas plus pour motiver la mère de famille.
Selon l'avocat de cette dernière, Jessica Beagley et son mari, officier de police, ont tenté de calmer leur fils de plusieurs façons plus classiques (fessées, restrictions...), mais sans succès. Il a soutenu devant le jury que sa cliente s'est rendue à l'émission uniquement car elle était désespérée et voulait trouver de l'aide pour son fils.
Mais la procureur a souligné que cette mère indigne ne souhaitait pas calmer ses enfants, mais au contraire, les rendre encore plus difficiles afin de parvenir à ses fins, bien plus égoïstes. Le verdict n'a pas encore été rendu. Aujourd'hui, le petit Kristoff suit une thérapie."
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la mère aurait apparemment aussi besoin d'une thérapie...
la période critique septennale est juste à côté : (celle des 35 ans- les "manoeuvres" durant depuis un moment déjà) avec un enfant septennal (Kristoff se trouvant également dans sa période critique à lui, celle des 7 ans, ce qui peut expliquer ses problèmes et comportements, notamment l'hyperactivité...)
suicide
http://www.leparisien.fr/bordeaux-33000/gironde-un-prevenu-se-suicide-avant-son-proces-23-08-2011-1575934.php
Un homme soupçonné de cambriolage, s'est suicidé ce week-end à la maison d'arrêt de Gradignan, près de Bordeaux, a annoncé une source pénitentiaire mardi matin, confirmant une information du quotidien régional Sud-Ouest.
L'homme, âgé de 43 ans, s'est pendu dimanche soir dans sa cellule.
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Un homme soupçonné de cambriolage, s'est suicidé ce week-end à la maison d'arrêt de Gradignan, près de Bordeaux, a annoncé une source pénitentiaire mardi matin, confirmant une information du quotidien régional Sud-Ouest.
L'homme, âgé de 43 ans, s'est pendu dimanche soir dans sa cellule.
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suicide
http://www.chretiente.info/201108224551/euthanasie-par-omission-version-suicide/
Euthanasie par omission, version suicide
Jeanne Smits , le 22 août 2011
Un couple américain du Nouveau Mexique, raconte le journal britannique Mail Online, a décidé de se suicider ensemble en arrêtant de boire et de manger parce qu’ils estimaient trop difficile de mourir l’un sans l’autre, alors qu’au bout de 69 ans de mariage ils souffraient de multiples affections et qu’ils craignaient la perspective de la démence commençante. Avec beaucoup de complaisance, le quotidien à fort tirage relate l’histoire d’Armond Rudoph, 92 ans, et Dorothy Rudolph, 90 ans, qui ont réussi à faire reconnaître leur droit de ne pas vivre l’ultime « indignité » d’une mort naturelle.
Tous deux hébergés par un unité de « vie assistée » à Albuquerque, au Nouveau Mexique, ils avaient déjà jeûné trois jours lorsqu’ils mirent le personnel soignant au courant de leur choix. Devant leur refus de s’alimenter et de boire, celui-ci fit appeler un numéro d’urgence pour dénoncer leur è tentative de suicide », avant de leur signifier leur éviction de l’institution.
Leurs deux enfants se chargèrent alors de les héberger dans un appartement privé où ils continuèrent leur jeûne, avant de mourir au bout d’une semaine à un jour d’intervalle.
Membres actifs de l’Eglise presbytérienne, les deux époux sont désormais donnés en exemple par l’association « Compassion and Choices », leur fils Neil ayant décidé de mettre leur histoire en avant et de militer pour que cette manière de choisir sa fin de vie devienne possible, légale et acceptée partout.
Le groupe s’efforce notamment d’expliquer que la mort par déshydratation et refus de nourriture est « assez indolore » voire, parfois, euphorique.
Ce qui est contredit par les souffrances de ceux qui meurent de soif et de faim…
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nous ne sommes pas très informés de ce qui se passe réellement lorsque l'on meurt de faim et de soif : j'ai toujours pensé que le seul suicide "naturel" est de s'arrêter simplement de manger et de se laisser mourir de faim... çà donne le temps de réfléchir si l'on change d'avis... :-) (surtout que nous avons deux septennaux (période critique septennale des 91 ans) dans l'exemple ci-dessus : cela y est certainement pour quelque chose dans leur décision et motivation...)
pour les informations elles sont peut-être retenues volontairement pour éviter des abus... ? c'est tout comme la question de l'étouffement... on a tendance à se dire qu'il est horrible d'étouffer... alors que par ailleurs on est contraint de sensibiliser les jeunes afin qu'ils ne succombent pas au jeu du foulard et d'autres... jeux qui leur procurent apparemment des sensations agréables... sans quoi ils ne s'y aventureraient pas... ?
Euthanasie par omission, version suicide
Jeanne Smits , le 22 août 2011
Un couple américain du Nouveau Mexique, raconte le journal britannique Mail Online, a décidé de se suicider ensemble en arrêtant de boire et de manger parce qu’ils estimaient trop difficile de mourir l’un sans l’autre, alors qu’au bout de 69 ans de mariage ils souffraient de multiples affections et qu’ils craignaient la perspective de la démence commençante. Avec beaucoup de complaisance, le quotidien à fort tirage relate l’histoire d’Armond Rudoph, 92 ans, et Dorothy Rudolph, 90 ans, qui ont réussi à faire reconnaître leur droit de ne pas vivre l’ultime « indignité » d’une mort naturelle.
Tous deux hébergés par un unité de « vie assistée » à Albuquerque, au Nouveau Mexique, ils avaient déjà jeûné trois jours lorsqu’ils mirent le personnel soignant au courant de leur choix. Devant leur refus de s’alimenter et de boire, celui-ci fit appeler un numéro d’urgence pour dénoncer leur è tentative de suicide », avant de leur signifier leur éviction de l’institution.
Leurs deux enfants se chargèrent alors de les héberger dans un appartement privé où ils continuèrent leur jeûne, avant de mourir au bout d’une semaine à un jour d’intervalle.
Membres actifs de l’Eglise presbytérienne, les deux époux sont désormais donnés en exemple par l’association « Compassion and Choices », leur fils Neil ayant décidé de mettre leur histoire en avant et de militer pour que cette manière de choisir sa fin de vie devienne possible, légale et acceptée partout.
Le groupe s’efforce notamment d’expliquer que la mort par déshydratation et refus de nourriture est « assez indolore » voire, parfois, euphorique.
Ce qui est contredit par les souffrances de ceux qui meurent de soif et de faim…
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nous ne sommes pas très informés de ce qui se passe réellement lorsque l'on meurt de faim et de soif : j'ai toujours pensé que le seul suicide "naturel" est de s'arrêter simplement de manger et de se laisser mourir de faim... çà donne le temps de réfléchir si l'on change d'avis... :-) (surtout que nous avons deux septennaux (période critique septennale des 91 ans) dans l'exemple ci-dessus : cela y est certainement pour quelque chose dans leur décision et motivation...)
pour les informations elles sont peut-être retenues volontairement pour éviter des abus... ? c'est tout comme la question de l'étouffement... on a tendance à se dire qu'il est horrible d'étouffer... alors que par ailleurs on est contraint de sensibiliser les jeunes afin qu'ils ne succombent pas au jeu du foulard et d'autres... jeux qui leur procurent apparemment des sensations agréables... sans quoi ils ne s'y aventureraient pas... ?
suicide
http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/actu/0201578120400-un-detenu-de-fleury-merogis-se-suicide-209040.php
Un détenu de Fleury-Mérogis se suicide
Un détenu de la prison de Fleury-Mérogis (Essonne) est décédé dans dimanche après avoir incendié le matelas de sa cellule. Le jeune homme de vingt et un ans d'origine tunisienne avait demandé à changer de bâtiment. Le nombre de détenus dans les prisons françaises a diminué de 1 % en juillet, mais reste en augmentation de 5,2 % en un an, selon les chiffres publiés par l'administration pénitentiaire. Avec un taux de surpopulation de 113,3 %.
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Un détenu de Fleury-Mérogis se suicide
Un détenu de la prison de Fleury-Mérogis (Essonne) est décédé dans dimanche après avoir incendié le matelas de sa cellule. Le jeune homme de vingt et un ans d'origine tunisienne avait demandé à changer de bâtiment. Le nombre de détenus dans les prisons françaises a diminué de 1 % en juillet, mais reste en augmentation de 5,2 % en un an, selon les chiffres publiés par l'administration pénitentiaire. Avec un taux de surpopulation de 113,3 %.
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enlevée
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=11370&hl=
Strasbourg : une fillette de 3 ans brièvement enlevée par un de ses voisins
Une petite fille de trois ans a été enlevée et séquestrée par un de ses voisins d’immeuble, mardi 16 août dans le quartier du Neuhoff, à Strasbourg. C’est en début d’après-midi que les parents, logeant au deuxième étage, s’aperçoivent de la disparition de l’enfant. Inquiets, ils la cherchent dans tout l’immeuble et interrogent les voisins. Au troisième étage, l’un d’eux nie avoir vu la petite fille, mais les parents entendent des pleurs qui proviennent de l’appartement. Le voisin leur ayant refusé d’entrer chez lui, les parents préviennent la police et le père force la porte. Il reçoit des coups, mais parvient à récupérer sa fille. Arrêté par la police, le voisin, âgé de 49 ans, handicapé à 80 % et vivant seul, a expliqué son geste par l’intention de fonder une famille. La fillette n’a subi aucune violence physique ou sexuelle. Poursuivi pour soustraction de mineur, sans fraude ni violences, l’homme a été placé sous contrôle judiciaire, avec interdiction de se représenter dans son quartier. Il encourt cinq ans de prison. Jugement le 19 octobre.
Source : Le Pays
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Strasbourg : une fillette de 3 ans brièvement enlevée par un de ses voisins
Une petite fille de trois ans a été enlevée et séquestrée par un de ses voisins d’immeuble, mardi 16 août dans le quartier du Neuhoff, à Strasbourg. C’est en début d’après-midi que les parents, logeant au deuxième étage, s’aperçoivent de la disparition de l’enfant. Inquiets, ils la cherchent dans tout l’immeuble et interrogent les voisins. Au troisième étage, l’un d’eux nie avoir vu la petite fille, mais les parents entendent des pleurs qui proviennent de l’appartement. Le voisin leur ayant refusé d’entrer chez lui, les parents préviennent la police et le père force la porte. Il reçoit des coups, mais parvient à récupérer sa fille. Arrêté par la police, le voisin, âgé de 49 ans, handicapé à 80 % et vivant seul, a expliqué son geste par l’intention de fonder une famille. La fillette n’a subi aucune violence physique ou sexuelle. Poursuivi pour soustraction de mineur, sans fraude ni violences, l’homme a été placé sous contrôle judiciaire, avec interdiction de se représenter dans son quartier. Il encourt cinq ans de prison. Jugement le 19 octobre.
Source : Le Pays
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violences
http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/la-courneuve-un-enfant-defenestre-pieds-et-poings-lies-23-08-2011-1407094.php
La Courneuve. Un enfant défenestré pieds et poings liés
Un garçon âgé d'une dizaine d'années a été retrouvé, lundi, grièvement blessé, en bas de son immeuble, à La Courneuve (Seine-Saint-Denis). Pieds et poings liés, il aurait été - ou se serait - défenestré du 5e étage.
L'enfant a été transporté à l'hôpital Necker, à Paris, mais ses jours n'étaient plus en danger, hier soir.
Selon les premiers éléments de l'enquête, le drame est survenu à la suite d'une dispute familiale pour laquelle le père aurait puni son enfant en l'attachant. L'homme était en garde à vue hier soir.
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pas trouvé l'âge du père, pour le moment...
La Courneuve. Un enfant défenestré pieds et poings liés
Un garçon âgé d'une dizaine d'années a été retrouvé, lundi, grièvement blessé, en bas de son immeuble, à La Courneuve (Seine-Saint-Denis). Pieds et poings liés, il aurait été - ou se serait - défenestré du 5e étage.
L'enfant a été transporté à l'hôpital Necker, à Paris, mais ses jours n'étaient plus en danger, hier soir.
Selon les premiers éléments de l'enquête, le drame est survenu à la suite d'une dispute familiale pour laquelle le père aurait puni son enfant en l'attachant. L'homme était en garde à vue hier soir.
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pas trouvé l'âge du père, pour le moment...
meurtre
http://www.ladepeche.fr/article/2011/08/23/1151649-villeneuve-lecussan-il-maquille-le-meurtre-de-son-patron-en-enlevement.html
Villeneuve-Lécussan. Il maquille le meurtre de son patron en enlèvement
Après 3 jours de recherche la police retrouve le corps sans vie du retraité agricole
C'est au cœur du Comminges, en rase campagne, que les policiers du SRPJ de Toulouse ont résolu une énigme criminelle des plus alambiquées. Dimanche soir les enquêteurs ont interpellé un ouvrier agricole de 42 ans, entre Villeneuve-Lecussan et Pinas, au Sud de la Haute-Garonne, soupçonné d'avoir tué et mis en scène le rapt, avec demande de rançon, de son propre patron, Jean Ibos, 75 ans, dit « Jeannot », mort étranglé et dont le corps a été retrouvé dimanche à 18 heures, au milieu d'un champ de maïs. Menées dans la plus grande discrétion pour espérer retrouver l'otage en vie, les investigations qui ont duré près de trois jours ont mobilisé une cinquantaine d'enquêteurs de la police judiciaire.
...........
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édit 24/08 :
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=11372&hl=
Comment expliquez-vous ce qui est arrivé ?
Toute la famille est effondrée. C'est l'incompréhension totale. Tout le monde se demande pourquoi un tel scénario ? On est persuadés qu'il a fait tout cela pour l'argent.
Quelles étaient les relations entre votre famille et le suspect ?
Cet homme a été recruté il y a un an et demi. Il venait de la région de Clermont-Ferrand et gérait une ferme avec son frère. Il est venu ici en avril 2010. Sa femme et ses enfants ont suivi. Tout se passait bien. On avait des relations amicales et proches, au-delà même qu'une simple relation employeur-employé. Il y a encore huit jours, on travaillait ensemble. Il n'y a jamais eu de conflits ni de mauvaises relations entre nous. Mon père était respecté de tous.
Vous parlez d'un immense gâchis… ?
Notre famille est soudée dans la douleur. Mais je pense à l'épouse de cet homme et à ses deux enfants. Il y a deux familles détruites dans cette affaire.
Il aurait tout prémédité ?
C'est évident. Il a fait croire à l'enlèvement de mon père puis a mis en scène le sien pour éviter que les policiers le suspectent. Tout ça pour de l'argent. Mais on était évidemment incapables de fournir ce qu'il demandait. Son scénario était bancal. Les policiers du SRPJ ont fait un gros travail d'enquête pour démonter tout ce qui l'avait mis en place. Ils ont vraiment travaillé intelligemment.
Mais comment a-t-il pu en arriver là ?
Aujourd'hui, on tombe des nues. Il a échafaudé ce plan pour de l'argent. Quand il s'est présenté à nous en avril 2010, il venait de quitter l'Auvergne. L'exploitation qu'il gérait n'était pas suffisante.
Cantaous : un village sous le choc
L'image n'est pas trop forte. Cantaous, petit village de 500 habitants à 6 km de Lannemezan, est encore sous le choc. Personne ne s'explique quel processus a conduit un habitant du village à se rendre coupable du meurtre de Jean Ibos, son patron, mais aussi de monter un tel scénario d'enlèvement. Car la réalité des faits ne correspond pas du tout à l'image du meurtrier présumé. La famille est arrivée il y a un an et demi à Cantaous. Une famille connue et appréciée de tous. Une famille normale, voire ordinaire, très intégrée dans le quartier du Bernet où elle réside dans une maison de location.
Jean-Pierre Afonso, le maire de Cantaous, s'avoue complètement abasourdi. « Le couple et les deux enfants, un petit garçon et une petite fille, sont arrivés à Cantaous il y a environ un an et demi. Lors de leur arrivée, ils sont venus se présenter à la mairie, et ont même organisé un « pot » d'arrivée au quartier. Les deux enfants allaient à l'école, la mère avait un emploi. Le père faisait des sorties au ski avec les enfants du village. Il comptait beaucoup d'amis.
Jamais, je n'aurais imaginé qu'un tel drame puisse se produire. C'était inimaginable avant. Quant à d'éventuels soucis financiers, je ne suis pas au courant. »
Un autre habitant de Cantaous témoigne : « Je connais très bien cette famille avec qui j'ai des relations. Je suis abattu, j'ai des difficultés à manger depuis que j'ai appris ce qui s'est passé. Ce n'était pas un homme à ça.
La famille était très bien acceptée et intégrée. Quant à lui, il était serviable et disponible. Lors de la dernière fête du village, il a été à l'origine d'un repas autour d'un cochon grillé. Vraiment, à Cantaous, c'est le choc. Nous ne comprenons pas. Quant à moi, j'ai envie de savoir ce qui s'est réellement passé. Je sais qu'il venait d'Auvergne, où il était agriculteur et il exploitait la ferme familiale avec son frère. C'est vrai qu'au départ, je me suis posé la question de sa venue à Cantaous, pour un travail d'ouvrier agricole. Mais son intégration dans le village aidant, je n'y ai plus pensé ».
==============
pour moi c'est un triste exemple, extrême, de ce qui peut se passer dans la tête d'un homme lorsqu'arrive la période critique septennale : nous pouvons alors changer de personnalité et c'est notre Hyde qui prend les rênes un peu à notre insu si nous n'y prenons garde... puisqu'il nous arrive une forme de désinhibition, une sorte d'ivresse septennale, comme j'appelle cet état...
celui-ci peut faire germer des plans incompréhensibles voire aberrants, comme ici ce scénario simplet et simpliste qui ne pouvait qu'échouer, et qui va décimer deux familles et plus...
les psys devraient décidément s'intéresser aux périodes critiques septennales et à leurs effets très variés, pour tenter d'expliquer ce qui est parfois incompréhensible sans cela...
Villeneuve-Lécussan. Il maquille le meurtre de son patron en enlèvement
Après 3 jours de recherche la police retrouve le corps sans vie du retraité agricole
C'est au cœur du Comminges, en rase campagne, que les policiers du SRPJ de Toulouse ont résolu une énigme criminelle des plus alambiquées. Dimanche soir les enquêteurs ont interpellé un ouvrier agricole de 42 ans, entre Villeneuve-Lecussan et Pinas, au Sud de la Haute-Garonne, soupçonné d'avoir tué et mis en scène le rapt, avec demande de rançon, de son propre patron, Jean Ibos, 75 ans, dit « Jeannot », mort étranglé et dont le corps a été retrouvé dimanche à 18 heures, au milieu d'un champ de maïs. Menées dans la plus grande discrétion pour espérer retrouver l'otage en vie, les investigations qui ont duré près de trois jours ont mobilisé une cinquantaine d'enquêteurs de la police judiciaire.
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édit 24/08 :
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=11372&hl=
Comment expliquez-vous ce qui est arrivé ?
Toute la famille est effondrée. C'est l'incompréhension totale. Tout le monde se demande pourquoi un tel scénario ? On est persuadés qu'il a fait tout cela pour l'argent.
Quelles étaient les relations entre votre famille et le suspect ?
Cet homme a été recruté il y a un an et demi. Il venait de la région de Clermont-Ferrand et gérait une ferme avec son frère. Il est venu ici en avril 2010. Sa femme et ses enfants ont suivi. Tout se passait bien. On avait des relations amicales et proches, au-delà même qu'une simple relation employeur-employé. Il y a encore huit jours, on travaillait ensemble. Il n'y a jamais eu de conflits ni de mauvaises relations entre nous. Mon père était respecté de tous.
Vous parlez d'un immense gâchis… ?
Notre famille est soudée dans la douleur. Mais je pense à l'épouse de cet homme et à ses deux enfants. Il y a deux familles détruites dans cette affaire.
Il aurait tout prémédité ?
C'est évident. Il a fait croire à l'enlèvement de mon père puis a mis en scène le sien pour éviter que les policiers le suspectent. Tout ça pour de l'argent. Mais on était évidemment incapables de fournir ce qu'il demandait. Son scénario était bancal. Les policiers du SRPJ ont fait un gros travail d'enquête pour démonter tout ce qui l'avait mis en place. Ils ont vraiment travaillé intelligemment.
Mais comment a-t-il pu en arriver là ?
Aujourd'hui, on tombe des nues. Il a échafaudé ce plan pour de l'argent. Quand il s'est présenté à nous en avril 2010, il venait de quitter l'Auvergne. L'exploitation qu'il gérait n'était pas suffisante.
Cantaous : un village sous le choc
L'image n'est pas trop forte. Cantaous, petit village de 500 habitants à 6 km de Lannemezan, est encore sous le choc. Personne ne s'explique quel processus a conduit un habitant du village à se rendre coupable du meurtre de Jean Ibos, son patron, mais aussi de monter un tel scénario d'enlèvement. Car la réalité des faits ne correspond pas du tout à l'image du meurtrier présumé. La famille est arrivée il y a un an et demi à Cantaous. Une famille connue et appréciée de tous. Une famille normale, voire ordinaire, très intégrée dans le quartier du Bernet où elle réside dans une maison de location.
Jean-Pierre Afonso, le maire de Cantaous, s'avoue complètement abasourdi. « Le couple et les deux enfants, un petit garçon et une petite fille, sont arrivés à Cantaous il y a environ un an et demi. Lors de leur arrivée, ils sont venus se présenter à la mairie, et ont même organisé un « pot » d'arrivée au quartier. Les deux enfants allaient à l'école, la mère avait un emploi. Le père faisait des sorties au ski avec les enfants du village. Il comptait beaucoup d'amis.
Jamais, je n'aurais imaginé qu'un tel drame puisse se produire. C'était inimaginable avant. Quant à d'éventuels soucis financiers, je ne suis pas au courant. »
Un autre habitant de Cantaous témoigne : « Je connais très bien cette famille avec qui j'ai des relations. Je suis abattu, j'ai des difficultés à manger depuis que j'ai appris ce qui s'est passé. Ce n'était pas un homme à ça.
La famille était très bien acceptée et intégrée. Quant à lui, il était serviable et disponible. Lors de la dernière fête du village, il a été à l'origine d'un repas autour d'un cochon grillé. Vraiment, à Cantaous, c'est le choc. Nous ne comprenons pas. Quant à moi, j'ai envie de savoir ce qui s'est réellement passé. Je sais qu'il venait d'Auvergne, où il était agriculteur et il exploitait la ferme familiale avec son frère. C'est vrai qu'au départ, je me suis posé la question de sa venue à Cantaous, pour un travail d'ouvrier agricole. Mais son intégration dans le village aidant, je n'y ai plus pensé ».
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pour moi c'est un triste exemple, extrême, de ce qui peut se passer dans la tête d'un homme lorsqu'arrive la période critique septennale : nous pouvons alors changer de personnalité et c'est notre Hyde qui prend les rênes un peu à notre insu si nous n'y prenons garde... puisqu'il nous arrive une forme de désinhibition, une sorte d'ivresse septennale, comme j'appelle cet état...
celui-ci peut faire germer des plans incompréhensibles voire aberrants, comme ici ce scénario simplet et simpliste qui ne pouvait qu'échouer, et qui va décimer deux familles et plus...
les psys devraient décidément s'intéresser aux périodes critiques septennales et à leurs effets très variés, pour tenter d'expliquer ce qui est parfois incompréhensible sans cela...
pédophilie
http://www.20minutes.fr/ledirect/773918/toulon-comparait-devant-tribunal-atteintes-sexuelles-petite-voisine
Toulon: Il comparaît devant le tribunal pour atteintes sexuelles sur sa petite voisine
Il avait 41 ans au moment des faits, elle 8 ans. Un homme a comparu mardi devant le tribunal de Toulon pour «atteintes sexuelles sur mineur et détention d’images pédo-pronographiques», relève le quotidien Var Matin. Entre 1999 et 2002, l’homme multiplie les gestes indécents sur sa petite voisine de 8 ans, simule des actes sexuels et s’exhibe devant elle. Traumatisée, la petite fille raconte à sa mère ce que lui fait subir ce «gentil voisin». Sa maman, elle aussi victime d’une tentative de viol à 18 ans ne sait pas comment réagir. C’est finalement l’infirmière scolaire qui déclenchera la procédure.
«J'ai pété les plombs»
Devant le tribunal, l’homme avoue ses actes et pleurniche: «J’ai pété les plombs!» «Pendant quatre ans! Vous avez mis en cause l’enfant», le reprend la présidente. «Sur votre ordinateur, on a également retrouvé des images pédo-pornographiques. Vous ne pensez pas qu’il y a un problème?» L’homme reconnaît être responsable de tout. Avant d’être reconduit en prison, il a regardé la victime en lui disant «je regrette». Elle a détourné les yeux.
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le décor est en quelque sorte planté dans les premiers mots de l'article "Il avait 41 ans au moment des faits, elle 8 ans."... et ensuite... «J’ai pété les plombs!»
en effet les faits pédophile d'une certaine catégorie que j'appelle désormais "pédophilie septennale" ont un lien avec l'arrivée d'une période critique septennale : ils "démarrent" à ce moment là et peuvent ensuite perdurer variablement si les "occasions" qui font le larron (le mot est faible dans ce cas) continuent d'exister...
comment çà fonctionne je ne sais pas vraiment, sauf que chez certains individus chez lesquels la tendance est "enfouie" ou cachée (bien plus d'hommes qu'on ne s'imagine) les pulsions septennales qui arrivent vont éveiller un intérêt fort pour les enfants et la sexualité. aidé en cela par un effet momentané de désinhibition (qui fait en sorte qu'il y a risque de passage à l'acte parce que l'on se trouve dans un état d'esprit différent à ce moment-là - ici l'intéressé le traduit après-coup par cette explication "j'ai pété les plombs" puisque une fois l'effet "période critique septennale" passé on "atterri"...
ce mécanisme peut se vérifier en étudiant les passages à l'acte et les comportements pédophiles arrivés. il ne doit bien sûr constituer aucune excuse ou circonstance atténuante, mais peut aider à comprendre... et à prévenir : une prise en compte A L'AVANCE de l'arrivée d'une période critique septennale peut alerter et aider les éventuels auteurs (car la maîtrise de la situation peut et doit surtout venir d'eux), l'entourage et les futures victimes.
Toulon: Il comparaît devant le tribunal pour atteintes sexuelles sur sa petite voisine
Il avait 41 ans au moment des faits, elle 8 ans. Un homme a comparu mardi devant le tribunal de Toulon pour «atteintes sexuelles sur mineur et détention d’images pédo-pronographiques», relève le quotidien Var Matin. Entre 1999 et 2002, l’homme multiplie les gestes indécents sur sa petite voisine de 8 ans, simule des actes sexuels et s’exhibe devant elle. Traumatisée, la petite fille raconte à sa mère ce que lui fait subir ce «gentil voisin». Sa maman, elle aussi victime d’une tentative de viol à 18 ans ne sait pas comment réagir. C’est finalement l’infirmière scolaire qui déclenchera la procédure.
«J'ai pété les plombs»
Devant le tribunal, l’homme avoue ses actes et pleurniche: «J’ai pété les plombs!» «Pendant quatre ans! Vous avez mis en cause l’enfant», le reprend la présidente. «Sur votre ordinateur, on a également retrouvé des images pédo-pornographiques. Vous ne pensez pas qu’il y a un problème?» L’homme reconnaît être responsable de tout. Avant d’être reconduit en prison, il a regardé la victime en lui disant «je regrette». Elle a détourné les yeux.
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le décor est en quelque sorte planté dans les premiers mots de l'article "Il avait 41 ans au moment des faits, elle 8 ans."... et ensuite... «J’ai pété les plombs!»
en effet les faits pédophile d'une certaine catégorie que j'appelle désormais "pédophilie septennale" ont un lien avec l'arrivée d'une période critique septennale : ils "démarrent" à ce moment là et peuvent ensuite perdurer variablement si les "occasions" qui font le larron (le mot est faible dans ce cas) continuent d'exister...
comment çà fonctionne je ne sais pas vraiment, sauf que chez certains individus chez lesquels la tendance est "enfouie" ou cachée (bien plus d'hommes qu'on ne s'imagine) les pulsions septennales qui arrivent vont éveiller un intérêt fort pour les enfants et la sexualité. aidé en cela par un effet momentané de désinhibition (qui fait en sorte qu'il y a risque de passage à l'acte parce que l'on se trouve dans un état d'esprit différent à ce moment-là - ici l'intéressé le traduit après-coup par cette explication "j'ai pété les plombs" puisque une fois l'effet "période critique septennale" passé on "atterri"...
ce mécanisme peut se vérifier en étudiant les passages à l'acte et les comportements pédophiles arrivés. il ne doit bien sûr constituer aucune excuse ou circonstance atténuante, mais peut aider à comprendre... et à prévenir : une prise en compte A L'AVANCE de l'arrivée d'une période critique septennale peut alerter et aider les éventuels auteurs (car la maîtrise de la situation peut et doit surtout venir d'eux), l'entourage et les futures victimes.
suicide
http://www.20min.ch/ro/news/faits_divers/story/25618872
Ils annoncent leurs suicides sur Facebook
Deux amoureux se sont donné la mort en Belgique à quelques jours d'intervalle après l'avoir chacun sous-entendu sur le mur de leur profil Facebook.
Davy (28 ans) a annoncé son intention d'en finir avec la vie sur son mur Facebook quelques jours après le suicide de son amoureuse Katrien (30 ans) qui, elle-même, avait sous-entendu son geste fatal sur le réseau social. (dr)
La vie était devenue insupportable pour Davy Hendrix (28 ans) et Katrien Vanherle (30 ans). Ces deux Flamands de Zonhoven, dans la province belge du Limbourg, ont mis fin à leurs jours après avoir prévenu sur FaceBook leurs amis de leur projet funeste. Ils étaient en couple depuis plusieurs mois.
Tout a commencé, il y a une dizaine de jours avec une dispute entre Katrien et des membres de sa famille avec qui elle avait coupé les ponts depuis longtemps, relate le site HLN.be qui parle d'une triste première du genre en Belgique.
«Je tire un trait sur le passé»
Suite à cette querelle, Katrien poste, jeudi 12 août, sur son mur Facebook une phrase assez mystérieuse pour ses amis: «La nouvelle Katrien est plus forte que jamais. Je tire un trait sur le passé». Ce seront ses mots d'adieux avant de se suicider dans la réserve naturelle de «De Teut». Dans son geste de désespoir, Katrien laisse un enfant orphelin, fruit d'une précédente relation.
Inconsolable, son conjoint décide de la rejoindre dans l'au-delà. Le 18 août, Davy poste, à son tour sur son mur Facebook, un message annonçant son geste fatal: «Katrien a donné sa vie pour moi, je le fais maintenant pour elle». Quelques jours plus tôt et après le suicide de Katrien, Davy avait déjà rendu un dernier hommage à sa douce. Il avait pris soin de changer son «état civil facebookien», passant du statut de «C'est compliqué» à «Marié avec Katrien Vanherle», histoire de s'unir virtuellement à jamais avec la jeune fille.
Des sites d'aide contre le suicide
En Suisse, de nombreux sites viennent en aide pour prévenir le suicide. «Téléphoner à une structure d'aide n'est pas un acte de lâcheté ou de faiblesse: c'est au contraire une preuve de courage. Tu as le courage de changer ta vie, de la prendre en main pour aller mieux!» explique le site Stopsuicide.ch. Ce site fournit une liste de liens et de numéros qui peuvent apporter une aide, comme celui de La Main Tendue (numéro 143) ou celui du Centre d'Etude et de Prévention du Suicide (CEPS) à Genève qui offre un accès, 24h/24 au 022 382 42 42, vers un spécialiste.
============
je pense avoir trouvé la date de naissance de Katrien Vanherle (15/07/1981) pour vérifier sa situation au moment de son suicide (mais je n'ai pas trouvé la date certaine de son suicide, ni de données pour son ami : le 12 août n'est pas jeudi mais vendredi)
son jour critique émotionnel mercredi.
août 1011 (15/07/1981)
Sa 6
Di 7
Lu 8 I(26)
Ma 9 P(12)
Me 10 E(8)
Je 11
Ve 12
Sa 13
Ils annoncent leurs suicides sur Facebook
Deux amoureux se sont donné la mort en Belgique à quelques jours d'intervalle après l'avoir chacun sous-entendu sur le mur de leur profil Facebook.
Davy (28 ans) a annoncé son intention d'en finir avec la vie sur son mur Facebook quelques jours après le suicide de son amoureuse Katrien (30 ans) qui, elle-même, avait sous-entendu son geste fatal sur le réseau social. (dr)
La vie était devenue insupportable pour Davy Hendrix (28 ans) et Katrien Vanherle (30 ans). Ces deux Flamands de Zonhoven, dans la province belge du Limbourg, ont mis fin à leurs jours après avoir prévenu sur FaceBook leurs amis de leur projet funeste. Ils étaient en couple depuis plusieurs mois.
Tout a commencé, il y a une dizaine de jours avec une dispute entre Katrien et des membres de sa famille avec qui elle avait coupé les ponts depuis longtemps, relate le site HLN.be qui parle d'une triste première du genre en Belgique.
«Je tire un trait sur le passé»
Suite à cette querelle, Katrien poste, jeudi 12 août, sur son mur Facebook une phrase assez mystérieuse pour ses amis: «La nouvelle Katrien est plus forte que jamais. Je tire un trait sur le passé». Ce seront ses mots d'adieux avant de se suicider dans la réserve naturelle de «De Teut». Dans son geste de désespoir, Katrien laisse un enfant orphelin, fruit d'une précédente relation.
Inconsolable, son conjoint décide de la rejoindre dans l'au-delà. Le 18 août, Davy poste, à son tour sur son mur Facebook, un message annonçant son geste fatal: «Katrien a donné sa vie pour moi, je le fais maintenant pour elle». Quelques jours plus tôt et après le suicide de Katrien, Davy avait déjà rendu un dernier hommage à sa douce. Il avait pris soin de changer son «état civil facebookien», passant du statut de «C'est compliqué» à «Marié avec Katrien Vanherle», histoire de s'unir virtuellement à jamais avec la jeune fille.
Des sites d'aide contre le suicide
En Suisse, de nombreux sites viennent en aide pour prévenir le suicide. «Téléphoner à une structure d'aide n'est pas un acte de lâcheté ou de faiblesse: c'est au contraire une preuve de courage. Tu as le courage de changer ta vie, de la prendre en main pour aller mieux!» explique le site Stopsuicide.ch. Ce site fournit une liste de liens et de numéros qui peuvent apporter une aide, comme celui de La Main Tendue (numéro 143) ou celui du Centre d'Etude et de Prévention du Suicide (CEPS) à Genève qui offre un accès, 24h/24 au 022 382 42 42, vers un spécialiste.
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je pense avoir trouvé la date de naissance de Katrien Vanherle (15/07/1981) pour vérifier sa situation au moment de son suicide (mais je n'ai pas trouvé la date certaine de son suicide, ni de données pour son ami : le 12 août n'est pas jeudi mais vendredi)
son jour critique émotionnel mercredi.
août 1011 (15/07/1981)
Sa 6
Di 7
Lu 8 I(26)
Ma 9 P(12)
Me 10 E(8)
Je 11
Ve 12
Sa 13
lundi 22 août 2011
drame conjugal
http://www.stern.de/panorama/familiendrama-in-emsdetten-ehemann-toetet-wahrscheinlich-schwangere-und-ungeborenes-1719290.html
Ehemann tötet wahrscheinlich Schwangere und Ungeborenes
Ein Mann aus Emsdetten im Münsterland hat sich selbst der Polizei gestellt. Die schwangere Ehefrau und das ungeborene Kind sind tot. Der Man gilt als tatverdächtig, konnte aber noch keine eindeutige Aussage treffen.
Bei einem Ehedrama im münsterländischen Emsdetten sind am Sonntag eine hochschwangere Frau und ihr ungeborenes Kind getötet worden. Als Tatverdächtiger sitzt der Ehemann der 35 Jahre alten Frau hinter Gittern, wie die Staatsanwaltschaft Münster am Montag mitteilte. Der 36-Jährige war am Sonntagabend mit zwei Verwandten zur Polizeiwache Emsdetten gekommen. Dort gab er an, dass er möglicherweise seine Frau getötet habe. Rettungskräfte fanden die im achten Monat schwangere Frau wenig später tot in einer Wohnung. Auch für das ungeborene Kind kam jede Hilfe zu spät. "Vermutlich ist ein Streit zwischen den Eheleuten eskaliert", hieß es in einer Mitteilung der Staatsanwaltschaft.
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cet homme de 36 ans a tué son épouse de 35 ans à la suite d'une dispute qui a dégénéré : l'épouse et son bébé sont décédés...
Ehemann tötet wahrscheinlich Schwangere und Ungeborenes
Ein Mann aus Emsdetten im Münsterland hat sich selbst der Polizei gestellt. Die schwangere Ehefrau und das ungeborene Kind sind tot. Der Man gilt als tatverdächtig, konnte aber noch keine eindeutige Aussage treffen.
Bei einem Ehedrama im münsterländischen Emsdetten sind am Sonntag eine hochschwangere Frau und ihr ungeborenes Kind getötet worden. Als Tatverdächtiger sitzt der Ehemann der 35 Jahre alten Frau hinter Gittern, wie die Staatsanwaltschaft Münster am Montag mitteilte. Der 36-Jährige war am Sonntagabend mit zwei Verwandten zur Polizeiwache Emsdetten gekommen. Dort gab er an, dass er möglicherweise seine Frau getötet habe. Rettungskräfte fanden die im achten Monat schwangere Frau wenig später tot in einer Wohnung. Auch für das ungeborene Kind kam jede Hilfe zu spät. "Vermutlich ist ein Streit zwischen den Eheleuten eskaliert", hieß es in einer Mitteilung der Staatsanwaltschaft.
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cet homme de 36 ans a tué son épouse de 35 ans à la suite d'une dispute qui a dégénéré : l'épouse et son bébé sont décédés...
suicide
http://www.news.az/articles/armenia/42610
Armenian prosecutor commits suicide
Wed 17 August 2011
Prosecutor commits suicide at his mother's tomb in Armenia.
On August 16 afternoon, Armenian police received an alert that a man's body was found in a cemetery in Vanadzor, Lori province.
As PR officer of the Armenian Police Ashot Aharonyan said, the law enforcers who arrived at the site, found the body of Aram Grigoryan, born 1974, lying near the grave of his mother.
A pistol and a note saying “My decision is final. Please forgive me. No one is to blame” were found near the body.
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il y aurait eu quelques doutes quant à ce suicide... mais on pourrait encore regarder quel est le jour critique émotionnel de l'intéressé car c'est de préférence (pas systématiquement, bien sûr, mais fréquemment, voire - ce serait à vérifier - majoritairement) ce jour-là que l'on se suicide...
le 16 août est un mardi et il serait alors un natif du mardi, tout au plus du mercredi, le jour critique émotionnel "démarrant" déjà la veille en fin de journée.
le jour critique émotionnel est un indice que l'on peut toujours vérifier, dans le cas d'un suicide : il peut constituer un élément indicateur intéressant. de même lors d'une tentative : il permet alors de "prévenir", éventuellement, lors d'un risque de récidive, puisqu'il s'agit toujours du même jour de la semaine....
Armenian prosecutor commits suicide
Wed 17 August 2011
Prosecutor commits suicide at his mother's tomb in Armenia.
On August 16 afternoon, Armenian police received an alert that a man's body was found in a cemetery in Vanadzor, Lori province.
As PR officer of the Armenian Police Ashot Aharonyan said, the law enforcers who arrived at the site, found the body of Aram Grigoryan, born 1974, lying near the grave of his mother.
A pistol and a note saying “My decision is final. Please forgive me. No one is to blame” were found near the body.
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il y aurait eu quelques doutes quant à ce suicide... mais on pourrait encore regarder quel est le jour critique émotionnel de l'intéressé car c'est de préférence (pas systématiquement, bien sûr, mais fréquemment, voire - ce serait à vérifier - majoritairement) ce jour-là que l'on se suicide...
le 16 août est un mardi et il serait alors un natif du mardi, tout au plus du mercredi, le jour critique émotionnel "démarrant" déjà la veille en fin de journée.
le jour critique émotionnel est un indice que l'on peut toujours vérifier, dans le cas d'un suicide : il peut constituer un élément indicateur intéressant. de même lors d'une tentative : il permet alors de "prévenir", éventuellement, lors d'un risque de récidive, puisqu'il s'agit toujours du même jour de la semaine....
drame conjugal
http://www.20minutes.fr/ledirect/773334/ardeche-tire-femme-avant-enfuir
Ardèche: Il tire sur sa femme avant de s'enfuir
Personne ne sait encore ce qui a poussé un homme d'une quarantaine d'années à tirer sur sa compagne, dimanche, en Ardèche. Vers 6h30, cet habitant de la ville d'Andance a ouvert le feu sur sa concubine âgée de 35 ans, d'après le Dauphiné libéré. Blessée au dos et à la nuque, la jeune femme est transportée par les secours jusqu'à l'hôpital le plus proche, peu de temps après.
L'auteur présumé des faits avait eu le temps de prendre la fuite entre temps. Une soixantaine de gendarmes est mobilisée pour le retrouver. Il a été interpellé quelques heures plus tard, aux alentours de 13 heures.
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il faut entre autre regarder la situation cyclique des deux personnes...
Ardèche: Il tire sur sa femme avant de s'enfuir
Personne ne sait encore ce qui a poussé un homme d'une quarantaine d'années à tirer sur sa compagne, dimanche, en Ardèche. Vers 6h30, cet habitant de la ville d'Andance a ouvert le feu sur sa concubine âgée de 35 ans, d'après le Dauphiné libéré. Blessée au dos et à la nuque, la jeune femme est transportée par les secours jusqu'à l'hôpital le plus proche, peu de temps après.
L'auteur présumé des faits avait eu le temps de prendre la fuite entre temps. Une soixantaine de gendarmes est mobilisée pour le retrouver. Il a été interpellé quelques heures plus tard, aux alentours de 13 heures.
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il faut entre autre regarder la situation cyclique des deux personnes...
dimanche 21 août 2011
drame de la séparation
Mann ersticht Ex-Freundin und flieht mit Baby
Mit dem gemeinsamen Baby im Arm ist ein junger Mann in Siegen am Samstagabend geflüchtet, nachdem er zuvor die Mutter des Kindes erstochen hatte. Das Baby gab er auf seiner Flucht in einer Moschee ab.
http://www.stern.de/panorama/beziehungsdrama-in-siegen-mann-ersticht-ex-freundin-und-flieht-mit-baby-1718910.html
Beziehungstat am Hauptbahnhof Siegen
Ein 21-Jähriger aus dem Raum Koblenz hat in Siegen die Mutter seines Kindes erstochen und ist mit dem Baby auf dem Arm geflüchtet. Nach der Bluttat im Bahnhof der Stadt in Nordrhein-Westfalen am Samstagabend hätten gleich mehrere Zeugen den Täter verfolgt, teilten Polizei und Staatsanwaltschaft am Sonntag mit. Nach Hinweisen von Passanten stellten Polizisten den Mann.
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ce jeune homme de 21 ans a poignardé à mort son ex-amie puis s'est enfui avec leur bébé commun : il s'agit probablement d'un conflit lié au droit de garde de l'enfant... l'intéressé a été arrêté peu après par la police. auparavant il avait déposé l'enfant dans une mosquée...
Mit dem gemeinsamen Baby im Arm ist ein junger Mann in Siegen am Samstagabend geflüchtet, nachdem er zuvor die Mutter des Kindes erstochen hatte. Das Baby gab er auf seiner Flucht in einer Moschee ab.
http://www.stern.de/panorama/beziehungsdrama-in-siegen-mann-ersticht-ex-freundin-und-flieht-mit-baby-1718910.html
Beziehungstat am Hauptbahnhof Siegen
Ein 21-Jähriger aus dem Raum Koblenz hat in Siegen die Mutter seines Kindes erstochen und ist mit dem Baby auf dem Arm geflüchtet. Nach der Bluttat im Bahnhof der Stadt in Nordrhein-Westfalen am Samstagabend hätten gleich mehrere Zeugen den Täter verfolgt, teilten Polizei und Staatsanwaltschaft am Sonntag mit. Nach Hinweisen von Passanten stellten Polizisten den Mann.
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ce jeune homme de 21 ans a poignardé à mort son ex-amie puis s'est enfui avec leur bébé commun : il s'agit probablement d'un conflit lié au droit de garde de l'enfant... l'intéressé a été arrêté peu après par la police. auparavant il avait déposé l'enfant dans une mosquée...
drame évité
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=11361&hl=
Une Verviétoise tente d'empoisonner son fils de 13 ans
7S7 mise à jour Une Verviétoise, âgée de 35 ans, a été privée de liberté, dimanche, sur le coup de 5 heures du matin, car elle a tenté d'empoisonner son fils âgé de 13 ans.
Cette mère de famille, toxicomane, a tenté de mettre fin à ses jours en ingurgitant des médicaments qu'elle a également fait prendre à son fils. L'enfant est toujours en observation au Centre Hospitalier Peltzer-La Tourelle (CHPLT) de Verviers.
L'alerte a été donnée samedi par la grand-mère de l'enfant qui a constaté que des médicaments avaient disparu de son domicile. Elle savait sa fille suicidaire et a directement appelé les forces de l'ordre. Des policiers se sont rendus au domicile de la Verviétoise. Ils y ont découvert deux personnes profondément endormies.
Les services de secours ont été alertés. La mère et l'enfant ont été admis au CHPLT. La Verviétoise s'est réveillée dimanche vers 5 heures du matin. Elle a directement été privée de liberté et sera présentée dans la journée au juge d'instruction avec demande de mandat pour tentative d'empoisonnement sur son fils.
Ce dernier reste actuellement en observation au CHPLT. Son état de santé évolue favorablement.
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Une Verviétoise tente d'empoisonner son fils de 13 ans
7S7 mise à jour Une Verviétoise, âgée de 35 ans, a été privée de liberté, dimanche, sur le coup de 5 heures du matin, car elle a tenté d'empoisonner son fils âgé de 13 ans.
Cette mère de famille, toxicomane, a tenté de mettre fin à ses jours en ingurgitant des médicaments qu'elle a également fait prendre à son fils. L'enfant est toujours en observation au Centre Hospitalier Peltzer-La Tourelle (CHPLT) de Verviers.
L'alerte a été donnée samedi par la grand-mère de l'enfant qui a constaté que des médicaments avaient disparu de son domicile. Elle savait sa fille suicidaire et a directement appelé les forces de l'ordre. Des policiers se sont rendus au domicile de la Verviétoise. Ils y ont découvert deux personnes profondément endormies.
Les services de secours ont été alertés. La mère et l'enfant ont été admis au CHPLT. La Verviétoise s'est réveillée dimanche vers 5 heures du matin. Elle a directement été privée de liberté et sera présentée dans la journée au juge d'instruction avec demande de mandat pour tentative d'empoisonnement sur son fils.
Ce dernier reste actuellement en observation au CHPLT. Son état de santé évolue favorablement.
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drame
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Valenciennes/actualite/Valenciennes/2011/08/21/article_un-octogenaire-chute-du-premier-etage-et.shtml
Un octogénaire chute du premier étage et décède, vendredi soir, à Maing
Les habitants de la rue Jean-Jaurès étaient stupéfaits: ils n'ont rien entendu de la chute...
DRAME
Peu après 23 h, vendredi soir, un octogénaire a été retrouvé gisant sur le trottoir devant son habitation, rue Jean-Jaurès à Maing. L'homme est décédé sur place des suites de ses blessures, malgré la longue tentative de réanimation engagée par les sapeurs-pompiers et l'équipe du SMUR de Maubeuge.
.........................
L'octogénaire ne se trouvait pas seul dans la maison : son épouse, plus âgée que lui, dans l'incapacité de se déplacer facilement, dormait au rez-de-chaussée. Policiers et sapeurs-pompiers sont parvenus, après de longues minutes, à pénétrer dans l'habitation. Ils ont rassuré l'épouse de l'homme avant de lui expliquer le drame qui se nouait. Elle a été prise en charge par les sauveteurs.
Malgré le massage cardiaque et les soins prodigués par les urgentistes, l'homme est décédé à minuit quinze.
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Un octogénaire chute du premier étage et décède, vendredi soir, à Maing
Les habitants de la rue Jean-Jaurès étaient stupéfaits: ils n'ont rien entendu de la chute...
DRAME
Peu après 23 h, vendredi soir, un octogénaire a été retrouvé gisant sur le trottoir devant son habitation, rue Jean-Jaurès à Maing. L'homme est décédé sur place des suites de ses blessures, malgré la longue tentative de réanimation engagée par les sapeurs-pompiers et l'équipe du SMUR de Maubeuge.
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L'octogénaire ne se trouvait pas seul dans la maison : son épouse, plus âgée que lui, dans l'incapacité de se déplacer facilement, dormait au rez-de-chaussée. Policiers et sapeurs-pompiers sont parvenus, après de longues minutes, à pénétrer dans l'habitation. Ils ont rassuré l'épouse de l'homme avant de lui expliquer le drame qui se nouait. Elle a été prise en charge par les sauveteurs.
Malgré le massage cardiaque et les soins prodigués par les urgentistes, l'homme est décédé à minuit quinze.
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décès
http://www.francesoir.fr/actualite/faits-divers/balma-une-octogenaire-decede-sous-l-effet-du-chauffage-et-canicule-129442.html
Balma : Une octogénaire décède sous l'effet du chauffage et de la canicule
Une femme de 84 ans est décédée à son domicile, samedi, alors que son chauffage marchait à plein. Le climat ensoleillé qui règne au Sud-Ouest en ce moment n'aurait rien arrangé.
La canicule aurait fait sa première victime, à Balma MaxPPPUne enquête a été ouverte, hier, par l'Institut national de veille sanitaire en liaison avec l'Agence régionale de la santé pour déterminer les causes du décès d'une octogénaire à Balma, au nord de Toulouse.
Cette femme, âgée de 84 ans, a été retrouvée morte chez elle, samedi matin, alors que le chauffage fonctionnait toujours à son domicile. Elle avait manifestement pris coutume de dormir avec une couverture et le chauffage en marche maximale, a rapporté le sous-préfet Bernard Bahut.
"Cette octogénaire vivait tout le temps avec le chauffage à fond"
« J'ai été prévenu par les pompiers et par la police municipale du décès de cette personne qui vivait seule mais qui disposait d'un suivi quotidien par une assistance de vie », indique Alain Fillola, maire de Balma. « C'est d'ailleurs elle qui a donné l'alerte lorsqu'elle s'est rendue dans la matinée à son domicile. Nous savions tous ici que cette octogénaire vivait tout le temps avec le chauffage à fond et qu'il était impossible de le lui faire éteindre, quel que soit le temps. Nous ne savons donc pas s'il faut attribuer ce décès à la canicule actuelle. C'est la conjugaison des deux facteurs qui a produit son décès. Avec la mise place du plan canicule, nous avons une liste de personnes que nous appelons depuis vendredi soir et à qui nous donnons des conseils pour s'hydrater et se préserver de la chaleur. Nous allons procéder de cette façon tant que l'alerte orange est maintenue ».
La canicule aurait donc fait sa première victime. Dans le Sud-Ouest, il a fait plus de 40 degrés samedi à Auch et Montauban et près de 40 à Toulouse. La Haute-Garonne fait partie des douze départements autour de Toulouse et de Lyon que Météo-France a maintenu ou placé dimanche en état de vigilance orange
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Balma : Une octogénaire décède sous l'effet du chauffage et de la canicule
Une femme de 84 ans est décédée à son domicile, samedi, alors que son chauffage marchait à plein. Le climat ensoleillé qui règne au Sud-Ouest en ce moment n'aurait rien arrangé.
La canicule aurait fait sa première victime, à Balma MaxPPPUne enquête a été ouverte, hier, par l'Institut national de veille sanitaire en liaison avec l'Agence régionale de la santé pour déterminer les causes du décès d'une octogénaire à Balma, au nord de Toulouse.
Cette femme, âgée de 84 ans, a été retrouvée morte chez elle, samedi matin, alors que le chauffage fonctionnait toujours à son domicile. Elle avait manifestement pris coutume de dormir avec une couverture et le chauffage en marche maximale, a rapporté le sous-préfet Bernard Bahut.
"Cette octogénaire vivait tout le temps avec le chauffage à fond"
« J'ai été prévenu par les pompiers et par la police municipale du décès de cette personne qui vivait seule mais qui disposait d'un suivi quotidien par une assistance de vie », indique Alain Fillola, maire de Balma. « C'est d'ailleurs elle qui a donné l'alerte lorsqu'elle s'est rendue dans la matinée à son domicile. Nous savions tous ici que cette octogénaire vivait tout le temps avec le chauffage à fond et qu'il était impossible de le lui faire éteindre, quel que soit le temps. Nous ne savons donc pas s'il faut attribuer ce décès à la canicule actuelle. C'est la conjugaison des deux facteurs qui a produit son décès. Avec la mise place du plan canicule, nous avons une liste de personnes que nous appelons depuis vendredi soir et à qui nous donnons des conseils pour s'hydrater et se préserver de la chaleur. Nous allons procéder de cette façon tant que l'alerte orange est maintenue ».
La canicule aurait donc fait sa première victime. Dans le Sud-Ouest, il a fait plus de 40 degrés samedi à Auch et Montauban et près de 40 à Toulouse. La Haute-Garonne fait partie des douze départements autour de Toulouse et de Lyon que Météo-France a maintenu ou placé dimanche en état de vigilance orange
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drame
http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/une-jeune-fille-de-19-ans-se-tue-en-tombant-du-3e-etage
Une jeune fille de 19 ans se tue en tombant du 3e étage
SEDAN (Ardennes). Lorie, jeune fille de 19 ans, originaire de Floing, a trouvé la mort samedi vers minuit et demi. Il s'agirait d'un geste de désespoir lié au drame de Deauville.
LA rue de l'Horloge est sous le choc. Vers minuit et demi, Lorie, une jeune fille de 19 ans a trouvé la mort dans la cour intérieure du n° 13, après une chute fatale depuis le 3e étage de ce petit immeuble du centre ancien. ...................
...................... « Elle était joyeuse et toute souriante comme d'habitude » confie son ami, qui s'était absenté avant le drame pour aller acheter des boissons au Marmara, et a appris l'affreuse nouvelle à son retour.
Le petit groupe évoque l'intervention musclée des policiers, qui arrivés sur les lieux avec deux chiens muselés ont dû employer la force pour les besoins de l'enquête et pour maîtriser le jeune homme. Celui-ci, sous le coup du désespoir a donné un coup de tête dans une vitrine et s'est violemment débattu pour approcher du corps de son amie, blessant au passage au visage l'un des représentants des forces de l'ordre pour tenter de forcer le passage, avant d'être lui-même mis à terre sans ménagement.
La joue marquée par l'empreinte de la chaussure d'un policier, le garçon qui est sorti du commissariat vers midi, a les yeux rouges de larmes. Ses copains et son père, qui lui aussi a passé la nuit au poste après avoir tenté de s'interposer sont tout aussi bouleversés par le décès de la jeune fille. La soirée avait bien commencé avec une bonne ambiance et de la musique. Mais une dispute s'est ensuite produite avec des voisins mécontents du bruit. Et surtout, une bagarre a éclaté dans la rue, provoquée par des individus extérieurs à la soirée, amenant l'un des jeunes à descendre pour ramener le calme, non sans prendre au passage quelques coups.
Enfin, l'hypothèse selon laquelle Lorie aurait reçu une mauvaise nouvelle sur son portable n'est pas à exclure. Elle se serait mise à pleurer, parlant de son père, et s'isolant dans la chambre. La jeune fille aurait cru que son père avait été retrouvé décédé dans un camping-car près de Deauville, alors qu'il s'agissait de son oncle, D S (notre édition du 20 août). Quand en a-t-elle été prévenue ? Dans le petit groupe, personne n'est sûr. « Elle ne nous a rien dit, et elle n'était pas triste en arrivant. Rien ne permettait de prévoir ce qu'elle allait faire sinon bien sûr, on aurait tout fait pour la protéger. »
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Une jeune fille de 19 ans se tue en tombant du 3e étage
SEDAN (Ardennes). Lorie, jeune fille de 19 ans, originaire de Floing, a trouvé la mort samedi vers minuit et demi. Il s'agirait d'un geste de désespoir lié au drame de Deauville.
LA rue de l'Horloge est sous le choc. Vers minuit et demi, Lorie, une jeune fille de 19 ans a trouvé la mort dans la cour intérieure du n° 13, après une chute fatale depuis le 3e étage de ce petit immeuble du centre ancien. ...................
...................... « Elle était joyeuse et toute souriante comme d'habitude » confie son ami, qui s'était absenté avant le drame pour aller acheter des boissons au Marmara, et a appris l'affreuse nouvelle à son retour.
Le petit groupe évoque l'intervention musclée des policiers, qui arrivés sur les lieux avec deux chiens muselés ont dû employer la force pour les besoins de l'enquête et pour maîtriser le jeune homme. Celui-ci, sous le coup du désespoir a donné un coup de tête dans une vitrine et s'est violemment débattu pour approcher du corps de son amie, blessant au passage au visage l'un des représentants des forces de l'ordre pour tenter de forcer le passage, avant d'être lui-même mis à terre sans ménagement.
La joue marquée par l'empreinte de la chaussure d'un policier, le garçon qui est sorti du commissariat vers midi, a les yeux rouges de larmes. Ses copains et son père, qui lui aussi a passé la nuit au poste après avoir tenté de s'interposer sont tout aussi bouleversés par le décès de la jeune fille. La soirée avait bien commencé avec une bonne ambiance et de la musique. Mais une dispute s'est ensuite produite avec des voisins mécontents du bruit. Et surtout, une bagarre a éclaté dans la rue, provoquée par des individus extérieurs à la soirée, amenant l'un des jeunes à descendre pour ramener le calme, non sans prendre au passage quelques coups.
Enfin, l'hypothèse selon laquelle Lorie aurait reçu une mauvaise nouvelle sur son portable n'est pas à exclure. Elle se serait mise à pleurer, parlant de son père, et s'isolant dans la chambre. La jeune fille aurait cru que son père avait été retrouvé décédé dans un camping-car près de Deauville, alors qu'il s'agissait de son oncle, D S (notre édition du 20 août). Quand en a-t-elle été prévenue ? Dans le petit groupe, personne n'est sûr. « Elle ne nous a rien dit, et elle n'était pas triste en arrivant. Rien ne permettait de prévoir ce qu'elle allait faire sinon bien sûr, on aurait tout fait pour la protéger. »
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drame
http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/fin-de-vacances-tragique
Fin de vacances tragique
Sous protection de la gendarmerie, le véhicule du drame n'avait pas encore été ouvert lorsque cette photo a été prise. Il a fallu l'intervention de pompiers avec du matériel de désincarcération, pour venir à bout des portières, qui étaient fermées de l'intérieur.
(Ardennes). Un couple d'Ardennais gisait sans vie, sans doute depuis plusieurs jours, dans son camping-car, stationné dans une contre-allée de Villers- sur-Mer, près de Deauville. Selon toute vraisemblance, il s'agit d'un accident dû au gaz.
«ON les a trouvés, se tenant par la main, l'air émerveillé, de deux chérubins… ». C'est, immanquablement, aux paroles bouleversantes de la chanson d'Edith Piaf, qu'on est obligé de penser, s'agissant des circonstances tragiques dans lesquelles on a découvert, jeudi soir, un couple d'Ardennais qui était en villégiature dans le Calvados.
.............
.........., la thèse criminelle semble, d'ores et déjà, avoir été totalement écartée.
En effet, outre le fait que le véhicule - récemment acquis - n'avait pas été fracturé, aucune trace suspecte de violence quelconque n'a été relevée sur les corps, qui ne présentaient, par ailleurs, aucun impact de balle, ni de blessure par arme blanche.
Ce qu'a d'ailleurs confirmé Joséphine Lecardeur, magistrat en charge de ce dossier, indiquant juste que le couple, âgé d'une soixantaine d'années est ardennais.
Il s'agit de B F, 56 ans, demeurant route nationale à Dom-le-Mesnil, qui était la veuve d'un ancien employé municipal décédé il y a trois ans.
Elle était tout heureuse, nous a-t-on dit, d'avoir rencontré récemment, en la personne de D S, 59 ans, un bûcheron de Floing divorcé, un nouveau compagnon pour partager sa solitude. Et il s'agissait de leurs premières vacances ensemble.
Dans de telles conditions, il est donc peu probable qu'il s'agisse d'un suicide.
Il devrait se confirmer rapidement qu'on est en présence d'un funeste accident, dû à une fuite sur une bouteille de gaz (d'où l'odeur perçue par le témoin qui a donné l'alerte), qui les aura surpris durant leur sommeil, dans l'espace confiné de leur petit fourgon.
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il y a une dame en pleine période critique septennale. on pourrait encore vérifier s'il y a jour critique émotionnel... chez l'un et/ou chez l'autre...
Fin de vacances tragique
Sous protection de la gendarmerie, le véhicule du drame n'avait pas encore été ouvert lorsque cette photo a été prise. Il a fallu l'intervention de pompiers avec du matériel de désincarcération, pour venir à bout des portières, qui étaient fermées de l'intérieur.
(Ardennes). Un couple d'Ardennais gisait sans vie, sans doute depuis plusieurs jours, dans son camping-car, stationné dans une contre-allée de Villers- sur-Mer, près de Deauville. Selon toute vraisemblance, il s'agit d'un accident dû au gaz.
«ON les a trouvés, se tenant par la main, l'air émerveillé, de deux chérubins… ». C'est, immanquablement, aux paroles bouleversantes de la chanson d'Edith Piaf, qu'on est obligé de penser, s'agissant des circonstances tragiques dans lesquelles on a découvert, jeudi soir, un couple d'Ardennais qui était en villégiature dans le Calvados.
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.........., la thèse criminelle semble, d'ores et déjà, avoir été totalement écartée.
En effet, outre le fait que le véhicule - récemment acquis - n'avait pas été fracturé, aucune trace suspecte de violence quelconque n'a été relevée sur les corps, qui ne présentaient, par ailleurs, aucun impact de balle, ni de blessure par arme blanche.
Ce qu'a d'ailleurs confirmé Joséphine Lecardeur, magistrat en charge de ce dossier, indiquant juste que le couple, âgé d'une soixantaine d'années est ardennais.
Il s'agit de B F, 56 ans, demeurant route nationale à Dom-le-Mesnil, qui était la veuve d'un ancien employé municipal décédé il y a trois ans.
Elle était tout heureuse, nous a-t-on dit, d'avoir rencontré récemment, en la personne de D S, 59 ans, un bûcheron de Floing divorcé, un nouveau compagnon pour partager sa solitude. Et il s'agissait de leurs premières vacances ensemble.
Dans de telles conditions, il est donc peu probable qu'il s'agisse d'un suicide.
Il devrait se confirmer rapidement qu'on est en présence d'un funeste accident, dû à une fuite sur une bouteille de gaz (d'où l'odeur perçue par le témoin qui a donné l'alerte), qui les aura surpris durant leur sommeil, dans l'espace confiné de leur petit fourgon.
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il y a une dame en pleine période critique septennale. on pourrait encore vérifier s'il y a jour critique émotionnel... chez l'un et/ou chez l'autre...
samedi 20 août 2011
drame conjugal
http://www.kleinezeitung.at/nachrichten/chronik/2813059/jaeger-erschoss-frau-beging-selbstmord.story
Jäger erschoss Frau und beging Selbstmord
Ermittlungen zum Motiv für die Bluttat im Südtiroler Etschtal sind im Gang, laut Polizei könnte Eiferstucht im Spiel gewesen sein. Die Tatwaffe war vorschriftsmäßig gemeldet. Das Paar hinterlässt drei Kinder.
Bei einem tödlichen Familiendrama im Südtiroler Tisens im Etschtal hat am Freitagabend ein Jäger seine 47-jährige Ehefrau erschossen. Im Anschluss beging der 48-Jährige Selbstmord. Über das Motiv war vorerst noch nichts bekannt. Vermutlich könnte Eifersucht der Grund für die Bluttat gewesen sein, meinte ein Carabiniere am Samstag gegenüber der APA. Die Ermittlungen waren im Gange.
Der Schusswechsel ereignete sich kurz nach 19.00 Uhr im Haus des Ehepaares. Die Tatwaffe, eine Schrotflinte, und noch weitere gefundene Waffen waren laut Carabinieri vorschriftsmäßig gemeldet. Das Paar hinterlässt drei Kinder.
============
ce serait un drame de la jalousie : l'homme de 48 ans a tué son épouse d'un coup de fusil puis s'est suicidé. le couple laisse trois enfants.
Jäger erschoss Frau und beging Selbstmord
Ermittlungen zum Motiv für die Bluttat im Südtiroler Etschtal sind im Gang, laut Polizei könnte Eiferstucht im Spiel gewesen sein. Die Tatwaffe war vorschriftsmäßig gemeldet. Das Paar hinterlässt drei Kinder.
Bei einem tödlichen Familiendrama im Südtiroler Tisens im Etschtal hat am Freitagabend ein Jäger seine 47-jährige Ehefrau erschossen. Im Anschluss beging der 48-Jährige Selbstmord. Über das Motiv war vorerst noch nichts bekannt. Vermutlich könnte Eifersucht der Grund für die Bluttat gewesen sein, meinte ein Carabiniere am Samstag gegenüber der APA. Die Ermittlungen waren im Gange.
Der Schusswechsel ereignete sich kurz nach 19.00 Uhr im Haus des Ehepaares. Die Tatwaffe, eine Schrotflinte, und noch weitere gefundene Waffen waren laut Carabinieri vorschriftsmäßig gemeldet. Das Paar hinterlässt drei Kinder.
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ce serait un drame de la jalousie : l'homme de 48 ans a tué son épouse d'un coup de fusil puis s'est suicidé. le couple laisse trois enfants.
décès
Jean Tabary, né le 15 mars 1930 à Stockholm, en Suède, et mort le 18 août 2011 à Pont-l'Abbé-d'Arnoult, est un dessinateur français. Il est notamment connu pour être l'auteur d’Iznogoud avec René Goscinny.
============
décès en i9 jour critique intellectuel. à 81 ans et 5 mois.
=-=-=-=-=-=-=-=-=
=-=-=-=-=-=-=-=-=
Robert Donat, né le 15 février 1945 à La Seyne-sur-Mer dans le Var.
Le chanteur Robert Donat est décédé le mardi 16 août dernier à l’âge de 66 ans rapporte Libération.
============
décès en P1 - i1 (jour critique physique et intellectuel) à 66 ans et 6 mois.
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décès en i9 jour critique intellectuel. à 81 ans et 5 mois.
=-=-=-=-=-=-=-=-=
=-=-=-=-=-=-=-=-=
Robert Donat, né le 15 février 1945 à La Seyne-sur-Mer dans le Var.
Le chanteur Robert Donat est décédé le mardi 16 août dernier à l’âge de 66 ans rapporte Libération.
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décès en P1 - i1 (jour critique physique et intellectuel) à 66 ans et 6 mois.
retrouvé mort
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1502/Belgique/article/detail/1307121/2011/08/19/Un-Belge-retrouve-mort-dans-une-douve-aux-Pays-Bas.dhtml
Un Belge retrouvé mort dans une douve aux Pays-Bas
Le corps sans vie d'un Belge de 63 ans, originaire de Londerzeel, a été retrouvé dans une douve de la commune néerlandaise de Hulst, a indiqué vendredi le Provinciale Zeeuwse Courant (PZC) sur son site internet.
L'homme était porté disparu depuis le 13 août dernier. Une enquête a permis d'indiquer que l'homme n'a pas été victime d'un acte criminel. (belga)
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Un Belge retrouvé mort dans une douve aux Pays-Bas
Le corps sans vie d'un Belge de 63 ans, originaire de Londerzeel, a été retrouvé dans une douve de la commune néerlandaise de Hulst, a indiqué vendredi le Provinciale Zeeuwse Courant (PZC) sur son site internet.
L'homme était porté disparu depuis le 13 août dernier. Une enquête a permis d'indiquer que l'homme n'a pas été victime d'un acte criminel. (belga)
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cinéaste mystérieux
http://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Raoul-Ruiz-mort-d-un-cineaste-mysterieux-2882028
Raoul Ruiz : mort d'un cinéaste mystérieux
Retour sur la carrière foisonnante d'un réalisateur à qui il n'aura finalement manqué qu'un vrai succès public
La mort de Raoul Ruiz, vendredi 19 août, à l’âge de 70 ans, a plongé les amateurs de son cinéma dans une profonde tristesse et interroge les autres. Comment un cinéaste, qui a fait tourner les plus fameux comédiens français, de Michel Piccoli à Isabelle Huppert, sans parler des stars étrangères comme Marcello Mastroianni et John Malkovich, peut-il être si peu connu du grand public ?
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c'est un décès septennal son jour critique émotionnel E1 et veille de P18/P19.
Raoul Ruiz : mort d'un cinéaste mystérieux
Retour sur la carrière foisonnante d'un réalisateur à qui il n'aura finalement manqué qu'un vrai succès public
La mort de Raoul Ruiz, vendredi 19 août, à l’âge de 70 ans, a plongé les amateurs de son cinéma dans une profonde tristesse et interroge les autres. Comment un cinéaste, qui a fait tourner les plus fameux comédiens français, de Michel Piccoli à Isabelle Huppert, sans parler des stars étrangères comme Marcello Mastroianni et John Malkovich, peut-il être si peu connu du grand public ?
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c'est un décès septennal son jour critique émotionnel E1 et veille de P18/P19.
décès
http://enmemoire.sudinfo.be/personnalite/isabelle-guillaume-43062
Isabelle Guillaume
Décédé le 18 août 2011 à l'âge de 30 ans
Né le 18 août 1981
Une semaine après FX, c'est Isabelle de la deuxième saison de Secret Story qui a été découverte morte. La jeune femme serait morte d'une rupture d'anévrisme le 18/08/2011
La candidate belge de Secret Story 2, Isabelle, a été retrouvée morte hier soir, comme nous le dévoile la radio Quartz, la radio de Sambreville. Elle a été victime à 30 ans d'une rupture d'anévrisme.
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c'est un décès en jour neutre apparemment le jour même de son 30ème anniversaire...
Isabelle Guillaume
Décédé le 18 août 2011 à l'âge de 30 ans
Né le 18 août 1981
Une semaine après FX, c'est Isabelle de la deuxième saison de Secret Story qui a été découverte morte. La jeune femme serait morte d'une rupture d'anévrisme le 18/08/2011
La candidate belge de Secret Story 2, Isabelle, a été retrouvée morte hier soir, comme nous le dévoile la radio Quartz, la radio de Sambreville. Elle a été victime à 30 ans d'une rupture d'anévrisme.
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c'est un décès en jour neutre apparemment le jour même de son 30ème anniversaire...
drame de la séparation
http://www.tsr.ch/info/suisse/3340316-un-drame-relationnel-a-fait-deux-morts-a-baden-ag-un-homme-a-abattu-une-femme-avant-de-se-suicider.html
Un drame relationnel a fait deux morts dans la nuit de jeudi à vendredi à Baden (AG). Un homme de 43 ans a abattu une femme de 47 ans, vraisemblablement son ex-amie, avant de se suicider par balle. Leurs trois filles dormaient dans l'appartement et ont découvert les cadavres sur la terrasse. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'homme est un Portugais vivant dans la région et la femme est une Suissesse.
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Un drame relationnel a fait deux morts dans la nuit de jeudi à vendredi à Baden (AG). Un homme de 43 ans a abattu une femme de 47 ans, vraisemblablement son ex-amie, avant de se suicider par balle. Leurs trois filles dormaient dans l'appartement et ont découvert les cadavres sur la terrasse. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'homme est un Portugais vivant dans la région et la femme est une Suissesse.
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malaises
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Montreuil/actualite/Secteur_Montreuil/2011/08/19/article_une-femme-de-49-ans-decede-sur-la-plage.shtml
Une femme de 49 ans décède sur la plage de Berck
vendredi 19.08.2011, 05:17 - La Voix du Nord
Les secours n'ont rien pu faire. Hier, vers 16 heures, une vacancière de 49 ans a fait un malaise sur la plage de Berck, face à l'hôpital Maritime. Elle se trouvait au bord de l'eau et en dehors de la zone de bain, au niveau de la crépine, lorsque l'alerte a été donnée par des témoins.
.......................
Le 2e décès de ce type
Un examen du corps doit être pratiqué pour confirmer les circonstances de ce décès. Sur la Côte d'Opale, il s'agit du deuxième accident de ce type depuis le début de l'été. Le 28 juin, un touriste de 62 ans était décédé suite à un malaise alors qu'il se baignait sur la plage d'Hardelot. •
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Une femme de 49 ans décède sur la plage de Berck
vendredi 19.08.2011, 05:17 - La Voix du Nord
Les secours n'ont rien pu faire. Hier, vers 16 heures, une vacancière de 49 ans a fait un malaise sur la plage de Berck, face à l'hôpital Maritime. Elle se trouvait au bord de l'eau et en dehors de la zone de bain, au niveau de la crépine, lorsque l'alerte a été donnée par des témoins.
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Le 2e décès de ce type
Un examen du corps doit être pratiqué pour confirmer les circonstances de ce décès. Sur la Côte d'Opale, il s'agit du deuxième accident de ce type depuis le début de l'été. Le 28 juin, un touriste de 62 ans était décédé suite à un malaise alors qu'il se baignait sur la plage d'Hardelot. •
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exécution
http://www.cncpunishment.com/forums/showthread.php?618-Jerry-Terrell-Jackson-Virginia-August-18-2011
Jerry Terrell Jackson
Born 07-22-81, Williamsburg/James City County, on DR since 04-03-03, victim: Ruth Phillips (raped, robbed and smothered with a pillow at 88 years of age on 08-25-01); federal habeas petition filed 09-27-06.
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situation au moment du crime :
août 2001 (22/07/1981)
Ma 21
Me 22 E(1)
Je 23 P(1)
Ve 24
Sa 25
Di 26
Lu 27
c'est un jour neutre. il y aurait cependant une chose à élucider, c'est la présence fréquente du premier jour du cycle, à proximité : ici E1 mercredi 22 et P1 jeudi 23 pour un crime commis samedi 25...
autres éléments à retenir :
- proximité période critique septennale des 21 ans (20 ans et un mois)
- proximité anniversaire
Jerry Terrell Jackson
Born 07-22-81, Williamsburg/James City County, on DR since 04-03-03, victim: Ruth Phillips (raped, robbed and smothered with a pillow at 88 years of age on 08-25-01); federal habeas petition filed 09-27-06.
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situation au moment du crime :
août 2001 (22/07/1981)
Ma 21
Me 22 E(1)
Je 23 P(1)
Ve 24
Sa 25
Di 26
Lu 27
c'est un jour neutre. il y aurait cependant une chose à élucider, c'est la présence fréquente du premier jour du cycle, à proximité : ici E1 mercredi 22 et P1 jeudi 23 pour un crime commis samedi 25...
autres éléments à retenir :
- proximité période critique septennale des 21 ans (20 ans et un mois)
- proximité anniversaire
retrouvée noyée
http://www.francesoir.fr/actualite/faits-divers/anita-ysebaert-these-l-accident-confirmee-128690.html
Disparition d'Anita Ysebaert
Anita Ysebaert : La thèse de l'accident confirmée
Anita Ysebaert, 51 ans, disparue une dizaine de jours, a été victime d'un accident de voiture fatal. Celle-ci a été retrouvée mardi soir dans la Seine.
La voiture d'Anita Ysebaert est "intacte" et n'a "pas de traces d'impact" SIPASombre dénouement pour la famille d'Anita Ysebaert. Le corps de cette femme de 51 ans disparue depuis le 6 août avait été retrouvé mardi soir dans sa voiture immergée dans la seine. La Peugeot 306 grise était remontée à la surface dans ce bras du fleuve à proximité de Noyen-sur-Seine, en Seine-et-Marne. L'autopsie menée sur la dépouille a confirmé qu'il s'agissait bien d'Anita Ysebaert et que celle-ci a bien été victime d'un accident, son corps ne présentant « aucune trace suspecte », selon le procureur de la République de Melun. Pour Bruno Dalles, le plus vraisemblable est la possibilité d'une « perte de contrôle » ou d'une « fausse manoeuvre » qui aurait accidentellement entraîné la voiture dans l'eau. Anita Ysebaert avait disparue dans la nuit du 6 au 7 août après un dîner chez sa fille à Noyen-sur-Seine. Le chemin du retour, jusqu'à son domicile de Mouy-sur-Seine, lui aura été fatal.
La voiture "quasi intacte"
Autre élément confirmant le scénario de la chute dans le fleuve : l'automobile, qui est « quasi intacte » d'après le colonel de gendarmerie Francis Formell. Et « il n'y a pas de traces d'impact (et) il n'y a pas d'éléments sur la berge » de ce bras de la Seine. « Il y a des chemins plus rapides et plus directs » pour rentrer à son domicile, mais « elle a peut-être tenté ce chemin, s'est peut-être égarée et est tombée dans l'eau », avait expliqué mardi soir le colonel Formell, rappelant qu'il pleuvait et que la voiture avait pu déraper.
Des « analyses toxicologiques » ont également été pratiquées mais les résultats ne seront connus qu'en « fin de semaine » ou en « début de semaine prochaine », a poursuivi le procureur, soulignant la « qualité du travail de l'ensemble des services de gendarmerie mobilisés ».
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les analyses ont révélé que la personne était sous l'emprise de l'alcool... :
http://www.francesoir.fr/actualite/faits-divers/anita-ysebaert-etait-sous-l-emprise-l-alcool-128920.html
"Après la découverte macabre, les enquêteurs semblaient privilégier la thèse de l'accident. Un nouvel élément devrait accréditer cette idée. Les analyses toxicologiques effectuées sur le corps d'Anita Ysebaert ont révélé que la femme, âgée de 51 ans, avait un taux d'alcool dans le sang « supérieur à un gramme par litre, plus de deux fois le taux autorisé », a indiqué une source judiciaire.
........................
La quinquagénaire avait disparu dans la nuit du samedi 6 au dimanche 7 août, aux alentours de 00h30. « On avait passé la soirée à Provins, chez ma tante, Murielle. On était censé aller voir un spectacle mais finalement, on est resté chez elle, en famille », avait raconté à FranceSoir.fr sa fille Vanessa. Peu après minuit, Vanessa était rentrée chez elle, à Noyen-sur-Seine. En même temps, elle avait raccompagné sa mère, qui avait laissé sa voiture garée devant chez elle. Douze kilomètres séparent les domiciles de deux femmes. Pourtant, Anita n'est jamais arrivée chez elle."
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bizarre cette histoire d'accident avec une conduite alcoolisée si la personne a été raccompagnée chez elle par sa fille... comme semble dire le second article... ?
Disparition d'Anita Ysebaert
Anita Ysebaert : La thèse de l'accident confirmée
Anita Ysebaert, 51 ans, disparue une dizaine de jours, a été victime d'un accident de voiture fatal. Celle-ci a été retrouvée mardi soir dans la Seine.
La voiture d'Anita Ysebaert est "intacte" et n'a "pas de traces d'impact" SIPASombre dénouement pour la famille d'Anita Ysebaert. Le corps de cette femme de 51 ans disparue depuis le 6 août avait été retrouvé mardi soir dans sa voiture immergée dans la seine. La Peugeot 306 grise était remontée à la surface dans ce bras du fleuve à proximité de Noyen-sur-Seine, en Seine-et-Marne. L'autopsie menée sur la dépouille a confirmé qu'il s'agissait bien d'Anita Ysebaert et que celle-ci a bien été victime d'un accident, son corps ne présentant « aucune trace suspecte », selon le procureur de la République de Melun. Pour Bruno Dalles, le plus vraisemblable est la possibilité d'une « perte de contrôle » ou d'une « fausse manoeuvre » qui aurait accidentellement entraîné la voiture dans l'eau. Anita Ysebaert avait disparue dans la nuit du 6 au 7 août après un dîner chez sa fille à Noyen-sur-Seine. Le chemin du retour, jusqu'à son domicile de Mouy-sur-Seine, lui aura été fatal.
La voiture "quasi intacte"
Autre élément confirmant le scénario de la chute dans le fleuve : l'automobile, qui est « quasi intacte » d'après le colonel de gendarmerie Francis Formell. Et « il n'y a pas de traces d'impact (et) il n'y a pas d'éléments sur la berge » de ce bras de la Seine. « Il y a des chemins plus rapides et plus directs » pour rentrer à son domicile, mais « elle a peut-être tenté ce chemin, s'est peut-être égarée et est tombée dans l'eau », avait expliqué mardi soir le colonel Formell, rappelant qu'il pleuvait et que la voiture avait pu déraper.
Des « analyses toxicologiques » ont également été pratiquées mais les résultats ne seront connus qu'en « fin de semaine » ou en « début de semaine prochaine », a poursuivi le procureur, soulignant la « qualité du travail de l'ensemble des services de gendarmerie mobilisés ».
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les analyses ont révélé que la personne était sous l'emprise de l'alcool... :
http://www.francesoir.fr/actualite/faits-divers/anita-ysebaert-etait-sous-l-emprise-l-alcool-128920.html
"Après la découverte macabre, les enquêteurs semblaient privilégier la thèse de l'accident. Un nouvel élément devrait accréditer cette idée. Les analyses toxicologiques effectuées sur le corps d'Anita Ysebaert ont révélé que la femme, âgée de 51 ans, avait un taux d'alcool dans le sang « supérieur à un gramme par litre, plus de deux fois le taux autorisé », a indiqué une source judiciaire.
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La quinquagénaire avait disparu dans la nuit du samedi 6 au dimanche 7 août, aux alentours de 00h30. « On avait passé la soirée à Provins, chez ma tante, Murielle. On était censé aller voir un spectacle mais finalement, on est resté chez elle, en famille », avait raconté à FranceSoir.fr sa fille Vanessa. Peu après minuit, Vanessa était rentrée chez elle, à Noyen-sur-Seine. En même temps, elle avait raccompagné sa mère, qui avait laissé sa voiture garée devant chez elle. Douze kilomètres séparent les domiciles de deux femmes. Pourtant, Anita n'est jamais arrivée chez elle."
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bizarre cette histoire d'accident avec une conduite alcoolisée si la personne a été raccompagnée chez elle par sa fille... comme semble dire le second article... ?
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