wikipédia :
Richard Roman, ingénieur agronome né le 15 décembre 1959 à Ambilly (Haute-Savoie) et mort le 23 juin 2008, est le personnage principal d'une affaire judiciaire qui s'est déroulée à La Motte-du-Caire dans les Alpes-de-Haute-Provence.(...)
Les faits.
Le mardi 26 juillet 1988, la petite Céline Jourdan, âgée de 7 ans, est retrouvée sans vie à proximité de La Motte-du-Caire, ayant subi des violences sexuelles.
Richard Roman, âgé de 29 ans au moment des faits, surnommé « l'Indien » en raison de son mode de vie atypique, et Didier Gentil, ouvrier agricole surnommé « le tatoué » sont rapidement suspectés, et passent aux aveux après quatre heures de garde à vue, avant de se rétracter dix-huit heures plus tard devant le juge d'instruction de Digne, invoquant alors, les « pressions » insupportables des gendarmes qui l'avaient interrogé. De son côté, Didier Gentil persista à l'accuser.(....)
La fin
Richard Roman, libéré, fera plusieurs séjours en hôpitaux psychiatriques et le reste du temps, il traînait dans les rues d'Annecy où il « vivotait » et était bien connu des services sociaux et de police. Toxicomane, marginal, les médicaments et les drogues qu'il consommait avait fini par sérieusement endommager son état de santé. Il est retrouvé mort à son domicile de Clarafond-Arcine (Haute-Savoie) le 23 juin 2008. L'autopsie ordonnée par le parquet d'Annecy démontre que le décès est du à l'absorption d'un cocktail de médicaments et de stupéfiants. L'enquête écartera l'hypothèse d'un suicide pour conclure à une mort accidentelle "sans qu'on puisse parler d'overdose".
=======================
Richard Roman (qui a été acquitté lors du procès) est né le mardi 15 décembre 1959 : il était en E8 le mardi 26 juillet 1988. c'est son "jour critique émotionnel" et il a 28 ans et 7 mois au moment des faits donc période critique septennale et à cinq mois de l'anniversaire.
d'un point de vue purement biorythmique ces éléments ne vont pas particulièrement en sa faveur : jour critique émotionnel et période critique septennale sont deux "portails" typiques de passages à l'acte...
la situation biorythmique que je prends en compte est celle du 26 juillet 1988 car j'ai trouvé sur le net deux autres dates pour le crime : 27 et 28 juillet, mais elles ne me semblent pas exactes d'après l'ensemble des renseignements que j'ai trouvés. La date est capitale, puisque la situation biorythmique varie d'un jour à l'autre et elle n'est pas du tout la même le jour avant ou le jour suivant...
Richard Roman est décédé le lundi 23 juin 2008 et c'est E28, en fait veille de son jour critique émotionnel E1 c'est effectivement jour d'overdose ou de suicide. et c'est aussi le moment précis de l'entrée dans la période critique septennale des 49 ans, autre moment "à risques" et à peu près à cinq mois de l'anniversaire..
Didier Gentil est né le jeudi 12 décembre 1963 : le 26/07/1988 c'était pour lui P1 -
c'est à dire jour critique physique le P1 étant le plus "fort" jour critique du cycle... (et lendemain de i17) il avait 24 ans et 7 mois : l'année critique physique est en réalité l'année de vie 24 qu'il avait donc dépassée... il est à cinq mois de l'anniversaire comme Roman puisque né au même moment.
Chez Didier Gentil ce sont les cycles physiques qui ont l'air d'avoir une fonction prédominante : j'avais constaté que la majorité des personnes sont "régies" en priorité par leurs cycles émotionnels, mais certaines personnes le sont plutôt par leurs cycles physiques : il s'en suit comme cela pourrait être le cas ici, que les passages à l'acte criminels ne se font pas en jour critique émotionnel/période critique émotionnelle mais plutôt en jour critique physique/période critique physique.
(céline *18/09/1981=lend.P19 le 26/07/88)
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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dimanche 30 novembre 2008
suicide... infanticide ?
Une mère et sa fille carbonisées dans leur voiture
(publié le : 30/11/2008 à 09:52)
Boussole74 :
Hier vers 10 heures dans la région de Bourgoin-Jallieu, un chasseur aperçoit un véhicule en proie aux flammes dans un ravin. Les secours rapidement dépêchés sur les lieux découvriront à l’intérieur de la voiture deux cadavres calcinés.
Il s’agit d’une jeune femme de 29 ans et de sa petite fille âgée de 5 ans. Elles avaient quitté leur domicile plus tôt le matin. A la mi-journée, l’ami de la jeune femme s’est inquiété de leur absence et a alerté la gendarmerie. C’est, selon le Dauphiné Libéré, de cette manière que les corps seront identifiés.
L’endroit où s’est produit le drame, un chemin qui relie le quartier de Champ-fleuri à celui de Montbernier, est par endroit piégeur. Pour l’heure deux pistes sont envisagées par les enquêteurs : Celle du suicide : il n’y avait aucune trace de freinage - et celle de l’accident : l’endroit est escarpé et glissant en cette période de l’année.
Des autopsies seront pratiquées.
====================
pour éviter de tels drames il faut d'urgence prendre en compte la dépression septennale : grave dépression pouvant facilement mener au suicide, elle peut survenir durant nos années septennales ; ici en cause probablement la période critique septennale des 28 ans dont la personne n'a pas pu s'extraire...
(sous réserve d'autres résulats de l'enquête)
(publié le : 30/11/2008 à 09:52)
Boussole74 :
Hier vers 10 heures dans la région de Bourgoin-Jallieu, un chasseur aperçoit un véhicule en proie aux flammes dans un ravin. Les secours rapidement dépêchés sur les lieux découvriront à l’intérieur de la voiture deux cadavres calcinés.
Il s’agit d’une jeune femme de 29 ans et de sa petite fille âgée de 5 ans. Elles avaient quitté leur domicile plus tôt le matin. A la mi-journée, l’ami de la jeune femme s’est inquiété de leur absence et a alerté la gendarmerie. C’est, selon le Dauphiné Libéré, de cette manière que les corps seront identifiés.
L’endroit où s’est produit le drame, un chemin qui relie le quartier de Champ-fleuri à celui de Montbernier, est par endroit piégeur. Pour l’heure deux pistes sont envisagées par les enquêteurs : Celle du suicide : il n’y avait aucune trace de freinage - et celle de l’accident : l’endroit est escarpé et glissant en cette période de l’année.
Des autopsies seront pratiquées.
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pour éviter de tels drames il faut d'urgence prendre en compte la dépression septennale : grave dépression pouvant facilement mener au suicide, elle peut survenir durant nos années septennales ; ici en cause probablement la période critique septennale des 28 ans dont la personne n'a pas pu s'extraire...
(sous réserve d'autres résulats de l'enquête)
fillette disparue
DISPARITION
Fillette retrouvée en Seine-et-Marne : la mère en garde à vue
NOUVELOBS.COM | 30.11.2008 | 09:25
La mère d'une fillette de deux ans et demi qui avait été déclarée disparue samedi a été placée en garde à vue. Elle est soupçonnée d'avoir inventé l'histoire de la disparition de son enfant.
La mère d'une fillette déclarée disparue samedi en Seine-et-Marne a été placée en garde à vue, a-t-on appris dimanche 30 novembre de source judiciaire. Elle est soupçonnée d'avoir inventé l'histoire de la disparition de sa fille.
La fillette de deux ans et demi avait été déclarée disparue samedi en Seine-et-Marne par sa mère. L'enfant avait été retrouvée "saine et sauve" par les enquêteurs très tôt ce dimanche à Torcy, quatorze heures après sa disparition.
"Problème familial"
La mère de la fillette a passé la nuit en garde à vue au commissariat de Noisiel (Seine-et-Marne), a indiqué une source judiciaire. Elle est soupçonnée d'avoir inventé l'histoire de la disparition de sa fille.
La mère a été entendue par les enquêteurs. On ne sait pas encore si elle va être mise en examen ou non.
"A notre niveau, tout ce qu'on sait c'est que c'est un problème familial, le couple était séparé, la gamine a été remise au père saine et sauve", a-t-on expliqué de source policière.
"En fait elle n'a jamais été en danger, elle n'a jamais été perdue", explique la même source.
.................
=========================
j'ai cherché mais pas trouvé l'âge de la mère car ce pourrait être là un assez typique comportement de période critique septennale. la séparation d'un couple en fait partie aussi.
nous en saurons probablement plus par la suite...
jour critique émotionnel et période critique septennale peuvent tous deux prêter à des tas de comportements comme fantasmes, mythomanie, chantage, etc...
un regard sur la situation biorythmique d'une personne qui a un problème permet tout de suite de se faire une première idée de son "état physique et psychique du moment". cela n'empêche pas de prendre de suite les mesures indispensables.
édit 30/11 LeParisien.fr :
"Au cours de son audition, la mère de Yasmine - une femme d'une quarantaine d'année - s'est contredite à plusieurs reprises."
on approche... une quarantaine d'années : les incidents de la période critique septennale c'est, par ordre de fréquence 41 ans puis 42 ans... attendons d'avoir plus de précisions encore.
Fillette retrouvée en Seine-et-Marne : la mère en garde à vue
NOUVELOBS.COM | 30.11.2008 | 09:25
La mère d'une fillette de deux ans et demi qui avait été déclarée disparue samedi a été placée en garde à vue. Elle est soupçonnée d'avoir inventé l'histoire de la disparition de son enfant.
La mère d'une fillette déclarée disparue samedi en Seine-et-Marne a été placée en garde à vue, a-t-on appris dimanche 30 novembre de source judiciaire. Elle est soupçonnée d'avoir inventé l'histoire de la disparition de sa fille.
La fillette de deux ans et demi avait été déclarée disparue samedi en Seine-et-Marne par sa mère. L'enfant avait été retrouvée "saine et sauve" par les enquêteurs très tôt ce dimanche à Torcy, quatorze heures après sa disparition.
"Problème familial"
La mère de la fillette a passé la nuit en garde à vue au commissariat de Noisiel (Seine-et-Marne), a indiqué une source judiciaire. Elle est soupçonnée d'avoir inventé l'histoire de la disparition de sa fille.
La mère a été entendue par les enquêteurs. On ne sait pas encore si elle va être mise en examen ou non.
"A notre niveau, tout ce qu'on sait c'est que c'est un problème familial, le couple était séparé, la gamine a été remise au père saine et sauve", a-t-on expliqué de source policière.
"En fait elle n'a jamais été en danger, elle n'a jamais été perdue", explique la même source.
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j'ai cherché mais pas trouvé l'âge de la mère car ce pourrait être là un assez typique comportement de période critique septennale. la séparation d'un couple en fait partie aussi.
nous en saurons probablement plus par la suite...
jour critique émotionnel et période critique septennale peuvent tous deux prêter à des tas de comportements comme fantasmes, mythomanie, chantage, etc...
un regard sur la situation biorythmique d'une personne qui a un problème permet tout de suite de se faire une première idée de son "état physique et psychique du moment". cela n'empêche pas de prendre de suite les mesures indispensables.
édit 30/11 LeParisien.fr :
"Au cours de son audition, la mère de Yasmine - une femme d'une quarantaine d'année - s'est contredite à plusieurs reprises."
on approche... une quarantaine d'années : les incidents de la période critique septennale c'est, par ordre de fréquence 41 ans puis 42 ans... attendons d'avoir plus de précisions encore.
drame familial
Romandie news
Drame familial à Zurich: un homme tue sa femme et se dénonce
Un homme de 34 ans a tué sa femme âgée de 39 ans à coup de poignard la nuit dernière à Zurich. Il s'est ensuite dénoncé et rendu sans opposition à la police. Les causes du drame n'ont pas encore été éclaircies. Une enquête a été ouverte.
Selon les premiers éléments relevés, le couple s'était violemment disputé dans la nuit, a indiqué la police municipale zurichoise. L'homme a alors poignardé sa femme, une Suissesse comme lui.
Samedi peu avant 07h00, il a téléphoné à la police en annonçant le meurtre de sa femme. Sur place, les forces de l'ordre et les secours n'ont pu que constater le décès de la victime.Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances du drame.
(ats / 29 novembre 2008 19:46)
================================
entrée à risque... dans la période critique septennale des 35 ans.
il faudra faire une opération de vulgarisation et d'information, d'explication quant à l'existence et au fonctionnement du cycle en question et des jours critiques émotionnels. on devrait ensuite pouvoir éviter beaucoup de drames qui y sont directement liés.
Drame familial à Zurich: un homme tue sa femme et se dénonce
Un homme de 34 ans a tué sa femme âgée de 39 ans à coup de poignard la nuit dernière à Zurich. Il s'est ensuite dénoncé et rendu sans opposition à la police. Les causes du drame n'ont pas encore été éclaircies. Une enquête a été ouverte.
Selon les premiers éléments relevés, le couple s'était violemment disputé dans la nuit, a indiqué la police municipale zurichoise. L'homme a alors poignardé sa femme, une Suissesse comme lui.
Samedi peu avant 07h00, il a téléphoné à la police en annonçant le meurtre de sa femme. Sur place, les forces de l'ordre et les secours n'ont pu que constater le décès de la victime.Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances du drame.
(ats / 29 novembre 2008 19:46)
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entrée à risque... dans la période critique septennale des 35 ans.
il faudra faire une opération de vulgarisation et d'information, d'explication quant à l'existence et au fonctionnement du cycle en question et des jours critiques émotionnels. on devrait ensuite pouvoir éviter beaucoup de drames qui y sont directement liés.
samedi 29 novembre 2008
bonnes questions
LeTélégramme.com :
Double meurtre. 30 ans de réclusion à la concierge
La cour d’assises du Morbihan a suivi les réquisitions de l’avocat général. Françoise Dronet, 52 ans, a été condamnée, hier soir, à 30 ans de réclusion criminelle, dont 20 ans de période de sûreté. Elle a été reconnue coupable de deux meurtres dont l’un sur une personne vulnérable, commis à Lorient en 1998 puis en 2005.
Jusqu’au bout, le fils de la première victime a espéré un revirement de dernière minute. « Nous avons attendu dix ans. Et, cette semaine, nous avons approché de très près la vérité. Je crois qu’elle ne veut pas la livrer. Elle reporte les torts sur la victime », dit-il en interpellant la quinquagénaire dans le box des accusés.
Un faux suicide deux vrais meurtres
Mais le « petit bout de femme » campe sur ses positions. Si elle reconnaît les deux meurtres commis à Lorient, elle invoque à chaque fois deux terribles moments d’égarement. En octobre 2005, le corps sans vie d’une dame âgée de 79 ans est découvert gisant dans son appartement au foyer-logements de Kerguestenen. Françoise Dronet, « la fille de substitution » de cette veuve sans enfant est interpellée peu après. Elle avoue le crime. Troublés par certaines similitudes, les enquêteurs exhument un second homicide, classé comme suicide durant sept ans. En juin 1998, une dame de 86 ans avait été retrouvée morte dans son appartement en partie incendié.
Françoise Dronet, concierge de l’immeuble au moment des faits, passe aux aveux. « Pourquoi cette mère courage a-t-elle déclenché des accès de violence à sept ans d’intervalle », interroge son avocate, Laurence Mallet. L’acharnement surprend. Et les motivations restent troubles après quatre jours de débat.
« Une cocotte-minute prête à exploser »
La première fois, elle affirme qu’elle voulait sauver la belle-fille de l’octogénaire. Elle prétend que cette dernière détestait sa bru et envisageait de financer un envoûtement. Pour la seconde, elle avance une colère aveugle provoquée par une dispute au sujet de l’un de ses fils. À chaque fois, le drame s’est déroulé dans le huis clos d’un appartement, sans témoin. « Ses versions sont compatibles avec les constatations. Elle a sacrifié sa vie de femme pour ses enfants qui sont la réussite de sa vie. Avec l’accumulation des frustrations, c’est une vraie cocotte-minute prête à exploser », déclare l’avocate de la défense, qui récuse, dans les deux cas, la thèse du mobile financier. « Elle ne figurait pas sur un testament et n’était pas bénéficiaire d’une assurance-vie ». De son côté, l’avocat général ne croit pas à la mère blessée, submergée par les émotions et emportée par un soudain déchaînement de violence. Elle dépeint une femme déterminée, agissant de sang-froid. « La première fois elle met en scène un suicide et met le feu pour éloigner les soupçons. La deuxième fois, elle n’oublie pas de nettoyer les lieux avec des gants chirurgicaux », rappelle Fabienne Bonnet.
« Une femme vénale et cupide »
Pour quelles raisons la mère exemplaire passe-t-elle du côté obscur et n’hésite pas à tuer ? « Les mobiles invoqués sont invraisemblables », affirme l’avocat général qui revient à une interprétation plus prosaïque. À chaque fois, elle avait noué des relations d’argent avec ses futures victimes. « Les motivations sont moins avouables. Ce sont des meurtres crapuleux. Cela ne colle pas avec l’image de la mère exemplaire qu’elle a d’elle-même et qu’elle a toujours donnée à ses enfants. Le passage à l’acte intervient lorsqu’elle est démasquée comme une femme vénale et cupide ». L’avocat-général a requis 30 ans de réclusion criminelle avec une période de sûreté de 20 ans à l’encontre de la frêle quinquagénaire qualifiée « d’inquiétante et de dangereuse ». Hier, vers 20 h 30, le tribunal a suivi ses réquisitions.
Patrick Hernot
============================
bonnes questions que pose l'avocate :
Pourquoi cette mère courage a-t-elle déclenché des accès de violence à sept ans d’intervalle », interroge son avocate,
sans savoir que la réponse est dans la question même :
sept ans d'intervalle c'est un septennat du cycle psychique et émotionnel septennal de la dame accusée.
en 1988 elle se trouvait dans sa période critique septennale des 42 ans et en 2005 elle se trouvait dans sa période critique septennale des 49 ans...
on peut ensuite répondre aux questionnements suivants aussi, de l'avocat général :
Pour quelles raisons la mère exemplaire passe-t-elle du côté obscur et n’hésite pas à tuer ? « Les mobiles invoqués sont invraisemblables », affirme l’avocat général
l'entrée dans la période critique septennale peut nous faire passer du coté obscur par le fait qu'elle fait surgir momentanémernt et hélas parfois passer aux actes, le temps de cette période en principe, le Mr. Hyde qui sommeille en nous... selon les personnes nous pouvons aller jusqu'à nous métamorphoser totalement et troquer notre personnalité, durant ce laps de temps...
ici les actes ont eu lieu à l'occasion des périodes critiques septennales de 42 et 49ans de l'accusée : on pourrait éventuellement vérifier s'il ne s'est pas passé quelque chose aux périodes critiques précédentes, des 35 et 28 ans, car chez certaines personnes la caractéristique du cycle psychique et émotionnel septennal c'est de "se réveiller" (Mr Hyde) chaque septième année et d'être tenté de passer aux actes à ce moment là. on fait une pause de sept années ensuite, jusqu'à la période critique suivante. un septennal killer par exemple va se comporter de cette façon, et agir tous les sept ans : cela explique les mystérieuses poses casse-tête des enquêteurs criminels.
Double meurtre. 30 ans de réclusion à la concierge
La cour d’assises du Morbihan a suivi les réquisitions de l’avocat général. Françoise Dronet, 52 ans, a été condamnée, hier soir, à 30 ans de réclusion criminelle, dont 20 ans de période de sûreté. Elle a été reconnue coupable de deux meurtres dont l’un sur une personne vulnérable, commis à Lorient en 1998 puis en 2005.
Jusqu’au bout, le fils de la première victime a espéré un revirement de dernière minute. « Nous avons attendu dix ans. Et, cette semaine, nous avons approché de très près la vérité. Je crois qu’elle ne veut pas la livrer. Elle reporte les torts sur la victime », dit-il en interpellant la quinquagénaire dans le box des accusés.
Un faux suicide deux vrais meurtres
Mais le « petit bout de femme » campe sur ses positions. Si elle reconnaît les deux meurtres commis à Lorient, elle invoque à chaque fois deux terribles moments d’égarement. En octobre 2005, le corps sans vie d’une dame âgée de 79 ans est découvert gisant dans son appartement au foyer-logements de Kerguestenen. Françoise Dronet, « la fille de substitution » de cette veuve sans enfant est interpellée peu après. Elle avoue le crime. Troublés par certaines similitudes, les enquêteurs exhument un second homicide, classé comme suicide durant sept ans. En juin 1998, une dame de 86 ans avait été retrouvée morte dans son appartement en partie incendié.
Françoise Dronet, concierge de l’immeuble au moment des faits, passe aux aveux. « Pourquoi cette mère courage a-t-elle déclenché des accès de violence à sept ans d’intervalle », interroge son avocate, Laurence Mallet. L’acharnement surprend. Et les motivations restent troubles après quatre jours de débat.
« Une cocotte-minute prête à exploser »
La première fois, elle affirme qu’elle voulait sauver la belle-fille de l’octogénaire. Elle prétend que cette dernière détestait sa bru et envisageait de financer un envoûtement. Pour la seconde, elle avance une colère aveugle provoquée par une dispute au sujet de l’un de ses fils. À chaque fois, le drame s’est déroulé dans le huis clos d’un appartement, sans témoin. « Ses versions sont compatibles avec les constatations. Elle a sacrifié sa vie de femme pour ses enfants qui sont la réussite de sa vie. Avec l’accumulation des frustrations, c’est une vraie cocotte-minute prête à exploser », déclare l’avocate de la défense, qui récuse, dans les deux cas, la thèse du mobile financier. « Elle ne figurait pas sur un testament et n’était pas bénéficiaire d’une assurance-vie ». De son côté, l’avocat général ne croit pas à la mère blessée, submergée par les émotions et emportée par un soudain déchaînement de violence. Elle dépeint une femme déterminée, agissant de sang-froid. « La première fois elle met en scène un suicide et met le feu pour éloigner les soupçons. La deuxième fois, elle n’oublie pas de nettoyer les lieux avec des gants chirurgicaux », rappelle Fabienne Bonnet.
« Une femme vénale et cupide »
Pour quelles raisons la mère exemplaire passe-t-elle du côté obscur et n’hésite pas à tuer ? « Les mobiles invoqués sont invraisemblables », affirme l’avocat général qui revient à une interprétation plus prosaïque. À chaque fois, elle avait noué des relations d’argent avec ses futures victimes. « Les motivations sont moins avouables. Ce sont des meurtres crapuleux. Cela ne colle pas avec l’image de la mère exemplaire qu’elle a d’elle-même et qu’elle a toujours donnée à ses enfants. Le passage à l’acte intervient lorsqu’elle est démasquée comme une femme vénale et cupide ». L’avocat-général a requis 30 ans de réclusion criminelle avec une période de sûreté de 20 ans à l’encontre de la frêle quinquagénaire qualifiée « d’inquiétante et de dangereuse ». Hier, vers 20 h 30, le tribunal a suivi ses réquisitions.
Patrick Hernot
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bonnes questions que pose l'avocate :
Pourquoi cette mère courage a-t-elle déclenché des accès de violence à sept ans d’intervalle », interroge son avocate,
sans savoir que la réponse est dans la question même :
sept ans d'intervalle c'est un septennat du cycle psychique et émotionnel septennal de la dame accusée.
en 1988 elle se trouvait dans sa période critique septennale des 42 ans et en 2005 elle se trouvait dans sa période critique septennale des 49 ans...
on peut ensuite répondre aux questionnements suivants aussi, de l'avocat général :
Pour quelles raisons la mère exemplaire passe-t-elle du côté obscur et n’hésite pas à tuer ? « Les mobiles invoqués sont invraisemblables », affirme l’avocat général
l'entrée dans la période critique septennale peut nous faire passer du coté obscur par le fait qu'elle fait surgir momentanémernt et hélas parfois passer aux actes, le temps de cette période en principe, le Mr. Hyde qui sommeille en nous... selon les personnes nous pouvons aller jusqu'à nous métamorphoser totalement et troquer notre personnalité, durant ce laps de temps...
ici les actes ont eu lieu à l'occasion des périodes critiques septennales de 42 et 49ans de l'accusée : on pourrait éventuellement vérifier s'il ne s'est pas passé quelque chose aux périodes critiques précédentes, des 35 et 28 ans, car chez certaines personnes la caractéristique du cycle psychique et émotionnel septennal c'est de "se réveiller" (Mr Hyde) chaque septième année et d'être tenté de passer aux actes à ce moment là. on fait une pause de sept années ensuite, jusqu'à la période critique suivante. un septennal killer par exemple va se comporter de cette façon, et agir tous les sept ans : cela explique les mystérieuses poses casse-tête des enquêteurs criminels.
vendredi 28 novembre 2008
écrivain
trouvé sur le forum "Justice" :
Il tue l'amant de son ex-femme puis le raconte dans un roman
Un écrivain polonais de 36 ans a été condamné hier à 25 ans de prison pour le meurtre de l’amant de son ex-femme, sa culpabilité ayant été étayée par un roman dans lequel il avait ensuite décrit le crime. Un tribunal de Wroclaw, dans le sud-ouest de la Pologne, a condamné Krystian Bala pour avoir commandité l’assassinat, commis il y a sept ans. « La jalousie envers son ex-femme fut le motif du meurtre », a déclaré la juge Lidia Hojenska. L’écrivain a plaidé non coupable. En 2000, un homme d’affaires de Wroclaw est enlevé, torturé pendant trois jours, puis noyé dans une rivière. Les exécutants directs du meurtre n’ont jamais été retrouvés. « On ne sait pas si la victime était consciente quand elle fut jetée dans l’eau. Il est cependant sûr qu’elle était vivante », a précisé la juge. L’écrivain avait été inculpé pour ce meurtre en 2000, mais la justice n’avait pas trouvé de preuves suffisantes pour le condamner. Des ressemblances entre l’assassinat réel et le crime décrit dans le roman Amok que Krystian Bala a publié trois ans plus tard ont permis de rouvrir la procédure et de modifier l’acte d’accusation. Les experts ont conclu qu’il y avait des points communs entre Chris, le personnage du roman, et l’instigateur du meurtre, concernant sa biographie, le milieu socioprofessionnel, le caractère et le comportement.
L’analyse du roman n’a pas été l’unique indice invoqué pour relancer le procès. La police a découvert par ailleurs que l’écrivain avait vendu sur l’Internet le téléphone ayant appartenu à la victime.
Source : Alliance ( septembre 2007 )
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en 2000 c'était la période critique septennale des 28 ans...
Il tue l'amant de son ex-femme puis le raconte dans un roman
Un écrivain polonais de 36 ans a été condamné hier à 25 ans de prison pour le meurtre de l’amant de son ex-femme, sa culpabilité ayant été étayée par un roman dans lequel il avait ensuite décrit le crime. Un tribunal de Wroclaw, dans le sud-ouest de la Pologne, a condamné Krystian Bala pour avoir commandité l’assassinat, commis il y a sept ans. « La jalousie envers son ex-femme fut le motif du meurtre », a déclaré la juge Lidia Hojenska. L’écrivain a plaidé non coupable. En 2000, un homme d’affaires de Wroclaw est enlevé, torturé pendant trois jours, puis noyé dans une rivière. Les exécutants directs du meurtre n’ont jamais été retrouvés. « On ne sait pas si la victime était consciente quand elle fut jetée dans l’eau. Il est cependant sûr qu’elle était vivante », a précisé la juge. L’écrivain avait été inculpé pour ce meurtre en 2000, mais la justice n’avait pas trouvé de preuves suffisantes pour le condamner. Des ressemblances entre l’assassinat réel et le crime décrit dans le roman Amok que Krystian Bala a publié trois ans plus tard ont permis de rouvrir la procédure et de modifier l’acte d’accusation. Les experts ont conclu qu’il y avait des points communs entre Chris, le personnage du roman, et l’instigateur du meurtre, concernant sa biographie, le milieu socioprofessionnel, le caractère et le comportement.
L’analyse du roman n’a pas été l’unique indice invoqué pour relancer le procès. La police a découvert par ailleurs que l’écrivain avait vendu sur l’Internet le téléphone ayant appartenu à la victime.
Source : Alliance ( septembre 2007 )
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en 2000 c'était la période critique septennale des 28 ans...
Kurt Cobain
http://www.voici.fr/potins-people/les-potins-du-jour/kurt-cobain-about-a-son-le-film-evenement-258210
Kurt Cobain : About a son, le film événement
Quatorze ans après le suicide du leader de Nirvana, Michael Azerrad lui rend hommage dans un film documentaire intitulé Kurt Cobain : About a son.
Kurt Cobain n’aurait certainement pas apprécié cela, c’est pourtant la réalité. 14 ans après son suicide le 5 avril 1994, le guitariste-chanteur de Nirvana est toujours l’un des artistes les plus bankable du monde. Il arrive même juste derrière le King Elvis Presley pour les ventes de disques et de produits dérivés. Preuve de la marque indélébile qu’il a laissée dans le paysage musical international…
Le journaliste Michael Azerrad fut un proche de Kurt Cobain. Après avoir publié le livre Come as you are sur le groupe, il coproduit aujourd’hui Kurt Cobain : About a son. Via de nombreuses interviews inédites, le public est invité à découvrir ou redécouvrir le parcours d’un compositeur exceptionnel à tous points de vue. Ou comment un petit gaucher de Seattle (comme Jimi Hendrix, en l’occurrence) a réussi avec deux copains et une musique mélangeant colère, tristesse, rébellion et mélodies accrocheuses à conquérir le monde. Problème : la seule ambition du blondinet était de gagner suffisamment d’argent pour tourner.
Michael Azerrad se rappelle d’un garçon très éloigné de l’image d’Epinal servie à l’envi : « Loin du cliché du drogué abruti, c’était quelqu’un d’extrêmement avisé, tant sur le plan professionnel que sur le plan personnel : c’était quelqu’un que vous pouviez aller trouver si vous aviez un problème », explique-t-il dans Télé Obs. Même s’il était certain « qu’il ne vivrait pas vieux. »
De ses débuts dans les clubs poisseux de Seattle jusqu’à la consécration internationale, en passant pour son histoire d’amour destructrice avec Courtney Love, Kurt Cobain restera comme un prince foudroyé, à l’instar de James Dean, un surdoué qui a brûlé la chandelle par les deux bouts.
P.L.N
Jeudi 27 Nov 2008 - 16:57
=========================
coïncidence, peut-être, que la sortie du film deux septennats après le suicide de Kurt Cobain... :-)
(wikipédia)
Kurt Donald Cobain (né le 20 février 1967 à Aberdeen et mort le 5 avril 1994 à Seattle) est un musicien américain. Il est mondialement connu pour avoir été le chanteur et le guitariste du groupe grunge Nirvana.
Cobain a formé Nirvana en 1987 avec Krist Novoselic. En deux ans, le groupe devint un pilier de la scène grunge de Seattle alors bourgeonnante. En 1991, la sortie du titre Smells Like Teen Spirit marque le début d'un changement radical de la musique populaire des années 1980 (Glam metal, Hard FM et Pop) vers le grunge et le rock alternatif.
Durant les dernières années de sa vie, Kurt Cobain a lutté contre son addiction pour la drogue et la pression des médias qui l'ont affecté, lui et sa femme, Courtney Love. Il est retrouvé mort dans sa maison de Seattle le 8 avril 1994 ; malgré la polémique, la cause officielle de son décès est un suicide par balle.
...................
Le 8 avril 1994 le corps de Kurt Cobain fut découvert dans la pièce au dessus du garage de sa maison au dessus du Lac Washington par un électricien: Gary Smith. Smith arriva à la maison ce matin-là pour installer un système de sécurité lumineux et l'aperçut gisant à l'intérieur. Bien qu'il ait vu du sang couler de son oreille, Smith raconta qu'il n'avait vu aucun signe de trauma et avait d'abord cru que Cobain dormait. L'électricien trouva ce qu'il pensa être une lettre de suicide avec un stylo, coincés sous un pot de fleurs. Un fusil acheté pour Cobain par Dylan Carlson fut trouvé sur la poitrine de Cobain. L'acte de décès rapporta que sa mort était due à "une balle tirée dans la tête" et conclut à un suicide précédé d'une forte consommation d'héroïne. La date du décès de Cobain fut estimée au 5 avril 1994, à l'age de 27 ans.
========================
Kurt Donald Cobain (né le 20 février 1967 à Aberdeen et mort le 5 avril 1994 à Seattle)
il se suicide à 27 ans et deux mois donc à l'arrivée de sa période critique septennale des 28 ans.
sa situation biorythmique du moment fait apparaître un jour critique émotionnel le lundi 4 avril 1994 : c'est en général plutôt là, le jour des suicides et overdoses. çà pourrait donc coller...
(P18/P19 - i9 mercredi 6 et jeudi 7 est aussi un épisode fortement critique)
Avril 1994 (20/02/1967)
Ve 1
Sa 2
Di 3
Lu 4 E(22)
Ma 5
Me 6 P(18)
Je 7 P(19) I(9)
Ve 8
Sa 9
Di 10
.
à noter encore que le groupe Nirvana semble être le fruit de la période critique septennale des 21 ans de Kurt Cobain...
et rappelons quelques autres célébrités "victimes" de leur période critique septennale des 28 ans :
Janis Joplin (19/1/1943 - 4/10/1970)
morte d'une overdose jour critique physique 7 et jour critique émotionnel 15 à l'âge de 27 ans et 10 mois.
Elle avait signé son testament le 1er octobre...
Jim Morrison (8/12/1943 - 3/7/1971)
aussi... le lendemain du jour critique physique 18, et à 27 ans et 7 mois.
Jimi Hendrix (27/11/1942 - 18/9/1970)
mort son jour critique émotionnal E 22 à l'âge de 27 ans et 10 mois.
vous remarquerez au passage que j'ai résolu l'énigme de la mort des trois "J" à peu près au même âge au même moment... :-)
http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/2011/07/club-des-27.html
Kurt Cobain : About a son, le film événement
Quatorze ans après le suicide du leader de Nirvana, Michael Azerrad lui rend hommage dans un film documentaire intitulé Kurt Cobain : About a son.
Kurt Cobain n’aurait certainement pas apprécié cela, c’est pourtant la réalité. 14 ans après son suicide le 5 avril 1994, le guitariste-chanteur de Nirvana est toujours l’un des artistes les plus bankable du monde. Il arrive même juste derrière le King Elvis Presley pour les ventes de disques et de produits dérivés. Preuve de la marque indélébile qu’il a laissée dans le paysage musical international…
Le journaliste Michael Azerrad fut un proche de Kurt Cobain. Après avoir publié le livre Come as you are sur le groupe, il coproduit aujourd’hui Kurt Cobain : About a son. Via de nombreuses interviews inédites, le public est invité à découvrir ou redécouvrir le parcours d’un compositeur exceptionnel à tous points de vue. Ou comment un petit gaucher de Seattle (comme Jimi Hendrix, en l’occurrence) a réussi avec deux copains et une musique mélangeant colère, tristesse, rébellion et mélodies accrocheuses à conquérir le monde. Problème : la seule ambition du blondinet était de gagner suffisamment d’argent pour tourner.
Michael Azerrad se rappelle d’un garçon très éloigné de l’image d’Epinal servie à l’envi : « Loin du cliché du drogué abruti, c’était quelqu’un d’extrêmement avisé, tant sur le plan professionnel que sur le plan personnel : c’était quelqu’un que vous pouviez aller trouver si vous aviez un problème », explique-t-il dans Télé Obs. Même s’il était certain « qu’il ne vivrait pas vieux. »
De ses débuts dans les clubs poisseux de Seattle jusqu’à la consécration internationale, en passant pour son histoire d’amour destructrice avec Courtney Love, Kurt Cobain restera comme un prince foudroyé, à l’instar de James Dean, un surdoué qui a brûlé la chandelle par les deux bouts.
P.L.N
Jeudi 27 Nov 2008 - 16:57
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coïncidence, peut-être, que la sortie du film deux septennats après le suicide de Kurt Cobain... :-)
(wikipédia)
Kurt Donald Cobain (né le 20 février 1967 à Aberdeen et mort le 5 avril 1994 à Seattle) est un musicien américain. Il est mondialement connu pour avoir été le chanteur et le guitariste du groupe grunge Nirvana.
Cobain a formé Nirvana en 1987 avec Krist Novoselic. En deux ans, le groupe devint un pilier de la scène grunge de Seattle alors bourgeonnante. En 1991, la sortie du titre Smells Like Teen Spirit marque le début d'un changement radical de la musique populaire des années 1980 (Glam metal, Hard FM et Pop) vers le grunge et le rock alternatif.
Durant les dernières années de sa vie, Kurt Cobain a lutté contre son addiction pour la drogue et la pression des médias qui l'ont affecté, lui et sa femme, Courtney Love. Il est retrouvé mort dans sa maison de Seattle le 8 avril 1994 ; malgré la polémique, la cause officielle de son décès est un suicide par balle.
...................
Le 8 avril 1994 le corps de Kurt Cobain fut découvert dans la pièce au dessus du garage de sa maison au dessus du Lac Washington par un électricien: Gary Smith. Smith arriva à la maison ce matin-là pour installer un système de sécurité lumineux et l'aperçut gisant à l'intérieur. Bien qu'il ait vu du sang couler de son oreille, Smith raconta qu'il n'avait vu aucun signe de trauma et avait d'abord cru que Cobain dormait. L'électricien trouva ce qu'il pensa être une lettre de suicide avec un stylo, coincés sous un pot de fleurs. Un fusil acheté pour Cobain par Dylan Carlson fut trouvé sur la poitrine de Cobain. L'acte de décès rapporta que sa mort était due à "une balle tirée dans la tête" et conclut à un suicide précédé d'une forte consommation d'héroïne. La date du décès de Cobain fut estimée au 5 avril 1994, à l'age de 27 ans.
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Kurt Donald Cobain (né le 20 février 1967 à Aberdeen et mort le 5 avril 1994 à Seattle)
il se suicide à 27 ans et deux mois donc à l'arrivée de sa période critique septennale des 28 ans.
sa situation biorythmique du moment fait apparaître un jour critique émotionnel le lundi 4 avril 1994 : c'est en général plutôt là, le jour des suicides et overdoses. çà pourrait donc coller...
(P18/P19 - i9 mercredi 6 et jeudi 7 est aussi un épisode fortement critique)
Avril 1994 (20/02/1967)
Ve 1
Sa 2
Di 3
Lu 4 E(22)
Ma 5
Me 6 P(18)
Je 7 P(19) I(9)
Ve 8
Sa 9
Di 10
.
à noter encore que le groupe Nirvana semble être le fruit de la période critique septennale des 21 ans de Kurt Cobain...
et rappelons quelques autres célébrités "victimes" de leur période critique septennale des 28 ans :
Janis Joplin (19/1/1943 - 4/10/1970)
morte d'une overdose jour critique physique 7 et jour critique émotionnel 15 à l'âge de 27 ans et 10 mois.
Elle avait signé son testament le 1er octobre...
Jim Morrison (8/12/1943 - 3/7/1971)
aussi... le lendemain du jour critique physique 18, et à 27 ans et 7 mois.
Jimi Hendrix (27/11/1942 - 18/9/1970)
mort son jour critique émotionnal E 22 à l'âge de 27 ans et 10 mois.
vous remarquerez au passage que j'ai résolu l'énigme de la mort des trois "J" à peu près au même âge au même moment... :-)
http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/2011/07/club-des-27.html
voix
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=28775
Il reçoit un "ordre de mission de Dieu" et tue un inconnu dans une boucherie
" Un homme âgé de 29 ans a été interpellé mercredi après-midi et placé sous mandat d'arrêt par un juge d'instruction bruxellois pour avoir tué une personne et blessé grièvement une autre dans une boucherie de la rue d'Aumale à Anderlecht, ont indiqué jeudi le parquet de Bruxelles et la police locale.
Le suspect, qui n'est pas connu de la police, a été inculpé par le juge d'instruction du chef d'assassinat et de tentative d'assassinat, comme l'avait requis le parquet. Le jeune homme souffre de problèmes mentaux selon la police. Il entendait des voix et a déclaré à la police qu'il avait reçu une mission de Dieu.
Armé d'un tournevis, le jeune homme est entré dans la boucherie vers 14H30 et a porté plusieurs coups à une personne se trouvant dans le commerce. Un employé de la boucherie est intervenu et a également reçu des coups. L'une des deux victimes a été touchée à une artère et n'a pas survécu à ses blessures. Elle est décédée à l'hôpital. Les jours de la seconde victime étaient menacés dans un premier temps mais l'état de santé de cette dernière s'est depuis stabilisé.
Selon le quotidien La Dernière Heure, le suspect, Savas Sag, a été interpellé par la police rue Wayez sans opposer de résistance. "
Source : BELGA (27 novembre 2008)
===================
les voix sont une caractéristique typique de la période critique septennale (ici 27 ans et demi à 29 ans environ). délires et hallucinations, apparitions, illuminations diverses... arrivent durant ces périodes là.
Il reçoit un "ordre de mission de Dieu" et tue un inconnu dans une boucherie
" Un homme âgé de 29 ans a été interpellé mercredi après-midi et placé sous mandat d'arrêt par un juge d'instruction bruxellois pour avoir tué une personne et blessé grièvement une autre dans une boucherie de la rue d'Aumale à Anderlecht, ont indiqué jeudi le parquet de Bruxelles et la police locale.
Le suspect, qui n'est pas connu de la police, a été inculpé par le juge d'instruction du chef d'assassinat et de tentative d'assassinat, comme l'avait requis le parquet. Le jeune homme souffre de problèmes mentaux selon la police. Il entendait des voix et a déclaré à la police qu'il avait reçu une mission de Dieu.
Armé d'un tournevis, le jeune homme est entré dans la boucherie vers 14H30 et a porté plusieurs coups à une personne se trouvant dans le commerce. Un employé de la boucherie est intervenu et a également reçu des coups. L'une des deux victimes a été touchée à une artère et n'a pas survécu à ses blessures. Elle est décédée à l'hôpital. Les jours de la seconde victime étaient menacés dans un premier temps mais l'état de santé de cette dernière s'est depuis stabilisé.
Selon le quotidien La Dernière Heure, le suspect, Savas Sag, a été interpellé par la police rue Wayez sans opposer de résistance. "
Source : BELGA (27 novembre 2008)
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les voix sont une caractéristique typique de la période critique septennale (ici 27 ans et demi à 29 ans environ). délires et hallucinations, apparitions, illuminations diverses... arrivent durant ces périodes là.
Assises
Assises de Toulouse. Dany Tavares condamné à 15 ans pour meurtre
Assises. L'avocat général avait requis 25 années de réclusion pour l'assassinat de Wissem Balti, en février 2006 à Toulouse.
===========
23 ans aujourd'hui c'est la période critique septennale des 21 ans, mais encore... le déclencheur de cette envie de tirer, le mardi 28 février 2006 ? « J'ai voulu faire peur », a affirmé Dany Tavares.
jour critique émotionnel ? car c'est là que çà arrive...
Assises. L'avocat général avait requis 25 années de réclusion pour l'assassinat de Wissem Balti, en février 2006 à Toulouse.
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23 ans aujourd'hui c'est la période critique septennale des 21 ans, mais encore... le déclencheur de cette envie de tirer, le mardi 28 février 2006 ? « J'ai voulu faire peur », a affirmé Dany Tavares.
jour critique émotionnel ? car c'est là que çà arrive...
tueur en série ?
RomandieNews :
Meurtre de Grenoble: l'effarant parcours médical du schizophrène
GRENOBLE - Plus de 150 pièces de procédures, "sept ou huit" agressions à l'arme blanche depuis les années 90: le parcours médical du meurtrier présumé d'un étudiant à Grenoble le 12 novembre, schizophrène, témoigne, pour la partie civile, d'une "dangerosité" similaire à celle "d'un tueur en série".
"Son parcours médical est émaillé d'hospitalisations, de fugues, de sept ou huit agressions", dont deux seulement ont été traitées sur le plan judiciaire, a détaillé lors d'une rencontre avec la presse l'avocat de la famille de l'étudiant, Me Hervé Gerbi, partie civile dans le dossier.
En 1995, quelques semaines avant la première des deux agressions pour lesquelles Guillaud a été déclarée pénalement irresponsable, l'attention des autorités avait été attirée par un médecin sur la "dangerosité potentielle" du schizophrène, a assuré l'avocat.
"Le signal d'alarme tiré auprès de l'ensemble des autorités administratives n'a malheureusement pas produit d'effet", a souligné souligne Me Gerbi.
Pour l'avocat, le comportement de Guillaud est comparable à celui d'un "tueur en série". "On a un mode opératoire assez identique: dès qu'il a la possibilité de sortir et de bénéficier d'un pécule, le réflexe c'est l'achat d'une arme blanche et la tentative d'agression, de façon assez répétée".
............
=========================
la comparaison avec un tueur en série est assez juste ; les tueurs en série ont tendance à passer à l'acte à l'entrée et durant leurs périodes critiques septennales, et/ou leur jour critique émotionnel. ils "démarrent" en général aussi en fonction de leurs pulsions. or c'est dans ces moments là (périodes et/ou jours critiques) que les pulsions surviennent, resurgissent si elles sont enfouies, et sont les plus fortes.
Guillaud semble répondre aux deux conditions : ses agressions correspondent à ses périodes critiques septennales et il a l'air d'être un "acteur du mercredi" (quelqu'un qui passe à l'acte toujours le même jour de la semaine : c'est à vérifier car je n'ai pas suffisamment de données mais celles que j'ai concordent - en général les passages à l'acte ont lieu le jour critique émotionnel, dans ce cas toujours le même jour.)
la prise en compte des périodes critiques et des jours critiques (données que l'on peut établir à l'avance pour toute la vie d'une personne) permettrait de prévenir certains comportements et d'éviter des drames.
Meurtre de Grenoble: l'effarant parcours médical du schizophrène
GRENOBLE - Plus de 150 pièces de procédures, "sept ou huit" agressions à l'arme blanche depuis les années 90: le parcours médical du meurtrier présumé d'un étudiant à Grenoble le 12 novembre, schizophrène, témoigne, pour la partie civile, d'une "dangerosité" similaire à celle "d'un tueur en série".
"Son parcours médical est émaillé d'hospitalisations, de fugues, de sept ou huit agressions", dont deux seulement ont été traitées sur le plan judiciaire, a détaillé lors d'une rencontre avec la presse l'avocat de la famille de l'étudiant, Me Hervé Gerbi, partie civile dans le dossier.
En 1995, quelques semaines avant la première des deux agressions pour lesquelles Guillaud a été déclarée pénalement irresponsable, l'attention des autorités avait été attirée par un médecin sur la "dangerosité potentielle" du schizophrène, a assuré l'avocat.
"Le signal d'alarme tiré auprès de l'ensemble des autorités administratives n'a malheureusement pas produit d'effet", a souligné souligne Me Gerbi.
Pour l'avocat, le comportement de Guillaud est comparable à celui d'un "tueur en série". "On a un mode opératoire assez identique: dès qu'il a la possibilité de sortir et de bénéficier d'un pécule, le réflexe c'est l'achat d'une arme blanche et la tentative d'agression, de façon assez répétée".
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la comparaison avec un tueur en série est assez juste ; les tueurs en série ont tendance à passer à l'acte à l'entrée et durant leurs périodes critiques septennales, et/ou leur jour critique émotionnel. ils "démarrent" en général aussi en fonction de leurs pulsions. or c'est dans ces moments là (périodes et/ou jours critiques) que les pulsions surviennent, resurgissent si elles sont enfouies, et sont les plus fortes.
Guillaud semble répondre aux deux conditions : ses agressions correspondent à ses périodes critiques septennales et il a l'air d'être un "acteur du mercredi" (quelqu'un qui passe à l'acte toujours le même jour de la semaine : c'est à vérifier car je n'ai pas suffisamment de données mais celles que j'ai concordent - en général les passages à l'acte ont lieu le jour critique émotionnel, dans ce cas toujours le même jour.)
la prise en compte des périodes critiques et des jours critiques (données que l'on peut établir à l'avance pour toute la vie d'une personne) permettrait de prévenir certains comportements et d'éviter des drames.
jeudi 27 novembre 2008
suicide
romandie news :
Un homme se suicide dans sa cellule à Aarau
Le physiothérapeute allemand condamné la semaine dernière en Argovie pour le meurtre de son épouse s'est suicidé dans la nuit dans sa cellule. Il laisse une courte lettre d'adieu où il nie avoir étranglé sa femme.
L'homme âgé de 52 ans s'est pendu avec un drap dans la prison Telli à Aarau, ont indiqué les autorités cantonales. Une autopsie a été ordonnée, et une enquête a été ouverte.
Vendredi dernier, au terme d'un procès de huit jours, le Tribunal de district de Rheinfelden a condamné l'accusé à 20 ans de réclusion pour assassinant en se basant sur un faisceau d'indices. L'homme, qui avait toujours clamé son innocence, avait pris connaissance de la sentence en sanglotant.
Le 22 janvier 2006, son épouse, une physiothérapeute allemande de 38 ans, a été retrouvée morte dans la chambre à coucher du couple dans un appartement à Rheinfelden. Elle avait été étranglée. Le mari n'a été arrêté que quatre mois après les faits. L'objet ayant servi à tuer la victime n'a jamais été retrouvé.
(ats / 27 novembre 2008 14:04)
================================
la date de naissance de l'intéressé pourrait nous dire s'il se trouvait dans un jour critique émotionnel. et celle de la victime pourrait aussi nous dire dans quelle état elle se trouvait ce jour là.
un indice déjà... à 52 ans l'intéressé se trouvait probablement dans sa période critique septennale des 49 ans au moment des faits.
il n'est pas impossible alors de changer de personnalité de sorte que l'on est persuadé, que l'on se perduade et que l'on persuade les autres... que l'on est innocent. ce n'est pas nous c'est Mr Hyde... c'est une des particularités de la période critique septennale que l'apparition momentanée de ce personnage...
s'il était réellement innocent ce serait bien sûr grave, mais alors qui a tué son épouse ? avec laquelle il était en sérieux conflit de séparation semble-t-il...
Un homme se suicide dans sa cellule à Aarau
Le physiothérapeute allemand condamné la semaine dernière en Argovie pour le meurtre de son épouse s'est suicidé dans la nuit dans sa cellule. Il laisse une courte lettre d'adieu où il nie avoir étranglé sa femme.
L'homme âgé de 52 ans s'est pendu avec un drap dans la prison Telli à Aarau, ont indiqué les autorités cantonales. Une autopsie a été ordonnée, et une enquête a été ouverte.
Vendredi dernier, au terme d'un procès de huit jours, le Tribunal de district de Rheinfelden a condamné l'accusé à 20 ans de réclusion pour assassinant en se basant sur un faisceau d'indices. L'homme, qui avait toujours clamé son innocence, avait pris connaissance de la sentence en sanglotant.
Le 22 janvier 2006, son épouse, une physiothérapeute allemande de 38 ans, a été retrouvée morte dans la chambre à coucher du couple dans un appartement à Rheinfelden. Elle avait été étranglée. Le mari n'a été arrêté que quatre mois après les faits. L'objet ayant servi à tuer la victime n'a jamais été retrouvé.
(ats / 27 novembre 2008 14:04)
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la date de naissance de l'intéressé pourrait nous dire s'il se trouvait dans un jour critique émotionnel. et celle de la victime pourrait aussi nous dire dans quelle état elle se trouvait ce jour là.
un indice déjà... à 52 ans l'intéressé se trouvait probablement dans sa période critique septennale des 49 ans au moment des faits.
il n'est pas impossible alors de changer de personnalité de sorte que l'on est persuadé, que l'on se perduade et que l'on persuade les autres... que l'on est innocent. ce n'est pas nous c'est Mr Hyde... c'est une des particularités de la période critique septennale que l'apparition momentanée de ce personnage...
s'il était réellement innocent ce serait bien sûr grave, mais alors qui a tué son épouse ? avec laquelle il était en sérieux conflit de séparation semble-t-il...
suicide en direct
20minutes :
Il se suicide en direct à la télé
Mario Ferreyra, le chef de la police argentine qui était recherché pour avoir commis des crimes contre l’humanité sous le régime militaire de 1976 à 1983 s’est donné la mort en direct la semaine dernière.
Mario Ferreyra a mis fin à ses jours en direct. - Une équipe de tournage était venue interviewer l’ex-chef de la police argentine chez lui. Mais lorsque les forces de l’ordre sont venues sur place pour l’appréhender, Mario Ferreyra a préféré se tirer une balle dans la tête plutôt que d’être emprisonné. Ce dernier aurait dit à se femme qu’il l’aimait et qu’il était innocent avant de commettre son geste.
Toute la scène a été retransmise en direct par la station télé argentine. Une séquence de la vidéo a également circulé pendant un moment sur YouTube, avant qu’elle ne soit retirée, à la demande de la justice argentine.
La famille de l’homme affirme que M. Ferreyra s’est ôté la vie dans le but de respecter un pacte de silence qui l’empêchait de témoigner contre d’anciens collègues.
========================
il avait 63 ans et se trouvait par conséquent en pleine période critique septennale. ce sont des comportements qui sont directement liés à la période critique et qui probablement n'ont pas lieu, ou rarement, en dehors de cette période.
la période critique septennale nous libère de nos peurs et de nos inhibitions, et elle nous pousse littéralement à mettre à exécution nos idées même les plus aberrantes.
Il se suicide en direct à la télé
Mario Ferreyra, le chef de la police argentine qui était recherché pour avoir commis des crimes contre l’humanité sous le régime militaire de 1976 à 1983 s’est donné la mort en direct la semaine dernière.
Mario Ferreyra a mis fin à ses jours en direct. - Une équipe de tournage était venue interviewer l’ex-chef de la police argentine chez lui. Mais lorsque les forces de l’ordre sont venues sur place pour l’appréhender, Mario Ferreyra a préféré se tirer une balle dans la tête plutôt que d’être emprisonné. Ce dernier aurait dit à se femme qu’il l’aimait et qu’il était innocent avant de commettre son geste.
Toute la scène a été retransmise en direct par la station télé argentine. Une séquence de la vidéo a également circulé pendant un moment sur YouTube, avant qu’elle ne soit retirée, à la demande de la justice argentine.
La famille de l’homme affirme que M. Ferreyra s’est ôté la vie dans le but de respecter un pacte de silence qui l’empêchait de témoigner contre d’anciens collègues.
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il avait 63 ans et se trouvait par conséquent en pleine période critique septennale. ce sont des comportements qui sont directement liés à la période critique et qui probablement n'ont pas lieu, ou rarement, en dehors de cette période.
la période critique septennale nous libère de nos peurs et de nos inhibitions, et elle nous pousse littéralement à mettre à exécution nos idées même les plus aberrantes.
drame septennal
Yang Jia, le tueur de policiers devenu héros populaire, a été exécuté
" Yang Jia, l'homme qui avait assassiné six policiers de Shanghaï pour se venger d'un tabassage dans leur commissariat, a finalement été exécuté mercredi matin, après la confirmation de sa peine de mort en appel. Issue prévisible à une affaire qui a suscité énormement de réactions en Chine, et une vague de soutien à ce meurtrier d'abord perçu comme la victime d'une injustice.
Sa mort imminente mercredi matin a d'abord été annoncée sur le réseau de micro blogging Twitter, selon Global Voices Online, par une simple phrase en chinois:
"Yang Jia est sur le point de mourir, la vérité n'est toujours pas connue"
La peine de mort pour le meurtrier héros du Web chinois
Yang Jia affirmait avoir été tabassé à tort dans un commissariat de Shanghaï, et, devant l'impossibilité d'ibtenir justice, est retourné dans ce poste de police le 1er juillet dernier, et a tué six policiers à l'arme blanche. Son procès avait été retardé en raison des Jeux Olympiques de Pékin au mois d'août, car une vague de solidarité avec le jeune homme s'était manifestée sur Internet.
Comme le souligne le blogueur "Black and white cat",
"Vous avez un sérieux problème de relations publiques quand tant de gens soutiennent le meurtrier de policiers. Or du début à la fin, la police et la justice ont révélé leur impopularité dans cette affaire"
Un sujet de méditation pour les dirigeants chinois, mais pas de quoi empêcher l'exécution de Yang Jia."
Un article de Pierre Haski.
Source : RUE89.COM (27 novembre 2008
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=28761
==========================
il semble s'agir d'un "coup de folie" de la période critique septennale, l'intéressé se trouvant à 28 ans au moment des faits en plein dans sa période critique...
" Yang Jia, l'homme qui avait assassiné six policiers de Shanghaï pour se venger d'un tabassage dans leur commissariat, a finalement été exécuté mercredi matin, après la confirmation de sa peine de mort en appel. Issue prévisible à une affaire qui a suscité énormement de réactions en Chine, et une vague de soutien à ce meurtrier d'abord perçu comme la victime d'une injustice.
Sa mort imminente mercredi matin a d'abord été annoncée sur le réseau de micro blogging Twitter, selon Global Voices Online, par une simple phrase en chinois:
"Yang Jia est sur le point de mourir, la vérité n'est toujours pas connue"
La peine de mort pour le meurtrier héros du Web chinois
Yang Jia affirmait avoir été tabassé à tort dans un commissariat de Shanghaï, et, devant l'impossibilité d'ibtenir justice, est retourné dans ce poste de police le 1er juillet dernier, et a tué six policiers à l'arme blanche. Son procès avait été retardé en raison des Jeux Olympiques de Pékin au mois d'août, car une vague de solidarité avec le jeune homme s'était manifestée sur Internet.
Comme le souligne le blogueur "Black and white cat",
"Vous avez un sérieux problème de relations publiques quand tant de gens soutiennent le meurtrier de policiers. Or du début à la fin, la police et la justice ont révélé leur impopularité dans cette affaire"
Un sujet de méditation pour les dirigeants chinois, mais pas de quoi empêcher l'exécution de Yang Jia."
Un article de Pierre Haski.
Source : RUE89.COM (27 novembre 2008
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=28761
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il semble s'agir d'un "coup de folie" de la période critique septennale, l'intéressé se trouvant à 28 ans au moment des faits en plein dans sa période critique...
Britney
encore un peu de pipole, avec pipole.net :
Britney Spears : La raison de sa grave dépression
Beaucoup de temps libre est l’une des raisons pour lesquelles, Britney Spears est tombée dans une grave de dépression en fin de l’année passée, d’après son manager Larry Rudolph.
Celui-ci - dans le cadre d’un entretien accordé au magazine Los Angeles Times, confie que Britney Spears a perdu pied à cause de son oisiveté.
‘Durant plusieurs mois, elle n’avait rien à faire. elle avait beaucoup de temps libre et ne savait pas comment le gérer’, confie Larry Rudolph qui collabore avec Britney Spears depuis près de 14 ans. ‘C’est une fille qui aime travailler, et à certains égards, elle est définie par sa carrière. Déterminer ou va sa carrière est une grande partie d’elle-même’, dit- il en ajoutant que la chanteuse - actuellement en Allemagne - a désormais fait le point sur sa vie et elle sait où elle se dirige.
========================
Britney Jean Spears est née le 2 décembre 1981.
sa dépression de la fin de l'année dernière est alors, je le pense, liée à la période pré-anniversaire (les quatre semaines qui précèdent peuvent donner lieu à de sérieuses dépressions, selon les personnes et selon leur état aussi, bien entendu...)
Britney a intérêt à s'armer dès à présent : elle entre, au mois de juin prochain dans sa période critique septennale des 28 ans... çà peut être une période tourmentée... (on entre dans cette période en général six mois avant l'anniversaire septennal).
son jour critique émotionnel est le mercredi... alors surtout attention aux idées noires ce jour là, et ce dès le mardi soir.
Britney Spears : La raison de sa grave dépression
Beaucoup de temps libre est l’une des raisons pour lesquelles, Britney Spears est tombée dans une grave de dépression en fin de l’année passée, d’après son manager Larry Rudolph.
Celui-ci - dans le cadre d’un entretien accordé au magazine Los Angeles Times, confie que Britney Spears a perdu pied à cause de son oisiveté.
‘Durant plusieurs mois, elle n’avait rien à faire. elle avait beaucoup de temps libre et ne savait pas comment le gérer’, confie Larry Rudolph qui collabore avec Britney Spears depuis près de 14 ans. ‘C’est une fille qui aime travailler, et à certains égards, elle est définie par sa carrière. Déterminer ou va sa carrière est une grande partie d’elle-même’, dit- il en ajoutant que la chanteuse - actuellement en Allemagne - a désormais fait le point sur sa vie et elle sait où elle se dirige.
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Britney Jean Spears est née le 2 décembre 1981.
sa dépression de la fin de l'année dernière est alors, je le pense, liée à la période pré-anniversaire (les quatre semaines qui précèdent peuvent donner lieu à de sérieuses dépressions, selon les personnes et selon leur état aussi, bien entendu...)
Britney a intérêt à s'armer dès à présent : elle entre, au mois de juin prochain dans sa période critique septennale des 28 ans... çà peut être une période tourmentée... (on entre dans cette période en général six mois avant l'anniversaire septennal).
son jour critique émotionnel est le mercredi... alors surtout attention aux idées noires ce jour là, et ce dès le mardi soir.
sordide
ouestfrance.fr :
Saône-et-Loire: un homme de 35 ans avoue avoir tué et découpé sa mère
Un homme de 35 ans a avoué avoir tué sa mère de 61 ans et découpé son corps, mercredi lors de sa garde à vue, a affirmé Pierre Denier, procureur de la République de Chalon-sur-Saône, lors d'une conférence de presse. Le cadavre de la victime, mutilé et en état de décomposition avancée, avait été découvert mardi soir dans la cave de la maison familiale à Montceau-les-Mines (Saône-et-Loire). Les policiers, alertés par des voisins inquiets de la disparition de la sexagénaire et de l'odeur suspecte qui se dégageait de la maison, ont retrouvé les restes du corps éparpillés dans quatre sacs en plastique. Selon le procureur, le fils aurait expliqué avoir tué sa mère à l'arme blanche, "fin mai ou début juin" 2008 et avoir découpé son corps "le lendemain, avec une scie égoïne achetée le jour même". Selon les dires du gardé à vue, le mobile serait "un différent (avec sa mère) au sujet de la garde de son propre fils" de 14 ans, qui lui a été retirée en raison de son incapacité à gérer son éducation.
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les faits divers particulièrement macabres sont souvent liés à la période critique septennale : ici cela semble également être le cas...
Saône-et-Loire: un homme de 35 ans avoue avoir tué et découpé sa mère
Un homme de 35 ans a avoué avoir tué sa mère de 61 ans et découpé son corps, mercredi lors de sa garde à vue, a affirmé Pierre Denier, procureur de la République de Chalon-sur-Saône, lors d'une conférence de presse. Le cadavre de la victime, mutilé et en état de décomposition avancée, avait été découvert mardi soir dans la cave de la maison familiale à Montceau-les-Mines (Saône-et-Loire). Les policiers, alertés par des voisins inquiets de la disparition de la sexagénaire et de l'odeur suspecte qui se dégageait de la maison, ont retrouvé les restes du corps éparpillés dans quatre sacs en plastique. Selon le procureur, le fils aurait expliqué avoir tué sa mère à l'arme blanche, "fin mai ou début juin" 2008 et avoir découpé son corps "le lendemain, avec une scie égoïne achetée le jour même". Selon les dires du gardé à vue, le mobile serait "un différent (avec sa mère) au sujet de la garde de son propre fils" de 14 ans, qui lui a été retirée en raison de son incapacité à gérer son éducation.
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les faits divers particulièrement macabres sont souvent liés à la période critique septennale : ici cela semble également être le cas...
moche
Un bébé retrouvé mort, narines et gorge bouchées dans une poubelle d'un fast-food près d'Epinal
" Une femme de 28 ans a été placée en garde à vue dimanche soir après la découverte dans la poubelle d'un fast-food de la banlieue d'Epinal du corps sans vie d'un nouveau-né, a-t-on appris mardi de source judiciaire.
La jeune femme, divorcée et mère de trois enfants, avait été hospitalisée après un malaise accompagné de saignements dans les toilettes du fast-food de Golbey (Vosges) où elle travaillait. Les médecins ont rapidement diagnostiqué une hémorragie après un accouchement très récent.
C'est sur les indications de la jeune femme que le corps sans vie du nouveau-né, un garçon, a été retrouvé peu après dans une poubelle du restaurant, les narines et la gorge bouchées avec du papier toilette, selon une source judiciaire.
Une autopsie était en cours mardi pour déterminer les circonstances exactes du décès, tandis que la jeune femme était placée en garde à vue à l'hôpital Jean Monnet d'Epinal. Ses collègues de travail ignoraient qu'elle était enceinte, selon une source proche de l'enquête. "
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=28750
===========================
aurait-elle fait pareil si elle n'avait pas été en pleine période critique septennale ?
autre scénario, quasiment identique :
Encore un bébé retrouvé mort
Le corps d'un nouveau-né a été découvert hier vers 22h30 dans la maison de sa mère, rue d'Herchies à Baudour, par le compagnon de cette jeune femme de 29 ans. L'enfant était enfermé dans un sac déposé dans un seau.
La maman, déjà mère d'une petite fille de 8 ans, vit seule dans un appartement. C'est son compagnon actuel qui a donné l'alerte dimanche soir après avoir retrouvé le cadavre du nouveau-né.
La maman a été interpellée pour tenter de déterminer les circonstances exactes du drame. Son accouchement aurait eu lieu en début d'année, selon les quotidiens du groupe Sud Presse qui révèlent l'horrible nouvelle ce lundi.
" Une femme de 28 ans a été placée en garde à vue dimanche soir après la découverte dans la poubelle d'un fast-food de la banlieue d'Epinal du corps sans vie d'un nouveau-né, a-t-on appris mardi de source judiciaire.
La jeune femme, divorcée et mère de trois enfants, avait été hospitalisée après un malaise accompagné de saignements dans les toilettes du fast-food de Golbey (Vosges) où elle travaillait. Les médecins ont rapidement diagnostiqué une hémorragie après un accouchement très récent.
C'est sur les indications de la jeune femme que le corps sans vie du nouveau-né, un garçon, a été retrouvé peu après dans une poubelle du restaurant, les narines et la gorge bouchées avec du papier toilette, selon une source judiciaire.
Une autopsie était en cours mardi pour déterminer les circonstances exactes du décès, tandis que la jeune femme était placée en garde à vue à l'hôpital Jean Monnet d'Epinal. Ses collègues de travail ignoraient qu'elle était enceinte, selon une source proche de l'enquête. "
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=28750
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aurait-elle fait pareil si elle n'avait pas été en pleine période critique septennale ?
autre scénario, quasiment identique :
Encore un bébé retrouvé mort
Le corps d'un nouveau-né a été découvert hier vers 22h30 dans la maison de sa mère, rue d'Herchies à Baudour, par le compagnon de cette jeune femme de 29 ans. L'enfant était enfermé dans un sac déposé dans un seau.
La maman, déjà mère d'une petite fille de 8 ans, vit seule dans un appartement. C'est son compagnon actuel qui a donné l'alerte dimanche soir après avoir retrouvé le cadavre du nouveau-né.
La maman a été interpellée pour tenter de déterminer les circonstances exactes du drame. Son accouchement aurait eu lieu en début d'année, selon les quotidiens du groupe Sud Presse qui révèlent l'horrible nouvelle ce lundi.
électrocuté
Un ouvrier meurt électrocuté par une ligne de 20 000 volts
Le Progrès - Lyon,France
Il était midi trente quand le drame s’est produit sur le chantier d’un lotissement de vingt-sept logements en construction sur la route de Cuisery à ...
========================
l'ouvrier a été électrocuté lorsque la benne qu'il faisait monter en-dessous de la ligne a fait un arc électrique. accident.
mais lorsque je lis que l'intéressé a 35 ans je me pose des questions : le séjour en période critique a-t-il pu atténuer son instinct de prudence, ou alors il suffit qu'il ait des soucis ou de simples préoccupations personnels (ce qui n'est pas à exclure puisque en période critique septennale). il faudrait d'ailleurs aussi vérifier sa situation du jour : les jours critiques (physiques ou émotionnels) sont de typiques jours à accident. le premier on est fatigué et dans la lune... et le second on est distrait, mélancolique ou de mauvaise humeur... çà peut ne pas pardonner si on travaille dans une situation à risque.
et en tenir compte permet d'éviter le drame.
Le Progrès - Lyon,France
Il était midi trente quand le drame s’est produit sur le chantier d’un lotissement de vingt-sept logements en construction sur la route de Cuisery à ...
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l'ouvrier a été électrocuté lorsque la benne qu'il faisait monter en-dessous de la ligne a fait un arc électrique. accident.
mais lorsque je lis que l'intéressé a 35 ans je me pose des questions : le séjour en période critique a-t-il pu atténuer son instinct de prudence, ou alors il suffit qu'il ait des soucis ou de simples préoccupations personnels (ce qui n'est pas à exclure puisque en période critique septennale). il faudrait d'ailleurs aussi vérifier sa situation du jour : les jours critiques (physiques ou émotionnels) sont de typiques jours à accident. le premier on est fatigué et dans la lune... et le second on est distrait, mélancolique ou de mauvaise humeur... çà peut ne pas pardonner si on travaille dans une situation à risque.
et en tenir compte permet d'éviter le drame.
mercredi 26 novembre 2008
décidément les idées septennales...
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=28749
Un Japonais verse des coléoptères dans le train pour faire peur aux femmes
" Un Japonais a déversé des centaines de coléoptères dans un train pour "effrayer les femmes", selon ses dires, a annoncé la police mardi.
Manabu Mizuta, 35 ans, a été arrêté lundi dans un train de la banlieue d'Osaka (centre-ouest). "Il se dirigeait vers les femmes du train, n'importe lesquelles, et déversait des boîtes remplies de coléoptères", a expliqué un porte-parole de la police locale. Les insectes étaient des ténébrions meuniers, aussi appelés "vers de farine", une famille de coléoptère dont les spécimens adultes sont de couleur brun-noir et peuvent atteindre 1,5 cm de long.
"Après son arrestation, le suspect a déclaré avoir voulu effrayer les femmes et voir leurs jambes flageoler", a ajouté le porte-parole.
La police locale était sur le pied de guerre après que l'entreprise gérant la ligne de train a signalé 18 autres cas de déversements d'insectes en un mois.
"Lorsqu'il a été appréhendé, il avait presque entièrement vidé une boîte de 200 coléoptères", a expliqué le porte-parole, reconnaissant que la police n'avait "pas compté les insectes en détail, car ils étaient trop nombreux".
Dans son sac à dos, Manabu Mizuta gardait dix autres boîtes contenant au total quelque 3.600 coléoptères, prêts à être libérés dans la rame. En dépit de l'arrestation et du nettoyage du wagon, le train n'a eu que deux minutes 30 secondes de retard, a précisé la police. "
Source : BELGA/CB 25 novembre 2008
Un Japonais verse des coléoptères dans le train pour faire peur aux femmes
" Un Japonais a déversé des centaines de coléoptères dans un train pour "effrayer les femmes", selon ses dires, a annoncé la police mardi.
Manabu Mizuta, 35 ans, a été arrêté lundi dans un train de la banlieue d'Osaka (centre-ouest). "Il se dirigeait vers les femmes du train, n'importe lesquelles, et déversait des boîtes remplies de coléoptères", a expliqué un porte-parole de la police locale. Les insectes étaient des ténébrions meuniers, aussi appelés "vers de farine", une famille de coléoptère dont les spécimens adultes sont de couleur brun-noir et peuvent atteindre 1,5 cm de long.
"Après son arrestation, le suspect a déclaré avoir voulu effrayer les femmes et voir leurs jambes flageoler", a ajouté le porte-parole.
La police locale était sur le pied de guerre après que l'entreprise gérant la ligne de train a signalé 18 autres cas de déversements d'insectes en un mois.
"Lorsqu'il a été appréhendé, il avait presque entièrement vidé une boîte de 200 coléoptères", a expliqué le porte-parole, reconnaissant que la police n'avait "pas compté les insectes en détail, car ils étaient trop nombreux".
Dans son sac à dos, Manabu Mizuta gardait dix autres boîtes contenant au total quelque 3.600 coléoptères, prêts à être libérés dans la rame. En dépit de l'arrestation et du nettoyage du wagon, le train n'a eu que deux minutes 30 secondes de retard, a précisé la police. "
Source : BELGA/CB 25 novembre 2008
Ugly
ActuaLitté.com :
http://www.actualitte.com/actualite/6189-diffamation-mere-fille-matraitance-sevices.htm
Les maltraitances de ma mère m'ont conduite au suicide
En Angleterre, suite à son livre, une avocate britannique doit témoigner contre sa mère.
Constance Briscoe, âgée de 51 ans, a été l'une des premières femmes noires à devenir juge au Royaume-Uni. Aujourd'hui, elle est poursuivie en diffamation par sa propre mère, 74 ans, qui conteste le portrait que l'on fait d'elle dans le livre publié en 2006, et vendu à 400.000 exemplaires dans le pays, intutlé Ugly.
Négligences, cruauté, sévices corporels - obligation de garder des draps dans lesquels Constance, enfant, avait uriné une nuit et d'y dormir la suivante... ainsi que de nombreuses cicatrices ou insultes, telles que Miss Pisse-au-lit, ou Sale petite pute : en clair, tout ce qu'une mère aimante peut dire à sa fille.
=====================
le livre semble avoir été écrit à l'entrée de la période critique septennale des 49 ans... alors faut voir... on peut avoir tendance à exagérer parfois, durant cette période de toutes les drôles d'idées... mais bien sûr, elle peut dire vrai aussi... la tentative de suicide - si c'est comme je l'ai lu à 14 ans, peut aussi avoir un lien avec la période critique septennale de l'époque...
http://www.actualitte.com/actualite/6189-diffamation-mere-fille-matraitance-sevices.htm
Les maltraitances de ma mère m'ont conduite au suicide
En Angleterre, suite à son livre, une avocate britannique doit témoigner contre sa mère.
Constance Briscoe, âgée de 51 ans, a été l'une des premières femmes noires à devenir juge au Royaume-Uni. Aujourd'hui, elle est poursuivie en diffamation par sa propre mère, 74 ans, qui conteste le portrait que l'on fait d'elle dans le livre publié en 2006, et vendu à 400.000 exemplaires dans le pays, intutlé Ugly.
Négligences, cruauté, sévices corporels - obligation de garder des draps dans lesquels Constance, enfant, avait uriné une nuit et d'y dormir la suivante... ainsi que de nombreuses cicatrices ou insultes, telles que Miss Pisse-au-lit, ou Sale petite pute : en clair, tout ce qu'une mère aimante peut dire à sa fille.
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le livre semble avoir été écrit à l'entrée de la période critique septennale des 49 ans... alors faut voir... on peut avoir tendance à exagérer parfois, durant cette période de toutes les drôles d'idées... mais bien sûr, elle peut dire vrai aussi... la tentative de suicide - si c'est comme je l'ai lu à 14 ans, peut aussi avoir un lien avec la période critique septennale de l'époque...
mort
L'Union-L'Ardennais :
Folembray
Un homme retrouvé mort dans son lit
Lundi, un jeune homme a été retrouvé mort dans son lit et aucune trace de violence constatée. Pour comprendre, les circonstances dans lesquelles la mort est survenue, une autopsie a été ordonnée par le parquet de Laon.
Macabre découverte dans la nuit de dimanche à lundi. Il est 3 heures du matin, lorsqu'une femme de 25 ans appelle les secours. Son compagnon, Jérôme C. allongé dans le lit, semble mort. Malgré l'arrivée rapide des sapeurs-pompiers et du médecin du SMUR, il est déjà trop tard.
Les secours n'arrivent pas à ramener ce jeune homme de 27 ans à la vie. Des gendarmes de la brigade de Coucy-le Château se sont rendus au 3 rue Marcel-Maillard, la jeune femme sous le choc a expliqué que son compagnon avait bu plus que de raison la veille et aurait consommé un peu de drogue douce.
Le parquet de Laon a ordonné une autopsie qui devrait être pratiquée prochainement à l'institut médico-légal de Saint-Quentin. Les gendarmes et la justice s'interrogent notamment sur le fait qu'un jeune homme, sans problème connu de santé, ait pu trouver la mort après une simple nuit d'ivresse.
En l'état actuel de l'enquête, la piste criminelle n'est donc pas plus privilégiée qu'une autre, l'examen externe du corps n'ayant montré aucune trace de violence. « Il s'agit de fermer toutes les portes », poursuit un proche du dossier et, « de donner les causes exactes de la mort à la famille du défunt. »
Dans la commune de Folembray, la nouvelle du décès du jeune homme a
provoqué l'émoi. « C'était un homme, un couple sans histoire », lâche le maire, Denis Cordier.
Aurélie Beaussart
=====================
27 ans est l'entrée dans la période critique septennale : c'est le moment des excès (overdose ?) des suicides ? mais çà peut aussi être un accident (jour critique physique ? ce jour là un excès peut être fatal)...
Folembray
Un homme retrouvé mort dans son lit
Lundi, un jeune homme a été retrouvé mort dans son lit et aucune trace de violence constatée. Pour comprendre, les circonstances dans lesquelles la mort est survenue, une autopsie a été ordonnée par le parquet de Laon.
Macabre découverte dans la nuit de dimanche à lundi. Il est 3 heures du matin, lorsqu'une femme de 25 ans appelle les secours. Son compagnon, Jérôme C. allongé dans le lit, semble mort. Malgré l'arrivée rapide des sapeurs-pompiers et du médecin du SMUR, il est déjà trop tard.
Les secours n'arrivent pas à ramener ce jeune homme de 27 ans à la vie. Des gendarmes de la brigade de Coucy-le Château se sont rendus au 3 rue Marcel-Maillard, la jeune femme sous le choc a expliqué que son compagnon avait bu plus que de raison la veille et aurait consommé un peu de drogue douce.
Le parquet de Laon a ordonné une autopsie qui devrait être pratiquée prochainement à l'institut médico-légal de Saint-Quentin. Les gendarmes et la justice s'interrogent notamment sur le fait qu'un jeune homme, sans problème connu de santé, ait pu trouver la mort après une simple nuit d'ivresse.
En l'état actuel de l'enquête, la piste criminelle n'est donc pas plus privilégiée qu'une autre, l'examen externe du corps n'ayant montré aucune trace de violence. « Il s'agit de fermer toutes les portes », poursuit un proche du dossier et, « de donner les causes exactes de la mort à la famille du défunt. »
Dans la commune de Folembray, la nouvelle du décès du jeune homme a
provoqué l'émoi. « C'était un homme, un couple sans histoire », lâche le maire, Denis Cordier.
Aurélie Beaussart
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27 ans est l'entrée dans la période critique septennale : c'est le moment des excès (overdose ?) des suicides ? mais çà peut aussi être un accident (jour critique physique ? ce jour là un excès peut être fatal)...
agression
CanoeInfos :
Métro
L'agresseur accusé de tentative de meurtre
Vincent Larouche
Le Journal de Montréal
25/11/2008 08h02
L'homme recherché pour avoir coupé à la gorge un musicien du métro en pleine heure de pointe vendredi à Laval a été arrêté dimanche en début de soirée alors qu'il flânait à la station de métro Berri-UQAM.
Jean-François Morissette, 35 ans, a été accusé de tentative de meurtre, hier, au palais de justice de Laval.
...................................
==================================
aïe encore un "mauvais état septennal"... apparemment...
Métro
L'agresseur accusé de tentative de meurtre
Vincent Larouche
Le Journal de Montréal
25/11/2008 08h02
L'homme recherché pour avoir coupé à la gorge un musicien du métro en pleine heure de pointe vendredi à Laval a été arrêté dimanche en début de soirée alors qu'il flânait à la station de métro Berri-UQAM.
Jean-François Morissette, 35 ans, a été accusé de tentative de meurtre, hier, au palais de justice de Laval.
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aïe encore un "mauvais état septennal"... apparemment...
mardi 25 novembre 2008
idée septennale
LaPresseCanadienne :
Un homme que l'on croyait s'être suicidé il y a deux ans a été arrêté
SAINT-JEAN, T.-N.-L. — Un homme que l'on croyait mort il y a deux ans après avoir laissé une lettre de suicide dans sa camionnette a été arrêté à Terre-Neuve-et-Labrador sous un nom d'emprunt.
Bruce Leyte avait été vu pour la dernière fois le 18 août 2006, au moment où les autorités policières menaient une enquête concernant une fraude. Sa camionnette a été retrouvée un peu plus tard cette journée-là, abandonnée, et avec une lettre à l'intérieur expliquant qu'il avait décidé de mettre fin à ses jours.
En juin 2006, Leyte avait été condamné à payer une amende de 60 000 $ après avoir été reconnu coupable de fraude fiscale. Le juge lui avait accordé un délai de 60 mois pour payer l'amende, mais l'homme est disparu deux mois plus tard.
Un agent de la Force constabulaire royale de Terre-Neuve a expliqué qu'un lecteur avait contacté la police après avoir lu un article portant sur la disparition de Leyte.
La police a été en mesure de procéder à l'arrestation de Leyte, dimanche matin à Saint-Jean. L'homme, âgé de 57 ans, a ensuite comparu en cour pour faire face à une accusation de fraude de plus de 5000 $.
La police a indiqué que Leyte a été transféré lundi et qu'il reviendra en cour ce mardi pour une possible libération sous caution.
============================
les idées qui fleurissent à l'occasion d'une période critique septennale sont nombreuses et très diverses... comme celle-ci que l'intéressé a eue à 55 ans en entrant dans sa période critique des 56 ans : certaines ces idées fonctionnent, mais souvent elles sont un peu grosses" et "ne marchent pas" ou pas longtemps...
Un homme que l'on croyait s'être suicidé il y a deux ans a été arrêté
SAINT-JEAN, T.-N.-L. — Un homme que l'on croyait mort il y a deux ans après avoir laissé une lettre de suicide dans sa camionnette a été arrêté à Terre-Neuve-et-Labrador sous un nom d'emprunt.
Bruce Leyte avait été vu pour la dernière fois le 18 août 2006, au moment où les autorités policières menaient une enquête concernant une fraude. Sa camionnette a été retrouvée un peu plus tard cette journée-là, abandonnée, et avec une lettre à l'intérieur expliquant qu'il avait décidé de mettre fin à ses jours.
En juin 2006, Leyte avait été condamné à payer une amende de 60 000 $ après avoir été reconnu coupable de fraude fiscale. Le juge lui avait accordé un délai de 60 mois pour payer l'amende, mais l'homme est disparu deux mois plus tard.
Un agent de la Force constabulaire royale de Terre-Neuve a expliqué qu'un lecteur avait contacté la police après avoir lu un article portant sur la disparition de Leyte.
La police a été en mesure de procéder à l'arrestation de Leyte, dimanche matin à Saint-Jean. L'homme, âgé de 57 ans, a ensuite comparu en cour pour faire face à une accusation de fraude de plus de 5000 $.
La police a indiqué que Leyte a été transféré lundi et qu'il reviendra en cour ce mardi pour une possible libération sous caution.
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les idées qui fleurissent à l'occasion d'une période critique septennale sont nombreuses et très diverses... comme celle-ci que l'intéressé a eue à 55 ans en entrant dans sa période critique des 56 ans : certaines ces idées fonctionnent, mais souvent elles sont un peu grosses" et "ne marchent pas" ou pas longtemps...
maladies de l'esprit et périodes critiques
Contre les maladies de l'esprit, l'esprit de famille
mardi 25.11.2008, 05:12 - La Voix du Nord
Depuis deux ans, Dominique, 51 ans, patiente de l'Unité de soins de l'anxiété et de la dépression, vit aux côtés de la famille Robinet, famille d'accueil thérapeutique. À l'occasion des dix ans de l'unité cambrésienne, histoire d'une rencontre entre des personnes que tout oppose, mais qui mène à la guérison.
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Cambrai/actualite/Cambrai/2008/11/25/article_contre-les-maladies-de-l-esprit-l-esprit.shtml
============================
l'article parle de lui-même : Dominique a 51 ans et c'est depuis deux ans qu'elle a été accueillie par une famille. à présent elle va mieux. on peut aussi traduire comme je le fais : à 49 ans on sombre dans une dépression de la période critique septennale... dont on ressort doucement une fois la période critique passée...
mardi 25.11.2008, 05:12 - La Voix du Nord
Depuis deux ans, Dominique, 51 ans, patiente de l'Unité de soins de l'anxiété et de la dépression, vit aux côtés de la famille Robinet, famille d'accueil thérapeutique. À l'occasion des dix ans de l'unité cambrésienne, histoire d'une rencontre entre des personnes que tout oppose, mais qui mène à la guérison.
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Cambrai/actualite/Cambrai/2008/11/25/article_contre-les-maladies-de-l-esprit-l-esprit.shtml
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l'article parle de lui-même : Dominique a 51 ans et c'est depuis deux ans qu'elle a été accueillie par une famille. à présent elle va mieux. on peut aussi traduire comme je le fais : à 49 ans on sombre dans une dépression de la période critique septennale... dont on ressort doucement une fois la période critique passée...
récidive septennale... et de jour critique émotionnel ?
LeTélégramme.com :
Assises. Un incendie peut cacher un meurtre
Le procès de la gardienne d’immeuble accusée des meurtres de deux femmes, commis à Lorient en 1998 et en 2005, s’est ouvert hier, devant la cour d’assises du Morbihan. La quinquagénaire encourt la réclusion criminelle à perpétuité. Le verdict est attendu vendredi.
Petite, le cheveu court et gris, elle se présente comme conseillère de santé. Mais c’est son métier de concierge qui lui a fait rencontrer ses deux victimes. Toutes deux ont habité dans la résidence Le Concorde, à Lorient. Et ont noué des relations privilégiées avec la gardienne de l’immeuble. L’une puis l’autre ont succombé aux coups portés par Françoise Dronet. « Je reconnais avoir commis ces deux actes criminels », avoue la quinquagénaire.
« Maquillé en un crime de rôdeur »
Hier, la cour d’assises a évoqué le premier meurtre, commis en juin 1998, mais révélé en octobre 2005, après le second homicide. Le 15 juin, vers 6 h 15, la concierge alerte les pompiers pour une odeur suspecte de fumée. Le feu est localisé dans un appartement du 5 e étage. Et les secours découvrent le corps sans vie d’une femme âgée de 86 ans dans la salle de bain de son appartement, en partie endommagé par l’incendie. Trois bouteilles d’alcool à brûler vides sont retrouvées. L’examen médico-légal exclut l’intervention d’une tierce personne.
Et la police conclut à un suicide. Trop rapidement, selon le fils de la défunte, intrigué par la disparition d’un diamant de 2,50 carats et d’un vase de cristal de grande valeur. Sans son obstination, cette mort, suspecte à ses yeux, aurait été classée sans suite. « J’ai tout fait pour que l’on me confonde. Si je n’avais pas eu peur ne plus être aimée de mes enfants, j’aurais dit la vérité », affirme-t-elle aujourd’hui. Pourtant, après les faits, elle a préféré maquiller « sa monstruosité » en un crime de rôdeur.
« J’ai du mal à admettre cette horreur »
« Il y a des gens qui attendent depuis des années la vérité », lui rappelle la présidente Patricia Grange-Pitel, tout en l’invitant à s’expliquer sur son geste. « J’ai ressenti une rage énorme de prédateur. J’ai tellement de mal à admettre cette horreur », confie l’accusée qui poursuit son récit, ponctué de sanglots. « Je ne sais plus si c’était le mercredi ou le jeudi. Ce que je sais, c’est que je me suis réveillée à côté d’elle. Elle était morte. Je sais que c’est moi qui l’ai tuée. Mais je ne me souviens plus si je l’ai poussée ou frappée. Je l’ai ensuite traînée dans la salle de bain. Je suis restée des heures à côté d’elle ». Puis elle regagne son logement. Durant trois jours, elle multiplie les allers-retours dans l’appartement de sa victime. « À chaque fois, je sonnais à la porte. J’espérais que c’était un cauchemar et qu’elle m’ouvrirait la porte ». Et dans la nuit du dimanche au lundi, elle décide de faire cesser son cauchemar et met le feu à l’appartement. « Pour masquer mon crime ».
Le diamant revendu à Paris
Si ses aveux jettent une lumière crue sur les circonstances du drame, ses motivations restent obscures et confuses. Elle prétend qu’elle s’est disputée avec l’octogénaire au sujet d’un conflit familial. Selon la concierge, la dame âgée haïssait sa belle-fille et souhaitait financer un ensorcellement pour s’en débarrasser ! « J’aurais mieux fait de passer pour une folle et prévenir son fils », déclare-t-elle. Alors, pourquoi a-t-elle volé et utilisé la carte bancaire de la victime après son décès, puis revendu le diamant chez un bijoutier, à Paris ? « Je voulais faire passer le meurtre pour un acte crapuleux », indique-t-elle avant d’admettre : « J’ai toujours été en difficulté financière depuis que je vis seule avec mes enfants ».
Patrick Hernot
====================
la personne, qui a 52 ans, se trouvait dans sa période critique septennale des 49 ans en 2005 et celle des 42 ans en 1998. cela permet de mieux comprendre l'ambiance du moment et ce qui a pu lui passer par la tête : en période critique septennale notre Mr Hyde peut se manifester et prendre le dessus. La rage de prédateur c'est exactement çà : notamment si on y rajoute le passage à l'acte le jour critique émotionnel, comme cela a l'air d'être le cas ici.
Le "suicide" de la victime aurait quant à lui pu être "vérifié" avec jour critique ou période critique : cela permet d'avoir une première idée s'il y a eu suicide ou non - sans certitude bien sûr, mais une idée quand même, puisque l'on se suicide de préférence un jour critique émotionnel et une période critique septennale. à 86 ans il n'y avait par exemple pas période critique septennale. le jour critique émotionnel se vérifie au moyen de la date de naissance.
ensuite juin 1998 et octobre 2005, les crimes semblent bien avoir été commis le même jour... je n'ai pas les dates exactes mais cela pourrait être le cas puisque l'on a tendance à passer à l'acte son jour critique émotionnel... jour Hyde.
mercredi 10 ou jeudi 11 juin 1998, dit-elle, elle ne sait plus ?
ben le 6 octobre 2005 c'est un jeudi aussi... donc c'était probablement jeudi ou mercredi soir (le jcé démarre la veille au soir)...
et jeudi est probablement son jour critique émotionnel.
il suffit de vérifier si Françoise Dronet est née est née un jeudi...
autre illustration intéressante lorsque l'intéressée dit "Durant trois jours, elle multiplie les allers-retours dans l’appartement de sa victime. « À chaque fois, je sonnais à la porte. J’espérais que c’était un cauchemar et qu’elle m’ouvrirait la porte »."
cela explique assez bien le passage à l'acte dans un jour critique émotionnel : on se réveille le lendemain de ce qui est une sorte d'état second, et l'on aimerait bien que çà n'ait pas été vrai...
Assises. Un incendie peut cacher un meurtre
Le procès de la gardienne d’immeuble accusée des meurtres de deux femmes, commis à Lorient en 1998 et en 2005, s’est ouvert hier, devant la cour d’assises du Morbihan. La quinquagénaire encourt la réclusion criminelle à perpétuité. Le verdict est attendu vendredi.
Petite, le cheveu court et gris, elle se présente comme conseillère de santé. Mais c’est son métier de concierge qui lui a fait rencontrer ses deux victimes. Toutes deux ont habité dans la résidence Le Concorde, à Lorient. Et ont noué des relations privilégiées avec la gardienne de l’immeuble. L’une puis l’autre ont succombé aux coups portés par Françoise Dronet. « Je reconnais avoir commis ces deux actes criminels », avoue la quinquagénaire.
« Maquillé en un crime de rôdeur »
Hier, la cour d’assises a évoqué le premier meurtre, commis en juin 1998, mais révélé en octobre 2005, après le second homicide. Le 15 juin, vers 6 h 15, la concierge alerte les pompiers pour une odeur suspecte de fumée. Le feu est localisé dans un appartement du 5 e étage. Et les secours découvrent le corps sans vie d’une femme âgée de 86 ans dans la salle de bain de son appartement, en partie endommagé par l’incendie. Trois bouteilles d’alcool à brûler vides sont retrouvées. L’examen médico-légal exclut l’intervention d’une tierce personne.
Et la police conclut à un suicide. Trop rapidement, selon le fils de la défunte, intrigué par la disparition d’un diamant de 2,50 carats et d’un vase de cristal de grande valeur. Sans son obstination, cette mort, suspecte à ses yeux, aurait été classée sans suite. « J’ai tout fait pour que l’on me confonde. Si je n’avais pas eu peur ne plus être aimée de mes enfants, j’aurais dit la vérité », affirme-t-elle aujourd’hui. Pourtant, après les faits, elle a préféré maquiller « sa monstruosité » en un crime de rôdeur.
« J’ai du mal à admettre cette horreur »
« Il y a des gens qui attendent depuis des années la vérité », lui rappelle la présidente Patricia Grange-Pitel, tout en l’invitant à s’expliquer sur son geste. « J’ai ressenti une rage énorme de prédateur. J’ai tellement de mal à admettre cette horreur », confie l’accusée qui poursuit son récit, ponctué de sanglots. « Je ne sais plus si c’était le mercredi ou le jeudi. Ce que je sais, c’est que je me suis réveillée à côté d’elle. Elle était morte. Je sais que c’est moi qui l’ai tuée. Mais je ne me souviens plus si je l’ai poussée ou frappée. Je l’ai ensuite traînée dans la salle de bain. Je suis restée des heures à côté d’elle ». Puis elle regagne son logement. Durant trois jours, elle multiplie les allers-retours dans l’appartement de sa victime. « À chaque fois, je sonnais à la porte. J’espérais que c’était un cauchemar et qu’elle m’ouvrirait la porte ». Et dans la nuit du dimanche au lundi, elle décide de faire cesser son cauchemar et met le feu à l’appartement. « Pour masquer mon crime ».
Le diamant revendu à Paris
Si ses aveux jettent une lumière crue sur les circonstances du drame, ses motivations restent obscures et confuses. Elle prétend qu’elle s’est disputée avec l’octogénaire au sujet d’un conflit familial. Selon la concierge, la dame âgée haïssait sa belle-fille et souhaitait financer un ensorcellement pour s’en débarrasser ! « J’aurais mieux fait de passer pour une folle et prévenir son fils », déclare-t-elle. Alors, pourquoi a-t-elle volé et utilisé la carte bancaire de la victime après son décès, puis revendu le diamant chez un bijoutier, à Paris ? « Je voulais faire passer le meurtre pour un acte crapuleux », indique-t-elle avant d’admettre : « J’ai toujours été en difficulté financière depuis que je vis seule avec mes enfants ».
Patrick Hernot
====================
la personne, qui a 52 ans, se trouvait dans sa période critique septennale des 49 ans en 2005 et celle des 42 ans en 1998. cela permet de mieux comprendre l'ambiance du moment et ce qui a pu lui passer par la tête : en période critique septennale notre Mr Hyde peut se manifester et prendre le dessus. La rage de prédateur c'est exactement çà : notamment si on y rajoute le passage à l'acte le jour critique émotionnel, comme cela a l'air d'être le cas ici.
Le "suicide" de la victime aurait quant à lui pu être "vérifié" avec jour critique ou période critique : cela permet d'avoir une première idée s'il y a eu suicide ou non - sans certitude bien sûr, mais une idée quand même, puisque l'on se suicide de préférence un jour critique émotionnel et une période critique septennale. à 86 ans il n'y avait par exemple pas période critique septennale. le jour critique émotionnel se vérifie au moyen de la date de naissance.
ensuite juin 1998 et octobre 2005, les crimes semblent bien avoir été commis le même jour... je n'ai pas les dates exactes mais cela pourrait être le cas puisque l'on a tendance à passer à l'acte son jour critique émotionnel... jour Hyde.
mercredi 10 ou jeudi 11 juin 1998, dit-elle, elle ne sait plus ?
ben le 6 octobre 2005 c'est un jeudi aussi... donc c'était probablement jeudi ou mercredi soir (le jcé démarre la veille au soir)...
et jeudi est probablement son jour critique émotionnel.
il suffit de vérifier si Françoise Dronet est née est née un jeudi...
autre illustration intéressante lorsque l'intéressée dit "Durant trois jours, elle multiplie les allers-retours dans l’appartement de sa victime. « À chaque fois, je sonnais à la porte. J’espérais que c’était un cauchemar et qu’elle m’ouvrirait la porte »."
cela explique assez bien le passage à l'acte dans un jour critique émotionnel : on se réveille le lendemain de ce qui est une sorte d'état second, et l'on aimerait bien que çà n'ait pas été vrai...
fugues
LeFigaro.fr :
Psychiatrie : les fugues
des malades sont fréquentes
L. C. et D. Ch.
24/11/2008 | Mise à jour : 21:53 | .
L'hôpital psychiatrique Paul-Guiraud comprend une Unité des malades difficles (UMD).
Plusieurs affaires ont mis en lumière les failles de la prise en charge des patients dangereux.
Le dernier mur d'enceinte de l'hôpital Sainte-Anne, à Paris, sera démoli mardi, mettant un point final à la politique d'enfermement des malades mentaux d'avant-guerre. Tout un symbole, à l'heure où les ministères de la Santé, de la Justice et de l'Intérieur préparent leur réforme de l'hospitalisation sous contrainte. Aujourd'hui, l'hôpital psychiatrique, dont les failles viennent d'être pointées à l'occasion du drame de Grenoble, cherche un nouvel équilibre entre prise en charge humaine des malades et nécessaire protection de la société. «Sauf à sombrer dans le tout-sécuritaire, on ne peut empêcher les fugues», témoigne Dominique Valmary, directeur de l'hôpital Le Vinatier, à Lyon. Ici, comme dans la plupart des institutions françaises, la liberté de mouvement est aujourd'hui largement privilégiée : pas d'unités aux portes fermées, mais des services ouverts, avec des chambres d'isolement sécurisées pour les patients en crise. Et des malades autorisés à sortir dans le parc, seuls ou accompagnés, dès qu'ils sont stabilisés, conciliants et calmes. Du coup, les fugues sont fréquentes. «Dès que le cas se présente, les recherches sont lancées dans le parc par notre équipe de sûreté et la police est immédiatement prévenue», précise le directeur. Ailleurs, ce sont les infirmiers eux-mêmes qui partent, toutes affaires cessantes, dans l'ambulance du service à la recherche du fugueur. Mais il arrive aussi, paradoxalement que la fugue entraîne la levée pure et simple de l'hospitalisation d'office. Autrement dit le patient est dehors et il y reste.
Sorties accordées à l'essai
Mais c'est généralement à l'occasion des sorties accordées à l'essai que les patients s'enfuient. La mesure, à visée thérapeutique, est proposée par le médecin traitant et accordée par le préfet. Ce dernier, qui peut demander un contre-avis médical, doit toutefois se contenter d'informations sommaires et souvent peu explicites pour se prononcer. «L'administration n'a accès ni à l'histoire du patient, ni à ses antécédents, mais au seul événement qui a conduit à son hospitalisation d'office», confirme un directeur d'hôpital.
En psychiatrie, les «122» - le nom donné par les infirmiers aux patients déclarés pénalement irresponsables - sont pris en charge strictement de la même manière que les autres malades. Après la mise au point du traitement médical et une période d'observation, les premières tentatives de réinsertion peuvent intervenir très vite. « Elles sont en fait quasiment systématiques», confie une infirmière psychiatrique, citant l'exemple d'un schizophrène de 25 ans, à l'origine de deux tentatives de meurtres, qui continuait «sa fixation sur les couteaux et les hachoirs». Le jeune homme a fugué à l'occasion de son premier congé d'essai. Retrouvé par hasard par la police, il a été renvoyé à l'hôpital psychiatrique. «Son médecin a demandé un nouveau congé moins deux semaines plus tard !», selon l'infirmière. Un second avis a cependant été demandé par le préfet.
«On a peut-être poussé trop loin la logique de la réinsertion à tout prix, sans avoir les moyens de cette politique de soins en ville», avance une infirmière psychiatrique. Mais ce diagnostic est réfuté par le corps médical, comme par les directeurs d'institutions, qui redoutent la tentation d'un retour à l'enfermement systématique des patients. Depuis la mort de Luc Meunier à Grenoble, comme après le double meurtre de Pau, les psychiatres répètent ainsi que moins de 1 % des patients schizophrènes sont dangereux pour la société. «Statistiquement, le malade mental au sens large - en comptant les toxicomanes en crise de manque, les caractériels et les paranoïaques - est à peine plus dangereux que la personne dite normale, assure le Dr Norbert Skurnik, chef de service à l'hôpital parisien Maison- Blanche. Bien sûr, on peut réfléchir et améliorer la prise en charge. Mais, en se focalisant de manière excessive sur un drame, qui relève de l'exceptionnel, les pouvoirs publics risquent de réveiller dans la population la peur ancestrale du fou qui a fait de lui un souffre-douleur pendant des siècles.»
» Hospitalisation d'office : les pistes de la réforme
=======================
une piste : les fugues (les rechutes et les downs divers d'ailleurs aussi) ont lieu en période critique septennale et surtout le jour critique émotionnel. c'est aussi dans ces moments là que les personnes sont "à plus de risque" ces périodes étant des périodes de pulsions.
on pourrait donc en tenir compte et les observer déjà pour voir ce qui se passe durant leurs périodes critiques... et le cas échéant ne pas leur autoriser de sortie précisément durant ces périodes là...
le meurtre de Grenoble a été commis par un patient en période critique septennale et probablement (çà reste à vérifier mais les éléments que j'ai me le font croire) probablement son jour critique émotionnel.
Psychiatrie : les fugues
des malades sont fréquentes
L. C. et D. Ch.
24/11/2008 | Mise à jour : 21:53 | .
L'hôpital psychiatrique Paul-Guiraud comprend une Unité des malades difficles (UMD).
Plusieurs affaires ont mis en lumière les failles de la prise en charge des patients dangereux.
Le dernier mur d'enceinte de l'hôpital Sainte-Anne, à Paris, sera démoli mardi, mettant un point final à la politique d'enfermement des malades mentaux d'avant-guerre. Tout un symbole, à l'heure où les ministères de la Santé, de la Justice et de l'Intérieur préparent leur réforme de l'hospitalisation sous contrainte. Aujourd'hui, l'hôpital psychiatrique, dont les failles viennent d'être pointées à l'occasion du drame de Grenoble, cherche un nouvel équilibre entre prise en charge humaine des malades et nécessaire protection de la société. «Sauf à sombrer dans le tout-sécuritaire, on ne peut empêcher les fugues», témoigne Dominique Valmary, directeur de l'hôpital Le Vinatier, à Lyon. Ici, comme dans la plupart des institutions françaises, la liberté de mouvement est aujourd'hui largement privilégiée : pas d'unités aux portes fermées, mais des services ouverts, avec des chambres d'isolement sécurisées pour les patients en crise. Et des malades autorisés à sortir dans le parc, seuls ou accompagnés, dès qu'ils sont stabilisés, conciliants et calmes. Du coup, les fugues sont fréquentes. «Dès que le cas se présente, les recherches sont lancées dans le parc par notre équipe de sûreté et la police est immédiatement prévenue», précise le directeur. Ailleurs, ce sont les infirmiers eux-mêmes qui partent, toutes affaires cessantes, dans l'ambulance du service à la recherche du fugueur. Mais il arrive aussi, paradoxalement que la fugue entraîne la levée pure et simple de l'hospitalisation d'office. Autrement dit le patient est dehors et il y reste.
Sorties accordées à l'essai
Mais c'est généralement à l'occasion des sorties accordées à l'essai que les patients s'enfuient. La mesure, à visée thérapeutique, est proposée par le médecin traitant et accordée par le préfet. Ce dernier, qui peut demander un contre-avis médical, doit toutefois se contenter d'informations sommaires et souvent peu explicites pour se prononcer. «L'administration n'a accès ni à l'histoire du patient, ni à ses antécédents, mais au seul événement qui a conduit à son hospitalisation d'office», confirme un directeur d'hôpital.
En psychiatrie, les «122» - le nom donné par les infirmiers aux patients déclarés pénalement irresponsables - sont pris en charge strictement de la même manière que les autres malades. Après la mise au point du traitement médical et une période d'observation, les premières tentatives de réinsertion peuvent intervenir très vite. « Elles sont en fait quasiment systématiques», confie une infirmière psychiatrique, citant l'exemple d'un schizophrène de 25 ans, à l'origine de deux tentatives de meurtres, qui continuait «sa fixation sur les couteaux et les hachoirs». Le jeune homme a fugué à l'occasion de son premier congé d'essai. Retrouvé par hasard par la police, il a été renvoyé à l'hôpital psychiatrique. «Son médecin a demandé un nouveau congé moins deux semaines plus tard !», selon l'infirmière. Un second avis a cependant été demandé par le préfet.
«On a peut-être poussé trop loin la logique de la réinsertion à tout prix, sans avoir les moyens de cette politique de soins en ville», avance une infirmière psychiatrique. Mais ce diagnostic est réfuté par le corps médical, comme par les directeurs d'institutions, qui redoutent la tentation d'un retour à l'enfermement systématique des patients. Depuis la mort de Luc Meunier à Grenoble, comme après le double meurtre de Pau, les psychiatres répètent ainsi que moins de 1 % des patients schizophrènes sont dangereux pour la société. «Statistiquement, le malade mental au sens large - en comptant les toxicomanes en crise de manque, les caractériels et les paranoïaques - est à peine plus dangereux que la personne dite normale, assure le Dr Norbert Skurnik, chef de service à l'hôpital parisien Maison- Blanche. Bien sûr, on peut réfléchir et améliorer la prise en charge. Mais, en se focalisant de manière excessive sur un drame, qui relève de l'exceptionnel, les pouvoirs publics risquent de réveiller dans la population la peur ancestrale du fou qui a fait de lui un souffre-douleur pendant des siècles.»
» Hospitalisation d'office : les pistes de la réforme
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une piste : les fugues (les rechutes et les downs divers d'ailleurs aussi) ont lieu en période critique septennale et surtout le jour critique émotionnel. c'est aussi dans ces moments là que les personnes sont "à plus de risque" ces périodes étant des périodes de pulsions.
on pourrait donc en tenir compte et les observer déjà pour voir ce qui se passe durant leurs périodes critiques... et le cas échéant ne pas leur autoriser de sortie précisément durant ces périodes là...
le meurtre de Grenoble a été commis par un patient en période critique septennale et probablement (çà reste à vérifier mais les éléments que j'ai me le font croire) probablement son jour critique émotionnel.
lundi 24 novembre 2008
Hunger
Bobby Sands
(Wikipédia)
Robert Gerard Sands, communément appelé Bobby Sands (né le 9 mars 1954 et mort le 5 mai 1981), était un républicain irlandais, membre de l’IRA, mort après une grève de la faim dans la prison de Maze en Irlande du Nord.
............
La grève de la faim.
Une précédente grève de la faim avait eu lieu à l'automne 1980, qui s'était terminée quand le gouvernement britannique avait fait mine d'accéder aux demandes de prisonniers. Cependant, lorsque la grève s'acheva, le gouvernement revint sur ses positions.
La seconde grève de la faim commence le 1er mars, lorsque Bobby Sands refuse de s’alimenter.
Bobby Sands mourut à l’hôpital de la prison après 65 jours de grève de la faim. L’annonce de sa mort provoqua de nombreuses émeutes dans les quartiers nationalistes en Irlande du Nord. Plus de 100 000 personnes suivirent le cortège lors de ses funérailles.
===============================
27 ans : juste avant l'entrée de la période critique septennale... çà donne certainement du courage... la période pré-anniversaire également...
Bobby Sands est décédé le 5 mai 1981 un jour doublement critique P7 et E8 (physique et émotionnel)
les dix grévistes de la faim sont pratiquement tous décédés un jour critique biorythmique... je pense que c'est le fait du "jour maillon faible" de la vie...
http://biorythm.online.fr/
(Wikipédia)
Robert Gerard Sands, communément appelé Bobby Sands (né le 9 mars 1954 et mort le 5 mai 1981), était un républicain irlandais, membre de l’IRA, mort après une grève de la faim dans la prison de Maze en Irlande du Nord.
............
La grève de la faim.
Une précédente grève de la faim avait eu lieu à l'automne 1980, qui s'était terminée quand le gouvernement britannique avait fait mine d'accéder aux demandes de prisonniers. Cependant, lorsque la grève s'acheva, le gouvernement revint sur ses positions.
La seconde grève de la faim commence le 1er mars, lorsque Bobby Sands refuse de s’alimenter.
Bobby Sands mourut à l’hôpital de la prison après 65 jours de grève de la faim. L’annonce de sa mort provoqua de nombreuses émeutes dans les quartiers nationalistes en Irlande du Nord. Plus de 100 000 personnes suivirent le cortège lors de ses funérailles.
===============================
27 ans : juste avant l'entrée de la période critique septennale... çà donne certainement du courage... la période pré-anniversaire également...
Bobby Sands est décédé le 5 mai 1981 un jour doublement critique P7 et E8 (physique et émotionnel)
les dix grévistes de la faim sont pratiquement tous décédés un jour critique biorythmique... je pense que c'est le fait du "jour maillon faible" de la vie...
http://biorythm.online.fr/
suicide assisté
LaPresseCanadienne :
Le procès d'un homme accusé d'aide au suicide s'ouvrira cette semaine à Alma
Il y a 20 heures
MONTREAL — Le suicide assisté fera l'objet d'un débat important dans une cour de justice d'Alma, au Lac-Saint-Jean, cette semaine, alors que le procès d'un homme accusé d'avoir aidé son oncle gravement malade à mettre un terme à ses jours commencera.
Stéphan Dufour, âgé de 30 ans, fait face à un chef d'accusation de complicité pour le suicide de Chantal Maltais survenu en septembre 2006, après que le défunt, atteint de poliomyélite, eut passé plusieurs années confiné à sa chaise roulante.
M. Dufour a plaidé non coupable et attend avec impatience le moment où il pourra étayer sa cause devant un juré, a affirmé son avocat, Me Michel Boudreault, lors d'une entrevue accordée à La Presse Canadienne.
"Le temps qui s'est écoulé nous a permis d'analyser le rapport de police et d'approfondir davantage le sujet du suicide assisté, tant au Québec que dans le reste du Canada", a déclaré M. Boudreault.
Le procès de M. Dufour est un précédent dans les annales de la justice, a estimé Me Boudreault.
Il y a déjà eu des personnes accusées de complicité dans un suicide auparavant, mais jamais un jury n'a pu se pencher sur un cas où un accusé a plaidé non coupable, a-t-il expliqué.
La Couronne soutient que M. Dufour a aidé son oncle à se pendre. Bien que le suicide ne soit pas considéré comme illégal au Canada, aider quelqu'un à mettre un terme à ses jours l'est.
Stéphan Dufour a donné des soins de maintien à domicile à son oncle durant plusieurs années.
Selon Me Boudreault, M. Maltais a souffert terriblement pendant plusieurs années et a tenté durant plus d'une décennie de convaincre des membres de sa famille de l'aider à se suicider. M. Maltais serait même allé jusqu'à planifier ses funérailles et se choisir une date. L'homme de 49 ans avait tenté de se suicider à plusieurs reprises, mais en vain.
La sélection des membres du jury est prévue pour mardi, à Alma, cette ville de 30 000 personnes située sur les rives du Lac Saint-Jean. Un procès qui devrait durer deux semaines commencera immédiatement après, selon Me Boudreault qui soutient que pour son client, il est temps que la question soit débattue sur la place publique.
Le prévenu avait été accusé formellement de complicité pour commettre un suicide le 17 juillet 2007 après une longue enquête policière de 10 mois.
S'il est reconnu coupable, Stéphan Dufour pourrait être condamné à 14 ans de pénitencier.
Les autres causes semblables à être jugées au Canada ont toutes abouti à un verdict de culpabilité, mais souvent assorti d'une peine réduite.
La cause de Stéphan Dufour pourrait ouvrir de nouveau le débat sur le suicide assisté.
==============================
deux choses à voir dans cette affaire... apparemment on a à faire à deux personnes en période critique septennale. cela peut être important dans la mesure où l'on sait que la période critique septennale est une période favorable à la dépression et au suicide.
l'accusé, s'il a 30 ans aujourd'hui... avait 28 ans en 2006 et se trouvait dans une période critique septennale. or la personne qu'il a aidée à se suicider - si j'ai bien compris - avait 49 ans et se trouvait donc également en période critique septennale. çà nous fait une compatibilité discutable : deux états d'esprit suicidaires, en somme...
Le procès d'un homme accusé d'aide au suicide s'ouvrira cette semaine à Alma
Il y a 20 heures
MONTREAL — Le suicide assisté fera l'objet d'un débat important dans une cour de justice d'Alma, au Lac-Saint-Jean, cette semaine, alors que le procès d'un homme accusé d'avoir aidé son oncle gravement malade à mettre un terme à ses jours commencera.
Stéphan Dufour, âgé de 30 ans, fait face à un chef d'accusation de complicité pour le suicide de Chantal Maltais survenu en septembre 2006, après que le défunt, atteint de poliomyélite, eut passé plusieurs années confiné à sa chaise roulante.
M. Dufour a plaidé non coupable et attend avec impatience le moment où il pourra étayer sa cause devant un juré, a affirmé son avocat, Me Michel Boudreault, lors d'une entrevue accordée à La Presse Canadienne.
"Le temps qui s'est écoulé nous a permis d'analyser le rapport de police et d'approfondir davantage le sujet du suicide assisté, tant au Québec que dans le reste du Canada", a déclaré M. Boudreault.
Le procès de M. Dufour est un précédent dans les annales de la justice, a estimé Me Boudreault.
Il y a déjà eu des personnes accusées de complicité dans un suicide auparavant, mais jamais un jury n'a pu se pencher sur un cas où un accusé a plaidé non coupable, a-t-il expliqué.
La Couronne soutient que M. Dufour a aidé son oncle à se pendre. Bien que le suicide ne soit pas considéré comme illégal au Canada, aider quelqu'un à mettre un terme à ses jours l'est.
Stéphan Dufour a donné des soins de maintien à domicile à son oncle durant plusieurs années.
Selon Me Boudreault, M. Maltais a souffert terriblement pendant plusieurs années et a tenté durant plus d'une décennie de convaincre des membres de sa famille de l'aider à se suicider. M. Maltais serait même allé jusqu'à planifier ses funérailles et se choisir une date. L'homme de 49 ans avait tenté de se suicider à plusieurs reprises, mais en vain.
La sélection des membres du jury est prévue pour mardi, à Alma, cette ville de 30 000 personnes située sur les rives du Lac Saint-Jean. Un procès qui devrait durer deux semaines commencera immédiatement après, selon Me Boudreault qui soutient que pour son client, il est temps que la question soit débattue sur la place publique.
Le prévenu avait été accusé formellement de complicité pour commettre un suicide le 17 juillet 2007 après une longue enquête policière de 10 mois.
S'il est reconnu coupable, Stéphan Dufour pourrait être condamné à 14 ans de pénitencier.
Les autres causes semblables à être jugées au Canada ont toutes abouti à un verdict de culpabilité, mais souvent assorti d'une peine réduite.
La cause de Stéphan Dufour pourrait ouvrir de nouveau le débat sur le suicide assisté.
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deux choses à voir dans cette affaire... apparemment on a à faire à deux personnes en période critique septennale. cela peut être important dans la mesure où l'on sait que la période critique septennale est une période favorable à la dépression et au suicide.
l'accusé, s'il a 30 ans aujourd'hui... avait 28 ans en 2006 et se trouvait dans une période critique septennale. or la personne qu'il a aidée à se suicider - si j'ai bien compris - avait 49 ans et se trouvait donc également en période critique septennale. çà nous fait une compatibilité discutable : deux états d'esprit suicidaires, en somme...
tensions septennales
domactu.com :
Il tue un homme puis se suicide
Le meurtre s'est produit samedi soir dans un restaurant de Saint-François, . Un homme a tué un autre, avant de se donner la mort. Selon les témoignages, une « affaire de femme » serait à l'origine du drame. En dépit de l'extinction des poursuites, l'enquête continue.
Il est 20h, samedi soir. Un homme de 35 ans est installé seul à une table, lorsqu'il se fait invectiver par un autre.
Il réplique. Le ton monte rapidement. Son « futur agresseur », en colère, quitte le restaurant, puis revient avec un fusil de chasse.
Le coup de feu, au cou, sera mortel pour sa victime. Agé de 40 ans, l'homme s'écroule. Les secours ne pourront que constater son décès.
L'auteur du coup de feu quant à lui, s'est retranché à son domicile. C'est lui qui appelle les gendarmes afin de se dénoncer et d'annoncer son suicide
Les forces de l'ordre n'ont pas le temps de l'appréhender. Les gendarmes trouvent l'homme sans vie, dans sa cuisine, à la section Bellevue, mort d'une balle dans la tête.
Avec la mort du meurtrier présumé, les poursuites s'éteignent également. Une enquête a toutefois été ouverte afin de déterminer les circonstances exactes de ce double drame.
====================
période à risque que la période critique septennale : la tension peut facilement dégénérer et il n'y a parfois pas de freins durant cette période... c'est d'ailleurs une de ses particularités.
Il tue un homme puis se suicide
Le meurtre s'est produit samedi soir dans un restaurant de Saint-François, . Un homme a tué un autre, avant de se donner la mort. Selon les témoignages, une « affaire de femme » serait à l'origine du drame. En dépit de l'extinction des poursuites, l'enquête continue.
Il est 20h, samedi soir. Un homme de 35 ans est installé seul à une table, lorsqu'il se fait invectiver par un autre.
Il réplique. Le ton monte rapidement. Son « futur agresseur », en colère, quitte le restaurant, puis revient avec un fusil de chasse.
Le coup de feu, au cou, sera mortel pour sa victime. Agé de 40 ans, l'homme s'écroule. Les secours ne pourront que constater son décès.
L'auteur du coup de feu quant à lui, s'est retranché à son domicile. C'est lui qui appelle les gendarmes afin de se dénoncer et d'annoncer son suicide
Les forces de l'ordre n'ont pas le temps de l'appréhender. Les gendarmes trouvent l'homme sans vie, dans sa cuisine, à la section Bellevue, mort d'une balle dans la tête.
Avec la mort du meurtrier présumé, les poursuites s'éteignent également. Une enquête a toutefois été ouverte afin de déterminer les circonstances exactes de ce double drame.
====================
période à risque que la période critique septennale : la tension peut facilement dégénérer et il n'y a parfois pas de freins durant cette période... c'est d'ailleurs une de ses particularités.
parcours
LeMonde :
Henry Quinson, défroqué du CAC 40
LE MONDE | 30.10.08 |
C'est un monastère invisible, qui porte le même nom, Saint-Paul, que la cité HLM des quartiers Nord de Marseille, où Henry Quinson, ex-brillant trader des marchés financiers, a élu domicile, il y a maintenant onze ans, avec trois autres moines. Ces chrétiens sans soutane, tous les gosses du quartier les connaissent.
http://www.lemonde.fr/la-crise-financiere/article/2008/10/30/henry-quinson-defroque-du-cac-40_1112889_1101386.html
==========================
c'est à 28 ans qu'il a tout plaqué et la veille d'un jour critique émotionnel qu'il a eu sa "vision"...
la vie de tout le monde est ainsi jallonée si on y regarde de près d'événements liés aux périodes critiques septennales : c'est dans ces moments là que l'on prend la plupart des grandes décisions qui vont influer le cours de notre vie.
si je relate ici une majorité d'événements dramatiques c'est que ce sont les seuls que l'on retrouve dans les actualités et faits divers... ceux qui ne le sont pas sont - heureusement - une grande majorité mais les infos n'en parlent bien entendu guère...
Henry Quinson, défroqué du CAC 40
LE MONDE | 30.10.08 |
C'est un monastère invisible, qui porte le même nom, Saint-Paul, que la cité HLM des quartiers Nord de Marseille, où Henry Quinson, ex-brillant trader des marchés financiers, a élu domicile, il y a maintenant onze ans, avec trois autres moines. Ces chrétiens sans soutane, tous les gosses du quartier les connaissent.
http://www.lemonde.fr/la-crise-financiere/article/2008/10/30/henry-quinson-defroque-du-cac-40_1112889_1101386.html
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c'est à 28 ans qu'il a tout plaqué et la veille d'un jour critique émotionnel qu'il a eu sa "vision"...
la vie de tout le monde est ainsi jallonée si on y regarde de près d'événements liés aux périodes critiques septennales : c'est dans ces moments là que l'on prend la plupart des grandes décisions qui vont influer le cours de notre vie.
si je relate ici une majorité d'événements dramatiques c'est que ce sont les seuls que l'on retrouve dans les actualités et faits divers... ceux qui ne le sont pas sont - heureusement - une grande majorité mais les infos n'en parlent bien entendu guère...
meurtrier
SKCenter :
Assises - Un espoir du basket accusé d'avoir tué sa mère
Aujourd’hui 19 novembre 2008, Liberto Tetimadingar, 28 ans, comparaît devant la cour d’assises de la Somme pour « meurtre sur ascendant ». Il encourt la réclusion criminelle à perpétuité.
Ce matin, du haut de ses deux mètres, il prendra place dans le box des accusés. Il s’appelle Liberto Tetimadingar. Le jeune homme, 28 ans, est accusé du meurtre de sa mère. Une affaire trouble qui plongera sans doute dans les méandres d’une histoire familiale faite de non-dits et de secrets. Les jurés auront pour lourde tâche de comprendre comment ce grand gaillard, « un gros nounours » tel que le décrit son conseil, Me Zineb Abdellatif, a pu basculer dans le meurtre.
(.....) il fait la rencontre d’une jeune femme avec laquelle il a un enfant. Ce qui ne l’empêche pas de rester fragile psychologiquement. Et de tomber dans la drogue. Peu à peu, Liberto devient violent. Une fois, il renverse une voiture de police. A la force de ses bras. Un « exploit » qui poussera Liberto à finalement délaisser les Etats-Unis pour la France où il rejoint sa mère. Leur relation, déjà conflictuelle, s’envenime. Jusqu’à ce 1er mai 2005.
Coups de couteau
Ce jour-là, une dispute éclate entre Liberto et sa mère. Le jeune homme monte dans sa chambre, elle le suit avec un couteau. Il s’empare de l’arme blanche et frappe sa mère de plusieurs coups. Sur le corps de la défunte, 63 ans, 17 plaies seront identifiées. Après le drame, Liberto reste à côté de la dépouille. Puis la lave, panse les plaies et décide de l’enterrer dans le jardin. Le 2 mai, il raconte son geste à l’un de ses copains. Il dit aussi vouloir faire disparaître le corps avec de l’acide chlorhydrique. Un projet qu’il abandonne. Le soir même, le jeune homme est interpellé à son domicile.
« Selon le rapport d’expertise, le discernement du jeune homme était altéré au moment des faits », précise Me Zineb Abdellatif. Les experts qui se succéderont à la barre devront tenter de faire la lumière sur un profil psychologique fragile. Liberto est atteint de schizophrénie. L’enquête met au jour un rapport trouble avec la mère. (...)
Source : France Soir
(.....) Le jour du drame, «ils se sont disputés, sa mère est montée avec un couteau, il le lui a arraché et l'a poignardée seize fois. On voit bien qu'il n'avait pas l'intention de tuer. C'est la rage, le ras-le-bol», a-t-elle plaidé. Il avait ensuite enterré son corps au fond du jardin avant d'être interpellé le lendemain sur les indications d'un proche à qui il s'était confié.
Source : AFP/ L'Equipe
Sept ans de prison pour Liberto Tetimadingar
Cet après-midi à 18 heures Liberto Tetimadingar a été condamné à 7 années d'emprisonnement pour avoir tué sa mère Rose-Marie Bertrand dans la nuit du 1er au 2 mai 2005 à coups de couteau.
L'avocat général avait requis une peine comprise en 10 et 12 ans d'emprisonnement. Les jurés ont considéré que Liberto Tetimadengar ne s'est pas rendu coupable d'homicide volontaire mais de coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner.
Source : Le Courrier Picard
============================
j'ai regardé la situation du 1er au 2 mai 2005 :
né le 27/06/1980 c'est i 1 premier jour - critique - du cycle intellectuel le 2 mai (avec point de départ le 1er mai au soir) c'est déjà un élément intéressant.
pas d'autre critique néanmoins (physique ou émotionnel) ni d'année critique physique ou psychique (il se trouve aujourd'hui à 28 ans en période critique septennale).
il faut cependant aller voir aussi du côté de cette mère qui à 63 ans se trouve en pleine période critique septennale et poursuit armée d'un couteau, son fils de 25 ans avec lequel elle vient de se disputer : j'aurais tendance à y chercher une part de responsabilité. en période critique septennale on est différent... et pour certains "pas dans son état normal"... on pourrait aussi examiner la situation biorythmique précise de la mère au moment des faits... car si par exemple elle se trouve dans un jour critique - émotionnel ou physique - cela explique encore un peu mieux ce qui a pu se passer...
Assises - Un espoir du basket accusé d'avoir tué sa mère
Aujourd’hui 19 novembre 2008, Liberto Tetimadingar, 28 ans, comparaît devant la cour d’assises de la Somme pour « meurtre sur ascendant ». Il encourt la réclusion criminelle à perpétuité.
Ce matin, du haut de ses deux mètres, il prendra place dans le box des accusés. Il s’appelle Liberto Tetimadingar. Le jeune homme, 28 ans, est accusé du meurtre de sa mère. Une affaire trouble qui plongera sans doute dans les méandres d’une histoire familiale faite de non-dits et de secrets. Les jurés auront pour lourde tâche de comprendre comment ce grand gaillard, « un gros nounours » tel que le décrit son conseil, Me Zineb Abdellatif, a pu basculer dans le meurtre.
(.....) il fait la rencontre d’une jeune femme avec laquelle il a un enfant. Ce qui ne l’empêche pas de rester fragile psychologiquement. Et de tomber dans la drogue. Peu à peu, Liberto devient violent. Une fois, il renverse une voiture de police. A la force de ses bras. Un « exploit » qui poussera Liberto à finalement délaisser les Etats-Unis pour la France où il rejoint sa mère. Leur relation, déjà conflictuelle, s’envenime. Jusqu’à ce 1er mai 2005.
Coups de couteau
Ce jour-là, une dispute éclate entre Liberto et sa mère. Le jeune homme monte dans sa chambre, elle le suit avec un couteau. Il s’empare de l’arme blanche et frappe sa mère de plusieurs coups. Sur le corps de la défunte, 63 ans, 17 plaies seront identifiées. Après le drame, Liberto reste à côté de la dépouille. Puis la lave, panse les plaies et décide de l’enterrer dans le jardin. Le 2 mai, il raconte son geste à l’un de ses copains. Il dit aussi vouloir faire disparaître le corps avec de l’acide chlorhydrique. Un projet qu’il abandonne. Le soir même, le jeune homme est interpellé à son domicile.
« Selon le rapport d’expertise, le discernement du jeune homme était altéré au moment des faits », précise Me Zineb Abdellatif. Les experts qui se succéderont à la barre devront tenter de faire la lumière sur un profil psychologique fragile. Liberto est atteint de schizophrénie. L’enquête met au jour un rapport trouble avec la mère. (...)
Source : France Soir
(.....) Le jour du drame, «ils se sont disputés, sa mère est montée avec un couteau, il le lui a arraché et l'a poignardée seize fois. On voit bien qu'il n'avait pas l'intention de tuer. C'est la rage, le ras-le-bol», a-t-elle plaidé. Il avait ensuite enterré son corps au fond du jardin avant d'être interpellé le lendemain sur les indications d'un proche à qui il s'était confié.
Source : AFP/ L'Equipe
Sept ans de prison pour Liberto Tetimadingar
Cet après-midi à 18 heures Liberto Tetimadingar a été condamné à 7 années d'emprisonnement pour avoir tué sa mère Rose-Marie Bertrand dans la nuit du 1er au 2 mai 2005 à coups de couteau.
L'avocat général avait requis une peine comprise en 10 et 12 ans d'emprisonnement. Les jurés ont considéré que Liberto Tetimadengar ne s'est pas rendu coupable d'homicide volontaire mais de coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner.
Source : Le Courrier Picard
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j'ai regardé la situation du 1er au 2 mai 2005 :
né le 27/06/1980 c'est i 1 premier jour - critique - du cycle intellectuel le 2 mai (avec point de départ le 1er mai au soir) c'est déjà un élément intéressant.
pas d'autre critique néanmoins (physique ou émotionnel) ni d'année critique physique ou psychique (il se trouve aujourd'hui à 28 ans en période critique septennale).
il faut cependant aller voir aussi du côté de cette mère qui à 63 ans se trouve en pleine période critique septennale et poursuit armée d'un couteau, son fils de 25 ans avec lequel elle vient de se disputer : j'aurais tendance à y chercher une part de responsabilité. en période critique septennale on est différent... et pour certains "pas dans son état normal"... on pourrait aussi examiner la situation biorythmique précise de la mère au moment des faits... car si par exemple elle se trouve dans un jour critique - émotionnel ou physique - cela explique encore un peu mieux ce qui a pu se passer...
Francis Heaulme
SKCenter :
Montigny: Heaulme, le retour?
Un supplément d'information a été ordonné jeudi dans l'affaire du meurtre de deux enfants à Montigny-lès-Metz en 1986. Le procureur général souhaite l'audition de deux nouveaux témoins. L'un d'entre eux dit avoir vu Francis Heaulme couvert de sang sur les lieux du meurtre. Ce dernier avait bénéficié d'un non-lieu dans cette affaire en décembre dernier, faute de charges suffisantes.
...................
Au cours de ces interrogatoires, Francis Heaulme avait reconnu être monté sur la butte où les deux enfants avaient été tués le 28 septembre 1986. Il avait également admis avoir "retourné l'un des deux corps". Mais lors d'une reconstitution organisée en octobre 2006, il était revenu sur ces déclarations et avait nié être passé par Montigny le jour du crime.
============================
Heaulme est né le 25 février 1959 et les enfants ont été assassinés le 29/09/1986 : Heaulme avait par conséquent 27 ans et 7 mois, soit exactement l'entrée dans la période critique septennale et le moment pic où semblent avoir lieu le maximum de passages à l'acte... si passage à l'acte il y a en période critique septennale... c'est aussi la veille d'un jour critique physique P6, autre élément qui pourrait peser...
la situation à l'entrée précise de la période critique septennale est cependant suffisante pour être interprétée - par moi en tous cas - "à haut risque"...
Montigny: Heaulme, le retour?
Un supplément d'information a été ordonné jeudi dans l'affaire du meurtre de deux enfants à Montigny-lès-Metz en 1986. Le procureur général souhaite l'audition de deux nouveaux témoins. L'un d'entre eux dit avoir vu Francis Heaulme couvert de sang sur les lieux du meurtre. Ce dernier avait bénéficié d'un non-lieu dans cette affaire en décembre dernier, faute de charges suffisantes.
...................
Au cours de ces interrogatoires, Francis Heaulme avait reconnu être monté sur la butte où les deux enfants avaient été tués le 28 septembre 1986. Il avait également admis avoir "retourné l'un des deux corps". Mais lors d'une reconstitution organisée en octobre 2006, il était revenu sur ces déclarations et avait nié être passé par Montigny le jour du crime.
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Heaulme est né le 25 février 1959 et les enfants ont été assassinés le 29/09/1986 : Heaulme avait par conséquent 27 ans et 7 mois, soit exactement l'entrée dans la période critique septennale et le moment pic où semblent avoir lieu le maximum de passages à l'acte... si passage à l'acte il y a en période critique septennale... c'est aussi la veille d'un jour critique physique P6, autre élément qui pourrait peser...
la situation à l'entrée précise de la période critique septennale est cependant suffisante pour être interprétée - par moi en tous cas - "à haut risque"...
Michelle Williams
peut-être un pp (potin people ou people potin), mais... :-)
Voici.fr :
Heath Ledger : Michelle Williams ne se remet pas du drame
La maman de sa fille, Michelle Williams, a avoué qu’elle n’arrivait pas à se remettre de la mort de l’acteur.
Le temps qui passe ne parvient pas à atténuer le chagrin de Michelle Williams. L’ex-compagne d’Heath Ledger, décédé d’une overdose médicamenteuse en janvier dernier, ne parvient pas à se remettre de la mort de son ancien compagnon et père de sa fille.
...............
Fatiguée par une année difficile, l’actrice se dit prête à mettre sa carrière entre parenthèse. Elle explique qu’elle a besoin de faire un long break afin souffler et de retomber dans l’anonymat, pour sa tranquillité et celle de sa fille Matilda, âgée de 3 ans. Personne ne la blâmera pour cette décision…
C.G.
=====================
Michelle Williams étant née le 9 septembre 1980, elle se trouve en pleine période critique septennale des 28 ans... donc attention à la dépression septennale.
rappelons que Heath Ledger serait peut-être encore en vie...
si on lui avait expliqué qu'il est tourmenté parce qu'il se trouve de passage dans sa période critique septennale des 28 ans, et aussi qu'il faut se méfier de l'arrivée d'un jour critique émotionnel...
(Heathcliff Andrew Ledger, né le 4 avril 1979 à Perth et mort le 22 janvier 2008.)
L'acteur a été trouvé sans vie dans l'appartement où il habitait à SoHo au sud de Manhattan, a précisé la police, qui a indiqué à la presse que des médicaments, notamment des somnifères, avaient été retrouvés dans l'appartement. Cette découverte conforte l'hypothèse du suicide ou d'un abus de substances pharmaceutiques.
Heath Ledger s'est probablement suicidé - du moins si l'on examine sa situation biorythmique : il avait 28 ans et dix mois et se trouvait dans la période critique de son cycle psychique et émotionnel septennal. il est décédé à l'entrée de son jour critique émotionnel. (né le mercredi son jour critique émotionnel démarre mardi soir)
(période critique septennale et jour critique émotionnel sont des périodes "clés" en matière de suicide : ici les deux sont réunies. un décès accidentel par overdose a plutôt tendance à arriver un jour critique physique : l'organisme est alors en situation de faiblesse, de veilleuse, et une dose habituellement supportée un autre jour, peut avoir un effet fatal...)
à l'époque j'écrivais encore :
il est aussi intéressant de voir quelle est la situation de compatibilité avec un conjoint : Michelle Williams étant du 9/09/1980 se trouve elle-même dans la même période critique septenale des 28 ans... il n'est pas improbable que cela a joué un rôle dans leur séparation... de nombreux divorces et séparations ont lieu lors de période critiques septennales de l'un ou de l'autre partenaire ... ou des deux...
si l'on tenait compte de ce mécanisme émotionnel on pourrait éviter pas mal de pots cassés...
Voici.fr :
Heath Ledger : Michelle Williams ne se remet pas du drame
La maman de sa fille, Michelle Williams, a avoué qu’elle n’arrivait pas à se remettre de la mort de l’acteur.
Le temps qui passe ne parvient pas à atténuer le chagrin de Michelle Williams. L’ex-compagne d’Heath Ledger, décédé d’une overdose médicamenteuse en janvier dernier, ne parvient pas à se remettre de la mort de son ancien compagnon et père de sa fille.
...............
Fatiguée par une année difficile, l’actrice se dit prête à mettre sa carrière entre parenthèse. Elle explique qu’elle a besoin de faire un long break afin souffler et de retomber dans l’anonymat, pour sa tranquillité et celle de sa fille Matilda, âgée de 3 ans. Personne ne la blâmera pour cette décision…
C.G.
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Michelle Williams étant née le 9 septembre 1980, elle se trouve en pleine période critique septennale des 28 ans... donc attention à la dépression septennale.
rappelons que Heath Ledger serait peut-être encore en vie...
si on lui avait expliqué qu'il est tourmenté parce qu'il se trouve de passage dans sa période critique septennale des 28 ans, et aussi qu'il faut se méfier de l'arrivée d'un jour critique émotionnel...
(Heathcliff Andrew Ledger, né le 4 avril 1979 à Perth et mort le 22 janvier 2008.)
L'acteur a été trouvé sans vie dans l'appartement où il habitait à SoHo au sud de Manhattan, a précisé la police, qui a indiqué à la presse que des médicaments, notamment des somnifères, avaient été retrouvés dans l'appartement. Cette découverte conforte l'hypothèse du suicide ou d'un abus de substances pharmaceutiques.
Heath Ledger s'est probablement suicidé - du moins si l'on examine sa situation biorythmique : il avait 28 ans et dix mois et se trouvait dans la période critique de son cycle psychique et émotionnel septennal. il est décédé à l'entrée de son jour critique émotionnel. (né le mercredi son jour critique émotionnel démarre mardi soir)
(période critique septennale et jour critique émotionnel sont des périodes "clés" en matière de suicide : ici les deux sont réunies. un décès accidentel par overdose a plutôt tendance à arriver un jour critique physique : l'organisme est alors en situation de faiblesse, de veilleuse, et une dose habituellement supportée un autre jour, peut avoir un effet fatal...)
à l'époque j'écrivais encore :
il est aussi intéressant de voir quelle est la situation de compatibilité avec un conjoint : Michelle Williams étant du 9/09/1980 se trouve elle-même dans la même période critique septenale des 28 ans... il n'est pas improbable que cela a joué un rôle dans leur séparation... de nombreux divorces et séparations ont lieu lors de période critiques septennales de l'un ou de l'autre partenaire ... ou des deux...
si l'on tenait compte de ce mécanisme émotionnel on pourrait éviter pas mal de pots cassés...
dimanche 23 novembre 2008
David Servan-Schreiber
nouvelobs :
David Servan-Schreiber révèle qu'il a eu une tumeur au cerveau
«Comment je combats le cancer»
Dans son nouveau livre «Anticancer» (Robert Laffont), il raconte sa lutte contre la maladie, son enquête pour en comprendre les mécanismes et les méthodes qui l'ont aidé à surmonter l'épreuve. Une leçon pour les malades comme pour les bien-portants
Le professeur de psychiatrie s'était fait connaître en 2003 avec «Guérir», best-seller mondial. Mais seuls ses proches savaient que, quinze ans auparavant, il avait failli être emporté par un cancer.
===============
en cherchant un peu on trouve toujours de choses intéressantes. je sais que de très nombreux maux sont liés à nos périodes critiques septennales ne serait-ce qu'en raison de l'importance de notre psychisme dans notre système de défense, mais aussi dans notre organisation, notre fonctionnement...
David Servan-Schreiber est du 21 avril 1961 : quinze ans avant 2003 il a failli être emporté par un cancer... bon je n'ai pas beaucoup plus de détails, mais en faisant un petit calcul, c'était à 27 ans donc à l'entrée dans la période critique septennale des 28 ans. il est question de rechute plus tard... il serait intéressait d'en savoir plus, pour voir s'il peut y avoir un lien avec la période critique suivante qui est celle des 35 ans...
édit : plus loin dans l'article datant de 2007 il est dit : "sept ans après ma rechute, je suis toujours là."
(la rechute pourrait donc avoir lieu en 2000 ou DSS avait 39 ans ; (période neutre).
ss ttes réserves tt çà car je n'ai pas d'autres renseignements de données que le contenu de l'article du nouvelobs...)
article intéressant par d'autres aspects encore :
N. O. - Bizarre ! Qu'est-ce qui se passe en 1940 ?
D. Servan-Schreiber. - Le style de vie occidental change du tout au tout et devient le plus cancérigène qui soit. Notre environnement se charge de produits chimiques synthétiques notoirement cancérigènes - l'amiante, le benzène, les pesticides, entre autres. La France est le premier consommateur européen de pesticides et le troisième consommateur mondial derrière les Etats-Unis et le Japon. Or les milliers de produits toxiques recensés aujourd'hui n'existaient pratiquement pas avant 1930. A partir de 1963, nous avons largement utilisé en agriculture l'atrazine, un pesticide plus économique que le DDT, considéré comme comportant un «risque acceptable». Or l'atrazine est un xénoestrogène (associé à certains cancers) si puissant qu'il est capable de changer le sexe des poissons dans les rivières où il finit par se déverser. Il n'a été interdit qu'en 2003...
Deuxième facteur, l'alimentation, qui comporte désormais beaucoup trop de graisses, de sucre, de viande, d'aliments industriels, source de déséquilibres désastreux pour notre santé. La consommation de sucre (facteur de croissance du cancer), qui était de 5 kilos par personne et par an en 1830, est passée à 70 kilos par personne et par an en 2000. Les graisses partiellement hydrogénées (par exemple la margarine), qui n'existaient pas avant 1940, sont maintenant utilisées dans toute l'alimentation industrielle bien qu'elles soient bourrées d'oméga 6, particulièrement nocifs. De même après 1950, la demande de viande bovine et de produits laitiers a littéralement explosé. Pour y répondre, on a nourri les vaches non plus avec l'herbe des champs, riche en acides gras oméga 3, mais en batterie, avec du maïs, du soja et du blé qui en sont dépourvus. Il en résulte un dramatique déséquilibre en faveur des «mauvaises» graisses (en particulier les oméga 6), qui va se transmettre à tous les produits laitiers, au fromage, à la viande de boeuf, et même aux oeufs puisque les poules ne picorent plus de fourrage. En 2000, les oeufs contiennent vingt fois plus d'oméga 6 qu'en 1970.
N. O. - Est-il démontré que ces déséquilibres ont un lien direct avec le cancer ?
D. Servan-Schreiber. - Oui, absolument. J'en donne dans mon livre toutes les preuves, que je ne peux pas énumérer ici. Je citerai un seul exemple récent, très intéressant, de la dégradation de notre chaîne alimentaire : c'est celui du rôle du lait, maternel ou non, dans la survenue inexplicable de l'obésité chez les enfants (1). Aux Etats-Unis, la masse de tissu gras des enfants de moins de 1 an a doublé entre 1970 et 1990. Pourquoi ? McDo ? Grignotage devant la télé ? Manque d'exercice physique ? Pas pour des nourrissons. Non. Le lait. Un changement dans la nature du lait dû à l'alimentation maïs-soja des bovins. Il y a d'ailleurs un parallélisme étonnant entre la diffusion épidémique de l'obésité et celle du cancer dans les pays occidentaux industrialisés.
N. O. - Peut-on parler vraiment d'épidémie de cancers dans ce cas ? L'augmentation du nombre de malades n'est-elle pas due plutôt au fait que leur population vieillit et que le dépistage y est de plus en plus efficace ?
D. Servan-Schreiber. - On l'a cru longtemps, mais on ne peut plus tenir ce discours aujourd'hui. Parce que l'une des populations où le cancer augmente notablement est celle des enfants et des adolescents, qui par définition ne sont concernés ni par le vieillissement général ni par le dépistage. Pourtant, on constate une augmentation de 1,3% par an des cancers entre 0 et 15 ans. Et le cancer du cerveau, pourtant non dé tectable, sauf par hasard, a triplé en France chez les personnes nées entre 1930 et 1950.
N. O. - Cet état des lieux est accablant. Comment réagir ? Que peut-on faire ?
D. Servan-Schreiber. - Heureusement, il y a aussi des éléments positifs. La cancérologie a fait des progrès foudroyants. Elle a pris un tournant décisif en 1971 lorsqu'un certain docteur Judah Folkman, chirurgien de son état, remarque que les tumeurs cancéreuses qu'il opère sont toutes massivement irriguées par des petits vaisseaux sanguins nombreux mais fragiles, comme créés à la va-vite. Il en conclut que le cancer a besoin, pour grossir, de l'inflammation mais aussi de vaisseaux sanguins l'alimentant en oxygène et en sang. Si on bloque ces vaisseaux, on pourra «assécher» la tumeur... Pendant vingt ans, Folkman a dû subir humiliations et sarcasmes de ses confrères scientifiques, avant que sa découverte ne soit enfin reconnue comme l'une des plus grandes de la cancérologie moderne. Aujourd'hui, tous les laboratoires essaient de trouver des médicaments pour réaliser ce blocage de la formation des vaisseaux sanguins (l'angiogenèse) alimentant les tumeurs malignes. On avance prudemment à cause des effets secondaires possibles. Mais, moi, il y a une chose qui me fascine, c'est de constater qu'il existe dans la nature des plantes qui ont un effet anti-angiogénique comparable. Mais sans effets secondaires et en se combinant parfaitement avec les traitements conventionnels, qu'ils peuvent parfois rendre plus efficaces. Ainsi les molécules actives du thé vert augmentent l'effet de la radiothérapie sur des cellules de tumeur cérébrale. Le curcuma (mentionné depuis 2000 ans dans les traités médicaux de l'Inde, de la Chine, du Tibet et du Moyen-Orient) est un puissant anti-inflammatoire qui inhibe la croissance de nombreux cancers : côlon, foie, estomac, sein, ovaire, sang... Ce qui explique que les Indiens, malgré un environnement très pollué, aient huit fois moins de cancers du poumon, neuf fois moins de cancers du sein, dix fois moins de cancers du rein que les Occidentaux. (Il faut cuisiner le curcuma : en poudre, non en gélules, et en y joignant du poivre.) L'acide ellagique de la framboise, testé en laboratoire dans les conditions d'un médicament, s'est révélé aussi actif que les médicaments connus pour bloquer l'angiogenèse des cellules cancéreuses. Il est maintenant scientifiquement prouvé que beaucoup d'aliments agissent sur les différents cancers (voir encadré p. 16) sans avoir évidemment aucun effet secondaire. Qui n'a pas mangé des framboises ?
http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/parution/p2238/dossier/a355219-%C2%ABcomment_je_combats_le_cancer%C2%BB.html
David Servan-Schreiber révèle qu'il a eu une tumeur au cerveau
«Comment je combats le cancer»
Dans son nouveau livre «Anticancer» (Robert Laffont), il raconte sa lutte contre la maladie, son enquête pour en comprendre les mécanismes et les méthodes qui l'ont aidé à surmonter l'épreuve. Une leçon pour les malades comme pour les bien-portants
Le professeur de psychiatrie s'était fait connaître en 2003 avec «Guérir», best-seller mondial. Mais seuls ses proches savaient que, quinze ans auparavant, il avait failli être emporté par un cancer.
===============
en cherchant un peu on trouve toujours de choses intéressantes. je sais que de très nombreux maux sont liés à nos périodes critiques septennales ne serait-ce qu'en raison de l'importance de notre psychisme dans notre système de défense, mais aussi dans notre organisation, notre fonctionnement...
David Servan-Schreiber est du 21 avril 1961 : quinze ans avant 2003 il a failli être emporté par un cancer... bon je n'ai pas beaucoup plus de détails, mais en faisant un petit calcul, c'était à 27 ans donc à l'entrée dans la période critique septennale des 28 ans. il est question de rechute plus tard... il serait intéressait d'en savoir plus, pour voir s'il peut y avoir un lien avec la période critique suivante qui est celle des 35 ans...
édit : plus loin dans l'article datant de 2007 il est dit : "sept ans après ma rechute, je suis toujours là."
(la rechute pourrait donc avoir lieu en 2000 ou DSS avait 39 ans ; (période neutre).
ss ttes réserves tt çà car je n'ai pas d'autres renseignements de données que le contenu de l'article du nouvelobs...)
article intéressant par d'autres aspects encore :
N. O. - Bizarre ! Qu'est-ce qui se passe en 1940 ?
D. Servan-Schreiber. - Le style de vie occidental change du tout au tout et devient le plus cancérigène qui soit. Notre environnement se charge de produits chimiques synthétiques notoirement cancérigènes - l'amiante, le benzène, les pesticides, entre autres. La France est le premier consommateur européen de pesticides et le troisième consommateur mondial derrière les Etats-Unis et le Japon. Or les milliers de produits toxiques recensés aujourd'hui n'existaient pratiquement pas avant 1930. A partir de 1963, nous avons largement utilisé en agriculture l'atrazine, un pesticide plus économique que le DDT, considéré comme comportant un «risque acceptable». Or l'atrazine est un xénoestrogène (associé à certains cancers) si puissant qu'il est capable de changer le sexe des poissons dans les rivières où il finit par se déverser. Il n'a été interdit qu'en 2003...
Deuxième facteur, l'alimentation, qui comporte désormais beaucoup trop de graisses, de sucre, de viande, d'aliments industriels, source de déséquilibres désastreux pour notre santé. La consommation de sucre (facteur de croissance du cancer), qui était de 5 kilos par personne et par an en 1830, est passée à 70 kilos par personne et par an en 2000. Les graisses partiellement hydrogénées (par exemple la margarine), qui n'existaient pas avant 1940, sont maintenant utilisées dans toute l'alimentation industrielle bien qu'elles soient bourrées d'oméga 6, particulièrement nocifs. De même après 1950, la demande de viande bovine et de produits laitiers a littéralement explosé. Pour y répondre, on a nourri les vaches non plus avec l'herbe des champs, riche en acides gras oméga 3, mais en batterie, avec du maïs, du soja et du blé qui en sont dépourvus. Il en résulte un dramatique déséquilibre en faveur des «mauvaises» graisses (en particulier les oméga 6), qui va se transmettre à tous les produits laitiers, au fromage, à la viande de boeuf, et même aux oeufs puisque les poules ne picorent plus de fourrage. En 2000, les oeufs contiennent vingt fois plus d'oméga 6 qu'en 1970.
N. O. - Est-il démontré que ces déséquilibres ont un lien direct avec le cancer ?
D. Servan-Schreiber. - Oui, absolument. J'en donne dans mon livre toutes les preuves, que je ne peux pas énumérer ici. Je citerai un seul exemple récent, très intéressant, de la dégradation de notre chaîne alimentaire : c'est celui du rôle du lait, maternel ou non, dans la survenue inexplicable de l'obésité chez les enfants (1). Aux Etats-Unis, la masse de tissu gras des enfants de moins de 1 an a doublé entre 1970 et 1990. Pourquoi ? McDo ? Grignotage devant la télé ? Manque d'exercice physique ? Pas pour des nourrissons. Non. Le lait. Un changement dans la nature du lait dû à l'alimentation maïs-soja des bovins. Il y a d'ailleurs un parallélisme étonnant entre la diffusion épidémique de l'obésité et celle du cancer dans les pays occidentaux industrialisés.
N. O. - Peut-on parler vraiment d'épidémie de cancers dans ce cas ? L'augmentation du nombre de malades n'est-elle pas due plutôt au fait que leur population vieillit et que le dépistage y est de plus en plus efficace ?
D. Servan-Schreiber. - On l'a cru longtemps, mais on ne peut plus tenir ce discours aujourd'hui. Parce que l'une des populations où le cancer augmente notablement est celle des enfants et des adolescents, qui par définition ne sont concernés ni par le vieillissement général ni par le dépistage. Pourtant, on constate une augmentation de 1,3% par an des cancers entre 0 et 15 ans. Et le cancer du cerveau, pourtant non dé tectable, sauf par hasard, a triplé en France chez les personnes nées entre 1930 et 1950.
N. O. - Cet état des lieux est accablant. Comment réagir ? Que peut-on faire ?
D. Servan-Schreiber. - Heureusement, il y a aussi des éléments positifs. La cancérologie a fait des progrès foudroyants. Elle a pris un tournant décisif en 1971 lorsqu'un certain docteur Judah Folkman, chirurgien de son état, remarque que les tumeurs cancéreuses qu'il opère sont toutes massivement irriguées par des petits vaisseaux sanguins nombreux mais fragiles, comme créés à la va-vite. Il en conclut que le cancer a besoin, pour grossir, de l'inflammation mais aussi de vaisseaux sanguins l'alimentant en oxygène et en sang. Si on bloque ces vaisseaux, on pourra «assécher» la tumeur... Pendant vingt ans, Folkman a dû subir humiliations et sarcasmes de ses confrères scientifiques, avant que sa découverte ne soit enfin reconnue comme l'une des plus grandes de la cancérologie moderne. Aujourd'hui, tous les laboratoires essaient de trouver des médicaments pour réaliser ce blocage de la formation des vaisseaux sanguins (l'angiogenèse) alimentant les tumeurs malignes. On avance prudemment à cause des effets secondaires possibles. Mais, moi, il y a une chose qui me fascine, c'est de constater qu'il existe dans la nature des plantes qui ont un effet anti-angiogénique comparable. Mais sans effets secondaires et en se combinant parfaitement avec les traitements conventionnels, qu'ils peuvent parfois rendre plus efficaces. Ainsi les molécules actives du thé vert augmentent l'effet de la radiothérapie sur des cellules de tumeur cérébrale. Le curcuma (mentionné depuis 2000 ans dans les traités médicaux de l'Inde, de la Chine, du Tibet et du Moyen-Orient) est un puissant anti-inflammatoire qui inhibe la croissance de nombreux cancers : côlon, foie, estomac, sein, ovaire, sang... Ce qui explique que les Indiens, malgré un environnement très pollué, aient huit fois moins de cancers du poumon, neuf fois moins de cancers du sein, dix fois moins de cancers du rein que les Occidentaux. (Il faut cuisiner le curcuma : en poudre, non en gélules, et en y joignant du poivre.) L'acide ellagique de la framboise, testé en laboratoire dans les conditions d'un médicament, s'est révélé aussi actif que les médicaments connus pour bloquer l'angiogenèse des cellules cancéreuses. Il est maintenant scientifiquement prouvé que beaucoup d'aliments agissent sur les différents cancers (voir encadré p. 16) sans avoir évidemment aucun effet secondaire. Qui n'a pas mangé des framboises ?
http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/parution/p2238/dossier/a355219-%C2%ABcomment_je_combats_le_cancer%C2%BB.html
drame familial
Abendzeitung :
Horrortat im Morgengrauen: Amoklauf im Reihenhaus
Blutiges Familiendrama in Osnabrück: Ein 33-Jähriger ersticht Ehefrau und Schwiegermutter. Die beiden kleinen Kinder des Paares überleben. Der Täter ist vermutlich psychisch gestört.
OSNABRÜCK Es ist 5.55 Uhr. Ein ruhiger Samstagmorgen in der ordentlichen Reihenhaussiedlung im Osnabrücker Stadtteil Schölerberg. Noch niemand ist im leichten Schneetreiben unterwegs. Nur eine Frau steht auf ihrem Balkon, raucht eine frühe Zigarette. Sie wird Augenzeugin einer schier unfassbaren Horror-Tat.
Ein Wagen rast mit aufheulendem Motor heran, stoppt vor einem Nachbarhaus. Der Fahrer steigt aus, tritt den hohen Gartenzaun ein, steigt wieder in seinen Pkw und rast mit ihm mit hoher Geschwindigkeit durch den kleinen Vorgarten und über die Terrasse – durch eine riesige Fensterscheibe mitten hinein ins Wohnzimmer. Die Zeugin alarmiert sofort die Polizei. Doch bis zu deren Eintreffen hat der Mann seine Wahnsinns-Tat bereits vollendet.
Glück im Unglück
Wie die Ermittler rekonstruieren, stürmt der 33-jährige Mann in den Flur, ersticht mit einem 30 Zentimeter langem Küchenmesser seine durch den Lärm aufgeschreckte Frau und anschließend seine im Schlafzimmer im Bett liegende Schwiegermutter. Dann steckt er – vermutlich mit Benzin – das Haus in Brand. Als die Rettungskräfte eintreffen, brennt das Reihenhaus lichterloh.
Glück im Unglück haben drei weitere Bewohner des Hauses: Die beiden ein und drei Jahre alten Kinder werden von der Feuerwehr aus den Flammen gerettet, der 66-jährige Schwiegervater kann sich nur mit einem waghalsigen Sprung aus dem Fenster in Sicherheit bringen.
Der mutmaßliche Amokläufer, der sich in dem Feuer selber schwer verletzt, taumelt den eintreffenden Polizisten noch in die Arme - dann fällt er ins Koma. Er liegt inzwischen in lebensbedrohlichem Zustand in einer Dortmunder Spezialklinik, 40 bis 50 Prozent seiner Haut sind verbrannt.
Die Hintergründe des Familiendramas
Bald hat die Staatsanwaltschaft auch die Hintergründe des Familiendramas ermittelt. Seit Jahren lebt das aus Osnabrück stammende Ehepaar in Landshut. In der Ehe sei es immer wieder zu Auseinandersetzungen - auch mit zeitweiligen Trennungen – gekommen. Auch wieder am vergangenen Mittwoch.
Die Frau fuhr mit ihren Kindern in einer Nacht- und Nebelaktion nach Osnabrück und quartierte sich bei ihren Eltern ein. Der Mann folgte ihr und klopfte am Donnerstag mit einem Kanister in der Hand an das Fenster und verlangte, seine Kinder zu sehen. Die Frau alarmierte die Polizei, die vergeblich nach dem Auto des 33-Jährigen fahndete. Der Täter war nach Erkenntnissen der Mordkommission seit längeren psychisch krank und in Behandlung. mh
==============================
c'est un déséquilibré de 33 ans qui a poignardé et tué sa femme et sa belle-mère : ce n'est pas directement une période critique septennale à 33 ans mais l'intéressé était soigné pour dépression et problèmes psychiatriques depuis fort longtemps... or la période critique septennale qui aurait pu être un déclencheur de problèmes (conflit conjugal débouchant sur séparation, perturbations psychiques) pourrait très bien avoir été la période critique sepotennale précédente des 28 ans.
je retiens l'article pour le cas où l'on trouverait un jour de plus amples détails.
Horrortat im Morgengrauen: Amoklauf im Reihenhaus
Blutiges Familiendrama in Osnabrück: Ein 33-Jähriger ersticht Ehefrau und Schwiegermutter. Die beiden kleinen Kinder des Paares überleben. Der Täter ist vermutlich psychisch gestört.
OSNABRÜCK Es ist 5.55 Uhr. Ein ruhiger Samstagmorgen in der ordentlichen Reihenhaussiedlung im Osnabrücker Stadtteil Schölerberg. Noch niemand ist im leichten Schneetreiben unterwegs. Nur eine Frau steht auf ihrem Balkon, raucht eine frühe Zigarette. Sie wird Augenzeugin einer schier unfassbaren Horror-Tat.
Ein Wagen rast mit aufheulendem Motor heran, stoppt vor einem Nachbarhaus. Der Fahrer steigt aus, tritt den hohen Gartenzaun ein, steigt wieder in seinen Pkw und rast mit ihm mit hoher Geschwindigkeit durch den kleinen Vorgarten und über die Terrasse – durch eine riesige Fensterscheibe mitten hinein ins Wohnzimmer. Die Zeugin alarmiert sofort die Polizei. Doch bis zu deren Eintreffen hat der Mann seine Wahnsinns-Tat bereits vollendet.
Glück im Unglück
Wie die Ermittler rekonstruieren, stürmt der 33-jährige Mann in den Flur, ersticht mit einem 30 Zentimeter langem Küchenmesser seine durch den Lärm aufgeschreckte Frau und anschließend seine im Schlafzimmer im Bett liegende Schwiegermutter. Dann steckt er – vermutlich mit Benzin – das Haus in Brand. Als die Rettungskräfte eintreffen, brennt das Reihenhaus lichterloh.
Glück im Unglück haben drei weitere Bewohner des Hauses: Die beiden ein und drei Jahre alten Kinder werden von der Feuerwehr aus den Flammen gerettet, der 66-jährige Schwiegervater kann sich nur mit einem waghalsigen Sprung aus dem Fenster in Sicherheit bringen.
Der mutmaßliche Amokläufer, der sich in dem Feuer selber schwer verletzt, taumelt den eintreffenden Polizisten noch in die Arme - dann fällt er ins Koma. Er liegt inzwischen in lebensbedrohlichem Zustand in einer Dortmunder Spezialklinik, 40 bis 50 Prozent seiner Haut sind verbrannt.
Die Hintergründe des Familiendramas
Bald hat die Staatsanwaltschaft auch die Hintergründe des Familiendramas ermittelt. Seit Jahren lebt das aus Osnabrück stammende Ehepaar in Landshut. In der Ehe sei es immer wieder zu Auseinandersetzungen - auch mit zeitweiligen Trennungen – gekommen. Auch wieder am vergangenen Mittwoch.
Die Frau fuhr mit ihren Kindern in einer Nacht- und Nebelaktion nach Osnabrück und quartierte sich bei ihren Eltern ein. Der Mann folgte ihr und klopfte am Donnerstag mit einem Kanister in der Hand an das Fenster und verlangte, seine Kinder zu sehen. Die Frau alarmierte die Polizei, die vergeblich nach dem Auto des 33-Jährigen fahndete. Der Täter war nach Erkenntnissen der Mordkommission seit längeren psychisch krank und in Behandlung. mh
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c'est un déséquilibré de 33 ans qui a poignardé et tué sa femme et sa belle-mère : ce n'est pas directement une période critique septennale à 33 ans mais l'intéressé était soigné pour dépression et problèmes psychiatriques depuis fort longtemps... or la période critique septennale qui aurait pu être un déclencheur de problèmes (conflit conjugal débouchant sur séparation, perturbations psychiques) pourrait très bien avoir été la période critique sepotennale précédente des 28 ans.
je retiens l'article pour le cas où l'on trouverait un jour de plus amples détails.
transplanté
DauphinéLibéré :
SANTÉ
Le doyen mondial des transplantés du cœur vit en Haute-Savoie : "Chaque matin, c'est... cadeau"
par La Rédaction du DL | le 16/11/08 à 07h30
Résumer sa vie est quasi impossible, tant Serge Rochet a empilé les expériences. Ce sportif aguerri sourit tous les matins en s'estimant chanceux.
Lorsqu'il remonte le cours de sa vie, Serge Rochet déroule une pelote dont le fil ne tisse quasiment que des liens sportifs. "Je suis né à Sallanches, mais j'ai passé le plus clair de mon enfance à Megève, élevé par ma mère." Alors, les pistes du Mont d'Arbois ne conservent pas longtemps leurs secrets et le jeune collégien alterne avec boulimie entre le foot, le patinage et le hockey sur glace. Au lycée du Fayet, il meuble les soirées d'internat par des matches endiablés, patins aux pieds, lorsque les hivers étaient beaucoup plus rigoureux. "On jouait à Saint-Gervais sur une patinoire en glace naturelle et le soir venu on redescendait en courant les 6 km qui nous séparaient de l'internat par les chemins de traverse."
Son chemin croise plusieurs fois celui de Johnny Hallyday
Puis, pour payer ses études, Serge Rochet délaisse ses montagnes en devenant plagiste à Nice, l'été venu. L'époque de l'insouciance, il la croque à pleines dents. Et comme il a toujours le sport chevillé au corps, il tisse des liens avec les footballeurs de l'OGC Nice avec lesquels il partage quelques séances d'entraînement le soir venu, cheveux dans le vent. Le destin lui permet de lier connaissance avec le "yéyé" de l'époque, Johnny Hallyday, habitué de l'Opéra Plage. Et comme le hasard fait bien les choses, la route des deux hommes se croise un peu plus tard en Allemagne, à Offenburg très exactement en 1965, lorsque Johnny (déjà entré au musée Grévin et plusieurs fois disque d'or) et Serge se retrouvent sous les drapeaux. "On s'est revu plusieurs fois depuis, lorsque Johnny vient à Megève, il a même la gentillesse de m'inviter à dîner. La dernière fois, c'était en 2001: de super souvenirs !"
En pleine force de l'âge, alors que la vie déroule son long fleuve tranquille, Serge Rochet, l'accro de la petite reine et du ski de randonnée, après avoir raccroché les patins, se retrouve brutalement désemparé. "Je m'en souviens comme si c'était hier. En juillet, avec des amis on avait sillonné la Bretagne à vélo et je me sentais fatigué. En août de retour d'une sortie (Megève-Annecy et retour) je n'avais plus de jus. Mon médecin a tout de suite flairé l'anomalie et m'a dirigé vers des spécialistes."
Transplanté deux fois en 24 ans
D'Annecy à Lyon, le diagnostic se confirme: myocardiopathie (1). "Là, en quelques jours ma vie a basculé. Je me suis retrouvé du jour au lendemain en arrêt maladie et de plus en plus affaibli." Terminées les déposes en hélico pour faire du ski hors piste. Aux oubliettes les longues sorties à bicyclette. À cet instant, Serge Rochet livre un autre combat. "Je n'avais que 34 ans à l'époque ! Je me suis raccroché au corps médical et notamment aux professeurs Sisteron et Dureau qui s'étaient penchés sur mon cas."
Le processus de la transplantation est déclenché en janvier 1979 "je ne me levais quasiment plus. En mai, le professeur Sisteron m'a emmené de Megève à Lyon dans sa propre voiture, j'étais soigné à la clinique protestante, je n'étais plus alimenté que par des perfusions."
Dans la nuit du 24 au 25 juin 1979, Serge Rochet recevra le coeur d'un jeune homme victime d'un accident cérébral. Trois rejets plus tard et une rééducation digne d'un sportif de haut niveau lui permettront de reprendre la vie par le bon bout. "J'ai pu refaire du sport quelques années plus tard (tennis, vélo, ski, randonnées en montagne, hockey en vétérans) j'ai même mis fin à mon congé longue maladie en reprenant une activité salariée. Tout allait bien et puis, en 2 003, au bout de 24 ans, la machine s'est à nouveau déréglée !" Mêmes symptômes, même parcours. !"Le 17 mai 2004, les veines de Serge Rochet battent au rythme de son... troisième coeur ! "La première fois, en 1979 nous n'étions que deux à être suivis dans le service de transplantation de Lyon, en 2004 nous étions 650 dans le même cas. La médecine a bien évolué !" Pas de nostalgie dans le timbre de sa voix, car Serge Rochet a appris à ne penser qu'à l'avenir ! "J'ai eu la chance de naître dans un pays riche, à la pointe du progrès médical. Alors, mes petits bobos ne sont pas grand-chose quand on y pense. Je me dis toujours: «vis chaque jour intensément comme si c'était le dernier. Mais continue tout de même à faire des projets.»(rires)
À 65 ans, le doyen mondial des transplantés cardiaques joue toujours au hockey sur glace, catégorie vétérans, trottine dès qu'il le peut, conscient que le sport lui a permis de surmonter toutes ces épreuves. D'ailleurs, à Vichy en juin dernier lors des Jeux européens des transplantés, auxquels il participait pour la première fois, Serge Rochet n'a pas fait dans le détail, raflant au passage huit médailles.
Un cadeau de plus !
(1) Terme désignant les affections graves du muscle cardiaque d'origine inconnue, provoquant un trouble du fonctionnement du coeur et évoluant généralement vers une insuffisance cardiaque et des troubles du rytme. Celle de Serge Rochet était d'origine virale.
REPÈRES
SPORT: Sélectionné en football dans la catégorie cadets départementaux (1957-58) il porte les couleurs de l'ES Sallanches. Dans le même temps, pratique le hockey sur glace et joue ensuite en première division successivement à Saint-Gervais (début des années 1960), Megève (fin des années 1960), Dijon (1972-74), et à Lyon (jusqu'en 1977).
MALADIE
Ressent les premiers symptômes de son insuffisance cardiaque en juin 1977. Transplanté du coeur dans la nuit du 25 au 26 juin 1979. Après 3 rejets (juillet, novembre 1979 et février 80) son état se stabilise. Ressent des symptômes similaires à ses premiers malaises en 2003. À nouveau transplanté le 17 mai 2004.
Devient doyen mondial des transplantés cardiaques fin 2004, début 2005 après le décès de son prédécesseur américain.
AUJOURD'HUI
Continue à pratiquer régulièrement le sport en général. Chevalier de la Légion d'honneur en 2005. Huit fois médaillé aux Jeux européens 2008 des transplantés: médaillé d'or du 30 km vélo, d'argent sur le 1 500 m course à pied et d'or du combiné des deux épreuves. Médaillé d'or au lancer du poids et saut en longueur. Médaillé d'argent sur le cross-country et médaillé de bronze au golf et en volley-ball.
Pierre BROUILLAUD
Paru dans l'édition 38H du 16/11/2008 (90635)
==============================================
des éléments intéressants dans ce parcours...
- "je me sentais fatigué. En août de retour d'une sortie (Megève-Annecy et retour) je n'avais plus de jus.
D'Annecy à Lyon, le diagnostic se confirme: myocardiopathie. Là, en quelques jours ma vie a basculé. Je me suis retrouvé du jour au lendemain en arrêt maladie et de plus en plus affaibli."
en fait Serge Rochet a fait le même scénario qui est arrivé à un certain nombre de sportifs de haut niveau ou intensifs : une sorte de burn out à l'entrée d'une période critique septennale... ici, celle de 35 ans. dans les cas que j'ai vus (vais essayer de les retrouver - (2) il s'agit entre autre de SFC (Syndrome de Fatigue Chronique) survenue de façon foudroyante à l'arrivée d'une période critique septennale.
(2)pour l'instant je me rappelle de Ricky Carmichael (moto) - Olaf Booden (foot)
Michelle Akers (foot) et il y en a d'autres. il faut aussi voir du côté d'autres appellations du "burn out" en question.
- le premier coeur a duré 24 ans ce qui est un cycle physique. (23 ans en principe, équivalent du cycle physique de 23 jours)
SANTÉ
Le doyen mondial des transplantés du cœur vit en Haute-Savoie : "Chaque matin, c'est... cadeau"
par La Rédaction du DL | le 16/11/08 à 07h30
Résumer sa vie est quasi impossible, tant Serge Rochet a empilé les expériences. Ce sportif aguerri sourit tous les matins en s'estimant chanceux.
Lorsqu'il remonte le cours de sa vie, Serge Rochet déroule une pelote dont le fil ne tisse quasiment que des liens sportifs. "Je suis né à Sallanches, mais j'ai passé le plus clair de mon enfance à Megève, élevé par ma mère." Alors, les pistes du Mont d'Arbois ne conservent pas longtemps leurs secrets et le jeune collégien alterne avec boulimie entre le foot, le patinage et le hockey sur glace. Au lycée du Fayet, il meuble les soirées d'internat par des matches endiablés, patins aux pieds, lorsque les hivers étaient beaucoup plus rigoureux. "On jouait à Saint-Gervais sur une patinoire en glace naturelle et le soir venu on redescendait en courant les 6 km qui nous séparaient de l'internat par les chemins de traverse."
Son chemin croise plusieurs fois celui de Johnny Hallyday
Puis, pour payer ses études, Serge Rochet délaisse ses montagnes en devenant plagiste à Nice, l'été venu. L'époque de l'insouciance, il la croque à pleines dents. Et comme il a toujours le sport chevillé au corps, il tisse des liens avec les footballeurs de l'OGC Nice avec lesquels il partage quelques séances d'entraînement le soir venu, cheveux dans le vent. Le destin lui permet de lier connaissance avec le "yéyé" de l'époque, Johnny Hallyday, habitué de l'Opéra Plage. Et comme le hasard fait bien les choses, la route des deux hommes se croise un peu plus tard en Allemagne, à Offenburg très exactement en 1965, lorsque Johnny (déjà entré au musée Grévin et plusieurs fois disque d'or) et Serge se retrouvent sous les drapeaux. "On s'est revu plusieurs fois depuis, lorsque Johnny vient à Megève, il a même la gentillesse de m'inviter à dîner. La dernière fois, c'était en 2001: de super souvenirs !"
En pleine force de l'âge, alors que la vie déroule son long fleuve tranquille, Serge Rochet, l'accro de la petite reine et du ski de randonnée, après avoir raccroché les patins, se retrouve brutalement désemparé. "Je m'en souviens comme si c'était hier. En juillet, avec des amis on avait sillonné la Bretagne à vélo et je me sentais fatigué. En août de retour d'une sortie (Megève-Annecy et retour) je n'avais plus de jus. Mon médecin a tout de suite flairé l'anomalie et m'a dirigé vers des spécialistes."
Transplanté deux fois en 24 ans
D'Annecy à Lyon, le diagnostic se confirme: myocardiopathie (1). "Là, en quelques jours ma vie a basculé. Je me suis retrouvé du jour au lendemain en arrêt maladie et de plus en plus affaibli." Terminées les déposes en hélico pour faire du ski hors piste. Aux oubliettes les longues sorties à bicyclette. À cet instant, Serge Rochet livre un autre combat. "Je n'avais que 34 ans à l'époque ! Je me suis raccroché au corps médical et notamment aux professeurs Sisteron et Dureau qui s'étaient penchés sur mon cas."
Le processus de la transplantation est déclenché en janvier 1979 "je ne me levais quasiment plus. En mai, le professeur Sisteron m'a emmené de Megève à Lyon dans sa propre voiture, j'étais soigné à la clinique protestante, je n'étais plus alimenté que par des perfusions."
Dans la nuit du 24 au 25 juin 1979, Serge Rochet recevra le coeur d'un jeune homme victime d'un accident cérébral. Trois rejets plus tard et une rééducation digne d'un sportif de haut niveau lui permettront de reprendre la vie par le bon bout. "J'ai pu refaire du sport quelques années plus tard (tennis, vélo, ski, randonnées en montagne, hockey en vétérans) j'ai même mis fin à mon congé longue maladie en reprenant une activité salariée. Tout allait bien et puis, en 2 003, au bout de 24 ans, la machine s'est à nouveau déréglée !" Mêmes symptômes, même parcours. !"Le 17 mai 2004, les veines de Serge Rochet battent au rythme de son... troisième coeur ! "La première fois, en 1979 nous n'étions que deux à être suivis dans le service de transplantation de Lyon, en 2004 nous étions 650 dans le même cas. La médecine a bien évolué !" Pas de nostalgie dans le timbre de sa voix, car Serge Rochet a appris à ne penser qu'à l'avenir ! "J'ai eu la chance de naître dans un pays riche, à la pointe du progrès médical. Alors, mes petits bobos ne sont pas grand-chose quand on y pense. Je me dis toujours: «vis chaque jour intensément comme si c'était le dernier. Mais continue tout de même à faire des projets.»(rires)
À 65 ans, le doyen mondial des transplantés cardiaques joue toujours au hockey sur glace, catégorie vétérans, trottine dès qu'il le peut, conscient que le sport lui a permis de surmonter toutes ces épreuves. D'ailleurs, à Vichy en juin dernier lors des Jeux européens des transplantés, auxquels il participait pour la première fois, Serge Rochet n'a pas fait dans le détail, raflant au passage huit médailles.
Un cadeau de plus !
(1) Terme désignant les affections graves du muscle cardiaque d'origine inconnue, provoquant un trouble du fonctionnement du coeur et évoluant généralement vers une insuffisance cardiaque et des troubles du rytme. Celle de Serge Rochet était d'origine virale.
REPÈRES
SPORT: Sélectionné en football dans la catégorie cadets départementaux (1957-58) il porte les couleurs de l'ES Sallanches. Dans le même temps, pratique le hockey sur glace et joue ensuite en première division successivement à Saint-Gervais (début des années 1960), Megève (fin des années 1960), Dijon (1972-74), et à Lyon (jusqu'en 1977).
MALADIE
Ressent les premiers symptômes de son insuffisance cardiaque en juin 1977. Transplanté du coeur dans la nuit du 25 au 26 juin 1979. Après 3 rejets (juillet, novembre 1979 et février 80) son état se stabilise. Ressent des symptômes similaires à ses premiers malaises en 2003. À nouveau transplanté le 17 mai 2004.
Devient doyen mondial des transplantés cardiaques fin 2004, début 2005 après le décès de son prédécesseur américain.
AUJOURD'HUI
Continue à pratiquer régulièrement le sport en général. Chevalier de la Légion d'honneur en 2005. Huit fois médaillé aux Jeux européens 2008 des transplantés: médaillé d'or du 30 km vélo, d'argent sur le 1 500 m course à pied et d'or du combiné des deux épreuves. Médaillé d'or au lancer du poids et saut en longueur. Médaillé d'argent sur le cross-country et médaillé de bronze au golf et en volley-ball.
Pierre BROUILLAUD
Paru dans l'édition 38H du 16/11/2008 (90635)
==============================================
des éléments intéressants dans ce parcours...
- "je me sentais fatigué. En août de retour d'une sortie (Megève-Annecy et retour) je n'avais plus de jus.
D'Annecy à Lyon, le diagnostic se confirme: myocardiopathie. Là, en quelques jours ma vie a basculé. Je me suis retrouvé du jour au lendemain en arrêt maladie et de plus en plus affaibli."
en fait Serge Rochet a fait le même scénario qui est arrivé à un certain nombre de sportifs de haut niveau ou intensifs : une sorte de burn out à l'entrée d'une période critique septennale... ici, celle de 35 ans. dans les cas que j'ai vus (vais essayer de les retrouver - (2) il s'agit entre autre de SFC (Syndrome de Fatigue Chronique) survenue de façon foudroyante à l'arrivée d'une période critique septennale.
(2)pour l'instant je me rappelle de Ricky Carmichael (moto) - Olaf Booden (foot)
Michelle Akers (foot) et il y en a d'autres. il faut aussi voir du côté d'autres appellations du "burn out" en question.
- le premier coeur a duré 24 ans ce qui est un cycle physique. (23 ans en principe, équivalent du cycle physique de 23 jours)
samedi 22 novembre 2008
agression
AFP :
Meurtre à Pierrefitte: un suspect écroué
" Un homme de 35 ans, suspecté d'avoir poignardé dimanche soir à Pierrefitte-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) un homme du même âge, a été mis en examen pour "tentative d'homicide" vendredi par un juge de Bobigny et écroué, selon une source judiciaire. Une querelle liée à "un prêt d'argent" entre ces ceux hommes nés en Tunisie semble être à l'origine de l'agression.
La victime, grièvement blessée, avait reçu trois coups de couteau, dont l'un à proximité de la colonne vertébrale, à la sortie d'un hall d'immeuble."
===============
le problème c'est toujours que l'on est plus prompt à la réaction, à passer à l'acte, en période critique septennale : prudence quant à tous nos comportements durant ces périodes là... certaines inhibitions sont "relachées"
Meurtre à Pierrefitte: un suspect écroué
" Un homme de 35 ans, suspecté d'avoir poignardé dimanche soir à Pierrefitte-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) un homme du même âge, a été mis en examen pour "tentative d'homicide" vendredi par un juge de Bobigny et écroué, selon une source judiciaire. Une querelle liée à "un prêt d'argent" entre ces ceux hommes nés en Tunisie semble être à l'origine de l'agression.
La victime, grièvement blessée, avait reçu trois coups de couteau, dont l'un à proximité de la colonne vertébrale, à la sortie d'un hall d'immeuble."
===============
le problème c'est toujours que l'on est plus prompt à la réaction, à passer à l'acte, en période critique septennale : prudence quant à tous nos comportements durant ces périodes là... certaines inhibitions sont "relachées"
infanticide
AFP :
Une femme qui avait tué ses deux enfants condamnée à 20 ans de réclusion
Il y a 7 heures
ROUEN (AFP) — La Cour d'assises de la Seine-Maritime a condamné vendredi soir à 20 ans de réclusion criminelle une femme de 39 ans qui avait tué, en les pendant, ses deux enfants jumeaux âgés de quatre ans, le 1er mars 2006 à Pavilly, près de Rouen.
La drame s'était produit alors que cette femme élevée par une famille d'accueil était en instance de divorce et qu'elle ne suppportait pas cette perspective. Elle a pendu ses deux enfants dans le cabanon du jardin de la maison familiale avant de tenter de mettre fin à ses jours.
A la barre, l'accusée a reconnu les faits en expliquant qu'elle avait eu peur de perdre la garde des enfants au profit de son mari. "Il m'avait dit que j'aurais la garde des petits. Mais lorsque je suis allée voir l'avocate, il n'en était rien. Il les voulait pour lui tout seul", a-t-elle dit.
Les jurés sont restés en deçà des réquisitions de l'avocate générale, qui avait requis une peine de trente ans de réclusion alors que l'accusée encourait la perpétuité.
Ils ont vraisembablement tenu compte de l'avis des experts qui ont assuré que le discernement de l'accusée était "altéré" au moment des faits, ce qui signifiait qu'elle était accessible à une sanction pénale mais que sa responsabilité était diminuée.
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là aussi probablement un drame conjugal lié à la période critique septennale dans laquelle séjournait la mère (période des 35 ans au moment de la séparation).on peut considérer effectivement qu'il s'agit d'une altération du discernement car en période critique septennale on est "différent" et on n'a pas notre état de conscience habituel : c'est un peu comme si nous avions bu de l'alcool. le problème est que la majorité des drames étant lié à ces périodes il faudrait systématiquement en tenir compte... mais il faudrait surtout pouvoir prévenir les drames.
édit : l'intéressée a été condamné à 20 ans de réclusion.
dans un autre article (forum "justice") je trouve des indices qui parlent de sérieuses perturbations psychologiques, et cela semble surtout aller dans le sens de ma thèse de la période critique septennale : plusieurs tentatives de suicide et la personne était soignée pour dépression avant et au moment des faits et sous antidépresseurs aussi...
subsiste quand même le fait de se considérer comme propriétaire de la vie de ses enfants qu'elle a probablement voulu soustraire à son mari.
Une femme qui avait tué ses deux enfants condamnée à 20 ans de réclusion
Il y a 7 heures
ROUEN (AFP) — La Cour d'assises de la Seine-Maritime a condamné vendredi soir à 20 ans de réclusion criminelle une femme de 39 ans qui avait tué, en les pendant, ses deux enfants jumeaux âgés de quatre ans, le 1er mars 2006 à Pavilly, près de Rouen.
La drame s'était produit alors que cette femme élevée par une famille d'accueil était en instance de divorce et qu'elle ne suppportait pas cette perspective. Elle a pendu ses deux enfants dans le cabanon du jardin de la maison familiale avant de tenter de mettre fin à ses jours.
A la barre, l'accusée a reconnu les faits en expliquant qu'elle avait eu peur de perdre la garde des enfants au profit de son mari. "Il m'avait dit que j'aurais la garde des petits. Mais lorsque je suis allée voir l'avocate, il n'en était rien. Il les voulait pour lui tout seul", a-t-elle dit.
Les jurés sont restés en deçà des réquisitions de l'avocate générale, qui avait requis une peine de trente ans de réclusion alors que l'accusée encourait la perpétuité.
Ils ont vraisembablement tenu compte de l'avis des experts qui ont assuré que le discernement de l'accusée était "altéré" au moment des faits, ce qui signifiait qu'elle était accessible à une sanction pénale mais que sa responsabilité était diminuée.
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là aussi probablement un drame conjugal lié à la période critique septennale dans laquelle séjournait la mère (période des 35 ans au moment de la séparation).on peut considérer effectivement qu'il s'agit d'une altération du discernement car en période critique septennale on est "différent" et on n'a pas notre état de conscience habituel : c'est un peu comme si nous avions bu de l'alcool. le problème est que la majorité des drames étant lié à ces périodes il faudrait systématiquement en tenir compte... mais il faudrait surtout pouvoir prévenir les drames.
édit : l'intéressée a été condamné à 20 ans de réclusion.
dans un autre article (forum "justice") je trouve des indices qui parlent de sérieuses perturbations psychologiques, et cela semble surtout aller dans le sens de ma thèse de la période critique septennale : plusieurs tentatives de suicide et la personne était soignée pour dépression avant et au moment des faits et sous antidépresseurs aussi...
subsiste quand même le fait de se considérer comme propriétaire de la vie de ses enfants qu'elle a probablement voulu soustraire à son mari.
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