lundi 24 novembre 2008

meurtrier

SKCenter :
Assises - Un espoir du basket accusé d'avoir tué sa mère
Aujourd’hui 19 novembre 2008, Liberto Tetimadingar, 28 ans, comparaît devant la cour d’assises de la Somme pour « meurtre sur ascendant ». Il encourt la réclusion criminelle à perpétuité.

Ce matin, du haut de ses deux mètres, il prendra place dans le box des accusés. Il s’appelle Liberto Tetimadingar. Le jeune homme, 28 ans, est accusé du meurtre de sa mère. Une affaire trouble qui plongera sans doute dans les méandres d’une histoire familiale faite de non-dits et de secrets. Les jurés auront pour lourde tâche de comprendre comment ce grand gaillard, « un gros nounours » tel que le décrit son conseil, Me Zineb Abdellatif, a pu basculer dans le meurtre.
(.....) il fait la rencontre d’une jeune femme avec laquelle il a un enfant. Ce qui ne l’empêche pas de rester fragile psychologiquement. Et de tomber dans la drogue. Peu à peu, Liberto devient violent. Une fois, il renverse une voiture de police. A la force de ses bras. Un « exploit » qui poussera Liberto à finalement délaisser les Etats-Unis pour la France où il rejoint sa mère. Leur relation, déjà conflictuelle, s’envenime. Jusqu’à ce 1er mai 2005.

Coups de couteau
Ce jour-là, une dispute éclate entre Liberto et sa mère. Le jeune homme monte dans sa chambre, elle le suit avec un couteau. Il s’empare de l’arme blanche et frappe sa mère de plusieurs coups. Sur le corps de la défunte, 63 ans, 17 plaies seront identifiées. Après le drame, Liberto reste à côté de la dépouille. Puis la lave, panse les plaies et décide de l’enterrer dans le jardin. Le 2 mai, il raconte son geste à l’un de ses copains. Il dit aussi vouloir faire disparaître le corps avec de l’acide chlorhydrique. Un projet qu’il abandonne. Le soir même, le jeune homme est interpellé à son domicile.
« Selon le rapport d’expertise, le discernement du jeune homme était altéré au moment des faits », précise Me Zineb Abdellatif. Les experts qui se succéderont à la barre devront tenter de faire la lumière sur un profil psychologique fragile. Liberto est atteint de schizophrénie. L’enquête met au jour un rapport trouble avec la mère. (...)
Source : France Soir
(.....) Le jour du drame, «ils se sont disputés, sa mère est montée avec un couteau, il le lui a arraché et l'a poignardée seize fois. On voit bien qu'il n'avait pas l'intention de tuer. C'est la rage, le ras-le-bol», a-t-elle plaidé. Il avait ensuite enterré son corps au fond du jardin avant d'être interpellé le lendemain sur les indications d'un proche à qui il s'était confié.
Source : AFP/ L'Equipe
Sept ans de prison pour Liberto Tetimadingar
Cet après-midi à 18 heures Liberto Tetimadingar a été condamné à 7 années d'emprisonnement pour avoir tué sa mère Rose-Marie Bertrand dans la nuit du 1er au 2 mai 2005 à coups de couteau.
L'avocat général avait requis une peine comprise en 10 et 12 ans d'emprisonnement. Les jurés ont considéré que Liberto Tetimadengar ne s'est pas rendu coupable d'homicide volontaire mais de coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner.
Source : Le Courrier Picard

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j'ai regardé la situation du 1er au 2 mai 2005 :
né le 27/06/1980 c'est i 1 premier jour - critique - du cycle intellectuel le 2 mai (avec point de départ le 1er mai au soir) c'est déjà un élément intéressant.
pas d'autre critique néanmoins (physique ou émotionnel) ni d'année critique physique ou psychique (il se trouve aujourd'hui à 28 ans en période critique septennale).

il faut cependant aller voir aussi du côté de cette mère qui à 63 ans se trouve en pleine période critique septennale et poursuit armée d'un couteau, son fils de 25 ans avec lequel elle vient de se disputer : j'aurais tendance à y chercher une part de responsabilité. en période critique septennale on est différent... et pour certains "pas dans son état normal"... on pourrait aussi examiner la situation biorythmique précise de la mère au moment des faits... car si par exemple elle se trouve dans un jour critique - émotionnel ou physique - cela explique encore un peu mieux ce qui a pu se passer...

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