news de stars :
Joaquin Phoenix n'est plus lui même depuis quelques temps...
Joaquin Phoenix, qui en plus d'être acteur est devenu chanteur, a perdu son sang froid lorsque l'équipe de tournage de Casey Affleck, qui tourne actuellement un documentaire concernant le changement de carrière de Joaquin, est arrivée en retard pour les prises de son au club le Lavo.
............
...............
Plus tard dans la soirée, l'artiste de 34 ans a surpris les spectateurs en interprétant trois titres hip-hop. Durant le concert, Joaquin était débraillé, portait une barbe et des cheveux longs, dansait de manière chancelante et s'est effondré dans la foule en quittant la scène.
Le comportement changeant de Joaquin Phoenix ainsi que son apparence peu soignée inquiète ses proches. "Son comportement étrange inquiète tout le monde. Ça devient effrayant." a déclaré un témoin.
Joaquin a quant à lui fait part des questionnements de beaucoup de ses proches concernant sa reconversion dans la musique: "C'est une opportunité me permettant de faire quelque chose qui m'est cher. Certains se diront-ils que c'est nul? Sans doute, mais je ne m'en fais pas pour ça."
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Joaquin Phoenix est un acteur américain né le 28 octobre 1974 à Porto Rico.
c'est à 34 ans et demi que l'on entre dans la période critique septennale des 35 ans.
certains signaux précurseurs ressemblent fort à ceux décrits dans cet article : et la vedette a actuellement 34 ans et trois mois...
les conséquences sont très variables puisque dans la plupart des cas les gens assument. par contre dans les milieux du spectacle où l'on est en permanence soumis au stress et à la nécessité de paraître et de rendement aussi... certains peuvent alors se prendre les pieds dans le tapis s'ils n'y prennent garde ou s'ils ne sont pas assez "costauds"... le commun des mortels peut sombrer parfois dans une grave dépression septennale...
ailleurs aussi :(moncinéma.com)
Un article publié dans le plus récent numéro d’Entertainment Weekly a particulièrement attiré mon attention. Dans cet article, on relate la prestation scénique pour le moins approximative de Joaquin Phoenix dans une boîte de Las Vegas le 16 janvier dernier. Du coup, le journaliste Josh Rottenberg évoque deux hypothèses quant à la nouvelle vocation de celui qui, il y a quelques mois, a annoncé son retrait définitif du monde du cinéma pour se consacrer à une carrière musicale. Selon Rottenberg, de deux choses l’une: ou Phoenix est en train de réaliser un immense canular, ou il est en plein suicide professionnel.
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canular je ne crois pas...
mais pour ce qui est de la prestation du 16 janvier je comprends mieux : c'était l'entrée dans un jour critique physique P12 ce jour là... ceci explique cela.
(P12 peut être jour d'épuisement et de vraiment très mauvaise forme dans sa variante grave)
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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samedi 31 janvier 2009
vendredi 30 janvier 2009
drame familial
Marseille89 :
Double suicide du TGV : nouveau scandale psychiatrique ?
Par Jean-Baptiste Malet | Journaliste | 30/01/2009
Le 10 décembre dernier, le double suicide d'une mère et de sa fille sur une voie TGV à Solliès-Pont, dans le Var, était présenté par la presse régionale comme un sanglant fait divers. Mais depuis le drame, le père de la famille, Michel Prévidi, 58 ans, ne cesse d'expliquer qu'il s'agit d'un nouveau scandale psychiatrique et, "pour déconstruire les mensonges", livre son récit kafkaïen.
Tout a véritablement commencé le 24 juillet 2008, lorsque la fille ainée de la famille Prévidi, Virginie (28 ans) se suicide seule sur les rails du TGV qui passe à cent mètres de leur maison. Le lendemain, Michel Prévidi se rend à la gendarmerie puis aux pompes funèbres. Là, une phrase va l'enchaîner au malheur:
"Il fallait que je choisisse l'urne pour ma fille. Dans la douleur, j'ai dit à l'employé des pompes-funèbres d'en réserver trois autres."
Intrigué par le propos, l'employé des pompes funèbres alerte la gendarmerie et explique que la famille projette un suicide collectif.
André Garon, maire UMP du village et ancien médecin militaire, lance alors avec l'accord du préfet un dispositif d'hospitalisation d'office (HO) pour les trois membres de la famille au centre hospitalier Henri Guerin de Pierrefeu-du-Var.
"Je ne peux plus vivre sans ma fille"
Le 28 juillet 2008, jour des obsèques, Michel Prévidi ne peut assister à la crémation de sa fille car c'est le jour choisi pour l'internement de sa famille par les autorités.
"Nous étions ensemble dans la salle. J'avais les mains sur le cercueil de ma fille, et à ce moment là, un médecin m'a demandé de sortir. Il y avait deux gendarmes, quatre pompiers, le maire. On m'a mis de force dans l'ambulance pour m'emmener à l'hôpital psychiatrique de Pierrefeu. Je n'ai donc pas pu assister à la crémation. Ma femme oui. Elle est sortie avec l'urne encore chaude et a été embarquée par la même équipe. C'est une véritable honte.
Comment le maire a-t-il pu prendre une décision alors qu'il ne nous connaissait pas et ne savait pas que nous étions sous traitement depuis trois jours et donc que nous étions stabilisés? On ne devrait pas enfermer quelqu'un simplement sur une parole maladroite. On n'enferme pas des gens à l'heure même de la crémation!"
C'est alors un véritable cauchemar qui commence pour la famille Prévidi à qui l'on interdit le deuil.
"Pendant douze jours, on nous a interdits de nous voir entre nous. Aucune rencontre de groupe, nous étions strictement séparés. Nous avons vécu avec des aliénés, il y avait des hurlements jour et nuit dans un environnement répugnant. Même si l'enfermement est justifié, on ne peut pas s'occuper des gens ainsi! Sans communiquer, sans se voir pendant douze jours! C'est inhumain!"
La famille, traumatisée par le suicide et l'enfermement, est à nouveau ébranlée le 10 décembre 2008 lorsque la mère Sylvie (50 ans) et la fille cadette Amélie (22 ans) décident de se suicider à leur tour sur la même voie ferrée. Son épouse ne laisse à Michel Prévidi qu'un simple mot: "Je ne peux pas vivre sans ma fille."
"Tenus d'exécuter notre mission de prise en charge"
Pour lui, c'est évident: "L'internement nous a détruits. Nous n'avons pas été soignés, mais notre malheur a été aggravé." De lourdes accusations auxquelles répond Michel Bartel, directeur du centre hospitalier Henri Guerin:
"Le centre s'est retrouvé en situation de devoir prendre en charge dans des circonstances dramatiques une famille éprouvée suite à une mesure d'ordre public d'HO. Le maire a réalisé une appréciation de la situation. Nous n'avons pas choisi la date de l'internement et nous avons été tenus d'exécuter notre mission de prise en charge.
Le choix de la séparation des patients est un choix des psychiatres et je ne peux pas le commenter, c'est une décision médicale. Toute l'équipe était sous le choc à l'annonce du drame. La perte d'un patient est toujours un échec. Je m'incline bien évidemment devant la douleur de M. Prévidi et celle du conducteur de la locomotive."
Quant au maire, il s'est expliqué au moment des faits et ne souhaite plus apporter de commentaires, considérant que le double suicide est une preuve par le drame. "Ils proféraient des menaces de suicide collectif et il y avait des présomptions lourdes de passage à l'acte. La tragédie a confirmé que l'hospitalisation était nécessaire."
Désormais, Michel Prévidi dit vouloir se reposer tout en s'exprimant sur un site Internet à la ligne anti-psychiatrique. Il a d'ores et déjà approché l'avocat Gilbert Collard avec pour ambition de déposer dans les prochains jours des plaintes contre les acteurs de l'internement familial.
site : http://psycho-mania.com/
=======================
les dépressions septennales peuvent conduire au suicide.
si l'internement a certainement aggravé le drame, la situation en période critique septennale des trois personnes qui se sont suicidées n'est à mon avis pas étrangère au scénario qui a eu lieu... (sous réserve que les âges inqiqués soient justes)
la première fille s'est suicidée à 28 ans : c'est une "année du suicide" parce qu'elle se situe en pleine période critique, celle justement des 28 ans. il s'agit d'une période qui peut être de grave dépression, dans laquelle on passe de 27 ans et demi à 29 ans.
l'épouse et la seconde fille ne sont ensuite pas sorties de leur propre dépression - liée au suicide de leur fille et soeur - mais aussi à leur propre passage, la première dans sa période critique septennale des 49 ans, et la seconde dans sa période critique septennale des 21 ans...
ce sont à mon avis des éléments dont il convient de tenir compte, pour comprendre ce qui s'est passé... mais aussi parce que la prise en compte de la situation des personnes en période critique septennale permettrait d'agir préventivement et différemment.
on pourrait d'ailleurs vérifier si les suicides n'ont pas eu lieu le jour critique émotionnel des intéressées : le jour critique émotionnel est souvent jour de passage à l'acte pour cela...
Double suicide du TGV : nouveau scandale psychiatrique ?
Par Jean-Baptiste Malet | Journaliste | 30/01/2009
Le 10 décembre dernier, le double suicide d'une mère et de sa fille sur une voie TGV à Solliès-Pont, dans le Var, était présenté par la presse régionale comme un sanglant fait divers. Mais depuis le drame, le père de la famille, Michel Prévidi, 58 ans, ne cesse d'expliquer qu'il s'agit d'un nouveau scandale psychiatrique et, "pour déconstruire les mensonges", livre son récit kafkaïen.
Tout a véritablement commencé le 24 juillet 2008, lorsque la fille ainée de la famille Prévidi, Virginie (28 ans) se suicide seule sur les rails du TGV qui passe à cent mètres de leur maison. Le lendemain, Michel Prévidi se rend à la gendarmerie puis aux pompes funèbres. Là, une phrase va l'enchaîner au malheur:
"Il fallait que je choisisse l'urne pour ma fille. Dans la douleur, j'ai dit à l'employé des pompes-funèbres d'en réserver trois autres."
Intrigué par le propos, l'employé des pompes funèbres alerte la gendarmerie et explique que la famille projette un suicide collectif.
André Garon, maire UMP du village et ancien médecin militaire, lance alors avec l'accord du préfet un dispositif d'hospitalisation d'office (HO) pour les trois membres de la famille au centre hospitalier Henri Guerin de Pierrefeu-du-Var.
"Je ne peux plus vivre sans ma fille"
Le 28 juillet 2008, jour des obsèques, Michel Prévidi ne peut assister à la crémation de sa fille car c'est le jour choisi pour l'internement de sa famille par les autorités.
"Nous étions ensemble dans la salle. J'avais les mains sur le cercueil de ma fille, et à ce moment là, un médecin m'a demandé de sortir. Il y avait deux gendarmes, quatre pompiers, le maire. On m'a mis de force dans l'ambulance pour m'emmener à l'hôpital psychiatrique de Pierrefeu. Je n'ai donc pas pu assister à la crémation. Ma femme oui. Elle est sortie avec l'urne encore chaude et a été embarquée par la même équipe. C'est une véritable honte.
Comment le maire a-t-il pu prendre une décision alors qu'il ne nous connaissait pas et ne savait pas que nous étions sous traitement depuis trois jours et donc que nous étions stabilisés? On ne devrait pas enfermer quelqu'un simplement sur une parole maladroite. On n'enferme pas des gens à l'heure même de la crémation!"
C'est alors un véritable cauchemar qui commence pour la famille Prévidi à qui l'on interdit le deuil.
"Pendant douze jours, on nous a interdits de nous voir entre nous. Aucune rencontre de groupe, nous étions strictement séparés. Nous avons vécu avec des aliénés, il y avait des hurlements jour et nuit dans un environnement répugnant. Même si l'enfermement est justifié, on ne peut pas s'occuper des gens ainsi! Sans communiquer, sans se voir pendant douze jours! C'est inhumain!"
La famille, traumatisée par le suicide et l'enfermement, est à nouveau ébranlée le 10 décembre 2008 lorsque la mère Sylvie (50 ans) et la fille cadette Amélie (22 ans) décident de se suicider à leur tour sur la même voie ferrée. Son épouse ne laisse à Michel Prévidi qu'un simple mot: "Je ne peux pas vivre sans ma fille."
"Tenus d'exécuter notre mission de prise en charge"
Pour lui, c'est évident: "L'internement nous a détruits. Nous n'avons pas été soignés, mais notre malheur a été aggravé." De lourdes accusations auxquelles répond Michel Bartel, directeur du centre hospitalier Henri Guerin:
"Le centre s'est retrouvé en situation de devoir prendre en charge dans des circonstances dramatiques une famille éprouvée suite à une mesure d'ordre public d'HO. Le maire a réalisé une appréciation de la situation. Nous n'avons pas choisi la date de l'internement et nous avons été tenus d'exécuter notre mission de prise en charge.
Le choix de la séparation des patients est un choix des psychiatres et je ne peux pas le commenter, c'est une décision médicale. Toute l'équipe était sous le choc à l'annonce du drame. La perte d'un patient est toujours un échec. Je m'incline bien évidemment devant la douleur de M. Prévidi et celle du conducteur de la locomotive."
Quant au maire, il s'est expliqué au moment des faits et ne souhaite plus apporter de commentaires, considérant que le double suicide est une preuve par le drame. "Ils proféraient des menaces de suicide collectif et il y avait des présomptions lourdes de passage à l'acte. La tragédie a confirmé que l'hospitalisation était nécessaire."
Désormais, Michel Prévidi dit vouloir se reposer tout en s'exprimant sur un site Internet à la ligne anti-psychiatrique. Il a d'ores et déjà approché l'avocat Gilbert Collard avec pour ambition de déposer dans les prochains jours des plaintes contre les acteurs de l'internement familial.
site : http://psycho-mania.com/
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les dépressions septennales peuvent conduire au suicide.
si l'internement a certainement aggravé le drame, la situation en période critique septennale des trois personnes qui se sont suicidées n'est à mon avis pas étrangère au scénario qui a eu lieu... (sous réserve que les âges inqiqués soient justes)
la première fille s'est suicidée à 28 ans : c'est une "année du suicide" parce qu'elle se situe en pleine période critique, celle justement des 28 ans. il s'agit d'une période qui peut être de grave dépression, dans laquelle on passe de 27 ans et demi à 29 ans.
l'épouse et la seconde fille ne sont ensuite pas sorties de leur propre dépression - liée au suicide de leur fille et soeur - mais aussi à leur propre passage, la première dans sa période critique septennale des 49 ans, et la seconde dans sa période critique septennale des 21 ans...
ce sont à mon avis des éléments dont il convient de tenir compte, pour comprendre ce qui s'est passé... mais aussi parce que la prise en compte de la situation des personnes en période critique septennale permettrait d'agir préventivement et différemment.
on pourrait d'ailleurs vérifier si les suicides n'ont pas eu lieu le jour critique émotionnel des intéressées : le jour critique émotionnel est souvent jour de passage à l'acte pour cela...
on parie ?
RTL.fr :
Un cafetier accusé d'avoir fait boire un client jusqu'à la mort.
Un cafetier comparaît jeudi devant le tribunal correctionnel de Valenciennes pour avoir, à la suite d'un pari, incité un client à boire de l'alcool en grande quantité, ce qui a causé sa mort. L'homme âgé de 35 ans, a été retrouvé à son domicile avec 5,1 grammes d'alcool par litre de sang. Le cafetier comparaît pour "homicide involontaire".
Un pari stupide est à l'origine du drame. Le 6 novembre 2008 en fin de journée, la victime, se rend avec deux amis dans un bar près de Valenciennes, où ils boivent d'abord chacun trois bières.
Le cafetier parie ensuite avec l'un d'eux qu'il n'est pas capable de boire la purge (le fond, très acide) d'un fût de bière. Le client s'execute et le patron paye une tournée de genièvre.
L'homme se sent vite mal et il est ramené chez lui peu avant 20H00 par ses deux amis qui le laissent sur son lit, où il sera retrouvé mort le lendemain matin.
Le cafetier, âgé de 28 ans, a retrouvé un emploi "dans une branche totalement différente", mais il est aujourd'hui "moralement atteint, totalement anéanti" par ce drame, selon son avocat Me Eric Tiry.
=========================
ce genre de pari stupide marche encore mieux si tous les deux - comme ici - se trouvent ensemble en période critique septennale... c'est une période où chez certains il y a plus de pulsions que d'inhibitions...
Un cafetier accusé d'avoir fait boire un client jusqu'à la mort.
Un cafetier comparaît jeudi devant le tribunal correctionnel de Valenciennes pour avoir, à la suite d'un pari, incité un client à boire de l'alcool en grande quantité, ce qui a causé sa mort. L'homme âgé de 35 ans, a été retrouvé à son domicile avec 5,1 grammes d'alcool par litre de sang. Le cafetier comparaît pour "homicide involontaire".
Un pari stupide est à l'origine du drame. Le 6 novembre 2008 en fin de journée, la victime, se rend avec deux amis dans un bar près de Valenciennes, où ils boivent d'abord chacun trois bières.
Le cafetier parie ensuite avec l'un d'eux qu'il n'est pas capable de boire la purge (le fond, très acide) d'un fût de bière. Le client s'execute et le patron paye une tournée de genièvre.
L'homme se sent vite mal et il est ramené chez lui peu avant 20H00 par ses deux amis qui le laissent sur son lit, où il sera retrouvé mort le lendemain matin.
Le cafetier, âgé de 28 ans, a retrouvé un emploi "dans une branche totalement différente", mais il est aujourd'hui "moralement atteint, totalement anéanti" par ce drame, selon son avocat Me Eric Tiry.
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ce genre de pari stupide marche encore mieux si tous les deux - comme ici - se trouvent ensemble en période critique septennale... c'est une période où chez certains il y a plus de pulsions que d'inhibitions...
sclérose en plaques
Romandie News :
Sclérose en plaques : un traitement efficace en 1ère phase de la maladie
PARIS - Une transplantation de cellules souches autologues hémopoïétiques, c'est à dire susceptibles de recréer des cellules sanguines et émanant du patient lui-même, a stabilisé et même amélioré des patients en première phase de sclérose en plaques (SEP), selon une étude.
Dans cette phase de la maladie, les symptômes sont intermittents et partiellement réversibles. La plupart des traitements -interferon, stéroïdes...- sont appliqués à ce moment-là, mais certains patients n'y répondent pas.
Après 10 à 15 ans dans cette phase, la plupart des malades entrent dans une deuxième phase caractérisée par des altérations neurologiques graduelles et irréversibles.
Depuis une quinzaine d'années, on appliquait à des patients parvenus en phase 2 de la maladie un traitement intensif supprimant l'immunité, par exemple par irradiation de tout le corps, et on reconstituait leur système immunitaire par transplantation de cellules souches issues de leur propre moëlle osseuse.
Cette procédure, supprimant la myéline qui gaine les fibres du système nerveux central, était assez toxique, avec une mortalité d'environ 3,3%.
Richard Burt, de l'Ecole de médecine de l'université de Chicago, et son équipe ont appliqué une procédure plus douce ne détruisant pas la myéline sur 21 patients en phase 1 de la maladie qui n'avaient pas répondu à un traitement d'interféron, selon l'étude publiée dans le numéro de mars de la revue britannique The Lancet Neurology, en ligne vendredi.
Ces patients étaient jeunes (âge moyen 33 ans), et souffraient de SEP depuis en moyenne cinq ans.
Conformément aux procédures déjà connues, les chercheurs ont transplanté aux patients des cellules souches de leur moëlle osseuse. Au bout de trois ans, 17 des malades traités avaient amélioré leur état, aucun n'avait régressé, et aucun n'est mort.
La procédure a été bien tolérée. Cinq patients ont fait des rechutes mais ont connu une rémission après une nouvelle thérapie.
Selon les chercheurs, cette procédure semble "non seulement prévenir une progression de la maladie, mais inverser le cours de l'invalidité".
Rien n'assurant que le processus éradique l'activité inflammatoire sur le long terme, ils ont estimé néanmoins que des études devaient se poursuivre à plus grande échelle.
(©AFP / 30 janvier 2009 01h01)
==============================
j'avais constaté que 90% des cas de sclérose en plaque dont j'avais trouvé les données ont démarré à l'entrée ou durant une période critique septennale.
et je retiens de cet article la moyenne en question - qui semble aller dans ce sens également - lorsqu'il parle de 21 patients :
"Ces patients étaient jeunes (âge moyen 33 ans), et souffraient de SEP depuis en moyenne cinq ans."
période critique septennale des 28 ans ?
la survenance des différentes phases - les guérisons probablement aussi - ont l'air tout aussi septennales...
peut-être s'intéresser au cycle psychique et émotionnel septennal ?
Sclérose en plaques : un traitement efficace en 1ère phase de la maladie
PARIS - Une transplantation de cellules souches autologues hémopoïétiques, c'est à dire susceptibles de recréer des cellules sanguines et émanant du patient lui-même, a stabilisé et même amélioré des patients en première phase de sclérose en plaques (SEP), selon une étude.
Dans cette phase de la maladie, les symptômes sont intermittents et partiellement réversibles. La plupart des traitements -interferon, stéroïdes...- sont appliqués à ce moment-là, mais certains patients n'y répondent pas.
Après 10 à 15 ans dans cette phase, la plupart des malades entrent dans une deuxième phase caractérisée par des altérations neurologiques graduelles et irréversibles.
Depuis une quinzaine d'années, on appliquait à des patients parvenus en phase 2 de la maladie un traitement intensif supprimant l'immunité, par exemple par irradiation de tout le corps, et on reconstituait leur système immunitaire par transplantation de cellules souches issues de leur propre moëlle osseuse.
Cette procédure, supprimant la myéline qui gaine les fibres du système nerveux central, était assez toxique, avec une mortalité d'environ 3,3%.
Richard Burt, de l'Ecole de médecine de l'université de Chicago, et son équipe ont appliqué une procédure plus douce ne détruisant pas la myéline sur 21 patients en phase 1 de la maladie qui n'avaient pas répondu à un traitement d'interféron, selon l'étude publiée dans le numéro de mars de la revue britannique The Lancet Neurology, en ligne vendredi.
Ces patients étaient jeunes (âge moyen 33 ans), et souffraient de SEP depuis en moyenne cinq ans.
Conformément aux procédures déjà connues, les chercheurs ont transplanté aux patients des cellules souches de leur moëlle osseuse. Au bout de trois ans, 17 des malades traités avaient amélioré leur état, aucun n'avait régressé, et aucun n'est mort.
La procédure a été bien tolérée. Cinq patients ont fait des rechutes mais ont connu une rémission après une nouvelle thérapie.
Selon les chercheurs, cette procédure semble "non seulement prévenir une progression de la maladie, mais inverser le cours de l'invalidité".
Rien n'assurant que le processus éradique l'activité inflammatoire sur le long terme, ils ont estimé néanmoins que des études devaient se poursuivre à plus grande échelle.
(©AFP / 30 janvier 2009 01h01)
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j'avais constaté que 90% des cas de sclérose en plaque dont j'avais trouvé les données ont démarré à l'entrée ou durant une période critique septennale.
et je retiens de cet article la moyenne en question - qui semble aller dans ce sens également - lorsqu'il parle de 21 patients :
"Ces patients étaient jeunes (âge moyen 33 ans), et souffraient de SEP depuis en moyenne cinq ans."
période critique septennale des 28 ans ?
la survenance des différentes phases - les guérisons probablement aussi - ont l'air tout aussi septennales...
peut-être s'intéresser au cycle psychique et émotionnel septennal ?
jeudi 29 janvier 2009
jetée d'un pont
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=29202
Un Australien jette sa fille de 4 ans du haut d'un pont
" Un père de famille australien, en conflit avec la mère sur la garde de l'enfant, a jeté sa fille de quatre ans du haut d'un pont de Melbourne haut de 60 mètres, a indiqué jeudi la police.
Sortie de l'eau par les secours qui ont tenté de la ranimer, la fillette a été hospitalisée dans un état critique.
Agé de 35 ans, l'homme, apparemment en conflit avec la mère au sujet de la garde des enfants, a jeté sa fille dans le fleuve Yarra depuis le West Gate Bridge de Melbourne.
Les faits se sont produits à une heure de pointe en présence de centaine d'automobilistes, tandis que deux autres enfants, des garçons âgés de 6 et 8 ans, étaient restés dans la voiture, a indiqué la police.
"Personne n'a pu intervenir car tout s'est passé très vite", a déclaré à la presse l'inspecteur, Steve Clark.
"Il est sorti de sa voiture en prenant la petite fille et a marché jusqu'au parapet, cela a dû se passer en quelques secondes", a-t-il ajouté.
Le père de famille a été arrêté peu de temps après devant les bâtiments du tribunal de la ville, avec les deux garçonnets, et était visiblement dans "un état de grande détresse", a également indiqué Steve Clark. "
Source : BELGA (29 janvier 2009
=============
un état de grande détresse... mais il semblerait quand même que l'enfant soit décédée entretemps. et comme le plus souvent, une période critique septennale de l'auteur... et une situation de rupture.
Un Australien jette sa fille de 4 ans du haut d'un pont
" Un père de famille australien, en conflit avec la mère sur la garde de l'enfant, a jeté sa fille de quatre ans du haut d'un pont de Melbourne haut de 60 mètres, a indiqué jeudi la police.
Sortie de l'eau par les secours qui ont tenté de la ranimer, la fillette a été hospitalisée dans un état critique.
Agé de 35 ans, l'homme, apparemment en conflit avec la mère au sujet de la garde des enfants, a jeté sa fille dans le fleuve Yarra depuis le West Gate Bridge de Melbourne.
Les faits se sont produits à une heure de pointe en présence de centaine d'automobilistes, tandis que deux autres enfants, des garçons âgés de 6 et 8 ans, étaient restés dans la voiture, a indiqué la police.
"Personne n'a pu intervenir car tout s'est passé très vite", a déclaré à la presse l'inspecteur, Steve Clark.
"Il est sorti de sa voiture en prenant la petite fille et a marché jusqu'au parapet, cela a dû se passer en quelques secondes", a-t-il ajouté.
Le père de famille a été arrêté peu de temps après devant les bâtiments du tribunal de la ville, avec les deux garçonnets, et était visiblement dans "un état de grande détresse", a également indiqué Steve Clark. "
Source : BELGA (29 janvier 2009
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un état de grande détresse... mais il semblerait quand même que l'enfant soit décédée entretemps. et comme le plus souvent, une période critique septennale de l'auteur... et une situation de rupture.
des voix...
France Info :
USA: un homme exécuté au Texas pour un quadruple meurtre
29/01/2009-[02:19] - AFP
WASHINGTON, 28 jan 2009 (AFP) - Un homme de 41 ans, condamné à mort pour un quadruple meurtre en 1996, a été exécuté mercredi soir au Texas (sud) par injection létale, a indiqué le département de la Justice de l’Etat dans un communiqué.
Le décès de Virgil Martinez a été prononcé à 18H50 locales (00H50 GMT jeudi). Le soir du 1er octobre 1996 Virgil Martinez a pénétré dans la caravane où vivait Veronica Fuentes, 27 ans, avec qui il avait eu une relation amoureuse, et ses deux enfants, âgés de cinq et trois ans, a expliqué dans un communiqué le ministère de la Justice texan. Entendant Veronica crier, une voisine a proposé d’appeler les secours et est retournée chez elle. C’est alors qu’elle a vu Virgil Martinez sortir de la caravane, tirer sur la jeune femme puis sur John Gomez, 18 ans, qui tentait de s’interposer. A l’arrivée de la police, Veronica était morte, touchée de 10 à 12 balles. Ses enfants avaient été tués d’une balle dans la tête chacun, dans leur lit, et le jeune homme agonisait, blessé par sept balles. Il est décédé peu de temps après. Le lendemain, l’auteur des coups de feu a appelé les secours pour demander de l’aide parce qu’il entendait des voix. Il a été arrêté peu de temps après. Virgil Martinez a été déclaré coupable de quadruple meurtre le 14 avril 1998 et a été condamné à mort le lendemain. De 2005 à 2007, plusieurs cours de justice ont reconnu l’incompétence de son avocat pendant le procès, ouvrant la voie de la commutation de peine. Mais la cour d’appel fédérale de Houston a renversé ces décisions et rejeté le recours de M. Martinez. Selon le ministère de la Justice du Texas, alors qu’il était dans le couloir de la mort, "le détenu a affirmé à un gardien que des voix lui disaient d’acheter une arme pour tuer des gens, puis a donné de l’argent au même gardien pour qu’il lui achète une cigarette de marijuana". Il s’agit de la 4e exécution depuis le début de 2009 au Texas, Etat du sud qui détient tous les records en la matière avec 427 mises à mort depuis 1976. Quatre autres condamnés doivent recevoir l’injection mortelle d’ici le 12 février, dont Ricardo Ortiz jeudi.
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c'est un peu facile de vouloir s'en sortir en disant que l'on a entendu des voix...
mais deux choses ici qui expliquant en grande partie le coup de folie-furieuse de l'intéressé - bien que cela ne l'excuse en rien : il se trouvait à 28 ans et 10 mois en pleine période critique septennale, et il se ,trouvait le jour du drame dans son "mardi" jour critique émotionnel E22.
ceci dit, il faudrait trouver autre chose que la peine de mort comme solution au problème... et agir en amont.
Ricardo Ortiz, cité ci-dessus, se trouvait lui aussi en période critique septennale (35 ans et 3 mois) lors des faits qui lui sont reprochés. (si j'ai bien traduit il aurait injecté une dose mortelle d'héroine à un co-détenu).
Name Ortiz, Ricardo TDCJ Number 999320 Date of Birth 10/05/1962 Date of Offense 08/18/1997 il était dans son jour critique physique P18 ce jour là : il faudrait en savoir plus sur le scénario qui s'est déroulé pour savoir si cela y a été pour quelque chose... ce n'est pas impossible.
la période critique septennale est une période à risque... d'autant plus à risque si la personne est instable ou a des problèmes : cela explique la présence le plus souvent de ces périodes lors des drames.
un autre - le premier condamné à mort exécuté en ce début d'année :
Name Moore, Curtis Date of Birth 2/26/68 Date of Offense 11/30/95Age (at the time of Offense) 27
pour un meurtre lié à une histoire de drogue...
là aussi né le 26/02/1968 - meurtre le 30/11/1995
c'est 27 ans et 9 mois donc moment de l'entrée dans la période critique septennale des 28 ans. c'est le moment le plus "à risque" de dérapage...
USA: un homme exécuté au Texas pour un quadruple meurtre
29/01/2009-[02:19] - AFP
WASHINGTON, 28 jan 2009 (AFP) - Un homme de 41 ans, condamné à mort pour un quadruple meurtre en 1996, a été exécuté mercredi soir au Texas (sud) par injection létale, a indiqué le département de la Justice de l’Etat dans un communiqué.
Le décès de Virgil Martinez a été prononcé à 18H50 locales (00H50 GMT jeudi). Le soir du 1er octobre 1996 Virgil Martinez a pénétré dans la caravane où vivait Veronica Fuentes, 27 ans, avec qui il avait eu une relation amoureuse, et ses deux enfants, âgés de cinq et trois ans, a expliqué dans un communiqué le ministère de la Justice texan. Entendant Veronica crier, une voisine a proposé d’appeler les secours et est retournée chez elle. C’est alors qu’elle a vu Virgil Martinez sortir de la caravane, tirer sur la jeune femme puis sur John Gomez, 18 ans, qui tentait de s’interposer. A l’arrivée de la police, Veronica était morte, touchée de 10 à 12 balles. Ses enfants avaient été tués d’une balle dans la tête chacun, dans leur lit, et le jeune homme agonisait, blessé par sept balles. Il est décédé peu de temps après. Le lendemain, l’auteur des coups de feu a appelé les secours pour demander de l’aide parce qu’il entendait des voix. Il a été arrêté peu de temps après. Virgil Martinez a été déclaré coupable de quadruple meurtre le 14 avril 1998 et a été condamné à mort le lendemain. De 2005 à 2007, plusieurs cours de justice ont reconnu l’incompétence de son avocat pendant le procès, ouvrant la voie de la commutation de peine. Mais la cour d’appel fédérale de Houston a renversé ces décisions et rejeté le recours de M. Martinez. Selon le ministère de la Justice du Texas, alors qu’il était dans le couloir de la mort, "le détenu a affirmé à un gardien que des voix lui disaient d’acheter une arme pour tuer des gens, puis a donné de l’argent au même gardien pour qu’il lui achète une cigarette de marijuana". Il s’agit de la 4e exécution depuis le début de 2009 au Texas, Etat du sud qui détient tous les records en la matière avec 427 mises à mort depuis 1976. Quatre autres condamnés doivent recevoir l’injection mortelle d’ici le 12 février, dont Ricardo Ortiz jeudi.
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c'est un peu facile de vouloir s'en sortir en disant que l'on a entendu des voix...
mais deux choses ici qui expliquant en grande partie le coup de folie-furieuse de l'intéressé - bien que cela ne l'excuse en rien : il se trouvait à 28 ans et 10 mois en pleine période critique septennale, et il se ,trouvait le jour du drame dans son "mardi" jour critique émotionnel E22.
ceci dit, il faudrait trouver autre chose que la peine de mort comme solution au problème... et agir en amont.
Ricardo Ortiz, cité ci-dessus, se trouvait lui aussi en période critique septennale (35 ans et 3 mois) lors des faits qui lui sont reprochés. (si j'ai bien traduit il aurait injecté une dose mortelle d'héroine à un co-détenu).
Name Ortiz, Ricardo TDCJ Number 999320 Date of Birth 10/05/1962 Date of Offense 08/18/1997 il était dans son jour critique physique P18 ce jour là : il faudrait en savoir plus sur le scénario qui s'est déroulé pour savoir si cela y a été pour quelque chose... ce n'est pas impossible.
la période critique septennale est une période à risque... d'autant plus à risque si la personne est instable ou a des problèmes : cela explique la présence le plus souvent de ces périodes lors des drames.
un autre - le premier condamné à mort exécuté en ce début d'année :
Name Moore, Curtis Date of Birth 2/26/68 Date of Offense 11/30/95Age (at the time of Offense) 27
pour un meurtre lié à une histoire de drogue...
là aussi né le 26/02/1968 - meurtre le 30/11/1995
c'est 27 ans et 9 mois donc moment de l'entrée dans la période critique septennale des 28 ans. c'est le moment le plus "à risque" de dérapage...
quand les divorces virent au drame
Enquête Europe 1 : quand les divorces virent au drame.
Pourquoi certains parents, tout juste séparés ou divorcés, en arrivent à menacer leurs propres enfants et parfois même à les tuer ? Si à ce jour, il n’existe pas de statistiques officielles, après une recherche faite par Europe 1, on compte une dizaine d'infanticides par an dans le cadre d'une séparation douloureuse. L’impression d’être dans une impasse totale peut conduire les parents à ce terrible geste. Pour les associations et les parents, il est urgent de trouver une solution. Et notamment en développant la médiation familiale. Une enquête Europe 1.
Mardi, un homme a été interpellé par le Raid à Longjumeau, dans l'Essonne, alors qu'il retenait en otage son fils de 15 mois. Il était arrivé dans l'appartement de la mère dont il venait de se séparer, pour récupérer ses enfants. Une affaire qui s'est bien terminée mais ce n'est malheureusement pas parfois le cas. Pourquoi certains parents, tout juste séparés ou divorcés, en arrivent à menacer leurs propres enfants et parfois même à les tuer ? Si à ce jour, il n’existe pas de statistiques officielles de la Chancellerie, après une recherche faite par le service documentation d'Europe 1, on compte une dizaine d'infanticides par an dans le cadre d'une séparation douloureuse.
A l'origine de ce terrible geste : l'impression d'être dans une impasse totale. "Quand le couple existe encore, il est demandé aux pères de s'investir encore plus auprès des enfants, de partager avec la mère cette éducation et ces moments passés auprès d'eux", selon Alain Cazenave, le président de SOS Papa, une association de défense des pères. Mais une fois que la séparation arrive, "on dit au père qu'il est inutile".
Alors il est urgent de trouver une solution, estiment les associations comme les parents. Notamment en développant les médiations familiales. Comme à Bobigny par exemple : pour les dossiers difficiles c'est déjà systématique.
===========================
pourquoi certaines séparations virent au drame ?
une idée parmi d'autres...
il faut aller chercher en amont, déjà :
- nous sommes, selon notre personnalité, plus ou moins gouvernés par nos pulsions, nos envies, nos humeurs. or j'ai découvert qu'il existe des cycles probablement hormonaux, qui font fonctionner ces pulsions de façon très régulière.
c'est ainsi que :
les problèmes ont tendance à survenir et nous avons tendance à nous séparer lorsque l'un des partenaires d'un couple entre dans une période à risque parce que période de pulsions. il s'agit de la période critique liées à un cycle psychique et émotionnel qui fonctionne de façon septennale. tous les sept ans nous entrons dans une période de remise en cause de notre vie... et par là aussi de notre couple.
si souvent cela se passe bien, certains couplent entament une discorde qui va les mener jusqu'au divorce et peut les mener jusqu'à la violence que l'on connaît.
si l'on regarde de près on trouvera dans beaucoup de séparations et de drames, voire dans la majorité d'entre eux, la situation de l'un des époux - ou des deux car cela arrive aussi et c'est alors une compatibilité à risque - la situation en période critique septennale. (ce sont grosso modo les âges de la table de sept : attention pas d'astrologie là, mais une pendule de la vie qui va déverser des hormones, qui vont conduire à des pulsions).
le détail des périodes critiques est mentionné dans mon tableau dans la colonne de droite de ce blog.
le père qui a retenu son enfant avait 28 ans et se trouvait dans l'une de ses périodes critiques septennales. les trois personnes citées pour Facebook et qui ont pour certains tué leur épouse et enfants, sont tous, dans une période critique septennale (celle des 42 ans pour deux d'entre eux et celle des 35 ans pour le troisième). et c'est ce qui les a conduit là. de nombreux autres exemples dans les posts de ce blog.
- un autre cycle encore - équivalent - peut intervenir lorsqu'il y a risque de violence : j'ai constaté que nos cycles et humeurs fonctionnent en gigogne et en équivalent du cycle septennal (sept années) fonctionne un cycle hebdomadaire de sept jours. ce cycle va nous faire passer chaque septième jour de notre vie dans une journée de "remise en cause" qui peut, elle aussi donner lieu à de la dépression ou des pulsions qui pourront conduire certaines personnes à être violentes ce jour là. j'appoelle ce jour le "jour critique émotionnel" et Geneviève Lhermitte (quintuple infanticide de Nivelles) par exemple a craqué trois fois successivement son jour critique émotionnel et elle a fini par tuer ses enfants ce jour là : un mercredi, mercredi étant son jour critique émotionnel.
dans un couple ce jour peut conduire à des actes de violence contre soi-même et/ou les autres. et il fonctionne à l'intérieur même de la période critique septennale que je viens de citer mais aussi autrement donc en permanence.
sachant que l'on peut le plus facilement du monde calculer le fonctionnement de ces cycles et la survenance des jours et périodes critiques il suffirait d'en tenir compte et de les anticiper pour déjà améliorer la situation et éviter certaines conséquences dramatiques. on peut grâce à cela voir venir très largement en amont les risques de conflit dans un couple.
Pourquoi certains parents, tout juste séparés ou divorcés, en arrivent à menacer leurs propres enfants et parfois même à les tuer ? Si à ce jour, il n’existe pas de statistiques officielles, après une recherche faite par Europe 1, on compte une dizaine d'infanticides par an dans le cadre d'une séparation douloureuse. L’impression d’être dans une impasse totale peut conduire les parents à ce terrible geste. Pour les associations et les parents, il est urgent de trouver une solution. Et notamment en développant la médiation familiale. Une enquête Europe 1.
Mardi, un homme a été interpellé par le Raid à Longjumeau, dans l'Essonne, alors qu'il retenait en otage son fils de 15 mois. Il était arrivé dans l'appartement de la mère dont il venait de se séparer, pour récupérer ses enfants. Une affaire qui s'est bien terminée mais ce n'est malheureusement pas parfois le cas. Pourquoi certains parents, tout juste séparés ou divorcés, en arrivent à menacer leurs propres enfants et parfois même à les tuer ? Si à ce jour, il n’existe pas de statistiques officielles de la Chancellerie, après une recherche faite par le service documentation d'Europe 1, on compte une dizaine d'infanticides par an dans le cadre d'une séparation douloureuse.
A l'origine de ce terrible geste : l'impression d'être dans une impasse totale. "Quand le couple existe encore, il est demandé aux pères de s'investir encore plus auprès des enfants, de partager avec la mère cette éducation et ces moments passés auprès d'eux", selon Alain Cazenave, le président de SOS Papa, une association de défense des pères. Mais une fois que la séparation arrive, "on dit au père qu'il est inutile".
Alors il est urgent de trouver une solution, estiment les associations comme les parents. Notamment en développant les médiations familiales. Comme à Bobigny par exemple : pour les dossiers difficiles c'est déjà systématique.
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pourquoi certaines séparations virent au drame ?
une idée parmi d'autres...
il faut aller chercher en amont, déjà :
- nous sommes, selon notre personnalité, plus ou moins gouvernés par nos pulsions, nos envies, nos humeurs. or j'ai découvert qu'il existe des cycles probablement hormonaux, qui font fonctionner ces pulsions de façon très régulière.
c'est ainsi que :
les problèmes ont tendance à survenir et nous avons tendance à nous séparer lorsque l'un des partenaires d'un couple entre dans une période à risque parce que période de pulsions. il s'agit de la période critique liées à un cycle psychique et émotionnel qui fonctionne de façon septennale. tous les sept ans nous entrons dans une période de remise en cause de notre vie... et par là aussi de notre couple.
si souvent cela se passe bien, certains couplent entament une discorde qui va les mener jusqu'au divorce et peut les mener jusqu'à la violence que l'on connaît.
si l'on regarde de près on trouvera dans beaucoup de séparations et de drames, voire dans la majorité d'entre eux, la situation de l'un des époux - ou des deux car cela arrive aussi et c'est alors une compatibilité à risque - la situation en période critique septennale. (ce sont grosso modo les âges de la table de sept : attention pas d'astrologie là, mais une pendule de la vie qui va déverser des hormones, qui vont conduire à des pulsions).
le détail des périodes critiques est mentionné dans mon tableau dans la colonne de droite de ce blog.
le père qui a retenu son enfant avait 28 ans et se trouvait dans l'une de ses périodes critiques septennales. les trois personnes citées pour Facebook et qui ont pour certains tué leur épouse et enfants, sont tous, dans une période critique septennale (celle des 42 ans pour deux d'entre eux et celle des 35 ans pour le troisième). et c'est ce qui les a conduit là. de nombreux autres exemples dans les posts de ce blog.
- un autre cycle encore - équivalent - peut intervenir lorsqu'il y a risque de violence : j'ai constaté que nos cycles et humeurs fonctionnent en gigogne et en équivalent du cycle septennal (sept années) fonctionne un cycle hebdomadaire de sept jours. ce cycle va nous faire passer chaque septième jour de notre vie dans une journée de "remise en cause" qui peut, elle aussi donner lieu à de la dépression ou des pulsions qui pourront conduire certaines personnes à être violentes ce jour là. j'appoelle ce jour le "jour critique émotionnel" et Geneviève Lhermitte (quintuple infanticide de Nivelles) par exemple a craqué trois fois successivement son jour critique émotionnel et elle a fini par tuer ses enfants ce jour là : un mercredi, mercredi étant son jour critique émotionnel.
dans un couple ce jour peut conduire à des actes de violence contre soi-même et/ou les autres. et il fonctionne à l'intérieur même de la période critique septennale que je viens de citer mais aussi autrement donc en permanence.
sachant que l'on peut le plus facilement du monde calculer le fonctionnement de ces cycles et la survenance des jours et périodes critiques il suffirait d'en tenir compte et de les anticiper pour déjà améliorer la situation et éviter certaines conséquences dramatiques. on peut grâce à cela voir venir très largement en amont les risques de conflit dans un couple.
bébé otage
20minutes.fr :
Le père qui retenait son bébé arrêté
Créé le 28.01.09
Le père d'un bébé de quinze mois a été arrêté en douceur hier midi à Longjumeau (Essonne), a indiqué hier une source judiciaire à l'AFP. Muni d'une fausse arme, il retenait son enfant au domicile de son ex-épouse. Peu après 13 h 30, « il s'est laissé interpeller par les hommes du Raid, qui avaient entamé des négociations avec lui, et il a été placé en garde à vue », a précisé cette même source.
D'après les premiers éléments de l'enquête, l'homme de 28 ans était sorti en mars 2008 de la prison de Fleury-Mérogis (91) après trois condamnations pour violences et une pour extorsion de fonds. Il s'était présenté chez son ex-femme hier vers 11 h, demandant à récupérer ses trois enfants. La mère s'y est refusée. Accompagnée de ses parents, elle avait pu quitter les lieux. Les deux aînés étaient, eux à l'école. L'homme, muni d'une kalachnikov factice était demeuré seul dans la maison avec l'enfant de quinze mois jusqu'à l'intervention de la police.
=================
l'homme sort de prison à 28 ans donc en pleine période critique septennale : c'est une période de grande fragilité et risque de récidive. il faut, en cas de libération en période critique septennale, un accompagnement particulier, adapté à cette situation à risque.
il s'agit ici en quelque sorte d'une "rechute septennale". si l'on connaît le mécanisme des périodes critiques septennales et leur conséquences sur notre psychisme on anticipe le risque et il aura moins tendance à arriver.
Le père qui retenait son bébé arrêté
Créé le 28.01.09
Le père d'un bébé de quinze mois a été arrêté en douceur hier midi à Longjumeau (Essonne), a indiqué hier une source judiciaire à l'AFP. Muni d'une fausse arme, il retenait son enfant au domicile de son ex-épouse. Peu après 13 h 30, « il s'est laissé interpeller par les hommes du Raid, qui avaient entamé des négociations avec lui, et il a été placé en garde à vue », a précisé cette même source.
D'après les premiers éléments de l'enquête, l'homme de 28 ans était sorti en mars 2008 de la prison de Fleury-Mérogis (91) après trois condamnations pour violences et une pour extorsion de fonds. Il s'était présenté chez son ex-femme hier vers 11 h, demandant à récupérer ses trois enfants. La mère s'y est refusée. Accompagnée de ses parents, elle avait pu quitter les lieux. Les deux aînés étaient, eux à l'école. L'homme, muni d'une kalachnikov factice était demeuré seul dans la maison avec l'enfant de quinze mois jusqu'à l'intervention de la police.
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l'homme sort de prison à 28 ans donc en pleine période critique septennale : c'est une période de grande fragilité et risque de récidive. il faut, en cas de libération en période critique septennale, un accompagnement particulier, adapté à cette situation à risque.
il s'agit ici en quelque sorte d'une "rechute septennale". si l'on connaît le mécanisme des périodes critiques septennales et leur conséquences sur notre psychisme on anticipe le risque et il aura moins tendance à arriver.
lundi 26 janvier 2009
Facebook et les septennal killer
trouvé sur 3ème oeil :
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=29184
Condamnation pour un meurtre causé par Facebook
" Le Britannique qui avait tué sa femme à cause de son profil Facebook a été condamné à la prison à vie avec un minimum de 18 ans par un tribunal de Stafford (centre de l'Angleterre).
Edward Richardson, 41 ans, a été reconnu coupable et condamné tard jeudi soir pour le meurtre de son épouse Sarah, 26 ans, le 12 mai 2008 alors qu'elle séjournait chez ses parents à Biddulph (Staffordshire) à la suite de la séparation du couple quelques semaines auparavant.
Edward «Richardson est devenu furieux quand Sarah a modifié en «célibataire» son statut marital sur Facebook et a décidé d'aller la voir car elle ne répondait pas à ses messages», a expliqué pour l'accusation Fiona Cortese, précisant qu'il était entré par effraction dans le logement.
«Une fois à l'intérieur, il a trouvé Sarah dans sa chambre et l'a agressée de manière frénétique et brutale avec un couteau, puis a tenté de se suicider», a-t-elle poursuivi.
Selon ComputerWeekly.com, c'est le troisième meurtre Facebook commis en Grande-Bretagne. L'année dernière, à Barnsley, dans le South Yorkshire, un homme a tué sa femme avant de se donner la mort. Il avait découvert qu'elle avait annoncé leur séparation sur son profil Facebook.
Un autre homme, habitant de Croydon, a été condamné à la prison à vie en octobre dernier, après que sa femme ait également changé son statut de «mariée» à «célibataire»."
Source : AFP (25 janvier 2009)
=============================
Mail-online :
Husband 'murdered wife before killing himself' after she confessed on Facebook she was leaving himBy LIZ HULL
Last updated at 19:02 04 mai 2008
A husband is believed to have murdered his wife before killing himself after she told friends on Facebook they were splitting up, it emerged yesterday.
Tracey Grinhaff's body was found in a shed in the back garden of the family home she shared with her husband, Gary, and their two young daughters, aged 14 and four.
An hour later, officers discovered the body of Mr Grinhaff, 41, an electrical engineer, in woodland nearby.
============================
Now Public :
Wayne Forrester, 34, took alcohol and cocaine and drove 15 miles to New Addington, Croydon, to attack his wife Emma, also 34, as she lay in bed.
============================
j'y ai regardé d'un peu plus près... il n'y a pas que Facebook qui soit en cause lors des trois crimes dont parle cet article... mais bien aussi et à mon avis surtout... la période critique septennale de chacun des meurtriers...
- Edwatd Richardson a 41 ans et entre dans la périoode critique septennale des 42 ans.
- Gary Grinhaff tout simplement aussi...
- Wayne Forrester quant à lui a 34 ans et entre dans sa période critique septennale des 35 ans...
il est fort probable que la mésentente ayant mené à la séparation de ces trois couples, soit liée à l'entrée dans la période critique septennale de l'un des partenaires... ou des deux puisque par exemple pour les Forrester et Grinhaff il y a compatibilité dans la période critique mutuelle : les époux s'y trouvent en même temps.
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=29184
Condamnation pour un meurtre causé par Facebook
" Le Britannique qui avait tué sa femme à cause de son profil Facebook a été condamné à la prison à vie avec un minimum de 18 ans par un tribunal de Stafford (centre de l'Angleterre).
Edward Richardson, 41 ans, a été reconnu coupable et condamné tard jeudi soir pour le meurtre de son épouse Sarah, 26 ans, le 12 mai 2008 alors qu'elle séjournait chez ses parents à Biddulph (Staffordshire) à la suite de la séparation du couple quelques semaines auparavant.
Edward «Richardson est devenu furieux quand Sarah a modifié en «célibataire» son statut marital sur Facebook et a décidé d'aller la voir car elle ne répondait pas à ses messages», a expliqué pour l'accusation Fiona Cortese, précisant qu'il était entré par effraction dans le logement.
«Une fois à l'intérieur, il a trouvé Sarah dans sa chambre et l'a agressée de manière frénétique et brutale avec un couteau, puis a tenté de se suicider», a-t-elle poursuivi.
Selon ComputerWeekly.com, c'est le troisième meurtre Facebook commis en Grande-Bretagne. L'année dernière, à Barnsley, dans le South Yorkshire, un homme a tué sa femme avant de se donner la mort. Il avait découvert qu'elle avait annoncé leur séparation sur son profil Facebook.
Un autre homme, habitant de Croydon, a été condamné à la prison à vie en octobre dernier, après que sa femme ait également changé son statut de «mariée» à «célibataire»."
Source : AFP (25 janvier 2009)
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Mail-online :
Husband 'murdered wife before killing himself' after she confessed on Facebook she was leaving himBy LIZ HULL
Last updated at 19:02 04 mai 2008
A husband is believed to have murdered his wife before killing himself after she told friends on Facebook they were splitting up, it emerged yesterday.
Tracey Grinhaff's body was found in a shed in the back garden of the family home she shared with her husband, Gary, and their two young daughters, aged 14 and four.
An hour later, officers discovered the body of Mr Grinhaff, 41, an electrical engineer, in woodland nearby.
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Now Public :
Wayne Forrester, 34, took alcohol and cocaine and drove 15 miles to New Addington, Croydon, to attack his wife Emma, also 34, as she lay in bed.
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j'y ai regardé d'un peu plus près... il n'y a pas que Facebook qui soit en cause lors des trois crimes dont parle cet article... mais bien aussi et à mon avis surtout... la période critique septennale de chacun des meurtriers...
- Edwatd Richardson a 41 ans et entre dans la périoode critique septennale des 42 ans.
- Gary Grinhaff tout simplement aussi...
- Wayne Forrester quant à lui a 34 ans et entre dans sa période critique septennale des 35 ans...
il est fort probable que la mésentente ayant mené à la séparation de ces trois couples, soit liée à l'entrée dans la période critique septennale de l'un des partenaires... ou des deux puisque par exemple pour les Forrester et Grinhaff il y a compatibilité dans la période critique mutuelle : les époux s'y trouvent en même temps.
Termonde
BELGIQUE
Le tueur présumé de la crèche aurait déjà tué
NOUVELOBS.COM | 26.01.2009
Le jeune homme arrêté vendredi après avoir poignardé deux bébés et une puéricultrice en Belgique est également soupçonné du meurtre d'une femme de 73 ans, la semaine dernière.
................
L'auteur présumé de la tuerie de la crèche de Termonde en Belgique est également soupçonné du meurtre d'une femme de 73 ans, a annoncé lundi 26 janvier la justice belge.
"L'auteur des faits (à la crèche de Termonde, ndlr) est aussi l'auteur d'un crime abominable commis le 16 janvier à Beveren (nord de la Belgique) sur une dame de 73 ans", meurtre resté jusqu'ici inexpliqué, a déclaré à la presse le procureur de la ville, Christian Du Four.
.................
========================
encore une information à prendre avec prudence d'ici que l'on en sache plus...
sur cette suspicion mais aussi en attendant, si possible, de connaître la date de naissance de l'intéressé...
je relève un détail qui m'intéresse dans ma recherche du mécanisme conduisant à certains types de drames et de crimes... à savoir la survenance d'une période critique de notre cycle psychique et émotionnel septennal (on y entre à 20 ans et demi, pour ce qui est de la périodes des 21 ans - et ce moment peut constituer un "pic à risque") mais aussi la reproduction du jour critique émotionnel... déclencheur et par conséquent jour de passage à l'acte.
or si les infos dont on dispose là sont justes, la personne de 73 ans aurait été tuée le 16 janvier ... le vendredi précédent et c'est le vendredi suivant qu'a eu lieu le carnage de la crèche... or le jour critique émotionnel est hebdomadaire, toujours le même jour de la semaine, celui où nous sommes nés - simple règle mathématique liée à une cyclicité de 7 jours de certaines de nos pulsions)
c'est sous réserves, dans le cas présent, tout cela, car on ne peut pas exclure une coïncidence... à suivre, donc...
Le tueur présumé de la crèche aurait déjà tué
NOUVELOBS.COM | 26.01.2009
Le jeune homme arrêté vendredi après avoir poignardé deux bébés et une puéricultrice en Belgique est également soupçonné du meurtre d'une femme de 73 ans, la semaine dernière.
................
L'auteur présumé de la tuerie de la crèche de Termonde en Belgique est également soupçonné du meurtre d'une femme de 73 ans, a annoncé lundi 26 janvier la justice belge.
"L'auteur des faits (à la crèche de Termonde, ndlr) est aussi l'auteur d'un crime abominable commis le 16 janvier à Beveren (nord de la Belgique) sur une dame de 73 ans", meurtre resté jusqu'ici inexpliqué, a déclaré à la presse le procureur de la ville, Christian Du Four.
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encore une information à prendre avec prudence d'ici que l'on en sache plus...
sur cette suspicion mais aussi en attendant, si possible, de connaître la date de naissance de l'intéressé...
je relève un détail qui m'intéresse dans ma recherche du mécanisme conduisant à certains types de drames et de crimes... à savoir la survenance d'une période critique de notre cycle psychique et émotionnel septennal (on y entre à 20 ans et demi, pour ce qui est de la périodes des 21 ans - et ce moment peut constituer un "pic à risque") mais aussi la reproduction du jour critique émotionnel... déclencheur et par conséquent jour de passage à l'acte.
or si les infos dont on dispose là sont justes, la personne de 73 ans aurait été tuée le 16 janvier ... le vendredi précédent et c'est le vendredi suivant qu'a eu lieu le carnage de la crèche... or le jour critique émotionnel est hebdomadaire, toujours le même jour de la semaine, celui où nous sommes nés - simple règle mathématique liée à une cyclicité de 7 jours de certaines de nos pulsions)
c'est sous réserves, dans le cas présent, tout cela, car on ne peut pas exclure une coïncidence... à suivre, donc...
dimanche 25 janvier 2009
en fuite
Europe 1 :
Un meurtrier recherché après s’être enfui d’un hôpital psychiatrique.
David Desplanches, un homme de 34 ans condamné à 15 ans de prison pour le meurtre de sa compagne, est activement recherché ce dimanche. Selon une information du Parisien , ce détenu s’est évadé samedi matin d’un hôpital psychiatrique situé à Prémontré dans l’Aisne. Il y avait été transféré d'office en raison de son état dépressif et de risques suicidaires. Pour fuir, il a scié un barreau de sa chambre puis a utilisé des draps pour sortir depuis le premier étage. Policiers et gendarmes sont mobilisés pour le retrouver, appuyés par un hélicoptère.
==================
à 34 ans et demi on entre dans la période critique septennale des 35 ans : dans l'extrême cela peut conduire à la dépression et aux envies de suicide... de fuite aussi...les périodes critiques septennales "font bouger" parfois pas dans le bon sens...
Un meurtrier recherché après s’être enfui d’un hôpital psychiatrique.
David Desplanches, un homme de 34 ans condamné à 15 ans de prison pour le meurtre de sa compagne, est activement recherché ce dimanche. Selon une information du Parisien , ce détenu s’est évadé samedi matin d’un hôpital psychiatrique situé à Prémontré dans l’Aisne. Il y avait été transféré d'office en raison de son état dépressif et de risques suicidaires. Pour fuir, il a scié un barreau de sa chambre puis a utilisé des draps pour sortir depuis le premier étage. Policiers et gendarmes sont mobilisés pour le retrouver, appuyés par un hélicoptère.
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à 34 ans et demi on entre dans la période critique septennale des 35 ans : dans l'extrême cela peut conduire à la dépression et aux envies de suicide... de fuite aussi...les périodes critiques septennales "font bouger" parfois pas dans le bon sens...
samedi 24 janvier 2009
dépression septennale ?
7sur7 :
L'ex-basketteur Johan Geleyns, porté disparu, retrouvé mort.
Johan Geleyns, ici en action sous le maillot de Louvain.
Johan Geleyns, un ancien basketteur professionnel qui était porté disparu depuis lundi, a été retrouvé mort vendredi soir, a annoncé le parquet de Louvain. Agé de 43 ans, Johan Geleyns était parti à pied lundi de son domicile de Herent, en Brabant flamand, et n'y était plus retourné. Les circonstances et la cause de sa mort n'ont pas encore été établies.
Johan Geleyns fût pendant des années joueur au sein des clubs de basket-ball de première division d'Aerschot et de Louvain. Après sa carrière de joueur, il a également travaillé comme entraîneur adjoint de l'équipe de basket-ball de Louvain ainsi que comme coach des équipes de Diest et Zolder.
Il avait toutefois abandonné ce poste et démissionné de KBC assurances au printemps 2008, pour partir au Canada avec sa famille car sa compagne s'y était vue proposer un emploi. Peu de temps après leur départ, Johan Geleyns était cependant revenu seul en Belgique. (belga)
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peut-être victime d'une dépression septennale : elle peut diviser le couple et signer une chute : ici c'est à 42 ans que l'intéressé est parti au Canada ... et revenu ensuite ... peut-être en raison d'une rupture (?) mais aussi il a disparu le lundi 19 janvier 2009 : suivent le jeudi 22 janvier un jour critique émotionnel E1 (qui peut être périlleux en cas de dépression) puis un jour critique physique P18 le jour suivant vendredi 23 janvier.
L'ex-basketteur Johan Geleyns, porté disparu, retrouvé mort.
Johan Geleyns, ici en action sous le maillot de Louvain.
Johan Geleyns, un ancien basketteur professionnel qui était porté disparu depuis lundi, a été retrouvé mort vendredi soir, a annoncé le parquet de Louvain. Agé de 43 ans, Johan Geleyns était parti à pied lundi de son domicile de Herent, en Brabant flamand, et n'y était plus retourné. Les circonstances et la cause de sa mort n'ont pas encore été établies.
Johan Geleyns fût pendant des années joueur au sein des clubs de basket-ball de première division d'Aerschot et de Louvain. Après sa carrière de joueur, il a également travaillé comme entraîneur adjoint de l'équipe de basket-ball de Louvain ainsi que comme coach des équipes de Diest et Zolder.
Il avait toutefois abandonné ce poste et démissionné de KBC assurances au printemps 2008, pour partir au Canada avec sa famille car sa compagne s'y était vue proposer un emploi. Peu de temps après leur départ, Johan Geleyns était cependant revenu seul en Belgique. (belga)
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peut-être victime d'une dépression septennale : elle peut diviser le couple et signer une chute : ici c'est à 42 ans que l'intéressé est parti au Canada ... et revenu ensuite ... peut-être en raison d'une rupture (?) mais aussi il a disparu le lundi 19 janvier 2009 : suivent le jeudi 22 janvier un jour critique émotionnel E1 (qui peut être périlleux en cas de dépression) puis un jour critique physique P18 le jour suivant vendredi 23 janvier.
vendredi 23 janvier 2009
coup de folie septennal... ?
Termonde sous le choc après une tuerie dans une crèche
LEMONDE.FR
..................
Les premiers témoignages indiquent que, sur le coup de 10 heures, un homme grimé, les yeux cernés de maquillage noir, décrit comme très maigre, roux et très calme par les quelques témoins de la scène pénètre dans la crèche publique. Sous prétexte de demander un renseignement il s'adresse à une employée. Immédiatement, il se dirige ensuite vers l'aile des bambins de 0 à 18 mois. Il en poignarde plusieurs avec, semble-t-il, des couteaux de boucher et s'en prend aussi à des gardiennes.
L'homme, âgé de 28 ans, serait ensuite ressorti et semblait envisager de s'en prendre à des enfants plus âgés dans une aile voisine. Le personnel l'en a empêché en fermant les portes. Décidant alors de fuir, le meurtrier a réenfourché son vélo. Il a été arrêté peu après par une patrouille de police à Lebbeke, deux kilomètres plus loin. Il se dirigeait, semble-t-il, vers une institution psychiatrique où il était soigné, sans être interné.
.................
======================
sous réserve que l'âge de l'intéressé soit confirmé... il pourrait bien s'agir d'un détraquage lié à la période critique septennale... on peut encore vérifier si le déclencheur n'a pas été un jour critique émotionnel ou physique...
édit : s'est-il pris pour un Joker avec ses peintures du visage ? entretemps il semblerait qu'il s'agisse d'un jeune homme de 20 ans... attendons d'en savoir plus...
mais bizarement nous resterions là aussi dans les périodes critiques septennales...
c'est surtout le degré de folie et d'horreur de cette action qui me fait penser à cela... schizo ?
re-édit 24/01 : ben oui... je n'avais pas fait tout le rapprochement... il faut croire que l'intéressé a probablement voulu fêter à sa façon la mort du Joker, Heath Ledger, le 22 janvier 2008 : il y a un an...
l'acteur s'est suicidé (ou selon d'autres avis est décédé des suites d’une intoxication médicamenteuse accidentelle) à l'entrée de son jour critique émotionnel en pleine période critique septennale des 28 ans...
l'attaque de la crèche a cependant eu lieu le 23 janvier... un vendredi.
reste à vérifier si le jour critique émotionnel du tueur y est pour quelque chose dans ce décallage...
LEMONDE.FR
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Les premiers témoignages indiquent que, sur le coup de 10 heures, un homme grimé, les yeux cernés de maquillage noir, décrit comme très maigre, roux et très calme par les quelques témoins de la scène pénètre dans la crèche publique. Sous prétexte de demander un renseignement il s'adresse à une employée. Immédiatement, il se dirige ensuite vers l'aile des bambins de 0 à 18 mois. Il en poignarde plusieurs avec, semble-t-il, des couteaux de boucher et s'en prend aussi à des gardiennes.
L'homme, âgé de 28 ans, serait ensuite ressorti et semblait envisager de s'en prendre à des enfants plus âgés dans une aile voisine. Le personnel l'en a empêché en fermant les portes. Décidant alors de fuir, le meurtrier a réenfourché son vélo. Il a été arrêté peu après par une patrouille de police à Lebbeke, deux kilomètres plus loin. Il se dirigeait, semble-t-il, vers une institution psychiatrique où il était soigné, sans être interné.
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sous réserve que l'âge de l'intéressé soit confirmé... il pourrait bien s'agir d'un détraquage lié à la période critique septennale... on peut encore vérifier si le déclencheur n'a pas été un jour critique émotionnel ou physique...
édit : s'est-il pris pour un Joker avec ses peintures du visage ? entretemps il semblerait qu'il s'agisse d'un jeune homme de 20 ans... attendons d'en savoir plus...
mais bizarement nous resterions là aussi dans les périodes critiques septennales...
c'est surtout le degré de folie et d'horreur de cette action qui me fait penser à cela... schizo ?
re-édit 24/01 : ben oui... je n'avais pas fait tout le rapprochement... il faut croire que l'intéressé a probablement voulu fêter à sa façon la mort du Joker, Heath Ledger, le 22 janvier 2008 : il y a un an...
l'acteur s'est suicidé (ou selon d'autres avis est décédé des suites d’une intoxication médicamenteuse accidentelle) à l'entrée de son jour critique émotionnel en pleine période critique septennale des 28 ans...
l'attaque de la crèche a cependant eu lieu le 23 janvier... un vendredi.
reste à vérifier si le jour critique émotionnel du tueur y est pour quelque chose dans ce décallage...
pleurs
zigonet :
Une femme qui pleurait dès qu'elle mangeait est soignée grâce au botox.
Kent, Angleterre - Une femme atteinte d'une maladie rare a été soignée par injection de botox. Ce produit, bien plus connu pour son utilisation en chirurgie esthétique que pour ses vertus médicales, lui a enfin permis d'arrêter de pleurer lorsqu'elle mange.
Patricia Webster, 58 ans, vit dans le Kent. Elle souffre d'une maladie rare, le syndrome de Guillain-Barré, qui affecte son système nerveux. Diagnostiquée en 1991, elle a développé des pathologies handicapantes, dont le syndrome des "larmes de crocodile". A chaque fois qu'elle mange, Mme Webster se met donc à pleurer de grosses larmes.
Très gênante, cette maladie a finalement pu être soignée grâce au botox, qui en paralysant en partie les endroits où il a été injecté, empêche la sécrétion de larmes.
Patrica Webster peut aujourd'hui reprendre une vie normale, comme elle l'explique au Telegraph : " Cela m'empêchait d'aller au restaurant ou à des dîners chez des amis. Même le fait de boire une soupe ou une tasse de thé provoquait cette réaction. Je ne pouvais pas porter de maquillage car tout aurait coulé. Je n'ai pas compris tout de suite et j'ai fait une dépression car je ne voulais plus sortir."
Grâce au botox, utilisé ici dans un but curatif, elle peut reprendre une vie plus normale.
======================
par curiosité je vérifie toujours quel est le moment de l'irruption d'une maladie grave ou bizarre, et souvent... je tombe sur une période critique septennale. ici aussi si la personne a 58 ans et a été diagnostiquée en 1991... elle avait 41 ans à l'époque et entrait dans la période critique septennale des 42 ans. la dépression dont elle parle peut être liée à la survenance de sa maladie à ce stade de son cycle émotionnel, mais aussi à la survenance de la période critique septennale, dont c'est souvent l'une des manifestations...
un certain nombre de maux apparaîssent bizarement à l'entrée d'une période critique septennale, un peu comme s'il y avait un rapport entre ce moment charnière de notre psychisme et leur déclenchement...
(ici c'est aussi sous réserve que le moment du "diagnostic" dont il est question correspond bien entendu au moment du début de la maladie).
Une femme qui pleurait dès qu'elle mangeait est soignée grâce au botox.
Kent, Angleterre - Une femme atteinte d'une maladie rare a été soignée par injection de botox. Ce produit, bien plus connu pour son utilisation en chirurgie esthétique que pour ses vertus médicales, lui a enfin permis d'arrêter de pleurer lorsqu'elle mange.
Patricia Webster, 58 ans, vit dans le Kent. Elle souffre d'une maladie rare, le syndrome de Guillain-Barré, qui affecte son système nerveux. Diagnostiquée en 1991, elle a développé des pathologies handicapantes, dont le syndrome des "larmes de crocodile". A chaque fois qu'elle mange, Mme Webster se met donc à pleurer de grosses larmes.
Très gênante, cette maladie a finalement pu être soignée grâce au botox, qui en paralysant en partie les endroits où il a été injecté, empêche la sécrétion de larmes.
Patrica Webster peut aujourd'hui reprendre une vie normale, comme elle l'explique au Telegraph : " Cela m'empêchait d'aller au restaurant ou à des dîners chez des amis. Même le fait de boire une soupe ou une tasse de thé provoquait cette réaction. Je ne pouvais pas porter de maquillage car tout aurait coulé. Je n'ai pas compris tout de suite et j'ai fait une dépression car je ne voulais plus sortir."
Grâce au botox, utilisé ici dans un but curatif, elle peut reprendre une vie plus normale.
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par curiosité je vérifie toujours quel est le moment de l'irruption d'une maladie grave ou bizarre, et souvent... je tombe sur une période critique septennale. ici aussi si la personne a 58 ans et a été diagnostiquée en 1991... elle avait 41 ans à l'époque et entrait dans la période critique septennale des 42 ans. la dépression dont elle parle peut être liée à la survenance de sa maladie à ce stade de son cycle émotionnel, mais aussi à la survenance de la période critique septennale, dont c'est souvent l'une des manifestations...
un certain nombre de maux apparaîssent bizarement à l'entrée d'une période critique septennale, un peu comme s'il y avait un rapport entre ce moment charnière de notre psychisme et leur déclenchement...
(ici c'est aussi sous réserve que le moment du "diagnostic" dont il est question correspond bien entendu au moment du début de la maladie).
agression
leparisien.fr :
Un surdoué agresse sa prof22.01.2009,
Un élève de 12 ans, d'une classe de 5e au lycée Jean XXIII de Montigny-lès-Metz (Moselle), a agressé jeudi avec des ciseaux et blessé à la joue une enseignante, a-t-on appris auprès de l'inspection académique de la Moselle à Metz.
«L'agression s'est produite dans la matinée à la fin d'un cours alors que l'enseignante et ses élèves rangeaient leurs affaires.
Le garçon, un bon élève sans antécédent, s'est approché du bureau et lui a donné un coup de ciseau», a-t-on expliqué. L'enseignante, dont l'identité n'a pas été révélée, a «une estafilade à une joue et ses jours ne sont pas en danger», a-t-on précisé de même source.
«Il s'agit d'un élève surdoué. Ces élèves ont souvent des problèmes de comportement», a indiqué une source proche de l'enquête en précisant que les ciseaux utilisés pour l'agression «étaient à bouts ronds».
Selon les résultats d'une récente étude Sofres, plus de la moitié des enfants considérés comme intellectuellement précoces en France présenteraient des troubles du comportement. D'après cette étude, un enfant intellectuellement précoce dispose d'un quotient intellectuel de 125, voire de 130.
.............
Leparisien.fr avec AFP
===============
il serait intéressant de vérifier si l'élève se trouvait dans un jour critique physique ou émotionnel...
Un surdoué agresse sa prof22.01.2009,
Un élève de 12 ans, d'une classe de 5e au lycée Jean XXIII de Montigny-lès-Metz (Moselle), a agressé jeudi avec des ciseaux et blessé à la joue une enseignante, a-t-on appris auprès de l'inspection académique de la Moselle à Metz.
«L'agression s'est produite dans la matinée à la fin d'un cours alors que l'enseignante et ses élèves rangeaient leurs affaires.
Le garçon, un bon élève sans antécédent, s'est approché du bureau et lui a donné un coup de ciseau», a-t-on expliqué. L'enseignante, dont l'identité n'a pas été révélée, a «une estafilade à une joue et ses jours ne sont pas en danger», a-t-on précisé de même source.
«Il s'agit d'un élève surdoué. Ces élèves ont souvent des problèmes de comportement», a indiqué une source proche de l'enquête en précisant que les ciseaux utilisés pour l'agression «étaient à bouts ronds».
Selon les résultats d'une récente étude Sofres, plus de la moitié des enfants considérés comme intellectuellement précoces en France présenteraient des troubles du comportement. D'après cette étude, un enfant intellectuellement précoce dispose d'un quotient intellectuel de 125, voire de 130.
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Leparisien.fr avec AFP
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il serait intéressant de vérifier si l'élève se trouvait dans un jour critique physique ou émotionnel...
années suicide
rtl.info.be :
L’auteur de "Jihad ! The secret war in Afghanistan" retrouvé mort à Anvers
Un cadavre en état de décomposition découvert en novembre dernier dans un garage près d'Anvers a été identifié : il s’agit de Philip Sessarego, alias Philip Stevenson, 55 ans, auteur du best-seller "Jihad ! The secret war in Afghanistan".
Il avait été publié sous le nom d’emprunt de Tom Carew, expliquent ce vendredi La Dernière Heure, ainsi que plusieurs journaux flamands. Celui qui se présentait comme un ancien agent du commando spécial britannique SAS mais qui avait été ensuite démasqué par la BBC comme un imposteur, vivait en Belgique. La thèse du suicide n'est pas écartée pour expliquer son décès qui ne serait pas d'origine criminelle, selon la police.
Des tests génétiques doivent encore être effectués, sur base de l'ADN des deux enfants du quinquagénaire qui vivent en Angleterre, pour lever les éventuels derniers doutes, écrit La Dernière Heure.
===========
55 ans est effectivement une année suicide : c'est l'année de l'entrée dans la période critique septennale des 56 ans (à 55 ans et demi environ se situe ce "pic"...)
L’auteur de "Jihad ! The secret war in Afghanistan" retrouvé mort à Anvers
Un cadavre en état de décomposition découvert en novembre dernier dans un garage près d'Anvers a été identifié : il s’agit de Philip Sessarego, alias Philip Stevenson, 55 ans, auteur du best-seller "Jihad ! The secret war in Afghanistan".
Il avait été publié sous le nom d’emprunt de Tom Carew, expliquent ce vendredi La Dernière Heure, ainsi que plusieurs journaux flamands. Celui qui se présentait comme un ancien agent du commando spécial britannique SAS mais qui avait été ensuite démasqué par la BBC comme un imposteur, vivait en Belgique. La thèse du suicide n'est pas écartée pour expliquer son décès qui ne serait pas d'origine criminelle, selon la police.
Des tests génétiques doivent encore être effectués, sur base de l'ADN des deux enfants du quinquagénaire qui vivent en Angleterre, pour lever les éventuels derniers doutes, écrit La Dernière Heure.
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55 ans est effectivement une année suicide : c'est l'année de l'entrée dans la période critique septennale des 56 ans (à 55 ans et demi environ se situe ce "pic"...)
jeudi 22 janvier 2009
femme de la forêt
welt-online :
Zu Besuch bei der Waldfrau
Von Heike Schäfer 22. Januar 2009, 02:52 Uhr
Vor zwölf Jahren verschwand Gabriele S. spurlos. Vor wenigen Tagen fand man die Brandenburgerin in der Schweizer Wildnis
Bolligen - In ihrer letzten Nacht im Wald hat es noch einmal geschneit. Jetzt sitzt Gabriele S. im Landgasthof "Sternen" in Bolligen und schneidet ein Wiener Schnitzel. Die Wollmütze hat sie nicht abgesetzt. Zwölf Jahre lang hinterließ sie keine Spur, hörte ihre Familie nichts von ihr - ihre Mutter nicht, auch nicht ihre zwei Kinder.
Gabriele S. wundert sich, warum sich alle Welt so für sie interessiert. "Da war 'ne Frau lange im Wald, fertig, basta, Fall erledigt", sagt sie. Wenn sie spricht, klingt ihre Brandenburger Heimat durch, ähnlich wie bei Angela Merkel. Später am Tag wird Gabriele S. ihre Schwester treffen. Ob sie mit ihr heimkehren wird? Sie hätte wohl nichts dagegen, sagt sie.
Sie wolle keinen Kontakt zu ihrer Familie, hatte Gabriele S. zunächst angegeben, als man sie im Waldstück Grauholz fand. Seit Neujahr war hier die Temperatur nicht über null gestiegen Unter Plastikplanen, ähnlich einem Igluzelt, lebte Gabriele S. vermutlich ein Jahr lang zwischen den Bäumen.
Sie wolle den Papst besuchen, gab sie hingegen im Februar 1997 an, in Belzig (Brandenburg) und tauchte seitdem nicht wieder auf. Ihren Sohn, damals 19, und eine ebenfalls erwachsene Tochter ließ sie zurück. Auch ihrer Mutter sagte sie nichts - die meldete Gabriele S. später als vermisst. Sie sei auch in Österreich, Italien und Frankreich herumgereist, so die Polizei.
...............
===================
elle disparait en février 1997 en prétendant vouloir aller voir le pape... on l'a retrouvée dans une forêt en Suisse, ou elle vivait dans une sorte de cabane depuis environ un an... avant elle a semblé être SDF et vivre de produits qu'elle glanait, apparemment périmés (dixit grosso modo l'article)...
une disparition qu'elle n'a jamais vraiment expliquée : sa famille la recherchait depuis.
comme elle a 52 ans aujourd'hui on peut faire le calcul et sa disparition semble probablement liée à... l'entrée dans sa sa période critique septennale des 42 ans...
Zu Besuch bei der Waldfrau
Von Heike Schäfer 22. Januar 2009, 02:52 Uhr
Vor zwölf Jahren verschwand Gabriele S. spurlos. Vor wenigen Tagen fand man die Brandenburgerin in der Schweizer Wildnis
Bolligen - In ihrer letzten Nacht im Wald hat es noch einmal geschneit. Jetzt sitzt Gabriele S. im Landgasthof "Sternen" in Bolligen und schneidet ein Wiener Schnitzel. Die Wollmütze hat sie nicht abgesetzt. Zwölf Jahre lang hinterließ sie keine Spur, hörte ihre Familie nichts von ihr - ihre Mutter nicht, auch nicht ihre zwei Kinder.
Gabriele S. wundert sich, warum sich alle Welt so für sie interessiert. "Da war 'ne Frau lange im Wald, fertig, basta, Fall erledigt", sagt sie. Wenn sie spricht, klingt ihre Brandenburger Heimat durch, ähnlich wie bei Angela Merkel. Später am Tag wird Gabriele S. ihre Schwester treffen. Ob sie mit ihr heimkehren wird? Sie hätte wohl nichts dagegen, sagt sie.
Sie wolle keinen Kontakt zu ihrer Familie, hatte Gabriele S. zunächst angegeben, als man sie im Waldstück Grauholz fand. Seit Neujahr war hier die Temperatur nicht über null gestiegen Unter Plastikplanen, ähnlich einem Igluzelt, lebte Gabriele S. vermutlich ein Jahr lang zwischen den Bäumen.
Sie wolle den Papst besuchen, gab sie hingegen im Februar 1997 an, in Belzig (Brandenburg) und tauchte seitdem nicht wieder auf. Ihren Sohn, damals 19, und eine ebenfalls erwachsene Tochter ließ sie zurück. Auch ihrer Mutter sagte sie nichts - die meldete Gabriele S. später als vermisst. Sie sei auch in Österreich, Italien und Frankreich herumgereist, so die Polizei.
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elle disparait en février 1997 en prétendant vouloir aller voir le pape... on l'a retrouvée dans une forêt en Suisse, ou elle vivait dans une sorte de cabane depuis environ un an... avant elle a semblé être SDF et vivre de produits qu'elle glanait, apparemment périmés (dixit grosso modo l'article)...
une disparition qu'elle n'a jamais vraiment expliquée : sa famille la recherchait depuis.
comme elle a 52 ans aujourd'hui on peut faire le calcul et sa disparition semble probablement liée à... l'entrée dans sa sa période critique septennale des 42 ans...
suicide
parisnormandie :
Une mort encore inexpliquée
C'est du quatrième étage de ce bâtiment que Mathilde a sauté. Le décès de la lycéenne demeure un mystère. Mathilde n'avait pas de tendances suicidaires, selon sa mère.
La mort de Mathilde, une lycéenne de 17 ans du lycée Flaubert à Rouen, demeure un mystère pour les enquêteurs. L'audition, hier, de la mère de la jeune fille dont le corps sans vie a été retrouvé mardi vers 12 h, au pied d'un bâtiment scolaire de l'établissement, n'a pas permis de trouver un début d'explication à ce geste funeste. Il est maintenant acquis que Mathilde s'est jetée dans le vide par la fenêtre des toilettes du 4e étage où se trouvait sa salle de cours.
Disparue depuis la veille
Autre certitude, la jeune lycéenne qui était en dernière de BEP vente, avait disparu en fait depuis lundi matin. Vers 10 h, alors qu'elle était en cours d'anglais, elle avait demandé à son professeur l'autorisation de quitter la salle pour aller aux toilettes. Personne ne l'avait revue depuis. Ce qui avait conduit mardi matin ses parents à signaler sa disparition au poste de police de Château-Blanc, à Saint-Etienne-du-Rouvray.
A la lumière des événements, la question se pose de savoir si Mathilde a mis fin à ses jours lundi matin ou plus tard ? Toujours est-il que son corps a été retrouvé plus de 24 heures après sa disparition, dans un endroit isolé du parking des enseignants, côté rue Albert-Dupuis.
Déception amoureuse ?
Selon nos informations, la jeune fille semblait plutôt bien dans sa peau. « Elle n'avait pas de difficulté particulière tant au niveau familial qu'au niveau de sa scolarité », confie un proche de l'enquête. Elle n'avait pas non plus de « tendances suicidaires » disent ceux qui la connaissaient.
L'audition de sa meilleure amie et « confidente » est attendue par les policiers. Peut-être alors en sauront-ils davantage sur Mathilde, notamment sur sa vie affective. Car la piste d'une déception amoureuse est une des hypothèses prises au sérieux par les enquêteurs du service de quart de l'hôtel de police de Rouen, chargés de faire la lumière sur ce drame.
Tous les témoignages - proches, camarades de classe, enseignants - seront très précieux. Il convient en effet de cerner la personnalité de la jeune fille pour tenter de comprendre son terrible geste.
A la demande du parquet, une autopsie du corps de Mathilde sera pratiquée aujourd'hui. Elle devrait permettre de déterminer le jour et l'heure exacte de la mort, ainsi que les causes.
Remy Lebel
============
la jeune fille aurait eu 18 ans en avril prochain : dommage que l'on ne donne pas la date précise car elle aurait permis de savoir si Mathilde est une native du lundi (ou peut-être du mardi : on entre alors dans le jour critique émotionnel lundi soir). c'est en effet son jour critique émotionnel que l'on a tendance à passer à des actes suicidaires subits et inattendus : le jour critique émotionnel peut être un jour au cours duquel se déclenche une sorte de dépression foudroyante qui peut être violente selon l'état de la personne, d'autant plus si une personne est en proie à certains problèmes ; l'arrivée du jour critique hebdomadaire peut alors constituer un déclencheur d'un passage à l'acte.
pas de période critique septennale mais la 18ème année de vie est une année critique du cycle physique sextennal. (équivalent de P18)
Une mort encore inexpliquée
C'est du quatrième étage de ce bâtiment que Mathilde a sauté. Le décès de la lycéenne demeure un mystère. Mathilde n'avait pas de tendances suicidaires, selon sa mère.
La mort de Mathilde, une lycéenne de 17 ans du lycée Flaubert à Rouen, demeure un mystère pour les enquêteurs. L'audition, hier, de la mère de la jeune fille dont le corps sans vie a été retrouvé mardi vers 12 h, au pied d'un bâtiment scolaire de l'établissement, n'a pas permis de trouver un début d'explication à ce geste funeste. Il est maintenant acquis que Mathilde s'est jetée dans le vide par la fenêtre des toilettes du 4e étage où se trouvait sa salle de cours.
Disparue depuis la veille
Autre certitude, la jeune lycéenne qui était en dernière de BEP vente, avait disparu en fait depuis lundi matin. Vers 10 h, alors qu'elle était en cours d'anglais, elle avait demandé à son professeur l'autorisation de quitter la salle pour aller aux toilettes. Personne ne l'avait revue depuis. Ce qui avait conduit mardi matin ses parents à signaler sa disparition au poste de police de Château-Blanc, à Saint-Etienne-du-Rouvray.
A la lumière des événements, la question se pose de savoir si Mathilde a mis fin à ses jours lundi matin ou plus tard ? Toujours est-il que son corps a été retrouvé plus de 24 heures après sa disparition, dans un endroit isolé du parking des enseignants, côté rue Albert-Dupuis.
Déception amoureuse ?
Selon nos informations, la jeune fille semblait plutôt bien dans sa peau. « Elle n'avait pas de difficulté particulière tant au niveau familial qu'au niveau de sa scolarité », confie un proche de l'enquête. Elle n'avait pas non plus de « tendances suicidaires » disent ceux qui la connaissaient.
L'audition de sa meilleure amie et « confidente » est attendue par les policiers. Peut-être alors en sauront-ils davantage sur Mathilde, notamment sur sa vie affective. Car la piste d'une déception amoureuse est une des hypothèses prises au sérieux par les enquêteurs du service de quart de l'hôtel de police de Rouen, chargés de faire la lumière sur ce drame.
Tous les témoignages - proches, camarades de classe, enseignants - seront très précieux. Il convient en effet de cerner la personnalité de la jeune fille pour tenter de comprendre son terrible geste.
A la demande du parquet, une autopsie du corps de Mathilde sera pratiquée aujourd'hui. Elle devrait permettre de déterminer le jour et l'heure exacte de la mort, ainsi que les causes.
Remy Lebel
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la jeune fille aurait eu 18 ans en avril prochain : dommage que l'on ne donne pas la date précise car elle aurait permis de savoir si Mathilde est une native du lundi (ou peut-être du mardi : on entre alors dans le jour critique émotionnel lundi soir). c'est en effet son jour critique émotionnel que l'on a tendance à passer à des actes suicidaires subits et inattendus : le jour critique émotionnel peut être un jour au cours duquel se déclenche une sorte de dépression foudroyante qui peut être violente selon l'état de la personne, d'autant plus si une personne est en proie à certains problèmes ; l'arrivée du jour critique hebdomadaire peut alors constituer un déclencheur d'un passage à l'acte.
pas de période critique septennale mais la 18ème année de vie est une année critique du cycle physique sextennal. (équivalent de P18)
lunettes noires
le blogue de la bourse :
Un autre drame lié à la crise
Un autre malheureux décès peut être lié à la crise financière.
L’homme d’affaires irlandais Patrick Rocca, 42 ans, s’est tiré une balle dans la tête lundi matin à son domicile de Dublin.Il semble que la perspective de voir sa fortune personnelle s’envoler en fumée est à l’origine du suicide.
Patrick Rocca a fait ses millions dans l’immobilier et la récente chute des prix des propriétés combinée aux ennuis financiers de la Anglo Irish Bank ont semble-t-il troublé sa vie.
La récente annonce de la nationalisation de la Anglo Irish Bank, dans laquelle il aurait investi près d’une vingtaine de millions, ne laissait présager rien de bon pour ses actifs.
Patrick Rocca était père de trois enfants. Sur la photo, on peut le voir en compagnie de sa femme Annette. Patrick Rocca, dont la soeur Michelle est la partenaire de vie du musicien Van Morrison, est un homme bien connu du public en Europe. Il était un ami de Bill Clinton et de Tony Blair.
==============
attention aux lunettes noires que nous chaussons lors de la période critique septennale... il faudrait absolument en tenir compte : elles vont nous faire interpréter tout autrement que nous ne le ferions en temps ordinaire...
Un autre drame lié à la crise
Un autre malheureux décès peut être lié à la crise financière.
L’homme d’affaires irlandais Patrick Rocca, 42 ans, s’est tiré une balle dans la tête lundi matin à son domicile de Dublin.Il semble que la perspective de voir sa fortune personnelle s’envoler en fumée est à l’origine du suicide.
Patrick Rocca a fait ses millions dans l’immobilier et la récente chute des prix des propriétés combinée aux ennuis financiers de la Anglo Irish Bank ont semble-t-il troublé sa vie.
La récente annonce de la nationalisation de la Anglo Irish Bank, dans laquelle il aurait investi près d’une vingtaine de millions, ne laissait présager rien de bon pour ses actifs.
Patrick Rocca était père de trois enfants. Sur la photo, on peut le voir en compagnie de sa femme Annette. Patrick Rocca, dont la soeur Michelle est la partenaire de vie du musicien Van Morrison, est un homme bien connu du public en Europe. Il était un ami de Bill Clinton et de Tony Blair.
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attention aux lunettes noires que nous chaussons lors de la période critique septennale... il faudrait absolument en tenir compte : elles vont nous faire interpréter tout autrement que nous ne le ferions en temps ordinaire...
mercredi 21 janvier 2009
Sumo Chirac
Nouvelobs :
Jacques Chirac mordu par son chien
AP | 21.01.2009 |
Jacques Chirac a été mordu par son chien Sumo, un bichon maltais, révèle son épouse Bernadette dans une interview publiée dans "VSD" paru mercredi.
"Si vous saviez, j'ai vécu hier une journée dramatique. Sumo a mordu mon mari!", lance l'épouse de l'ex-président, interviewée par l'animateur et journaliste Guy Carlier.
Et celui-ci d'expliquer: "depuis quelques temps, Sumo est pris d'accès de frénésie et il se met brusquement à sauter en l'air". Malgré un "traitement antidépresseur", il a donc "mordu violemment le président". AP
================
j'ai essayé de trouver - sans succès - la date à laquelle Jacques Chirac a été mordu par son chien...
l'ancien Président a son jour critique émotionnel le mardi : c'est le jour critique émotionnel qu'un chien peut mordre une personne - plus qu'un autre jour - même son maître ou une personne de la famille (attention aux enfants leur jour critique émotionnel) car le chien va ressentir selon le cas la personne comme étant agressive...
Jacques Chirac entre par ailleurs dans sa période critique septennale des 77 ans en mai prochain : il va donc aussi changer "d'état" à ce moment là, et pour un petit bout de temps... et l'animal le ressent parfaitement.
Jacques Chirac est né le 29/11/1932.
Jacques Chirac mordu par son chien
AP | 21.01.2009 |
Jacques Chirac a été mordu par son chien Sumo, un bichon maltais, révèle son épouse Bernadette dans une interview publiée dans "VSD" paru mercredi.
"Si vous saviez, j'ai vécu hier une journée dramatique. Sumo a mordu mon mari!", lance l'épouse de l'ex-président, interviewée par l'animateur et journaliste Guy Carlier.
Et celui-ci d'expliquer: "depuis quelques temps, Sumo est pris d'accès de frénésie et il se met brusquement à sauter en l'air". Malgré un "traitement antidépresseur", il a donc "mordu violemment le président". AP
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j'ai essayé de trouver - sans succès - la date à laquelle Jacques Chirac a été mordu par son chien...
l'ancien Président a son jour critique émotionnel le mardi : c'est le jour critique émotionnel qu'un chien peut mordre une personne - plus qu'un autre jour - même son maître ou une personne de la famille (attention aux enfants leur jour critique émotionnel) car le chien va ressentir selon le cas la personne comme étant agressive...
Jacques Chirac entre par ailleurs dans sa période critique septennale des 77 ans en mai prochain : il va donc aussi changer "d'état" à ce moment là, et pour un petit bout de temps... et l'animal le ressent parfaitement.
Jacques Chirac est né le 29/11/1932.
Delarue
Jean-Luc Delarue (né le 24 juin 1964 à Paris) est un animateur et producteur de télévision français.
====================
Voici.fr :
Jean-Luc Delarue suscite l’inquiétude de ses fans
Que lui arrive-t-il ?
L’animateur Jean-Luc Delarue est au centre de toutes les inquiétudes, après des attitudes étranges. France 2 le soutient.
Il y a deux ans, le gendre idéal qu’était Jean-Luc Delarue pour la ménagère écornait grandement son image. Lors d’un vol Paris-Johannesburg, il avait créé un scandale par son attitude scandaleuse envers les passagers et personnels de vol.
Le 7 janvier dernier, dans un Ça se discute sur France 2, et en direct bien sûr, c’est un Delarue au comportement incohérent qui errait sur le plateau.
Rebelote le 13 janvier dernier, sur RTL cette fois. Invité dans l’émission de Vincent Parizot pour un hommage au réalisateur disparu la veille, Claude Berri, Jean-Luc Delarue a troublé son hôte par ses déclarations bizarres à son endroit. Exemple : « quand je faisais l’information sur Europe 1, vous étiez le seul à me dire bonjour », avant de poursuivre sur Claude Berri, qu’il aimait beaucoup : « il me regarde mais ne me parle pas. »
Un témoin de cette émission rapporte dans le Parisien : « Il y avait une tension dans le studio. Delarue était fébrile et transpirait beaucoup ».
Que se passe-t-il donc dans la vie de l’animateur ? Des problèmes dans sa vie privée sont-ils à l’origine de ces attitudes ?
En attendant, France 2 « Il est vrai qu’il est un peu plus nerveux sur les directs. Il est désormais plus proche des invités, plus tactile et cela peut étonner (voire inquiéter, ndlr). Mais il n’est pas bizarre, il est normal. Il continuera à présenter Ça se discute en direct quand le sujet se justifie », a dit Patricia Boutinard-Rouelle, directrice de l’unité magazines de la chaîne. On ne sait pas si on doit être rassuré ou pas...
P.L.N
==================================
il y a deux ans, effectivement c'était veille de jour critique émotionnel E8 et pleine période critique septennale... (13/02/2007)
les observations de Voici.fr ci-dessous sont intéressantes aussi :
le 7 janvier est comme je me posais la question en lisant l'article, un jour critique émotionnel E1 alors que le 13 janvier c'est la veille de E8 : mais il suffit que cela se passe après 18 heures pour que nous soyons dans le jour critique émotionnel E8...
mercredi est définitivement le jour critique émotionnel de Jean-Luc Delarue... et il risque fort d'être "différent", voire bizarre... de temps en temps, mais toujours ce jour là...
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Voici.fr :
Jean-Luc Delarue suscite l’inquiétude de ses fans
Que lui arrive-t-il ?
L’animateur Jean-Luc Delarue est au centre de toutes les inquiétudes, après des attitudes étranges. France 2 le soutient.
Il y a deux ans, le gendre idéal qu’était Jean-Luc Delarue pour la ménagère écornait grandement son image. Lors d’un vol Paris-Johannesburg, il avait créé un scandale par son attitude scandaleuse envers les passagers et personnels de vol.
Le 7 janvier dernier, dans un Ça se discute sur France 2, et en direct bien sûr, c’est un Delarue au comportement incohérent qui errait sur le plateau.
Rebelote le 13 janvier dernier, sur RTL cette fois. Invité dans l’émission de Vincent Parizot pour un hommage au réalisateur disparu la veille, Claude Berri, Jean-Luc Delarue a troublé son hôte par ses déclarations bizarres à son endroit. Exemple : « quand je faisais l’information sur Europe 1, vous étiez le seul à me dire bonjour », avant de poursuivre sur Claude Berri, qu’il aimait beaucoup : « il me regarde mais ne me parle pas. »
Un témoin de cette émission rapporte dans le Parisien : « Il y avait une tension dans le studio. Delarue était fébrile et transpirait beaucoup ».
Que se passe-t-il donc dans la vie de l’animateur ? Des problèmes dans sa vie privée sont-ils à l’origine de ces attitudes ?
En attendant, France 2 « Il est vrai qu’il est un peu plus nerveux sur les directs. Il est désormais plus proche des invités, plus tactile et cela peut étonner (voire inquiéter, ndlr). Mais il n’est pas bizarre, il est normal. Il continuera à présenter Ça se discute en direct quand le sujet se justifie », a dit Patricia Boutinard-Rouelle, directrice de l’unité magazines de la chaîne. On ne sait pas si on doit être rassuré ou pas...
P.L.N
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il y a deux ans, effectivement c'était veille de jour critique émotionnel E8 et pleine période critique septennale... (13/02/2007)
les observations de Voici.fr ci-dessous sont intéressantes aussi :
le 7 janvier est comme je me posais la question en lisant l'article, un jour critique émotionnel E1 alors que le 13 janvier c'est la veille de E8 : mais il suffit que cela se passe après 18 heures pour que nous soyons dans le jour critique émotionnel E8...
mercredi est définitivement le jour critique émotionnel de Jean-Luc Delarue... et il risque fort d'être "différent", voire bizarre... de temps en temps, mais toujours ce jour là...
déboires...
lesdessousdusport.fr :
Dwain Chambers a pensé au suicide
Dwain Chambers, dans une interview au Guardian, avoue avoir pensé au suicide. L'athlète qui vient de terminer la rédaction de son auto-biographie, a été suspendu en 2003 pour dopage. Agé de 30 aujourd'hui, il n'a jamais rebondi après ses déboires. Il y quelques semaines, il confiait même que l'année 2009 pourrait être celle de sa retraite.
===================
il serait intéressant de voir comment s'est passée sa descente... en 2003 il avait 25 ans. mais c'est surtout à l'arrivée de ses 28 ans donc en 2006 qu'il a dû se poser des questions et/ou broyer du noir...
(*5/04/1978)jour critique émotionnel le mercredi.
là, à près de 31 ans çà devrait aller mieux, sauf peut-être que l'on s'éloigne de l'âge des records...
Dwain Chambers a pensé au suicide
Dwain Chambers, dans une interview au Guardian, avoue avoir pensé au suicide. L'athlète qui vient de terminer la rédaction de son auto-biographie, a été suspendu en 2003 pour dopage. Agé de 30 aujourd'hui, il n'a jamais rebondi après ses déboires. Il y quelques semaines, il confiait même que l'année 2009 pourrait être celle de sa retraite.
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il serait intéressant de voir comment s'est passée sa descente... en 2003 il avait 25 ans. mais c'est surtout à l'arrivée de ses 28 ans donc en 2006 qu'il a dû se poser des questions et/ou broyer du noir...
(*5/04/1978)jour critique émotionnel le mercredi.
là, à près de 31 ans çà devrait aller mieux, sauf peut-être que l'on s'éloigne de l'âge des records...
septennat et séparation septennale
Thomalla und Assauer trennen sich
Fußball-Manager Rudi Assauer und Schauspielerin Simone Thomalla gehen wieder getrennte Wege. Nach Informationen der "BILD"-Zeitung hat Thomalla das gemeinsam bewohnte Haus in Gelsenkirchen bereits verlassen und wird wieder nach Berlin ziehen. "Feierabend", ließ Assauer verlauten.
Acht Jahre waren der Ex-Schalke-Manager Rudi Assauer und die Schauspielerin Simone Thomalla ein Paar.Ex-Fußball-Manager Rudi Assauer hat die Trennung von „Tatort“-Kommissarin Simone Thomalla bestätigt: „Ja, es ist Feierabend“, zitiert ihn die „Bild“-Zeitung. Auf die gemeinsamen acht Jahre Beziehung mit der Schauspielerin blickt der 64-Jährige ohne Bitterkeit zurück. „Wir hatten eine tolle Zeit miteinander, und ich bereue absolut nicht, dass wir zusammen waren“, sagte er.
Zum Grund der Trennung wird Assauer zitiert: „Zuletzt hat es einfach nicht mehr gepasst. Da war die Trennung das Beste. Mehr möchte ich zum jetzigen Zeitpunkt nicht sagen.“ Nach „Bild“-Informationen zieht die 43 Jahre alte Thomalla gerade aus dem gemeinsamen Haus in Gelsenkirchen aus. Am Montag habe sie noch einmal einige persönliche Gegenstände aus der Villa abgeholt.
========================
çà n'allait simplement plus dit l'ancien football Manager âgé de 64 ans et qui vivait avec l'actrice de 43 ans depuis 8 ans... : ils se séparent.
rencontre septennale - un septennat de vie commune et séparation lors de la période critique septennale suivante : cela illustre bien le rôle et l'influence "subconsciente" de nos périodes critiques septennales. ici en outre une compatibilité ... qui fait que l'on est dans le même "état particulier" ensemble à nouveau au même moment... sept ans après... sauf que ce n'est pas une période "début de lune de miel" mais une période "fin de lune de miel"... :-)
il est possible que cette compatibilité conduise ici à une séparation en bons termes et d'un commun accord parce qu'on est dans le même état d'esprit.
Fußball-Manager Rudi Assauer und Schauspielerin Simone Thomalla gehen wieder getrennte Wege. Nach Informationen der "BILD"-Zeitung hat Thomalla das gemeinsam bewohnte Haus in Gelsenkirchen bereits verlassen und wird wieder nach Berlin ziehen. "Feierabend", ließ Assauer verlauten.
Acht Jahre waren der Ex-Schalke-Manager Rudi Assauer und die Schauspielerin Simone Thomalla ein Paar.Ex-Fußball-Manager Rudi Assauer hat die Trennung von „Tatort“-Kommissarin Simone Thomalla bestätigt: „Ja, es ist Feierabend“, zitiert ihn die „Bild“-Zeitung. Auf die gemeinsamen acht Jahre Beziehung mit der Schauspielerin blickt der 64-Jährige ohne Bitterkeit zurück. „Wir hatten eine tolle Zeit miteinander, und ich bereue absolut nicht, dass wir zusammen waren“, sagte er.
Zum Grund der Trennung wird Assauer zitiert: „Zuletzt hat es einfach nicht mehr gepasst. Da war die Trennung das Beste. Mehr möchte ich zum jetzigen Zeitpunkt nicht sagen.“ Nach „Bild“-Informationen zieht die 43 Jahre alte Thomalla gerade aus dem gemeinsamen Haus in Gelsenkirchen aus. Am Montag habe sie noch einmal einige persönliche Gegenstände aus der Villa abgeholt.
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çà n'allait simplement plus dit l'ancien football Manager âgé de 64 ans et qui vivait avec l'actrice de 43 ans depuis 8 ans... : ils se séparent.
rencontre septennale - un septennat de vie commune et séparation lors de la période critique septennale suivante : cela illustre bien le rôle et l'influence "subconsciente" de nos périodes critiques septennales. ici en outre une compatibilité ... qui fait que l'on est dans le même "état particulier" ensemble à nouveau au même moment... sept ans après... sauf que ce n'est pas une période "début de lune de miel" mais une période "fin de lune de miel"... :-)
il est possible que cette compatibilité conduise ici à une séparation en bons termes et d'un commun accord parce qu'on est dans le même état d'esprit.
lundi 19 janvier 2009
suicide
7sur7 :
Un homme d'affaires russe victime de la crise se suicide
Victime de la crise économique, un homme d'affaires, copropriétaire d'un réseau de magasins de luxe, s'est pendu à Nijni Novgorod, dans le centre de la Russie, a rapporté lundi le journal Kommersant.
Selon les enquêteurs du Parquet local, le corps sans vie de Sergueï Poliakov, 56 ans, a été découvert vendredi dans une pièce attenante à son bureau, où il a laissé une note expliquant son geste par l'importance des dettes qu'il avait contractées auprès de banques.
Il était copropriétaire d'Intermoda, un des réseaux les plus importants dans le commerce de luxe à Nijni Novgorod, qui vend des vêtements, chaussures et autres accessoires des marques Versace, Brioni, Gucci, Escada ou Roberto Cavalli.
Rien qu'en octobre-novembre 2008, la demande dans le commerce de luxe a chuté de 30%, continuant depuis de diminuer, a expliqué Iouri Kouzmitchev, PDG d'une société de conseil, cité par Kommersant. (belga)
==================
pas trop de septennaux, finalement parmi les suicidés de la crise...
la période critique septennale doit cependant quand même de temps en temps jouer un rôle décisif : comme ici, où l'intéressé a 56 ans mais aussi rappelons nous Joël Gamelin, lui aussi à l'entrée de sa période critique septennale des 56 ans...
Un homme d'affaires russe victime de la crise se suicide
Victime de la crise économique, un homme d'affaires, copropriétaire d'un réseau de magasins de luxe, s'est pendu à Nijni Novgorod, dans le centre de la Russie, a rapporté lundi le journal Kommersant.
Selon les enquêteurs du Parquet local, le corps sans vie de Sergueï Poliakov, 56 ans, a été découvert vendredi dans une pièce attenante à son bureau, où il a laissé une note expliquant son geste par l'importance des dettes qu'il avait contractées auprès de banques.
Il était copropriétaire d'Intermoda, un des réseaux les plus importants dans le commerce de luxe à Nijni Novgorod, qui vend des vêtements, chaussures et autres accessoires des marques Versace, Brioni, Gucci, Escada ou Roberto Cavalli.
Rien qu'en octobre-novembre 2008, la demande dans le commerce de luxe a chuté de 30%, continuant depuis de diminuer, a expliqué Iouri Kouzmitchev, PDG d'une société de conseil, cité par Kommersant. (belga)
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pas trop de septennaux, finalement parmi les suicidés de la crise...
la période critique septennale doit cependant quand même de temps en temps jouer un rôle décisif : comme ici, où l'intéressé a 56 ans mais aussi rappelons nous Joël Gamelin, lui aussi à l'entrée de sa période critique septennale des 56 ans...
bonjour tristesse
La science défend les bienfaits de la tristesse.
Écosse et États-Unis - Une étude montre que la tristesse est bonne pour la santé car elle aide les personnes à changer leur vie en mieux.
Les scientifiques pensent que soigner les épisodes tristes de la vie par des médicaments empêche la remise en question et la motivation à grandir émotionnellement. La tristesse peut rendre ceux qui en soufrent plus aptes à affronter les difficultés de la vie, plus résistants et les amener à de grands succès.
Les chercheurs pointent l’absence de tolérance de la société pour la tristesse causée par la perte d’emploi, la perte d’un proche ou la fin d’une relation amoureuse, plaçant le bonheur personnel au-dessus de tout le reste. De nombreux psychiatres pensent que le recours aux médicaments pourrait affecter l’évolution de l’Homme.
La dépression aurait permis la survie des espèces depuis des milliers d’années. Le Pr Wakefield, de l’université de New York, pense que les médicaments freinent un processus biologique naturel profondément ancré en l’Homme. Il insiste sur le fait que la tristesse vient interrompre le cours de la vie pour mieux se concentrer sur d’autres aspects et apprendre de ses erreurs. Le Pr Keedwell, de l’université de Cardiff, pense qu’une dépression profonde peut sauver des effets du stress à long terme par une meilleure appréciation de la vie
Une personne sur quatre souffrira de dépression dans sa vie. Une personne sur vingt vit avec cette maladie actuellement.
http://www.maxisciences.com/tristesse/la-science-defend-les-bienfaits-de-la-tristesse_art619.html
======================
intéressant : c'est ainsi que la survenance régulière du jour critique émotionnel (chaque 7ème jour de notre vie - en réalité donc notre "dimanche" individuel) et de la période critique septennale (chaque 7ème année de notre vie) serait en quelque sorte un "moteur" qui devrait nous aider à "remettre en cause" et "rectifier" voire réorienter et consolider nos parcours...
Écosse et États-Unis - Une étude montre que la tristesse est bonne pour la santé car elle aide les personnes à changer leur vie en mieux.
Les scientifiques pensent que soigner les épisodes tristes de la vie par des médicaments empêche la remise en question et la motivation à grandir émotionnellement. La tristesse peut rendre ceux qui en soufrent plus aptes à affronter les difficultés de la vie, plus résistants et les amener à de grands succès.
Les chercheurs pointent l’absence de tolérance de la société pour la tristesse causée par la perte d’emploi, la perte d’un proche ou la fin d’une relation amoureuse, plaçant le bonheur personnel au-dessus de tout le reste. De nombreux psychiatres pensent que le recours aux médicaments pourrait affecter l’évolution de l’Homme.
La dépression aurait permis la survie des espèces depuis des milliers d’années. Le Pr Wakefield, de l’université de New York, pense que les médicaments freinent un processus biologique naturel profondément ancré en l’Homme. Il insiste sur le fait que la tristesse vient interrompre le cours de la vie pour mieux se concentrer sur d’autres aspects et apprendre de ses erreurs. Le Pr Keedwell, de l’université de Cardiff, pense qu’une dépression profonde peut sauver des effets du stress à long terme par une meilleure appréciation de la vie
Une personne sur quatre souffrira de dépression dans sa vie. Une personne sur vingt vit avec cette maladie actuellement.
http://www.maxisciences.com/tristesse/la-science-defend-les-bienfaits-de-la-tristesse_art619.html
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intéressant : c'est ainsi que la survenance régulière du jour critique émotionnel (chaque 7ème jour de notre vie - en réalité donc notre "dimanche" individuel) et de la période critique septennale (chaque 7ème année de notre vie) serait en quelque sorte un "moteur" qui devrait nous aider à "remettre en cause" et "rectifier" voire réorienter et consolider nos parcours...
samedi 17 janvier 2009
suicide d'un accusé
7sur7 :
Accusé du meurtre de sa femme, il s'est suicidé en prison
Jozef Jacobs, 59 ans, qui comparaissait depuis vendredi devant la cour d'assises de Louvain pour le meurtre de sa femme, s'est suicidé vendredi soir dans sa cellule, a annoncé samedi le parquet de Louvain.
Cet ancien militaire et fonctionnaire de l'Otan était poursuivi pour le meurtre de son épouse américaine, Barbara Ross, le 26 mars 2006. Son procès avait débuté vendredi matin et il avait été interrogé par le président de la cour d'assises, le conseiller Antoon Boyen, sur les problèmes de couple qui ont conduit au drame. A l'issue de l'audience, il a été ramené en prison, où il était seul en cellule dans une aile séparée.
Dans le cadre de son procès, il faisait l'objet d'une surveillance attentive mais vers 22H30 les gardiens sont entrés dans sa cellule et ont constaté qu'il s'était pendu. Le parquet est descendu sur place, accompagné d'un médecin légiste.
Le décès de l'accuse éteint l'action judiciaire, y compris à l'égard des parties civiles, mais il appartient au président de la cour d'assises de prononcer la clôture du procès, a expliqué le parquet de Louvain.(belga)
=================
je n'ai pas trouvé beaucoup de détails concernant cette affaire, sauf que l'intéressé aujourd'hui 59 ans se trouvait par conséquent au moment du drame en 2006... dans sa période critique septennale des 56 ans. jour critique émotionnel ? car le suicide est un samedi et le crime dont il est accusé un dimanche... peut-être aussi quelque chose à trouver.
Accusé du meurtre de sa femme, il s'est suicidé en prison
Jozef Jacobs, 59 ans, qui comparaissait depuis vendredi devant la cour d'assises de Louvain pour le meurtre de sa femme, s'est suicidé vendredi soir dans sa cellule, a annoncé samedi le parquet de Louvain.
Cet ancien militaire et fonctionnaire de l'Otan était poursuivi pour le meurtre de son épouse américaine, Barbara Ross, le 26 mars 2006. Son procès avait débuté vendredi matin et il avait été interrogé par le président de la cour d'assises, le conseiller Antoon Boyen, sur les problèmes de couple qui ont conduit au drame. A l'issue de l'audience, il a été ramené en prison, où il était seul en cellule dans une aile séparée.
Dans le cadre de son procès, il faisait l'objet d'une surveillance attentive mais vers 22H30 les gardiens sont entrés dans sa cellule et ont constaté qu'il s'était pendu. Le parquet est descendu sur place, accompagné d'un médecin légiste.
Le décès de l'accuse éteint l'action judiciaire, y compris à l'égard des parties civiles, mais il appartient au président de la cour d'assises de prononcer la clôture du procès, a expliqué le parquet de Louvain.(belga)
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je n'ai pas trouvé beaucoup de détails concernant cette affaire, sauf que l'intéressé aujourd'hui 59 ans se trouvait par conséquent au moment du drame en 2006... dans sa période critique septennale des 56 ans. jour critique émotionnel ? car le suicide est un samedi et le crime dont il est accusé un dimanche... peut-être aussi quelque chose à trouver.
Soldatenmord von Lebach
Soldatenmord von Lebach
aus Wikipedia, der freien Enzyklopädie
Als Soldatenmord von Lebach ging ein im Jahre 1969 begangener Mord an vier Soldaten am Bundeswehrstandort Lebach in die bundesdeutsche Geschichte ein.
Am 20. Januar drangen zwei bewaffnete Männer in die Standortmunitionsniederlage des Fallschirmjägerbataillons 261 ein, töteten vier der fünf diensthabenden Wachsoldaten und verletzten den fünften schwer. Dieses offensichtlich gewordene Defizit in der Sicherung einer Militäreinrichtung schockierte Bundeswehr und Öffentlichkeit schwer.
==================
Der 27jährige Bankkaufmann Hans-Jürgen Fuchs gilt als "Kopf" der drei Lebach-Täter. Er widerrief sein anfängliches Geständnis und behauptet, bei dem Massaker in Lebach nicht dabeigewesen zu sein.
Wolfgang Ditz, ehemaliger Justizangestellter, 27 Jahre alt, schwieg während der Verhandlung. Er bat seinen Verteidiger, dafür zu sorgen, daß er in der Öffentlichkeit nicht als Bestie dastehe. Gernot Wenzel, der 25 Jahre alte Zahntechniker, wußte von den Plänen seiner beiden Freunde. Aber er schwieg. Er habe nie geglaubt, daß die" furchtbare Tat wirklich
===================
je n'ai pas trouvé pour l'instant l'âge précis des instigateurs du massacre de quatre soldats en 1969 à Lebach. mais il pourrait s'agir de personnes, au moins pour Ditz et Fuchs, qui entraient à ce moment là dans leur période critique septennale des 28 ans. j'y reviendrai si je trouve plus de détails.
aus Wikipedia, der freien Enzyklopädie
Als Soldatenmord von Lebach ging ein im Jahre 1969 begangener Mord an vier Soldaten am Bundeswehrstandort Lebach in die bundesdeutsche Geschichte ein.
Am 20. Januar drangen zwei bewaffnete Männer in die Standortmunitionsniederlage des Fallschirmjägerbataillons 261 ein, töteten vier der fünf diensthabenden Wachsoldaten und verletzten den fünften schwer. Dieses offensichtlich gewordene Defizit in der Sicherung einer Militäreinrichtung schockierte Bundeswehr und Öffentlichkeit schwer.
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Der 27jährige Bankkaufmann Hans-Jürgen Fuchs gilt als "Kopf" der drei Lebach-Täter. Er widerrief sein anfängliches Geständnis und behauptet, bei dem Massaker in Lebach nicht dabeigewesen zu sein.
Wolfgang Ditz, ehemaliger Justizangestellter, 27 Jahre alt, schwieg während der Verhandlung. Er bat seinen Verteidiger, dafür zu sorgen, daß er in der Öffentlichkeit nicht als Bestie dastehe. Gernot Wenzel, der 25 Jahre alte Zahntechniker, wußte von den Plänen seiner beiden Freunde. Aber er schwieg. Er habe nie geglaubt, daß die" furchtbare Tat wirklich
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je n'ai pas trouvé pour l'instant l'âge précis des instigateurs du massacre de quatre soldats en 1969 à Lebach. mais il pourrait s'agir de personnes, au moins pour Ditz et Fuchs, qui entraient à ce moment là dans leur période critique septennale des 28 ans. j'y reviendrai si je trouve plus de détails.
vendredi 16 janvier 2009
bizarre bizarre
derwesten :
Busfahrerin klebte Kind den Mund zu
Westfalen,
Wuppertal. (mj) Die Staatsanwaltschaft Wuppertal ermittelt gegen eine Busfahrerin, die einem geistig behinderten Jungen den Mund mit Klebeband zugeklebt haben soll, weil der Elfjährige auf der Fahrt sexuelle Worte gebraucht haben soll.
Eine Passantin habe den Vorfall Mitte Dezember beobachte, berichtet Staatsanwalt Wolf Baumert. Die Beschuldigte soll den Kleinbus angehalten haben, mit dem Jungen ausgestiegen sein und ihm dann mit Klebeband den Mund zugeklebt haben. Die 69-Jährige Busfahrerin, die seit über 30 Jahren Behinderte transportiert, wurde von der Staatsanwaltschaft vernommen, verweigerte aber Angaben.
======================
la police enquête à propos d'une femme chauffeur de bus qui aurait collé la bouche d'un enfant handicapé de 11 ans parce qu'il parlait de sexe...
quand il y a des comportements curieux et étonnants on retrouve souvent une période critique septennale car c'est un moment lors duquel on est "différent" et pas dans son état habituel... on peut "déraper" de façon incompréhensible.
et effectivement la femme a 69 ans (!) est donc à l'entrée dans la période critique septennale des 70 ans. pour l'instant on ne comprend pas cette réaction car cela fait 30 ans qu'elle conduit des enfants handicapés, sans s'être apparemment fait remarquer... pour moi, la théorie de la période critique septennale permet de comprendre.
jour critique émotionnel peut-être aussi ?
Busfahrerin klebte Kind den Mund zu
Westfalen,
Wuppertal. (mj) Die Staatsanwaltschaft Wuppertal ermittelt gegen eine Busfahrerin, die einem geistig behinderten Jungen den Mund mit Klebeband zugeklebt haben soll, weil der Elfjährige auf der Fahrt sexuelle Worte gebraucht haben soll.
Eine Passantin habe den Vorfall Mitte Dezember beobachte, berichtet Staatsanwalt Wolf Baumert. Die Beschuldigte soll den Kleinbus angehalten haben, mit dem Jungen ausgestiegen sein und ihm dann mit Klebeband den Mund zugeklebt haben. Die 69-Jährige Busfahrerin, die seit über 30 Jahren Behinderte transportiert, wurde von der Staatsanwaltschaft vernommen, verweigerte aber Angaben.
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la police enquête à propos d'une femme chauffeur de bus qui aurait collé la bouche d'un enfant handicapé de 11 ans parce qu'il parlait de sexe...
quand il y a des comportements curieux et étonnants on retrouve souvent une période critique septennale car c'est un moment lors duquel on est "différent" et pas dans son état habituel... on peut "déraper" de façon incompréhensible.
et effectivement la femme a 69 ans (!) est donc à l'entrée dans la période critique septennale des 70 ans. pour l'instant on ne comprend pas cette réaction car cela fait 30 ans qu'elle conduit des enfants handicapés, sans s'être apparemment fait remarquer... pour moi, la théorie de la période critique septennale permet de comprendre.
jour critique émotionnel peut-être aussi ?
jeudi 15 janvier 2009
InternetKiller
SKCnter :
A Hambourg, en Allemagne, Christian Grotheer, 27 ans, a reconnu avoir tué deux femmes, rencontrées via Internet, le 5 Juin 2008 et 12 jours après.
Il fréquentait beaucoup les chats pour être en relation avec des femmes. Une centaine au total.
Dans deux cas, les rencontres se termineront mal. Sous les pseudos de "Rosenboy" ou "Riddick300" (le deuxième d'après un serial killer dans le films de science-fiction Pitch Black, en 2000), il passera des milliers d'heures à nouer des relations virtuelles.
Surnommé par la presse "Le premier tueur allemand par Internet", Grotheer est accusé d'avoir poignardé à mort Jessica K., 26 ans, et Regina B., 39 ans.
Pour la première, il aurait eu une dispute, au cours de laquelle il aurait "simplement touché sa gorge et elle s'est effondrée morte", selon sa version et son avocat.
Le corps fut trouvé 14 jours après; l'accusation pense qu'elle a reçu des coups de couteau.
Dans le second cas, après des relations sexuelles consenties, elle aurait préparé à manger et aurait promené le chien. Christian Grotheer l'aurait alors suivie et poignardée à l'aide d'un couteau de cuisine, 12 fois dans le dos et 14 fois dans la poitrine.
Mais Grotheer possède différentes versions. Pour l'une, après les relations sexuelles, elle lui aurait demandé de l'argent et menacé de porter plainte pour viol.
Le traumatisme aurait été trop grand pour Grotheer, lui rappelant la vision de son père violant sa mère quand il avait six ans. Il aurait alors "vu les yeux de Jésus", et poignardé cette mère de trois enfants, selon son avocat.Pour le procureur, "il essaie de rejeter toute la faute sur la victime".
Grotheer a insisté auprès de la cour que "sauf pour ces deux-là, les 98 autres sont vivantes", ajoutant qu'il n'était donc "pas un serial killer".
SKCentral
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j'ai pu trouver sur internet la date de naissance de Christian Grotheer...
s'il est du 2 juillet 1981 il est intéressant de constater que le premier meurtre a eu lieu son jour critique émotionnel E8 (le 5 juin 2008) cela pourrait éventuellement correspondre à une dispute mais simplement aussi c'est un jour de pulsions comme l'est souvent le jour critique émotionnel que l'on rencontre fréquemment lors de passages à l'acte meurtriers ou suicidaires.
le second meurtre par contre (17 juin 2008) est arrivé en jour neutre deux jours avant le jour critique émotionnel E22 du 19 juin)
les yeux de Jésus... je ne sais pas : deux indices me restent : à 27 ans et demi on entre dans la période critique septennale parfois perturbée des 28 ans - mais nous sommes à six mois -, et la période d'environ quatre semaines avant une date anniversaire est aussi à considérer comme une période de perturbations chez certaines personnes... et là nous y sommes.
J'ai par ailleurs remarqué que c'est souvent le premier passage à l'acte qui arrive en période ou jour critique : par la suite cela est moins respecté un peu comme si c'est le premier pas - plus difficile - qui est fait "à la faveur" d'un jour critique émotionnel - après cet "alibi" ou "aide" n'est plus nécessaire...
A Hambourg, en Allemagne, Christian Grotheer, 27 ans, a reconnu avoir tué deux femmes, rencontrées via Internet, le 5 Juin 2008 et 12 jours après.
Il fréquentait beaucoup les chats pour être en relation avec des femmes. Une centaine au total.
Dans deux cas, les rencontres se termineront mal. Sous les pseudos de "Rosenboy" ou "Riddick300" (le deuxième d'après un serial killer dans le films de science-fiction Pitch Black, en 2000), il passera des milliers d'heures à nouer des relations virtuelles.
Surnommé par la presse "Le premier tueur allemand par Internet", Grotheer est accusé d'avoir poignardé à mort Jessica K., 26 ans, et Regina B., 39 ans.
Pour la première, il aurait eu une dispute, au cours de laquelle il aurait "simplement touché sa gorge et elle s'est effondrée morte", selon sa version et son avocat.
Le corps fut trouvé 14 jours après; l'accusation pense qu'elle a reçu des coups de couteau.
Dans le second cas, après des relations sexuelles consenties, elle aurait préparé à manger et aurait promené le chien. Christian Grotheer l'aurait alors suivie et poignardée à l'aide d'un couteau de cuisine, 12 fois dans le dos et 14 fois dans la poitrine.
Mais Grotheer possède différentes versions. Pour l'une, après les relations sexuelles, elle lui aurait demandé de l'argent et menacé de porter plainte pour viol.
Le traumatisme aurait été trop grand pour Grotheer, lui rappelant la vision de son père violant sa mère quand il avait six ans. Il aurait alors "vu les yeux de Jésus", et poignardé cette mère de trois enfants, selon son avocat.Pour le procureur, "il essaie de rejeter toute la faute sur la victime".
Grotheer a insisté auprès de la cour que "sauf pour ces deux-là, les 98 autres sont vivantes", ajoutant qu'il n'était donc "pas un serial killer".
SKCentral
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j'ai pu trouver sur internet la date de naissance de Christian Grotheer...
s'il est du 2 juillet 1981 il est intéressant de constater que le premier meurtre a eu lieu son jour critique émotionnel E8 (le 5 juin 2008) cela pourrait éventuellement correspondre à une dispute mais simplement aussi c'est un jour de pulsions comme l'est souvent le jour critique émotionnel que l'on rencontre fréquemment lors de passages à l'acte meurtriers ou suicidaires.
le second meurtre par contre (17 juin 2008) est arrivé en jour neutre deux jours avant le jour critique émotionnel E22 du 19 juin)
les yeux de Jésus... je ne sais pas : deux indices me restent : à 27 ans et demi on entre dans la période critique septennale parfois perturbée des 28 ans - mais nous sommes à six mois -, et la période d'environ quatre semaines avant une date anniversaire est aussi à considérer comme une période de perturbations chez certaines personnes... et là nous y sommes.
J'ai par ailleurs remarqué que c'est souvent le premier passage à l'acte qui arrive en période ou jour critique : par la suite cela est moins respecté un peu comme si c'est le premier pas - plus difficile - qui est fait "à la faveur" d'un jour critique émotionnel - après cet "alibi" ou "aide" n'est plus nécessaire...
suicides
un article du Monde est intéressant pour moi car il donne quelques renseignements à propos des personnes qui se sont suicidées en prison depuis le début de l'année. j'ai mis quelques remarques en caractères gras après chaque cas.
le problème c'est que pour progresser il faudrait connaître la date de naissance de chacune de ces personnes...
les agressions envers soi et les autres sont souvent le fait du jour critique émotionnel et chez certaines personnes, du jour critique physique... il serait intéressant de pouvoir vérifier s'il existe un lien, au niveau du moment du suicide mais aussi du moment de l'infraction ou du crime commis... à mon avis c'est assez souvent le cas et on pourrait s'en servir pour faire de la prévention.
les périodes critiques des cycles (physiques et psychiques) entrent bien sûr aussi en ligne de compte mais s'ils ont un effet plus "dilué" ce sont les jours critiques physiques et émotionnels qui semblent donner lieu à des coups de tête ou de désespoir pouvant mener à un geste suicidaire : pour déterminer cela la date de naissance est nécessaire.
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LeMonde :
Prisons : quatorze jours, treize suicides
LE MONDE | 15.01.09 |
Entre le 1er et le 14 janvier, treize détenus se sont donné la mort dans les prisons françaises. Onze cas ont été confirmés par l'administration pénitentiaire, deux autres ont été révélés par l'Observatoire international des prisons.
1ER JANVIER
Olivier V., 34 ans, est découvert mort, à 9 heures, à la maison d'arrêt de Laon (Aisne). Son décès est imputable à une absorption de médicaments. Il était mis en examen pour le viol et le meurtre de sa fille de 4 ans, survenus en septembre 2007. Il avait alors tenté de mettre fin à ses jours après s'être dénoncé à la police. L'homme avait été placé en établissement psychiatrique. "Il était totalement perturbé par son geste, explique Me Arnaud Miel, son avocat, depuis le début de sa détention, il parlait de se suicider." Les experts ayant conclu à son discernement au moment des faits, il avait été incarcéré.
ce cas semble typiquement lié à l'entrée dans la période critique septennale des 35 ans (au cours de la 35ème année de vie) jour critique émotionnel ?
2 JANVIER
Il avait 27 ans et s'est pendu avec l'élastique de son pantalon de jogging, à la maison d'arrêt de Rouen, où il était incarcéré pour des affaires de vols et escroqueries. Sa mère ne souhaite pas que son identité soit révélée. Il lui avait écrit avant sa mort. "Il allait bien, parlait même d'avenir", explique son avocat, Me Etienne Noël. Bénéficiaire de plusieurs sursis qui venaient d'être révoqués, il venait d'écoper de huit jours de quartier disciplinaire. "Il le prenait bien, assure Me Noël, il disait que ça le changerait." Le 2 janvier, les surveillants avaient noté qu'il semblait prostré, ils lui avaient retiré ses draps pour éviter qu'il ne mette fin à ses jours. Son avocat réclame l'ouverture d'une information judiciaire, pour recherche des causes de la mort.
27 ans est là aussi l'entrée dans la période critique septennale des 28 ans : grosse période "à risque". jour critique émotionnel, le 2 janvier ?
DANS LA NUIT DU 2 AU 3 JANVIER
Jonathan F., 23 ans, originaire de Pleubian (Côtes-d'Armor) et incarcéré en préventive à la maison d'arrêt de Rennes, s'est servi des draps de sa cellule pour se pendre. Le jeune homme avait été mis en examen au mois d'août 2008 après le meurtre, à coups de bêche, d'une femme de 75 ans, chez laquelle on l'avait retrouvé, sous l'emprise d'alcool et de médicaments. Il n'avait aucun antécédent judiciaire, mais avait commis depuis ses 14 ans plusieurs tentatives de suicide. La dernière, en février 2008, avait été suivie de séjours en hôpital psychiatrique. Il avait, depuis, entamé une formation de peintre en bâtiment, poursuivant parallèlement un traitement à base d'antidépresseurs. Après son arrestation, il avait été interné en hôpital psychiatrique pendant quarante-cinq jours, avant d'être transféré à la maison d'arrêt de Rennes. Seul dans sa cellule, malgré la surpopulation de la prison (500 détenus pour 330 places), il était l'objet d'une surveillance particulière.
la 24ème année de vie est une délicate année critique physique. jour critique émotionnel ?
DANS LA NUIT DU 3 AU 4 JANVIER
Anibal D., 37 ans, est retrouvé mort, pendu à l'embrasure de la fenêtre de sa cellule, à la maison d'arrêt des Baumettes, à Marseille. Originaire d'Angola, il vivait dans les Hautes-Alpes, où il travaillait comme ouvrier dans le bâtiment. Il avait été condamné en juin 2008 à six ans de prison pour un viol à la sortie d'une boîte de nuit de La Grave (Hautes-Alpes). Il contestait les faits, mais n'avait pas fait appel de sa condamnation. Selon son avocate, Me Céline Ouvrery, il se plaignait de ses conditions de détention, de l'état sanitaire de la prison et de sa difficulté à être suivi par un médecin. Décrit par les experts comme maigre, renfermé, "d'allure christique", avec "une personnalité très conflictuelle", il avait été placé sous surveillance spéciale.
pas de remarque ici si ce n'est la vérification des jours critiques au moment des délits mais aussi du suicide.
4 JANVIER
Salime A., 38 ans, s'est pendu dans sa cellule, à la maison d'arrêt Saint-Paul, à Lyon. Ecroué le 2 janvier, il était poursuivi pour avoir tenté de mettre le feu à une voiture, il avait été jugé en comparution immédiate, condamné à un an de prison ferme. Il niait avec véhémence les faits qui lui étaient reprochés, était effondré par sa condamnation. Selon l'Observatoire international des prisons (OIP), la maison d'arrêt Saint-Paul a un taux de surpopulation qui oscille régulièrement entre 180 % et 200 %. Ils étaient trois dans sa cellule.
comme le cas précédent.
6 JANVIER
Samir B., 24 ans, est retrouvé mort par des surveillants, à l'aube, dans sa cellule, où il était seul, à la maison d'arrêt de Villepinte (Seine-Saint-Denis). Il avait été condamné pour des vols en août 2008. Selon le parquet de Bobigny, la piste d'un suicide est "fortement privilégiée". Samir B. est mort des suites d'une ingestion de médicaments, d'après les premiers résultats de l'analyse toxicologique. Des plaquettes ont été retrouvées en sa possession. Mais sa famille, par la voix de l'avocate Delphine Malapert, réfute cette hypothèse. "Samir n'était pas dépressif, il ne voulait pas mourir." Selon elle, il souhaitait être transféré à Paris, à la prison de la Santé, plus proche de sa famille. Sa demande était sur le point d'aboutir, et "il le savait". La famille a déposé plainte le 8 janvier.
les "suicides" par prise de médicaments arrivent de préférence un jour critique émotionnel : on peut éventuellement faire une surveillance particulière ce jour là pour certains détenus. jour critique émotionnel ? situation en période critique sextennale à vérifier au moyen de la date de naissance la 24ème année de vie étant critique.
6 JANVIER
Michel P., 48 ans, savoyard, récidiviste, placé en détention provisoire depuis novembre 2008 pour une affaire de moeurs (captation sur Internet d'images pornographiques de mineurs), a mis fin à ses jours dans une cellule du centre pénitentiaire d'Aiton (Savoie). Il s'est pendu au radiateur mural. Surveillé jour et nuit, conformément aux procédures, il était identifié comme étant "plus ou moins dépressif", selon Le Dauphiné libéré. Il avait été vu une heure et demie avant son décès, sans que rien d'anormal ait été décelé. Fin 2008, un autre suicide avait eu lieu à la prison d'Aiton, qui accueille près de 500 prisonniers pour 400 places.
période critique septennale des 49 ans. jour critique émotionnel ?
9 JANVIER
Mohamed B., 61 ans, originaire du Maroc et condamné à seize ans de réclusion pour viol sur mineure de 15 ans, s'est pendu avec un câble électrique dans sa cellule du centre de détention de Muret (Haute-Garonne). Il était libérable à partir de 2013. Décrit par ses gardiens comme "poli", "renfermé sur lui-même", il ne recevait pas ou peu de visites, avait demandé à ne plus travailler et menacé, il y a peu, de se suicider. Cela lui avait valu d'être placé sous surveillance spéciale : les rondes des gardiens avaient été renforcées, sa cellule, qu'il occupait seul (comme tous les détenus de cet établissement pilote, inauguré en 1996 et réservé aux lourdes peines), étant visitée toutes les heures. Le détenu, qui a choisi l'étroit créneau horaire entre la distribution du repas à 12 h 15 et la relève à 13 heures, n'a laissé aucun message.
pas de période critique si ce n'est à l'horizon, celle des 63 ans. en général les viols sont commis en période critique septennale ce que l'on pourrait vérifier. jour critique physique ou émotionnel à ce moment là et au moment du suicide ? l'arrivée d'un jour critique émotionnel peut causer une descente foudroyante et fort bien être la raison d'un suicide alors que quelqu'un juste auparavant se portait bien.
11 JANVIER
Cédric W., 19 ans, est retrouvé mort vers 16 h 30, à la maison d'arrêt de Mulhouse (Haut-Rhin). Il s'est pendu avec un drap de lit alors qu'il se trouvait seul dans une cellule disciplinaire, soumis à un contrôle toutes les trente minutes. Il purgeait plusieurs petites peines d'affilée, pour différentes affaires de vol et de violences. Début 2008, il avait déjà fait un séjour dans cette maison d'arrêt, au quartier des mineurs. La veille de sa mort, il avait agressé un gardien et été placé immédiatement en quartier disciplinaire à titre préventif. Il avait été examiné le jour même par une infirmière, puis le lendemain matin par un médecin mandaté par le parquet, qui n'aurait rien remarqué d'anormal. Cédric aurait dû être entendu par la police dès lundi 12 au matin dans le cadre de cette nouvelle affaire. Selon un gardien, responsable syndical, il était considéré comme un garçon calme qui ne posait pas de problème particulier.
19 ans est une année critique du cycle physique. jour critique physique ou émotionnel ? peut-être pour cela, aussi, l'agression du gardien... ?
DANS LA NUIT DU 12 AU 13 JANVIER
Romain L., 24 ans, se pend dans sa cellule, à la maison d'arrêt d'Auxerre (Yonne). Il avait été condamné à deux ans de détention pour une affaire de stupéfiants. Ce cas a été rendu public par l'Observatoire international des prisons.
période critique physique, à 24 ans ?. jour critique émotionnel ?
DANS LA NUIT DU 12 AU 13 JANVIER
Azzedine F., 45 ans, est découvert mort par des surveillants, dans sa cellule, où il était seul, pendu à l'aide de la ceinture de son peignoir. Condamné à trois ans de prison pour vol aggravé, il avait été incarcéré à la maison d'arrêt d'Ecrouves (Meurthe-et-Moselle) en avril 2008, et était libérable à partir de 2013. Selon le parquet de Nancy, qui a ouvert une information judiciaire pour rechercher les causes de la mort, à la suite de troubles du comportement, il bénéficiait d'une surveillance spéciale depuis octobre 2008, mais n'avait pas d'antécédents suicidaires. Il n'avait pas de visites.
RAS du point de vue des cycles longs. jour critique émotionnel ?
13 JANVIER
Didier P., 50 ans, est retrouvé pendu dans sa cellule à la maison d'arrêt de Douai (Nord). Il a attendu que son codétenu quitte la cellule pour la promenade avant de perpétrer son geste. Arrivé six jours auparavant, l'homme était en détention provisoire, poursuivi pour des abus sexuels. "C'est notre hantise, en ouvrant une porte, de découvrir un détenu mort, explique un surveillant. Nous n'avons pas été formés pour ce genre de situation."
la période critique septennale n'est pas loin (49 ans) jour critique émotionnel ?
14 JANVIER
Frédéric R., 37 ans, incarcéré au centre pénitentiaire d'Aiton (Savoie), prévenu dans une affaire de moeurs, a été retrouvé pendu dans sa cellule par son codétenu au retour de promenade.
RAS du point de vue des cycles longs. jour critique émotionnel ?
l'affaire de moeurs peut-elle être liée à la période critique septennale des 35 ans par laquelle l'intéressé vient de passer ? (c'est souvent le cas s'il y a affaire de moeurs)
le problème c'est que pour progresser il faudrait connaître la date de naissance de chacune de ces personnes...
les agressions envers soi et les autres sont souvent le fait du jour critique émotionnel et chez certaines personnes, du jour critique physique... il serait intéressant de pouvoir vérifier s'il existe un lien, au niveau du moment du suicide mais aussi du moment de l'infraction ou du crime commis... à mon avis c'est assez souvent le cas et on pourrait s'en servir pour faire de la prévention.
les périodes critiques des cycles (physiques et psychiques) entrent bien sûr aussi en ligne de compte mais s'ils ont un effet plus "dilué" ce sont les jours critiques physiques et émotionnels qui semblent donner lieu à des coups de tête ou de désespoir pouvant mener à un geste suicidaire : pour déterminer cela la date de naissance est nécessaire.
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LeMonde :
Prisons : quatorze jours, treize suicides
LE MONDE | 15.01.09 |
Entre le 1er et le 14 janvier, treize détenus se sont donné la mort dans les prisons françaises. Onze cas ont été confirmés par l'administration pénitentiaire, deux autres ont été révélés par l'Observatoire international des prisons.
1ER JANVIER
Olivier V., 34 ans, est découvert mort, à 9 heures, à la maison d'arrêt de Laon (Aisne). Son décès est imputable à une absorption de médicaments. Il était mis en examen pour le viol et le meurtre de sa fille de 4 ans, survenus en septembre 2007. Il avait alors tenté de mettre fin à ses jours après s'être dénoncé à la police. L'homme avait été placé en établissement psychiatrique. "Il était totalement perturbé par son geste, explique Me Arnaud Miel, son avocat, depuis le début de sa détention, il parlait de se suicider." Les experts ayant conclu à son discernement au moment des faits, il avait été incarcéré.
ce cas semble typiquement lié à l'entrée dans la période critique septennale des 35 ans (au cours de la 35ème année de vie) jour critique émotionnel ?
2 JANVIER
Il avait 27 ans et s'est pendu avec l'élastique de son pantalon de jogging, à la maison d'arrêt de Rouen, où il était incarcéré pour des affaires de vols et escroqueries. Sa mère ne souhaite pas que son identité soit révélée. Il lui avait écrit avant sa mort. "Il allait bien, parlait même d'avenir", explique son avocat, Me Etienne Noël. Bénéficiaire de plusieurs sursis qui venaient d'être révoqués, il venait d'écoper de huit jours de quartier disciplinaire. "Il le prenait bien, assure Me Noël, il disait que ça le changerait." Le 2 janvier, les surveillants avaient noté qu'il semblait prostré, ils lui avaient retiré ses draps pour éviter qu'il ne mette fin à ses jours. Son avocat réclame l'ouverture d'une information judiciaire, pour recherche des causes de la mort.
27 ans est là aussi l'entrée dans la période critique septennale des 28 ans : grosse période "à risque". jour critique émotionnel, le 2 janvier ?
DANS LA NUIT DU 2 AU 3 JANVIER
Jonathan F., 23 ans, originaire de Pleubian (Côtes-d'Armor) et incarcéré en préventive à la maison d'arrêt de Rennes, s'est servi des draps de sa cellule pour se pendre. Le jeune homme avait été mis en examen au mois d'août 2008 après le meurtre, à coups de bêche, d'une femme de 75 ans, chez laquelle on l'avait retrouvé, sous l'emprise d'alcool et de médicaments. Il n'avait aucun antécédent judiciaire, mais avait commis depuis ses 14 ans plusieurs tentatives de suicide. La dernière, en février 2008, avait été suivie de séjours en hôpital psychiatrique. Il avait, depuis, entamé une formation de peintre en bâtiment, poursuivant parallèlement un traitement à base d'antidépresseurs. Après son arrestation, il avait été interné en hôpital psychiatrique pendant quarante-cinq jours, avant d'être transféré à la maison d'arrêt de Rennes. Seul dans sa cellule, malgré la surpopulation de la prison (500 détenus pour 330 places), il était l'objet d'une surveillance particulière.
la 24ème année de vie est une délicate année critique physique. jour critique émotionnel ?
DANS LA NUIT DU 3 AU 4 JANVIER
Anibal D., 37 ans, est retrouvé mort, pendu à l'embrasure de la fenêtre de sa cellule, à la maison d'arrêt des Baumettes, à Marseille. Originaire d'Angola, il vivait dans les Hautes-Alpes, où il travaillait comme ouvrier dans le bâtiment. Il avait été condamné en juin 2008 à six ans de prison pour un viol à la sortie d'une boîte de nuit de La Grave (Hautes-Alpes). Il contestait les faits, mais n'avait pas fait appel de sa condamnation. Selon son avocate, Me Céline Ouvrery, il se plaignait de ses conditions de détention, de l'état sanitaire de la prison et de sa difficulté à être suivi par un médecin. Décrit par les experts comme maigre, renfermé, "d'allure christique", avec "une personnalité très conflictuelle", il avait été placé sous surveillance spéciale.
pas de remarque ici si ce n'est la vérification des jours critiques au moment des délits mais aussi du suicide.
4 JANVIER
Salime A., 38 ans, s'est pendu dans sa cellule, à la maison d'arrêt Saint-Paul, à Lyon. Ecroué le 2 janvier, il était poursuivi pour avoir tenté de mettre le feu à une voiture, il avait été jugé en comparution immédiate, condamné à un an de prison ferme. Il niait avec véhémence les faits qui lui étaient reprochés, était effondré par sa condamnation. Selon l'Observatoire international des prisons (OIP), la maison d'arrêt Saint-Paul a un taux de surpopulation qui oscille régulièrement entre 180 % et 200 %. Ils étaient trois dans sa cellule.
comme le cas précédent.
6 JANVIER
Samir B., 24 ans, est retrouvé mort par des surveillants, à l'aube, dans sa cellule, où il était seul, à la maison d'arrêt de Villepinte (Seine-Saint-Denis). Il avait été condamné pour des vols en août 2008. Selon le parquet de Bobigny, la piste d'un suicide est "fortement privilégiée". Samir B. est mort des suites d'une ingestion de médicaments, d'après les premiers résultats de l'analyse toxicologique. Des plaquettes ont été retrouvées en sa possession. Mais sa famille, par la voix de l'avocate Delphine Malapert, réfute cette hypothèse. "Samir n'était pas dépressif, il ne voulait pas mourir." Selon elle, il souhaitait être transféré à Paris, à la prison de la Santé, plus proche de sa famille. Sa demande était sur le point d'aboutir, et "il le savait". La famille a déposé plainte le 8 janvier.
les "suicides" par prise de médicaments arrivent de préférence un jour critique émotionnel : on peut éventuellement faire une surveillance particulière ce jour là pour certains détenus. jour critique émotionnel ? situation en période critique sextennale à vérifier au moyen de la date de naissance la 24ème année de vie étant critique.
6 JANVIER
Michel P., 48 ans, savoyard, récidiviste, placé en détention provisoire depuis novembre 2008 pour une affaire de moeurs (captation sur Internet d'images pornographiques de mineurs), a mis fin à ses jours dans une cellule du centre pénitentiaire d'Aiton (Savoie). Il s'est pendu au radiateur mural. Surveillé jour et nuit, conformément aux procédures, il était identifié comme étant "plus ou moins dépressif", selon Le Dauphiné libéré. Il avait été vu une heure et demie avant son décès, sans que rien d'anormal ait été décelé. Fin 2008, un autre suicide avait eu lieu à la prison d'Aiton, qui accueille près de 500 prisonniers pour 400 places.
période critique septennale des 49 ans. jour critique émotionnel ?
9 JANVIER
Mohamed B., 61 ans, originaire du Maroc et condamné à seize ans de réclusion pour viol sur mineure de 15 ans, s'est pendu avec un câble électrique dans sa cellule du centre de détention de Muret (Haute-Garonne). Il était libérable à partir de 2013. Décrit par ses gardiens comme "poli", "renfermé sur lui-même", il ne recevait pas ou peu de visites, avait demandé à ne plus travailler et menacé, il y a peu, de se suicider. Cela lui avait valu d'être placé sous surveillance spéciale : les rondes des gardiens avaient été renforcées, sa cellule, qu'il occupait seul (comme tous les détenus de cet établissement pilote, inauguré en 1996 et réservé aux lourdes peines), étant visitée toutes les heures. Le détenu, qui a choisi l'étroit créneau horaire entre la distribution du repas à 12 h 15 et la relève à 13 heures, n'a laissé aucun message.
pas de période critique si ce n'est à l'horizon, celle des 63 ans. en général les viols sont commis en période critique septennale ce que l'on pourrait vérifier. jour critique physique ou émotionnel à ce moment là et au moment du suicide ? l'arrivée d'un jour critique émotionnel peut causer une descente foudroyante et fort bien être la raison d'un suicide alors que quelqu'un juste auparavant se portait bien.
11 JANVIER
Cédric W., 19 ans, est retrouvé mort vers 16 h 30, à la maison d'arrêt de Mulhouse (Haut-Rhin). Il s'est pendu avec un drap de lit alors qu'il se trouvait seul dans une cellule disciplinaire, soumis à un contrôle toutes les trente minutes. Il purgeait plusieurs petites peines d'affilée, pour différentes affaires de vol et de violences. Début 2008, il avait déjà fait un séjour dans cette maison d'arrêt, au quartier des mineurs. La veille de sa mort, il avait agressé un gardien et été placé immédiatement en quartier disciplinaire à titre préventif. Il avait été examiné le jour même par une infirmière, puis le lendemain matin par un médecin mandaté par le parquet, qui n'aurait rien remarqué d'anormal. Cédric aurait dû être entendu par la police dès lundi 12 au matin dans le cadre de cette nouvelle affaire. Selon un gardien, responsable syndical, il était considéré comme un garçon calme qui ne posait pas de problème particulier.
19 ans est une année critique du cycle physique. jour critique physique ou émotionnel ? peut-être pour cela, aussi, l'agression du gardien... ?
DANS LA NUIT DU 12 AU 13 JANVIER
Romain L., 24 ans, se pend dans sa cellule, à la maison d'arrêt d'Auxerre (Yonne). Il avait été condamné à deux ans de détention pour une affaire de stupéfiants. Ce cas a été rendu public par l'Observatoire international des prisons.
période critique physique, à 24 ans ?. jour critique émotionnel ?
DANS LA NUIT DU 12 AU 13 JANVIER
Azzedine F., 45 ans, est découvert mort par des surveillants, dans sa cellule, où il était seul, pendu à l'aide de la ceinture de son peignoir. Condamné à trois ans de prison pour vol aggravé, il avait été incarcéré à la maison d'arrêt d'Ecrouves (Meurthe-et-Moselle) en avril 2008, et était libérable à partir de 2013. Selon le parquet de Nancy, qui a ouvert une information judiciaire pour rechercher les causes de la mort, à la suite de troubles du comportement, il bénéficiait d'une surveillance spéciale depuis octobre 2008, mais n'avait pas d'antécédents suicidaires. Il n'avait pas de visites.
RAS du point de vue des cycles longs. jour critique émotionnel ?
13 JANVIER
Didier P., 50 ans, est retrouvé pendu dans sa cellule à la maison d'arrêt de Douai (Nord). Il a attendu que son codétenu quitte la cellule pour la promenade avant de perpétrer son geste. Arrivé six jours auparavant, l'homme était en détention provisoire, poursuivi pour des abus sexuels. "C'est notre hantise, en ouvrant une porte, de découvrir un détenu mort, explique un surveillant. Nous n'avons pas été formés pour ce genre de situation."
la période critique septennale n'est pas loin (49 ans) jour critique émotionnel ?
14 JANVIER
Frédéric R., 37 ans, incarcéré au centre pénitentiaire d'Aiton (Savoie), prévenu dans une affaire de moeurs, a été retrouvé pendu dans sa cellule par son codétenu au retour de promenade.
RAS du point de vue des cycles longs. jour critique émotionnel ?
l'affaire de moeurs peut-elle être liée à la période critique septennale des 35 ans par laquelle l'intéressé vient de passer ? (c'est souvent le cas s'il y a affaire de moeurs)
enlèvement
j'ai édité mon message du 9 janvier qui parlait d'une tentative d'enlèvement à Leipzig :
"du coup c'est une autre gamine de 8 ans qui a disparu à Paderborn (environ 400km de Leipzig)
lundi dernier le 12 janvier... encore un lundi et par rapport aux lundis précédents c'est E8 si on examine le même cycle... se pourrait-il qu'il y ait un lien avec la tentative d'enlèvement de lundi dernier (enlèvement non réussi)...
ce qui me semble curieux - mais c'est peut-être pur hasard aussi alors prudence - c'est que cela arrive aussi un lundi : or un malade va voir ses pulsions augmenter son jour critique émotionnel... et nous sommes en présence à présent de deux disparitions d'enfant et d'une tentative d'enlèvement... un lundi chaque fois...
les distances entre les deux lieux d'enlèvements (Leipzig et Paderborn) ne jouent pas forcément : un individu peut rapidement se déplacer en voiture et changer aussi de "terrain de chasse" s'il se sait poursuivi par la police...
édit 15/01 : on a probablement et hélas retrouvé le cadavre de la fillette dans une sapinière, à environ une soixantaine de km de son domicile, si j'ai bien traduit.
"du coup c'est une autre gamine de 8 ans qui a disparu à Paderborn (environ 400km de Leipzig)
lundi dernier le 12 janvier... encore un lundi et par rapport aux lundis précédents c'est E8 si on examine le même cycle... se pourrait-il qu'il y ait un lien avec la tentative d'enlèvement de lundi dernier (enlèvement non réussi)...
ce qui me semble curieux - mais c'est peut-être pur hasard aussi alors prudence - c'est que cela arrive aussi un lundi : or un malade va voir ses pulsions augmenter son jour critique émotionnel... et nous sommes en présence à présent de deux disparitions d'enfant et d'une tentative d'enlèvement... un lundi chaque fois...
les distances entre les deux lieux d'enlèvements (Leipzig et Paderborn) ne jouent pas forcément : un individu peut rapidement se déplacer en voiture et changer aussi de "terrain de chasse" s'il se sait poursuivi par la police...
édit 15/01 : on a probablement et hélas retrouvé le cadavre de la fillette dans une sapinière, à environ une soixantaine de km de son domicile, si j'ai bien traduit.
mercredi 14 janvier 2009
agression
LeParisien.fr :
Une mère et son fils agressés au couteau
Une mère de famille entre la vie et la mort, son fils grièvement blessé : c’est le bilan dramatique d’une agression à coups de couteau qui s’est produite hier soir, à Cergy, sous les yeux d’un enfant de 2 ans. L’auteur présumé a été interpellé par les policiers dans les minutes qui ont suivi les faits et a été placé en garde à vue.
La scène se déroule peu après 18 heures, avenue de l’Enclos, dans le quartier Saint-Christophe. Dans un appartement du 2 e étage, un homme âgé de 42 ans est venu rendre visite à une connaissance. Le voisinage évoque un « copain ». Reste qu’un différend les oppose, qui dégénère rapidement. Dans des circonstances encore inconnues, l’homme brandit un couteau et attaque ce « copain », âgé de 29 ans, le blessant sérieusement. Ensanglanté, ce dernier quitte l’appartement pour aller chercher de l’aide.
======
l'auteur des coups de couteau semble être en pleine période critique si l'âge cité est juste...
le différend a t-il pu dégénérer rapidement en raison de la compatibilité septennale des protagonistes ? (la femme serait hélas décédée des suites de cette agression)
Une mère et son fils agressés au couteau
Une mère de famille entre la vie et la mort, son fils grièvement blessé : c’est le bilan dramatique d’une agression à coups de couteau qui s’est produite hier soir, à Cergy, sous les yeux d’un enfant de 2 ans. L’auteur présumé a été interpellé par les policiers dans les minutes qui ont suivi les faits et a été placé en garde à vue.
La scène se déroule peu après 18 heures, avenue de l’Enclos, dans le quartier Saint-Christophe. Dans un appartement du 2 e étage, un homme âgé de 42 ans est venu rendre visite à une connaissance. Le voisinage évoque un « copain ». Reste qu’un différend les oppose, qui dégénère rapidement. Dans des circonstances encore inconnues, l’homme brandit un couteau et attaque ce « copain », âgé de 29 ans, le blessant sérieusement. Ensanglanté, ce dernier quitte l’appartement pour aller chercher de l’aide.
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l'auteur des coups de couteau semble être en pleine période critique si l'âge cité est juste...
le différend a t-il pu dégénérer rapidement en raison de la compatibilité septennale des protagonistes ? (la femme serait hélas décédée des suites de cette agression)
dépression septennale
Dernières Nouvelles d'Alsace :
Perdre mon travail ou ma santé ?
Après une année de chômage liée à une grave dépression, je recommence à travailler en tant que commerciale. Je me suis investie complètement. Aujourd'hui, fatiguée, stressée, je n'ai qu'une envie : tout abandonner. Cela à cause d'un supérieur hiérarchique zélé, qui m'accuse de ne pas être assez efficace. Que faire ? (Fanny, 28 ans)
============
il semble bien s'agir d'une dépression septennale et le chef n'est certainement pas seul en cause... j'ai pas pu lire la suite de l'article les DNA étant le seul journal du net à vouloir faire payer la lecture de l'autre moitié de ses articles... :-)
Perdre mon travail ou ma santé ?
Après une année de chômage liée à une grave dépression, je recommence à travailler en tant que commerciale. Je me suis investie complètement. Aujourd'hui, fatiguée, stressée, je n'ai qu'une envie : tout abandonner. Cela à cause d'un supérieur hiérarchique zélé, qui m'accuse de ne pas être assez efficace. Que faire ? (Fanny, 28 ans)
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il semble bien s'agir d'une dépression septennale et le chef n'est certainement pas seul en cause... j'ai pas pu lire la suite de l'article les DNA étant le seul journal du net à vouloir faire payer la lecture de l'autre moitié de ses articles... :-)
lundi 12 janvier 2009
meurtre septennal ?
Elle avait tué son compagnon qu’elle soupçonnait d’inceste
France > meurtre, viol, pédophilie, procès
Article posté par Stéphane Bourgoin le Lundi 12 janvier 2009
" Le procès de Sophie Tieufri débute ce matin. Elle comparaît devant les assises du Nord pour avoir tué son compagnon à coups de couteau, en mars 2005. Elle le suspectait de violer leur fille.
Le matin du 24 mars 2005, Sophie Tieufri se présente dans un foyer de Wasquehal (Nord) et annonce à sa fille de 8 ans : « Ton père ne t’embêtera plus (…) J’ai fait ce qu’il fallait. » Puis, la mère se rend au commissariat et s’accuse du meurtre de Jean-Pierre Delvallez, 57 ans, sauvagement poignardé deux heures plus tôt à Lille.
Cette femme de 44 ans, libérée après deux ans de détention, comparaît pour « assassinat » à partir de ce matin devant la cour d’assises du Nord à Douai. Elle nie toute préméditation. Comme l’a souligné le juge d’instruction, Sophie Tieufri avait pourtant exprimé à plusieurs reprises le souhait de mettre fin aux jours du père de sa fille qu’elle accusait d’inceste. La plainte déposée en 2004 contre Jean-Pierre Delvallez avait cependant été classée sans suite. Enjeu d’un conflit parental très dur, la fillette, elle, avait été placée en foyer.
Frappé quatorze fois avec un couteau de boucher
Selon le déroulement des faits, reconstitué grâce aux témoignages recueillis par les policiers, Jean-Pierre Delvallez était attendu ce 24 mars 2005 à Lille. Tout de noir vêtu et porteur d’un casque intégral, un individu à scooter surveille le n° 1 de la rue de Rouen. L’ex-compagnon de Sophie Tieufri sort et s’approche de sa voiture. Le motard l’interpelle puis le rattrape au milieu de la chaussée. Ils en viennent aux mains. Plaqué sur le capot d’un véhicule, Jean-Pierre Delvallez est poignardé au ventre. Des témoins entendent l’agresseur hurler : Qu’est-ce que tu lui as fait ? Frappé quatorze fois avec un couteau de boucher, la victime décède sur les lieux. Ce scénario ressemble à une exécution. Au fil des auditions, Sophie Tieufri soutient qu’elle voulait avoir une explication avec Jean-Pierre Delvallez, qui avait rendu visite à leur fille la veille au foyer. Elle dit qu’elle redoutait sa violence, parle d’un seul coup de couteau, puis d’un « trou noir ».
Prémédité ou non, ce crime a pour mobile le comportement incestueux présumé du père. Entendus par le juge, les proches de Jean-Pierre Delvallez écartent cette hypothèse, soulignant son attachement pour sa fille. Dans l’entourage de l’accusée, certains rapportent en revanche des confessions troublantes de l’enfant au sujet de son père. Interrogée par les policiers pour savoir si son père lui avait fait des choses qu’elle n’aimait pas, la fillette n’a pas répondu mais a acquiescé de la tête. Une certitude : la justice n’a jamais mis en cause Jean-Pierre Delvallez. Convaincue que ses soupçons étaient fondés, Sophie Tieufri a poignardé l’homme qu’elle dénonçait. Deux experts psychiatres ont estimé que son discernement était altéré au moment du passage à l’acte. L’accusée encourt la prison à vie."
Un article de Geoffroy Tomasovitch.
Source : LE PARISIEN.FR (12 janvier 2009)
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44 ans aujourd'hui, en mars 2005 l'accusée entrait probablement dans sa période critique septennale des 42 ans. ceci pourrait expliquer son geste et le fait que
"Deux experts psychiatres ont estimé que son discernement était altéré au moment du passage à l’acte."
quant au compagnon décédé il venait de passer à ce moment là par sa période critique septennale des 56 ans... il y aurait peut-être aussi des choses à voir de ce côté là, au sujet des faits qu'on lui reproche...
France > meurtre, viol, pédophilie, procès
Article posté par Stéphane Bourgoin le Lundi 12 janvier 2009
" Le procès de Sophie Tieufri débute ce matin. Elle comparaît devant les assises du Nord pour avoir tué son compagnon à coups de couteau, en mars 2005. Elle le suspectait de violer leur fille.
Le matin du 24 mars 2005, Sophie Tieufri se présente dans un foyer de Wasquehal (Nord) et annonce à sa fille de 8 ans : « Ton père ne t’embêtera plus (…) J’ai fait ce qu’il fallait. » Puis, la mère se rend au commissariat et s’accuse du meurtre de Jean-Pierre Delvallez, 57 ans, sauvagement poignardé deux heures plus tôt à Lille.
Cette femme de 44 ans, libérée après deux ans de détention, comparaît pour « assassinat » à partir de ce matin devant la cour d’assises du Nord à Douai. Elle nie toute préméditation. Comme l’a souligné le juge d’instruction, Sophie Tieufri avait pourtant exprimé à plusieurs reprises le souhait de mettre fin aux jours du père de sa fille qu’elle accusait d’inceste. La plainte déposée en 2004 contre Jean-Pierre Delvallez avait cependant été classée sans suite. Enjeu d’un conflit parental très dur, la fillette, elle, avait été placée en foyer.
Frappé quatorze fois avec un couteau de boucher
Selon le déroulement des faits, reconstitué grâce aux témoignages recueillis par les policiers, Jean-Pierre Delvallez était attendu ce 24 mars 2005 à Lille. Tout de noir vêtu et porteur d’un casque intégral, un individu à scooter surveille le n° 1 de la rue de Rouen. L’ex-compagnon de Sophie Tieufri sort et s’approche de sa voiture. Le motard l’interpelle puis le rattrape au milieu de la chaussée. Ils en viennent aux mains. Plaqué sur le capot d’un véhicule, Jean-Pierre Delvallez est poignardé au ventre. Des témoins entendent l’agresseur hurler : Qu’est-ce que tu lui as fait ? Frappé quatorze fois avec un couteau de boucher, la victime décède sur les lieux. Ce scénario ressemble à une exécution. Au fil des auditions, Sophie Tieufri soutient qu’elle voulait avoir une explication avec Jean-Pierre Delvallez, qui avait rendu visite à leur fille la veille au foyer. Elle dit qu’elle redoutait sa violence, parle d’un seul coup de couteau, puis d’un « trou noir ».
Prémédité ou non, ce crime a pour mobile le comportement incestueux présumé du père. Entendus par le juge, les proches de Jean-Pierre Delvallez écartent cette hypothèse, soulignant son attachement pour sa fille. Dans l’entourage de l’accusée, certains rapportent en revanche des confessions troublantes de l’enfant au sujet de son père. Interrogée par les policiers pour savoir si son père lui avait fait des choses qu’elle n’aimait pas, la fillette n’a pas répondu mais a acquiescé de la tête. Une certitude : la justice n’a jamais mis en cause Jean-Pierre Delvallez. Convaincue que ses soupçons étaient fondés, Sophie Tieufri a poignardé l’homme qu’elle dénonçait. Deux experts psychiatres ont estimé que son discernement était altéré au moment du passage à l’acte. L’accusée encourt la prison à vie."
Un article de Geoffroy Tomasovitch.
Source : LE PARISIEN.FR (12 janvier 2009)
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44 ans aujourd'hui, en mars 2005 l'accusée entrait probablement dans sa période critique septennale des 42 ans. ceci pourrait expliquer son geste et le fait que
"Deux experts psychiatres ont estimé que son discernement était altéré au moment du passage à l’acte."
quant au compagnon décédé il venait de passer à ce moment là par sa période critique septennale des 56 ans... il y aurait peut-être aussi des choses à voir de ce côté là, au sujet des faits qu'on lui reproche...
dimanche 11 janvier 2009
drame familial
ouest-france.fr :
Famille tuée dans la Sarthe : le père est passé aux aveux
En garde à vue, le père de famille a reconnu avoir incendié sa fermette. : Philippe Renault
Sa femme envisageait de le quitter. C'est l'explication avancée par le père de famille sarthois, soupçonné d'avoir tué son épouse Sandrine, 33 ans, et ses trois jeunes enfants, mercredi soir, à Auvers-le-Hamon, près de Sablé-sur-Sarthe. Pascal Duret a avoué, hier, avoir frappé son épouse et mis le feu à sa maison.
Placé en garde à vue depuis qu'il s'était livré, vendredi à 11 h, à des policiers du Mans, Pascal Duret est calme et ne fait aucune difficulté pour répondre aux questions des enquêteurs. Selon une source proche de l'enquête, une dispute est à l'origine du drame. Mercredi, peu avant 22 h 30, le maçon de 36 ans, raconte s'être querellé avec son épouse, qui entretenait une liaison avec un autre homme et envisageait de quitter son mari. Pascal Duret a reconnu avoir frappé son épouse à la tête avec le manche d'un outil, puis l'avoir ensuite aspergée d'essence, alors qu'elle était inconsciente. Il dit être ensuite monté à l'étage, où il a déversé de l'essence dans le couloir menant aux chambres de Laurine, 8 ans, Clara, 6 ans, Léandre, 3 ans. Il a mis le feu et affirme être sorti par une fenêtre. Les résultats des autopsies confirment ce récit.
La garde à vue du suspect s'achève ce dimanche midi. Il sera alors présenté à un juge d'instruction et devrait être mis en examen pour « incendie ayant causé la mort de plusieurs personnes et violences volontaires sur conjoint », selon la vice-procureure de la République Bérengère Prud'homme.
============
ici aussi appremment les suites d'une période critique des 35 ans qui s'est mal, très mal passée... en conduisant au crime...
Famille tuée dans la Sarthe : le père est passé aux aveux
En garde à vue, le père de famille a reconnu avoir incendié sa fermette. : Philippe Renault
Sa femme envisageait de le quitter. C'est l'explication avancée par le père de famille sarthois, soupçonné d'avoir tué son épouse Sandrine, 33 ans, et ses trois jeunes enfants, mercredi soir, à Auvers-le-Hamon, près de Sablé-sur-Sarthe. Pascal Duret a avoué, hier, avoir frappé son épouse et mis le feu à sa maison.
Placé en garde à vue depuis qu'il s'était livré, vendredi à 11 h, à des policiers du Mans, Pascal Duret est calme et ne fait aucune difficulté pour répondre aux questions des enquêteurs. Selon une source proche de l'enquête, une dispute est à l'origine du drame. Mercredi, peu avant 22 h 30, le maçon de 36 ans, raconte s'être querellé avec son épouse, qui entretenait une liaison avec un autre homme et envisageait de quitter son mari. Pascal Duret a reconnu avoir frappé son épouse à la tête avec le manche d'un outil, puis l'avoir ensuite aspergée d'essence, alors qu'elle était inconsciente. Il dit être ensuite monté à l'étage, où il a déversé de l'essence dans le couloir menant aux chambres de Laurine, 8 ans, Clara, 6 ans, Léandre, 3 ans. Il a mis le feu et affirme être sorti par une fenêtre. Les résultats des autopsies confirment ce récit.
La garde à vue du suspect s'achève ce dimanche midi. Il sera alors présenté à un juge d'instruction et devrait être mis en examen pour « incendie ayant causé la mort de plusieurs personnes et violences volontaires sur conjoint », selon la vice-procureure de la République Bérengère Prud'homme.
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ici aussi appremment les suites d'une période critique des 35 ans qui s'est mal, très mal passée... en conduisant au crime...
Pacte de suicide
Cyberpresse Canada :
Pacte de suicide à Saguenay: pourquoi ?
..................
Une grande question hante les Saguenéens?: pourquoi Marc Laliberté et sa femme ont-ils conclu un pacte de suicide, comme le supposent les policiers? On sait seulement que le couple avait des ennuis financiers. L'homme avait déclaré faillite pour la troisième fois l'automne dernier.
Quelques jours avant le drame, Marc Laliberté avait reçu de la banque un avis l'informant que son compte était à découvert et qu'il devait y déposer les fonds nécessaires.
De là à vouloir mourir après avoir tué ses trois enfants?
...........
«Un mal à l'âme»
L'automne dernier, Cathie Gauthier a travaillé dans deux boutiques du centre commercial Place du Royaume. Ses anciennes collègues sont unanimes?: la femme de 36 ans avait l'air triste. «Elle était renfermée, elle parlait peu. On ne savait rien de sa vie, indique la gérante de la boutique Maryse Petite. Je ne sais pas ce qui s'est passé dans sa tête.»
Guylaine Potvin, propriétaire du magasin Guylen?&?Charlie, parle d'un «mal à l'âme». «La tristesse se lisait dans son visage. Mais elle parlait de ses enfants, qu'elle aimait.»
Mme Gauthier a quitté ces deux emplois d'elle-même. Quant à son mari, Lana Lapointe l'a embauché comme agent immobilier à La Capitale, en septembre dernier. Mais il a remis sa démission deux mois plus tard.
La courtière n'avait rien remarqué qui peut laisser deviner ses idées noires. «?J'ai fait un méchant saut quand j'ai vu les nouvelles. C'est un choc pour tout le monde. Il n'y a pas de mots. C'est triste. Mais c'est la famille qui fait pitié dans tout ça.»
Au Jean Coutu d'Amos, en Abitibi, où M. Laliberté a travaillé pendant deux ans avant de déménager à Chicoutimi, une collègue a dit cette semaine que l'homme était d'humeur dépressive, de même que sa femme. Le couple serait parti de l'Abitibi sans le dire à personne.
========================
dans cet article il est dit que la mère a tantôt 33 ans... tantôt 36...
si le père ayant 46 ans il manquerait un "déclencheur" : la période critique septennale de l'un ou de l'autre ... ou comme parfois, des deux... et suis parti rechercher plus précisément et il semblerait effectivement que la mère soit âgée de 36 ans ;
mon interprétation est donc sous réserve... de période critique septennale de la mère (34 à 36 ans)
le scénario apparaît alors plus clair pour moi : entrée dans la période critique septennale aux alentours de 34 ans et demi et descente aux enfers qui entraîne le mari : on déménage, on lache son boulot, (cela frise le sabordage) on a des idées suicidaires qui finalement vont jusqu'à un passage à l'acte, dont l'instigateur ou ici ..trice... s'en sort en appelant les secours au dernier moment (voir Lhermitte à Nivelles et d'autres)...
Pacte de suicide à Saguenay: pourquoi ?
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Une grande question hante les Saguenéens?: pourquoi Marc Laliberté et sa femme ont-ils conclu un pacte de suicide, comme le supposent les policiers? On sait seulement que le couple avait des ennuis financiers. L'homme avait déclaré faillite pour la troisième fois l'automne dernier.
Quelques jours avant le drame, Marc Laliberté avait reçu de la banque un avis l'informant que son compte était à découvert et qu'il devait y déposer les fonds nécessaires.
De là à vouloir mourir après avoir tué ses trois enfants?
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«Un mal à l'âme»
L'automne dernier, Cathie Gauthier a travaillé dans deux boutiques du centre commercial Place du Royaume. Ses anciennes collègues sont unanimes?: la femme de 36 ans avait l'air triste. «Elle était renfermée, elle parlait peu. On ne savait rien de sa vie, indique la gérante de la boutique Maryse Petite. Je ne sais pas ce qui s'est passé dans sa tête.»
Guylaine Potvin, propriétaire du magasin Guylen?&?Charlie, parle d'un «mal à l'âme». «La tristesse se lisait dans son visage. Mais elle parlait de ses enfants, qu'elle aimait.»
Mme Gauthier a quitté ces deux emplois d'elle-même. Quant à son mari, Lana Lapointe l'a embauché comme agent immobilier à La Capitale, en septembre dernier. Mais il a remis sa démission deux mois plus tard.
La courtière n'avait rien remarqué qui peut laisser deviner ses idées noires. «?J'ai fait un méchant saut quand j'ai vu les nouvelles. C'est un choc pour tout le monde. Il n'y a pas de mots. C'est triste. Mais c'est la famille qui fait pitié dans tout ça.»
Au Jean Coutu d'Amos, en Abitibi, où M. Laliberté a travaillé pendant deux ans avant de déménager à Chicoutimi, une collègue a dit cette semaine que l'homme était d'humeur dépressive, de même que sa femme. Le couple serait parti de l'Abitibi sans le dire à personne.
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dans cet article il est dit que la mère a tantôt 33 ans... tantôt 36...
si le père ayant 46 ans il manquerait un "déclencheur" : la période critique septennale de l'un ou de l'autre ... ou comme parfois, des deux... et suis parti rechercher plus précisément et il semblerait effectivement que la mère soit âgée de 36 ans ;
mon interprétation est donc sous réserve... de période critique septennale de la mère (34 à 36 ans)
le scénario apparaît alors plus clair pour moi : entrée dans la période critique septennale aux alentours de 34 ans et demi et descente aux enfers qui entraîne le mari : on déménage, on lache son boulot, (cela frise le sabordage) on a des idées suicidaires qui finalement vont jusqu'à un passage à l'acte, dont l'instigateur ou ici ..trice... s'en sort en appelant les secours au dernier moment (voir Lhermitte à Nivelles et d'autres)...
samedi 10 janvier 2009
compatibilité à risque
Hérault: un homme tue son ex-compagne avant de se donner la mort
" Un jeune homme a tiré un coup de feu mortel sur son ex-compagne avant de retourner l’arme contre lui et de se donner la mort, jeudi soir à Quarante (Hérault), a-t-on appris vendredi auprès des gendarmes.
La jeune femme, âgée de 27 ans, a réussi à téléphoner à un membre de sa famille qui a donné l’alerte. Elle a été transportée dans un hôpital de Montpellier où elle est décédée peu après. Son ex-compagnon, âgé de 29 ans, était revenu dans l’appartement qu’ils avaient partagé pendant un an avant leur séparation il y a un mois, afin de chercher ses affaires, dont un fusil de chasse dans un coffret. C’est avec cette arme qu’il a fait feu. La brigade de recherche de Béziers a été chargée de l’enquête."
Source : AFP (9 janvier 2009)
=============================
la "pression" est plus importante que d'ordinaire lorsque l'on se trouve en période critique septennale : ici les deux partenaires du couple s'y trouvaient en même temps ou pas loin (ils s'y croisent). cela peut suffire à créer des tensions qui peuvent conduire à des conflits dans le couple, éventuellement à sa séparation, mais aussi exceptionnellement (1) à une explosion comme cela semble être le cas ici.
la situation et le scénario sont différents si les personnes ne sont pas en période critique septennale. on ne peut bien sûr pas écarter totalement tout drame en période "neutre" mais la probabilité qu'un couple ait des problèmes me semble bien plus importante en période critique. si on le sait, par contre, et peut-être avec un peu d'information, on devrait arriver - dans certains cas du moins - à assumer, en désamorçant les tensions qui naissent de cet état particulier qu'est une période critique septennale...
(1) enfin pas si exceptionnellement que çà puisque nous avons toujours une femme qui se fait tuer par son époux chaque troisième jour environ...
on gagnerait à étudier chaque cas en fonction de la situation des personnes en période ou jour critique... je suis persuadé qu'on aurait des surprises...
" Un jeune homme a tiré un coup de feu mortel sur son ex-compagne avant de retourner l’arme contre lui et de se donner la mort, jeudi soir à Quarante (Hérault), a-t-on appris vendredi auprès des gendarmes.
La jeune femme, âgée de 27 ans, a réussi à téléphoner à un membre de sa famille qui a donné l’alerte. Elle a été transportée dans un hôpital de Montpellier où elle est décédée peu après. Son ex-compagnon, âgé de 29 ans, était revenu dans l’appartement qu’ils avaient partagé pendant un an avant leur séparation il y a un mois, afin de chercher ses affaires, dont un fusil de chasse dans un coffret. C’est avec cette arme qu’il a fait feu. La brigade de recherche de Béziers a été chargée de l’enquête."
Source : AFP (9 janvier 2009)
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la "pression" est plus importante que d'ordinaire lorsque l'on se trouve en période critique septennale : ici les deux partenaires du couple s'y trouvaient en même temps ou pas loin (ils s'y croisent). cela peut suffire à créer des tensions qui peuvent conduire à des conflits dans le couple, éventuellement à sa séparation, mais aussi exceptionnellement (1) à une explosion comme cela semble être le cas ici.
la situation et le scénario sont différents si les personnes ne sont pas en période critique septennale. on ne peut bien sûr pas écarter totalement tout drame en période "neutre" mais la probabilité qu'un couple ait des problèmes me semble bien plus importante en période critique. si on le sait, par contre, et peut-être avec un peu d'information, on devrait arriver - dans certains cas du moins - à assumer, en désamorçant les tensions qui naissent de cet état particulier qu'est une période critique septennale...
(1) enfin pas si exceptionnellement que çà puisque nous avons toujours une femme qui se fait tuer par son époux chaque troisième jour environ...
on gagnerait à étudier chaque cas en fonction de la situation des personnes en période ou jour critique... je suis persuadé qu'on aurait des surprises...
vendredi 9 janvier 2009
tentative d'enlèvement
ntv-de :
Verbindung zum Michelle-Mord?
Mädchen entkommt Entführung
In demselben Stadtteil in Leipzig, in dem vor fast fünf Monaten die Leiche der achtjährigen Michelle gefunden worden ist, hat ein Autofahrer versucht, ein Mädchen zu entführen. Wie ein Polizeisprecher in Leipzig sagte, sei die 13-Jährige bereits am Sonntagabend beinahe ins Auto gezerrt worden.
Das Mädchen sagte der Polizei, ein Erwachsener habe sie gegen 18.40 Uhr angesprochen und gebeten, ihm den Weg zu zeigen. Der Mann hat die 13-Jährige nach ihrer Darstellung bedrängt, angefasst und versucht, sie in sein Auto zu schieben. Sie konnte sich aber wehren und ist davongelaufen. Ihre Eltern informierten daraufhin die Polizei.
Die Sonderkommission "Michelle" habe die Ermittlungen aufgenommen. Nach Aussage der 13-Jährigen war der Mann 40 bis 50 Jahre alt, sprach dialektfrei deutsch und wirkte ungepflegt. Er habe einen Viertürer gefahren. Es sei schwierig, mit diesen für die Polizei unpräzisen Hinweisen, etwas zu ermitteln, sagte der Polizeisprecher.
Bei den Sonderermittlern zum Tod von Michelle sind bislang rund 1700 Hinweise eingegangen; sie haben mehr als 4500 Spuren gesichert. Nach wie vor ist unklar, wo sich Michelle nach ihrem Verschwinden gegen 16.00 Uhr auf einem Spielplatz aufhielt und ermordet wurde. Zudem fehlen immer noch Jacke und Tasche des Mädchens. Michelle war am 18. August verschwunden. Drei Tage später wurde ihre Leiche gefunden.
====================
une jeune fille de 13 ans a failli être enlevée dimanche soir à Leipzig, dans le même quartier où avait disparu la petite Michelle qui a été retrouvée morte trois jours plus tard. la police se demande s'il s'agit du même malfaiteur, l'auteur du meurtre de Michelle n'a pas été retrouvé... Michelle a disparu le 18 août 2008.
si j'y vais de ma théorie des biorythmes je trouve des choses intéressantes :
- la tentative d'enlèvement a eu lieu à 18h40 : c'est le moment de l'entrée dans une nouvelle journée biorythmique.
- le 18 août 2008 est un lundi : pour l'expérience on peut retenir ce jour comme étant le possible jour critique émotionnel d'un individu ; c'est jour de pulsions/désinhibition et jour où plus qu'un autre jour il aura envie/tendance à passer à l'acte.
- le dimanche soir compte comme un lundi et c'est donc effectivement le même jour biorythmique que l'individu est passé à l'acte dimanche soir le 4 janvier 2009. (compte pour lundi 5 janvier).
- le cycle émotionnel de 28 jours dont je parle comporte quatre jours critiques d'intensité différente : E1 - E8 - E15 et E22. Si E8 - 15 et 22 se valent, le jour E1 est le plus FORT au niveau des pulsions de passage à l'acte. or si je compare le 18 août 2008 et le 5 janvier 2009 il s'agit du MEME JOUR CRITIQUE DU CYCLE. lequel on ne le sait pas mais il n'est pas impossible que ce soit E1.
- si c'est un homme de 40 à 50 ans dont il s'agit il faudrait savoir s'il est plus près de 42 ans ou de 49 ans et on pourrait avoir une idée de son âge actuel, s'il se trouve en période critique septennale : c'est une période où là aussi les pulsions de passage à l'acte sont souvent présentes lors d'agressions de ce type.
enfin je rappelle que ce n'est qu'un exercice que je fais là en appliquant ma théorie du cycle hebdomadaire et septennal... mais bizarement et comme souvent... çà semble coller.
édit 15/01/2009 :
Vermisstes Mädchen aus Paderborn wohl Opfer von Verbrechen
Paderborn (AFP) — Im Fall der vermissten Kardelen aus Paderborn geht die Polizei nun von einem Verbrechen an der Achtjährigen aus. Dies sagte ein Polizeisprecher in Paderborn mit Hinweis auf Kleidungsstücke des Mädchens, die am sauerländischen Möhnesee gefunden worden waren. Derweil setzte die Polizei ihre Spurensuche an der Talsperre und im gut 50 Kilometer entfernten Paderborn fort. Unter anderem sollen am Möhnesee weitere Geländeabschnitte durchkämmt und Spaziergänger zu möglichen Beobachtungen befragt werden. Unklar blieb zunächst, ob im teils zugefrorenen Möhnesee auch Taucher eingesetzt werden sollten.
Zwei Frauen hatten am Mittwoch auf einem Rad- und Gehweg an der Talsperre südlich von Soest Kleidungsstücke entdeckt, die laut Polizei "mit an Sicherheit grenzender Wahrscheinlichkeit" der seit Montag vermissten Kardelen gehören. Fotos der Kleidung sollen dem Polizeisprecher zufolge noch heute den Eltern des vermissten Kindes zur Identifikation vorgelegt werden. Kardelen war zuletzt am Montagnachmittag in der Paderborner Südstadt gesehen worden. Das Mädchen hatte die elterliche Wohnung verlassen, um mit einer Freundin zu spielen.
=================
du coup c'est une autre gamine de 8 ans qui a disparu à Paderborn (environ 400km de Leipzig)
lundi dernier le 12 janvier... encore un lundi et par rapport aux lundis précédents c'est E8 si on examine le même cycle... se pourrait-il qu'il y ait un lien avec la tentative d'enlèvement de lundi dernier (enlèvement non réussi)...
ce qui me semble curieux - mais c'est peut-être pur hasard aussi alors prudence - c'est que cela arrive aussi un lundi : or un malade va voir ses pulsions augmenter son jour critique émotionnel... et nous sommes en présence à présent de deux disparitions d'enfant et d'une tentative d'enlèvement... un lundi chaque fois...
les distances entre les deux lieux d'enlèvements (Leipzig et Paderborn) ne jouent pas forcément : un individu peut rapidement se déplacer en voiture et changer aussi de "terrain de chasse" s'il se sait poursuivi par la police...
Verbindung zum Michelle-Mord?
Mädchen entkommt Entführung
In demselben Stadtteil in Leipzig, in dem vor fast fünf Monaten die Leiche der achtjährigen Michelle gefunden worden ist, hat ein Autofahrer versucht, ein Mädchen zu entführen. Wie ein Polizeisprecher in Leipzig sagte, sei die 13-Jährige bereits am Sonntagabend beinahe ins Auto gezerrt worden.
Das Mädchen sagte der Polizei, ein Erwachsener habe sie gegen 18.40 Uhr angesprochen und gebeten, ihm den Weg zu zeigen. Der Mann hat die 13-Jährige nach ihrer Darstellung bedrängt, angefasst und versucht, sie in sein Auto zu schieben. Sie konnte sich aber wehren und ist davongelaufen. Ihre Eltern informierten daraufhin die Polizei.
Die Sonderkommission "Michelle" habe die Ermittlungen aufgenommen. Nach Aussage der 13-Jährigen war der Mann 40 bis 50 Jahre alt, sprach dialektfrei deutsch und wirkte ungepflegt. Er habe einen Viertürer gefahren. Es sei schwierig, mit diesen für die Polizei unpräzisen Hinweisen, etwas zu ermitteln, sagte der Polizeisprecher.
Bei den Sonderermittlern zum Tod von Michelle sind bislang rund 1700 Hinweise eingegangen; sie haben mehr als 4500 Spuren gesichert. Nach wie vor ist unklar, wo sich Michelle nach ihrem Verschwinden gegen 16.00 Uhr auf einem Spielplatz aufhielt und ermordet wurde. Zudem fehlen immer noch Jacke und Tasche des Mädchens. Michelle war am 18. August verschwunden. Drei Tage später wurde ihre Leiche gefunden.
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une jeune fille de 13 ans a failli être enlevée dimanche soir à Leipzig, dans le même quartier où avait disparu la petite Michelle qui a été retrouvée morte trois jours plus tard. la police se demande s'il s'agit du même malfaiteur, l'auteur du meurtre de Michelle n'a pas été retrouvé... Michelle a disparu le 18 août 2008.
si j'y vais de ma théorie des biorythmes je trouve des choses intéressantes :
- la tentative d'enlèvement a eu lieu à 18h40 : c'est le moment de l'entrée dans une nouvelle journée biorythmique.
- le 18 août 2008 est un lundi : pour l'expérience on peut retenir ce jour comme étant le possible jour critique émotionnel d'un individu ; c'est jour de pulsions/désinhibition et jour où plus qu'un autre jour il aura envie/tendance à passer à l'acte.
- le dimanche soir compte comme un lundi et c'est donc effectivement le même jour biorythmique que l'individu est passé à l'acte dimanche soir le 4 janvier 2009. (compte pour lundi 5 janvier).
- le cycle émotionnel de 28 jours dont je parle comporte quatre jours critiques d'intensité différente : E1 - E8 - E15 et E22. Si E8 - 15 et 22 se valent, le jour E1 est le plus FORT au niveau des pulsions de passage à l'acte. or si je compare le 18 août 2008 et le 5 janvier 2009 il s'agit du MEME JOUR CRITIQUE DU CYCLE. lequel on ne le sait pas mais il n'est pas impossible que ce soit E1.
- si c'est un homme de 40 à 50 ans dont il s'agit il faudrait savoir s'il est plus près de 42 ans ou de 49 ans et on pourrait avoir une idée de son âge actuel, s'il se trouve en période critique septennale : c'est une période où là aussi les pulsions de passage à l'acte sont souvent présentes lors d'agressions de ce type.
enfin je rappelle que ce n'est qu'un exercice que je fais là en appliquant ma théorie du cycle hebdomadaire et septennal... mais bizarement et comme souvent... çà semble coller.
édit 15/01/2009 :
Vermisstes Mädchen aus Paderborn wohl Opfer von Verbrechen
Paderborn (AFP) — Im Fall der vermissten Kardelen aus Paderborn geht die Polizei nun von einem Verbrechen an der Achtjährigen aus. Dies sagte ein Polizeisprecher in Paderborn mit Hinweis auf Kleidungsstücke des Mädchens, die am sauerländischen Möhnesee gefunden worden waren. Derweil setzte die Polizei ihre Spurensuche an der Talsperre und im gut 50 Kilometer entfernten Paderborn fort. Unter anderem sollen am Möhnesee weitere Geländeabschnitte durchkämmt und Spaziergänger zu möglichen Beobachtungen befragt werden. Unklar blieb zunächst, ob im teils zugefrorenen Möhnesee auch Taucher eingesetzt werden sollten.
Zwei Frauen hatten am Mittwoch auf einem Rad- und Gehweg an der Talsperre südlich von Soest Kleidungsstücke entdeckt, die laut Polizei "mit an Sicherheit grenzender Wahrscheinlichkeit" der seit Montag vermissten Kardelen gehören. Fotos der Kleidung sollen dem Polizeisprecher zufolge noch heute den Eltern des vermissten Kindes zur Identifikation vorgelegt werden. Kardelen war zuletzt am Montagnachmittag in der Paderborner Südstadt gesehen worden. Das Mädchen hatte die elterliche Wohnung verlassen, um mit einer Freundin zu spielen.
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du coup c'est une autre gamine de 8 ans qui a disparu à Paderborn (environ 400km de Leipzig)
lundi dernier le 12 janvier... encore un lundi et par rapport aux lundis précédents c'est E8 si on examine le même cycle... se pourrait-il qu'il y ait un lien avec la tentative d'enlèvement de lundi dernier (enlèvement non réussi)...
ce qui me semble curieux - mais c'est peut-être pur hasard aussi alors prudence - c'est que cela arrive aussi un lundi : or un malade va voir ses pulsions augmenter son jour critique émotionnel... et nous sommes en présence à présent de deux disparitions d'enfant et d'une tentative d'enlèvement... un lundi chaque fois...
les distances entre les deux lieux d'enlèvements (Leipzig et Paderborn) ne jouent pas forcément : un individu peut rapidement se déplacer en voiture et changer aussi de "terrain de chasse" s'il se sait poursuivi par la police...
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