Steven George Gerrard, né à Whiston près de Liverpool le 30 mai 1980, est un footballeur anglais.
eurosport.fr :
Gerrard en garde à vue
Football - Premier League
Steven Gerrard a été arrêté tôt lundi matin après une bagarre à Southport, dans le nord-ouest de l'Angleterre, selon des sources policières. Le capitaine de Liverpool, âgé de 28 ans, a été interpellé avec cinq autres hommes pour agression présumée, selon ces mêmes sources.
Steven Gerrard était vraiment en grande forme ce dimanche. Le capitaine de Liverpool l'a prouvé sur le terrain, en inscrivant deux buts lors de l'éclatante victoire de son équipe à Newcastle (1-5). Nullement épuisé par sa performance, le joueur emblématique des Reds s'est permis une petite veillée. Il n'aurait peut-être pas dû. L'idole d'Anfield a en effet été placée en garde à vue pour une agression présumée sur un homme de 34 ans, victime de blessures faciales et transporté à l'hôpital, dans un pub de Southport. Gerrard est suspecté d'être l'un des auteurs de cette agression avec cinq autres hommes, également interpelés par la police aux alentours de 2h30 du matin.
"La police de la Mersey enquête actuellement sur une agression qui s'est produite lors des premières heures du lundi 29 décembre sur Bold Street, à Southport. Aux alentours de 2h30 du matin, les officiers ont assisté à des débordements dans un pub de Bold Street. Six hommes ont été arrêtés", a indiqué un porte-parole de la police avant de confirmer la présence de Steven Gerrard, toujours en détention, parmi ces six personnes. Les cinq autres hommes arrêtés, également pour agression présumée, viennent tous de Liverpool et sont âgés de 33, 31, 29, 19 et 18 ans. Un porte-parole de Liverpool a annoncé que le club ne ferait aucun commentaire à ce sujet.
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çà dépend c'est quika commencé...
on peut être pas mal plus aggressif en périoode critique septennale... bon il y avait d'autres protagonistes dans la bagarre, mais on peut voir quels ont été les plus en cause. Gerrard a 28 ans et son adversaire 34... de quoi faire éventuellement monter la pression...
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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lundi 29 décembre 2008
les bonnes idées septennales
il y en a bien sûr énormément, qui émaillent toutes nos vies, à intervalles réguliers, mais on n'en fait moins de cas puisqu'elles ne sont pas dramatiques et ne font pas la une des actualités...
en voici une trouvée dans TéléNouvelObs :
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Robert Downey Jr. va tenir le rôle du fondateur de "Playboy". Aujourd'hui papy milliardaire, Hugh Hefner n'avait que 27 ans lorsqu'il a créé la revue destinée aux célibataires libertins et fêtards.
en voici une trouvée dans TéléNouvelObs :
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Robert Downey Jr. va tenir le rôle du fondateur de "Playboy". Aujourd'hui papy milliardaire, Hugh Hefner n'avait que 27 ans lorsqu'il a créé la revue destinée aux célibataires libertins et fêtards.
meurtre de deux prostituées
SKCenter :
Le meurtrier présumé de deux prostituées thaïlandaises a avoué
Le meurtrier présumé des prostituées thaïlandaises interpellé
Moins d'une semaine après le meurtre de deux prostituées thaïlandaises à Paris, les enquêteurs ont mis la main sur l'auteur présumé du double homicide, un Portugais de 36 ans résidant au Luxembourg, trouvé notamment en possession de l'arme du crime.
Le suspect a été interpellé dans la rue à Paris par les enquêteurs, samedi midi, et placé en garde à vue. "A ce stade de l'enquête, un certain nombre de charges importantes pèsent sur cette personne", a indiqué la chef de la section criminelle du parquet, Naïma Rudloff, lors d'un point de presse dimanche.
Un cuisinier qui vit au Luxembourg
"Il s'agit d'un jeune cuisinier, totalement inconnu des services de police qui réside et travaille au Luxembourg et qui était monté pour les fêtes à Paris où il logeait dans un hôtel", a rapporté la représentante du parquet.
"Des éléments objectifs, comme une partie du butin, en tout cas des effets personnels dérobés chez les victimes ont été découverts dans la chambre d'hôtel du suspect et l'arme présumée du double homicide (une arme blanche) a également été retrouvée en sa possession", a détaillé la magistrate.
Il a avoué en partie
"Enfin, à ce stade de sa garde à vue, il a passé un certain nombre d'aveux, en tout cas de déclarations circonstanciées qu'il convient de préciser", a-t-elle ajouté en justifiant ainsi la prolongation de la garde à vue pour 24H00.
"La piste qui semble se profiler est celle du client. L'homme étant l'un des derniers clients de ces deux jeunes femmes thaïlandaises qui se livraient à la prostitution au sein de cet appartement" où elles vivaient, a poursuivi Mme Rudloff.
"En pleine rupture sentimentale"
Le suspect "vivait en France auparavant et avait eu une relation stable pendant trois ans avec une jeune femme et, depuis janvier 2008, était en rupture sentimentale", a ajouté la magistrate en expliquant que cette rupture avait sans doute contribué à sa "nomadisation et désocialisation".
Les corps de deux jeunes femmes asiatiques, sauvagement poignardées, avaient été découverts mardi soir dans un immeuble du centre de la capitale.
Ces femmes vivaient en France depuis avril et novembre 2007 en situation irrégulière et se livraient à la prostitution, a indiqué un haut responsable policier, précisant que le cuisinier portugais les avait rencontrées "par le biais d'annonces que l'on trouve dans la rue avec un numéro de téléphone".
"L'individu a reconnu qu'il s'était rendu sur les lieux, qu'il avait eu un rendez-vous galant et après, les choses se sont mal passées. Mais il reste des points encore obscurs", a-t-il ajouté citant notamment la question de la préméditation, des conditions exactes du passage à l'acte ou de l'usage de produits toxiques.
Meurtre et vol
Est-on en présence d'"un acte de folie meurtrier ou d'un acte un peu plus froid"? , a résumé Mme Rudloff en rappelant que le double meurtre s'est accompagné d'un vol.
Le cuisinier a notamment dérobé 1.500 euros et les téléphones portables des victimes dont il s'est rapidement débarrassés. "C'est un des éléments qui nous a permis de remonter jusqu'à lui avec son propre portable", a révélé le policier.
Source : 7 sur 7
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ici l'intéressé a 36 ans mais en regardant son histoire de plus près on tombe fatalement sur les dégats d'une période critique septennale des 35 ans... (voir les passages en caractères gras).
Le meurtrier présumé de deux prostituées thaïlandaises a avoué
Le meurtrier présumé des prostituées thaïlandaises interpellé
Moins d'une semaine après le meurtre de deux prostituées thaïlandaises à Paris, les enquêteurs ont mis la main sur l'auteur présumé du double homicide, un Portugais de 36 ans résidant au Luxembourg, trouvé notamment en possession de l'arme du crime.
Le suspect a été interpellé dans la rue à Paris par les enquêteurs, samedi midi, et placé en garde à vue. "A ce stade de l'enquête, un certain nombre de charges importantes pèsent sur cette personne", a indiqué la chef de la section criminelle du parquet, Naïma Rudloff, lors d'un point de presse dimanche.
Un cuisinier qui vit au Luxembourg
"Il s'agit d'un jeune cuisinier, totalement inconnu des services de police qui réside et travaille au Luxembourg et qui était monté pour les fêtes à Paris où il logeait dans un hôtel", a rapporté la représentante du parquet.
"Des éléments objectifs, comme une partie du butin, en tout cas des effets personnels dérobés chez les victimes ont été découverts dans la chambre d'hôtel du suspect et l'arme présumée du double homicide (une arme blanche) a également été retrouvée en sa possession", a détaillé la magistrate.
Il a avoué en partie
"Enfin, à ce stade de sa garde à vue, il a passé un certain nombre d'aveux, en tout cas de déclarations circonstanciées qu'il convient de préciser", a-t-elle ajouté en justifiant ainsi la prolongation de la garde à vue pour 24H00.
"La piste qui semble se profiler est celle du client. L'homme étant l'un des derniers clients de ces deux jeunes femmes thaïlandaises qui se livraient à la prostitution au sein de cet appartement" où elles vivaient, a poursuivi Mme Rudloff.
"En pleine rupture sentimentale"
Le suspect "vivait en France auparavant et avait eu une relation stable pendant trois ans avec une jeune femme et, depuis janvier 2008, était en rupture sentimentale", a ajouté la magistrate en expliquant que cette rupture avait sans doute contribué à sa "nomadisation et désocialisation".
Les corps de deux jeunes femmes asiatiques, sauvagement poignardées, avaient été découverts mardi soir dans un immeuble du centre de la capitale.
Ces femmes vivaient en France depuis avril et novembre 2007 en situation irrégulière et se livraient à la prostitution, a indiqué un haut responsable policier, précisant que le cuisinier portugais les avait rencontrées "par le biais d'annonces que l'on trouve dans la rue avec un numéro de téléphone".
"L'individu a reconnu qu'il s'était rendu sur les lieux, qu'il avait eu un rendez-vous galant et après, les choses se sont mal passées. Mais il reste des points encore obscurs", a-t-il ajouté citant notamment la question de la préméditation, des conditions exactes du passage à l'acte ou de l'usage de produits toxiques.
Meurtre et vol
Est-on en présence d'"un acte de folie meurtrier ou d'un acte un peu plus froid"? , a résumé Mme Rudloff en rappelant que le double meurtre s'est accompagné d'un vol.
Le cuisinier a notamment dérobé 1.500 euros et les téléphones portables des victimes dont il s'est rapidement débarrassés. "C'est un des éléments qui nous a permis de remonter jusqu'à lui avec son propre portable", a révélé le policier.
Source : 7 sur 7
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ici l'intéressé a 36 ans mais en regardant son histoire de plus près on tombe fatalement sur les dégats d'une période critique septennale des 35 ans... (voir les passages en caractères gras).
dimanche 28 décembre 2008
Andrew Cunanan - tueur septennal
wikipédia :
Andrew Philip Cunanan (31 aout 1969 - 24 juillet 1997) est un tueur en série américain. Il a notamment assassiné le couturier Gianni Versace..........
Le 27 avril 1997 Cunanan part à Minneapolis et il bat à mort à coup de marteau son ex petit-ami Jeffrey Trail par jalousie. Ensuite il tue un architecte, David Madson, dont on retrouve le corps dans une rivière près de Rush City (Minnesota).
Il est désespéré et devient paranoïaque ; le 4 mai 1997 à Chicago il tue Lee Miglin, un promoteur immobilier âgé de 72 ans.
Le 9 mai 1997 il tue William Reese, 45 ans, sa quatrième victime dans le New Jersey où on retrouvera la voiture de Lee Miglin.
Il tue le 15 juillet 1997 le grand couturier Gianni Versace, c'était son cinquième et dernier meurtre.
Après huit jours de poursuite, il se suicida le 23 juillet 1997 à Miami Beach en Floride pour éviter d'être capturé par la police.
Victimes :
Jeffrey Trail, le 27 avril 1997, ex-petit-ami (E22 jour critique émotionnel)
David Madson, architecte (le 27 avril 1997)(E22 jour critique émotionnel)
Lee Miglin, le 4 mai 1997, promoteur immobilier (E1 jour critique émotionnel et physique P12)
William Reese, le 9 mai 1997 (veille de P18 jour critique physique équivalent du jour critique émotionnel)
Gianni Versace le 15 juillet 1997, grand-couturier (jour critique intellectuel i17)
suicide 23 juillet 1997 (jour critique intellectuel i26 et critique physique P1)
======================
les trois premiers meurtres ont eu lieu un jour critique émotionnel (dimanche). le 27 avril 1997 Cunanan avait 27 ans et 8 mois et se trouve dans la période critique septennale des 28 ans.
le quatrième meurtre a lieu dans un équivalent du jour critique émotionnel. dernier meurtre et suicide en jour critique intellectuel (jour critique du cerveau) à environ un mois de ses 28 ans.
Andrew Philip Cunanan (31 aout 1969 - 24 juillet 1997) est un tueur en série américain. Il a notamment assassiné le couturier Gianni Versace..........
Le 27 avril 1997 Cunanan part à Minneapolis et il bat à mort à coup de marteau son ex petit-ami Jeffrey Trail par jalousie. Ensuite il tue un architecte, David Madson, dont on retrouve le corps dans une rivière près de Rush City (Minnesota).
Il est désespéré et devient paranoïaque ; le 4 mai 1997 à Chicago il tue Lee Miglin, un promoteur immobilier âgé de 72 ans.
Le 9 mai 1997 il tue William Reese, 45 ans, sa quatrième victime dans le New Jersey où on retrouvera la voiture de Lee Miglin.
Il tue le 15 juillet 1997 le grand couturier Gianni Versace, c'était son cinquième et dernier meurtre.
Après huit jours de poursuite, il se suicida le 23 juillet 1997 à Miami Beach en Floride pour éviter d'être capturé par la police.
Victimes :
Jeffrey Trail, le 27 avril 1997, ex-petit-ami (E22 jour critique émotionnel)
David Madson, architecte (le 27 avril 1997)(E22 jour critique émotionnel)
Lee Miglin, le 4 mai 1997, promoteur immobilier (E1 jour critique émotionnel et physique P12)
William Reese, le 9 mai 1997 (veille de P18 jour critique physique équivalent du jour critique émotionnel)
Gianni Versace le 15 juillet 1997, grand-couturier (jour critique intellectuel i17)
suicide 23 juillet 1997 (jour critique intellectuel i26 et critique physique P1)
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les trois premiers meurtres ont eu lieu un jour critique émotionnel (dimanche). le 27 avril 1997 Cunanan avait 27 ans et 8 mois et se trouve dans la période critique septennale des 28 ans.
le quatrième meurtre a lieu dans un équivalent du jour critique émotionnel. dernier meurtre et suicide en jour critique intellectuel (jour critique du cerveau) à environ un mois de ses 28 ans.
samedi 27 décembre 2008
Victor Segalen
Maville.com - Quimper et sa région :
http://www.quimper.maville.com/actu/actudet_-La-mort-de-Victor-Segalen-c-etait-un-suicide-_dep-784659_actu.Htm
La mort de Victor Segalen, c'était un suicide
Marie Dollé consacre une nouvelle biographie à l'écrivain Victor Segalen et l'affirme clairement : sa mort est un suicide.
Marie Dollé propose une nouvelle biographie de l'écrivain breton. Elle opte délibérément, correspondance à la clé, pour la théorie du suicide.
Le 19 mai 1919, à Huelgoat, Victor Segalen quitte l'hôtel d'Angleterre, se dirige vers les hauteurs boisées de la petite ville où il essaie de se refaire une santé mentale et physique. On le retrouvera mort deux jours plus tard dans la forêt. Blessé après avoir trébuché sur une souche, il s'est vidé de son sang. « C'était un suicide », affirme aujourd'hui clairement Marie Dollé.
Cette universitaire qui a enseigné plusieurs années à l'Université de Bretagne occidentale à Brest vient de consacrer une nouvelle biographie à l'écrivain, poète, médecin de marine, archéologue, né à Brest en 1878, mort à 41 ans dans son Finistère natal, après avoir parcouru les mers du monde, sauvé les oeuvres polynésiennes de Gauguin, arpenté la Chine, etc.
En s'appuyant sur les lettres
« La publication récente de la correspondance de Segalen change la donne, modifie son image et rend caduques les biographies qui, selon les voeux de la famille, en avaient fait un homme convenable », explique-t-elle. Cette correspondance, ce sont 1 500 lettres, de l'adolescence de l'écrivain à sa mort. Celles qu'il a envoyées essentiellement, expurgées par sa femme Yvonne « qui ne voulait pas que leurs enfants, ou bien des chercheurs curieux, y mettent le nez. Certaines semblent avoir volontairement cryptées par Segalen », constate Marie Dollé.
........
.............
Un désespoir atroce
Marie Dollé assure « n'avoir pas découvert de faits nouveaux » dans la correspondance mais prend clairement parti : Victor Segalen s'est suicidé. Revenu très malade de Chine en 1918, en attente d'une affectation qui lui conviendrait, il traversait une profonde crise de dépression. « Il faut croiser ses lettres pour avoir une idée du désespoir atroce qu'il ressentait. »
Et comment croire qu'un médecin puisse mourir d'une simple plaie à la jambe ? Pourquoi a-t-il quitté son hôtel pour une randonnée dans les bois, habillé en grand uniforme ? Comment le Hamlet qu'il avait emporté pour la balade est-il resté sec alors qu'il a plu à verse ? Et ce tertre féodal sur lequel on l'a trouvé, rappelant les tumulus des tombeaux chinois tant aimés, un hasard ?
« Je suis convaincue que Segalen a mis en scène sa mort, en cultivant l'équivoque comme dans toute son oeuvre, en donnant à son suicide l'allure d'un accident. » Beaucoup de « Segaliens » le pensaient, le disaient dans les conférences ou les colloques. Elle est la première biographe à l'écrire nettement.
Josiane GUÉGUEN.
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wikipédia :
Victor Segalen (1878, Brest - 1919) est un poète, mais aussi médecin de marine, ethnographe et archéologue français.
Il est né le 14 janvier 1878 à Brest (rue Massillon). Après des études de médecine à l'université de Bordeaux[1], l'officier-médecin est affecté en Polynésie française. Il n'aime pas la mer, ni naviguer mais débarquer et découvrir. Il séjourne à Tahiti en 1903 et 1904. Lors d'une escale aux îles Marquises, il a pu acheter les derniers croquis de Gauguin, décédé trois mois avant son arrivée, qui seraient sans lui partis au rebut. Il rapporte en métropole un roman, les Immémoriaux (1907), un journal et des essais sur Gauguin et Rimbaud qui ne seront publiés qu'en 1978.
En 1908, il part en Chine où il soigne les victimes de l'épidémie de peste de Mandchourie. En 1910, il décide de s'installer en Chine avec sa femme et son fils. La première édition de Stèles voit le jour à Pékin en 1912. Il entreprend en 1914 une mission archéologique consacrée aux monuments funéraires de la dynastie des Han. Cette étude sur les sculptures chinoises ne sera publiée qu'en 1972 (Grande Statuaire chinois). A ce titre et en ce qui concerne la littérature il renouvelle le genre de l'exotisme alors encore trop naïf et ethnocentrique.
En Chine il rencontra un des rares européens qui s'y trouvaient alors, et qui le marqua beaucoup, le sinologue belge Charles Michel qui lui inspira le personnage de René Leys.
Il meurt le 21 mai 1919 dans la forêt de Huelgoat, Hamlet à la main. Après coup, l'état français a inscrit son nom sur les murs du Panthéon en tant qu'"écrivain mort pour la France pendant la guerre de 1914-1918".
===================
intéressante, cette histoire que je ne connaissais pas... il faut dire que la Bretagne c'est loin de l'Alsace.
alors comme d'habitude je regarde si quelque chose peut aller en faveur du suicide :
- période critique septennale : c'est oui.
- jour critique émotionnel : c'est oui.
- proximité anniversaire : là c'est non mais c'est le moins fréquent des éléments.
en général il y a au moins l'un des deux premiers, ou mieux, les deux.
- période critique septennale : l'intéressé avait 41 ans et 5 mois soit se trouvait pile à l'entrée de sa période critique septennale des 42 ans : pic... si l'on parle de pulsions suicide, mais aussi pic... si l'on parle de dépression septennale et dans certains cas celle-ci peut être grave et entraîner le suicide.
- on a tendance à passer à l'acte à l'arrivée de la période critique septennale et... un jour critique émotionnel.
c'est là qu'il y a quelque chose d'intéressant :
- rien pour le 21 mai 1919 donc jour neutrre
- tout pour le 19 mai 1919 qui pourrait, selon moi, être jour de suicide.
le 19 mai est jour doublement critique, en fait : critique émotionnel E8 et critique physique P12 : mal psychiquement et mal physiquement... ce jour là. c'est le jour des passages à l'acte suicidaires, des prises de décision, des fugues aussi... jour de colère également.
mais du fait de la présence de P12 jour critique physique on ne peut écarter l'hypothèse d'une chute, bien qu'il me semble moins probable que la personne ait fait une chute avec une blessure mortelle... ? ("blessé après avoir trébuché sur une souche ?"
édité le 28/12/2008 : rajout version accident en raison du jour critique physique P12.
http://www.quimper.maville.com/actu/actudet_-La-mort-de-Victor-Segalen-c-etait-un-suicide-_dep-784659_actu.Htm
La mort de Victor Segalen, c'était un suicide
Marie Dollé consacre une nouvelle biographie à l'écrivain Victor Segalen et l'affirme clairement : sa mort est un suicide.
Marie Dollé propose une nouvelle biographie de l'écrivain breton. Elle opte délibérément, correspondance à la clé, pour la théorie du suicide.
Le 19 mai 1919, à Huelgoat, Victor Segalen quitte l'hôtel d'Angleterre, se dirige vers les hauteurs boisées de la petite ville où il essaie de se refaire une santé mentale et physique. On le retrouvera mort deux jours plus tard dans la forêt. Blessé après avoir trébuché sur une souche, il s'est vidé de son sang. « C'était un suicide », affirme aujourd'hui clairement Marie Dollé.
Cette universitaire qui a enseigné plusieurs années à l'Université de Bretagne occidentale à Brest vient de consacrer une nouvelle biographie à l'écrivain, poète, médecin de marine, archéologue, né à Brest en 1878, mort à 41 ans dans son Finistère natal, après avoir parcouru les mers du monde, sauvé les oeuvres polynésiennes de Gauguin, arpenté la Chine, etc.
En s'appuyant sur les lettres
« La publication récente de la correspondance de Segalen change la donne, modifie son image et rend caduques les biographies qui, selon les voeux de la famille, en avaient fait un homme convenable », explique-t-elle. Cette correspondance, ce sont 1 500 lettres, de l'adolescence de l'écrivain à sa mort. Celles qu'il a envoyées essentiellement, expurgées par sa femme Yvonne « qui ne voulait pas que leurs enfants, ou bien des chercheurs curieux, y mettent le nez. Certaines semblent avoir volontairement cryptées par Segalen », constate Marie Dollé.
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Un désespoir atroce
Marie Dollé assure « n'avoir pas découvert de faits nouveaux » dans la correspondance mais prend clairement parti : Victor Segalen s'est suicidé. Revenu très malade de Chine en 1918, en attente d'une affectation qui lui conviendrait, il traversait une profonde crise de dépression. « Il faut croiser ses lettres pour avoir une idée du désespoir atroce qu'il ressentait. »
Et comment croire qu'un médecin puisse mourir d'une simple plaie à la jambe ? Pourquoi a-t-il quitté son hôtel pour une randonnée dans les bois, habillé en grand uniforme ? Comment le Hamlet qu'il avait emporté pour la balade est-il resté sec alors qu'il a plu à verse ? Et ce tertre féodal sur lequel on l'a trouvé, rappelant les tumulus des tombeaux chinois tant aimés, un hasard ?
« Je suis convaincue que Segalen a mis en scène sa mort, en cultivant l'équivoque comme dans toute son oeuvre, en donnant à son suicide l'allure d'un accident. » Beaucoup de « Segaliens » le pensaient, le disaient dans les conférences ou les colloques. Elle est la première biographe à l'écrire nettement.
Josiane GUÉGUEN.
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wikipédia :
Victor Segalen (1878, Brest - 1919) est un poète, mais aussi médecin de marine, ethnographe et archéologue français.
Il est né le 14 janvier 1878 à Brest (rue Massillon). Après des études de médecine à l'université de Bordeaux[1], l'officier-médecin est affecté en Polynésie française. Il n'aime pas la mer, ni naviguer mais débarquer et découvrir. Il séjourne à Tahiti en 1903 et 1904. Lors d'une escale aux îles Marquises, il a pu acheter les derniers croquis de Gauguin, décédé trois mois avant son arrivée, qui seraient sans lui partis au rebut. Il rapporte en métropole un roman, les Immémoriaux (1907), un journal et des essais sur Gauguin et Rimbaud qui ne seront publiés qu'en 1978.
En 1908, il part en Chine où il soigne les victimes de l'épidémie de peste de Mandchourie. En 1910, il décide de s'installer en Chine avec sa femme et son fils. La première édition de Stèles voit le jour à Pékin en 1912. Il entreprend en 1914 une mission archéologique consacrée aux monuments funéraires de la dynastie des Han. Cette étude sur les sculptures chinoises ne sera publiée qu'en 1972 (Grande Statuaire chinois). A ce titre et en ce qui concerne la littérature il renouvelle le genre de l'exotisme alors encore trop naïf et ethnocentrique.
En Chine il rencontra un des rares européens qui s'y trouvaient alors, et qui le marqua beaucoup, le sinologue belge Charles Michel qui lui inspira le personnage de René Leys.
Il meurt le 21 mai 1919 dans la forêt de Huelgoat, Hamlet à la main. Après coup, l'état français a inscrit son nom sur les murs du Panthéon en tant qu'"écrivain mort pour la France pendant la guerre de 1914-1918".
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intéressante, cette histoire que je ne connaissais pas... il faut dire que la Bretagne c'est loin de l'Alsace.
alors comme d'habitude je regarde si quelque chose peut aller en faveur du suicide :
- période critique septennale : c'est oui.
- jour critique émotionnel : c'est oui.
- proximité anniversaire : là c'est non mais c'est le moins fréquent des éléments.
en général il y a au moins l'un des deux premiers, ou mieux, les deux.
- période critique septennale : l'intéressé avait 41 ans et 5 mois soit se trouvait pile à l'entrée de sa période critique septennale des 42 ans : pic... si l'on parle de pulsions suicide, mais aussi pic... si l'on parle de dépression septennale et dans certains cas celle-ci peut être grave et entraîner le suicide.
- on a tendance à passer à l'acte à l'arrivée de la période critique septennale et... un jour critique émotionnel.
c'est là qu'il y a quelque chose d'intéressant :
- rien pour le 21 mai 1919 donc jour neutrre
- tout pour le 19 mai 1919 qui pourrait, selon moi, être jour de suicide.
le 19 mai est jour doublement critique, en fait : critique émotionnel E8 et critique physique P12 : mal psychiquement et mal physiquement... ce jour là. c'est le jour des passages à l'acte suicidaires, des prises de décision, des fugues aussi... jour de colère également.
mais du fait de la présence de P12 jour critique physique on ne peut écarter l'hypothèse d'une chute, bien qu'il me semble moins probable que la personne ait fait une chute avec une blessure mortelle... ? ("blessé après avoir trébuché sur une souche ?"
édité le 28/12/2008 : rajout version accident en raison du jour critique physique P12.
Julien Coupat
Julien Coupat, né le 4 juin 1974 à Bordeaux, est un des fondateurs en 1999 de l'éphémère[non neutre] revue philosophique française Tiqqun. Depuis le 15 novembre 2008, suspecté d'avoir formé une « cellule invisible » à laquelle est imputée le sabotage de caténaires de TGV, il est placé en mise en examen et détenu pour « direction d'une association de malfaiteurs et dégradations en relation avec une entreprise terroriste ».
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dangereux terroriste ne je crois pas... peut-être des idées de Robin des Bois qui peuvent très bien fleurir à l'entrée d'une période critique septennale : on entre à 34 ans et demi dans la période critique des 35 ans. envie de passer aux actes...
même pas de preuves, pour l'instant, paraît-il :-)
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dangereux terroriste ne je crois pas... peut-être des idées de Robin des Bois qui peuvent très bien fleurir à l'entrée d'une période critique septennale : on entre à 34 ans et demi dans la période critique des 35 ans. envie de passer aux actes...
même pas de preuves, pour l'instant, paraît-il :-)
père noël tueur
LCI.fr :
Etats-Unis - Mystères autour du mobile du Père Noël tueur
Mystères autour du mobile du Père Noël tueur
L'homme semblait avoir des cibles précises en tête, notamment son ex-femme, mais le suicide ne faisait apparemment pas partie de son plan.Le tueur serait sorti gravement brûlé de l'incendie qu'il a lui-même démarré, au point que son costume de père Noël était partiellement resté collé sur sa peau.
Deux jours après l'irruption d'un homme déguisé en père Noël chez son ex-belle famille dans la banlieue de Los Angeles, la police californienne tentait de comprendre ce qui a pu conduire à cette tuerie. Armé de quatre pistolets, Bruce Jeffrey Pardo, un ingénieur au chômage de 45 ans, s'est présenté mercredi soir chez les parents de son ex-femme, où 25 personnes célébraient Noël, à Covina, banlieue du nord-ouest de Los Angeles. Les survivants ont raconté qu'il semblait viser précisément son ex-femme et la famille proche de celle-ci lorsqu'il a ouvert le feu sur les convives. L'homme avait perdu son dernier emploi en octobre et que le divorce avec son ex-femme avait été prononcé le jeudi précédant Noël, à l'issue d'une procédure "quelque peu litigieuse", selon la police.
Après avoir épuisé son stock de balles, l'homme a répandu une substance combustible en partie constituée d'essence à l'aide d'un vaporisateur artisanal et celle-ci a rapidement provoqué une explosion, détruisant le pavillon. Neuf corps calcinés ont été retrouvés dans les décombres de la maison. L'ex-femme de Pardo, Sylvia Ortega et ses parents feraient partie des victimes, qu'il était impossible de reconnaître. Le substitut du procureur de Los Angeles a expliqué que des analyses médicales et dentaires seraient nécessaires pour identifier les victimes. Des autopsies seront en outre pratiquées pour déterminer si la mort a été causée par des tirs ou par l'explosion et l'incendie. Selon les autorités, Bruce Jeffrey Pardo lui-même souffrait de brûlures au troisième degré, au point que son costume de père Noël était partiellement resté collé sur sa peau. Il s'était enfui après la tuerie et a été retrouvé mort, d'une blessure par balles à la tête, dans la maison de son frère, à une soixantaine de kilomètres de Covina.
Les enquêteurs ont trouvé sur lui environ 17.000 dollars en liquide et des billets pour un vol jeudi entre Los Angeles et le Canada. "Tout indique qu'il avait l'intention de commettre ce crime puis de fuir le pays", explique le procureur. "Il semble qu'il ne s'attendait pas à être lui-même blessé au point de s'ôter la vie." Le suspect avait piégé son véhicule de location avec les restes de son costume et celui-ci a explosé lorsque les policiers ont tenté de désamorcer l'engin artisanal. Aucun d'entre eux n'a été blessé. A son domicile, les autorités ont découvert de l'essence, des étuis de pistolets vides et deux armes à feu puissantes.
=====================
il me semble qu'il n'y a pas trop mystère autour du mobile du père noël tueur : une représaille à l'encontre de son épouse dont il s'est séparé de façon plutôt litigieuse : il faut observer le scénario depuis le début car s'il n'y avait pas eu cette séparation, ou si elle s'était mieux passée, le drame n'aurait peut-être pas eu lieu, et le début du conflit, si le divorce vient d'être prononcé... remonte probablement à la période critique septennale des 42 ans de l'intéressé, et très souvent l'arrivée de cette période critique (à voir du côté de l'épouse aussi, c'est important) permet de dessiner une courbe croissante de la tension, la période critique en étant le point de départ.
le jour critique émotionnel peut être un jour de passage à l'acte mais ici ce n'est pas sûr puisque l'opération semble avoir été préparée bien à l'avance : les passage à l'acte en jour critique émotionnel sont en général des décisions spontanées, prise le jour même ou la veille, ou des explosions sur coups de tête ou de folie.
l'un des pas les plus importants à faire serait d'examiner en amont, c'est à dire dès leur début, les conflits conjugaux entre autre à la lumière des périodes critiques septennales réciproques : on sait alors ce qui peut parfois provoquer des tensions et conflits quasi "artificiels" du fait du changement d'état d'esprit à ce moment là. on peut alors en parler, et peut-être même réparer parfois la situation puisque l'on connaît l'origine de la défaillance.
éléments complémentaires dans un article du Parisien :
"Un homme réputé tranquille
Les motivations de Pardo sont désormais connues. La maison attaquée ne serait autre que celle des parents de son ex-femme. « Il passait manifestement par une phase difficile dans son mariage », a révélé Pat Buchanan. Son épouse, Sylvia, 43 ans, l'avait quitté au printemps, déménageant avec leurs trois enfants. Une procédure de divorce avait été initiée auprès du tribunal local. Pour autant, Bruce Pardo avait plutôt une réputation d'homme tranquille dans son quartier de Montrose. « On les voyait promener le chien et Bruce tondait souvent la pelouse », affirment des voisins. « Bruce ? C'était le type toujours sympa, toujours souriant, à qui il était plaisant de parler », dit, sous le choc, Jan Detanna, membre de la même paroisse. Pardo, qui s'investissait beaucoup dans la vie paroissiale, était d'ailleurs présent à la messe de Noël, quelques heures avant de passer à l'acte."
les hommes tranquilles et gentils ne sont pas toujours ceux que l'on croit ; par ailleurs la période critique septennale est bien présente chez l'épouse et donc durant la crise de ce couple. le scénario doit être vu dès les 41 ans de l'époux - entrée en période critique - et qui peut déjà constituer un point de départ des problèmes, le second virage périlleux qui vient ensuite s'ajouter est l'entrée dans la période critique septennale aussi à 41 ans et demi de l'épouse... après que celle de son mari soit censée se terminer. mais si çà se passe mal - comme cela a été probablement le cas ici - çà ne se calme pas mais produit l'effet contraire.
édit 27/12 :
Bruce Jeffrey Pardo
Birth: Mar. 23, 1963
Death: Dec. 24, 2008
45 ans et 9 mois et RAS du point de vue de la situation biorythmique du jour : il faut dire que l'intéressé avait dans ce cas tout planifié à l'avance et son irruption déguisé en Père Noël ne pouvait se faire que le soir de Noël...
son jour critique émotionnel est samedi.
c'est un divorce qu'il a fait payer très cher à des innocents... alors que lui ne l'était pas...
le divorce a été cependant prononcé tout récemment seulement (semaine dernière) :
The couple's acrimonious divorce had been finalised last week, and under its terms Pardo had been ordered to hand over $10,000 and the family dog. Stanley Silver, lawyer for Pardo, said his client had been struggling to make the payment after he was laid off recently.
http://www.findagrave.com/cgi-bin/fg.cgi?page=gr&GRid=32414678
tout cela fait que je ne vois finalement pas vraiment de lien avec la période dernière période critique de l'intéressé, mais il faudrait mieux connaître l'histoire passée du couple et le début de leurs problèmes ayant conduit à la séparation. la période critique septennale de l'épouse me semble importante aussi.
Etats-Unis - Mystères autour du mobile du Père Noël tueur
Mystères autour du mobile du Père Noël tueur
L'homme semblait avoir des cibles précises en tête, notamment son ex-femme, mais le suicide ne faisait apparemment pas partie de son plan.Le tueur serait sorti gravement brûlé de l'incendie qu'il a lui-même démarré, au point que son costume de père Noël était partiellement resté collé sur sa peau.
Deux jours après l'irruption d'un homme déguisé en père Noël chez son ex-belle famille dans la banlieue de Los Angeles, la police californienne tentait de comprendre ce qui a pu conduire à cette tuerie. Armé de quatre pistolets, Bruce Jeffrey Pardo, un ingénieur au chômage de 45 ans, s'est présenté mercredi soir chez les parents de son ex-femme, où 25 personnes célébraient Noël, à Covina, banlieue du nord-ouest de Los Angeles. Les survivants ont raconté qu'il semblait viser précisément son ex-femme et la famille proche de celle-ci lorsqu'il a ouvert le feu sur les convives. L'homme avait perdu son dernier emploi en octobre et que le divorce avec son ex-femme avait été prononcé le jeudi précédant Noël, à l'issue d'une procédure "quelque peu litigieuse", selon la police.
Après avoir épuisé son stock de balles, l'homme a répandu une substance combustible en partie constituée d'essence à l'aide d'un vaporisateur artisanal et celle-ci a rapidement provoqué une explosion, détruisant le pavillon. Neuf corps calcinés ont été retrouvés dans les décombres de la maison. L'ex-femme de Pardo, Sylvia Ortega et ses parents feraient partie des victimes, qu'il était impossible de reconnaître. Le substitut du procureur de Los Angeles a expliqué que des analyses médicales et dentaires seraient nécessaires pour identifier les victimes. Des autopsies seront en outre pratiquées pour déterminer si la mort a été causée par des tirs ou par l'explosion et l'incendie. Selon les autorités, Bruce Jeffrey Pardo lui-même souffrait de brûlures au troisième degré, au point que son costume de père Noël était partiellement resté collé sur sa peau. Il s'était enfui après la tuerie et a été retrouvé mort, d'une blessure par balles à la tête, dans la maison de son frère, à une soixantaine de kilomètres de Covina.
Les enquêteurs ont trouvé sur lui environ 17.000 dollars en liquide et des billets pour un vol jeudi entre Los Angeles et le Canada. "Tout indique qu'il avait l'intention de commettre ce crime puis de fuir le pays", explique le procureur. "Il semble qu'il ne s'attendait pas à être lui-même blessé au point de s'ôter la vie." Le suspect avait piégé son véhicule de location avec les restes de son costume et celui-ci a explosé lorsque les policiers ont tenté de désamorcer l'engin artisanal. Aucun d'entre eux n'a été blessé. A son domicile, les autorités ont découvert de l'essence, des étuis de pistolets vides et deux armes à feu puissantes.
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il me semble qu'il n'y a pas trop mystère autour du mobile du père noël tueur : une représaille à l'encontre de son épouse dont il s'est séparé de façon plutôt litigieuse : il faut observer le scénario depuis le début car s'il n'y avait pas eu cette séparation, ou si elle s'était mieux passée, le drame n'aurait peut-être pas eu lieu, et le début du conflit, si le divorce vient d'être prononcé... remonte probablement à la période critique septennale des 42 ans de l'intéressé, et très souvent l'arrivée de cette période critique (à voir du côté de l'épouse aussi, c'est important) permet de dessiner une courbe croissante de la tension, la période critique en étant le point de départ.
le jour critique émotionnel peut être un jour de passage à l'acte mais ici ce n'est pas sûr puisque l'opération semble avoir été préparée bien à l'avance : les passage à l'acte en jour critique émotionnel sont en général des décisions spontanées, prise le jour même ou la veille, ou des explosions sur coups de tête ou de folie.
l'un des pas les plus importants à faire serait d'examiner en amont, c'est à dire dès leur début, les conflits conjugaux entre autre à la lumière des périodes critiques septennales réciproques : on sait alors ce qui peut parfois provoquer des tensions et conflits quasi "artificiels" du fait du changement d'état d'esprit à ce moment là. on peut alors en parler, et peut-être même réparer parfois la situation puisque l'on connaît l'origine de la défaillance.
éléments complémentaires dans un article du Parisien :
"Un homme réputé tranquille
Les motivations de Pardo sont désormais connues. La maison attaquée ne serait autre que celle des parents de son ex-femme. « Il passait manifestement par une phase difficile dans son mariage », a révélé Pat Buchanan. Son épouse, Sylvia, 43 ans, l'avait quitté au printemps, déménageant avec leurs trois enfants. Une procédure de divorce avait été initiée auprès du tribunal local. Pour autant, Bruce Pardo avait plutôt une réputation d'homme tranquille dans son quartier de Montrose. « On les voyait promener le chien et Bruce tondait souvent la pelouse », affirment des voisins. « Bruce ? C'était le type toujours sympa, toujours souriant, à qui il était plaisant de parler », dit, sous le choc, Jan Detanna, membre de la même paroisse. Pardo, qui s'investissait beaucoup dans la vie paroissiale, était d'ailleurs présent à la messe de Noël, quelques heures avant de passer à l'acte."
les hommes tranquilles et gentils ne sont pas toujours ceux que l'on croit ; par ailleurs la période critique septennale est bien présente chez l'épouse et donc durant la crise de ce couple. le scénario doit être vu dès les 41 ans de l'époux - entrée en période critique - et qui peut déjà constituer un point de départ des problèmes, le second virage périlleux qui vient ensuite s'ajouter est l'entrée dans la période critique septennale aussi à 41 ans et demi de l'épouse... après que celle de son mari soit censée se terminer. mais si çà se passe mal - comme cela a été probablement le cas ici - çà ne se calme pas mais produit l'effet contraire.
édit 27/12 :
Bruce Jeffrey Pardo
Birth: Mar. 23, 1963
Death: Dec. 24, 2008
45 ans et 9 mois et RAS du point de vue de la situation biorythmique du jour : il faut dire que l'intéressé avait dans ce cas tout planifié à l'avance et son irruption déguisé en Père Noël ne pouvait se faire que le soir de Noël...
son jour critique émotionnel est samedi.
c'est un divorce qu'il a fait payer très cher à des innocents... alors que lui ne l'était pas...
le divorce a été cependant prononcé tout récemment seulement (semaine dernière) :
The couple's acrimonious divorce had been finalised last week, and under its terms Pardo had been ordered to hand over $10,000 and the family dog. Stanley Silver, lawyer for Pardo, said his client had been struggling to make the payment after he was laid off recently.
http://www.findagrave.com/cgi-bin/fg.cgi?page=gr&GRid=32414678
tout cela fait que je ne vois finalement pas vraiment de lien avec la période dernière période critique de l'intéressé, mais il faudrait mieux connaître l'histoire passée du couple et le début de leurs problèmes ayant conduit à la séparation. la période critique septennale de l'épouse me semble importante aussi.
drame familial : cherchez l'étincelle...
LeFigaro.fr :
Actualité Béthune
Un différend familial fait deux morts, hier soir, dans un coron à Marles-les-Mines
vendredi 26.12.2008, 04:46 - La Voix du Nord
Le drame s'est joué hier soir, vers 17 heures. La rue de Nice a été entièrement bouclée une fois la police sur les lieux.
Un important déploiement de forces de police et de sapeurs-pompiers a été dépêché hier soir, rue de Nice, où deux hommes ont été retrouvés morts par balle dans un logement du coron.
D'après les premières constatations, un différend d'ordre familial opposant un Camblinois de 78 ans à son beau-fils de 42 ans, habitant les lieux, serait à l'origine du drame qui s'est joué aux alentours de 17 h.
Le premier aurait alors mortellement touché le second dans le salon de l'habitation avec une arme à feu avant de la retourner contre lui dans la cuisine quelques instants plus tard.
Le SMUR de Béthune, malgré ses multiples efforts, n'a rien pu faire pour sauver les deux hommes.
La permanence du district de police de Béthune a ouvert hier une enquête pour définir les circonstances exactes de ce funeste scénario. Les premières auditions devaient d'ailleurs commencer dans la soirée au commissariat de Marles. •
A. DÉ.
===============
probable drame de la compatibilité avec un bonhomme de 78 ans (à la sortie de sa période critique se 77 ans) et un autre de 42 ans... qui s'y trouve. une discussion, un différend va bien plus facilement dégénérer en altercation : la situation en période critique peut être un mécanisme de mise à feu si on n'y prend garde... l'heure du drame est également à retenir.
Actualité Béthune
Un différend familial fait deux morts, hier soir, dans un coron à Marles-les-Mines
vendredi 26.12.2008, 04:46 - La Voix du Nord
Le drame s'est joué hier soir, vers 17 heures. La rue de Nice a été entièrement bouclée une fois la police sur les lieux.
Un important déploiement de forces de police et de sapeurs-pompiers a été dépêché hier soir, rue de Nice, où deux hommes ont été retrouvés morts par balle dans un logement du coron.
D'après les premières constatations, un différend d'ordre familial opposant un Camblinois de 78 ans à son beau-fils de 42 ans, habitant les lieux, serait à l'origine du drame qui s'est joué aux alentours de 17 h.
Le premier aurait alors mortellement touché le second dans le salon de l'habitation avec une arme à feu avant de la retourner contre lui dans la cuisine quelques instants plus tard.
Le SMUR de Béthune, malgré ses multiples efforts, n'a rien pu faire pour sauver les deux hommes.
La permanence du district de police de Béthune a ouvert hier une enquête pour définir les circonstances exactes de ce funeste scénario. Les premières auditions devaient d'ailleurs commencer dans la soirée au commissariat de Marles. •
A. DÉ.
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probable drame de la compatibilité avec un bonhomme de 78 ans (à la sortie de sa période critique se 77 ans) et un autre de 42 ans... qui s'y trouve. une discussion, un différend va bien plus facilement dégénérer en altercation : la situation en période critique peut être un mécanisme de mise à feu si on n'y prend garde... l'heure du drame est également à retenir.
vendredi 26 décembre 2008
enfant décédé
Nouvelobs :
Décès d'un enfant à l'hôpital: l'infirmière mise en examen
AP | 26.12.2008 | 20:28
L'infirmière qui a reconnu une erreur de traitement d'un petit garçon de trois ans décédé mercredi soir à l'hôpital Saint-Vincent-de-Paul à Paris a été mise en examen vendredi soir pour "homicide involontaire" par un juge d'instruction parisien et laissée en liberté sous contrôle judiciaire, a-t-on appris de source judiciaire.
Conformément aux réquisitions du parquet, son contrôle judiciaire lui interdit de se rendre à l'hôpital Saint-Vincent-de-Paul et d'entrer en contact avec les personnels, a-t-on précisé de même source. Le juge d'instruction Marie-Odile Bertella-Geoffroy du pôle de Santé publique y a ajouté une interdiction provisoire d'exercer son métier, selon la même source.
Le parquet de Paris a ouvert vendredi après-midi une information judiciaire visant nommément la jeune femme de 35 ans qui a "reconnu une erreur", apparemment dans l'administration d'un médicament, selon l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris. Selon les premiers éléments de l'enquête, le petit Ilyes, soigné pour une simple angine, est mort d'un arrêt cardiaque suite à une surdose de chlorure de magnésium, administré en perfusion à la place de vitamines.
..............
..........
====================
au sujet de ce dramatique accident j'avais écrit hier dans mon blog "biorythmes" :
"la situation biorythmique des personnes impliquées dirait peut-être quelque chose : une erreur humaine peut toujours arriver, mais elle a tendance à arriver un jour critique, physique, ou (moins souvent) émotionnel. en période critique septennale aussi."
l'âge de l'infirmière qu'il m'intéressait de connaître, a été diffusé dans l'article ci-dessus. la personne serait donc bien à 35 ans dans une période critique septennale. à présent il serait encore intéressant d'en savoir plus sur sa situation biorythmique du jour, afin de voir si elle était dans un jour critique, comme je le crains.
une situation en période critique septennale peut déjà à elle seule, suffire selon le cas à causer de gros soucis et une distraction suffisamment importante pour donner lieu à ce genre d'erreur. si par exemple la personne a des problèmes de dépression, de couple (ce sont les manifestations les plus fréquentes lors d'une période critique septennale) il peut arriver qu'elle "ait la tête ailleurs" même avec beaucoup de volonté.
Décès d'un enfant à l'hôpital: l'infirmière mise en examen
AP | 26.12.2008 | 20:28
L'infirmière qui a reconnu une erreur de traitement d'un petit garçon de trois ans décédé mercredi soir à l'hôpital Saint-Vincent-de-Paul à Paris a été mise en examen vendredi soir pour "homicide involontaire" par un juge d'instruction parisien et laissée en liberté sous contrôle judiciaire, a-t-on appris de source judiciaire.
Conformément aux réquisitions du parquet, son contrôle judiciaire lui interdit de se rendre à l'hôpital Saint-Vincent-de-Paul et d'entrer en contact avec les personnels, a-t-on précisé de même source. Le juge d'instruction Marie-Odile Bertella-Geoffroy du pôle de Santé publique y a ajouté une interdiction provisoire d'exercer son métier, selon la même source.
Le parquet de Paris a ouvert vendredi après-midi une information judiciaire visant nommément la jeune femme de 35 ans qui a "reconnu une erreur", apparemment dans l'administration d'un médicament, selon l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris. Selon les premiers éléments de l'enquête, le petit Ilyes, soigné pour une simple angine, est mort d'un arrêt cardiaque suite à une surdose de chlorure de magnésium, administré en perfusion à la place de vitamines.
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au sujet de ce dramatique accident j'avais écrit hier dans mon blog "biorythmes" :
"la situation biorythmique des personnes impliquées dirait peut-être quelque chose : une erreur humaine peut toujours arriver, mais elle a tendance à arriver un jour critique, physique, ou (moins souvent) émotionnel. en période critique septennale aussi."
l'âge de l'infirmière qu'il m'intéressait de connaître, a été diffusé dans l'article ci-dessus. la personne serait donc bien à 35 ans dans une période critique septennale. à présent il serait encore intéressant d'en savoir plus sur sa situation biorythmique du jour, afin de voir si elle était dans un jour critique, comme je le crains.
une situation en période critique septennale peut déjà à elle seule, suffire selon le cas à causer de gros soucis et une distraction suffisamment importante pour donner lieu à ce genre d'erreur. si par exemple la personne a des problèmes de dépression, de couple (ce sont les manifestations les plus fréquentes lors d'une période critique septennale) il peut arriver qu'elle "ait la tête ailleurs" même avec beaucoup de volonté.
jeudi 25 décembre 2008
suicide
LeFigaro.fr :
Le patron de Gamelin s'est suicidé
AFP
Le patron des chantiers navals Gamelin, Joël Gamelin, s'est donné la mort hier sur son lieu de travail à La Rochelle, alors que son entreprise avait été placée en redressement début décembre, a-t-on appris aujourd'hui auprès du député-maire de la ville, Maxime Bono.
"Il a craqué. Il n'a pas laissé de lettre, mais il a écrit un mot sur un tableau: +Pardonnez-moi de n'avoir pas pu sauver l'entreprise+", a indiqué M. Bono. M. Gamelin se serait donné la mort en absorbant un produit toxique dans son bureau, mardi à la mi-journée, a-t-il ajouté.
"Le 5 décembre, l'entreprise Gamelin (a été) placée en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de La Rochelle", a indiqué le journal Sud Ouest dans son édition de mercredi. "Une période d'observation de six mois devait laisser le temps à Joël Gamelin d'apurer une situation caractérisée par un passif de 2,3 millions, pour un actif de 28.600 euros", a ajouté le journal.
"La pression a été trop forte", a regretté M. Bono, pour qui aujourd'hui "la priorité est de sauver l'entreprise".
Joël Gamelin, âgé de 55 ans et père de trois enfants, selon Sud Ouest, avait fondé son entreprise en 1983. Spécialisée dans la construction et la réparation navale en aluminium et en acier, l'entreprise emploie 120 personnes, à La Rochelle et Saint-Malo (Ille-et-Vilaine).
========================
crise, mais aussi probablement période à risque dont il faudrait tenir compte : entrée dans la période critique septennale des 56 ans. (à 55 ans et demi)
jour critique émotionnel ?
Le patron de Gamelin s'est suicidé
AFP
Le patron des chantiers navals Gamelin, Joël Gamelin, s'est donné la mort hier sur son lieu de travail à La Rochelle, alors que son entreprise avait été placée en redressement début décembre, a-t-on appris aujourd'hui auprès du député-maire de la ville, Maxime Bono.
"Il a craqué. Il n'a pas laissé de lettre, mais il a écrit un mot sur un tableau: +Pardonnez-moi de n'avoir pas pu sauver l'entreprise+", a indiqué M. Bono. M. Gamelin se serait donné la mort en absorbant un produit toxique dans son bureau, mardi à la mi-journée, a-t-il ajouté.
"Le 5 décembre, l'entreprise Gamelin (a été) placée en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de La Rochelle", a indiqué le journal Sud Ouest dans son édition de mercredi. "Une période d'observation de six mois devait laisser le temps à Joël Gamelin d'apurer une situation caractérisée par un passif de 2,3 millions, pour un actif de 28.600 euros", a ajouté le journal.
"La pression a été trop forte", a regretté M. Bono, pour qui aujourd'hui "la priorité est de sauver l'entreprise".
Joël Gamelin, âgé de 55 ans et père de trois enfants, selon Sud Ouest, avait fondé son entreprise en 1983. Spécialisée dans la construction et la réparation navale en aluminium et en acier, l'entreprise emploie 120 personnes, à La Rochelle et Saint-Malo (Ille-et-Vilaine).
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crise, mais aussi probablement période à risque dont il faudrait tenir compte : entrée dans la période critique septennale des 56 ans. (à 55 ans et demi)
jour critique émotionnel ?
mortelle compatibilité
Familiendrama: Mann ersticht Ehefrau an Heiligabend
© ZEIT online, Tagesspiegel | 25.12.2008 10:27
An Heiligabend hat ein 55-Jähriger seine Ehefrau erstochen. Das Motiv für die Tat in Hessen sei noch völlig unklar, wie die Polizei mitteilte.
Ein Mann hat an Heiligabend im hessischen Kronberg im Taunus seine Ehefrau erstochen. Das Motiv für die Tat sei noch unklar, sagte ein Polizeisprecher. Der 55-Jährige lief auf die Straße, wo er ahnungslosen Passanten die Tat gestand.
Die alarmierten Polizisten fanden die 56 Jahre alte Ehefrau tot in der Wohnung vor. Der am Unterarm verletzte Mann wurde ins Krankenhaus gebracht und sollte am Donnerstag vernommen werden. Weitere Angaben machte die Polizei zunächst nicht. (jg/ddp)
============================
une compatibilité à risque pourrait à mon avis avoir joué un rôle dans ce drame conjugal ou le mari à 55 ans entre dans la période critique des 56 ans alors que son épouse y séjourne déjà... cela peut faire naître des conflits qui finissent par devenir explosifs... et peuvent avoir une issue dramatique comme ici. le mari a poignardé sa femme à mort le soir de noël...
notre agressivité peut être démultipliée en période ou en jour critique...
il serait d'ailleurs intéressant de connaître aussi le jour critique émotionnel de ces personnes, car il peut contribuer à la tension en jouant un rôle à l'intérieur de la période critique septennale.
© ZEIT online, Tagesspiegel | 25.12.2008 10:27
An Heiligabend hat ein 55-Jähriger seine Ehefrau erstochen. Das Motiv für die Tat in Hessen sei noch völlig unklar, wie die Polizei mitteilte.
Ein Mann hat an Heiligabend im hessischen Kronberg im Taunus seine Ehefrau erstochen. Das Motiv für die Tat sei noch unklar, sagte ein Polizeisprecher. Der 55-Jährige lief auf die Straße, wo er ahnungslosen Passanten die Tat gestand.
Die alarmierten Polizisten fanden die 56 Jahre alte Ehefrau tot in der Wohnung vor. Der am Unterarm verletzte Mann wurde ins Krankenhaus gebracht und sollte am Donnerstag vernommen werden. Weitere Angaben machte die Polizei zunächst nicht. (jg/ddp)
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une compatibilité à risque pourrait à mon avis avoir joué un rôle dans ce drame conjugal ou le mari à 55 ans entre dans la période critique des 56 ans alors que son épouse y séjourne déjà... cela peut faire naître des conflits qui finissent par devenir explosifs... et peuvent avoir une issue dramatique comme ici. le mari a poignardé sa femme à mort le soir de noël...
notre agressivité peut être démultipliée en période ou en jour critique...
il serait d'ailleurs intéressant de connaître aussi le jour critique émotionnel de ces personnes, car il peut contribuer à la tension en jouant un rôle à l'intérieur de la période critique septennale.
chance
france info :
Canada: une femme reprend vie après avoir passé trois jours sous la neige
OTTAWA, 25 déc 2008 (AFP) - Une famille canadienne fêtait jeudi un authentique miracle de Noël : la mère, Donna Molnar, 55 ans, venait d’être ramenée à la vie après avoir passé trois jours sous la neige.
Partie vendredi pour faire ses courses, elle a été prise dans la tempête de neige qui s’est abattue sur la région et n’a plus donné signe de vie. C’est seulement lundi qu’un secouriste volontaire parti avec un chien à sa recherche l’a retrouvée. Souffrant d’hypothermie, Donna Molnar, se rétablit de manière satisfaisante à l’hôpital de Hamilton dans l’Ontario, a annoncé la radio télévision canadienne nationale CBC. "J’ai dit aux gens que j’étais convaincu que Dieu était allé vers elle et l’avait protégée dans son berceau jusqu’à ce qu’on la retrouve", a déclaré à CBC son époux David Molnar. "Il n’y a pas d’autre explication plausible", a ajouté M. Molnar qui a passé le réveillon de Noël au chevet de son épouse. "C’est un très beau cadeau de Noël et nous devons être heureux de ce qui nous est arrivé", a-t-il poursuivi. David Molnar a indiqué que son épouse était sortie pour faire des courses au moment où une violente tempête s’est abattue sur la région et qu’il avait appelé la police lorsqu’il avait constaté qu’elle n’était pas rentrée pour dîner. Donna Molnar a été retrouvée sous soixante centimètres de neige dans la ville d’Ancaster dans l’Ontariol. elle y avait passé 72 heures. On ne sait toujours pas ce qui peut l’avoir poussée à sortir de sa voiture pour aller dans le champ où elle a été retrouvée mais le secouriste pense qu’elle a dû être désorientée par la tempête. David Molnar a indiqué que l’état de sa femme s’est amélioré et que les doses de sédatifs qui lui sont administrées sont régulièrement réduites. "Les médecins craignent toujours que certains organes aient été endommagés mais ils ont l’intention d’arrêter bientôt les sédatifs", a-t-il souligné. "Nous avons compris ce qu’était le désespoir pendant ces trois jours d’absence. Noël ne sera pas idéal mais ce sera bien mieux que ce que nous appréhendions il y a un ou deux jours", a-t-il conclu.
============
désorientée ou perturbée ? à 55 ans et demi c'est l'entrée dans une période critique...
je sais bien que je cherche des liens partout mais lorsque je vois qu'il arrive un pépin bizarre à quelqu'un qui a 55 ans, je regarde les détails de ce qui s'est passé et je retrouve souvent la phrase mystère que je cherchais du style comme ici "On ne sait toujours pas ce qui peut l’avoir poussée à sortir de sa voiture pour aller dans le champ où elle a été retrouvée"...
Canada: une femme reprend vie après avoir passé trois jours sous la neige
OTTAWA, 25 déc 2008 (AFP) - Une famille canadienne fêtait jeudi un authentique miracle de Noël : la mère, Donna Molnar, 55 ans, venait d’être ramenée à la vie après avoir passé trois jours sous la neige.
Partie vendredi pour faire ses courses, elle a été prise dans la tempête de neige qui s’est abattue sur la région et n’a plus donné signe de vie. C’est seulement lundi qu’un secouriste volontaire parti avec un chien à sa recherche l’a retrouvée. Souffrant d’hypothermie, Donna Molnar, se rétablit de manière satisfaisante à l’hôpital de Hamilton dans l’Ontario, a annoncé la radio télévision canadienne nationale CBC. "J’ai dit aux gens que j’étais convaincu que Dieu était allé vers elle et l’avait protégée dans son berceau jusqu’à ce qu’on la retrouve", a déclaré à CBC son époux David Molnar. "Il n’y a pas d’autre explication plausible", a ajouté M. Molnar qui a passé le réveillon de Noël au chevet de son épouse. "C’est un très beau cadeau de Noël et nous devons être heureux de ce qui nous est arrivé", a-t-il poursuivi. David Molnar a indiqué que son épouse était sortie pour faire des courses au moment où une violente tempête s’est abattue sur la région et qu’il avait appelé la police lorsqu’il avait constaté qu’elle n’était pas rentrée pour dîner. Donna Molnar a été retrouvée sous soixante centimètres de neige dans la ville d’Ancaster dans l’Ontariol. elle y avait passé 72 heures. On ne sait toujours pas ce qui peut l’avoir poussée à sortir de sa voiture pour aller dans le champ où elle a été retrouvée mais le secouriste pense qu’elle a dû être désorientée par la tempête. David Molnar a indiqué que l’état de sa femme s’est amélioré et que les doses de sédatifs qui lui sont administrées sont régulièrement réduites. "Les médecins craignent toujours que certains organes aient été endommagés mais ils ont l’intention d’arrêter bientôt les sédatifs", a-t-il souligné. "Nous avons compris ce qu’était le désespoir pendant ces trois jours d’absence. Noël ne sera pas idéal mais ce sera bien mieux que ce que nous appréhendions il y a un ou deux jours", a-t-il conclu.
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désorientée ou perturbée ? à 55 ans et demi c'est l'entrée dans une période critique...
je sais bien que je cherche des liens partout mais lorsque je vois qu'il arrive un pépin bizarre à quelqu'un qui a 55 ans, je regarde les détails de ce qui s'est passé et je retrouve souvent la phrase mystère que je cherchais du style comme ici "On ne sait toujours pas ce qui peut l’avoir poussée à sortir de sa voiture pour aller dans le champ où elle a été retrouvée"...
mardi 23 décembre 2008
suicide
rtl.info.be :
Il se suicide au commissariat de police de Tournai
Un habitant de Bury, âgé de 55 ans, arrêté à la suite d'une dispute avec sa concubine, s'est suicidé par pendaison au commissariat de police de Tournai. "Rien n'est à reprocher à la police", indique le parquet de la ville.
Les policiers n'ont rien pu faire pour sauver l'homme qui avait été privé de liberté dans le courant de la soirée de dimanche. C'est à l'aide d'une bande Velpeau qui supportait son bras plâtré que l'intéressé s'est pendu aux barreaux d'une fenêtre.
Très rapidement, le magistrat de garde a été alerté et l'affaire a été mise à l'instruction. Un médecin légiste et la juge d'instruction de Tournai Françoise Van Den Noortgaete sont descendus sur les lieux.
Dans le courant de la nuit, les policiers qui étaient de service ont été interrogés. "Il n'y a rien de suspect. Il n'y a aucune carence ou violence à reprocher aux policiers", a indiqué lundi soir le premier substitut du procureur du Roi de Tournai, Jean-Bernard Cambier.
Dimanche soir, alors qu'il était sous l'emprise de la boisson, l'homme a eu une violente dispute avec sa concubine. Ayant reçu des coups, la femme a appelé la police. Après s'être rebellé, le violent a été menotté et privé de liberté sur avis du parquet.
Dans le courant de la nuit, l'individu s'est jeté contre la porte de sa cellule. Une blessure au bras gauche a nécessité l'intervention d'un médecin. Le violent étant déchaîné, le médecin a préconisé son hospitalisation, ce qui a été ordonné.
A l'Institut Médico-Chirurgical (IMC) de Tournai, le bras de l'individu a été plâtré. Très énervé, voulant sortir de l'hôpital notamment pour fumer, l'irascible a finalement été conduit au commissariat de Tournai. Sur place, autorisé à fumer, le violent s'est calmé.
Placé dans la salle de garde à vue, un local plus accueillant que les cellules, l'intéressé a discuté à diverses reprises avec des inspecteurs qui rentraient de service. Dans ce local situé à proximité des services actifs, l'homme s'est pendu vers 03h30.
=================
entrée dans la période critique septennale (peut-être le cas ici si la personne est près de 55 ans et demi), et jour critique émotionnel, sont deux éléments qu'il est utile de prendre en compte : ce sont des moments qui facilitent le passage à l'acte suicidaire.
jour critique émotionnel ?
on peut s'intéresser aussi au scénario plus en amont : les mêmes éléments sont souvent en cause lors de conflits conjugaux, et en matière d'alcoolisme... ce sont des périodes où l'on a particulièrement envie de boire si on est alcoolique : c'est l'intérêt d'en tenir compte lorsqu'une personne alcoolique veut décrocher. elle risque d'avoir de sérieuses envies de rechutes son jour critique émotionnel et à l'arrivée de la période critique septennale.
Il se suicide au commissariat de police de Tournai
Un habitant de Bury, âgé de 55 ans, arrêté à la suite d'une dispute avec sa concubine, s'est suicidé par pendaison au commissariat de police de Tournai. "Rien n'est à reprocher à la police", indique le parquet de la ville.
Les policiers n'ont rien pu faire pour sauver l'homme qui avait été privé de liberté dans le courant de la soirée de dimanche. C'est à l'aide d'une bande Velpeau qui supportait son bras plâtré que l'intéressé s'est pendu aux barreaux d'une fenêtre.
Très rapidement, le magistrat de garde a été alerté et l'affaire a été mise à l'instruction. Un médecin légiste et la juge d'instruction de Tournai Françoise Van Den Noortgaete sont descendus sur les lieux.
Dans le courant de la nuit, les policiers qui étaient de service ont été interrogés. "Il n'y a rien de suspect. Il n'y a aucune carence ou violence à reprocher aux policiers", a indiqué lundi soir le premier substitut du procureur du Roi de Tournai, Jean-Bernard Cambier.
Dimanche soir, alors qu'il était sous l'emprise de la boisson, l'homme a eu une violente dispute avec sa concubine. Ayant reçu des coups, la femme a appelé la police. Après s'être rebellé, le violent a été menotté et privé de liberté sur avis du parquet.
Dans le courant de la nuit, l'individu s'est jeté contre la porte de sa cellule. Une blessure au bras gauche a nécessité l'intervention d'un médecin. Le violent étant déchaîné, le médecin a préconisé son hospitalisation, ce qui a été ordonné.
A l'Institut Médico-Chirurgical (IMC) de Tournai, le bras de l'individu a été plâtré. Très énervé, voulant sortir de l'hôpital notamment pour fumer, l'irascible a finalement été conduit au commissariat de Tournai. Sur place, autorisé à fumer, le violent s'est calmé.
Placé dans la salle de garde à vue, un local plus accueillant que les cellules, l'intéressé a discuté à diverses reprises avec des inspecteurs qui rentraient de service. Dans ce local situé à proximité des services actifs, l'homme s'est pendu vers 03h30.
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entrée dans la période critique septennale (peut-être le cas ici si la personne est près de 55 ans et demi), et jour critique émotionnel, sont deux éléments qu'il est utile de prendre en compte : ce sont des moments qui facilitent le passage à l'acte suicidaire.
jour critique émotionnel ?
on peut s'intéresser aussi au scénario plus en amont : les mêmes éléments sont souvent en cause lors de conflits conjugaux, et en matière d'alcoolisme... ce sont des périodes où l'on a particulièrement envie de boire si on est alcoolique : c'est l'intérêt d'en tenir compte lorsqu'une personne alcoolique veut décrocher. elle risque d'avoir de sérieuses envies de rechutes son jour critique émotionnel et à l'arrivée de la période critique septennale.
lundi 22 décembre 2008
pédophile
Welt online :
Sexueller Missbrauch
Triebtäter vergeht sich über 13 Jahre an 75 Kindern
(7) 22. Dezember 2008, 14:33 Uhr
Der Polizei in Mittelfranken hat einen Sexualtäter gefasst, der in den vergangenen 13 Jahren in mehreren bayerischen Städten 75 Kinder missbraucht haben soll. Der in U-Haft sitzende 40-Jährige aus Oberbayern gab 52 Missbrauchsfälle zu. Sein Exhibitionismus wurde ihm zum Verhängnis.
======================
j'avais constaté que les pédophiles démarraient souvent, sinon le plus souvent, leurs activités à l'entrée d'une période critique septennale.
ici c'est un individu qui a agressé 75 enfants ces 13 dernières années et la police a pu l'arrêter grâce au témoignage d'une fillette récemment agressée. des analyses ADN l'ont confondu pour d'autres agressions.
et ici aussi sachant que l'individu a 40 ans et sévit depuis 13 ans... un simple calcul en arrière signifie que ses premières agressions remontent à l'âge de 27 ans : or c'est le moment (27 ans et demi) de l'entrée dans la période critique septennale des 28 ans.
j'explique ce passage à l'acte par le fait que l'arrivée d'une période critique septennale va amplifier des pulsions qui sont latentes, et parallèlement elle va diminuer voire faire disparaître des inhibitions qui ont pu retenir ou "tenir en respect" l'individu jusqu'alors.
Sexueller Missbrauch
Triebtäter vergeht sich über 13 Jahre an 75 Kindern
(7) 22. Dezember 2008, 14:33 Uhr
Der Polizei in Mittelfranken hat einen Sexualtäter gefasst, der in den vergangenen 13 Jahren in mehreren bayerischen Städten 75 Kinder missbraucht haben soll. Der in U-Haft sitzende 40-Jährige aus Oberbayern gab 52 Missbrauchsfälle zu. Sein Exhibitionismus wurde ihm zum Verhängnis.
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j'avais constaté que les pédophiles démarraient souvent, sinon le plus souvent, leurs activités à l'entrée d'une période critique septennale.
ici c'est un individu qui a agressé 75 enfants ces 13 dernières années et la police a pu l'arrêter grâce au témoignage d'une fillette récemment agressée. des analyses ADN l'ont confondu pour d'autres agressions.
et ici aussi sachant que l'individu a 40 ans et sévit depuis 13 ans... un simple calcul en arrière signifie que ses premières agressions remontent à l'âge de 27 ans : or c'est le moment (27 ans et demi) de l'entrée dans la période critique septennale des 28 ans.
j'explique ce passage à l'acte par le fait que l'arrivée d'une période critique septennale va amplifier des pulsions qui sont latentes, et parallèlement elle va diminuer voire faire disparaître des inhibitions qui ont pu retenir ou "tenir en respect" l'individu jusqu'alors.
Bettencourt
LeJournalduDimanche :
Liliane Bettencourt s'explique
Interview de Liliane Bettencourt au Journal du Dimanche, le 21 décembre 2008
"Quelle mouche a piqué ma fille ? C'est d'une grande bêtise", se demande Liliane Bettencourt, 86 ans, dans une interview au Journal du Dimanche.
Sa fille Françoise Bettencourt Meyers a porté plainte pour abus de faiblesse et une enquête est en cours après qu'elle a fait don de près d'un milliard d'euros au photographe François-Marie Banier.
"Cela vient peut-être du fait que je m'entends bien avec François-Marie Banier. C'est un artiste, ça me motive", explique-t-elle, assurant n'avoir jamais été "sous la coupe" du photographe.
"Ce que j'ai donné à François-Marie Banier, bien qu'important, n'est pas très élevé en proportion", estime Liliane Bettencourt. "J'ai donné toute ma participation dans L'Oréal en nue-propriété à ma fille, elle aura tout après ma mort. Je trouve cette affaire tout à fait idiote, c'est une perte d'énergie."
"Ma fille a porté plainte juste après le décès de mon mari ! (ndlr: fin 2007) Elle m'a demandé de subir une expertise psychiatrique. J'ai accepté volontiers. J'ai été voir un grand psychiatre, qui m'a dit: 'Tout va bien'", assure Liliane Bettencourt, une des plus grosses fortunes mondiales (16 milliards d'euros selon le magazine Forbes).
Elle avait pourtant déclaré mercredi qu'elle ne ferait "aucun commentaire".
Le parquet de Nanterre devra décider s'il ouvre une information judiciaire ou s'il classe le dossier sans suite.
========================================
quand je vois que quelqu'un est "piqué par une mouche" çà me met la puce à l'oreille... :-)
quelle mouche l'a piquée ? peut-être l'entrée dans la période critique septennale des 56 ans ?
Françoise Bettencourt Meyers est née le 10 juillet 1953 : elle entre dans sa période critique des 56 ans à 55 ans et demi çàd ... en décembre 2008.
et cela rend possible de nombreux scénarios liés à la "métamorphose" qui peut s'opérer à cette occasion chez une personne... et cela peut bien entendu démarrer bien avant la date précise de l'entrée dans la période critique : parfois la "montée en pression" se fait doucement un moment avant déjà...
Liliane Bettencourt elle-même est passée par sa période critique septennale des 84 ans en 2006 : peut-être cela a-t-il pu avoir une incidence aussi ? nous pouvons tous être piqués par une mouche, dans ces moments là, puisqu'ils sont très particuliers, et d'ailleurs ils sont faits pour çà... :-)
Liliane Bettencourt s'explique
Interview de Liliane Bettencourt au Journal du Dimanche, le 21 décembre 2008
"Quelle mouche a piqué ma fille ? C'est d'une grande bêtise", se demande Liliane Bettencourt, 86 ans, dans une interview au Journal du Dimanche.
Sa fille Françoise Bettencourt Meyers a porté plainte pour abus de faiblesse et une enquête est en cours après qu'elle a fait don de près d'un milliard d'euros au photographe François-Marie Banier.
"Cela vient peut-être du fait que je m'entends bien avec François-Marie Banier. C'est un artiste, ça me motive", explique-t-elle, assurant n'avoir jamais été "sous la coupe" du photographe.
"Ce que j'ai donné à François-Marie Banier, bien qu'important, n'est pas très élevé en proportion", estime Liliane Bettencourt. "J'ai donné toute ma participation dans L'Oréal en nue-propriété à ma fille, elle aura tout après ma mort. Je trouve cette affaire tout à fait idiote, c'est une perte d'énergie."
"Ma fille a porté plainte juste après le décès de mon mari ! (ndlr: fin 2007) Elle m'a demandé de subir une expertise psychiatrique. J'ai accepté volontiers. J'ai été voir un grand psychiatre, qui m'a dit: 'Tout va bien'", assure Liliane Bettencourt, une des plus grosses fortunes mondiales (16 milliards d'euros selon le magazine Forbes).
Elle avait pourtant déclaré mercredi qu'elle ne ferait "aucun commentaire".
Le parquet de Nanterre devra décider s'il ouvre une information judiciaire ou s'il classe le dossier sans suite.
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quand je vois que quelqu'un est "piqué par une mouche" çà me met la puce à l'oreille... :-)
quelle mouche l'a piquée ? peut-être l'entrée dans la période critique septennale des 56 ans ?
Françoise Bettencourt Meyers est née le 10 juillet 1953 : elle entre dans sa période critique des 56 ans à 55 ans et demi çàd ... en décembre 2008.
et cela rend possible de nombreux scénarios liés à la "métamorphose" qui peut s'opérer à cette occasion chez une personne... et cela peut bien entendu démarrer bien avant la date précise de l'entrée dans la période critique : parfois la "montée en pression" se fait doucement un moment avant déjà...
Liliane Bettencourt elle-même est passée par sa période critique septennale des 84 ans en 2006 : peut-être cela a-t-il pu avoir une incidence aussi ? nous pouvons tous être piqués par une mouche, dans ces moments là, puisqu'ils sont très particuliers, et d'ailleurs ils sont faits pour çà... :-)
dimanche 21 décembre 2008
nicole kidman... et les autres
20minutes.fr :
Nicole Kidman fait ses adieux au cinéma... Ou pas?
La rumeur est lancée, elle n'est pas confirmée...
«Nicole Kidman retraitée», écrit le site Premiere.fr. «Nicole Kidman ne tournera plus au cinéma», surenchérit Elle.fr
La rumeur est ainsi lancée: l’actrice australienne, oscarisée pour son rôle dans «The Hours», rendrait son tablier, comme Joaquin Phoenix il y a un mois.
Pourtant, aucun site anglo-saxon ne confirme l’adieu de Kidman au cinéma. Le quotidien australien «Sydney Morning Herald» évoque seulement une mauvaise passe professionnelle après les mauvaises critiques reçues lors de la sortie de son dernier film, «Australia». Les 2h40 de long et 30 millions de dollars investis dans ce long-métrage signé Baz Luhrmann n’auraient pas suffi à en faire un mastodonte. «Elle a été très tourmentée par tout cela, confie l’un de ses amis au «Sydney Morning Herald». Cela l’a vraiment dévastée.»
La citation qui a tout déclenché
D’où vient la rumeur alors? D’une citation de l’actrice obtenue par un journaliste du journal britannique le «Telegraph», et publiée le 17 décembre 2008.
«Je dois avouer que je ne suis plus intéressée par l’idée de faire d’autres films. Je sais que je ne suis pas censée dire cela mais voilà où j’en suis aujourd’hui (...) J’ai 41 ans et suis très heureuse de vivre dans le Tennessee avec mon bébé et mon mari. J’ai toujours du sang d’artiste dans les veines qui aura besoin de s’exprimer d’une façon ou d’une autre mais je n’ai plus le désir brûlant de le faire comme avant.» L’article, publié sous le titre accrocheur «Faire d’autres films ne m’intéresse pas», aura provoqué quelques reprises.
Mais à la fin de ce même article, Nicole Kidman, qui compte parmi les actrices les mieux payées d'Hollywood, ajoute: «Je ne dis pas que je ne vais plus travailler, mais je suis sereine par rapport à ce qu’il va se passer...»
Et vous, qu'en pensez-vous? Croyez-vous à cette rumeur?
=========================
eh bien puisque 20minutes me demande ce que j'en pense...
Nicole Kidman est née le 20 juin 1967. elle entre en décembre 2008 à 41 ans et demi précisément et nous y sommes, dans sa période critique septennale des 42 ans : on peut alors avoir envie de changer, d'arrêter, de ralentir voire de faire autre chose... de réfléchir aussi, mais cela n'empêche pas de revenir par la suite car souvent il s'agit d'une simple pose qui dure le temps de la période critique septennale... mais on peut aussi déprimer...
Joaquin Phoenix qui est cité dans l'article a effectivement déclaré le 28 octobre 2008 qu'il allait se consacrer à la musique et arrêtait le cinéma : lui aussi se trouve devant une période critique septennale, celle des 35 ans : sa déclaration est un peu précoce puisqu'il l'a faite le jour de son 34 ème anniversaire... or on entre dans la période critique des 35 ans à 34 ans et demi, seulement - mais çà peut être approximatif et on "sent venir"...
ce sont des "périodes de changement d'orientation"... des périodes où l'on sent que l'on a envie de changer les choses... des périodes importantes dont il faudrait toujours tenir compte...
en m'intéressant à Joaquin Phoenix j'ai trouvé encore ceci :
Joaquin Phoenix a perdu son frère River Phoenix, qui est mort d'une overdose le 31 octobre 1993. il était né le 23 août 1970 :
c'était un jour doublement critique P7 et E15...
P7 étant un jour critique physique, jour de débrayage de l'organisme, il s'en suit que l'on peut, selon notre état, ne pas résister physiquement à une surdose médicamenteuse ou de drogue... alors que çà passe, un jour ordinaire, un jour "neutre"...
et E15 nous met dans un état de down qui fait que nous avons envie d'en finir... marre... d'où le risque d'abuser, ou carrément d'avoir des envies de suicide...
si les deux arrivent par hasard en même temps ils peuvent se compléter et çà tourne mal, ce qui est probablement le cas ici...
la 24ème année de vie est en outre une année critique importante du cycle physique sextennal : c'est la première année d'un nouveau cycle de 23 ans.
Nicole Kidman fait ses adieux au cinéma... Ou pas?
La rumeur est lancée, elle n'est pas confirmée...
«Nicole Kidman retraitée», écrit le site Premiere.fr. «Nicole Kidman ne tournera plus au cinéma», surenchérit Elle.fr
La rumeur est ainsi lancée: l’actrice australienne, oscarisée pour son rôle dans «The Hours», rendrait son tablier, comme Joaquin Phoenix il y a un mois.
Pourtant, aucun site anglo-saxon ne confirme l’adieu de Kidman au cinéma. Le quotidien australien «Sydney Morning Herald» évoque seulement une mauvaise passe professionnelle après les mauvaises critiques reçues lors de la sortie de son dernier film, «Australia». Les 2h40 de long et 30 millions de dollars investis dans ce long-métrage signé Baz Luhrmann n’auraient pas suffi à en faire un mastodonte. «Elle a été très tourmentée par tout cela, confie l’un de ses amis au «Sydney Morning Herald». Cela l’a vraiment dévastée.»
La citation qui a tout déclenché
D’où vient la rumeur alors? D’une citation de l’actrice obtenue par un journaliste du journal britannique le «Telegraph», et publiée le 17 décembre 2008.
«Je dois avouer que je ne suis plus intéressée par l’idée de faire d’autres films. Je sais que je ne suis pas censée dire cela mais voilà où j’en suis aujourd’hui (...) J’ai 41 ans et suis très heureuse de vivre dans le Tennessee avec mon bébé et mon mari. J’ai toujours du sang d’artiste dans les veines qui aura besoin de s’exprimer d’une façon ou d’une autre mais je n’ai plus le désir brûlant de le faire comme avant.» L’article, publié sous le titre accrocheur «Faire d’autres films ne m’intéresse pas», aura provoqué quelques reprises.
Mais à la fin de ce même article, Nicole Kidman, qui compte parmi les actrices les mieux payées d'Hollywood, ajoute: «Je ne dis pas que je ne vais plus travailler, mais je suis sereine par rapport à ce qu’il va se passer...»
Et vous, qu'en pensez-vous? Croyez-vous à cette rumeur?
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eh bien puisque 20minutes me demande ce que j'en pense...
Nicole Kidman est née le 20 juin 1967. elle entre en décembre 2008 à 41 ans et demi précisément et nous y sommes, dans sa période critique septennale des 42 ans : on peut alors avoir envie de changer, d'arrêter, de ralentir voire de faire autre chose... de réfléchir aussi, mais cela n'empêche pas de revenir par la suite car souvent il s'agit d'une simple pose qui dure le temps de la période critique septennale... mais on peut aussi déprimer...
Joaquin Phoenix qui est cité dans l'article a effectivement déclaré le 28 octobre 2008 qu'il allait se consacrer à la musique et arrêtait le cinéma : lui aussi se trouve devant une période critique septennale, celle des 35 ans : sa déclaration est un peu précoce puisqu'il l'a faite le jour de son 34 ème anniversaire... or on entre dans la période critique des 35 ans à 34 ans et demi, seulement - mais çà peut être approximatif et on "sent venir"...
ce sont des "périodes de changement d'orientation"... des périodes où l'on sent que l'on a envie de changer les choses... des périodes importantes dont il faudrait toujours tenir compte...
en m'intéressant à Joaquin Phoenix j'ai trouvé encore ceci :
Joaquin Phoenix a perdu son frère River Phoenix, qui est mort d'une overdose le 31 octobre 1993. il était né le 23 août 1970 :
c'était un jour doublement critique P7 et E15...
P7 étant un jour critique physique, jour de débrayage de l'organisme, il s'en suit que l'on peut, selon notre état, ne pas résister physiquement à une surdose médicamenteuse ou de drogue... alors que çà passe, un jour ordinaire, un jour "neutre"...
et E15 nous met dans un état de down qui fait que nous avons envie d'en finir... marre... d'où le risque d'abuser, ou carrément d'avoir des envies de suicide...
si les deux arrivent par hasard en même temps ils peuvent se compléter et çà tourne mal, ce qui est probablement le cas ici...
la 24ème année de vie est en outre une année critique importante du cycle physique sextennal : c'est la première année d'un nouveau cycle de 23 ans.
drame conjugal
LeFigaro :
.
Perpignan: un policier tue sa femme
AFP
Un policier en tenue du commissariat de Perpignan a tué sa femme hier soir dans leur domicile familial, avant de retourner contre lui son arme de service, a-t-on auprès samedi du procureur de la République Jean-Pierre Dreno.
Vers 18 heures dans la maison du couple située à Rivesaltes (Pyrénées-Orientales) le policier, âgé de 53 ans et en repos vendredi, a tiré par deux fois tuant sa femme âgée de 43 ans.
L'homme a été évacué à l'hôpital où il se trouve sous surveillance médicale mais son état de santé est jugé désespéré, a-t-on précisé de même source.
Le couple avait deux enfants mineurs.
====================
horrible, ce drame qui risque de laisser deux enfants sans leur parents ! mais comment peut-on en arriver là ? (vendredi soir 19/12/2008)
je tente toujours de trouver une explication au moyen de l'examen de la situation biorythmique car elle peut refléter l'état physique et émotionnel des personnes à un moment donné.
la personne de 53 ans est depuis un bout de temps sorti de sa dernière période critique qui est celle des 49 ans.
la 53ème année de vie est par contre une année critique physique : mais l'intéressé est en fait dans sa 54ème année, et cette situation semble avoir un moindre rôle émotionnellement.
par contre la mère de 43 ans pourrait avoir eu des problèmes avec sa période critique septennale des 42 ans (c'est une période doublement critique, physique et émotionnelle) et - cela arrive souvent - elle n'en est pas sortie : il faudrait alors savoir s'il y a eu problème et si ses problèmes (dépression p.ex. ou conflit dans le couple), ont démarré lorsqu'elle a eu 41 ans et demi environ... et qu'elle est entrée dans sa période critique des 42 ans.
un autre indice est l'heure du drame : 18H c'est l'heure où, d'après mon expérience, la tension est importante, puisqu'il s'agit d'après moi d'un "pic à risque", d'une période "charnière", située au moment de l'entrée dans une nouvelle journée biorythmique : il faudrait connaître pour vérifier cela, le jour critique émotionnel des deux personnes.
un jour critique émotionnel, et en particulier le moment de l'entrée dans ce jour, selon moi 18 heures environ, peut constituer un déclencheur dans un scénario dramatique.
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Perpignan: un policier tue sa femme
AFP
Un policier en tenue du commissariat de Perpignan a tué sa femme hier soir dans leur domicile familial, avant de retourner contre lui son arme de service, a-t-on auprès samedi du procureur de la République Jean-Pierre Dreno.
Vers 18 heures dans la maison du couple située à Rivesaltes (Pyrénées-Orientales) le policier, âgé de 53 ans et en repos vendredi, a tiré par deux fois tuant sa femme âgée de 43 ans.
L'homme a été évacué à l'hôpital où il se trouve sous surveillance médicale mais son état de santé est jugé désespéré, a-t-on précisé de même source.
Le couple avait deux enfants mineurs.
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horrible, ce drame qui risque de laisser deux enfants sans leur parents ! mais comment peut-on en arriver là ? (vendredi soir 19/12/2008)
je tente toujours de trouver une explication au moyen de l'examen de la situation biorythmique car elle peut refléter l'état physique et émotionnel des personnes à un moment donné.
la personne de 53 ans est depuis un bout de temps sorti de sa dernière période critique qui est celle des 49 ans.
la 53ème année de vie est par contre une année critique physique : mais l'intéressé est en fait dans sa 54ème année, et cette situation semble avoir un moindre rôle émotionnellement.
par contre la mère de 43 ans pourrait avoir eu des problèmes avec sa période critique septennale des 42 ans (c'est une période doublement critique, physique et émotionnelle) et - cela arrive souvent - elle n'en est pas sortie : il faudrait alors savoir s'il y a eu problème et si ses problèmes (dépression p.ex. ou conflit dans le couple), ont démarré lorsqu'elle a eu 41 ans et demi environ... et qu'elle est entrée dans sa période critique des 42 ans.
un autre indice est l'heure du drame : 18H c'est l'heure où, d'après mon expérience, la tension est importante, puisqu'il s'agit d'après moi d'un "pic à risque", d'une période "charnière", située au moment de l'entrée dans une nouvelle journée biorythmique : il faudrait connaître pour vérifier cela, le jour critique émotionnel des deux personnes.
un jour critique émotionnel, et en particulier le moment de l'entrée dans ce jour, selon moi 18 heures environ, peut constituer un déclencheur dans un scénario dramatique.
vendredi 19 décembre 2008
Maupassant
deux mille ans d'Histoire était tout à l'heure sur France Inter consacré à Maupassant : j'analyse toujours les données que j'entends à cette occasion...
Maupassant est né le le 5 août 1850 et décédé le 6 juillet 1893.
on lui a diagnostiqué la syphilis à 27 ans (tiens, à l'entrée dans la période critique septennale des 28 ans ?) il a prétendu par la suite qu'il n'a jamais eu la syphilis.
on l'a interné le 7 janvier 1892 après une tentative de suicide quelques jours avant, et il est resté à l'Hôpital jusqu'à son décès le 6 juillet 1893.
vu sous l'angle septennal cela donne : tentative de suicide et internement pile au moment de l'entrée dans la période critique septennale des 42 ans (on y entre à 41 ans et demi) et décès à la fin de la période critique. (un mois avant son 43ème anniversaire). mais en fait il est "parti" à l'entrée de sa période critique puisqu'il a été quasiment totalement inconscient dès son hospitalisation.
La période la plus féconde de Maupassant se situe autour de la période critique septennale ds 35 ans.
wikipédia :
"La décennie de 1880 à 1890 est la période la plus féconde de la vie de Maupassant : il publie six romans, plus de 300 nouvelles et quelques récits de voyage. Rendu célèbre par sa première nouvelle, il travaille méthodiquement et produit annuellement deux et parfois quatre volumes. Le sens des affaires joint à son talent lui a apporté la richesse."
Maupassant est né le le 5 août 1850 et décédé le 6 juillet 1893.
on lui a diagnostiqué la syphilis à 27 ans (tiens, à l'entrée dans la période critique septennale des 28 ans ?) il a prétendu par la suite qu'il n'a jamais eu la syphilis.
on l'a interné le 7 janvier 1892 après une tentative de suicide quelques jours avant, et il est resté à l'Hôpital jusqu'à son décès le 6 juillet 1893.
vu sous l'angle septennal cela donne : tentative de suicide et internement pile au moment de l'entrée dans la période critique septennale des 42 ans (on y entre à 41 ans et demi) et décès à la fin de la période critique. (un mois avant son 43ème anniversaire). mais en fait il est "parti" à l'entrée de sa période critique puisqu'il a été quasiment totalement inconscient dès son hospitalisation.
La période la plus féconde de Maupassant se situe autour de la période critique septennale ds 35 ans.
wikipédia :
"La décennie de 1880 à 1890 est la période la plus féconde de la vie de Maupassant : il publie six romans, plus de 300 nouvelles et quelques récits de voyage. Rendu célèbre par sa première nouvelle, il travaille méthodiquement et produit annuellement deux et parfois quatre volumes. Le sens des affaires joint à son talent lui a apporté la richesse."
période à risque
sur le site 3ème oeil :
Pourquoi Yannick a-t-il voulu jouer le rôle du justicier ?
France > meurtre, maltraitance
Article posté par Stéphane Bourgoin le Vendredi 19 décembre 2008
" Le tueur ne connaissait visiblement pas l'homme qu'il a abattu
Son sang n'a fait qu'un tour. Il devait réagir. Et entraver ce qu'il considérait comme insupportable : des violences conjugales exercées sur sa voisine. Quand Yannick Vallès, 28 ans, voit cette voisine sortir en pleurs de son domicile, mercredi vers 11h15, il entre dans la maison du couple, au 6 rue du Château et ordonne à son voisin de cesser cette dispute.
Le ton monte crescendo entre les deux hommes qui, selon nos informations, ne se connaissaient ni d'Eve ni d'Adam. Le mari, Thierry Novaro, 35 ans, frappe ce voisin "indiscret" qui file ensuite chez lui, à deux pas de là, se munir d'un pistolet dont il videra 5 balles dans le thorax et la tête de son voisin.
.................
......................
Un article de Romain Capdepon.
Source : LA PROVENCE (19 décembre 2008)
========================================
encore une situation où le séjour réciproque en période critique septennale conduit au drame : agressivité exacerbée, un détonateur qui est le conflit voisin où l'un des protagonistes se trouve lui aussi en période critique...
pour répondre à la question : "Pourquoi Yannick a-t-il voulu jouer le rôle du justicier ?"
ben en période critique septennale on n'hésite pas et on ne compte pas les coups... de poing ou de feu... si d'ordinaire il y a un frein face à cette situation et en présence d'une arme à feu, en période critique, chez certaines personnes, ce frein n'existe plus, un peu comme si on avait bu de l'alcool...
à voir encore : ce sont des choses qui arrivent plus facilement un jour critique émotionnel, celui-ci pouvant être un jour "explosif"...
je vois par ailleurs c'est un couple (22 ans et 35 ans) à compatibilité septennale ce qui peut expliquer aussi certains incidents conjugaux...
Pourquoi Yannick a-t-il voulu jouer le rôle du justicier ?
France > meurtre, maltraitance
Article posté par Stéphane Bourgoin le Vendredi 19 décembre 2008
" Le tueur ne connaissait visiblement pas l'homme qu'il a abattu
Son sang n'a fait qu'un tour. Il devait réagir. Et entraver ce qu'il considérait comme insupportable : des violences conjugales exercées sur sa voisine. Quand Yannick Vallès, 28 ans, voit cette voisine sortir en pleurs de son domicile, mercredi vers 11h15, il entre dans la maison du couple, au 6 rue du Château et ordonne à son voisin de cesser cette dispute.
Le ton monte crescendo entre les deux hommes qui, selon nos informations, ne se connaissaient ni d'Eve ni d'Adam. Le mari, Thierry Novaro, 35 ans, frappe ce voisin "indiscret" qui file ensuite chez lui, à deux pas de là, se munir d'un pistolet dont il videra 5 balles dans le thorax et la tête de son voisin.
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Un article de Romain Capdepon.
Source : LA PROVENCE (19 décembre 2008)
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encore une situation où le séjour réciproque en période critique septennale conduit au drame : agressivité exacerbée, un détonateur qui est le conflit voisin où l'un des protagonistes se trouve lui aussi en période critique...
pour répondre à la question : "Pourquoi Yannick a-t-il voulu jouer le rôle du justicier ?"
ben en période critique septennale on n'hésite pas et on ne compte pas les coups... de poing ou de feu... si d'ordinaire il y a un frein face à cette situation et en présence d'une arme à feu, en période critique, chez certaines personnes, ce frein n'existe plus, un peu comme si on avait bu de l'alcool...
à voir encore : ce sont des choses qui arrivent plus facilement un jour critique émotionnel, celui-ci pouvant être un jour "explosif"...
je vois par ailleurs c'est un couple (22 ans et 35 ans) à compatibilité septennale ce qui peut expliquer aussi certains incidents conjugaux...
dépression et dépression septennale
Personne n'est à l'abri d'une dépression »vendredi 19.12.2008, 04:50 - La Voix du Nord
Cécile Brassart est infirmière, spécialisée en psychiatrie. Elle écoute, rassure, les patients dans une certaine détresse. Dans son bureau, Cécile Brassart prend beaucoup de temps à discuter, comprendre, orienter des personnes admises aux urgences et victimes de problèmes psychiatriques, en pleine dépression... Rencontre avec une infirmière psychiatrique.
La semaine passée, un habitué faisait son retour aux urgences. Un patient connu pour des problèmes psychiatriques. « Il y a la phase de soins, pour les éventuelles blessures physiques », explique Vincent Pegoraro, chef des urgences, « mais derrière, il y a toute la prise en charge de cette personne avec un panel de solutions adaptées. » Le matin, une infirmière spécialisée en psychiatrie prend le relais de ces situations difficiles à traiter. « Personne n'est à l'abri. Tout le monde peut, un jour ou l'autre, se retrouver aux urgences en cas de dépression, de crise d'angoisse, de tentative de suicide. Toutes les classes sociales sont concernées. » Cécile Brassart écoute, redonne de l'assurance, oriente et accompagne ces patients avec le psychiatre présent 24 heures sur 24.
Analyse avec le recul
« Après une tentative de suicide, par exemple, nous analysons avec le patient son geste après quelques heures de recul , commente Cécile Brassart. Le psychiatre décide des suites à donner, du traitement. Il faut travailler avec la famille, anticiper des modes d'hospitalisation... Nous travaillons continuellement avec les établissements psychiatriques. Certains de nos patients sont connus, reviennent régulièrement, mais on connaît leur dossier et sont suivis. Ensuite, aux urgurgences, on a des nouveaux cas, très ponctuels. »Pathologie psychiatrique, détresse momentanée, crise passagère... aux urgences, ces patients ne sont pas laissés sans écoute. Ils sont, comme avec l'assistante sociale, accompagnés par une infirmière qui effectue un bout de route avec eux. •
LAURENT RENAULT
===============================
il serait intéressant et rapide de vérifier deux éléments que l'on retrouve souvent dans les moments de désespoir :
- le jour critique émotionnel : cycle de l'émotion de sept jours c'est ce jour critique hebdomadaire que nous craquons... et c'est toujours le même jour de la semaine qui est notre jour individuel de sensibilité. c'est le jour où nous sommes nés non pas pour une raison astrologique, mais pour une raison purement mathématique : né un mardi chaque septième jour après sera notre vie durant, le mardi. et le blues arrive alors souvent ce jour là, ce qui explique que c'est le jour des suicides et tentatives.
- la période critique septennale : les grosses et longues dépressions arrivent le plus fréquemment à l'entrée d'une période critique septennale, c'est à dire avec l'arrivée de nos années de la table de sept. pas d'astrologiue non plus ici mais le même rythme de sept années qui est en fait notre cycle psychique et émotionnel septennal. purement mathématique.
lorsqu'une personne a des problèmes ce sont les deux points que je vérifie de suite :
- la présence du jour critique émotionnel
- la présence ou la proximité d'une période critique septennale.
si c'est le cas nous avons déjà une partie de l'explication et peut-être de la solution.
Cécile Brassart est infirmière, spécialisée en psychiatrie. Elle écoute, rassure, les patients dans une certaine détresse. Dans son bureau, Cécile Brassart prend beaucoup de temps à discuter, comprendre, orienter des personnes admises aux urgences et victimes de problèmes psychiatriques, en pleine dépression... Rencontre avec une infirmière psychiatrique.
La semaine passée, un habitué faisait son retour aux urgences. Un patient connu pour des problèmes psychiatriques. « Il y a la phase de soins, pour les éventuelles blessures physiques », explique Vincent Pegoraro, chef des urgences, « mais derrière, il y a toute la prise en charge de cette personne avec un panel de solutions adaptées. » Le matin, une infirmière spécialisée en psychiatrie prend le relais de ces situations difficiles à traiter. « Personne n'est à l'abri. Tout le monde peut, un jour ou l'autre, se retrouver aux urgences en cas de dépression, de crise d'angoisse, de tentative de suicide. Toutes les classes sociales sont concernées. » Cécile Brassart écoute, redonne de l'assurance, oriente et accompagne ces patients avec le psychiatre présent 24 heures sur 24.
Analyse avec le recul
« Après une tentative de suicide, par exemple, nous analysons avec le patient son geste après quelques heures de recul , commente Cécile Brassart. Le psychiatre décide des suites à donner, du traitement. Il faut travailler avec la famille, anticiper des modes d'hospitalisation... Nous travaillons continuellement avec les établissements psychiatriques. Certains de nos patients sont connus, reviennent régulièrement, mais on connaît leur dossier et sont suivis. Ensuite, aux urgurgences, on a des nouveaux cas, très ponctuels. »Pathologie psychiatrique, détresse momentanée, crise passagère... aux urgences, ces patients ne sont pas laissés sans écoute. Ils sont, comme avec l'assistante sociale, accompagnés par une infirmière qui effectue un bout de route avec eux. •
LAURENT RENAULT
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il serait intéressant et rapide de vérifier deux éléments que l'on retrouve souvent dans les moments de désespoir :
- le jour critique émotionnel : cycle de l'émotion de sept jours c'est ce jour critique hebdomadaire que nous craquons... et c'est toujours le même jour de la semaine qui est notre jour individuel de sensibilité. c'est le jour où nous sommes nés non pas pour une raison astrologique, mais pour une raison purement mathématique : né un mardi chaque septième jour après sera notre vie durant, le mardi. et le blues arrive alors souvent ce jour là, ce qui explique que c'est le jour des suicides et tentatives.
- la période critique septennale : les grosses et longues dépressions arrivent le plus fréquemment à l'entrée d'une période critique septennale, c'est à dire avec l'arrivée de nos années de la table de sept. pas d'astrologiue non plus ici mais le même rythme de sept années qui est en fait notre cycle psychique et émotionnel septennal. purement mathématique.
lorsqu'une personne a des problèmes ce sont les deux points que je vérifie de suite :
- la présence du jour critique émotionnel
- la présence ou la proximité d'une période critique septennale.
si c'est le cas nous avons déjà une partie de l'explication et peut-être de la solution.
période septennale
France Info :
Recherché pour meurtre, un jeune homme se rend finalement à la police
18/12/2008-[18:24] - AFP
NANTERRE, 18 déc 2008 (AFP) - Un jeune homme de 21 ans, soupçonné du meurtre en août dernier d’un homme de 28 ans lors d’une violente altercation à Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine) s’est livré à la police le 10 décembre dernier et a été écroué, a-t-on appris jeudi de sources policière et judiciaire.
=====================
la période critique septennale a tendance à nettement augmenter le risque de dérapage : on a les nerfs à fleur de peau. et si çà dérape ce pourra être d'autant plus grave que la situation en période critique amplifie nos réactions.
ici c'est une personne de 21 ans qui se trouve face à autre qui a 28 ans... c'est une "compatibilité à risque".
Recherché pour meurtre, un jeune homme se rend finalement à la police
18/12/2008-[18:24] - AFP
NANTERRE, 18 déc 2008 (AFP) - Un jeune homme de 21 ans, soupçonné du meurtre en août dernier d’un homme de 28 ans lors d’une violente altercation à Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine) s’est livré à la police le 10 décembre dernier et a été écroué, a-t-on appris jeudi de sources policière et judiciaire.
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la période critique septennale a tendance à nettement augmenter le risque de dérapage : on a les nerfs à fleur de peau. et si çà dérape ce pourra être d'autant plus grave que la situation en période critique amplifie nos réactions.
ici c'est une personne de 21 ans qui se trouve face à autre qui a 28 ans... c'est une "compatibilité à risque".
jeudi 18 décembre 2008
lancer de chaussures
LeFigaro :
"Zaïdi, lanceur de chaussures entré dans la légende"
====================
tout à l'heure sur France Inter : "il préparait son coup depuis plus d'une année"...
cela répond à mon questionnement... puisque l'intéressé a 29 ans actuellement... c'était bien là aussi une idée septennale... qui a fait parler d'elle :-)
"Zaïdi, lanceur de chaussures entré dans la légende"
====================
tout à l'heure sur France Inter : "il préparait son coup depuis plus d'une année"...
cela répond à mon questionnement... puisque l'intéressé a 29 ans actuellement... c'était bien là aussi une idée septennale... qui a fait parler d'elle :-)
accident
L'Express :
La condamnation de Volvo après un accident confirmée en appel
Par Reuters,
STRASBOURG - La condamnation de Volvo à 200.000 euros d'amende pour homicides et blessures involontaires, après un accident survenu avec un véhicule de la marque, a été confirmée par la cour d'appel de Colmar.
La Cour d'appel de Colmar a confirmé la condamnation de Volvo à 200.000 euros d'amende pour homicides et blessures involontaires, après un accident lié à un défaut du système d'assistance au freinage sur un véhicule de la marque. La condamnation de la conductrice a également été confirmée. (Reuters/Charles Platiau)
Une enseignante circulant le 17 juin 1999 dans le centre de Wasselonne (Bas-Rhin) était montée sur un trottoir après avoir perdu le contrôle de sa Volvo 850 TDI break automatique et avait fauché trois enfants, tuant deux d'entre eux et blessant grièvement le troisième.
L'enquête avait conclu à un défaut sur le système d'assistance au freinage, problème connu du constructeur automobile suédois, propriété de Ford, qui n'avait cependant pas procédé au rappel systématique des véhicules.
Dans son arrêt, la cour confirme le jugement rendu le 31 janvier 2008 par le tribunal correctionnel de Saverne et impute à l'entreprise "une faute de négligence grave ayant directement concouru à la réalisation de l'accident".
Elle souligne que le problème avait fait l'objet "de notes confidentielles entre le constructeur et le réseau de concessionnaires". Ces derniers avaient reçu une note "d'une imprécision inquiétante sur le plan technique" avec consigne d'y remédier "à la première opportunité", sans en informer l'utilisateur, ajoute la cour.
Volvo Car Corporation soutenait qu'une fuite sur le système d'assistance au freinage n'avait pas pu abolir totalement les capacités de freinage et plaidait pour une vitesse excessive de la conductrice ou un mauvais réflexe qui l'aurait conduite à confondre le frein et l'accélérateur.
La cour a aussi confirmé la condamnation de la conductrice. Le tribunal de Saverne lui avait infligé six mois de prison avec sursis, un an de suspension du permis de conduire et 300 euros d'amende, en lui reprochant de n'avoir pas eu les bons réflexes quand elle avait constaté la défaillance de ses freins.
Les juges ont estimé que cette enseignante, âgée de 49 ans à l'époque des faits, avait "fait au volant un choix catastrophique et fait preuve d'une impéritie peu commune".
Ils lui reprochent de n'avoir fait usage ni du frein à main, ni du frein moteur et d'avoir dirigé sa voiture sur le trottoir pour s'arrêter plutôt que sur les véhicules en stationnement ou d'avoir tout simplement continué sa route.
La cour d'appel a condamné Volvo à la publication de l'arrêt dans deux quotidiens nationaux.
Gilbert Reilhac, édité par Gilles Trequesser
=========================
j'aurais bien aimé connaître la situation biorythmique de la conductrice car c'est en jour P (critique physique) que peut arriver - de préférence - ce type d'accident...
sinon la personne se trouvait aussi en pleine période critique septennale des 49 ans.
La condamnation de Volvo après un accident confirmée en appel
Par Reuters,
STRASBOURG - La condamnation de Volvo à 200.000 euros d'amende pour homicides et blessures involontaires, après un accident survenu avec un véhicule de la marque, a été confirmée par la cour d'appel de Colmar.
La Cour d'appel de Colmar a confirmé la condamnation de Volvo à 200.000 euros d'amende pour homicides et blessures involontaires, après un accident lié à un défaut du système d'assistance au freinage sur un véhicule de la marque. La condamnation de la conductrice a également été confirmée. (Reuters/Charles Platiau)
Une enseignante circulant le 17 juin 1999 dans le centre de Wasselonne (Bas-Rhin) était montée sur un trottoir après avoir perdu le contrôle de sa Volvo 850 TDI break automatique et avait fauché trois enfants, tuant deux d'entre eux et blessant grièvement le troisième.
L'enquête avait conclu à un défaut sur le système d'assistance au freinage, problème connu du constructeur automobile suédois, propriété de Ford, qui n'avait cependant pas procédé au rappel systématique des véhicules.
Dans son arrêt, la cour confirme le jugement rendu le 31 janvier 2008 par le tribunal correctionnel de Saverne et impute à l'entreprise "une faute de négligence grave ayant directement concouru à la réalisation de l'accident".
Elle souligne que le problème avait fait l'objet "de notes confidentielles entre le constructeur et le réseau de concessionnaires". Ces derniers avaient reçu une note "d'une imprécision inquiétante sur le plan technique" avec consigne d'y remédier "à la première opportunité", sans en informer l'utilisateur, ajoute la cour.
Volvo Car Corporation soutenait qu'une fuite sur le système d'assistance au freinage n'avait pas pu abolir totalement les capacités de freinage et plaidait pour une vitesse excessive de la conductrice ou un mauvais réflexe qui l'aurait conduite à confondre le frein et l'accélérateur.
La cour a aussi confirmé la condamnation de la conductrice. Le tribunal de Saverne lui avait infligé six mois de prison avec sursis, un an de suspension du permis de conduire et 300 euros d'amende, en lui reprochant de n'avoir pas eu les bons réflexes quand elle avait constaté la défaillance de ses freins.
Les juges ont estimé que cette enseignante, âgée de 49 ans à l'époque des faits, avait "fait au volant un choix catastrophique et fait preuve d'une impéritie peu commune".
Ils lui reprochent de n'avoir fait usage ni du frein à main, ni du frein moteur et d'avoir dirigé sa voiture sur le trottoir pour s'arrêter plutôt que sur les véhicules en stationnement ou d'avoir tout simplement continué sa route.
La cour d'appel a condamné Volvo à la publication de l'arrêt dans deux quotidiens nationaux.
Gilbert Reilhac, édité par Gilles Trequesser
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j'aurais bien aimé connaître la situation biorythmique de la conductrice car c'est en jour P (critique physique) que peut arriver - de préférence - ce type d'accident...
sinon la personne se trouvait aussi en pleine période critique septennale des 49 ans.
cadavre découpé
France Soir :
Enquête - Cadavre sans tête de la N7 : Une femme écrouée
Guilhem Battut, le jeudi 18 décembre 2008 à 04:00
C'est aux abords de la N7 près de Dordives, dans le Loiret, que le corps a été retrouvé.
Agée de 56 ans, elle a été mise en examen pour « homicide volontaire » et « dissimulation de cadavre ».
Six semaines après la découverte du corps découpé en morceaux de Robert Guyonnet, retrouvé le long de la N7 au niveau de Dordives, dans le Loiret, une femme de 56 ans a été interpellée mardi matin une centaine de kilomètres plus au nord, chez elle, à Clichy, dans les Hauts-de-Seine. A l’issue de sa garde à vue, elle a été mise en examen pour « homicide volontaire et dissimulation de cadavre » puis placée en détention provisoire à la maison d’arrêt d’Orléans. Isabelle Toulemonde, procureur de la République, rappelle qu’« elle avait déjà été placée en garde à vue au début de l’enquête, le 25 novembre dernier » lors d’une première série d’interpellations de proches et de parents de la victime. Et de préciser : « De nouvelles charges confirment son implication dans le meurtre. » Selon un enquêteur, ces nouveaux éléments seraient des traces de sang retrouvées chez la suspecte dont l’ADN correspondrait à celui de la victime. « Cela ne veut pas dire que c’est bien elle qui l’a tuée ou découpée, nuance une source proche du dossier. Mais il va falloir qu’elle s’explique sur la présence de ces fameuses traces... »
====================
suspiscion mais la présence de la période critique septennale pourrait venir conforter la thèse...
certains moments sont propices plus que d'autres à ce genre de comportement... (tout le monde n'aime pas découper les cadavres) et les périodes critiques septennales en font partie... certaines personnes peuvent entrer momentanément dans un autre monde, un autre "mode de fonctionnement"... c'est aussi cela qui me fait parfois dire "cherchez un septennal"...
Enquête - Cadavre sans tête de la N7 : Une femme écrouée
Guilhem Battut, le jeudi 18 décembre 2008 à 04:00
C'est aux abords de la N7 près de Dordives, dans le Loiret, que le corps a été retrouvé.
Agée de 56 ans, elle a été mise en examen pour « homicide volontaire » et « dissimulation de cadavre ».
Six semaines après la découverte du corps découpé en morceaux de Robert Guyonnet, retrouvé le long de la N7 au niveau de Dordives, dans le Loiret, une femme de 56 ans a été interpellée mardi matin une centaine de kilomètres plus au nord, chez elle, à Clichy, dans les Hauts-de-Seine. A l’issue de sa garde à vue, elle a été mise en examen pour « homicide volontaire et dissimulation de cadavre » puis placée en détention provisoire à la maison d’arrêt d’Orléans. Isabelle Toulemonde, procureur de la République, rappelle qu’« elle avait déjà été placée en garde à vue au début de l’enquête, le 25 novembre dernier » lors d’une première série d’interpellations de proches et de parents de la victime. Et de préciser : « De nouvelles charges confirment son implication dans le meurtre. » Selon un enquêteur, ces nouveaux éléments seraient des traces de sang retrouvées chez la suspecte dont l’ADN correspondrait à celui de la victime. « Cela ne veut pas dire que c’est bien elle qui l’a tuée ou découpée, nuance une source proche du dossier. Mais il va falloir qu’elle s’explique sur la présence de ces fameuses traces... »
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suspiscion mais la présence de la période critique septennale pourrait venir conforter la thèse...
certains moments sont propices plus que d'autres à ce genre de comportement... (tout le monde n'aime pas découper les cadavres) et les périodes critiques septennales en font partie... certaines personnes peuvent entrer momentanément dans un autre monde, un autre "mode de fonctionnement"... c'est aussi cela qui me fait parfois dire "cherchez un septennal"...
mercredi 17 décembre 2008
drame conjugal
Main Taunus Kurier :
65-Jährige bei Familiendrama in Idar-Oberstein getötet
Gegen 72-jährigen Ehemann ergeht Haftbefehl wegen Totschlags
17.12.2008
BAD KREUZNACH (dpa) Nach einem Streit hat ein 72 Jahre alter Rentner in Idar-Oberstein (Kreis Birkenfeld) seine 65-jährige Frau erwürgt. Dies habe der Mann in den ersten Vernehmungen gestanden, berichtete der Leitende Oberstaatsanwalt Klaus-Peter Mieth heute in Bad Kreuznach. Eine Bestätigung der Todesursache durch die rechtsmedizinische Untersuchung fehlte aber zunächst noch. Die Frau habe aus der gemeinsamen Wohnung ausziehen wollen, sagte Mieth. Darüber sei es offenbar zu einer Auseinandersetzung gekommen. Ein Richter erließ einen Haftbefehl wegen Totschlags gegen den Rentner.
Das Ehepaar habe sich vor einiger Zeit getrennt, lebte aber noch in der gemeinsamen Wohnung, sagte der Oberstaatsanwalt. Nach den bisherigen Ermittlungen habe die Frau am vergangenen Montag ihrem Mann mitgeteilt, dass sie am nächsten Tag ausziehen werde. Am frühen Morgen des Dienstags sei es dann zu dem tödlichen Streit gekommen.
Als die Frau nicht in ihrer neuen Wohnung aufzufinden war, alarmierten ihre Kinder am Abend die Polizei. Eine Streife fuhr zu der gemeinsamen Wohnung des Ehepaars. Über den Balkon verschafften sich die Beamten Zutritt und entdeckten dort die Tote und den 72-Jährigen.
==========================
ici c'est un homme de 72 ans qui a tué sa femme de 65 ans.
pas directement un drame de la période critique septennale, mais il faut chercher en amont pour trouver le lien probable : le bonhomme est passé par sa période critique de 70 ans, et cela s'est apparemment très mal passé puisque c'est allé jusqu'à la
séparation du couple... ce n'est pas vraiment un âge pour se séparer, mais la période critique est justement ce "déclencheur" de casse... et dans de très nombreux couples... moralité : si çà ne va plus chez vous... commencez par vérifier si l'un ou l'autre ne vient pas d'entrer dans une période critique septennale... vous avez alors déjà fait la moitié du chemin pour échapper à un mauvais scénario...
ici vient se greffer un problème supplémentaire qui est la coïncidence de deux périodes critiques septennales simultanées : une compatibilité à risque, en somme.
je pense que les débuts de l'éclatement de ce couple remontent à la période critique réciproque, celle des 70 ans du bonhomme et celle des 63 ans de l'épouse... c'est bêtement mathématique puisqu'ils ont sept ans de différence.
s'agissant d'une compatibilité à risque qui dure toute la vie il n'est pas exclu que les périodes critiques précédentes aient donné lieu à problèmes puisque les deux conjoints se retrouvaient tous les sept ans ensemble dans ce qui est toujours une sorte de période de "mise à l'épreuve"...
une information et une explication adéquates éviteraient certainement beaucoup de séparations et même des drames de ce genre.
autre point utile à savoir : ce genre d'altercations qui virent au drame sont souvent liées à un jour critique émotionnel de l'un ou l'autre, parfois des deux s'il y a compatibilité car il peut aussi y avoir compatibilité du jour critique émotionnel : il suffit pour cela d'être nés ensemble le même jour de la semaine....
65-Jährige bei Familiendrama in Idar-Oberstein getötet
Gegen 72-jährigen Ehemann ergeht Haftbefehl wegen Totschlags
17.12.2008
BAD KREUZNACH (dpa) Nach einem Streit hat ein 72 Jahre alter Rentner in Idar-Oberstein (Kreis Birkenfeld) seine 65-jährige Frau erwürgt. Dies habe der Mann in den ersten Vernehmungen gestanden, berichtete der Leitende Oberstaatsanwalt Klaus-Peter Mieth heute in Bad Kreuznach. Eine Bestätigung der Todesursache durch die rechtsmedizinische Untersuchung fehlte aber zunächst noch. Die Frau habe aus der gemeinsamen Wohnung ausziehen wollen, sagte Mieth. Darüber sei es offenbar zu einer Auseinandersetzung gekommen. Ein Richter erließ einen Haftbefehl wegen Totschlags gegen den Rentner.
Das Ehepaar habe sich vor einiger Zeit getrennt, lebte aber noch in der gemeinsamen Wohnung, sagte der Oberstaatsanwalt. Nach den bisherigen Ermittlungen habe die Frau am vergangenen Montag ihrem Mann mitgeteilt, dass sie am nächsten Tag ausziehen werde. Am frühen Morgen des Dienstags sei es dann zu dem tödlichen Streit gekommen.
Als die Frau nicht in ihrer neuen Wohnung aufzufinden war, alarmierten ihre Kinder am Abend die Polizei. Eine Streife fuhr zu der gemeinsamen Wohnung des Ehepaars. Über den Balkon verschafften sich die Beamten Zutritt und entdeckten dort die Tote und den 72-Jährigen.
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ici c'est un homme de 72 ans qui a tué sa femme de 65 ans.
pas directement un drame de la période critique septennale, mais il faut chercher en amont pour trouver le lien probable : le bonhomme est passé par sa période critique de 70 ans, et cela s'est apparemment très mal passé puisque c'est allé jusqu'à la
séparation du couple... ce n'est pas vraiment un âge pour se séparer, mais la période critique est justement ce "déclencheur" de casse... et dans de très nombreux couples... moralité : si çà ne va plus chez vous... commencez par vérifier si l'un ou l'autre ne vient pas d'entrer dans une période critique septennale... vous avez alors déjà fait la moitié du chemin pour échapper à un mauvais scénario...
ici vient se greffer un problème supplémentaire qui est la coïncidence de deux périodes critiques septennales simultanées : une compatibilité à risque, en somme.
je pense que les débuts de l'éclatement de ce couple remontent à la période critique réciproque, celle des 70 ans du bonhomme et celle des 63 ans de l'épouse... c'est bêtement mathématique puisqu'ils ont sept ans de différence.
s'agissant d'une compatibilité à risque qui dure toute la vie il n'est pas exclu que les périodes critiques précédentes aient donné lieu à problèmes puisque les deux conjoints se retrouvaient tous les sept ans ensemble dans ce qui est toujours une sorte de période de "mise à l'épreuve"...
une information et une explication adéquates éviteraient certainement beaucoup de séparations et même des drames de ce genre.
autre point utile à savoir : ce genre d'altercations qui virent au drame sont souvent liées à un jour critique émotionnel de l'un ou l'autre, parfois des deux s'il y a compatibilité car il peut aussi y avoir compatibilité du jour critique émotionnel : il suffit pour cela d'être nés ensemble le même jour de la semaine....
tuerie de Pau
SKCenter :
Tuerie de Pau : une marche pour Chantal et Lucette
Il y a quatre ans, les 2 mères de famille étaient tuées à l'hôpital psychiatrique.
.Mercredi sera célébré, par les familles, l'anniversaire de la mort atroce de Chantal Klimaszewski et Lucette Gariod, l'infirmière et l'aide-soignante sauvagement assassinées à coups de sabre, dans la nuit du 17 au 18 décembre 2004, par Romain Dupuy, à l'hôpital psychiatrique des Pyrénées à Pau. En décembre 2007, la chambre de l'instruction de la Cour d'appel de Pau a rendu à son encontre une ordonnance de non-lieu, estimant qu'il n'était pas responsable de ses actes en raison de graves troubles psychologiques. Les juges avaient suivi l'avocat général qui, au terme d'un réquisitoire de plus de trois heures, avait demandé que soit confirmée la décision prononcée une première fois, le 28 août de la même année.
=================
là aussi c'est un drame qui a eu lieu en pleine période critique septennale de l'intéressé, puisqu'il avait 21 ans. il aurait été instructif de savoir si le jour critique émotionnel y a été pour quelque chose dans le déclenchement de sa fureur, car c'est souvent le cas, le jour critique émotionnel étant un jour "détonateur" lorsque nous avons des problèmes. c'est en quelque sorte un "concentré" de ce qu'est la période critique septennale, qui, elle, s'étend sur une durée longue de plusieurs mois sinon une à deux années.
ici il faudrait que l'intéressé soit né un samedi, s'agissant aussi d'un cycle septennaire, mais de sept jours.
Tuerie de Pau : une marche pour Chantal et Lucette
Il y a quatre ans, les 2 mères de famille étaient tuées à l'hôpital psychiatrique.
.Mercredi sera célébré, par les familles, l'anniversaire de la mort atroce de Chantal Klimaszewski et Lucette Gariod, l'infirmière et l'aide-soignante sauvagement assassinées à coups de sabre, dans la nuit du 17 au 18 décembre 2004, par Romain Dupuy, à l'hôpital psychiatrique des Pyrénées à Pau. En décembre 2007, la chambre de l'instruction de la Cour d'appel de Pau a rendu à son encontre une ordonnance de non-lieu, estimant qu'il n'était pas responsable de ses actes en raison de graves troubles psychologiques. Les juges avaient suivi l'avocat général qui, au terme d'un réquisitoire de plus de trois heures, avait demandé que soit confirmée la décision prononcée une première fois, le 28 août de la même année.
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là aussi c'est un drame qui a eu lieu en pleine période critique septennale de l'intéressé, puisqu'il avait 21 ans. il aurait été instructif de savoir si le jour critique émotionnel y a été pour quelque chose dans le déclenchement de sa fureur, car c'est souvent le cas, le jour critique émotionnel étant un jour "détonateur" lorsque nous avons des problèmes. c'est en quelque sorte un "concentré" de ce qu'est la période critique septennale, qui, elle, s'étend sur une durée longue de plusieurs mois sinon une à deux années.
ici il faudrait que l'intéressé soit né un samedi, s'agissant aussi d'un cycle septennaire, mais de sept jours.
mardi 16 décembre 2008
drame passionnel
LeBienPublic :
mardi 16 décembre 2008
le mari d'une des victimes en garde à vue
Le Creusot : double meurtre sur fond de passion
La population du Creusot est sous le choc après le double homicide de dimanche soir. Les policiers ont interpellé hier matin l'auteur présumé des faits alors qu'il allait se présenter sur son lieu de travail à Vitry-en-Charollais. La thèse passionnelle serait privilégiée.
C'est un des faits divers les plus dramatiques de l'histoire du Creusot. Le double meurtre survenu dimanche soir qui a coûté la vie à Nathalie Dubois, 36 ans, et à Jean-François Gonnard, 37 ans, a laissé la population sous le choc.
Après une enquête des policiers du Creusot, l'auteur présumé des faits, Fabrice Dubois, 42 ans, a été interpellé alors qu'il s'apprêtait à reprendre son travail chez Eternit, lundi matin à Vitry-en-Charollais. Comme si de rien n'était. Ou presque... Il s'agit en fait du mari de Nathalie Dubois, le couple étant séparé depuis quelques mois selon les éléments recueillis sur place.
............
http://www.bienpublic.com/actu/faitsdiv/20081216.BPA8046.html
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c'est un drame passionnel mais aussi un drame de la période critique septennale...
mardi 16 décembre 2008
le mari d'une des victimes en garde à vue
Le Creusot : double meurtre sur fond de passion
La population du Creusot est sous le choc après le double homicide de dimanche soir. Les policiers ont interpellé hier matin l'auteur présumé des faits alors qu'il allait se présenter sur son lieu de travail à Vitry-en-Charollais. La thèse passionnelle serait privilégiée.
C'est un des faits divers les plus dramatiques de l'histoire du Creusot. Le double meurtre survenu dimanche soir qui a coûté la vie à Nathalie Dubois, 36 ans, et à Jean-François Gonnard, 37 ans, a laissé la population sous le choc.
Après une enquête des policiers du Creusot, l'auteur présumé des faits, Fabrice Dubois, 42 ans, a été interpellé alors qu'il s'apprêtait à reprendre son travail chez Eternit, lundi matin à Vitry-en-Charollais. Comme si de rien n'était. Ou presque... Il s'agit en fait du mari de Nathalie Dubois, le couple étant séparé depuis quelques mois selon les éléments recueillis sur place.
............
http://www.bienpublic.com/actu/faitsdiv/20081216.BPA8046.html
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c'est un drame passionnel mais aussi un drame de la période critique septennale...
drame familial
LePost :
Sa femme et ses 2 filles se suicident: pour le père, c'est la faute aux psys
accident de train suicide collectif de Solliès-Pont
le 15/12/2008,
Celui qui a perdu ses filles et sa femme, qui se sont successivement suicidées dans le Var, pointe du doigt les médecins qui les ont prises en charge.
Michel est formel. Les responsables sont les psys.
Ce varois de 58 ans, patron d'une société d'enretien de piscine à Sollies-Pont, a perdu sa femme et sa plus jeune fille la semaine dernière.
Elles se sont jetées sous un TGV, à 300 m du domicile familial, à l'endroit même où sa fille aînée s'était elle aussi suicidée 4 mois plus tôt...
"Mon client a bien déposé une plainte contre la municipalité et l'hôpital" révèle au Post Maître Collard, l'avocat de Michel, ce lundi.
Michel Previdi s'exprime dans le JDD: "Les psychiatres nous ont détruits. (...) Ma femme et mes filles ont subi des traumatismes dont elles ne se sont pas remises."
Selon lui, l'origine du drame familial date de la dépression de son aînée, une commerçante locale: "Elle déprimait, comme beaucoup de jeunes, mais elle a malheureusement été prise en main par une psychiatre qui l'a gavée de psychotropes. (...) Son cerveau a ensuite pété les plombs."
C'est le maire de Sollies-Pont André Garron qui avait, en accord avec le préfet, avait pris "la lourde décision" de placer la famille en hôpital psychiatrique après les obsèques de l'aînée. Il avait eu vent de la volonté du père, de la mère et de la fille de se suicider ensemble, et affirme que 4 urnes funéraires avaient été commandées....
Mais Michel, qui nie toute volonté de suicide collectif, y a vu une "une opération commando à la sortie du crématorium" comme il le dit au JDD.
A la fin des obsèques de son aînée, une dizaine de gendarmes avaient fermement invité la famille à monter dans des ambulances, direction l'hôpital psychiatrique de Pierrefeu.
Pour Michel, c'était trop: "Nous aurions aimé pleurer ensemble notre fille disparue, mais nous avons été séparés pendant douze jours. (...) Nous avons été robotisés avec des médicaments et nous n'avons eu droit à aucune thérapie."
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les psychotropes peuvent effectivement être destructeurs... mais la dépression aussi. cet article répond à la question que je m'étais posée dans un message précédent : le père, qui réagit, et n'a pas suivi sa famille comme il en était question un moment, n'est pas en période critique septennale, comme l'étaient son épouse et ses deux filles, ce qui les a, entre autre, conduites au suicide.
sous réserve de vérification de l'âge car j'en ai trouvé plusieurs, les trois personnes ont sombré dans une dépression septennale dont on sait qu'elles peuvent mener parfois au suicide. ces dépressions ne sont pas des dépressions ordinaires car elles peuvent être particulièrement intenses donc graves. on peut y sombrer aux alentours de 28 ans, 56 ans et 21 ans, dans le présent cas. le père n'est pas dans ce cas, à 58 ans : il a passé sa dernière période critique à 56 ans et devra se méfier de celle à venir à 63 ans, si jamais ce drame familial se rappelle à lui. cela ne manquera probablement pas d'arriver.
Sa femme et ses 2 filles se suicident: pour le père, c'est la faute aux psys
accident de train suicide collectif de Solliès-Pont
le 15/12/2008,
Celui qui a perdu ses filles et sa femme, qui se sont successivement suicidées dans le Var, pointe du doigt les médecins qui les ont prises en charge.
Michel est formel. Les responsables sont les psys.
Ce varois de 58 ans, patron d'une société d'enretien de piscine à Sollies-Pont, a perdu sa femme et sa plus jeune fille la semaine dernière.
Elles se sont jetées sous un TGV, à 300 m du domicile familial, à l'endroit même où sa fille aînée s'était elle aussi suicidée 4 mois plus tôt...
"Mon client a bien déposé une plainte contre la municipalité et l'hôpital" révèle au Post Maître Collard, l'avocat de Michel, ce lundi.
Michel Previdi s'exprime dans le JDD: "Les psychiatres nous ont détruits. (...) Ma femme et mes filles ont subi des traumatismes dont elles ne se sont pas remises."
Selon lui, l'origine du drame familial date de la dépression de son aînée, une commerçante locale: "Elle déprimait, comme beaucoup de jeunes, mais elle a malheureusement été prise en main par une psychiatre qui l'a gavée de psychotropes. (...) Son cerveau a ensuite pété les plombs."
C'est le maire de Sollies-Pont André Garron qui avait, en accord avec le préfet, avait pris "la lourde décision" de placer la famille en hôpital psychiatrique après les obsèques de l'aînée. Il avait eu vent de la volonté du père, de la mère et de la fille de se suicider ensemble, et affirme que 4 urnes funéraires avaient été commandées....
Mais Michel, qui nie toute volonté de suicide collectif, y a vu une "une opération commando à la sortie du crématorium" comme il le dit au JDD.
A la fin des obsèques de son aînée, une dizaine de gendarmes avaient fermement invité la famille à monter dans des ambulances, direction l'hôpital psychiatrique de Pierrefeu.
Pour Michel, c'était trop: "Nous aurions aimé pleurer ensemble notre fille disparue, mais nous avons été séparés pendant douze jours. (...) Nous avons été robotisés avec des médicaments et nous n'avons eu droit à aucune thérapie."
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les psychotropes peuvent effectivement être destructeurs... mais la dépression aussi. cet article répond à la question que je m'étais posée dans un message précédent : le père, qui réagit, et n'a pas suivi sa famille comme il en était question un moment, n'est pas en période critique septennale, comme l'étaient son épouse et ses deux filles, ce qui les a, entre autre, conduites au suicide.
sous réserve de vérification de l'âge car j'en ai trouvé plusieurs, les trois personnes ont sombré dans une dépression septennale dont on sait qu'elles peuvent mener parfois au suicide. ces dépressions ne sont pas des dépressions ordinaires car elles peuvent être particulièrement intenses donc graves. on peut y sombrer aux alentours de 28 ans, 56 ans et 21 ans, dans le présent cas. le père n'est pas dans ce cas, à 58 ans : il a passé sa dernière période critique à 56 ans et devra se méfier de celle à venir à 63 ans, si jamais ce drame familial se rappelle à lui. cela ne manquera probablement pas d'arriver.
lundi 15 décembre 2008
drame
Faits-Divers
Elle tue son amie et tente de se suicider
CLICANOO.COM | Publié le 14 décembre 2008
L’ENTRE-DEUX ET LA POSSESSION. Marie Dillaud, une mère de famille de 42 ans, a poignardé à mort son amie Anne Fontaine, hier matin à son domicile de La Possession. Puis, elle s’est rendue au pont de l’Entre-Deux pour tenter de mettre fin à ses jours. Les gendarmes l’ont sauvée avant de retrouver le corps sans vie de la victime, dans la baignoire de son appartement. L’auteur est en garde à vue.
http://www.clicanoo.com/index.php?page=article&id_article=197963
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çà se passe quand même trop souvent en période critique septennale...
Elle tue son amie et tente de se suicider
CLICANOO.COM | Publié le 14 décembre 2008
L’ENTRE-DEUX ET LA POSSESSION. Marie Dillaud, une mère de famille de 42 ans, a poignardé à mort son amie Anne Fontaine, hier matin à son domicile de La Possession. Puis, elle s’est rendue au pont de l’Entre-Deux pour tenter de mettre fin à ses jours. Les gendarmes l’ont sauvée avant de retrouver le corps sans vie de la victime, dans la baignoire de son appartement. L’auteur est en garde à vue.
http://www.clicanoo.com/index.php?page=article&id_article=197963
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çà se passe quand même trop souvent en période critique septennale...
drame familial
site 3ème oeil :
Procès en appel d'une mère acquittée pour le meurtre de sa fille handicapée
" Lydie Debaine qui a reconnu avoir tué en 2005 sa fille unique de 27 ans, handicapée motrice cérébrale et qui avait été acquittée par la cour d'assises du Val d'Oise en avril 2008, sera rejugée lundi et mardi par la cour d'appel de Versailles.
Agée de 62 ans au moment des faits, Lydie Debaine avait été acquittée alors que l'avocat général avait requis une "peine de principe" de trois ans de prison avec sursis. Le procureur général de Versailles avait fait appel du verdict.
Les acquittements dans ce type d'affaire sont très rares. En 1994, la cour d'assises du Finistère avait acquitté un père qui avait poignardé son fils handicapé mental.
"Ce verdict d'acquittement pourrait en effet être compris comme un encouragement à l'atteinte volontaire à la vie des handicapés", avait déclaré Jean-Amédée Lathoud, procureur général de Versailles dans un communiqué pour expliquer les motivations de son appel dans l'affaire Debaine.
"Il m'apparaît que l'acte de Mme Debaine, s'il justifie une réelle compassion, ne peut être accepté en l'état du droit français, de nos valeurs éthiques et des principes qui fondent la vie en société", précisait le procureur général.
"L'épreuve continue dans la douleur pour ma cliente", avait réagi l'avocate de Mme Debaine, Caty Richard. "L'acquittement ne devait pas être interprété comme un permis de tuer mais comme une reconnaissance d'un acte juste", avait-elle ajouté.
Lydie Debaine est accusée d'avoir donné plusieurs cachets d'anxiolitiques à sa fille avant de la plonger dans une baignoire pour la noyer, le 14 mai 2005 à Groslay (Val d'Oise).
Née prématurée avec une grave infirmité cérébrale, Anne-Marie était invalide à 90%. Elle avait été placée de 6 à 22 ans dans des centres spécialisés avant de revenir chez elle en 2001, faute de place dans une structure adaptée.
A 27 ans, Anne-Marie avait l'âge mental d'un enfant de 5 ans. Elle souffrait depuis plusieurs années de crises d'épilepsie, de violents maux de tête et de vomissements.
A la veille de son procès en appel, Mme Debaine "se sent plus mal que lors du premier procès", selon son avocate. "Cette seconde épreuve ne lui semble pas insurmontable mais presque. C'est douloureux, sa fille lui manque terriblement mais elle ne regrette pas d'avoir abrégé ses souffrances", a expliqué à l'AFP Me Richard qui plaidera de nouveau l'acquittement."
Source : AFP (15 décembre 2008)
=====================
plus de détails sur l'âge précis des personnes seraient bienvenus car je retrouve ici aussi les moments clés que sont l'entrée dans la période critique septennale de la fille (27 ans et demi ?) c'est une période où une situation de santé peut s'aggraver subitement et où "çà ne va plus" (voir "elle s'appelait Sabine")... peut être aussi un jour critique émotionnel...
si l'on rajoute à cela la même situation pour la mère : on entre dans la période critique des 63 ans à 62 ans et demi et c'est alors une période qui peut être difficile au point que l'on craque ou n'arrive plus à assumer.
ici la situation est accentuée par le fait de la compatibilité des deux personnes : c'est souvent le cas lorsqu'il y a des enfants septennaux... et les enfants sont souvent septennaux parce qu'on a tendance à les concevoir lorsqu'on se trouve en période critique septennale...
Procès en appel d'une mère acquittée pour le meurtre de sa fille handicapée
" Lydie Debaine qui a reconnu avoir tué en 2005 sa fille unique de 27 ans, handicapée motrice cérébrale et qui avait été acquittée par la cour d'assises du Val d'Oise en avril 2008, sera rejugée lundi et mardi par la cour d'appel de Versailles.
Agée de 62 ans au moment des faits, Lydie Debaine avait été acquittée alors que l'avocat général avait requis une "peine de principe" de trois ans de prison avec sursis. Le procureur général de Versailles avait fait appel du verdict.
Les acquittements dans ce type d'affaire sont très rares. En 1994, la cour d'assises du Finistère avait acquitté un père qui avait poignardé son fils handicapé mental.
"Ce verdict d'acquittement pourrait en effet être compris comme un encouragement à l'atteinte volontaire à la vie des handicapés", avait déclaré Jean-Amédée Lathoud, procureur général de Versailles dans un communiqué pour expliquer les motivations de son appel dans l'affaire Debaine.
"Il m'apparaît que l'acte de Mme Debaine, s'il justifie une réelle compassion, ne peut être accepté en l'état du droit français, de nos valeurs éthiques et des principes qui fondent la vie en société", précisait le procureur général.
"L'épreuve continue dans la douleur pour ma cliente", avait réagi l'avocate de Mme Debaine, Caty Richard. "L'acquittement ne devait pas être interprété comme un permis de tuer mais comme une reconnaissance d'un acte juste", avait-elle ajouté.
Lydie Debaine est accusée d'avoir donné plusieurs cachets d'anxiolitiques à sa fille avant de la plonger dans une baignoire pour la noyer, le 14 mai 2005 à Groslay (Val d'Oise).
Née prématurée avec une grave infirmité cérébrale, Anne-Marie était invalide à 90%. Elle avait été placée de 6 à 22 ans dans des centres spécialisés avant de revenir chez elle en 2001, faute de place dans une structure adaptée.
A 27 ans, Anne-Marie avait l'âge mental d'un enfant de 5 ans. Elle souffrait depuis plusieurs années de crises d'épilepsie, de violents maux de tête et de vomissements.
A la veille de son procès en appel, Mme Debaine "se sent plus mal que lors du premier procès", selon son avocate. "Cette seconde épreuve ne lui semble pas insurmontable mais presque. C'est douloureux, sa fille lui manque terriblement mais elle ne regrette pas d'avoir abrégé ses souffrances", a expliqué à l'AFP Me Richard qui plaidera de nouveau l'acquittement."
Source : AFP (15 décembre 2008)
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plus de détails sur l'âge précis des personnes seraient bienvenus car je retrouve ici aussi les moments clés que sont l'entrée dans la période critique septennale de la fille (27 ans et demi ?) c'est une période où une situation de santé peut s'aggraver subitement et où "çà ne va plus" (voir "elle s'appelait Sabine")... peut être aussi un jour critique émotionnel...
si l'on rajoute à cela la même situation pour la mère : on entre dans la période critique des 63 ans à 62 ans et demi et c'est alors une période qui peut être difficile au point que l'on craque ou n'arrive plus à assumer.
ici la situation est accentuée par le fait de la compatibilité des deux personnes : c'est souvent le cas lorsqu'il y a des enfants septennaux... et les enfants sont souvent septennaux parce qu'on a tendance à les concevoir lorsqu'on se trouve en période critique septennale...
folie septennale
SKCenter :
Osman Calli condamné à perpétuité, un exemple extrême de jalousie maladive
La cour d'assises de Gand a condamné mercredi Osman Calli, 39 ans, à la perpétuité. L'accusé a été reconnu coupable de quatre assassinats, deux tentatives d'assassinat, un incendie criminel, un car-jacking et une prise d'otage.
la suite là : http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=3764&hl=
=====================
ben c'était fin 2004 : à 35 ans donc en pleine période critique... c'est essentiellement là que çà arrive, ce genre de coup de folie...
Osman Calli condamné à perpétuité, un exemple extrême de jalousie maladive
La cour d'assises de Gand a condamné mercredi Osman Calli, 39 ans, à la perpétuité. L'accusé a été reconnu coupable de quatre assassinats, deux tentatives d'assassinat, un incendie criminel, un car-jacking et une prise d'otage.
la suite là : http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=3764&hl=
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ben c'était fin 2004 : à 35 ans donc en pleine période critique... c'est essentiellement là que çà arrive, ce genre de coup de folie...
dimanche 14 décembre 2008
George W. Bush
exprimeo.fr :
GW Bush vers la dépression
Le Président Américain semble atteint d'une tristesse permanente qui suscite de nombreux commentaires à Washington sur son actuel état d'esprit au moment où il quitte la Maison Blanche.
La rupture de rythme est toujours difficile à accepter.
Lors de son dernier entretien télévisé, GW Bush multipliait déjà les commentaires tristes sur son bilan et sur son impréparation à la guerre sous l'oeil attendri de son épouse.
Une nouvelle étape vient d'être franchie lors d'un discours à l'Université du Texas où le Président doit multiplier les contorsions physiques pour bloquer manifestement des sanglots.
http://www.exprimeo.fr/article/4148/gw-bush-vers-la-depression.htm
==================================
je leur crois sur parole... attention George...
né le 6 juillet 1946, l'entrée dans la période critique septennale des 63 ans a lieu à 62 ans et demi... (et c'est un pic très sérieux en matière de risque de dépression) c'est à dire devinez quand ? janvier 2009...
si dépression il y a, il est possible qu'on la mette sur le compte d'une fin de règne, mais c'est plutôt la fin de règne qui arrive en quelque sorte au mauvais moment, l'intéressé se trouvant, en raison de son âge, face à cette période charnière qu'est le début d'une période critique septennale... très précisément six mois avant un anniversaire septennal...
la rupture peut, par contre, accentuer le phénomène et contribuer à activer une dépression...
GW Bush vers la dépression
Le Président Américain semble atteint d'une tristesse permanente qui suscite de nombreux commentaires à Washington sur son actuel état d'esprit au moment où il quitte la Maison Blanche.
La rupture de rythme est toujours difficile à accepter.
Lors de son dernier entretien télévisé, GW Bush multipliait déjà les commentaires tristes sur son bilan et sur son impréparation à la guerre sous l'oeil attendri de son épouse.
Une nouvelle étape vient d'être franchie lors d'un discours à l'Université du Texas où le Président doit multiplier les contorsions physiques pour bloquer manifestement des sanglots.
http://www.exprimeo.fr/article/4148/gw-bush-vers-la-depression.htm
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je leur crois sur parole... attention George...
né le 6 juillet 1946, l'entrée dans la période critique septennale des 63 ans a lieu à 62 ans et demi... (et c'est un pic très sérieux en matière de risque de dépression) c'est à dire devinez quand ? janvier 2009...
si dépression il y a, il est possible qu'on la mette sur le compte d'une fin de règne, mais c'est plutôt la fin de règne qui arrive en quelque sorte au mauvais moment, l'intéressé se trouvant, en raison de son âge, face à cette période charnière qu'est le début d'une période critique septennale... très précisément six mois avant un anniversaire septennal...
la rupture peut, par contre, accentuer le phénomène et contribuer à activer une dépression...
nous sommes des horloges
lorsque nous venons au monde, ce sont plusieurs horloges qui démarrent à notre naissance, et qui vont nous accompagner, imperturbables et indéréglables, jusqu'à la fin de notre vie. voici les plus importantes, que tout un chacun peut facilement apprendre à observer avec un peu d'attention :
- une horloge de notre état physique qui va induire chaque sixième jour de notre vie un jour de ralenti ou débrayage : ce jour sera une sorte de jour de repos de notre énergie, mais aussi à cette occasion un jour de révision, de contrôle technique, si l'on veut. c'est pour cela que ce jour là nous serons moins en forme, plus fatigué. c'est aussi pour cela que c'est un jour des accidents.
c'est notre "jour critique physique" et on peut le vérifier ici :
http://biorythm.online.fr/w/
ce sont les jours P1 - P6 et/ou P7 - P12 - P18 et/ou P19.
- une horloge de notre état psychique, de notre moral, qui va induire chaque septième jour un jour de remise en cause et de réflexion. cela peut se traduire alors par un jour de mélancolie ou de blues mais aussi de colère...
ce sont les jours E1 - E8 - E15 et E22, nos "jours critiques émotionnels".
- une horloge de notre état psychique qui va induire chaque septième année une longue période (pouvant durer de plusieurs mois jusqu'à un an et demi) de réflexion et de remise en cause : cela peut parfois occasionner de graves dépressions surgissant à l'arrivée de nos anniversaires septennaux. (en fait nos années de la table de sept). et ce sont là nos "périodes critiques septennales".
- une horloge de notre état physique qui va induire chaque sixième jour de notre vie un jour de ralenti ou débrayage : ce jour sera une sorte de jour de repos de notre énergie, mais aussi à cette occasion un jour de révision, de contrôle technique, si l'on veut. c'est pour cela que ce jour là nous serons moins en forme, plus fatigué. c'est aussi pour cela que c'est un jour des accidents.
c'est notre "jour critique physique" et on peut le vérifier ici :
http://biorythm.online.fr/w/
ce sont les jours P1 - P6 et/ou P7 - P12 - P18 et/ou P19.
- une horloge de notre état psychique, de notre moral, qui va induire chaque septième jour un jour de remise en cause et de réflexion. cela peut se traduire alors par un jour de mélancolie ou de blues mais aussi de colère...
ce sont les jours E1 - E8 - E15 et E22, nos "jours critiques émotionnels".
- une horloge de notre état psychique qui va induire chaque septième année une longue période (pouvant durer de plusieurs mois jusqu'à un an et demi) de réflexion et de remise en cause : cela peut parfois occasionner de graves dépressions surgissant à l'arrivée de nos anniversaires septennaux. (en fait nos années de la table de sept). et ce sont là nos "périodes critiques septennales".
samedi 13 décembre 2008
actif septennal c'est récidive septennale
Au 3ème oeil :
Déjà condamné pour meurtre, il écope de 20 ans de réclusion pour avoir tenté de tuer son fils
" La cour d'assise du Doubs a condamné aujourd'hui vendredi à 20 ans de réclusion criminelle un homme de 58 ans pour avoir tenté de tuer son fils, après avoir déjà purgé des peines de prison pour le meurtre de sa femme en 1984 et une tentative de meurtre sur une compagne en 1999.
La Cour a en partie suivi les réquisitions du Parquet, qui avait en outre demandé une peine incompressible des deux-tiers.
Le 7 mai 2007 à Besançon, au terme d'une partie de cartes très arrosée, Alain Coeudevez, énervé par «l'incorrection» de son fils qui s'était assoupi sur le canapé, lui portait plusieurs coups de couteau à la gorge et dans la poitrine, avant d'avertir les voisins.
Agé de 30 ans, le fils avait survécu, avec de lourdes séquelles.
«On a affaire à une personnalité limite, qui vit ses passages à l'acte comme une fatalité. Difficilement curable, sans espoir de réinsertion, il est surtout très dangereux», avait souligné l'avocat générale, Thérèse Brunisso.
Jérôme Pichoff, avocat de la défense, a souligné «la franchise et les aveux spontanés» de son client, ainsi que son attitude ce soir là: «sans son appel immédiat aux voisins, des étudiants en médecine, personne n'aurait pu sauver la victime».
L'accusé, qui a reconnu les faits, avait d'abord purgé une peine d'emprisonnement de 6 ans pour avoir mortellement poignardé sa femme de sept coups de couteau en 1984.
Il avait ensuite été condamné à 11 ans de réclusion criminelle par les assises du Jura pour tentative de meurtre sur sa nouvelle épouse, qu'il avait tenté d'étrangler et de poignarder.
En libération conditionnelle depuis 2005, le quinquagénaire s'était installé à Besançon, où il voyait régulièrement son fils."
Source : LE PAYS.FR (12 décembre 2008)
===================
ici aussi, c'est on ne peut plus clair :
- âgé de 58 ans çà nous fait une naissance en 1950.
- 1984 meurtre de sa femme : c'est la période critique septennale des 35 ans (le moment de l'entrée dans cette période, c'est 34 ans et demi : c'est ce moment qui est le plus délicat car pic de pulsions/désinhibitions)
- 1999 tentative de meurtre sur une compagne : c'est la période critique septennale des 49 ans.
- 7 mai 2007 : agression sur son fils et c'est alors la période critique septennale des 56 ans qui est en cause.
il s'agit donc de personnes qu'il faut tenir à l'oeil lors de leur passage dans les périodes critiques septennales, où ils ont tendance à récidiver.
on peut encore vérifier s'il n'y a pas récidive le jour critique émotionnel, ce qui est souvent le cas.
le 7 mai 2007 est un lundi. l'intéressé est-il né un lundi ou plutôt un mardi si c'est arrivé lundi après-midi ou le soir ?
quel jour de la semaine les précédentes agressions ? le même jour ?
Déjà condamné pour meurtre, il écope de 20 ans de réclusion pour avoir tenté de tuer son fils
" La cour d'assise du Doubs a condamné aujourd'hui vendredi à 20 ans de réclusion criminelle un homme de 58 ans pour avoir tenté de tuer son fils, après avoir déjà purgé des peines de prison pour le meurtre de sa femme en 1984 et une tentative de meurtre sur une compagne en 1999.
La Cour a en partie suivi les réquisitions du Parquet, qui avait en outre demandé une peine incompressible des deux-tiers.
Le 7 mai 2007 à Besançon, au terme d'une partie de cartes très arrosée, Alain Coeudevez, énervé par «l'incorrection» de son fils qui s'était assoupi sur le canapé, lui portait plusieurs coups de couteau à la gorge et dans la poitrine, avant d'avertir les voisins.
Agé de 30 ans, le fils avait survécu, avec de lourdes séquelles.
«On a affaire à une personnalité limite, qui vit ses passages à l'acte comme une fatalité. Difficilement curable, sans espoir de réinsertion, il est surtout très dangereux», avait souligné l'avocat générale, Thérèse Brunisso.
Jérôme Pichoff, avocat de la défense, a souligné «la franchise et les aveux spontanés» de son client, ainsi que son attitude ce soir là: «sans son appel immédiat aux voisins, des étudiants en médecine, personne n'aurait pu sauver la victime».
L'accusé, qui a reconnu les faits, avait d'abord purgé une peine d'emprisonnement de 6 ans pour avoir mortellement poignardé sa femme de sept coups de couteau en 1984.
Il avait ensuite été condamné à 11 ans de réclusion criminelle par les assises du Jura pour tentative de meurtre sur sa nouvelle épouse, qu'il avait tenté d'étrangler et de poignarder.
En libération conditionnelle depuis 2005, le quinquagénaire s'était installé à Besançon, où il voyait régulièrement son fils."
Source : LE PAYS.FR (12 décembre 2008)
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ici aussi, c'est on ne peut plus clair :
- âgé de 58 ans çà nous fait une naissance en 1950.
- 1984 meurtre de sa femme : c'est la période critique septennale des 35 ans (le moment de l'entrée dans cette période, c'est 34 ans et demi : c'est ce moment qui est le plus délicat car pic de pulsions/désinhibitions)
- 1999 tentative de meurtre sur une compagne : c'est la période critique septennale des 49 ans.
- 7 mai 2007 : agression sur son fils et c'est alors la période critique septennale des 56 ans qui est en cause.
il s'agit donc de personnes qu'il faut tenir à l'oeil lors de leur passage dans les périodes critiques septennales, où ils ont tendance à récidiver.
on peut encore vérifier s'il n'y a pas récidive le jour critique émotionnel, ce qui est souvent le cas.
le 7 mai 2007 est un lundi. l'intéressé est-il né un lundi ou plutôt un mardi si c'est arrivé lundi après-midi ou le soir ?
quel jour de la semaine les précédentes agressions ? le même jour ?
mythomanie ?
LeParisien..fr :
RAPT.
HIER, DOMINIQUE D., 48 ans, la ravisseuse du petit Diango, a été mise en examen à Pau pour enlèvement et séquestration d’un mineur de moins de 15 ans. Une information judiciaire a été ouverte et confiée à deux juges d’instruction. Le parquet avait requis à son encontre un placement en détention provisoire mais finalement, le juge des libertés et de la détention a préféré soumettre Dominique D. à un contrôle judiciaire strict, sans détention donc, mais en l’assortissant, en revanche, d’une hospitalisation d’office. « Les obligations d’un contrôle judiciaire suffisent à garantir le bon déroulement de l’instruction et permettent d’organiser les conditions d’une prise en charge sanitaire de l’intéressée compte tenu de ses difficultés psychologiques », expliquait hier Valérie Grenier, la vice-procureur de Pau.
................
« Elle s’est inventé des grossesses, mais aussi des cancers »
Pendant ses quarante-huit heures de garde à vue, selon un proche de l’enquête, Dominique D., qui a rapidement reconnu les faits, n’a pas exprimé de « réel regret » de son geste. L’entourage de cette mère de famille, en revanche, abreuvé de ses mensonges et contradictions, souhaite qu’elle soit prise en charge psychiatriquement. « Non seulement elle s’est inventé des grossesses, mais également des cancers ou des tumeurs au cerveau, explique une amie. Et elle nous prenait en otages dans ses mensonges… »
=====================
il serait intéressant de voir depuis quand elle inventait des histoires : si c'est depuis ses 48 ans on peut le mettre sur le compte de l'arrivée de la période critique septennale des 49 ans... çà ne serait pas étonnant.
si par contre elle fantasme depuis fort longtemps c'est autre chose...
les périodes critiques septennales peuvent être des périodes où peuvent survenir tout un tas de comportements et manifestations très variées, entre autre des phénomènes d'hallucinations et délires, des voix, de la mythomanie, etc...
on peut aussi aller voir si la personne a eu des problèmes lors de ses périodes critiques septennales précédentes ce qui est assez souvent le cas...
RAPT.
HIER, DOMINIQUE D., 48 ans, la ravisseuse du petit Diango, a été mise en examen à Pau pour enlèvement et séquestration d’un mineur de moins de 15 ans. Une information judiciaire a été ouverte et confiée à deux juges d’instruction. Le parquet avait requis à son encontre un placement en détention provisoire mais finalement, le juge des libertés et de la détention a préféré soumettre Dominique D. à un contrôle judiciaire strict, sans détention donc, mais en l’assortissant, en revanche, d’une hospitalisation d’office. « Les obligations d’un contrôle judiciaire suffisent à garantir le bon déroulement de l’instruction et permettent d’organiser les conditions d’une prise en charge sanitaire de l’intéressée compte tenu de ses difficultés psychologiques », expliquait hier Valérie Grenier, la vice-procureur de Pau.
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« Elle s’est inventé des grossesses, mais aussi des cancers »
Pendant ses quarante-huit heures de garde à vue, selon un proche de l’enquête, Dominique D., qui a rapidement reconnu les faits, n’a pas exprimé de « réel regret » de son geste. L’entourage de cette mère de famille, en revanche, abreuvé de ses mensonges et contradictions, souhaite qu’elle soit prise en charge psychiatriquement. « Non seulement elle s’est inventé des grossesses, mais également des cancers ou des tumeurs au cerveau, explique une amie. Et elle nous prenait en otages dans ses mensonges… »
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il serait intéressant de voir depuis quand elle inventait des histoires : si c'est depuis ses 48 ans on peut le mettre sur le compte de l'arrivée de la période critique septennale des 49 ans... çà ne serait pas étonnant.
si par contre elle fantasme depuis fort longtemps c'est autre chose...
les périodes critiques septennales peuvent être des périodes où peuvent survenir tout un tas de comportements et manifestations très variées, entre autre des phénomènes d'hallucinations et délires, des voix, de la mythomanie, etc...
on peut aussi aller voir si la personne a eu des problèmes lors de ses périodes critiques septennales précédentes ce qui est assez souvent le cas...
vendredi 12 décembre 2008
quintuple infanticide de Nivelles
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=28912
" La lettre cachée du psy "
La veille, l’accusée lui avait fait part de son intention de mourir avec ses enfants. Il ne l’avait ni reçue, ni rappelée.
Geneviève Lhermitte était-elle au moment des faits et est-elle actuellement encore dans un état de démence ou de déséquilibre mental grave qui la rendrait incapable du contrôle de ses gestes ? A cette question que lui avait soumise le juge d’instruction, un collège d’experts psychiatres avait clairement répondu non, estimant tout au plus que, le 28 février 2007, elle avait tué ses cinq enfants alors qu’elle se trouvait « dans un état de souffrance extrême altérant son discernement ».
Cette question, les mêmes psychiatres devront y répondre mardi prochain, à la requête, cette fois, du président de la cour d’assises du Brabant qui, jeudi, les a chargés de procéder ce week-end à un nouvel examen de l’état mental de l’accusée. Cette requête est partiellement motivée par l’incident suscité, mercredi après-midi, par le comportement sidérant de Geneviève Lhermitte dont la soudaine hystérie avait nécessité qu’elle soit provisoirement tenue à l’écart de son procès.
Mais cette requête du président Maes aura, plus évidemment encore, été motivée par l’irruption – tout aussi sidérante – de deux courriers qui ne figuraient pas au dossier.
Il s’agit des deux lettres que Geneviève Lhermitte adressa à son psychiatre attitré, le Dr Diderik Veldekens, peu avant le drame : la première date du 13 février, la seconde du 27 février – soit la veille des cinq meurtres.
La justice n’ignorait pas leur existence mais elle considérait que ces deux lettres avaient été égarées : lors de son audition par le juge d’instruction, le Dr Veldekens avait indiqué que ces courriers « ne figuraient pas au dossier médical » de sa patiente. Or, ils étaient bel et bien en sa possession, ainsi qu’il l’a confirmé au président Maes, jeudi matin. La minute d’après, la stupeur fera place à l’effroi quand le psychiatre admettra que, dans sa deuxième lettre, Geneviève Lhermitte faisait clairement part de son intention de se suicider en emmenant ses enfants dans la mort. Le dossier d’instruction, lui, tenait pour acquis que dans ces deux lettres, l’accusée ne s’ouvrait que de ses seules pulsions suicidaires.
Jeudi, la cour découvrira que dans la seconde, Geneviève avait rédigé ces mots terribles : « J’ai des idées noires et je sais que ce sont des idées suicidaires qui vont m’entraîner moi et je vais prendre mes enfants avec moi parce qu’il n’y a plus d’avenir (…) J’imagine des scénarios aussi vrais que réalistes. J’ai peur de moi-même car je sais que j’en suis capable, que ce n’est pas un jeu. »
Le Dr Veldekens admettra qu’en dépit du caractère « alarmant » de cette lettre qu’il découvre dans le casier de sa consultation nivelloise, le 27 février vers midi, il n’avait pas pris contact avec sa patiente – il l’avait par contre reçue en urgence après la lettre du 13 février dans laquelle elle expliquait que, « à bout de tout », elle s’était surprise à vérifier la présence « d’un couteau bien tranchant » dans les rayons d’un grand magasin. Le 27, dit-il, il n’avait, de façon inouïe, « pas eu l’occasion de recevoir ou de rappeler » Geneviève Lhermitte. « J’attendais, dira-t-il, le retour du Maroc de monsieur Moqadem (prévu le 28) pour envisager l’hospitalisation de son épouse qui posait le problème de la garde des cinq enfants. J’étais sidéré de ne pas pouvoir le faire plus tôt. »
...........
................
Stéphane DETAILLE
Source : LE SOIR 11 décembre 2008
==================================
pour moi la situation est intéressante... et parlante :
Geneviève Lhermitte est née le mercredi 16 novembre 1966.
mercredi est donc son jour critique émotionnel. le jour critique émotionnel est "le jour où l'on craque" (comme je l'écrivais dans l'un de mes messages précédents),
parce que jour à pulsions/désinhibitions, et c'est un jour qui démarre la veille, donc mardi. (en principe le soir mais la "pression" peut apparaître déjà avant).
ceci explique cela :
- Geneviève Lhermitte ressent cela et écrit une lettre à son psychiatre le mardi 13 février 2007. notez que c'est comme je l'expliquais le mardi que démarre la pression d'un jour critique émotionnel du mercredi. Le psychiatre l'a apparemment reçue et de ce fait a "désamorcé" la bombe à retardement.
- Geneviève Lhermitte refait le même scénario, parce qu'elle est à nouveau dans le même état et ressent la même pression, et nouvelle lettre à son psychiatre le mardi 27 février 2007. notez que c'est à nouveau le mardi qui précède le jour critique émotionnel du mercredi.
Hélas cette fois-ci la bombe n'est pas désamorcée et elle éclate le lendemain : Geneviève Lhermitte passe à l'acte et égorge ses cinq enfants. un mercredi son jour critique émotionnel.
- Geneviève Lhermitte craque cette fois-ci - en direct - devant le Tribunal, et à nouveau son jour critique émotionnel : c'est la crise du mercredi 10 décembre 2008 où elle a été évacuée au cours de l'audience.
- le prochain jour critique émotionnel de Geneviève Lhermitte ce sera mercredi le 17 décembre prochain : il est en principe particulièrement "fort" car E1 est le premier jour d'un nouveau cycle de 28 jours et le jour critique émotionnel le plus fort des quatre jours critiques que comporte le cycle. l'accusée pourrait très bien être à nouveau fragilisée comme elle l'a été mercredi dernier. ce "comportement sidérant de soudaine hystérie" qui pour moi n'est absolument pas étonnant ce jour là, donne d'ailleurs une petite idée son état le mercredi jour du drame.
Le grand intérêt de ce mécanisme cyclique naturel est QU'IL PERMET DE CONNAITRE A L'AVANCE LES JOURS ET PERIODES A RISQUE en cas de danger potentiel, et qu'ainsi on peut prendre des mesures préventives.
" La lettre cachée du psy "
La veille, l’accusée lui avait fait part de son intention de mourir avec ses enfants. Il ne l’avait ni reçue, ni rappelée.
Geneviève Lhermitte était-elle au moment des faits et est-elle actuellement encore dans un état de démence ou de déséquilibre mental grave qui la rendrait incapable du contrôle de ses gestes ? A cette question que lui avait soumise le juge d’instruction, un collège d’experts psychiatres avait clairement répondu non, estimant tout au plus que, le 28 février 2007, elle avait tué ses cinq enfants alors qu’elle se trouvait « dans un état de souffrance extrême altérant son discernement ».
Cette question, les mêmes psychiatres devront y répondre mardi prochain, à la requête, cette fois, du président de la cour d’assises du Brabant qui, jeudi, les a chargés de procéder ce week-end à un nouvel examen de l’état mental de l’accusée. Cette requête est partiellement motivée par l’incident suscité, mercredi après-midi, par le comportement sidérant de Geneviève Lhermitte dont la soudaine hystérie avait nécessité qu’elle soit provisoirement tenue à l’écart de son procès.
Mais cette requête du président Maes aura, plus évidemment encore, été motivée par l’irruption – tout aussi sidérante – de deux courriers qui ne figuraient pas au dossier.
Il s’agit des deux lettres que Geneviève Lhermitte adressa à son psychiatre attitré, le Dr Diderik Veldekens, peu avant le drame : la première date du 13 février, la seconde du 27 février – soit la veille des cinq meurtres.
La justice n’ignorait pas leur existence mais elle considérait que ces deux lettres avaient été égarées : lors de son audition par le juge d’instruction, le Dr Veldekens avait indiqué que ces courriers « ne figuraient pas au dossier médical » de sa patiente. Or, ils étaient bel et bien en sa possession, ainsi qu’il l’a confirmé au président Maes, jeudi matin. La minute d’après, la stupeur fera place à l’effroi quand le psychiatre admettra que, dans sa deuxième lettre, Geneviève Lhermitte faisait clairement part de son intention de se suicider en emmenant ses enfants dans la mort. Le dossier d’instruction, lui, tenait pour acquis que dans ces deux lettres, l’accusée ne s’ouvrait que de ses seules pulsions suicidaires.
Jeudi, la cour découvrira que dans la seconde, Geneviève avait rédigé ces mots terribles : « J’ai des idées noires et je sais que ce sont des idées suicidaires qui vont m’entraîner moi et je vais prendre mes enfants avec moi parce qu’il n’y a plus d’avenir (…) J’imagine des scénarios aussi vrais que réalistes. J’ai peur de moi-même car je sais que j’en suis capable, que ce n’est pas un jeu. »
Le Dr Veldekens admettra qu’en dépit du caractère « alarmant » de cette lettre qu’il découvre dans le casier de sa consultation nivelloise, le 27 février vers midi, il n’avait pas pris contact avec sa patiente – il l’avait par contre reçue en urgence après la lettre du 13 février dans laquelle elle expliquait que, « à bout de tout », elle s’était surprise à vérifier la présence « d’un couteau bien tranchant » dans les rayons d’un grand magasin. Le 27, dit-il, il n’avait, de façon inouïe, « pas eu l’occasion de recevoir ou de rappeler » Geneviève Lhermitte. « J’attendais, dira-t-il, le retour du Maroc de monsieur Moqadem (prévu le 28) pour envisager l’hospitalisation de son épouse qui posait le problème de la garde des cinq enfants. J’étais sidéré de ne pas pouvoir le faire plus tôt. »
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Stéphane DETAILLE
Source : LE SOIR 11 décembre 2008
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pour moi la situation est intéressante... et parlante :
Geneviève Lhermitte est née le mercredi 16 novembre 1966.
mercredi est donc son jour critique émotionnel. le jour critique émotionnel est "le jour où l'on craque" (comme je l'écrivais dans l'un de mes messages précédents),
parce que jour à pulsions/désinhibitions, et c'est un jour qui démarre la veille, donc mardi. (en principe le soir mais la "pression" peut apparaître déjà avant).
ceci explique cela :
- Geneviève Lhermitte ressent cela et écrit une lettre à son psychiatre le mardi 13 février 2007. notez que c'est comme je l'expliquais le mardi que démarre la pression d'un jour critique émotionnel du mercredi. Le psychiatre l'a apparemment reçue et de ce fait a "désamorcé" la bombe à retardement.
- Geneviève Lhermitte refait le même scénario, parce qu'elle est à nouveau dans le même état et ressent la même pression, et nouvelle lettre à son psychiatre le mardi 27 février 2007. notez que c'est à nouveau le mardi qui précède le jour critique émotionnel du mercredi.
Hélas cette fois-ci la bombe n'est pas désamorcée et elle éclate le lendemain : Geneviève Lhermitte passe à l'acte et égorge ses cinq enfants. un mercredi son jour critique émotionnel.
- Geneviève Lhermitte craque cette fois-ci - en direct - devant le Tribunal, et à nouveau son jour critique émotionnel : c'est la crise du mercredi 10 décembre 2008 où elle a été évacuée au cours de l'audience.
- le prochain jour critique émotionnel de Geneviève Lhermitte ce sera mercredi le 17 décembre prochain : il est en principe particulièrement "fort" car E1 est le premier jour d'un nouveau cycle de 28 jours et le jour critique émotionnel le plus fort des quatre jours critiques que comporte le cycle. l'accusée pourrait très bien être à nouveau fragilisée comme elle l'a été mercredi dernier. ce "comportement sidérant de soudaine hystérie" qui pour moi n'est absolument pas étonnant ce jour là, donne d'ailleurs une petite idée son état le mercredi jour du drame.
Le grand intérêt de ce mécanisme cyclique naturel est QU'IL PERMET DE CONNAITRE A L'AVANCE LES JOURS ET PERIODES A RISQUE en cas de danger potentiel, et qu'ainsi on peut prendre des mesures préventives.
disparition
SKCenter :
Disparition d'Ophélie: la chute dans le Danube privilégiée
La police hongroise a pu reconstituer la totalité du parcours effectué par Ophélie grâce aux vidéos de surveillance installées dans les rues du centre-ville. Sa trace s'arrête sur le pont.
Selon RTL, les images de vidéosurveillance de Budapest donnent la certitude qu'Ophélie Bretnacher a bien disparu lors de son passage sur le pont Lanchid, qui enjambe le Danube. Citant la police hongroise, la radio avance que l'on voit clairement sur ces images l'étudiante française s'engager sur le pont, mais qu'elle ne finira jamais sa traversée. Son sac, avec ses papiers d'identité et son téléphone portable, a été retrouvé le 4 décembre sur ce pont.
Les policiers hongrois ont également souligné que sur ces images, la jeune fille est seule et que « personne ne la suit ». « C'est bien une chute d'Ophélie dans le Danube qui semble désormais l'hypothèse la plus probable », indique RTL.
Reste à savoir ce qui s'est exactement passé cette nuit sur le pont. Les enquêteurs ne savent pas encore si elle est tombée seule, peut être à cause d'un malaise, ou a été poussée. La police a lancé un appel à témoin à cet effet. «La police du deuxième arrondissement de Budapest attend toute personne qui a traversé le pont Lanchid le 4 décembre entre 02H30 et 04H00, à pied, en vélo en voiture», a-t-elle indiqué sur son site officiel.
Elle a également appelé à se manifester tous les taxis qui auraient transporté une «jeune fille parlant une langue étrangère durant cette période dans le 5è et 1er arrondissement (des deux côtés du pont). Reste qu'il sera très difficile de sonder le Danube ou d'y envoyer des plongeurs. Le fleuve est large, très profond, et doté d'un fort courant.
Ophélie Bretnacher, âgée de 22 ans, a disparu le 4 décembre à Budapest, après une soirée avec des amis dans une discothèque appréciée des étudiants étrangers, et qui s'est terminée vers 3 heures du matin
Source : Le Figaro
======================
je reprends cette disparition et comme j'ai l'habitude de le faire chaque fois que je peux (il faut les données de naissance), je regarde la situation, ou plutôt "l'état" de la personne au moment de sa disparition. l'examen des données qui m'intéressent permettent d'avoir une idée de l'état physique et moral d'une personne à un moment donné : ici... rien qui irait en faveur d'une fugue, d'un suicide, d'une chute, d'un accident...
Ophélie est née le 8 juin 1986 (j'espère bien entendu que la date est juste, sinon mon interprétation est fausse).
les points que je regarde :
- période critique septennale (1) : non, Ophélie en est sortie aux alentours du 22 juin 2008.
- période critique sextennale : (2) la 24ème année de vie est une année critique : pas le cas ici.
- jour critique émotionnel : (3) non, son jour critique est le dimanche or elle a disparu un jeudi.
- jour critique physique (4) RAS.
- proximité date anniversaire (5) : non puisque née en juin.
(1) la période critique septennale (ici de 20 ans et demi à 22 ans) est une période propice aux dépressions chez les personnes sensibles. cela peut conduire dans les cas extrêmes jusqu'au suicide. il peut arriver que la période critique se prolonge exceptionnellement au-delà du 22ème anniversaire, mais dans ce cas l'entourage est au courant de diverses manifestations de dépression ayant eu lieu auparavant.
(2) la période critique physique sextennale comporte une année difficile chaque sixième année : possible méforme physique et morale durant des périodes assez longue, certaines années de vie.
(3) idem, mais en court, que pour la période critique septennale : s'agissant d'un cycle émotionnel de sept jours il s'agit toujours du jour de la semaine où on est né. ce jour là peuvent apparaître de subits et gros coups de blues. c'est un jour propice aux passages à l'acte entre autre fugue (ados p.ex.) ou suicide.
(4) le jour critique physique est un jour de méforme physique : jour de mauvaise forme physique, de malaise, au pire c'est un jour comme çà que l'on pourrait tomber à l'eau.
(5) la proximité de la date anniversaire - surtout les quatre semaines qui précèdent - est une période propice à la dépression. on la trouve souvent lors d'un suicide.
Disparition d'Ophélie: la chute dans le Danube privilégiée
La police hongroise a pu reconstituer la totalité du parcours effectué par Ophélie grâce aux vidéos de surveillance installées dans les rues du centre-ville. Sa trace s'arrête sur le pont.
Selon RTL, les images de vidéosurveillance de Budapest donnent la certitude qu'Ophélie Bretnacher a bien disparu lors de son passage sur le pont Lanchid, qui enjambe le Danube. Citant la police hongroise, la radio avance que l'on voit clairement sur ces images l'étudiante française s'engager sur le pont, mais qu'elle ne finira jamais sa traversée. Son sac, avec ses papiers d'identité et son téléphone portable, a été retrouvé le 4 décembre sur ce pont.
Les policiers hongrois ont également souligné que sur ces images, la jeune fille est seule et que « personne ne la suit ». « C'est bien une chute d'Ophélie dans le Danube qui semble désormais l'hypothèse la plus probable », indique RTL.
Reste à savoir ce qui s'est exactement passé cette nuit sur le pont. Les enquêteurs ne savent pas encore si elle est tombée seule, peut être à cause d'un malaise, ou a été poussée. La police a lancé un appel à témoin à cet effet. «La police du deuxième arrondissement de Budapest attend toute personne qui a traversé le pont Lanchid le 4 décembre entre 02H30 et 04H00, à pied, en vélo en voiture», a-t-elle indiqué sur son site officiel.
Elle a également appelé à se manifester tous les taxis qui auraient transporté une «jeune fille parlant une langue étrangère durant cette période dans le 5è et 1er arrondissement (des deux côtés du pont). Reste qu'il sera très difficile de sonder le Danube ou d'y envoyer des plongeurs. Le fleuve est large, très profond, et doté d'un fort courant.
Ophélie Bretnacher, âgée de 22 ans, a disparu le 4 décembre à Budapest, après une soirée avec des amis dans une discothèque appréciée des étudiants étrangers, et qui s'est terminée vers 3 heures du matin
Source : Le Figaro
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je reprends cette disparition et comme j'ai l'habitude de le faire chaque fois que je peux (il faut les données de naissance), je regarde la situation, ou plutôt "l'état" de la personne au moment de sa disparition. l'examen des données qui m'intéressent permettent d'avoir une idée de l'état physique et moral d'une personne à un moment donné : ici... rien qui irait en faveur d'une fugue, d'un suicide, d'une chute, d'un accident...
Ophélie est née le 8 juin 1986 (j'espère bien entendu que la date est juste, sinon mon interprétation est fausse).
les points que je regarde :
- période critique septennale (1) : non, Ophélie en est sortie aux alentours du 22 juin 2008.
- période critique sextennale : (2) la 24ème année de vie est une année critique : pas le cas ici.
- jour critique émotionnel : (3) non, son jour critique est le dimanche or elle a disparu un jeudi.
- jour critique physique (4) RAS.
- proximité date anniversaire (5) : non puisque née en juin.
(1) la période critique septennale (ici de 20 ans et demi à 22 ans) est une période propice aux dépressions chez les personnes sensibles. cela peut conduire dans les cas extrêmes jusqu'au suicide. il peut arriver que la période critique se prolonge exceptionnellement au-delà du 22ème anniversaire, mais dans ce cas l'entourage est au courant de diverses manifestations de dépression ayant eu lieu auparavant.
(2) la période critique physique sextennale comporte une année difficile chaque sixième année : possible méforme physique et morale durant des périodes assez longue, certaines années de vie.
(3) idem, mais en court, que pour la période critique septennale : s'agissant d'un cycle émotionnel de sept jours il s'agit toujours du jour de la semaine où on est né. ce jour là peuvent apparaître de subits et gros coups de blues. c'est un jour propice aux passages à l'acte entre autre fugue (ados p.ex.) ou suicide.
(4) le jour critique physique est un jour de méforme physique : jour de mauvaise forme physique, de malaise, au pire c'est un jour comme çà que l'on pourrait tomber à l'eau.
(5) la proximité de la date anniversaire - surtout les quatre semaines qui précèdent - est une période propice à la dépression. on la trouve souvent lors d'un suicide.
disparition
Appel à témoins
Âgée de quarante-neuf ans, Florence Tiouche mesure 1,59 mètre pour 80 kilos. Elle a les cheveux bruns et courts, avec des mèches rouges, des yeux marron. Le jour de sa disparition, lundi vers 18 h 15, elle circulait sur un vélo neuf blanc et était habillée d’un pantalon grenat et d’un imperméable bleu marine. Toute personne ayant des informations doit téléphoner au 02.48.23.28.10 .
(Source: Le Berry / Le Parisien)
============
c'est un communiqué que j'ai trouvé sur LePost.
dans le cas d'une disparition on peut sur le champ vérifier divers éléments :
- y a-t-il période critique septennale (ici c'est oui à 49 ans) et à moins d'une coïncidence ce n'est pas bon signe car c'est entre autre à cet âge là, l'année des dépressions et possiblement suivis de suicides... si une personne est fragilisée.
- y a-t-il jour critique émotionnel : on fait des bêtises surtout le jour de la semaine où on est né (fugue, suicide, délinquance) simplement parce que nous sommes soumis à un cycle de pulsions qui nous pousse à agir chaque septième jour de notre vie depuis le jour de naissance. et forcément, sept jour ce sera définitivement toujours le jour où on est né.
ici la personne a disparu un lundi soir (8/12): du point de vue des cycles émotionnels, après 18 heures, çà compte pour la journée du mardi ; on peut alors vérifier si la personne est née un mardi et là aussi, et pour les mêmes raisons... pas bon signe, car le jour critique émotionnel est un jour de "passage à l'acte"... (il faut cependant connaître la date de naissance de la personne, pour connaître son jour critique émotionnel : cette date peut encore nous donner un autre renseignement important qui est l'état physique de la personne un jour précis, certains jours étant des jours propices à malaise physique.
tout ceci pour donner un exemple de la "radiographie à un moment donné de l'état physique et psychique d'une personne". çà peut aider à comprendre et à chercher, et bien sûr çà ne dispense pas de procéder à toutes autres investigations nécessaires et habituelles...
Âgée de quarante-neuf ans, Florence Tiouche mesure 1,59 mètre pour 80 kilos. Elle a les cheveux bruns et courts, avec des mèches rouges, des yeux marron. Le jour de sa disparition, lundi vers 18 h 15, elle circulait sur un vélo neuf blanc et était habillée d’un pantalon grenat et d’un imperméable bleu marine. Toute personne ayant des informations doit téléphoner au 02.48.23.28.10 .
(Source: Le Berry / Le Parisien)
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c'est un communiqué que j'ai trouvé sur LePost.
dans le cas d'une disparition on peut sur le champ vérifier divers éléments :
- y a-t-il période critique septennale (ici c'est oui à 49 ans) et à moins d'une coïncidence ce n'est pas bon signe car c'est entre autre à cet âge là, l'année des dépressions et possiblement suivis de suicides... si une personne est fragilisée.
- y a-t-il jour critique émotionnel : on fait des bêtises surtout le jour de la semaine où on est né (fugue, suicide, délinquance) simplement parce que nous sommes soumis à un cycle de pulsions qui nous pousse à agir chaque septième jour de notre vie depuis le jour de naissance. et forcément, sept jour ce sera définitivement toujours le jour où on est né.
ici la personne a disparu un lundi soir (8/12): du point de vue des cycles émotionnels, après 18 heures, çà compte pour la journée du mardi ; on peut alors vérifier si la personne est née un mardi et là aussi, et pour les mêmes raisons... pas bon signe, car le jour critique émotionnel est un jour de "passage à l'acte"... (il faut cependant connaître la date de naissance de la personne, pour connaître son jour critique émotionnel : cette date peut encore nous donner un autre renseignement important qui est l'état physique de la personne un jour précis, certains jours étant des jours propices à malaise physique.
tout ceci pour donner un exemple de la "radiographie à un moment donné de l'état physique et psychique d'une personne". çà peut aider à comprendre et à chercher, et bien sûr çà ne dispense pas de procéder à toutes autres investigations nécessaires et habituelles...
compatibilité ?
LaPresseCanadienne :
David St-Pierre doit répondre du meurtre de sa mère, à Saint-Hyacinthe
Il y a 15 heures
SAINT-HYACINTHE — David St-Pierre, ce jeune homme de 27 ans accusé d'avoir assassiné sa mère à l'aide d'une arbalette, a été cité à son procès sous des accusations de meurtre prémédité et de tentative de meurtre, jeudi matin, au Palais de justice de Saint-Hyacinthe.
Le 7 novembre 2007, St-Pierre aurait assassiné sa mère, Gisèle Laperle, 48 ans, en lui lançant une flèche en plein front .
Il aurait également tenté d'assassiner son père, Renaud St-Pierre, 49 ans, en l'atteignant d'une flèche à l'oeil gauche. M. St-Pierre a survécu à ses blessures, mais il a perdu l'usage de son oeil.
L'enquête préliminaire de St-Pierre, jeudi matin, s'est faite rapidement alors qu'à peine quatre témoins ont été entendus en poursuite.
Après avoir entendu les témoignages, le tribunal a cité St-Pierre à son procès.
La défense aurait préféré une accusation de meurtre non prémédité puisque le geste, selon elle, ne l'était pas.
St-Pierre demeurera détenu pour la suite des procédures. Il reviendra devant le tribunal le 13 janvier prochain pour fixer la date de son procès devant juge et jury. La défense a indiqué qu'elle tentera de démontrer au jury que St-Pierre est non criminellement responsable parce que souffrant de troubles mentaux.
Il a des antécédants en la matière et selon la défense, il n'était pas dans son état normal au moment des événements.
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si l'intéressé a 27 ans aujourd'hui, il devait en avoir 26 au moment du coup de folie... par contre ses parents étaient tous deux en période critique septennale, et cela a pu contribuer à envenimer une situation... quant aux coups de folie ils ont souvent lieu le jour critique émotionnel : il serait intéressant de savoir si David St-Pierre est né un mercredi... (le 7/11/2007 est un mercredi)
çà ne m'étonnerait pas car il manque apparemment un déclencheur de cet acte, bien que la situation des parents en période critique pourrait avoir joué un rôle... bien sûr il faut aussi s'intéresser aux antécédents...
David St-Pierre doit répondre du meurtre de sa mère, à Saint-Hyacinthe
Il y a 15 heures
SAINT-HYACINTHE — David St-Pierre, ce jeune homme de 27 ans accusé d'avoir assassiné sa mère à l'aide d'une arbalette, a été cité à son procès sous des accusations de meurtre prémédité et de tentative de meurtre, jeudi matin, au Palais de justice de Saint-Hyacinthe.
Le 7 novembre 2007, St-Pierre aurait assassiné sa mère, Gisèle Laperle, 48 ans, en lui lançant une flèche en plein front .
Il aurait également tenté d'assassiner son père, Renaud St-Pierre, 49 ans, en l'atteignant d'une flèche à l'oeil gauche. M. St-Pierre a survécu à ses blessures, mais il a perdu l'usage de son oeil.
L'enquête préliminaire de St-Pierre, jeudi matin, s'est faite rapidement alors qu'à peine quatre témoins ont été entendus en poursuite.
Après avoir entendu les témoignages, le tribunal a cité St-Pierre à son procès.
La défense aurait préféré une accusation de meurtre non prémédité puisque le geste, selon elle, ne l'était pas.
St-Pierre demeurera détenu pour la suite des procédures. Il reviendra devant le tribunal le 13 janvier prochain pour fixer la date de son procès devant juge et jury. La défense a indiqué qu'elle tentera de démontrer au jury que St-Pierre est non criminellement responsable parce que souffrant de troubles mentaux.
Il a des antécédants en la matière et selon la défense, il n'était pas dans son état normal au moment des événements.
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si l'intéressé a 27 ans aujourd'hui, il devait en avoir 26 au moment du coup de folie... par contre ses parents étaient tous deux en période critique septennale, et cela a pu contribuer à envenimer une situation... quant aux coups de folie ils ont souvent lieu le jour critique émotionnel : il serait intéressant de savoir si David St-Pierre est né un mercredi... (le 7/11/2007 est un mercredi)
çà ne m'étonnerait pas car il manque apparemment un déclencheur de cet acte, bien que la situation des parents en période critique pourrait avoir joué un rôle... bien sûr il faut aussi s'intéresser aux antécédents...
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