vendredi 12 décembre 2008

disparition

SKCenter :
Disparition d'Ophélie: la chute dans le Danube privilégiée

La police hongroise a pu reconstituer la totalité du parcours effectué par Ophélie grâce aux vidéos de surveillance installées dans les rues du centre-ville. Sa trace s'arrête sur le pont.

Selon RTL, les images de vidéosurveillance de Budapest donnent la certitude qu'Ophélie Bretnacher a bien disparu lors de son passage sur le pont Lanchid, qui enjambe le Danube. Citant la police hongroise, la radio avance que l'on voit clairement sur ces images l'étudiante française s'engager sur le pont, mais qu'elle ne finira jamais sa traversée. Son sac, avec ses papiers d'identité et son téléphone portable, a été retrouvé le 4 décembre sur ce pont.

Les policiers hongrois ont également souligné que sur ces images, la jeune fille est seule et que « personne ne la suit ». « C'est bien une chute d'Ophélie dans le Danube qui semble désormais l'hypothèse la plus probable », indique RTL.

Reste à savoir ce qui s'est exactement passé cette nuit sur le pont. Les enquêteurs ne savent pas encore si elle est tombée seule, peut être à cause d'un malaise, ou a été poussée. La police a lancé un appel à témoin à cet effet. «La police du deuxième arrondissement de Budapest attend toute personne qui a traversé le pont Lanchid le 4 décembre entre 02H30 et 04H00, à pied, en vélo en voiture», a-t-elle indiqué sur son site officiel.

Elle a également appelé à se manifester tous les taxis qui auraient transporté une «jeune fille parlant une langue étrangère durant cette période dans le 5è et 1er arrondissement (des deux côtés du pont). Reste qu'il sera très difficile de sonder le Danube ou d'y envoyer des plongeurs. Le fleuve est large, très profond, et doté d'un fort courant.

Ophélie Bretnacher, âgée de 22 ans, a disparu le 4 décembre à Budapest, après une soirée avec des amis dans une discothèque appréciée des étudiants étrangers, et qui s'est terminée vers 3 heures du matin
Source : Le Figaro

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je reprends cette disparition et comme j'ai l'habitude de le faire chaque fois que je peux (il faut les données de naissance), je regarde la situation, ou plutôt "l'état" de la personne au moment de sa disparition. l'examen des données qui m'intéressent permettent d'avoir une idée de l'état physique et moral d'une personne à un moment donné : ici... rien qui irait en faveur d'une fugue, d'un suicide, d'une chute, d'un accident...

Ophélie est née le 8 juin 1986 (j'espère bien entendu que la date est juste, sinon mon interprétation est fausse).
les points que je regarde :
- période critique septennale (1) : non, Ophélie en est sortie aux alentours du 22 juin 2008.
- période critique sextennale : (2) la 24ème année de vie est une année critique : pas le cas ici.
- jour critique émotionnel : (3) non, son jour critique est le dimanche or elle a disparu un jeudi.
- jour critique physique (4) RAS.
- proximité date anniversaire (5) : non puisque née en juin.


(1) la période critique septennale (ici de 20 ans et demi à 22 ans) est une période propice aux dépressions chez les personnes sensibles. cela peut conduire dans les cas extrêmes jusqu'au suicide. il peut arriver que la période critique se prolonge exceptionnellement au-delà du 22ème anniversaire, mais dans ce cas l'entourage est au courant de diverses manifestations de dépression ayant eu lieu auparavant.
(2) la période critique physique sextennale comporte une année difficile chaque sixième année : possible méforme physique et morale durant des périodes assez longue, certaines années de vie.
(3) idem, mais en court, que pour la période critique septennale : s'agissant d'un cycle émotionnel de sept jours il s'agit toujours du jour de la semaine où on est né. ce jour là peuvent apparaître de subits et gros coups de blues. c'est un jour propice aux passages à l'acte entre autre fugue (ados p.ex.) ou suicide.
(4) le jour critique physique est un jour de méforme physique : jour de mauvaise forme physique, de malaise, au pire c'est un jour comme çà que l'on pourrait tomber à l'eau.
(5) la proximité de la date anniversaire - surtout les quatre semaines qui précèdent - est une période propice à la dépression. on la trouve souvent lors d'un suicide.

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