vendredi 26 décembre 2008

enfant décédé

Nouvelobs :
Décès d'un enfant à l'hôpital: l'infirmière mise en examen
AP | 26.12.2008 | 20:28
L'infirmière qui a reconnu une erreur de traitement d'un petit garçon de trois ans décédé mercredi soir à l'hôpital Saint-Vincent-de-Paul à Paris a été mise en examen vendredi soir pour "homicide involontaire" par un juge d'instruction parisien et laissée en liberté sous contrôle judiciaire, a-t-on appris de source judiciaire.

Conformément aux réquisitions du parquet, son contrôle judiciaire lui interdit de se rendre à l'hôpital Saint-Vincent-de-Paul et d'entrer en contact avec les personnels, a-t-on précisé de même source. Le juge d'instruction Marie-Odile Bertella-Geoffroy du pôle de Santé publique y a ajouté une interdiction provisoire d'exercer son métier, selon la même source.

Le parquet de Paris a ouvert vendredi après-midi une information judiciaire visant nommément la jeune femme de 35 ans qui a "reconnu une erreur", apparemment dans l'administration d'un médicament, selon l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris. Selon les premiers éléments de l'enquête, le petit Ilyes, soigné pour une simple angine, est mort d'un arrêt cardiaque suite à une surdose de chlorure de magnésium, administré en perfusion à la place de vitamines.
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au sujet de ce dramatique accident j'avais écrit hier dans mon blog "biorythmes" :
"la situation biorythmique des personnes impliquées dirait peut-être quelque chose : une erreur humaine peut toujours arriver, mais elle a tendance à arriver un jour critique, physique, ou (moins souvent) émotionnel. en période critique septennale aussi."

l'âge de l'infirmière qu'il m'intéressait de connaître, a été diffusé dans l'article ci-dessus. la personne serait donc bien à 35 ans dans une période critique septennale. à présent il serait encore intéressant d'en savoir plus sur sa situation biorythmique du jour, afin de voir si elle était dans un jour critique, comme je le crains.

une situation en période critique septennale peut déjà à elle seule, suffire selon le cas à causer de gros soucis et une distraction suffisamment importante pour donner lieu à ce genre d'erreur. si par exemple la personne a des problèmes de dépression, de couple (ce sont les manifestations les plus fréquentes lors d'une période critique septennale) il peut arriver qu'elle "ait la tête ailleurs" même avec beaucoup de volonté.

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