mardi 30 juin 2009

pulsion subite et irrépressible

SKCenter :
Il jette sa femme dans le Tarn : un geste prémédité ?

Un homme est poursuivi pour avoir jeté sa femme au Tarn. La reconstitution a eu lieu hier.

« Qui est-ce qu'on attend ? Une célébrité ? » Les clients attablés à la terrasse de la pizzeria le Griffoul à Gaillac ont assisté étonnés hier à 14 heures à un débarquement de gendarmes. Tout le périmètre autour du pont Saint-Michel a été bouclé. Il ne s'agissait pas hélas d'un événement people ou d'un tournage de film, mais de la reconstitution judiciaire de la plus triste affaire qui a défrayé la chronique gaillacoise en 2008.

La nuit du 9 au 10 octobre, un homme de 41 ans a jeté son épouse du haut du pont, après l'avoir droguée.

Il avait laissé la voiture de sa femme à proximité, afin de faire croire au suicide. Mais le plongeon dans le Tarn a réveillé la victime, qui a regagné la berge. Miraculée, elle s'en était tirée avec d'énormes hématomes. Mis en examen pour tentative d'assassinat, Guillaume S. est depuis écroué. Juge d'instruction au pôle de l'instruction de Toulouse, Myriam Viargues a reconstitué heure par heure hier cette terrible soirée, en présence des protagonistes. Par ailleurs cadre à Albi, l'époux a tenté d'accréditer la thèse d'une pulsion subite et « irrépressible » de mort qui l'aurait prise lors du repas.

Le somnifère versé dans le fromage blanc

La reconstitution a débuté au domicile conjugal, chemin des Quintals à Gaillac. À quel moment le mari a-t-il pilé des comprimés, pour les administrer le soir à sa femme, en les versant dans le fromage blanc au moment du dessert ? Il prétend avoir réduit le somnifère en poudre pendant qu'elle était allée coucher les enfants. « Ma cliente affirme elle que c'est lui qui s'est rendu dans la chambre pour border les petits », objecte Me Philippe Pressecq, avocat de la mère de famille. Ce qui signifierait que la substance soporifique aurait été préparée plus tôt dans la journée. Un détail capital, puisque de nature à indiquer s'il y a eu ou non préméditation. C'est déterminant pour la qualification, entre la tentative de meurtre et la tentative d'assassinat. Une différence qui peut se traduire en années de prison lorsque le dossier viendra devant les assises.

De la même manière, le mis en cause dit avoir amené sa femme dans sa voiture à elle. Puis, pris de remords, il serait revenu plus tard avec sa voiture à lui, pour voir si sa femme « allait bien ». Me Pressecq n'y croit pas: «Descendu au bord du Tarn, il l'aurait entendue nager. Mais ce n'était pas possible à cause du bruit du barrage, comme l'a démontré la reconstitution. Et il a été vu beaucoup plus tôt qu'il ne le déclare par le gardien de la boîte de nuit, à qui il a été confronté. Peu après, le témoin a entendu les appels au secours de ma cliente. »

L'émotion a étreint le cœur des badauds, lorsque les gendarmes ont amené un mannequin en plastique, simulant le corps de la victime balancée par dessus la rambarde. L'horrible scène a été reconstituée deux fois, hier après-midi en plein jour pour mieux voir et la nuit, en lumière d'ambiance. « La pauvre femme, elle revient de loin. Heureusement, elle savait nager », commente une retraitée.

Pour son défenseur, « après avoir découvert que son mari depuis plus de dix ans a voulu la tuer alors qu'elle ne se doutait de rien, elle est tombée des nues, le plus dur pour l'épouse hier fut d'entendre de gros mensonges de sa part. Nous ne sommes pas en présence d'un coup de folie incroyable, mais d'une tentative d'assassinat dans toute sa gravité, peut-être dans l'intention de la quitter tout en gardant les deux enfants de trois et cinq ans. » Me Pressecq salue « le courage de cette femme en train de se reconstruire ».

Source : La Dépêche

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s'il a 41 ans au moment des faits on peut déjà s'intéresser au moment de l'entrée de la période critique septennale des 42 ans (41 ans et demi) ce pourrait être un début d'explication. ensuite on peut voir un second élément qui est le jour critique émotionnel, souvent jour de passage à l'acte parce que c'est ce jour là que l'on a le courage... et non pas une pulsion subite et irrépressible de mort...
il s'agit d'une pulsion, effectivement mais c'est une pulsion qui va nous permettre de mettre à exécution une envie latente... pour laquelle nous hésitons à un autre moment.
le 10 octobre est un vendredi. natif du vendredi ? (éventuellement jeudi s'il s'y est pris à l'avance)
on peut voir aussi la situation de l'épouse, car elle peut fort bien avoir eu une incidence.

disparu et suicidé ?

Reuters France

L'ancien directeur financier d'ABN Amro retrouvé mort -
lundi 29 juin 2009 15h15
L'ancien directeur financier du groupe bancaire néerlandais ABN Amro a été retrouvé mort dimanche, six jours après avoir été porté disparu, rapporte le quotidien britannique Daily Mail, citant des sources anonymes.
Huibert Boumeester, un Néerlandais, s'est apparemment donné la mort, ajoute le journal.

La disparition de Boumeester, qui fut également le patron d'ABN Amro Asset Management, a été signalée lundi dernier par la police londonienne, qui a également fait savoir que deux de ses armes à feu étaient portées manquantes.

Dans un communiqué diffusé lundi, la police de la vallée de la Tamise s'est bornée à confirmer la découverte du corps d'un homme non identifié à Winkfield, à une cinquantaine de km à l'ouest de Londres, mort vraisemblablement par balles.

Aucun représentant officiel de Royal Bank of Scotland (RBS.L: Cotation), qui a dirigé le rachat d'ABN il y a deux ans, n'a pu être joint dans l'immédiat pour commenter l'information. (Ben Berkowitz, version française Jean-Stéphane Brosse)

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en tous cas il avait l'âge du suicide septennal : 49 ans, semble-t-il.

lundi 29 juin 2009

Mathieu Bastareaud

Le rugbyman Mathieu Bastareaud hospitalisé pour "troubles psychologiques"
LEMONDE.FR avec AFP | 29.06.09 |

Mathieu Bastareaud, au cœur d'une affaire après sa vraie-fausse agression en pleine rue à Wellington le 21 juin, est hospitalisé pour de "graves troubles psychologiques", a indiqué lundi 29 juin Max Guazzini, le président de son club, le Stade Français.

Le joueur de 20 ans a été placé sous surveillance médicale dans un établissement spécialisé de la région parisienne dont le lieu est tenu secret. Il devrait rester en observation pour une quinzaine de jours au minimum, a précisé M. Guazzini.

Bastareaud, qui s'était déclaré victime d'une agression en pleine rue dans la nuit du 20 au 21 juin, à Wellington après la défaite (10-14) face aux All Blacks, a reconnu jeudi dernier avoir menti. Il a alors affirmé avoir "heurté la table de nuit" de sa chambre d'hôtel. Choqué, le visage tuméfié, le joueur avait regagné la France le 22 juin. Cette affaire a provoqué une vive émotion en Nouvelle-Zélande, qui accueillera la Coupe du monde en 2011.

Le président du Stade Français a par ailleurs dénoncé "l'acharnement de la presse contre un garçon de vingt ans. Des journalistes sont allés jusqu'à son domicile et à celui de ses parents. Il est complètement anéanti, il faut le laisser tranquille", a ajouté M. Guazzini.

La Fédération néo-zélandaise de rugby s'était dite "scandalisée" par le mensonge de Bastareaud. La maire de Wellington, Kerry Prendergast, avait également dénoncé le mensonge du joueur. Le président de la Fédération française de rugby, Pierre Camou, a adressé ses excuses "au peuple néo-zélandais et à la Fédération néo-zélandaise" et annoncé la saisie de la commission de discipline de la FFR.

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c'est un natif du samedi qui se trouve à l'entrée de sa période critique des 21 ans (c'est à 20 ans et demi environ, que démarre la période critique, parfois avec des problèmes d'ordre psychique, chez des personnes fragilisées) ;
et il s'est fait des bosses le samedi soir apparemment et c'est un natif du samedi qui sera son jour critique émotionnel... ce jour critique s'arrête en principe samedi soir... mais çà dépend de l'ambiance :-)
il entrait dans un jour critique intellectuel samedi soir.

en tous cas il faut qu'il sache qu'il doit toujours se surveiller le samedi...
si on est mal en point c'est un jour à d'autant plus de risque... le jour critique émotionnel est le jour des gros coups de blues et de colère, mais aussi des suicides ou des tentatives de suicide...


juin 2009 (17/09/1988)
Je 18
Ve 19
Sa 20 E(22)
Di 21 I(26)

Lu 22

édit 30/06 :
Pure People

Comme nous vous l'annoncions hier, le rugbyman Mathieu Bastareaud, 20 ans, a été hospitalisé dans un établissement spécialisé pour de graves troubles psychologiques, après que celui-ci ait provoqué une grosse polémique en Nouvelle-Zélande en déclarant avoir été agressé dans la rue, alors qu'en réalité il était tombé dans sa chambre après avoir trop bu.

D'après Le Parisien, en kiosque ce matin, la cause de l'hospitalisation du centre du Stade Français et du XV de France est qu'il se serait jeté dans la Seine pour mettre fin à ses jours, au cours du week-end dernier.

Bastareaud n'aurait pas supporté l'immense pression à son retour en France et sans doute la punition qu'allait lui faire subir la Fédération Française de Rugby, qui, avec cette affaire complètement folle a créé un incident diplomatique en Nouvelle-Zélande. Il se retrouve dans une situation très inconfortable, qu'il n'a pas pu gérer, dépassé par les événements et son mensonge.

En attendant de passer dans quelques semaines devant la commission de discipline de la Fédération pour atteinte à l'image du XV de France (où il risquera une très longue suspension), Mathieu Bastareaud restera en soins pendant une quinzaine de jours minimum dans une clinique de la région parisienne.

Souhaitons lui de se remettre très rapidement de sa profonde dépression...

A.I.

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lorsque je disais qu'il doit toujours se surveiller le samedi, je ne savais pas qu'il s'agissait de deux WE de suite... le premier pour le scénario inventé, et le second pour avoir craqué... eh oui l'entrée dans la période critique septennale peut parfois être tumultueuse voire périlleuse...
il faudrait effectivement tenir compte de ces deux éléments d'une grosse dépression (période critique septennale et jour critique émotionnel) pour relativiser et surtout comprendre ce qui lui est arrivé...

juin 2009
Ve 26
Sa 27 E(1)
Di 28
Lu 29 P(1) I(1)
Ma 30

pas gâté ce dernier WE effectivement : jour critique émotionnel E1 (le plus fort des quatre jours critiques du cycle) et jour critique physique P1 dès dimanche soir (P1 aussi le plus fort des quatre jours critiques du cycle physique)

dimanche 28 juin 2009

Michael Jackson

Wikipédia :

Michael Joseph Jackson né le 29 août 1958 à Gary (Indiana) et mort le 25 juin 2009

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Michael Jackson a 50 ans et 10 mois à son décès, (pas de période critique) la veille de son jour critique émotionnel.
je ne suis pas sûr que le jour critique émotionnel y soit pour quelque chose, sauf si sur un coup de blues (spécialité du jour critique émotionnel) il aurait abusé de médicaments par exemple... mais cela ne semble pas être le cas...

il était, par contre, dans un jour "à risque" avec P1 le mardi 23 juin, les incidents cardiaques ayant tendance à arriver le jour critique physique.

juin 2009
Di 21
Lu 22
Ma 23 P(1)
Me 24 I(17)
Je 25
Ve 26 E(1)

Sa 27

en reprenant son parcours avec wikipédia je trouve cependant d'autres choses intéressantes :

Problème de santé et Bad (1986-1990)
Depuis le milieu des années 1980, la question de la modification physique de l'apparence de Michael Jackson fait la une des journaux tabloïdes et suscite l'étonnement de l'opinion publique. Selon ses déclarations, Michael Jackson a été brimé dans son enfance par son père, notamment sur son physique (il le surnommait « gros nez »). Il a aussi souffert très tôt de son exposition médiatique (notamment à l'adolescence), ce qui l'aurait mis en conflit avec sa propre image. La couleur de peau du chanteur a elle aussi changé durant les années. Au début de son éclaircissement, il ne s'exprimait pas sur le sujet étant donné que ce n'est pas la seule célébrité afro-américaine à suivre ce genre de démarche. Dans les années 1990, il a déclaré être atteint du vitiligo, une maladie décolorant la peau.
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1986 est la période critique septennale des 28 ans pour Michael Jackson.

ensuite :

Accusations d'abus sexuel sur mineurs.(1993)
En août 1993, Michael Jackson est accusé d'abus sexuel sur mineur par un enfant de treize ans prénommé Jordan Chandler[54]. Michael Jackson et la famille Chandler s'étaient rencontrés en 1992 et une forte amitié s'était développée entre Michael et Jordan. En février 1993, Michael invite Jordan et sa famille à passer un week-end au ranch de Neverland et dans les mois qui suivent, Jordan, sa demi-sœur et sa mère accompagnent Michael dans de nombreux déplacements. Cette forte complicité entre Michael et Jordan rend Evan, son père biologique, jaloux.[réf. nécessaire] Après lui avoir administré un sédatif, Jordan avoue à son père que Michael Jackson a pratiqué des attouchements sexuels sur lui. Evan exige alors de Michael Jackson qu'il paye 20 millions de dollars pour régler cette histoire ou il ira porter plainte et fera témoigner Jordan contre lui. Jackson refuse et ses avocats prétendent que toutes ces accusations ne sont qu'une tentative d'extorsion de fonds[55]. Quelques jours plus tard, l'affaire prend encore plus d'ampleur lorsque Jordan affirme à un psychiatre que lui et Michael Jackson s'étaient embrassés, masturbés et avaient eu des rapports bucco-génitaux[56],[55]. La même année, Michael Jackson donne 2 millions de dollars à sa servante personnelle, outrée d'avoir retrouvé son fils blotti dans un sac de couchage avec le chanteur.[57]

Jordan Chandler porte plainte au civil en septembre 1993[55] et une enquête officielle est alors ouverte et la mère de Chandler affirme de manière catégorique que rien dans le comportement de Michael Jackson n'est à reprocher[58]. Des fouilles sont organisées au ranch de Neverland et enfants et membres de la famille Jackson démentent que Michael soit pédophile[59].

Afin de gérer le stress dû à ces accusations, Michael Jackson commence à prendre des antidouleurs, du Valium, du Xanax et de l'Ativan, auxquels il devient dépendant à l'automne 1993[60]. Sa santé s'est détériorée à un tel point qu'il a dû annuler le reste de la tournée Dangerous World Tour pour faire une cure de désintoxication pendant quelques semaines[61]. Avec le stress, Michael a également stoppé de s'alimenter et a commencé à perdre du poids. Avec une santé déclinante, ses amis et avocats se sont occupés de sa défense et de ses finances et lui conseillent de gérer les accusations en-dehors des tribunaux, estimant qu'il ne pourrait pas supporter un long procès. À cause de ces accusations, il stoppe sa tournée Dangerous World Tour en novembre et Pepsi Cola rompt son contrat publicitaire avec le chanteur. Son image publique se dégrade encore plus lorsque sa sœur ainée, LaToya, annonce qu'elle a des doutes sur l'innocence de son frère, avant de retirer ses déclarations[62].

Au cours des premières audiences, Jordan donne une description très détaillée des parties génitales de Michael Jackson et celui-ci se résout à une fouille corporelle de 25 minutes, réalisée à son ranch, afin de vérifier si la description donnée par Chandler est fondée[63],[55]. Michael fait alors une déclaration publique où il proclame son innocence et critique les médias pour ce qu'il perçoit comme un parti-pris contre lui[64]. Mais les descriptions faites par le jeune Jordan Chandler sur les parties génitales de Michael Jackson se sont révélées exactes.[65]

Après avoir interrogé de nombreux témoins, la justice constate le manque de preuve pour soutenir les accusations et clôt cette enquête pénale par un non-lieuréf. à confirmer : [66]. En janvier 1994, la famille Chandler et l'équipe de Michael Jackson signent un accord de 22 millions de dollars pour voir la plainte retirée. Cette transaction met fin à la plainte civile[66]. Depuis cette sombre affaire, les lois californiennes ont été modifiées pour donner à l'Etat un droit de priorité dans les poursuites et éviter l'achat des témoins et des victimes.[67]

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c'est surtout l'histoire de Jordan Chandler qui est intéressante...
il semble s'agir en fait de ce que j'appelle la "pédophilie septennale" car liée à la période critique septennale majoritairement des 35 ans... le problème étant que l'on tombe alors réellement éperdument amoureux. j'en avais parlé dans d'autres posts où j'expliquais que de nombreux pédophiles "démarrent" lors d'une période critique septennale : un homme de 35 ans va pouvoir tomber réellement éperdument amoureux d'une fillette ou d'un garçon... je ne sais pas "comment çà marche" mais c'est un réel coup de foudre qui arrive avec l'entrée dans la période critique septennale.
ce type de relations ne se passent pas bien ou souvent finissent mal, dans la mesure où elles sont, en principe, le fait d'une dépression septennale sur le compte de laquelle j'ai d'ailleurs tendance à mettre la détérioration de l'état de santé du chanteur à ce moment là... (anorexie)
cette dépression particulière semble induire un besoin de "s'accrocher" à un enfant comme si cela avait pour but de combler un manque, la particularité étant que ce manque ou ce besoin, qui n'apparaît intensément au point de causer parfois un passage à l'acte, qu'avec la dépression septennale en question... et s'estompe puis se termine avec elle...


bon... en plus pour Jackson c'était une affaire de gros sous...

drame conjugal

Cholet.maville.com :
A Trélazé, ils découvrent leurs parents décédés

Le drame s'est déroulé dans ce quartier, la cité du Petit-Bois, récemment réhabilité par la ville de Trélazé, aux portes d'Angers.

Dramatique : c'est en rentrant de l'école, vendredi en fin d'après-midi, que les deux enfants ont trouvé les corps sans vie de leurs parents. Il s'agirait, selon les premiers éléments de l'enquête, d'un drame familial.
« C'est terrible, ce qui vient d'arriver », confie une voisine de l'immeuble. Avec le petit dernier dans sa poussette, elle se rend à l'espace de jeux tout proche. Dans la cité du Petit-Bois, récemment réhabilitée par la ville de Trélazé, aux portes d'Angers, on ne parle que du drame. « Ça fait un choc. Et en plus, ce sont les gamins qui les ont trouvés... Effroyable ! »

Vendredi, en fin d'après-midi, alors qu'ils rentrent de l'école, les deux enfants, un garçon âgé de 8 ans et une fille âgée de 11 ans, découvrent leurs parents décédés. Leur père est pendu dans la chambre de l'appartement et leur mère gît, non loin de là. Des voisins alertent les secours. Les enfants, choqués, traumatisés, sont pris en charge et évacués au centre hospitalier d'Angers où un pédiatre prend le relais.

Que s'est-il passé ? Les parents n'ont laissé aucun mot, ni message. Ils n'ont, pas non plus, prévenu des membres de la famille. Dans ces conditions, difficile d'établir les causes du drame. Les enquêteurs, du service d'investigation du commissariat d'Angers, travaillent autour de trois hypothèses : la jeune femme est décédée et le mari s'est suicidé ; les deux se sont suicidés ; le mari a tué son épouse puis s'est suicidé. « À l'heure actuelle, nous ne pouvons pas trancher, précise Thierry Phelippeau, adjoint au procureur. Seule certitude, l'intervention d'un tiers est exclue. »

« Un drame familial et social »

Le couple se trouvait en difficulté. « C'est un drame terrible. Un drame familial et, sans doute, social. Il y avait une séparation en cours, des problèmes financiers et d'emploi », détaille le député-maire de Trélazé, Marc Goua. Il avait rencontré la grand-mère des deux enfants, la veille. Le mari, âgé de 35 ans, était ouvrier dans une entreprise métallurgique, à Saint-Barthélemy-d'Anjou. Son épouse, âgée de 33 ans, cherchait un emploi.

Les enquêteurs poursuivent leur travail technique d'investigation. Ils auditionnent des membres de la famille, des amis, « toute personne qui peut nous apporter des éléments ». Les deux corps ont été transportés à l'institut médico-légal d'Angers. Leur autopsie devrait être menée lundi après-midi. Quant aux enfants, entendus hier matin par les policiers, ils ont été confiés à de la famille proche.

Reste une forte émotion dans la cité du Petit-Bois, où la stupéfaction le dispute à l'accablement. « Ces gens-là, je les connaissais depuis longtemps, témoigne ce proche voisin, qui habite le quartier depuis 18 ans. Des gens sans histoire, corrects, gentils, qu'on voyait rarement traîner dehors. Jamais je n'aurais cru ça. On ne s'y attendait pas du tout. »

Jean-Michel HANSEN.
Ouest-France

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il faut impérativement que nous apprenions à déceler les situations à risque que sont les périodes critiques septennales (ici probablement le père de 35 ans).

cette période de dépression naturelle peut être très grave et amener une personne parfaitement "sans histoire, correcte, gentille" au drame qui est décrit ci-dessus.
il s'agit d'une forme d'ivresse, (non alcoolique bien entendu, mais un peu aux mêmes effets - pulsions/désinhibitions - on n'a plus de freins, plus de raison, la conscience est mise au placard) : une ivresse psychique dans laquelle on peut sombrer durant la période critique septennale, ou à l'occasion de son jour critique émotionnel aussi...
la science devrait pouvoir démontrer qu'il s'agit probablement d'une pendule hormonale qui va agir chaque septième année de notre vie sur nos émotions et notre psychisme. (tout comme ce même mécanisme fonctionne parfaitement et de façon hebdomadaire, donc en raccourci ou rapide si l'on veut, avec notre jour critique émotionnel)

les difficultés dans le couple, débouchant sur une séparation font souvent partie du scénario : des difficultés financières ou au travail peut venir accentuer le risque, mais ils peuvent eux aussi être la conséquence de l'entrée d'une personne dans sa période critique.

ces périodes critiques étant connues - et à l'avance - cela permet de prendre les devants et de parer à des conséquences parfois dramatiques... le jour critique émotionnel peut constituer aussi un déclencheur (à vérifier ici).

comment aider ?

préventivement lorsque l'on voit arriver des problèmes il faut que les gens sachent que sont des "périodes à risque accentué" et qu'il faut tout particulièrement surveiller et prendre en compte :

- la période critique septennale (ici le père y est apparemment entré à 34 ans et demi si l'âge de 35 ans est juste)

- le jour critique émotionnel (il est hebdomadaire)

il faut ensuite une vraie volonté de la part de la personne concernée mais une fois que le mécanisme est connu et compris on est soi-même étonné de son fonctionnement et l'on réagit volontiers - pas facile puisqu'il s'agit d'une grosse dépression, mais çà marche et sinon on se fait aider... tout l'entourage peut veiller et mettre en garde celui qui peut être/va être pris dans cette période tourmentée par laquelle nous risquons tous de passer successivement puisqu'il y en a une chaque septième année de notre vie à chacun.

samedi 27 juin 2009

suicide ou homicide ?

LeTélégramme.com :
Guern. Affaire Le Goff : suicide ou homicide ?

Marie-Thérèse Bogard a été retrouvée morte le 27 juillet 2005, dans l'étang de sa propriété à Guern, près de Pontivy. Après plus de deux ans d'instruction, le tribunal de Lorient a établi une ordonnance de non-lieu en 2007, concluant à un suicide. Le fils de la victime, David Le Goff, n'a jamais voulu croire à ces conclusions et s'est battu pour que soit reconnue la thèse de l'homicide. Jeudi, à Rennes, Jean-Marc Florand, avocat de la partie civile, plaidait de nouveau devant la chambre d'instruction de la cour d'appel de Rennes. La chambre doit désormais, soit rendre un arrêt confirmant l'ordonnance de non-lieu, soit ordonner le retour du dossier devant le juged'instruction de Lorient pour un complément d'information, soit renvoyer un éventuel accusé, après l'avoir mis en examen, devant la cour d'assises d'Ille-et-Vilaine. Elle a mis son jugement en délibéré au 16octobre prochain.

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pas trouvé de détails au sujet de cette affaire, mais quand même trouvé que la personne avait 56 ans... période critique septennale donc période d'un possible suicide...
le 27 juillet 2005 est un mercredi... est-elle née un mercredi ? (on a tendance à se suicider de préférence son jour critique émotionnel en raison d'un effet de pulsions/désinhibition présent à ce moment là : c'est un cycle émotionnel comportant un "down" hebdomadaire : pour les personnes suicidaires l'arrivée de ce jour peut avoir un effet déclencheur d'un passage à l'acte)

vendredi 26 juin 2009

suicide

LaBoussole74 :

Michelin : Un salarié se suicide

La Direction de Michelin a confirmé qu’un de ses employés de Ladoux dans le Puy-de-Dôme s’est suicidé sur son lieu de travail, ce mercredi.
Elle a également précisé qu’une enquête était en cours pour connaitre les raisons de ce geste désespéré. Pour elle, le drame n’aurait aucun lien direct avec les suppressions d’emploi prévues.

Cyrille Poughon (CFDT) précise également qu’il ne faut pas tirer de conclusion hâtive, d’autant que le suicide de cet homme de 55 ans s’est déroulé dans un site n’étant pas concerné par le plan de restructuration de Michelin.

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55 ans et demi est un moment délicat : l'entrée dans la période critique septennale des 56 ans.

spasmophilie

http://www.linternaute.com/sante/temoignage/temoignage/255145/vivre-avec-et-apprendre-a-gerer/

des témoignages à propos de crises de spasmophilie, un phénomène probablement à mettre lui aussi sur la liste des maux qui ont un lien avec le cycle psychique et émotionnel septennal...

dans les différents témoignages et réponses il y a 9 indications d'âge : sur ces 9 il y a 6 âges septennaux (5 pour un démarrage de la "maladie" et un pour sa fin...)
(si la période critique septennale est le début de pas mal de choses, elle peut en être aussi la fin, puisqu'il s'agit d'une période "charnière", d'une période de "changement d'état")

jeudi 25 juin 2009

drame conjugal

MONSÉGUR. Hier, la tragique disparition du couple Picque a semé la stupéfaction dans la commune où tous deux étaient unanimement appréciés et très impliqués

Un village sous le choc.

Un hameau retiré de Monségur, en pleine Chalosse. Une maison cossue, volets en bois et murs à la chaux. Un jardin soigné, des rosiers en fleurs, un potager. Autour, des champs de maïs, des troupeaux de boeufs. Un écrin de sérénité bucolique qui ne laisse en rien présager du déchaînement de violence qui a pourtant accompagné la mort, lundi, de Jean-Paul Picque et de son épouse, Annette, qui se faisait aussi appeler Juliette.

D'après les premiers éléments de l'enquête, Jean-Paul Picque, militaire en retraite depuis décembre 2007, aurait mis fin à ses jours. En tout état de cause, il est retrouvé lundi soir vers 18 heures, pendu dans la grange des voisins. Dans la maison du couple, les gendarmes découvrent son épouse, morte, étendue sur le lit conjugal. Son visage porte des traces de coups. Sur la table du séjour, une lettre, probablement rédigée par Jean-Paul Picque, qui signe en quelques lignes son geste de désespoir. En substance, il dit : « Ce n'est pas ce que je cherchais, pardon », confie le maire Dominique Cazaubeilh. Une lettre, a priori destinée aux deux enfants du défunt, nés d'un premier mariage. « J'ai eu son fils de 37 ans au téléphone ce matin (hier, Nrdl) », poursuit le premier magistrat. « Il avait des contacts fréquents avec son père et sa belle-mère. Notamment le week-end précédant les faits. Le couple lui avait confié ses problèmes conjugaux. Il les avait soutenus, ils semblaient aller mieux et puis... une nouvelle dispute a semble-t-il éclaté, le matin du drame. »

Pourquoi ?

Un drame qui devra encore livrer ses secrets. Les résultats des expertises et des examens médico- légaux - pratiqués dès hier soir à Mont-de-Marsan -, devraient permettre de préciser les circonstances exactes des deux décès. Ils seront connus dans les tout prochains jours.

Tandis que les enquêteurs et les experts tentent d'apporter des réponses à toutes les questions de cette affaire conjugale, une seule interrogation planait sur le village hier matin : pourquoi ? Et comment deux personnes unanimement appréciées ont-elles pu se déchirer ainsi ? « On est particulièrement surpris et choqué à la fois. Toute la commune est abasourdie par les événements et les circonstances », résume Olivier Léglise, adjoint au maire. « D'autant que c'était des gens sans histoires, très avenants. Rien vraiment ne pouvait laisser penser à une telle issue », poursuit l'élu. « Bien sûr, on savait qu'ils avaient des soucis conjugaux. Il y a une semaine, on avait entendu parler d'une éventuelle séparation, mais comme cela peut arriver tous les jours... »

« On les trouvait équilibrés »

Pour les voisins immédiats du couple, la stupeur est totale. « On les connaissait bien tous les deux », commence Gérard Kammerlocher. « On ne les avait jamais vus ni entendus se disputer. Pourtant, regardez : on voit leur maison depuis notre salle à manger... On les trouvait même équilibrés, c'est incroyable », poursuit-il, stupéfait. « Ce matin, j'avais la chair de poule en apprenant la nouvelle », poursuit Patricia Kammerlocher. C'est par leur truchement que les Picque ont trouvé leur maison. « À l'époque, ils habitaient Hagetmau, à côté de chez ma belle-mère. Elle nous avait dit qu'ils cherchaient à acheter. Nos voisins vendaient, on leur en a parlé ». Jean-Paul, Juliette Picque et leur chienne Rustine s'installent ainsi au 578 chemin de Calais, dans une bâtisse appelée « le Calais ». Le coup du destin pour lui qui est originaire de la sous-préfecture du Pas-de-Calais. « Mais Juliette s'ennuyait beaucoup à Monségur, elle ne s'y plaisait pas et faisait de la peinture pour s'occuper », explique la voisine. Aquarelliste, elle participait en effet à de nombreuses expositions.

Le couple adhère aussi au club du troisième âge. « Ils ont fait quelques sorties avec nous. Quelques petits voyages, mais pensez, elle connaissait déjà les lieux visités », comprend Gisèle Lalande, la femme du président du club. « Et Monsieur Picque préférait la marche. » Alors, il s'investit à l'association Trottes sentiers à Hagetmau, dont il était le trésorier. « On rentrait d'une randonnée de trois jours en Dordogne », commente le mari de la présidente, Roland Limoges. « C'était un gentil garçon, quelqu'un de très bien, dynamique, dévoué, qui racontait toujours des histoires drôles. On savait qu'ils avaient quelques différends et surtout que sa femme avait des soucis de santé. Ca fait très mal, on était très lié. » À la BA 118 où Jean-Paul Picque officiait, « il a aussi toujours donné entière satisfaction tant d'un point de vue professionnel qu'auprès de ses collègues », assure le colonel Carré.

De son côté, Juliette Picque, qui portait aussi son nom de jeune fille, Rataud, était adhérente de l'association culturelle et artistique mantoise, dont elle fréquentait tous les vendredis après-midi la section ateliers créatifs. « C'était une personne charmante, aimée de tous ceux qui la côtoyaient. Elle avait beaucoup de goût et de talent et apportait un peu de vie à l'association. Nous la regretterons beaucoup », confie la présidente Geneviève Bellarot.

Auteur : Aude Ferbos
a.ferbos@sudouest.com

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je n'ai pas trouvé l'âge de la dame afin de savoir si elle se trouvait en période critique septennale (problèmes de santé ?). pourrait-il y avoir un lien avec la naissance d'un conflit débouchant sur une séparation et la retraite du Monsieur : en 2007 il se trouvait dans sa période critique des 56 ans.
et enfin c'est surtout le jour critique émotionnel qu'il faut voir car c'est le jour des explosions et coups de folie... mais il faut la date de naissance...

mercredi 24 juin 2009

drame conjugal ou meurtre ?

zoom42.fr :

Jean-Paul Gournier devant la cour d'assises d'appel du Rhône
Le chirurgien stéphanois Jean-Paul Gournier, condamné à 25 ans de réclusion criminelle en première instance pour le meurtre de ses parents par empoisonnement, est rejugé à partir du lundi 22 juin 2009 devant la cour d'assises d'appel du Rhône. Le procès doit durer toute la semaine. Jean-Paul Gournier a toujours nié le double parricide pour lequel les jurés des assises de la Loire l'ont condamné le 19 juin 2008.

Le 30 novembre 1999, les corps de son père André et de sa mère Geneviève, âgés respectivement de 75 et 81 ans, avaient été retrouvés sans vie allongés sur le canapé et sur un fauteuil de la salle à manger de leur villa de Saint-Priest-en-Jarez. Les gendarmes avaient également découvert dans la maison une bonbonne de gaz vide ouverte et un rideau brûlé par un fer à repasser encore branché. Les expertises toxicologiques ont conclu que les décès étaient dus à la présence dans leur sang d'une forte dose de Tracrium (un produit anesthésiant contenant du curare) qui avait provoqué une paralysie musculaire suivie de la mort dans un court laps de temps.

Leur fils, Jean-Paul Gournier, 40 ans à l'époque, chirurgien cardio-vasculaire à Saint-Etienne, Montbrison et Lyon était rapidement entendu par les enquêteurs puis soupçonné, notamment à cause de sa situation financière: il était à découvert de 177 000 francs et l'héritage qu'il devait recevoir à la mort de ses parents avoisinait les deux millions et demi de francs. Il a toujours catégoriquement nié les accusations portées contre lui. Selon lui, sa mère, ancienne infirmière, aurait très bien pu tuer son mari, qu'elle savait infidèle et avec qui elle ne s'entendait plus, avant de s'injecter le poison, d'aller jeter la seringue dans une poubelle et de revenir mourir à ses cotés.

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probablement pas d'explication mais quand même une "radiographie de l'ambiance du 30 novembre 1999" si l'on regarde la situation cyclique des trois personnes. comme on connaît leur âge (pas de période critique) ce sont les cycles courts émotionnels qui pourrait apporter éventuellement quelque chose...
édit : le chirurgien a été acquitté en appel.

meurtre

ouest-france.fr :
Meurtre à la fête d'extrême droite

Un jeune homme a été tué au couteau, dimanche, dans la Sarthe. Un leader « identitaire », ancien élu FN de Dreux, a été écroué.
Le rassemblement d'une trentaine de membres de l'association « identitaire » Terre et peuple, un mouvement d'extrême droite, a viré au drame, dans la nuit de samedi à dimanche, au petit village de Saint-Denis-des-Coudrais (Sarthe).

Essentiellement venus de la région parisienne, ils étaient réunis pour fêter le solstice d'été, une tradition de ce mouvement « païen » qui revendique le « précieux héritage indo-européen » et prône la préparation des « Gaulois » à la « guerre ethnique à venir ».

L'organisateur de la célébration est Laurent Leclercq, 35 ans, conseiller municipal de Dreux entre 2001 et 2007, ancien membre du Front national et du MNR. Il s'était également présenté aux dernières municipales sur la liste « Dreux identité française ». Hier soir, au Mans, il a été mis en examen pour homicide volontaire et écroué.

Musique trop forte

La fête avait lieu dans une prairie, près du chalet où vit Laurent Leclercq depuis un mois. Moyenne d'âge des militants, environ 40 ans. Ils partagent des convictions, mais viennent d'horizons différents. Un voisin, invité à partager un verre, témoigne de la présence de fonctionnaires, d'un chauffeur routier, d'un retraité de l'armée, de jeunes au look gothique...

La soirée se passe autour d'un feu de la Saint-Jean, notamment à chanter. Puis des convives partent dormir dans des tentes, sur la prairie. Mais, vers 4 h du matin, alors que la majorité est couchée, quelques jeunes rallument un barbecue. La musique est forte et l'organisateur de la soirée vient le signaler. Une première altercation éclate, Laurent Leclercq se retrouve à terre, selon Joëlle Rieutort, procureure du Mans.

L'organisateur tourne les talons et fait la centaine de mètres qui le sépare de son chalet. Puis il revient en voiture, rejoint le groupe dans la prairie, armé d'un couteau. Toujours selon la procureure, il poignarde l'un des jeunes dans le dos. Christophe Lindeneher, 28 ans, de Rambouillet (Yvelines), décédera peu après.

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le risque est amplifié en période critique septennale... encore plus si deux septennaux de rencontrent, ce qui semble être le cas ici.
la situation en période critique amplifie les sensibilités : nous pouvons être dans un état inhabituel de nervosité et d'aggressivité. et comme il s'agit d'une période de désinhibition... les freins sont inefficaces voire défaillants...
reste encore à vérifier les jours critiques de ces personnes car s'ils sont là ce jour là la tension est encore accentuée.

mardi 23 juin 2009

Alzheimer

"La grande majorité des cas sont des formes dites « sporadiques »"...

un article Figaro.fr ou j'ai trouvé çà...
http://www.lefigaro.fr/sante/2009/06/19/01004-20090619ARTFIG00583-alzheimer-l-urgence-de-la-recherche-therapeutique-.php

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intéressant... Alzheimer sporadique...
cela correspond au fait que j'avais remarqué que certaines formes d'Alzheimer (si on peut l'appeler alors comme çà, puisque ce sont plutôt des dépressions septennales) correspondent aux périodes critiques septennales...

pour confirmer il faudrait voir quel est le moment de la survenance de ces A. sporadiques et leur fin...


en faisant une recherche je trouve que la patiente à l'origine de la découverte de la maladie d'Alzheimer en 1901 par Aloïs Alzheimer s'appelait Auguste Deter, une femme allemande... apparemment elle a eu "Alzheimer" à l'arrivée de sa période critique septennale des 49 ans (début de la maladie à vérifier, car elle avait 51 ans quand elle est arrivée chez Alzheimer) et elle est décédée la période critique suivante à 56 ans... (8/04/1906)(pas trouvé date de naissance exacte sauf mai 1850)

Alzheimer aussi n'est pas devenu très vieux : (14/06/1864 - 19/12/1915) il est décédé son jour critique physique P1 à 51 ans et 6 mois. la 52ème année de vie étant une année critique du cycle physique de 23 ans, équivalent de P6.

lundi 22 juin 2009

enlèvement bébé

europe1.fr :
Jugée aux assises pour l'enlèvement d'un bébé.

Une femme comparaît à partir de lundi devant la cour d'assises du Val-d'Oise pour l'enlèvement d'un nourrisson. Rarement ce genre d'affaires est examiné par une telle juridiction.

Une femme de 40 ans est jugée à partir de lundi devant la cour d'assises du Val-d'Oise pour l'enlèvement en août 2005 d'un nourrisson de deux jours à l'hôpital de Gonesse.

Le 25 août 2005, un enfant de trois jours avait été enlevé à l'hôpital de Gonesse, dans le Val-d'Oise, et retrouvé sain et sauf quelques heures plus tard au domicile de sa kidnappeuse, à Neuilly-Plaisance, en Seine-Saint-Denis. Cette femme, d'origine indienne et en mal d'enfant, avait prétexté devoir faire un vaccin au nouveau-né pour s'en emparer sous les yeux de la jeune maman.

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comme pour tous les comportements "émotionnels" il faut ici aussi aller chercher probablement du côté de la période critique septennale, peut-être du jour critique émotionnel également... mais je n'ai bien entendu pas de date de naissance pour le vérifier.

40 ans aujourd'hui, c'est probablement la période critique septennale des 35 ans en 2005.
le 25 août 2005 c'est un jeudi... jour critique émotionnel ?

dimanche 21 juin 2009

jours et périodes critiques émotionnels

jours et périodes critiques de nos cycles émotionnels sont des jours et périodes "test".

le jour critique est hebdomadaire, toujours le même jour de la semaine.
il va révéler, en les faisant remonter à la surface, les choses qui nous préoccupent, que l'on "a sur la patate"... et qui demanderaient à être réglées...

c'est donc un jour qui est destiné à nous faire bouger, nous bousculer, nous faire réagir, afin que nous nous occupions de nos affaires, que nous nous attaquions aux problèmes qui traînent et parfois nous causent des soucis. afin aussi que nous prenions des décisions que nous n'osons pas prendre depuis un moment déjà...
le jour critique émotionnel est notre jour de conscience ou de prise de conscience... et çà ne nous plaît pas toujours, de voir des sujets délicats rappelés à notre mémoire...

cela va nous préoccuper toute la journée dès la veille au soir, entraînant parfois, pour cette raison, des coups de blues, du cafard, de la colère. nous sommes mis face à nos responsabilités... et il n'est pas toujours évident de "prendre le taureau par les cornes" pour régler certaines affaires et prendre certaines décisions.

si ce n'est pas fait, cet effet "test" ou "effet rappel" s'arrête le soir du jour critique émotionnel. il reprendra le jour critique émotionnel suivant, ou l'un des suivants... les jours critiques émotionnels étant d'intensité différente.

si l'on observe et connaît ce mécanisme on arrive à bien mieux gérer ses préoccupations, ses coups de blues et de colère.

la période critique septennale peut être plus "ravageuse" puisqu'il s'agit d'une période longue qui va produire plus intensément le même effet... et souvent pour des problèmes et décisions plus importants, ayant plus de conséquence sur le parcours et l'orientation de nos vies... (nombreuses remises en cause et conflits de couple, remise en cause de la situation professionnelle, etc... : c'est à ce moment là que l'on se sépare, qu'on plaque tout, qu'on recommence, etc...)

(la période critique septennale se reproduit chaque septième année de notre vie, à l'arrivée d'un âge multiple de sept, et dure variablement de quelques mois à un an et demi voire plus).

cette période peut donner lieu à de graves et longues dépressions dont les conséquences peuvent être parfois dramatiques dans les cas exceptionnels, si çà se passe mal... ce sont souvent aussi les "traversées du désert" par exemple.

et là également, si on connaît le mécanisme, on peut étudier le risque à l'avance, en connaissance de cause, et réagir en étant préparé, si on le sent arriver... on peut ainsi mieux comprendre les problèmes et leur origine, réfléchir, voire arbitrer et même si nécessaire faire arbitrer différemment les solutions possibles...

samedi 20 juin 2009

suicide... coup de folie ?

Maville.com :
Tourcoing : un mort dans l'explosion d'un café-brasserie

Vers 15 h 30, hier, un incendie dû à une explosion a détruit la taverne de l'Espadon, rue de Fleurus, à Tourcoing. À l'étage de cette brasserie-friterie, qui était alors fermée, les sapeurs-pompiers ont retrouvé un corps sans vie, qui serait celui du tenancier, R. D., 49 ans. Son fils, L. D, 23 ans, légèrement intoxiqué, a été transporté à l'hôpital Dron.
Pour expliquer ce drame, la thèse du suicide de R. D. est la plus vraisemblable. Mais la police demeure prudente, l'enquête ne faisant que commencer. En raison de problèmes personnels, R. D. aurait copieusement aspergé l'étage d'essence avant d'y mettre le feu... Son fils aurait tenté de s'interposer, en vain. Il a réussi à quitter les lieux par une fenêtre de l'étage, se suspendant aux fils courant sur la façade.
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la période critique septennale peut conduire à des comportements du style coup de folie... la rage rend alors... enragé...
le problème c'est que l'état dans lequel on se trouve à ce moment là, nous fait mettre des lunettes grossissantes qui font voir nos difficultés comme absolument et définitivement insurmontables...
jour critique émotionnel ?

Steve Jobs

wikipédia :
Steven Paul Jobs (né le 24 février 1955) est, avec Steve Wozniak, le cofondateur d'Apple.
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Maladie
En juillet 2004, Steve Jobs dut subir une intervention chirurgicale afin de retirer une tumeur cancéreuse pancréatique. Plus précisément, il fut atteint d'une forme relativement rare de tumeur se nommant tumeur neuro-endocrinienne des îlots de Langerhans. Cette intervention ne nécessita aucun traitement complémentaire tel qu'une radiothérapie ou une chimiothérapie. Durant son absence, Timothy D. Cook, dirigeant des ventes et opérations mondiales d'Apple, prit le contrôle de l'entreprise.

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Steve Jobs avait 49 ans alors.
je commence à présent à vérifier aussi les cas de cancers car je tombe souvent sur des périodes septennales...

vendredi 19 juin 2009

suicide

LeParisien.fr :

Seine-et-Marne
Le retraité désespéré incendie sa maison et se suicide
SEINE-ET-MARNE. Pas question de voir sa maison saisie par la justice. Jeudi, vers 13 heures, un septuagénaire de Cesson (Seine-et-Marne) a préféré mettre le feu à son pavillon qui devait être vendu par adjudication dans l'après-midi, avant de se suicider en se jetant sous un train à la gare RER D de Savigny-le-Temple.

Le drame est survenu dans le quartier Nouveau-Village, une zone pavillonnaire paisible.

Le vieil homme âgé de 79 ans aurait installé des bonbonnes de gaz, mis le feu à plusieurs endroits de sa maison avant de quitter les lieux. Direction la gare de Savigny. Vers 13h30, l'homme s'est jeté sous le train Auxerre-Paris. Le trafic sur la ligne du RER D a été interrompu et rétabli entièrement vers 17h20. Deux trains Paris-Auxerre et Clermont-Ferrand-Paris avec 300 et 400 voyageurs à bord ont dû être évacués. Les passagers ont été redirigés vers d'autres convois.

La victime était «en grande souffrance», selon la mairie. «Cela faisait des années qu'il menacait de se suicider et tout faire sauter», confie un voisin. Il y a quelques jours, le septuagénaire avait cloué un panneau expliquant sa souffrance à côté de sa porte d'entrée, à la vue des passants.

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on ne devrait pas en arriver à une adjudication dans un cas pareil...
pour ce qui est de la "grande souffrance" depuis des années, je pense qu'il faudrait aller voir à l'entrée de la période critique septennale des 77 ans : 76 ans et demi... si à ce moment là il y a des indices il est important de suivre de plus près une dépression septennale qui peut empirer...

dément

Un dément dangereux remis aux Baumettes
...
Bien que déclaré dément par les experts et donc irresponsable pénalement, le meurtrier présumé de la rue Consolat a quitté paradoxalement l’asile psychiatrique pour être de nouveau écroué à la maison d’arrêt des Baumettes.

Un second rapport d’expertise du 9 avril 2009 avait pourtant confirmé l’aliénation mentale de Fathi Abdelmalek-Chichaoui, 48 ans, mis en examen pour avoir poignardé de 28 coups de couteau Farid Mezghiche, 36 ans, dans la nuit du 5 au 6 février 2009, au 115, rue Consolat (1er).
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=4837&hl=

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un coup de folie qui pourrait bien avoir un lien avec l'entrée dans la période critique septennale ?

jeudi 18 juin 2009

peine de mort

"La peine de mort n'est pas dissuasive" pour les criminologues américains

Article posté par Stéphane Bourgoin le Jeudi 18 juin 2009 sur Librairie 3ème Oeil.

" La peine de mort ne dissuade pas de commettre un crime selon une écrasante majorité de criminologues interrogés dans une nouvelle étude menée par des chercheurs de la Northwestern university à Chicago (Illinois, nord) et publiée cette semaine.

Dans cette étude de 2008, calquée sur une recherche similaire en 1996, des universitaires ont interrogé 79 experts en criminologie appartenant à la Société américaine de criminologie, la plus grosse association mondiale dans ce secteur, ou ayant remporté un des prix qu'elle remet. Ils leur ont demandés "de ne pas répondre en fonction de leur opinion personnelle" sur la peine de mort mais "de leur approche basée sur l'expérience".


Non dissuasive
Résultat: 88,2% répondent non à la question de savoir si "la peine de mort est dissuasive", en légère augmentation par rapport à 1996 (83,6%). En comparaison, expliquent les chercheurs Michael Radelet et Traci Lacock, lorsque la question a été posée dans un sondage auprès du grand public en 2006, 64% estimaient que le risque d'être exécuté ne réduisait pas le nombre d'homicides. Quant à savoir si l'abolition de la peine capitale dans un Etat américain modifierait le nombre de meurtres, 87% des criminologues interrogés "pensent" ou "sont convaincus" que non (86,5% en 1996).

Leur écrasante majorité (90,5%) affirme aussi que la possibilité d'être condamné à la perpétuité réelle et non à mort n'est pas moins dissuasive, de même que la perspective de voir raccourci le temps moyen passé dans le couloir de la mort, aujourd'hui de 8 à 10 ans: 87,6% que ce ne sera pas plus dissuasif. Seuls 2,6% en revanche pensent que les exécutions pour meurtre découragent quelqu'un de commettre un meurtre.

"Un mythe"

En outre, 75,4% pensent que les politiciens la défendent pour montrer qu'ils répriment sévèrement les crimes, contre 86,6% il y a 13 ans. "Notre étude montre qu'une large majorité des plus brillants criminologues au monde estiment que l'expérience révèle que l'hypothèse de la dissuasion est un mythe", affirment les auteurs de l'étude en conclusion. Les Etats-Unis ont exécuté 37 personnes en 2008 et 32 dans les six premiers mois de 2009."

Source : AFP (18 juin 2009)

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et je pense que c'est idem pour toute peine...

mercredi 17 juin 2009

Alec Baldwin

7jours.canoe.ca :
Alec Baldwin sauvé par Whoopi Goldberg
En 2007, Alec Baldwin a été durement critiqué après qu’un message vocal laissé à sa jeune fille a fait surface sur Internet. La star a dévoilé qu’il souffrait alors de dépression.

«Grossière petite truie» étaient les mots qui ont choqué le monde entier. Alec Baldwin avait alors perdu les pédales en laissant un message sur la boîte vocale du téléphone portable de sa fille Ireland Eliesse alors agée de 11 ans. L’acteur de 51 ans a révélé lors d’une nouvelle entrevue que lorsque ce message a été dévoilé à tous, il a envisagé de se suicider. À cette époque, Baldwin et son ex-femme, Kim Basinger, étaient dans la sixième année de leur amère bataille juridique concernant la garde de leur fille unique.

«J'ai parlé à beaucoup de professionnels qui ont su m'aider. Si je m'étais suicidé, les avocats de Kim Basinger aurait considéré que c'était une victoire. Me détruire était leur but avoué», expliquait Baldwin.

C’est nulle autre que Whoopi Goldberg qui a tendu la main à l’acteur en lui donnant la chance de s’exprimer librement lors de l’émission The View, co-animé par l’humoriste: «Whoopi est une véritable amie. Je lui ai téléphoné pour lui demander de me sortir de cette dépression. Elle a accepté en m’offrant une tribune où j’ai pu discuté de mes problèmes sans gêne et sans jugement», expliquait Baldwin.

Goldberg a aussi convaincu Baldwin de ne pas abandonner ses projets télévisés en plus de l’interdire formellement de renvoyer son agent.

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dépression septennale des 49 ans pour Alec Baldwin. cela peut aussi expliquer son message vocal à sa fille : je n'ai pas trouvé la date du message, mais il n'est pas du tout à exclure que ce soit le fait d'un jour critique émotionnel... (natif du jeudi il est dans son jour critique émotionnel du mercredi soir au jeudi soir)

mardi 16 juin 2009

infanticides

Librairie 3ème oeil :

Auteur d'un double infanticide et souffrant du syndrôme de Münchausen, une mère est internée

" Huit ans après un double infanticide, la chambre des mises en accusation de Liège a décidé d'interner Hélène Rondeau. Atteinte d'une déficience mentale, cette femme a été jugée irresponsable de ses actes. Elle avait étouffé deux de ses enfants.

La chambre des mises en accusation de Liège a prononcé l'internement d'Hélène Rondeau, une mère soupçonnée d'avoir étouffé deux de ses enfants, des jumelles, annonce lundi soir RTL-TVI. Elle a été jugée irresponsable de ses actes, indique la chaîne.
La première des deux jumelles est décédée en 1995, à l'âge de deux ans, et la deuxième en avril 2001, à huit ans.

Une analyse psychiatrique avait révélé qu'Hélène Rondeau souffrait du "syndrôme de Munchausen". Il s'agit d'une maladie mentale rare qui pousse une mère à surprotéger ses enfants, pouvant conduire au meurtre."

Source : RTL.BE (15 juin 2009)

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pas trouvé l'âge de Hélène Rondeau... qui m'aurait intéressé.
il n'est pas à exclure que la personne se soit trouvée à chaque fois en période critique septennale, vu l'écart des crimes. c'est d'ailleurs souvent le cycle psychique et émotionnel septennal et ses périodes critiques qui explique des passages à l'acte séparés d'environ un septennat...
la plupart des infanticides sont commis en période critique septennale. et on peut probablement rajouter le syndrome de Münchhausen à la liste des manifestations liées aux périodes critiques septennales. reste à voir ici si c'est bien cela.

Jacques Chirac tout chose

LePost :

"Le Petit Journal a fabriqué une perle mardi dernier.La vidéo qui montre Jacques Chirac en pleine séance de séduction, alors que Bernadette est à ses côtés a été vue plus d'un million de fois."

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la vidéo de l'inauguration de Saran a beaucoup de succès...
il y a probablement deux ingrédients qui ont fait que Jacques Chirac soit tout chose ce jour là... (mardi 9 juin)

Jacques Chirac, né le 29 novembre 1932, et c'était "son mardi" :


juin 2009
Di 7
Lu 8
Ma 9 P(7) E(8) I(1)
Me 10
Je 11

nous avons non seulement un jour triple critique : physique, émotionnel (surtout) et intellectuel... le jour critique émotionnel est notre jour "mélancolie"...
mais en plus Jacques Chirac se trouve en plein dans sa période critique septennale des 77 ans, dans laquelle il est entré en mois de ... mai 2009... à 76 ans et demi.


et Bernadette ?

Bernadette Chirac est née le 18 mai 1933 :
elle est en jour neutre ce jour là, avec 76 ans au mois de mai, elle entre dans sa période critique en décembre prochain.

dimanche 14 juin 2009

dépression septennale

arcinfo.ch :

«C'était une fuite, je travaillais pour ne pas me poser de questions»

Dans trois semaines, Valérie Garbani ne sera plus conseillère communale. Comment vit-elle cette situation? Que fera-t-elle par la suite? Où en est-elle dans sa santé? Elle répond à nos questions.

A quelques jours de quitter votre fonction, quel est votre sentiment?

Je vis bien cette situation, même si, bien sûr, je préférerais rester. Mais le seul moyen de rester la plus sereine possible, c'est de regarder vers l'avenir.
Qu'est-ce qui l'emporte aujourd'hui: le soulagement de pouvoir bientôt vivre plus librement ou la déception d'avoir dû démissionner et de quitter votre fonction?

Ça dépend des jours. Mais il y a plus de hauts que de bas. Oui, le soulagement l'emporte... Aujourd'hui, je sais que j'ai fait une dépression. Cela s'est produit il y a environ deux ans, mais à l'époque, je n'en ai pas pris conscience. Je ne me suis donc pas comportée en conséquence, et je me suis encore moins soignée. J'aurais dû alors tout arrêter durant deux mois pour me remettre d'aplomb, plutôt que de foncer dans le mur.
Vous estimez avoir foncé dans le mur...

Oui. J'ai fait ce constat avec le psychiatre que je vois une fois par semaine depuis le printemps 2008. Depuis des années, je ne fais que bosser, sans prendre le temps d'analyser ma vie personnelle. Sans prendre le temps, non plus, de consacrer du temps à mes proches. Mais c'était une fuite en avant: je travaillais pour éviter de me poser des questions.

C'était donc une erreur de vous présenter aux élections communales de mai 2008?

Je ne dirais pas cela comme ça. A ce moment-là, je pensais sincèrement que j'étais juste dans une mauvaise passe, et qu'avec le suivi psychiatrique et les antidépresseurs, j'allais remonter la pente. Lorsque j'ai décidé de maintenir ma candidature, je croyais fermement être à même de poursuivre mon mandat.
Avec le recul, avez-vous un sentiment de gâchis?

Non, car du point de vue professionnel, j'ai toujours rempli ma tâche avec sérieux. J'ai soumis onze rapports au Conseil général en 2008, et j'en suis à dix rapports cette année. Je n'ai pas flemmé. Par contre, j'ai un sentiment de gâchis vis-à-vis de mes proches et de ma famille. Car le plus difficile, finalement, ce sont eux qui l'ont supporté. Je pense également à tous les collaborateurs que j'ai côtoyés durant cinq ans. Je regrette de devoir partir dans ces conditions.

Ce qui vous est arrivé, c'est la faute à qui?

A moi. Je n'ai pas su écouter les autres. Plusieurs personnes m'ont dit: «Tu dois admettre que tu as un problème». Mais je l'ai admis tardivement...
Après votre départ du Conseil communal, qu'allez-vous faire?

Au mois de juillet, je vais me mettre au vert, faire des balades en forêt, de la moto. Ça sera surtout l'occasion de faire le point sur ce que je veux faire par la suite.
Et du point de vue de votre santé? Allez-vous profiter de cette période pour entamer une thérapie plus en profondeur?

Une fois par semaine, c'est déjà pas mal! (sourires). Je ne sais pas. Je verrai si je dois me diriger vers une psychothérapie au sens premier du terme. Car actuellement, c'est davantage de l'accompagnement. Peut-être qu'il faudra procéder à un travail personnel plus conséquent.. Ce qui est sûr, c'est qu'une psychothérapie ne pourrait pas réussir tout en exerçant la fonction qui est la mienne actuellement.

Nous avions entendu parler d'une autre maladie que la dépression...

Dans un premier temps, la question s'est posée de savoir si je n'étais pas borderline (réd: trouble de la personnalité avec humeurs changeantes, relations humaines délicates, manque de confiance en soi, comportements auto agressifs.). Mais ce n'est pas le cas. Sinon, j'aurais «craqué» bien plus tôt.

Comment envisagez-vous votre avenir professionnel?

Je souhaite retrouver du travail le plus vite possible. Jusqu'à présent, toutefois, je n'ai postulé que deux fois... Il n'est pas impossible que je réintègre mon ancienne étude d'avocats, mais dans ce cas, ce serait à 50%, car je n'ai pas envie de ne faire que du droit. Je devrais donc trouver autre chose. Le monde de la santé m'attire.
Pensez-vous que l'image qui est la vôtre constituera un obstacle dans votre recherche d'emploi?

D'ici fin 2009, ça sera sans doute difficile. Je devrai prouver que tout va de nouveau bien pour moi. J'imagine bien que certaines personnes ne m'engageront jamais... D'un autre côté, je peux me prévaloir d'un CV qui n'est pas trop mal. Et je dispose d'une vaste expérience... J'ai bien l'intention de ne pas finir à l'AI! /PHO


PASCAL HOFER


Treize mois

Avril 2008 Après des dérapages précédents, Valérie Garbani est délogée de l'appartement de son ex-compagnon. Prise de boisson, elle injurie et menace des policiers. Cédant sous la pression, elle est mise en arrêt maladie.

Avril 2008 Elle réapparaît juste avant les élections communales. Elle présente ses excuses, annonce se soumettre à une thérapie et se dit prête à assumer un nouveau mandat. Elle est réélue.

Juin 2008 En pleine zone piétonne et en petite tenue, Valérie Garbani hurle à sa fenêtre. Elle dira avoir reçu des coups de son compagnon.

Août 2008 Pour les faits du 13 avril, la conseillère communale est condamnée à 800 francs d'amende et 4500 avec sursis.

Mars 2009 Elle dérape lors d'une soirée dans une discothèque. Le lendemain, elle annonce sa démission. Elle quittera le Conseil communal le 5 juillet. /pho


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un exemple type où le fait de savoir que l'on entre et qu'ensuite on séjourne pendant environ une année à une année et demie dans une période critique septennale peut éviter des tas de problèmes...

née le 19 septembre 1966 (jour critique émotionnel lundi) Valérie Garbani est entrée dans sa période critique des 42 ans en avril 2008 (on entre dans la période critique en question à 41 ans et demi et c'est l'un des moments les plus délicats) et la situation qui peut être de grave dépression ou autres "disjonctions" va pouvoir durer jusqu'à la fin de la période critique à l'anniversaire de 43 ans. (ici septembre 2009)

forcené

Le forcené tue un père de famille

Retranché chez lui à Guémar (Haut-Rhin) pendant toute la nuit de jeudi à vendredi, un homme de 59 ans a tué un père de famille de 37 ans et blessé un automobiliste. Le forcené, retraité et père de deux enfants, semblait excédé par «un groupe d'adolescents qui parlaient fort» dans le village, une version que le parquet n'a pu confirmer.


Selon le parquet, l'homme s'était retranché dans sa maison vers 0h30 avec une carabine 22 long rifle avec laquelle il a tiré à trois reprises sur un homme de 37 ans venu parler avec lui, le touchant grièvement à l'épaule.

Ce père de famille, est décédé des suites de ses blessures vers 1 heure. Plus tard, l'homme a tiré à deux reprises sur un automobiliste de 22 ans, le blessant à l'oeil. Ses jours ne seraient pas en danger.

Tandis que le GIGN avait pris position autour du domicile vers 4 heures du matin et que le village était bouclé, l'homme, alcoolisé, a été interpellé vers 8h30 alors qu'il s'apprêtait à sortir de la maison, sans arme. Il a été placé en garde à vue à Colmar. Cinq jeunes ont également été entendus dans la matinée.

L'épouse du forcené avait quitté le domicile jeudi en début de soirée pour se rendre chez des proches.

Une information judiciaire pour «homicide et tentative d'homicide» a été ouverte. L'enquête a été confiée à la section de recherche de la gendarmerie.

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à 59 ans pas de période critique. il reste un déclencheur possible, c'est le jour critique émotionnel : c'est le jour de nos possibles "explosions". nous pouvons être ce jour là désinhibé et poussé à de grandes colères : par contre l'alcool peut faire le même effet n'importe quel jour.
s'il y a jour critique émotionnel dans le cas présent l'intéressé serait un natif du vendredi puisque c'est arrivé dans la nuit du jeudi à vendredi. l'épouse avait-elle quitté le domicile le soir même à cause de problèmes ? le jour critique émotionnel est un jour particulier de possibles violences et c'est un jour qui démarre en début de soirée, la veille. (beaucoup de problèmes et violences conjugales à cause de cela dès le soir d'un jour critique émotionnel)...
mais comme dit... reste à voir les effets d'une alcoolisation : celle-ci peut y être pour quelque chose, mais elle peut aussi accentuer... en raison d'un état de mal-être psychique ou moral on va plus être tenté de boire un jour critique émotionnel, ce que je précise toujours à l'intention des personnes qui veulent décrocher de l'alcool par exemple..

samedi 13 juin 2009

Laurent Fignon

LeJDD.fr :

Fignon: "Je n'ai pas peur de mourir"
Propos recueillis par Guillaume REBIERE et Olivier JOLY
Le Journal du Dimanche

Laurent Fignon devait faire l'actualité avec la sortie ces jours-ci de son autobiographie (Nous étions jeunes et insouciants) dans laquelle il reconnaît sans ambiguïté avoir "fait le métier". Mais l'ancien coureur a été rattrapé par le destin quand il a appris qu'il était atteint d'un cancer. Une maladie qu'il affronte avec détermination et lucidité. Il se confie au JDD. Extraits.


Quand avez-vous appris votre maladie?
Vers le 20 mars, j'enregistrais une émission de télévision. Il fallait que je tourne la tête sans arrêt comme ça (vers la droite) pour regarder un écran. D'un seul coup, j'ai eu mal au cou. Je me suis dit que je m'étais fait un torticolis. Trois jours après, des boules sont sorties dans le cou. J'ai traîné un peu avant de voir un toubib. On a commencé les examens. Trois semaines plus tard, le téléphone sonne dans ma voiture. Le médecin me dit: "On a trouvé des cellules cancéreuses, des métastases." Et voilà. (Il rit.) J'étais fixé.

De quel type de cancer s'agit-il?
A ce moment, il ne pouvait pas me dire d'où il venait. Il a fallu faire une biopsie à l'hôpital Georges-Pompidou, à Paris. On a fait des prélèvements à l'estomac, dans les bronches... Résultat: "Cancer digestif." A ce jour, on ne sait pas encore où se situe le cancer primitif: estomac ou pancréas, sans doute le pancréas.

Votre cancérologue sait-il que vous êtes un malade particulier?
Je ne suis pas un malade particulier. Pour eux, il n'y a que des malades. Il faut aller dans les services de cancérologie, voir la chance qu'on a quand on n'est pas malade. Je ne suis pas un petit vieux qui pèse quarante kilos. Je peux encaisser plus de choses que les autres. C'est un cancer grave que j'ai, pas une petite prostate de rien du tout. Mais je vais faire tout ce qu'il faut pour ne pas y passer.

Il y a une curieuse concordance entre la découverte de votre maladie et la sortie de votre autobiographie...On l'a finie avant que je sache. Il n'y a pas une page sur le cancer. C'est un peu con! Ça fait vingt ans qu'on me demande d'écrire un livre. Dès la fin du Tour 1989 [perdu pour 8 secondes]. On me proposait de refaire ma carrière. J'avais envie d'autre chose.

C'est-à-dire?
Aujourd'hui, vous entendez tous les sportifs dire: "Je veux prendre du plaisir." A mon époque, on n'en parlait jamais, on l'avait tout le temps. C'est ça que j'ai raconté.

Quand vous relisez le livre, que vous dites-vous?
Ce n'était que des belles années. C'était un sport difficile, mais on l'a fait pour le plaisir. Même le dopage, ce n'était pas la même mentalité. Oui, le dopage, petit ou grand, cortisone ou EPO, sert à tricher.

Votre cancer peut-il être lié au dopage?
J'en ai parlé avec mes médecins. Je leur ai dit ce que j'avais pris comme produits. Ça les a fait sourire, ils pensaient que c'était beaucoup plus. Les amphétamines, la cortisone... à ces doses, c'était ridicule. Je n'ai jamais touché aux hormones de croissance. Et puis, sinon, tous les gars de ma génération auraient un cancer. C'est un pur hasard. Ou un facteur aggravant, à la limite.


RETROUVEZ DEMAIN DANS LE JOURNAL DU DIMANCHE ET SUR LE JDD.FR L'INTEGRALITE DE CETTE INTERVIEW.

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Laurent Fignon est né le 12 août 1960. il a donc 48 ans et 6 mois en mars dernier soit précisément l'entrée dans la période critique septennale des 49 ans.
il se passe souvent quelque chose à ce moment là : il sort son autobiographie, et j'avais parlé récemment de l'apparition de certains cancers au moment de l'entrée ou du séjour en période critique septennale.

je dirais, en reprenant la question citée plus haut :
"Il y a une curieuse concordance entre la découverte de votre maladie, la sortie de votre autobiographie... et l'entrée dans la période critique septennale des 49 ans..."


mars 2009
Di 15
Lu 16
Ma 17
Me 18 P(18)
Je 19 P(19)
Ve 20 E(1)
Sa 21

le 20 mars est un jour critique émotionnel.
si c'est "vers" le 20 mars il faut voir : il y a P18 et/ou P19 jour critique physique juste avant. un jour critique physique est un jour à risque d'accident. chez les sportifs par exemple c'est le jour des ligaments, muscles, entorses, etc... car on ne s'échauffe pas comme d'habitude.. on est "bloqué". c'est par exemple le jour des ruptures du tendon d'Achille. dans le quotidien on peut tomber on se faire un lumbago ou un torticolis parce qu'on est plus "raide" que d'habitude...

vendredi 12 juin 2009

forcené

nouvelobs :
Aisne: un forcené retranché à son domicile
AP | 11.06.2009 | 16:34
Un forcené armé était retranché chez lui à Marle (Aisne) depuis jeudi matin après avoir tiré au fusil de chasse sur des ouvriers, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.

Un négociateur de la gendarmerie a été dépêché sur place pour tenter de l'amener à se rendre. Le groupe d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) a été préalerté.

Selon les premiers éléments de l'enquête, cet homme âgé de 56 ans a ouvert le feu à plusieurs reprises avec un fusil de chasse sur des ouvriers qui travaillaient sur un chantier. Cet homme, divorcé et père de deux enfants, s'est ensuite réfugié chez lui.

Il est connu "pour des troubles psychologiques" et a déjà été hospitalisé d'office à plusieurs reprises, indiquait-on à la gendarmerie.

Cet ancien clerc de notaire aurait deux armes déclarées à son nom. Par mesure de sécurité, 26 logements ont été évacués. AP

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çà peut arriver... surtout à 56 ans.

infanticides et périodes critiques

LeTélégramme.com :
Infanticide. Le drame du silence
12 juin 2009 - Réagissez à cet article
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.Hier, à Saint-Brieuc, Valérie Serres, accusée du meurtre de son bébé, découvert dans le congélateur familial en 2008, a témoigné d'une vie de couple gangrenée par le silence.

17h, hier. Strict tailleur noir, chemisier écru et longue queue-de-cheval tressée, Valérie Serres, ex-épouse Le Gall, reprend place dans le box. La jeune femme de36 ans tient une photo de ses enfants qu'elle serre fort. L'accusée baisse la tête quand son beau-père, Jean-Yves, s'avance à la barre. C'est lui qui le 23mars 2008 a découvert le corps du bébé, dans le congélateur familial. La voix chevrotante, le grand-père de 72 ans explique avoir passé ladite journée à diverses tâches ménagères à la ferme de sa belle-fille qui ne soigne plus son intérieur. C'est pour cela qu'il s'est intéressé au congélateur débordant de glace. Le retraité dit avoir été «choqué» par la macabre découverte. «Personne ne se doutait de sa grossesse; pas plus que nous n'avions su pour son deuxième enfant». En 2005 déjà, ValérieSerres avait caché à tout le monde qu'elle était enceinte.

Des soucis d'argent


Les relations du beau-père avec sa belle-fille? «Pas un mot plus haut que l'autre. Et elle s'occupait bien des enfants». Des soucis constatés au sein du couple? «D'argent, oui». À plusieurs reprises, le patriarche a renfloué le ménage empêtré dans les dettes. Depuis 2003, date de l'installation à Saint-Nicolas-du-Pélem (22), le couple travaille dur. Sauf que la jeune femme n'est pas faite pour l'âpreté des campagnes reculées. Au Ruhaër, la solitude qui la ronge depuis son enfance vire à la dépression. Se repliant sur elle-même, l'enfant de Tarbes, à l'histoire familiale douloureuse
, se mure dans le silence.

Des mensonges dans le couple

Peu doué pour afficher ses sentiments, Frédéric, son mari, explique avoir bien tenté de la faire réagir. Mais la communication «part souvent en vrille», car Valérie préfère mentir sur les comptes dans le rouge. Le mensonge? Une des plaies du couple marié depuis 1999. En 2002, Frédéric entretient une relation extraconjugale. Le jour où il lui annonce qu'il veut divorcer, elle lui fait savoir qu'elle est enceinte de leur premier enfant. Finalement, il se ravise et décide «d'assumer (ses) responsabilités». Mais la «cohabitation» est de plus en plus chahutée par la violence sourde et parfois physique. Des coups - «Une quinzaine de fois, pas plus», dixit FrédéricLeGall - marquent l'accusée, au point d'avoir «peur». De là, ses deuxièmes et troisièmes grossesses cachées.


Sincérité ou stratégie


Un exposé qui interroge la présidente Angel. Pourquoi, en prison, où elle ne risquait plus les foudres présumées du mari, l'accusée donnera-t-elle, en 2008, une nouvelle fois naissance à un bébé (conçu avant la détention), sans que quiconque n'ait subodoré sa grossesse? «Peur de la réaction des codétenues», réplique la jeune femme. Pour Me Graïc, avocat du mari, partie civile, Valérie Serres dissimule. À chaque fois, elle se savait enceinte et le gardait pour elle. Il veut en savoir plus sur la nuit du drame. «Je ne me souviens plus, que des flashs». Une vive douleur au ventre, un mouvement de bras au clair de lune... Elle reconnaît avoir commis l'irréparable en juillet2007, dans la buanderie, mais ne se «reconnaî(t) pas» dans son geste. «Les autres grossesses, je les désirais; celle-là, je l'ai niée». Totale sincérité ou stratégie de défense? Aujourd'hui, les experts en diront plus sur la psychologie de l'accusée, avant le verdict, ce soir.

Arnaud Morvan

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il est toujours intéressant d'examiner le cycle psychique et émotionnel de toute personne qui a ou qui a eu un problème car souvent il existe un lien avec ses périodes critiques s'agissant de périodes à "état d'esprit très particulier"...
la plupart des infanticides ont un lien avec la situation en période critique.

si Véronique Courjault, dont le procès se déroule également, semble avoir été en période critique des 35 ans lorsqu'elle a accouché de ses enfants en 2002 et 2003 il semble bien en être de même ici...

d'autres éléments dans cet article décrivent les symptômes de la dépression septennale des 35 ans. (j'ai mis en gras)

je n'ai pas trouvé l'âge du mari car là aussi il faudrait voir : les relations extra conjugales sont souvent le fait de l'entrée dans une période critique de même que les mésententes et séparations des couples...

bref, du pain sur la planche qui pourrait faire avancer et mieux comprendre les choses.

jeudi 11 juin 2009

suicide septennal

People.fr :
Carrie Ingalls de la "Petite Maison dans la prairie" : effondrée par le suicide de son mari
… .C'est une tragédie qu'est en train de vivre l'actrice Sidney Greenbush, 39 ans, alias l'inoubliable interprète de la petite Carrie Ingalls dans la mythique série multi rediffusée " La petite maison dans la prairie ". Le 5 mai dernier, son mari William "Rocky" Foster, 55 ans, un éleveur de chevaux de renom, s'est suicidé dans des circonstances tragiques. Très concrètement, ce dernier, apprenant que sa femme avait l'intention de divorcer, l'a appelée et s'est tiré une balle pendant leur conversation téléphonique. Cela faisait neuf ans que le couple était marié. Ils vivaient retirés du monde du showbiz, s'occupant de chevaux dans un ranch en Californie. Une source proche de l'ex enfant star a déclaré à la presse : "Je sais que Sidney aimait profondément son mari. Mais c'est une femme forte et j'espère qu'elle sera en mesure de dépasser cette tragédie". Nous lui présentons, en tout cas, toutes nos condoléances et nous lui souhaitons beaucoup de courage dans ce moment si difficile... Toutes nos pensées l'accompagnent !

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l'entrée dans la période critique des 56 ans a fait quelques victimes célèbres, ces derniers temps... en voici probablement une de plus...

violences conjugales

AFP :

les chiffres sont impressionnants: en France, en 2007, une femme est morte tous les 2 jours et demi sous les coups de son compagnon, soit un total de 166 décès, selon les données publiées par le gouvernement.

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166 décès en 2007 : combien en jour critique émotionnel de l'un ou de l'autre des conjoints ?
et combien en période critique septennale de l'un ou de l'autre des conjoints ?

la majorité.

bon je pousse un peu sans savoir puisque je n'ai aucune donnée. mais je suis persuadé que l'analyse serait très intéressante.

il suffit de : date de naissance des deux époux et date du drame, pour vérifier s'il y a jour ou période critique.

le jour critique émotionnel est notre "jour de colère et jour à risque d'explosion"
la période critique septennale est notre période Hyde.
ce sont des jours et périodes de pulsions/désinhibition qui peuvent conduire à un drame en cas de tensions ou conflit.
et ces jours et périodes sont connus à l'avance, ce qui permet de les prévenir.

drame conjugal

sud.ouest.com :
Bain de sang au petit-déjeuner

Maria Teresa Garcia de Burgos était assistante de vie. Dans la maison qu'elle habitait à Lagor depuis 1980 avec son époux, le long de la route de Vielleségure, cette garde-malade de 58 ans s'occupait de deux pensionnaires.

Quand le médecin s'est présenté pour sa visite mensuelle aux deux patients, le 4 septembre 2007 vers 10 heures, il a découvert la maîtresse des lieux gisant dans une mare de sang, au milieu de la cuisine. L'examen de son corps révélera qu'elle a été tuée sauvagement, à coups de barre de fer et de couteau.

Homicide conjugal

Le mari de la défunte, Antonio Garcia de Burgos, 64 ans, est jugé aujourd'hui par la cour d'assises des Pyrénées-Atlantiques, à Pau, pour cet homicide conjugal.

Le sexagénaire, qui jouit de la présomption d'innocence, a rapidement été suspecté. Y compris par son propre fils, quand il a été prévenu de la macabre découverte.

Il faut dire que ce retraité espagnol, qui a exercé diverses professions manuelles dans le bassin de Lacq avant de se retirer à Lagor, avait disparu de la maison. Mais pas sans laisser de traces. Des habits ensanglantés avaient ainsi été abandonnés dans la maisonnette par le mari. Quant aux pensionnaires, deux personnes âgées, elles faisaient état d'une très vive altercation entre les conjoints à l'heure du petit-déjeuner.

Un dispositif de recherche, terrestre et aérien, avec surveillance des frontières, est alors mis en place. Mais il ne donne rien.

Pour autant, la cavale du retraité ne devait pas durer bien longtemps. Le soir même, vers 22 h 30, il se rend de lui-même au commissariat de police d'Hendaye, où il explique qu'il s'était réfugié dans son Espagne natale. Et surtout, il reconnaît avoir tué celle dont il partageait la vie depuis 1968.

Pourquoi avoir précipité le moment où la mort séparerait les deux époux ? Et pourquoi avec une telle brutalité ? L'enquête de gendarmerie qualifie le traitement infligé à la victime d'« acharnement ». Évoque un « corps supplicié ». Si l'on en croit les déclarations faites par le suspect aux enquêteurs, tout serait parti d'un banal accrochage verbal.

Les deux époux, qui dormaient dans des chambres à part, se seraient retrouvés dans la cuisine. C'est alors que Madame aurait lâché à son époux une remarque sur un possible divorce, le froissant au passage en évoquant sa famille et sa virilité.

Quarante ans de rancune

C'en était trop pour l'Ibérique, qui sortait dans le jardin pour se calmer, assure-t-il. Mais en revenait une barre de fer à la main. Son épouse aura beau tenter de se défendre en lui jetant son café au visage, elle devait succomber dans un bain de sang. Une violence que son auteur présumé explique par les quarante ans de souffrances que lui aurait apportés son mariage.

Antonio Garcia de Burgos est détenu à Pau depuis septembre 2007. Son procès, présidé par Jean-Louis Lesaint, doit durer trois jours. L'accusé sexagénaire a confié sa défense à Me Philippe Gensse (Bayonne).

Les enfants du couple se sont constitué partie civile. Leurs intérêts seront représentés par Me Gallardo. Le verdict est attendu vendredi.

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le 4/09/2007 est un mardi : jour critique émotionnel ?

ailleurs j'ai encore trouvé :

"Alors en 1972, Garcia de Burgos fugue. Il abandonne femme et enfants. Adieu Madrid. Cap sur Mourenx, où vit sa soeur. « Les mensonges de ma femme étaient intenables. Je voulais refaire ma vie. Mais au bout d'un mois, sa soeur m'a retrouvé et me l'a ramenée. » À l'en croire, il n'y aura pas d'explication de texte au sein du couple. Il reprend la vie commune en France, comme si de rien n'était."

or si aujourd'hui c'est probablement la période critique septennale des 63 qui est en cause, la "fugue" de 1972 c'était au moment de l'entrée dans la période critique des 28 ans si j'ai bien calculé.

mercredi 10 juin 2009

incendiaire

LaVoixduNord.fr :

Incendie mortel de Vendin-le-Vieil : le jeune voisin interpellé a reconnu les faits
mercredi 10.06.2009, 04:50 - La Voix du Nord
| APRÈS LE DRAME |
Soupçonné d'être à l'origine de l'incendie mortel qui a ravagé lundi matin une maison de Vendin-le-Vieil, près de Lens (notre édition d'hier), un voisin de 20 ans sera présenté aujourd'hui au parquet. Dans le quartier où s'est joué le drame, l'émotion est encore vive. Et la mère du mis en cause n'arrive toujours pas à croire à la possible implication de son fils.

Le voisinage parle d'un garçon « turbulent », qui n'avait « pas toute sa tête ». « Il n'avait pas l'air méchant, il disait toujours bonjour », raconte un habitant, mais « il y a quelques années, une pétition avait circulé pour qu'il arrête de faire du grabuge dans le quartier », rappelle une quinquagénaire qui réside à proximité du sinistre.
Ce garçon a aujourd'hui 20 ans. Depuis son interpellation lundi au domicile familial quelques heures après le drame, il est soupçonné d'avoir mis le feu à la maison de ses voisins. Incendie dans lequel a péri l'un des occupants, âgé de 76 ans. « Des gens sans histoires, gentils et serviables, poursuit la riveraine. Tout le monde est sous le choc. » La mère de Sébastien Morin, le mis en cause, l'est aussi. « J'ai une grosse pensée pour eux. Nous avions de très bons rapports. »
« De gros problèmes de santé »
Selon le parquet, son fils a reconnu être à l'origine de la tragédie lors de sa garde à vue, sans pouvoir expliquer son geste. Elle ne veut « pas y croire ». « Si c'est vraiment lui, on ne pourrait pas l'accepter, mais ce serait un acte involontaire. Il n'aurait jamais voulu la mort de cet homme », confie la maman.
C'est que « Sébastien a de très gros problèmes de santé ». Il est pris en charge par un psychiatre « depuis l'âge de trois ans ». « Il est allé dans des instituts spécialisés jusqu'à ses 18 ans », continue-t-elle. Il était toujours suivi par les services psychiatriques de l'hôpital de Lens, confirme la magistrate en charge du dossier.
Épilogue d'une garde à vue d'un peu moins de quarante-huit heures, le Vendinois sera présenté ce matin au parquet de Béthune. Ce sera ensuite au juge d'instruction saisi de décider ou non de sa mise en examen, notamment pour homicide volontaire, indique le parquet. Si la réponse est oui, la question de sa responsabilité pénale se posera inévitablement lors de l'instruction. •
ÉDOUARD WAYOLLE

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l'examen de la situation cyclique permettrait parfois d'avoir une idée de l'état psychologique de la personne au moment d'un fait, d'un passage à l'acte.
peut-être y a -t'il par exemple présence de certains "déclencheurs" comme la période critique septennale (surtout le moment de l'entrée dans cette période) : ici ce pourrait être le cas puisque c'est à 20 ans et demi qu'il se "passe quelque chose", au moment de l'entrée dans la période critique des 21 ans...
mais aussi le jour critique émotionnel qui peut être un jour de passage à un acte insensé...

mardi 9 juin 2009

bébé secoué

lavoixdunord.fr :

Affaire du « bébé secoué » : la détresse d'un père accusé
mardi 09.06.2009, 04:45 - La Voix du Nord
Depuis le drame, le bébé est en pouponnière. Il serait tiré d'affaire. L'affaire est entre les mains d'un juge d'instruction. | TÉMOIGNAGE |

Il a beau retourner le problème dans tous les sens comme un Rubik's cube, ce père ne parvient pas à comprendre ce qui s'est passé avant le lundi 20 avril. Depuis cette date, cet Arrageois de 29 ans nage en plein cauchemar. Soupçonné par la police et la justice d'avoir secoué son fils de huit mois, le voilà seul, fouinant sur Internet à la recherche de ce qui pourrait expliquer l'inexplicable. L'enfant, qui a frôlé la mort, est à la pouponnière. Et sa compagne a plié bagage.

Il a la tête des mauvais jours. Celle d'un homme en plein désarroi, qui ne sait plus trop vers qui se tourner pour faire part de sa douleur. Il ne souhaite incriminer personne, mais veut se défendre, et jure dire la vérité, au nom de ce qu'il a de plus cher : son fils de neuf mois. « Notre cauchemar a commencé le 20 avril, débute-t-il. On a reçu un appel pour nous dire que notre fils était transporté à l'hôpital d'Arras. J'étais sous la douche. J'ai foncé ».
Son fils présente les symptômes du bébé secoué. « Au départ, on m'a parlé de déshydratation, se souvient-il.

En fait, mon fils avait un hématome soudural, des lésions rétiniennes, et il a été transporté à Lille pour être opéré dans la soirée.
Cela a duré deux heures. Après, on s'est relayé avec ma compagne. On a pleuré toutes les larmes de notre corps, on a eu peur de le perdre, je ne remercierai jamais assez le service de neurochirurgie de Lille d'avoir sauvé notre bébé. » Mais c'est là que les ennuis surgissent... La neurochirurgienne, accompagnée d'une assistante sociale, viennent alors discuter avec le père. « On m'a parlé de bébé secoué , explique-t-il. Je n'y connaissais pas grand-chose, sauf par des reportages. Je ne pensais jamais que ça nous arriverait, mais surtout, j'ai beau y repenser jour et nuit, je ne parviens pas à comprendre. Je n'ai pas secoué mon bébé. Je ne peux qu'émettre des hypothèses. Il y a eu visiblement un choc, mais à part une glissade évoquée par ma compagne, qui est une très bonne mère, je ne vois pas ».
Et le jeune père de se livrer un peu. Coupé de ses frères et de ses parents depuis l'adolescence, cet Arrageois a toujours rêvé de fonder une vraie famille : « C'est le bébé d'un amour désiré. Depuis 2001, j'ai le BAFA, je travaille avec les enfants, en tant qu'auxiliaire de vie scolaire, aux côtés des handicapés. J'ai encadré des colonies, des classes vertes, de neige. Jamais je ne ferais de mal à un enfant. Et mon fils, c'est ma chair, mon sang. Qu'on puisse m'accuser de cela est une torture. Ses rires me manquent tellement... » Le jeune père pense faire les frais de son look (un piercing, crâne rasé) et de son manque de coopération avec la police, qu'il a sentie convaincue de sa culpabilité. « En garde à vue, on m'a dit d'avouer. La substitut du procureur m'a dit que je risquais sept ans et me reprochait de répondre "je sais pas". Mais je ne vais pas inventer des histoires si je ne sais pas ce qui s'est passé ? » Ressorti brisé de sa garde à vue et de son passage devant le parquet et le juge, le père a pensé au pire. Surtout quand, en rentrant, il a constaté que sa compagne était partie. Il ne doit plus entrer en contact avec elle à la suite de son placement sous contrôle judiciaire. « Je ne dors plus, j'ai perdu dix kilos, mon couple est brisé et je ne vois plus mon enfant, soupire-t-il. Je dois être patient, et faire confiance à la justice. Mes amis me soutiennent, me connaissent et savent que jamais je n'aurais été capable de faire ça . » Un dossier très compliqué qui nécessitera beaucoup d'analyses et d'auditions...
t
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à 29 ans il y a déjà une période critique septennale pas loin.
on peut vérifier aussi la situation biorythmique du bébé, du papa, et de la maman pour avoir une "radiographie" de l'état des personnes au moment du drame...

les bébés ont tendance à être secoués leur jour critique physique parce qu'ils pleurent parfois exceptionnellement assidûment ce jour là (plus et autrement que d'ordinaire). il peut aussi être secoué en période critique du parent ou du gardien et surtout en jour critique émotionnel de ce dernier. moins en jour critique physique qui est un jour de fatigue.


l'article n'est pas suffisamment complet : l'enfant n'était apparemment pas avec le père puisqu'il a reçu un coup de téléphone le prévenant de l'hospitalisation ; a-t-il pu être secoué par quelqu'un d'autre encore ? etc... mais je pense qu'on a dû se poser les questions...

lundi 8 juin 2009

suicide enfant

7SUR7 :

Un jeune garçon de 11 ans se suicide par pendaison.

Un jeune garçon âgé de 11 ans s'est suicidé dimanche après-midi à Leugnies, près de Beaumont, annonce la DH.

L'adolescent a mis fin à ses jours par pendaison dans la chambre qu'il partageait avec son frère. Il s'était cloîtré dans sa chambre pendant plusieurs heures ce qui avait fini par inquiéter son frère qui l'a découvert inanimé, pendu à leur lit superposé à l'aide d'un double noeud coulant. Son grand frère l'a détaché et a tenté de le réanimer en vain.

Ce sont ensuite les médecins du Smur qui ont pris la relève et ont emmené l'enfant au CHU de Lobbes. L'enfant est malheureusement décédé peu après son admission.

La famille est sous le choc et n'explique pas le geste désespéré du petit garçon. (vt)
08/06/09 10h16

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difficile, effectivement, d'expliquer un tel geste à un âge aussi jeune...
deux choses auxquelles je pense et que l'on pourrait vérifier : la 12ème année de vie est une année critique physique équivalente de P12 - mais des stats seraient nécessaire car aucune expérience concernant cette année critique de l'enfance -
et ensuite le jour critique émotionnel de l'intéressé : c'est souvent le jour du ras-le-bol et cela peut conduire exceptionnellement à des bêtises ou prises de risques plus ou moins importants... et il y a le jeu du foulard aussi... plus probable le jour critique émotionnel...


edit 7SUR7 :
Le "suicide" de Mickaël, 11 ans, était un accident
Mickaël, un enfant de 11 ans vivant à Leugnies (Beaumont), a perdu la vie en jouant avec une corde d'escalade dans sa chambre. Il a été retrouvé étranglé par cette corde à son lit. La famille critique vivement l'école qui lui aurait demandé de s'exercer à faire des noeuds en huit pour l'escalade. La directrice de l'école n'a pas souhaité faire de commentaires. (belga/mb)
09/06/09 10h50
la vérification des jours critiques reste d'actualité...

maladies mentales

LePoint.fr :
ÉTUDE

Les maladies mentales sont mal connues et très coûteuses
Par Anne Jeanblanc

En France, le coût total des maladies mentales (hors démences et retards mentaux) est estimé à près de 108 milliards d'euros par an. Près de 23 milliards concernent les dépenses directes (prise en charge sanitaire, médico-sociale et allocations) et près de 85 milliards les dépenses indirectes (soins informels, perte de productivité, perte de qualité de vie). Ce coût global est équivalant à 5,7 % de la richesse nationale (PIB) ou près d'un tiers des dépenses de l'Etat. Et pourtant, le budget de la recherche en psychiatrie n'est que de 25,2 millions d'euros, soit moins de 2 % de la recherche en santé, alors que ces pathologies touchent environ 20 % de la population.

C'est ce qui ressort d'une évaluation de l'unité de recherche clinique en économie de la santé d'Ile-de-France, rendue publique par la fondation Fondamental de recherche et de soins en santé mentale. Parallèlement, la fondation s'appuie sur les résultats d'une enquête réalisée par Ipsos en mai, pour souligner que les maladies mentales sont bien connues, leur fréquence correctement évaluée, mais que beaucoup d'idées fausses circulent à leur sujet. Ainsi, 80 % des personnes interrogées accepteraient de travailler avec une personne autiste et 67 % avec un maniaco-dépressif tandis que 90 % accepteraient que leurs enfants soient en classe avec un autiste et 65 % avec un maniaco-dépressif. En revanche, 74 % des Français considèrent qu'un schizophrène représente un danger pour lui-même, 65 % un danger pour les autres et 56 % refuseraient de travailler avec lui.

La fondation Pierre Deniker (recherche et prévention en santé mentale) a, elle, présenté les résultats d'une enquête TNS Healthcare menée en avril auprès de 482 individus. Elle montre que les Français reconnaissent la fragilité mentale mais méconnaissent la pathologie mentale. Un Français sur deux déclare souffrir ou avoir déjà souffert de fragilité mentale et 13 % se sentent fragiles mentalement, en moyenne depuis sept ans. Parmi les symptômes précurseurs de pathologie mentale, la moitié se fient à l'incohérence du comportement et des propos. Si la moitié des personnes interrogées citent la dépression comme maladie relative à la santé mentale, bien peu parlent des troubles bipolaires ou des troubles liés à l'alcoolisme, alors qu'ils figurent parmi les pathologies physiques et mentales les plus courantes.

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intéressant, cet article de par les chiffres cités...
surtout si l'on sait que chaque jour c'est un septième des français qui est dans une ambiance de jour critique émotionnel (14 %) et chaque année c'est aussi un septième qui séjourne en période critique septennale : on retrouve alors les 13 % de français qui se sentent fragiles mentalement... en moyenne depuis sept ans...


il faudrait bien sûr approfondir car je pense qu'on est pas mal - sauf exception - durant sept années - mais il y doit avoir une forme de mémoire qui fait que ceux qui se sentent fragilisés, se remémorent la période critique septennale précédente au cours de laquelle il leur est arrivé la même chose... pour une durée déterminée d'environ une année à une année et demie, durée de la période critique septennale...
il pourrait toutefois y avoir des périodes septennales entières "passives" ou "négatives" un peu à la manière de ce qu'avaient envisagé les découvreur des cycles biorythmiques... mais c'est à vérifier : on passerait alors par certaines périodes de sept années moins "bonnes"... voire à problèmes... d'une année septennale à une autre... ou même de certaines années à une autre (selon les événements rencontrés qui peuvent nous traumatiser...)

cela pourrait aussi vouloir dire que les 13% dont il est question se trouvaient, lorsqu'ils ont été interrogés, dans une de leurs périodes critiques septennales...

forcené

PresseOsean.fr :
Aucune victime à déplorer, mais les gendarmes ont découvert un véritable petit arsenal chez le forcené.
HERBIGNAC

A Pompas, petit village à quelques encablures d'Herbignac, on n'est pas vraiment surpris par cette soirée plus qu'agitée. « On s'y attendait, il partait dans tous les sens depuis une semaine », dit le voisinage en admettant que « beaucoup avaient peur de lui ». Vendredi soir, cet homme de 49 ans décrit comme « un original » et une « véritable boule de nerfs » a franchi la ligne rouge. Vers 23 h, les gendarmes d'Herbignac sont appelés par un voisin dont la maison vient d'essuyer deux coups de feu. En provenance de celle d'en face, celle du forcené.

Sur fond de séparation

Les militaires connaissent l'adresse... Deux heures plus tôt, ils avaient déjà été appelés par d'autres voisins qui ne parvenaient à faire sortir l'homme de leur jardin. Et le matin même, toujours ce vendredi, Dominique C. avait été placé en garde à vue pour détention illégale d'une arme de quatrième catégorie. Cette fois, c'est son ex-concubine avec laquelle il venait de se séparer, qui avait donné l'alerte. Libéré dans la journée, « par une décision du parquet », dixit les gendarmes, l'homme avait pu regagner ses pénates avec une convocation pour ce dimanche.

« En pleine paranoïa »
Le pétage de plomb de la soirée n'est donc pas un acte isolé, d'autant que l'homme donnait à ses voisins l'image « d'une personne en pleine paranoïa ». « Mais ça s'est vraiment dégradé depuis l'été dernier ». Personne n'est donc surpris. Même si un tel déferlement de violence n'était pas forcément prévisible. Car dans la soirée, il a fait feu à plusieurs reprises y compris à l'intérieur de son habitation, avant de « tout foutre en l'air ». À tel point que les gendarmes d'Herbignac et de Saint-Nazaire ont bien failli demander le renfort du GIGN et d'un négociateur.

Un véritable petit arsenal

Finalement, vers 2 h 30 du matin, le forcené est sorti de chez lui : « On a pu le maîtriser au moment où il mettait des armes dans le coffre de son véhicule. Il s'est ensuite rendu », explique la compagnie de Saint-Nazaire qui ne déplore aucune victime. Les militaires découvrent alors un véritable petit arsenal dans une cache aménagée dans le garage : carabine Winchester, deux fusils 22 Long Rifle équipés de silencieux, une centaine de cartouches et une arme de poing. L'homme, qui n'était pas ivre au moment des faits, a été placé d'office en hôpital psychiatrique pour quinze jours. « La procédure reprendra son cours ensuite », glissent les gendarmes.

Nicolas Dahéron

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nous avons là une description d'un comportement lié à la "disjonction" du fait d'une période critique septennale, à 49 ans : la méfiance s'impose dès le premier incident si un individu a 48 ans et demi (point de départ d'un changement de comportement car moment de l'entrée dans la période critique ici des 49 ans...)
jour critique émotionnel ?