http://fr.canoe.ca/divertissement/celebrites/nouvelles/2011/06/30/18356876-bum.html
Tentative de suicide?
L’acteur Jonathan Rhys Meyers a été hospitalisé mardi à la suite de ce que l’on soupçonne être une tentative de suicide, rapporte Thisislondon.
Le roi Henri VIII de la série The Tudors, qui a fait cinq séjours en centre de désintoxication pour des problèmes de consommation d’alcool, a refusé d’être traité par les ambulanciers durant plus de 30 minutes, ce qui les a forcés à contacter la police.
Finalement, l’acteur de 33 ans, qui aurait fait une surdose de médicaments, a été transporté en ambulance jusqu'à une clinique près de sa maison de Maida Vale à Londres.
Une source a raconté: «C’est très triste. Les personnes qui étaient présentes croient qu’il a tenté de s’enlever la vie.»
Des voisins inquiets auraient vu la vedette être transportée d’urgence à l’hôpital. Un témoin a affirmé: «J’ai vu l’ambulance arriver et j’étais terriblement inquiet. Jonathan est un garçon aimable. On le voit toujours dans la rue. Il dit bonjour et il est amical. J’espère qu’il va bien.»
Rhys Meyers a quitté l’hôpital mercredi, mais a refusé de répondre aux questions des médias à propos de cette prétendue tentative de suicide
=================
on peut voir pour cela la situation cyclique du moment... (http://biorythm.online.fr/w/)
les suicides et tentatives ont lieu généralement le jour critique émotionnel en raison du gros down moral fréquemment lié à cette journée.
(pas de période critique septennale ici, à 33 ans)
et la situation parle fort bien :
juin 2011 (27/07/1977)
Ve 24 P(12)
Sa 25
Di 26
Lu 27
Ma 28
Me 29 E(15)
Je 30 P(18) I(17)
Jonathan est entré mardi soir à l'approche de 18 heures, dans son jour critique émotionnel E15 du mercredi (1)
pour éviter des situations angoissantes voire dramatiques il faut se remémorer son jour de naissance (ici natif du mercredi) : ce sera notre vie durant notre jour critique émotionnel - jour de possible down important : on est donc prévenu (jour qui démarre dès la veille au soir donc ici mardi soir) et il faut alors considérer la survenue d'un court mais parfois violent épisode d'angoisse et de dépression comme un "exercice d'art martial" pour maîtriser la situation et assurer...
l'approche de la date anniversaire (le cas ici) est un autre élément de possible dépression.
et enfin attention Jonathan à l'arrivée de la période critique septennale des 35 ans : elle démarre en janvier prochain (à 34 ans et demi) et peut être périlleuse si l'on est en mauvais état...
(1) le jour critique émotionnel est toujours le jour de la semaine où nous sommes nés : lié à un cycle de émotionnel de sept jours qui démarre le jour de notre naissance.
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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jeudi 30 juin 2011
bousculé
http://www.lepoint.fr/societe/regardez-sarkozy-bouscule-lors-d-un-bain-de-foule-30-06-2011-1347815_23.php
Sarkozy bousculé lors d'un bain de foule
Le président a été brièvement agrippé par un inconnu.
Le président Nicolas Sarkozy a été brutalement agrippé par un homme jeudi matin alors qu'il saluait des habitants lors d'une visite à Brax, près d'Agen (Lot-et-Garonne). Le chef de l'État était en train de serrer les mains de personnes rassemblées derrière une barrière de sécurité lorsqu'un homme, qui faisait mine de tendre la main, l'a brusquement saisi par la veste à l'épaule et l'a attiré vers lui en le déséquilibrant. L'homme a aussitôt été plaqué à terre par quatre membres de la sécurité et du service de protection des hautes personnalités tandis que Nicolas Sarkozy reprenait contenance et poursuivait son bain de foule.
L'agresseur a été ensuite placé en garde à vue à la gendarmerie d'Agen et l'enquête confiée à la section des recherches, a-t-on appris auprès des gendarmes. L'homme, âgé de 43 ans et demeurant dans le Lot-et-Garonne, n'est pas connu des services de sécurité. Les faits peuvent être qualifiés en violences aggravées du fait de la qualité de dépositaire de l'autorité publique du chef de l'État, dit-on de source judiciaire. Il s'agit dans ce cas d'un délit passible de trois ans de prison et de 45 000 euros d'amende.
===============
tiens, un septennal...
souvent les comportements à risques et/ou comportements provocateurs tirent leur énergie du moteur qu'est notre période critique septennale : ici, à 43 ans, celle-ci vient de s'écouler (période critique septennale des 42 ans) mais il arrive que des personnes persistent dans leur état et préoccupations au-delà de la durée habituelle de l'épisode critique ...
édit 1/07 c'est apparemment 32 ans aux dernières nouvelles donc pas de "septennal..." (1978)
resterait à pouvoir vérifier la "situation du jour"... :-)
Sarkozy bousculé lors d'un bain de foule
Le président a été brièvement agrippé par un inconnu.
Le président Nicolas Sarkozy a été brutalement agrippé par un homme jeudi matin alors qu'il saluait des habitants lors d'une visite à Brax, près d'Agen (Lot-et-Garonne). Le chef de l'État était en train de serrer les mains de personnes rassemblées derrière une barrière de sécurité lorsqu'un homme, qui faisait mine de tendre la main, l'a brusquement saisi par la veste à l'épaule et l'a attiré vers lui en le déséquilibrant. L'homme a aussitôt été plaqué à terre par quatre membres de la sécurité et du service de protection des hautes personnalités tandis que Nicolas Sarkozy reprenait contenance et poursuivait son bain de foule.
L'agresseur a été ensuite placé en garde à vue à la gendarmerie d'Agen et l'enquête confiée à la section des recherches, a-t-on appris auprès des gendarmes. L'homme, âgé de 43 ans et demeurant dans le Lot-et-Garonne, n'est pas connu des services de sécurité. Les faits peuvent être qualifiés en violences aggravées du fait de la qualité de dépositaire de l'autorité publique du chef de l'État, dit-on de source judiciaire. Il s'agit dans ce cas d'un délit passible de trois ans de prison et de 45 000 euros d'amende.
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tiens, un septennal...
souvent les comportements à risques et/ou comportements provocateurs tirent leur énergie du moteur qu'est notre période critique septennale : ici, à 43 ans, celle-ci vient de s'écouler (période critique septennale des 42 ans) mais il arrive que des personnes persistent dans leur état et préoccupations au-delà de la durée habituelle de l'épisode critique ...
édit 1/07 c'est apparemment 32 ans aux dernières nouvelles donc pas de "septennal..." (1978)
resterait à pouvoir vérifier la "situation du jour"... :-)
infanticide
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=36907
Une mère infanticide emmène son bébé mort faire des courses
" Une habitante de Chicago est accusée d'être sortie faire ses courses transportant en bandoulière le corps de son bébé qu'elle avait tué quelques heures auparavant, lorsqu'elle était en état d'ébriété, rapporte la presse locale mercredi.
Le jeune Ken Blackman Jr., à peine âgé de trois mois, était mort depuis 8 à 14 heures lorsque sa mère, après avoir fini ses courses, est allée rendre visite à un voisin. C'est le voisin en question qui a remarqué du sang sur la couverture de l'enfant, se précipitant sur son téléphone pour prévenir les secours.
L'accusation a expliqué au journal Chicago Sun-Times que Toyrianna Smith, 20 ans, avait frappé et étouffé son bébé le 22 juin dernier car celui-ci ne voulait pas s'arrêter de pleurer.
La mère avait bu beaucoup de vodka dans la maison d'un ami chez qui elle avait finalement passé la nuit avec son enfant, avant de rentrer chez elle au petit matin.
La mère infanticide, actuellement détenue par les autorités, est accusée de meurtre. "
Source : BELGA (30 juin 2011
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Une mère infanticide emmène son bébé mort faire des courses
" Une habitante de Chicago est accusée d'être sortie faire ses courses transportant en bandoulière le corps de son bébé qu'elle avait tué quelques heures auparavant, lorsqu'elle était en état d'ébriété, rapporte la presse locale mercredi.
Le jeune Ken Blackman Jr., à peine âgé de trois mois, était mort depuis 8 à 14 heures lorsque sa mère, après avoir fini ses courses, est allée rendre visite à un voisin. C'est le voisin en question qui a remarqué du sang sur la couverture de l'enfant, se précipitant sur son téléphone pour prévenir les secours.
L'accusation a expliqué au journal Chicago Sun-Times que Toyrianna Smith, 20 ans, avait frappé et étouffé son bébé le 22 juin dernier car celui-ci ne voulait pas s'arrêter de pleurer.
La mère avait bu beaucoup de vodka dans la maison d'un ami chez qui elle avait finalement passé la nuit avec son enfant, avant de rentrer chez elle au petit matin.
La mère infanticide, actuellement détenue par les autorités, est accusée de meurtre. "
Source : BELGA (30 juin 2011
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suicide ou mort suspecte
http://prison.eu.org
44ème suicide ou mort suspecte connu(e) en détention en 2011
Le nombre de suicides ou de morts suspectes en prison ne diminue pas.
Un suicide ou mort suspecte tous les trois jours en prison,
10 fois plus qu’en milieu libre.
Manquement grave de l’administration pénitentiaire. L’omerta continue sur la réalité des chiffres quant aux conditions et lieu réel du décès.
Centre pénitentiaire de Havre
Mort suspecte d’un homme, 56 ans, suite à des coups ou à des chocs accidentels à la tête
le 18 juin 2011
44ème suicide ou mort suspecte connu(e) en détention en 2011
Le nombre de suicides ou de morts suspectes en prison ne diminue pas.
Un suicide ou mort suspecte tous les trois jours en prison,
10 fois plus qu’en milieu libre.
Manquement grave de l’administration pénitentiaire. L’omerta continue sur la réalité des chiffres quant aux conditions et lieu réel du décès.
Centre pénitentiaire de Havre
Mort suspecte d’un homme, 56 ans, suite à des coups ou à des chocs accidentels à la tête
le 18 juin 2011
dépression
http://www.psychomedia.qc.ca/depression/2011-06-29/facteurs-de-sensibilisation-au-stress
Pourquoi certaines personnes sont plus à risque de dépression suite à des malheurs relativement mineurs
Des chercheurs ont montré que, bien que la plupart des gens ne développent une dépression qu'en cas d'adversité importante, telle que le décès d'un être cher, un divorce ou un congédiement, environ 30 % des personnes atteintes pour la première fois de dépression et 60 % de celles ayant des antécédents de dépression développent la maladie suite à des malheurs plus mineurs.
Une étude, publiée dans le Journal of Psychiatric Research, identifie des facteurs qui favorisent le dévelppement d'une sensibilité aux événements stressants de la vie et augmente le risque de dépression.
...................................
=====================
je pense qu'il y a des personnes plus sensibles à la dépression et qui dépriment donc plus facilement que d'autres.... mais je pense aussi qu'une personne qui subit un revers en période critique septennale sera plus encline à sombrer dans une dépression qu'une personne ou la même personne qui subit ce revers en dehors de sa période de fragilité.
c'est ainsi que par exemple une personne de 27/28 - 34/35 - 41/42 ou 48/49 ans qui va vivre une séparation, un deuil ou un autre événement traumatisant, aura bien plus de risques de sombrer dans une dépression à ce moment-là, alors que le risque est moins probable si l'accident arrive à un autre âge de sa vie...
Pourquoi certaines personnes sont plus à risque de dépression suite à des malheurs relativement mineurs
Des chercheurs ont montré que, bien que la plupart des gens ne développent une dépression qu'en cas d'adversité importante, telle que le décès d'un être cher, un divorce ou un congédiement, environ 30 % des personnes atteintes pour la première fois de dépression et 60 % de celles ayant des antécédents de dépression développent la maladie suite à des malheurs plus mineurs.
Une étude, publiée dans le Journal of Psychiatric Research, identifie des facteurs qui favorisent le dévelppement d'une sensibilité aux événements stressants de la vie et augmente le risque de dépression.
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je pense qu'il y a des personnes plus sensibles à la dépression et qui dépriment donc plus facilement que d'autres.... mais je pense aussi qu'une personne qui subit un revers en période critique septennale sera plus encline à sombrer dans une dépression qu'une personne ou la même personne qui subit ce revers en dehors de sa période de fragilité.
c'est ainsi que par exemple une personne de 27/28 - 34/35 - 41/42 ou 48/49 ans qui va vivre une séparation, un deuil ou un autre événement traumatisant, aura bien plus de risques de sombrer dans une dépression à ce moment-là, alors que le risque est moins probable si l'accident arrive à un autre âge de sa vie...
meurtrier ?
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/06/29/01016-20110629ARTFIG00417-un-meurtrier-presume-trahi-par-les-cauchemars-de-sa-fille.php
Un meurtrier présumé trahi par les cauchemars de sa fille
C C, 50 ans, comparaît depuis ce mercredi devant la cour d'assises du Gard pour le meurtre de sa compagne. Ce sont les visions nocturnes de sa fille, âgée de 2 ans au moment du meurtre, qui ont mis les enquêteurs sur sa piste.
Pendant des années, C C s'est fait passer pour un père abandonné par sa femme volage. Aujourd'hui, il apparaît finalement comme le principal suspect dans le meurtre de celle-ci. Agé de 50 ans, l'homme comparaît à partir de mercredi devant la cour d'assises du Gard pour le meurtre de Djamella, mystérieusement disparue en août 1998 à l'âge de 22 ans. Ce sont les cauchemars récurrents de sa fille Laura, âgée de 2 ans au moment de la disparition de sa mère, qui ont permis aux enquêteurs de remonter jusqu'à lui.
...................................
Ce n'est qu'en 2005 que l'affaire connaît un sacré rebondissement. Cette année-là, Laura, 9 ans, est placée dans un foyer : la justice estime qu'elle est victime d'inceste. A ses éducateurs, elle confie faire un cauchemar récurrent depuis plusieurs années : «Mon papa prend un couteau, il le plante dans le cou de ma maman. Je vois mon papa. Je vois ma maman. Ma maman tombe par terre sur le dos et le sang coule par terre», leur confie-t-elle...........................
........................
En 2007, C C est condamné à quatre ans de prison ferme pour avoir sexuellement abusé de sa fille. Interrogé à plusieurs reprises par les gendarmes de Nîmes sur la disparition de Djamella, il livre toujours la même version : la jeune femme l'a abandonné pour partir avec d'autres hommes. Jusqu'à ce jour du 12 décembre 2008, où, devant le juge d'instruction, il craque : «Elle est venue un soir et on s'est disputé. Elle a tapé Laura, elle a attrapé un couteau à la cuisine et voulait me tuer et, manque de pot, je l'ai poignardée. Laura était par terre et pleurait. J'ai enlevé le couteau comme ça et le sang a giclé partout». C C raconte ensuite comment il s'est débarrassé du corps : «J'ai découpé le corps en morceaux, ça a duré toute la nuit. J'en ai mis dans des conteneurs publics, j'en ai donné aussi aux chiens. De la viande crue et j'en ai aussi fait cuire pour les chiens».
«Il nous a complètement endormis»
Un mois plus tard, l'homme se rétracte. «Il a fait ses aveux dans des conditions particulières. Après s'être reposé, il est revenu sur ses déclarations. Il nie désormais toute implication dans ce crime», explique son avocat, Me Antoine Garcia, dans les colonnes du Parisien. Des investigations scientifiques poussées se sont déroulées dans la maison, et il n'a pas été trouvé de sang, il n'y a pas de corps. En fait, il ne reste que les rêves d'une gamine», poursuit-il. L'enquête a toutefois établi que c'est C C en personne qui avait rédigé les lettres envoyés aux proches de Djamella pour leur donner des nouvelles.
...........................................
=======================
les aveux ont tendance à se faire en période critique septennale et/ou en jour critique émotionnel, du fait de notre sensibilité ou fragilité durant ces épisodes qui sont en quelque sorte des "périodes" ou "jours de vérité"... cela peut se vérifier en regardant la situation cyclique du moment.
par ailleurs les rétractations s'expliquent de la même façon : on revient sur ce que l'on a dit lorsqu'on "émerge" après l'épisode critique qui en quelque sorte nous a fait dire (et faire) "des bêtises"...
ce mécanisme explique aussi le fait que fréquemment, les drames arrivent en période et/ou jour critique : donc, intérrogés sur le champ, les personnes avouent... mais une fois sorties, plus tard, de leur épisode critique, elles se rétractent parfois et même avec aisance, car ils ne sont plus la même personne : on est très différent en période ou jour critique et en dehors de ces espaces critiques, c'est un peu Jeckyll et Hyde... de sorte que parfois même on considère que l'on ne se sent pas concerné par un drame que pourtant on a commis... cette désinvolture dans la négation frappe parfois les enquêteurs et je pense qu'elle peut s'expliquer par le phénomène de la situation cyclique. et c'est bien, sûr d'autant plus accentué que du temps a passé.
Un meurtrier présumé trahi par les cauchemars de sa fille
C C, 50 ans, comparaît depuis ce mercredi devant la cour d'assises du Gard pour le meurtre de sa compagne. Ce sont les visions nocturnes de sa fille, âgée de 2 ans au moment du meurtre, qui ont mis les enquêteurs sur sa piste.
Pendant des années, C C s'est fait passer pour un père abandonné par sa femme volage. Aujourd'hui, il apparaît finalement comme le principal suspect dans le meurtre de celle-ci. Agé de 50 ans, l'homme comparaît à partir de mercredi devant la cour d'assises du Gard pour le meurtre de Djamella, mystérieusement disparue en août 1998 à l'âge de 22 ans. Ce sont les cauchemars récurrents de sa fille Laura, âgée de 2 ans au moment de la disparition de sa mère, qui ont permis aux enquêteurs de remonter jusqu'à lui.
...................................
Ce n'est qu'en 2005 que l'affaire connaît un sacré rebondissement. Cette année-là, Laura, 9 ans, est placée dans un foyer : la justice estime qu'elle est victime d'inceste. A ses éducateurs, elle confie faire un cauchemar récurrent depuis plusieurs années : «Mon papa prend un couteau, il le plante dans le cou de ma maman. Je vois mon papa. Je vois ma maman. Ma maman tombe par terre sur le dos et le sang coule par terre», leur confie-t-elle...........................
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En 2007, C C est condamné à quatre ans de prison ferme pour avoir sexuellement abusé de sa fille. Interrogé à plusieurs reprises par les gendarmes de Nîmes sur la disparition de Djamella, il livre toujours la même version : la jeune femme l'a abandonné pour partir avec d'autres hommes. Jusqu'à ce jour du 12 décembre 2008, où, devant le juge d'instruction, il craque : «Elle est venue un soir et on s'est disputé. Elle a tapé Laura, elle a attrapé un couteau à la cuisine et voulait me tuer et, manque de pot, je l'ai poignardée. Laura était par terre et pleurait. J'ai enlevé le couteau comme ça et le sang a giclé partout». C C raconte ensuite comment il s'est débarrassé du corps : «J'ai découpé le corps en morceaux, ça a duré toute la nuit. J'en ai mis dans des conteneurs publics, j'en ai donné aussi aux chiens. De la viande crue et j'en ai aussi fait cuire pour les chiens».
«Il nous a complètement endormis»
Un mois plus tard, l'homme se rétracte. «Il a fait ses aveux dans des conditions particulières. Après s'être reposé, il est revenu sur ses déclarations. Il nie désormais toute implication dans ce crime», explique son avocat, Me Antoine Garcia, dans les colonnes du Parisien. Des investigations scientifiques poussées se sont déroulées dans la maison, et il n'a pas été trouvé de sang, il n'y a pas de corps. En fait, il ne reste que les rêves d'une gamine», poursuit-il. L'enquête a toutefois établi que c'est C C en personne qui avait rédigé les lettres envoyés aux proches de Djamella pour leur donner des nouvelles.
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les aveux ont tendance à se faire en période critique septennale et/ou en jour critique émotionnel, du fait de notre sensibilité ou fragilité durant ces épisodes qui sont en quelque sorte des "périodes" ou "jours de vérité"... cela peut se vérifier en regardant la situation cyclique du moment.
par ailleurs les rétractations s'expliquent de la même façon : on revient sur ce que l'on a dit lorsqu'on "émerge" après l'épisode critique qui en quelque sorte nous a fait dire (et faire) "des bêtises"...
ce mécanisme explique aussi le fait que fréquemment, les drames arrivent en période et/ou jour critique : donc, intérrogés sur le champ, les personnes avouent... mais une fois sorties, plus tard, de leur épisode critique, elles se rétractent parfois et même avec aisance, car ils ne sont plus la même personne : on est très différent en période ou jour critique et en dehors de ces espaces critiques, c'est un peu Jeckyll et Hyde... de sorte que parfois même on considère que l'on ne se sent pas concerné par un drame que pourtant on a commis... cette désinvolture dans la négation frappe parfois les enquêteurs et je pense qu'elle peut s'expliquer par le phénomène de la situation cyclique. et c'est bien, sûr d'autant plus accentué que du temps a passé.
accident
http://www.20minutes.fr/ledirect/750661/pays-basque-suspendu-pieds-ronces-echappe-chute-200m
Pays-Basque: Suspendu par les pieds à des ronces, il échappe à une chute de 200m
Il doit sa survie…à un buisson de ronces. Un homme de 63 ans a glissé et est tombé mercredi alors qu’il effectuait une randonnée dans les Gorges d’Horzalté, dans le Pays basque français, à environ 180m de hauteur, raconte le journal Sud-Ouest. Mais le promeneur a eu la chance de voir sa chute freinée par un buisson de ronces, dans lequel ses pieds se sont empêtrés.
Les secours ont dû poser un relai sur un arbre pour bloquer et sécuriser l’homme, avant de le coucher sur une civière. La victime a ensuite été hélitreuillée et transférée par hélicoptère à l’hôpital d’Oloron-Sainte-Marie. Il soufre d’un traumatisme au dos, et possiblement de fractures aux chevilles.
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Pays-Basque: Suspendu par les pieds à des ronces, il échappe à une chute de 200m
Il doit sa survie…à un buisson de ronces. Un homme de 63 ans a glissé et est tombé mercredi alors qu’il effectuait une randonnée dans les Gorges d’Horzalté, dans le Pays basque français, à environ 180m de hauteur, raconte le journal Sud-Ouest. Mais le promeneur a eu la chance de voir sa chute freinée par un buisson de ronces, dans lequel ses pieds se sont empêtrés.
Les secours ont dû poser un relai sur un arbre pour bloquer et sécuriser l’homme, avant de le coucher sur une civière. La victime a ensuite été hélitreuillée et transférée par hélicoptère à l’hôpital d’Oloron-Sainte-Marie. Il soufre d’un traumatisme au dos, et possiblement de fractures aux chevilles.
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désespéré
http://fr.canoe.ca/infos/societe/archives/2011/06/20110629-202212.html
Un désespéré se barricade
SAINT-FÉLIX-DE-VALOIS – Un forcené s’est barricadé dans sa résidence de Saint-Félix-de-Valois, dans Lanaudière, suite à un vol de voiture, mercredi en fin d’après-midi.
L’homme s’est emparé d’un véhicule de patrouille de la Sûreté du Québec (SQ) dans le secteur de Rawdon avant de prendre la fuite en direction de son domicile de la rue Laporte.
Pris de remords, l’homme, dont l’âge n’a pas été révélé, s’est enfermé chez lui avec au moins une arme à feu. Il menaçait de s’enlever la vie. Il s’est rendu aux agents de la SQ vers 17h15 suite à de longues négociations téléphoniques, principalement avec sa conjointe.
Plusieurs citoyens ont été évacués lors de l’opération. L’agent Benoit Richard souligne que les accusations auxquelles le suspect fera face porteront sur la possession d’arme à feu et de vol de véhicule. «L’homme a avant toute chose besoin d’aide» a-t-il estimé.
Le suspect pourrait subir une évaluation psychologique.
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autre évaluation... mais pas d'indication d'âge ici...
période critique ? jour critique émotionnel ?
Un désespéré se barricade
SAINT-FÉLIX-DE-VALOIS – Un forcené s’est barricadé dans sa résidence de Saint-Félix-de-Valois, dans Lanaudière, suite à un vol de voiture, mercredi en fin d’après-midi.
L’homme s’est emparé d’un véhicule de patrouille de la Sûreté du Québec (SQ) dans le secteur de Rawdon avant de prendre la fuite en direction de son domicile de la rue Laporte.
Pris de remords, l’homme, dont l’âge n’a pas été révélé, s’est enfermé chez lui avec au moins une arme à feu. Il menaçait de s’enlever la vie. Il s’est rendu aux agents de la SQ vers 17h15 suite à de longues négociations téléphoniques, principalement avec sa conjointe.
Plusieurs citoyens ont été évacués lors de l’opération. L’agent Benoit Richard souligne que les accusations auxquelles le suspect fera face porteront sur la possession d’arme à feu et de vol de véhicule. «L’homme a avant toute chose besoin d’aide» a-t-il estimé.
Le suspect pourrait subir une évaluation psychologique.
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autre évaluation... mais pas d'indication d'âge ici...
période critique ? jour critique émotionnel ?
évaluation
http://lejournaldequebec.canoe.ca/journaldequebec/actualites/faitsdiversetjudiciaires/archives/2011/06/20110629-180315.html
Évaluation pour le forcené de Sainte-Foy
Celui qui a tenu les policiers en haleine mardi soir dans le secteur de l’avenue de Bourgogne et de l’autoroute Duplessis, à Sainte-Foy, devra subir une évaluation à l’institut Robert-Giffard afin de savoir s’il est apte à comparaître.
MA B, 27 ans, a comparu hier au palais de justice de Québec. Il fait face à trois chefs d’accusation, soit de possession d’arme dans un dessein dangereux, de voies de fait armées et d’avoir proféré des menaces de causer la mort. Il reviendra en cour le 6 juillet.
Mardi, MA B aurait menacé un citoyen avec une arme à feu dans un secteur de Sainte-Foy où se trouvent plusieurs immeubles à logements. Le groupe d’intervention tactique du Service de police de Québec avait été mandaté sur les lieux afin de désarmer l’homme et de procéder à son arrestation
==============
n'oublions pas dans notre évaluation l'un des moteurs, si ce n'est le moteur principal, peut-être : entrée en période critique septennale des 28 ans.
jour critique émotionnel ?
Évaluation pour le forcené de Sainte-Foy
Celui qui a tenu les policiers en haleine mardi soir dans le secteur de l’avenue de Bourgogne et de l’autoroute Duplessis, à Sainte-Foy, devra subir une évaluation à l’institut Robert-Giffard afin de savoir s’il est apte à comparaître.
MA B, 27 ans, a comparu hier au palais de justice de Québec. Il fait face à trois chefs d’accusation, soit de possession d’arme dans un dessein dangereux, de voies de fait armées et d’avoir proféré des menaces de causer la mort. Il reviendra en cour le 6 juillet.
Mardi, MA B aurait menacé un citoyen avec une arme à feu dans un secteur de Sainte-Foy où se trouvent plusieurs immeubles à logements. Le groupe d’intervention tactique du Service de police de Québec avait été mandaté sur les lieux afin de désarmer l’homme et de procéder à son arrestation
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n'oublions pas dans notre évaluation l'un des moteurs, si ce n'est le moteur principal, peut-être : entrée en période critique septennale des 28 ans.
jour critique émotionnel ?
mercredi 29 juin 2011
drôle de suicide septennal
Il se suicide en s'arrachant son propre cerveau
En Russie, un homme de 42 ans, passablement alcoolisé, a réussi à mettre fin à ses jours... en s'arrachant son propre cerveau...
Après une longue soirée alcoolisée, Igor (la véritable identité a été modifiée), dont la femme a quitté le domicile conjugal depuis 9 jours, décide de se suicider.
Là où beaucoup de personnes auraient choisi la banalité, Igor à souhaité innover...
Après avoir découpé la partie supérieure de son crâne à la disqueuse électrique, Igor déposa le haut de son os crânier sur l'oreiller de son (ex?) femme.
Les médecins légistes pensent que les 4,72 grammes d'alcool dans le sang de la victime, au moment des faits, ont largement contribué à inhiber la douleur.
Igor est ensuite retourné dans la cuisine où il sorti la plus belle assiette du service de mariage.
Les policiers ont pu reconstituer le cheminement macabre de la victime grâce aux traces de sang et aux empreintes laissées par Igor.
Igor s'est alors assis sur une chaise, face à l'assiette vide et a voulu arracher son propre cerveau, à mains nues, pour le déposer dans l'assiette.
Ce que la victime a oublié, dans sa triste mise en scène, c'est que le retrait de cerveau provoque la mort de l'individu, mais empêche tout mouvement coordonné avant le décès, du fait de la déconnexion des centres nerveux.
La femme d'Igor est rentrée 2 jours après les faits et a découvert le corps d'Igor, couché au sol, dans une marre de sang, le crâne entièrement ouvert et vide... et la main droite d'Igor qui tenait une très grosse partie de son propre cerveau...
Igor n'a jamais pu déposer son cerveau dans l'assiette... son bras s'étant écroulé sur la porte du four.
Ironie du sort, la femme d'Igor venait d'acheter de la cervelle de poulet et comptait la cuisiner le midi même...
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il n'y a qu'un septennal alcoolisé pour arriver à ce type de prouesse...
En Russie, un homme de 42 ans, passablement alcoolisé, a réussi à mettre fin à ses jours... en s'arrachant son propre cerveau...
Après une longue soirée alcoolisée, Igor (la véritable identité a été modifiée), dont la femme a quitté le domicile conjugal depuis 9 jours, décide de se suicider.
Là où beaucoup de personnes auraient choisi la banalité, Igor à souhaité innover...
Après avoir découpé la partie supérieure de son crâne à la disqueuse électrique, Igor déposa le haut de son os crânier sur l'oreiller de son (ex?) femme.
Les médecins légistes pensent que les 4,72 grammes d'alcool dans le sang de la victime, au moment des faits, ont largement contribué à inhiber la douleur.
Igor est ensuite retourné dans la cuisine où il sorti la plus belle assiette du service de mariage.
Les policiers ont pu reconstituer le cheminement macabre de la victime grâce aux traces de sang et aux empreintes laissées par Igor.
Igor s'est alors assis sur une chaise, face à l'assiette vide et a voulu arracher son propre cerveau, à mains nues, pour le déposer dans l'assiette.
Ce que la victime a oublié, dans sa triste mise en scène, c'est que le retrait de cerveau provoque la mort de l'individu, mais empêche tout mouvement coordonné avant le décès, du fait de la déconnexion des centres nerveux.
La femme d'Igor est rentrée 2 jours après les faits et a découvert le corps d'Igor, couché au sol, dans une marre de sang, le crâne entièrement ouvert et vide... et la main droite d'Igor qui tenait une très grosse partie de son propre cerveau...
Igor n'a jamais pu déposer son cerveau dans l'assiette... son bras s'étant écroulé sur la porte du four.
Ironie du sort, la femme d'Igor venait d'acheter de la cervelle de poulet et comptait la cuisiner le midi même...
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il n'y a qu'un septennal alcoolisé pour arriver à ce type de prouesse...
accident
http://www.planetecampus.com/actu/33973-six-alpinistes-dans-les-hautes-alpes-le-mystere-ne-sera-jamais-resolu
Six alpinistes dans les Hautes-Alpes: le mystère ne sera jamais résolu?
Triste accident dans les Hautes-Alpes ce week-end. Six alpinistes ont trouvé la mort dans des circonstances qui restent encore à être définies précisément.
Partis samedi aux aurores d’un refuge de Villar-d’Arêne, ils devaient gagner le refuge des Ecrins pour y passer la nuit de samedi à dimanche, mais n’y sont jamais arrivés. Elles s’apprêtaient à gravir le pic de Neige Cordier, un sommet situé à 3.614 m dans le massif des Ecrins, a précisé à la presse Rémy Avon, substitut du procureur de la République du tribunal de Gap, sans souhaiter en dire plus.Parmi les six personnes se trouvaient un adolescent de seize ans originaire de Courbevoie ainsi que cinq adultes âgés de 42 à 64 ans.
Les six corps ont été retrouvés dans la brèche de la Plate des Agneaux, entre 3 000 et 3 300 mètres d’altitude, la partie la plus dangereuse d’un itinéraire réputé plutôt simple. « C’est presque un parcours d’initiation », témoignait dimanche Rémy Avon.
« A priori il ne s’agit pas d’une avalanche, ils auraient dévissé. Nous ignorons pour l’instant pour quelle raison », a ajouté le magistrat.
Pour rappel, plus d’une dizaine d’accidents meurtriers ont été dénombrés en France depuis 2003. Le drame de Villar-d’Arêne est le plus lourd depuis la mort de huit alpinistes suisses, autrichiens et allemands en 2008.
Le mystère reste donc entier mais l’enquête pourrait aider à découvrir les causes de la chute des six alpinistes défunts.
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Six alpinistes dans les Hautes-Alpes: le mystère ne sera jamais résolu?
Triste accident dans les Hautes-Alpes ce week-end. Six alpinistes ont trouvé la mort dans des circonstances qui restent encore à être définies précisément.
Partis samedi aux aurores d’un refuge de Villar-d’Arêne, ils devaient gagner le refuge des Ecrins pour y passer la nuit de samedi à dimanche, mais n’y sont jamais arrivés. Elles s’apprêtaient à gravir le pic de Neige Cordier, un sommet situé à 3.614 m dans le massif des Ecrins, a précisé à la presse Rémy Avon, substitut du procureur de la République du tribunal de Gap, sans souhaiter en dire plus.Parmi les six personnes se trouvaient un adolescent de seize ans originaire de Courbevoie ainsi que cinq adultes âgés de 42 à 64 ans.
Les six corps ont été retrouvés dans la brèche de la Plate des Agneaux, entre 3 000 et 3 300 mètres d’altitude, la partie la plus dangereuse d’un itinéraire réputé plutôt simple. « C’est presque un parcours d’initiation », témoignait dimanche Rémy Avon.
« A priori il ne s’agit pas d’une avalanche, ils auraient dévissé. Nous ignorons pour l’instant pour quelle raison », a ajouté le magistrat.
Pour rappel, plus d’une dizaine d’accidents meurtriers ont été dénombrés en France depuis 2003. Le drame de Villar-d’Arêne est le plus lourd depuis la mort de huit alpinistes suisses, autrichiens et allemands en 2008.
Le mystère reste donc entier mais l’enquête pourrait aider à découvrir les causes de la chute des six alpinistes défunts.
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rien que des sosies
http://www.tdg.ch/actu/suisse/60-policiers-recherche-meurtrier-violeur-cavale-2011-06-28
Le fuyard Jean-Louis B., 64 ans, est un multirécidiviste
Détenu en fuite
Meurtrier d’une fille de 17 ans à Bienne en 1986, violeur à quatre reprises, ce Jurassien de 64 ans est extrêmement dangereux. Il court toujours.
Cet homme est dangereux. Extrêmement. Et jusqu’à présent, la justice ne s’y est pas trompée: depuis l’âge de 20 ans, le Jurassien qui s’est échappé lundi à Provence lors d’une «conduite accompagnée» n’a passé que 17 mois en liberté.
Jean-Louis B. a aujourd’hui 64 ans. Détenu depuis 2009 à la prison de Bellevue, à Gorgier (NE), où il était interné pour une durée indéterminée, l’évadé reste introuvable. Violeur et meurtrier, il a récidivé à chacun de ses congés. Voici son parcours.
B. est né à Delémont en 1946. Il est le troisième enfant d’une fratrie de quatre. Il est le seul garçon. Son père est mouleur. Un homme violent qui le bat et le punit souvent.
Adolescent, il abandonne un apprentissage de mécanicien qu’il effectuait dans la même entreprise que son père. Son rêve était de devenir vétérinaire. C’est à ce moment-là qu’il commence sa carrière de délinquant, en commettant des délits contre le patrimoine. Il se marie à 22 ans. Cette union ne durera que deux ans.
C’est dans ce laps de temps qu’il violera pour la première fois. Dès lors, il enchaîne les placements en instituts psychiatriques, les incarcérations et les récidives.
Il a refusé la castration
En 1970, à Porrentruy, il écope de 3 ans de prison pour viol. La peine est suspendue au profit d’une hospitalisation. Trois ans plus tard, le voilà condamné à 3 mois de prison pour menaces envers son ex-femme.
Une année plus tard, il prend à nouveau 12 mois pour un viol commis dans le canton de Berne. Toujours hospitalisé, afin que les experts observent la possibilité d’une libération progressive, il refuse la castration chimique et soigne ses pulsions en ingurgitant des neuroleptiques.
Plus calme, il obtient des congés pour rendre visite à ses parents, mais à condition qu’il ne sorte pas le soir venu. Et c’est lors de sa première sortie non accompagnée qu’il commet l’irréparable à Bienne: il entraîne une jeune fille de 17 ans dans une carrière, il la viole, il l’étrangle avant de l’étouffer en lui enfonçant trois pierres au fond de la gorge.
Pour ce meurtre sordide, B. sera reconnu partiellement coupable de ses actes en 1976. Il est condamné à 12 ans de prison.
B. n’obtiendra plus aucun congé pendant dix ans. Pour sa première sortie, il prend le train jusqu’à Genève et obtient l’adresse de la psychologue qui le suivait en prison.
Il la surprend à son domicile. La femme est accompagnée de ses deux filles. Elle accepte de le suivre en lisière de forêt. Là, sous la menace d’un couteau, B. viole la psychologue. Il prendra 15 ans de prison en 1988. En 2002, à Genève, arrivé au bout de sa peine, B. verra prononcer à son encontre un internement pour une durée indéterminée.
Remarié en prison
Selon le Code pénal suisse, l’autorité compétente examine au moins une fois par an si un détenu peut être libéré conditionnellement de l’internement. Elle se fonde notamment sur un rapport de la direction de la prison, sur une expertise indépendante, et sur l’audition du détenu. On ne sait pas où B. en était dans ces procédures.
Le violeur multirécidiviste s’est remarié en prison. Il a rencontré sa femme, mère de trois enfants, alors qu’elle était détenue en isolement à la prison de Champ-Dollon en 1992.
A une journaliste du Temps qui l’avait rencontré en cellule en 1999, il assurait ceci: «J’ai fait souffrir et je m’en rends compte. J’ai mérité ma peine, mais pas plus. Est-ce que j’ai peur de la liberté? Je suis convaincu dans mon for intérieur que je ne recommencerai plus. Mais je ne peux pas le prouver.»
=====================
voici la photo du Monsieur : lorsque je l'ai vue j'ai trouvé qu'il ressemble fort à Xavier de Ligonnès, dont on disait qu'il s'est peut-être fait couper les cheveux - comme il avait l'habitude de le faire en été...
en plus, après sa fuite on avait signalé des sosies un peu partout et voici que l'on arrête un sosie de Jean-Louis B qui devrait donc être aussi un sosie de Xavier de Ligonnès... :-)
http://www.tdg.ch/geneve/actu/police-genevoise-arrete-sosie-fugitif-2011-06-29
La police genevoise arrête un sosie du fugitif
Chasse à l'homme
La diffusion dans la presse du portrait du criminel sexuel échappé d'une prison neuchâteloise a généré une méprise mercredi dans un bus genevois.
C'est le site 20minutes.ch qui le révèle. Les passagers d'un bus genevois ont cru reconnaître mercredi le fugitif, échappé d'une prison neuchâteloise, dont la police avait largement diffusé le portrait. Averti par des passagers, le conducteur TPG a fermé les portes et appelé la police. Celle-ci est intervenue et a emmené l'homme au poste. Mais il s'agissait en effet d'une méprise. Après vérification de son identité, l'homme pris par erreur pour le criminel a été relâché
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Le fuyard Jean-Louis B., 64 ans, est un multirécidiviste
Détenu en fuite
Meurtrier d’une fille de 17 ans à Bienne en 1986, violeur à quatre reprises, ce Jurassien de 64 ans est extrêmement dangereux. Il court toujours.
Cet homme est dangereux. Extrêmement. Et jusqu’à présent, la justice ne s’y est pas trompée: depuis l’âge de 20 ans, le Jurassien qui s’est échappé lundi à Provence lors d’une «conduite accompagnée» n’a passé que 17 mois en liberté.
Jean-Louis B. a aujourd’hui 64 ans. Détenu depuis 2009 à la prison de Bellevue, à Gorgier (NE), où il était interné pour une durée indéterminée, l’évadé reste introuvable. Violeur et meurtrier, il a récidivé à chacun de ses congés. Voici son parcours.
B. est né à Delémont en 1946. Il est le troisième enfant d’une fratrie de quatre. Il est le seul garçon. Son père est mouleur. Un homme violent qui le bat et le punit souvent.
Adolescent, il abandonne un apprentissage de mécanicien qu’il effectuait dans la même entreprise que son père. Son rêve était de devenir vétérinaire. C’est à ce moment-là qu’il commence sa carrière de délinquant, en commettant des délits contre le patrimoine. Il se marie à 22 ans. Cette union ne durera que deux ans.
C’est dans ce laps de temps qu’il violera pour la première fois. Dès lors, il enchaîne les placements en instituts psychiatriques, les incarcérations et les récidives.
Il a refusé la castration
En 1970, à Porrentruy, il écope de 3 ans de prison pour viol. La peine est suspendue au profit d’une hospitalisation. Trois ans plus tard, le voilà condamné à 3 mois de prison pour menaces envers son ex-femme.
Une année plus tard, il prend à nouveau 12 mois pour un viol commis dans le canton de Berne. Toujours hospitalisé, afin que les experts observent la possibilité d’une libération progressive, il refuse la castration chimique et soigne ses pulsions en ingurgitant des neuroleptiques.
Plus calme, il obtient des congés pour rendre visite à ses parents, mais à condition qu’il ne sorte pas le soir venu. Et c’est lors de sa première sortie non accompagnée qu’il commet l’irréparable à Bienne: il entraîne une jeune fille de 17 ans dans une carrière, il la viole, il l’étrangle avant de l’étouffer en lui enfonçant trois pierres au fond de la gorge.
Pour ce meurtre sordide, B. sera reconnu partiellement coupable de ses actes en 1976. Il est condamné à 12 ans de prison.
B. n’obtiendra plus aucun congé pendant dix ans. Pour sa première sortie, il prend le train jusqu’à Genève et obtient l’adresse de la psychologue qui le suivait en prison.
Il la surprend à son domicile. La femme est accompagnée de ses deux filles. Elle accepte de le suivre en lisière de forêt. Là, sous la menace d’un couteau, B. viole la psychologue. Il prendra 15 ans de prison en 1988. En 2002, à Genève, arrivé au bout de sa peine, B. verra prononcer à son encontre un internement pour une durée indéterminée.
Remarié en prison
Selon le Code pénal suisse, l’autorité compétente examine au moins une fois par an si un détenu peut être libéré conditionnellement de l’internement. Elle se fonde notamment sur un rapport de la direction de la prison, sur une expertise indépendante, et sur l’audition du détenu. On ne sait pas où B. en était dans ces procédures.
Le violeur multirécidiviste s’est remarié en prison. Il a rencontré sa femme, mère de trois enfants, alors qu’elle était détenue en isolement à la prison de Champ-Dollon en 1992.
A une journaliste du Temps qui l’avait rencontré en cellule en 1999, il assurait ceci: «J’ai fait souffrir et je m’en rends compte. J’ai mérité ma peine, mais pas plus. Est-ce que j’ai peur de la liberté? Je suis convaincu dans mon for intérieur que je ne recommencerai plus. Mais je ne peux pas le prouver.»
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voici la photo du Monsieur : lorsque je l'ai vue j'ai trouvé qu'il ressemble fort à Xavier de Ligonnès, dont on disait qu'il s'est peut-être fait couper les cheveux - comme il avait l'habitude de le faire en été...
en plus, après sa fuite on avait signalé des sosies un peu partout et voici que l'on arrête un sosie de Jean-Louis B qui devrait donc être aussi un sosie de Xavier de Ligonnès... :-)
http://www.tdg.ch/geneve/actu/police-genevoise-arrete-sosie-fugitif-2011-06-29
La police genevoise arrête un sosie du fugitif
Chasse à l'homme
La diffusion dans la presse du portrait du criminel sexuel échappé d'une prison neuchâteloise a généré une méprise mercredi dans un bus genevois.
C'est le site 20minutes.ch qui le révèle. Les passagers d'un bus genevois ont cru reconnaître mercredi le fugitif, échappé d'une prison neuchâteloise, dont la police avait largement diffusé le portrait. Averti par des passagers, le conducteur TPG a fermé les portes et appelé la police. Celle-ci est intervenue et a emmené l'homme au poste. Mais il s'agissait en effet d'une méprise. Après vérification de son identité, l'homme pris par erreur pour le criminel a été relâché
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retrouvés morts
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Arras/actualite/Secteur_Arras/2011/06/29/article_un-arrageois-de-55-ans-retrouve-mort-dan.shtml
Un Arrageois de 55 ans retrouvé mort dans le bassin du jardin Minelle
Hier, il ne restait rien de l'agitation régnant la veille au soir, aux abords du plan d'eau du jardin Minelle, quartier Méaulens. Lundi vers 21 h 15, un corps a pourtant été retrouvé, flottant à la surface de l'eau. C'est suite à l'appel de passants que l'alerte a été donnée. Les pompiers d'Arras et les policiers sont intervenus illico mais il était trop tard. C U, 55 ans, résidant allée Henri-Barbusse, à Arras, était déjà décédé. Le corps a ensuite été pris en charge et devait faire l'objet de divers examens par un médecin légiste pour déterminer les causes du décès. Des prélèvements toxicologiques sont prévus.
Les thèses d'un malaise, ou plus vraisemblablement d'un suicide, semblent les plus probables. Elles sontprivilégiées par les enquêteurs et le parquet.
......................
Ce drame au jardin Minelle n'est hélas pas une première, dans ce parc public souvent arpenté par quelques marginaux laissés sur le bord de la route de l'insertion sociale. Le 19 septembre 2008, un SDF de 41 ans avait été retrouvé mort au pied d'un banc public. .................
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deux périodes critiques septennales : celle des 56 ans et celle des 42 ans pour le second décès...
Un Arrageois de 55 ans retrouvé mort dans le bassin du jardin Minelle
Hier, il ne restait rien de l'agitation régnant la veille au soir, aux abords du plan d'eau du jardin Minelle, quartier Méaulens. Lundi vers 21 h 15, un corps a pourtant été retrouvé, flottant à la surface de l'eau. C'est suite à l'appel de passants que l'alerte a été donnée. Les pompiers d'Arras et les policiers sont intervenus illico mais il était trop tard. C U, 55 ans, résidant allée Henri-Barbusse, à Arras, était déjà décédé. Le corps a ensuite été pris en charge et devait faire l'objet de divers examens par un médecin légiste pour déterminer les causes du décès. Des prélèvements toxicologiques sont prévus.
Les thèses d'un malaise, ou plus vraisemblablement d'un suicide, semblent les plus probables. Elles sontprivilégiées par les enquêteurs et le parquet.
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Ce drame au jardin Minelle n'est hélas pas une première, dans ce parc public souvent arpenté par quelques marginaux laissés sur le bord de la route de l'insertion sociale. Le 19 septembre 2008, un SDF de 41 ans avait été retrouvé mort au pied d'un banc public. .................
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deux périodes critiques septennales : celle des 56 ans et celle des 42 ans pour le second décès...
infanticides
http://www.courrierlaval.com/Actualites/Faits-divers/2009-05-05/article-1153213/Adele-Sorella-apte-a-subir-son-proces/1
Adèle Sorella citée à procès pour le meurtre de ses deux filles
La cause de Mme Sorella a été reportée pour la forme au 8 septembre, prochain, jour de l'ouverture du terme des procès aux assises.
Adèle Sorella, cette résidente de Laval accusée d'avoir tué avec préméditation ses deux filles, le 31 mars 2009, a été citée à procès ce matin, au palais de justice de Laval.
Le juge Paul Chevalier, qui a présidé l'enquête préliminaire de Me Sorella, a conclu qu'il y avait assez de preuves pour que le sort de Mme Sorella soit remis entre les mains d'un jury. Le magistrat a donné différents facteurs qui ont motivé sa décision, mais le tout est frappé d'une ordonnance de non-publication.
Mme Sorella, qui est en liberté sous cautionnement depuis maintenant un an, était assise seule dans la salle d'audience. Elle est restée impassible, ne manifestant aucune émotion apparente. Son avocat, Me Pierre Poupart, était présent à Laval ce matin pour entendre la décision. Il est à noter que Me Poupart est accaparé depuis près de trois mois dans un procès semblable à Saint-Jérôme, celui de Guy Turcotte, accusé lui aussi d'avoir tué ses deux enfants avec préméditation. Le procès de M. Turcotte a fait relâche pour quelques jours, mais reprend mercredi matin.
Les drames sont survenus à cinq semaines d'intervalle. Guy Turcotte, un cardiologue est accusé d'avoir tué ses enfants Olivier, cinq ans, et Anne-Sophie, trois ans, le 21 février 2009, dans la maison qu'il louait depuis peu, à Piedmont. On reproche à Mme Sorella, une agente d'immeubles, d'avoir tué ses filles Amanda, neuf ans, et Sabrina, huit ans, le 31 mars de la même année, dans sa luxueuse maison de Duvernay.
....................
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intéressant que cet article fasse le lien entre ces deux infanticides successifs...
les infanticides ont le plus souvent un lien avec la situation en période critique septennale de leur auteur (période de pulsions) et le jour critique émotionnel (jour de pulsions) de celui-ci...
c'est bien le cas ici également :
période critique septennale des 42 ans pour Mme Sorella, l'accusée, et période critique septennale des 35 ans pour Guy Turcotte. et ce dernier a tué ses enfants son jour critique émotionnel (crime un vendredi pour un natif du vendredi) (1), alors que pour Mme Sorella je n'ai pu vérifier, ne connaissant pas sa date de naissance. (2)
(1) le jour critique émotionnel est toujours le jour de la semaine où nous sommes nés. c'est un jour de "pulsions/désinhibtion"
(2) le drame ayant eu lieu un mardi - 31 mars 2009 - il y aurait jour critique émotionnel si la personne est native du mardi - où d'un jour à côté, parfois. on peut cependant trouver aussi, lors d'un passage à l'acte dramatique, certains autres "jours pulsions" comme un jour critique physique, par exemple, mais cela est moins souvent le cas.
trois tentatives de suicide dont on pourrait également comparer les dates.
Adèle Sorella citée à procès pour le meurtre de ses deux filles
La cause de Mme Sorella a été reportée pour la forme au 8 septembre, prochain, jour de l'ouverture du terme des procès aux assises.
Adèle Sorella, cette résidente de Laval accusée d'avoir tué avec préméditation ses deux filles, le 31 mars 2009, a été citée à procès ce matin, au palais de justice de Laval.
Le juge Paul Chevalier, qui a présidé l'enquête préliminaire de Me Sorella, a conclu qu'il y avait assez de preuves pour que le sort de Mme Sorella soit remis entre les mains d'un jury. Le magistrat a donné différents facteurs qui ont motivé sa décision, mais le tout est frappé d'une ordonnance de non-publication.
Mme Sorella, qui est en liberté sous cautionnement depuis maintenant un an, était assise seule dans la salle d'audience. Elle est restée impassible, ne manifestant aucune émotion apparente. Son avocat, Me Pierre Poupart, était présent à Laval ce matin pour entendre la décision. Il est à noter que Me Poupart est accaparé depuis près de trois mois dans un procès semblable à Saint-Jérôme, celui de Guy Turcotte, accusé lui aussi d'avoir tué ses deux enfants avec préméditation. Le procès de M. Turcotte a fait relâche pour quelques jours, mais reprend mercredi matin.
Les drames sont survenus à cinq semaines d'intervalle. Guy Turcotte, un cardiologue est accusé d'avoir tué ses enfants Olivier, cinq ans, et Anne-Sophie, trois ans, le 21 février 2009, dans la maison qu'il louait depuis peu, à Piedmont. On reproche à Mme Sorella, une agente d'immeubles, d'avoir tué ses filles Amanda, neuf ans, et Sabrina, huit ans, le 31 mars de la même année, dans sa luxueuse maison de Duvernay.
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intéressant que cet article fasse le lien entre ces deux infanticides successifs...
les infanticides ont le plus souvent un lien avec la situation en période critique septennale de leur auteur (période de pulsions) et le jour critique émotionnel (jour de pulsions) de celui-ci...
c'est bien le cas ici également :
période critique septennale des 42 ans pour Mme Sorella, l'accusée, et période critique septennale des 35 ans pour Guy Turcotte. et ce dernier a tué ses enfants son jour critique émotionnel (crime un vendredi pour un natif du vendredi) (1), alors que pour Mme Sorella je n'ai pu vérifier, ne connaissant pas sa date de naissance. (2)
(1) le jour critique émotionnel est toujours le jour de la semaine où nous sommes nés. c'est un jour de "pulsions/désinhibtion"
(2) le drame ayant eu lieu un mardi - 31 mars 2009 - il y aurait jour critique émotionnel si la personne est native du mardi - où d'un jour à côté, parfois. on peut cependant trouver aussi, lors d'un passage à l'acte dramatique, certains autres "jours pulsions" comme un jour critique physique, par exemple, mais cela est moins souvent le cas.
trois tentatives de suicide dont on pourrait également comparer les dates.
mardi 28 juin 2011
suicide septennal
http://www.ladepeche.fr/article/2011/06/28/1116694-le-mystere-du-corps-calcine-est-leve.html
Lavaur. Le mystère du corps calciné est levé
L'autopsie du corps découvert calciné, jeudi matin, à l'entrée de la déchetterie de Lavaur, a conclu à un suicide par immolation. Si les tests ADN ne sont pas encore connus, tout indique que la victime est bien A D , un artisan de 55 ans.
.....................
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entrée période critique septennale des 56 ans... jour critique émotionnel ?
Lavaur. Le mystère du corps calciné est levé
L'autopsie du corps découvert calciné, jeudi matin, à l'entrée de la déchetterie de Lavaur, a conclu à un suicide par immolation. Si les tests ADN ne sont pas encore connus, tout indique que la victime est bien A D , un artisan de 55 ans.
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entrée période critique septennale des 56 ans... jour critique émotionnel ?
drame septennal
http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/chelles-une-septuagenaire-tue-son-mari-et-se-suicide-28-06-2011-1512115.php
Chelles : une septuagénaire tue son mari et se suicide
Une femme de 78 ans s’est donné la mort en sautant par son balcon, ce mardi 28 juin à Chelles (Seine-et-Marne), après avoir mis fin aux jours de son mari, âgé de 84 ans. Le couple résidait au troisième étage d’une résidence du centre ville. Selon nos informations, la septuagénaire a laissé plusieurs courriers expliquant son geste : favorable à l’euthanasie, elle aurait décidé de «partir ensemble» avec son mari.
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compatibilité septennale, ici également, avec deux personnes simultanément dans leurs périodes critiques respectives (périodes critiques septennales des 77 ans et 84 ans)...
jour critique émotionnel ?
Chelles : une septuagénaire tue son mari et se suicide
Une femme de 78 ans s’est donné la mort en sautant par son balcon, ce mardi 28 juin à Chelles (Seine-et-Marne), après avoir mis fin aux jours de son mari, âgé de 84 ans. Le couple résidait au troisième étage d’une résidence du centre ville. Selon nos informations, la septuagénaire a laissé plusieurs courriers expliquant son geste : favorable à l’euthanasie, elle aurait décidé de «partir ensemble» avec son mari.
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compatibilité septennale, ici également, avec deux personnes simultanément dans leurs périodes critiques respectives (périodes critiques septennales des 77 ans et 84 ans)...
jour critique émotionnel ?
chute
Le corps d'un randonneur retrouvé dans le Cantal
http://www.leparisien.fr/faits-divers/le-corps-d-un-randonneur-retrouve-dans-le-cantal-28-06-2011-1511951.php
Un randonneur a été retrouvé mort au bas du GR 400 dans les monts d'Auvergne.
Parti pour une randonnée à la journée dans les monts du Cantal, dimanche, un homme de 49 ans a trouvé la mort, probablement suite à une chute de plusieurs centaines de mètres.
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http://www.leparisien.fr/faits-divers/le-corps-d-un-randonneur-retrouve-dans-le-cantal-28-06-2011-1511951.php
Un randonneur a été retrouvé mort au bas du GR 400 dans les monts d'Auvergne.
Parti pour une randonnée à la journée dans les monts du Cantal, dimanche, un homme de 49 ans a trouvé la mort, probablement suite à une chute de plusieurs centaines de mètres.
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meurtre
http://www.lavoixdunord.fr/Region/actualite/Secteur_Region/2011/06/28/article_meurtre-de-clelia-le-doute-s-accroche-au.shtml
Meurtre de Clélia : le doute s'accroche au cric...
Il fait étouffant. La salle est bondée. Et le procès est tendu. Extrêmement tendu. Pourtant, la douleur de la famille et des nombreux amis de Clélia est digne. À fleur de peau, mais digne. Et Julien Sailly, dans son box ouvert (il comparaît libre) nie le crime qu'on lui reproche avec une conviction un peu effrayée. Si l'audience est si tendue, c'est qu'elle est animée par des magistrats et des avocats qui n'ont pas tout à fait la même conception de ce qu'elle doit être. Et cela va durer trois jours.
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http://xxstart-cerisexx.skyrock.com/
D'après le médecin légiste, la mort de Clélia Médina, 18 ans, remonte à la fin de la nuit du 16 au 17 février, après un samedi soir de fête. Son corps est retrouvé dans la Deûle, non loin du Colysée de Lambersart, le dimanche matin. Son petit ami, Julien Sailly-Belkacem, vient au commissariat donner sa version des faits, le lundi soir. Il est mis en examen et écroué pour homicide volontaire le mercredi.
Julien nie le meurtre. Il reconnaît qu'une dispute, avec des coups, a éclaté avec Clélia, dont le visage a été frappé avec un cric. Mais il assure n'avoir pas été l'auteur de ces coups mortels. Plusieurs éléments matériels contredisent cette version et conduisent à la mise en examen de Julien, toujours présumé innocent.
Julien, impulsif, entretenait une relation conflictuelle avec Clélia. Au bout d'un an, le couple s'était séparé. Il avait renoué à la Saint-Valentin. Sur le coup, personne ne comprend ce qui a pu se passer. Carole Salomé, la mère de Clélia, décrit Julien comme un « garçon gentil, pas violent ». Quant à sa fille, « elle était très jolie, pétillante, gentille. Elle était le deuxième pilier de la famille et ma confidente. » Ses proches disent sa joie de vivre, son élégance, l'appellent « princesse ».
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situation des cycles respectifs le jour du meurtre ?
jour critique émotionnel ?
Meurtre de Clélia : le doute s'accroche au cric...
Il fait étouffant. La salle est bondée. Et le procès est tendu. Extrêmement tendu. Pourtant, la douleur de la famille et des nombreux amis de Clélia est digne. À fleur de peau, mais digne. Et Julien Sailly, dans son box ouvert (il comparaît libre) nie le crime qu'on lui reproche avec une conviction un peu effrayée. Si l'audience est si tendue, c'est qu'elle est animée par des magistrats et des avocats qui n'ont pas tout à fait la même conception de ce qu'elle doit être. Et cela va durer trois jours.
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http://xxstart-cerisexx.skyrock.com/
D'après le médecin légiste, la mort de Clélia Médina, 18 ans, remonte à la fin de la nuit du 16 au 17 février, après un samedi soir de fête. Son corps est retrouvé dans la Deûle, non loin du Colysée de Lambersart, le dimanche matin. Son petit ami, Julien Sailly-Belkacem, vient au commissariat donner sa version des faits, le lundi soir. Il est mis en examen et écroué pour homicide volontaire le mercredi.
Julien nie le meurtre. Il reconnaît qu'une dispute, avec des coups, a éclaté avec Clélia, dont le visage a été frappé avec un cric. Mais il assure n'avoir pas été l'auteur de ces coups mortels. Plusieurs éléments matériels contredisent cette version et conduisent à la mise en examen de Julien, toujours présumé innocent.
Julien, impulsif, entretenait une relation conflictuelle avec Clélia. Au bout d'un an, le couple s'était séparé. Il avait renoué à la Saint-Valentin. Sur le coup, personne ne comprend ce qui a pu se passer. Carole Salomé, la mère de Clélia, décrit Julien comme un « garçon gentil, pas violent ». Quant à sa fille, « elle était très jolie, pétillante, gentille. Elle était le deuxième pilier de la famille et ma confidente. » Ses proches disent sa joie de vivre, son élégance, l'appellent « princesse ».
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situation des cycles respectifs le jour du meurtre ?
jour critique émotionnel ?
déclarée morte
Une femme meurt après s'être réveillée... à son enterrement
" Une femme russe de 49 ans, Fagilyu Mukhametzyanov, déclarée morte d'une attaque cardiaque, est soudainement revenue à la vie en plein milieu de son enterrement, alors que ses proches priaient autour de son cercueil ouvert. Quelques minutes plus tard, la malheureuse est "à nouveau" décédée.
Au moment de reprendre connaissance et réalisant qu'on voulait l'enterrer, elle s'est relevée et a poussé un grand cri. Ses proches ont alors tenté de la calmer et l'ont emmenée à l'hopital de Kazan qui avait - par erreur - diagnostiquer sa mort.
Un retour à la vie de 12 minutes
"Ses paupières tremblaient, nous l'avons immédiatemment conduite à la clinique", raconte le veuf. "Elle est revenue à la vie pendant une douzaine de minutes puis elle nous a quittés. Pour de bon."
Fagili, son mari, veut à présent poursuivre l'hôpital en justice. "Je suis très en colère et je veux des réponses. Ils ont cru qu'elle était morte alors qu'elle aurait pu être sauvée." Un porte-parole de la clinique a simplement indiqué qu'une enquête était en cours."
Source : 7 SUR 7.BE (27 juin 2011)
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attention au symptômes de la période critique septennale... divers types de maladies et malaises en font partie...
" Une femme russe de 49 ans, Fagilyu Mukhametzyanov, déclarée morte d'une attaque cardiaque, est soudainement revenue à la vie en plein milieu de son enterrement, alors que ses proches priaient autour de son cercueil ouvert. Quelques minutes plus tard, la malheureuse est "à nouveau" décédée.
Au moment de reprendre connaissance et réalisant qu'on voulait l'enterrer, elle s'est relevée et a poussé un grand cri. Ses proches ont alors tenté de la calmer et l'ont emmenée à l'hopital de Kazan qui avait - par erreur - diagnostiquer sa mort.
Un retour à la vie de 12 minutes
"Ses paupières tremblaient, nous l'avons immédiatemment conduite à la clinique", raconte le veuf. "Elle est revenue à la vie pendant une douzaine de minutes puis elle nous a quittés. Pour de bon."
Fagili, son mari, veut à présent poursuivre l'hôpital en justice. "Je suis très en colère et je veux des réponses. Ils ont cru qu'elle était morte alors qu'elle aurait pu être sauvée." Un porte-parole de la clinique a simplement indiqué qu'une enquête était en cours."
Source : 7 SUR 7.BE (27 juin 2011)
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attention au symptômes de la période critique septennale... divers types de maladies et malaises en font partie...
macabre découverte
http://www.estrepublicain.fr/fr/franche-comte/info/5331007-Macabre-decouverte-a-Etupes-Etupes-retrouve-egorge-dans-la-baignoire
Montbéliard. Une rupture amoureuse peut provoquer des dégâts irrémédiables. Irréparables… Dimanche 15 h 10, cette habitante du quartier de la Montagne, à Étupes, regagne le domicile qu’elle partage depuis quelques semaines avec son frère âgé de 28 ans. Elle sonne. Personne ne répond...
Dimanche 15 h 10, cette habitante du quartier de la Montagne, à Étupes, regagne le domicile qu’elle partage depuis quelques semaines avec son frère âgé de 28 ans. Elle sonne. Personne ne répond. Elle tente de glisser la clé dans la serrure mais une clé de l’autre côté obstrue le passage. Inquiète, elle finit par prévenir les secours qui déboulent sur les lieux avec la grande échelle pour atteindre le huitième étage de cette tour de la rue Cuvier.
Une fois dans l’appartement, les pompiers ouvrent la porte. L’occupante des lieux se rend alors dans la salle de bain où elle découvre, gisant dans la baignoire et couvert de sang son frère. L’homme est mort et présente deux profondes lésions à la gorge. Dans la baignoire, un imposant couteau de cuisine maculé de sang et ayant très probablement occasionné les blessures.
Aussitôt, un gel des lieux est décrété et deux techniciens en identification criminelle, en provenance de Besançon et Belfort, sont dépêchés sur place. Durant plusieurs heures, le voisinage assiste à des va-et-vient qui suscitent la curiosité et les spéculations. Des rumeurs de meurtre filtrent.
Selon les premiers éléments de l’enquête, la thèse du suicide est privilégiée. D’abord parce que le domicile était fermé de l’intérieur et inaccessible de l’extérieur. Ensuite en raison des événements. Dépressif, le jeune homme qui travaillait dans une entreprise de menuiserie avait appris, à midi, de la bouche de son amie, qu’elle le quittait. Il n’aurait pas supporté cette séparation. Une autopsie devrait être pratiquée pour lever tous les doutes.
Sam BONJEAN
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"Une rupture amoureuse peut provoquer des dégâts irrémédiables. Irréparables…"
ben oui... surtout si elle intervient en période critique septennale.... (ici celle des 28 ans)...
souvent d'ailleurs la rupture intervient à cause de l'arrivée et du séjour dans la période critique...
(cet épisode peut opérer un changement de personnalité pouvant conduire à une mésentente puis une rupture)
Montbéliard. Une rupture amoureuse peut provoquer des dégâts irrémédiables. Irréparables… Dimanche 15 h 10, cette habitante du quartier de la Montagne, à Étupes, regagne le domicile qu’elle partage depuis quelques semaines avec son frère âgé de 28 ans. Elle sonne. Personne ne répond...
Dimanche 15 h 10, cette habitante du quartier de la Montagne, à Étupes, regagne le domicile qu’elle partage depuis quelques semaines avec son frère âgé de 28 ans. Elle sonne. Personne ne répond. Elle tente de glisser la clé dans la serrure mais une clé de l’autre côté obstrue le passage. Inquiète, elle finit par prévenir les secours qui déboulent sur les lieux avec la grande échelle pour atteindre le huitième étage de cette tour de la rue Cuvier.
Une fois dans l’appartement, les pompiers ouvrent la porte. L’occupante des lieux se rend alors dans la salle de bain où elle découvre, gisant dans la baignoire et couvert de sang son frère. L’homme est mort et présente deux profondes lésions à la gorge. Dans la baignoire, un imposant couteau de cuisine maculé de sang et ayant très probablement occasionné les blessures.
Aussitôt, un gel des lieux est décrété et deux techniciens en identification criminelle, en provenance de Besançon et Belfort, sont dépêchés sur place. Durant plusieurs heures, le voisinage assiste à des va-et-vient qui suscitent la curiosité et les spéculations. Des rumeurs de meurtre filtrent.
Selon les premiers éléments de l’enquête, la thèse du suicide est privilégiée. D’abord parce que le domicile était fermé de l’intérieur et inaccessible de l’extérieur. Ensuite en raison des événements. Dépressif, le jeune homme qui travaillait dans une entreprise de menuiserie avait appris, à midi, de la bouche de son amie, qu’elle le quittait. Il n’aurait pas supporté cette séparation. Une autopsie devrait être pratiquée pour lever tous les doutes.
Sam BONJEAN
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"Une rupture amoureuse peut provoquer des dégâts irrémédiables. Irréparables…"
ben oui... surtout si elle intervient en période critique septennale.... (ici celle des 28 ans)...
souvent d'ailleurs la rupture intervient à cause de l'arrivée et du séjour dans la période critique...
(cet épisode peut opérer un changement de personnalité pouvant conduire à une mésentente puis une rupture)
lundi 27 juin 2011
drame septennal
http://lorraine.france3.fr/info/inor---le-pere-meurtrier-s-est-donne-la-mort-69410688.html
Inor - Le père meurtrier s'est donné la mort
A Inor, près de Stenay, dans le nord meusien, un homme a tué sa femme à coups de masse avant de se donner la mort.
Lundi 27 juin, vers 7h, dans le village d'Inor, en Meuse, un homme de 56 ans a tué sa femme de 49 ans à coups de masse et tenté de tuer son fils de 8 ans. Ce dernier a été évacué par hélicoptère au CHU de Nancy dans un état grave.
La fille du couple, âgée de 13 ans s'est enfuie, blessée au bras et à la tête. C'est elle qui a donné l'alerte à sa famille résidant dans le village.
JMD, père, mari et auteur présumé des coups, a pris la fuite. Son véhicule a été retrouvé sur un chemin à proximité de la Meuse.
Les gendarmes de Verdun chargés de l'enquête ont sondé le cours d'eau à sa recherche avec l'aide des plongeurs de Strasbourg. Ils ont finalement retrouvé son corps dans l'après-midi.
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hélas même constatation et analyse que mon post d'hier où un scénario un peu analogue (périodes critiques) semble s'être produit à Aydat :
"une compatibilité septennale, ici, avec deux personnes simultanément dans leurs périodes critiques respectives (périodes critiques septennales des 56 ans et 49 ans)...
jour critique émotionnel ?"
Inor - Le père meurtrier s'est donné la mort
A Inor, près de Stenay, dans le nord meusien, un homme a tué sa femme à coups de masse avant de se donner la mort.
Lundi 27 juin, vers 7h, dans le village d'Inor, en Meuse, un homme de 56 ans a tué sa femme de 49 ans à coups de masse et tenté de tuer son fils de 8 ans. Ce dernier a été évacué par hélicoptère au CHU de Nancy dans un état grave.
La fille du couple, âgée de 13 ans s'est enfuie, blessée au bras et à la tête. C'est elle qui a donné l'alerte à sa famille résidant dans le village.
JMD, père, mari et auteur présumé des coups, a pris la fuite. Son véhicule a été retrouvé sur un chemin à proximité de la Meuse.
Les gendarmes de Verdun chargés de l'enquête ont sondé le cours d'eau à sa recherche avec l'aide des plongeurs de Strasbourg. Ils ont finalement retrouvé son corps dans l'après-midi.
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hélas même constatation et analyse que mon post d'hier où un scénario un peu analogue (périodes critiques) semble s'être produit à Aydat :
"une compatibilité septennale, ici, avec deux personnes simultanément dans leurs périodes critiques respectives (périodes critiques septennales des 56 ans et 49 ans)...
jour critique émotionnel ?"
drame conjugal
http://diepresse.com/home/panorama/oesterreich/673023/Familiendrama_Frau-erwuergt-Ehemann-verletzt
Familiendrama: Frau erwürgt, Ehemann verletzt
Die 27-jährige Frau wurde Montagmorgen tot in ihrer Wohnung im Vorarlberger Ort Nüziders gefunden. Die Polizei verdächtigt den Ehemann. Das Kind der beiden war zum Tatzeitpunkt in der Wohnung.
..........................
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toujours grande prudence, en cas de problèmes dans un couple, lorsque l'un ou l'autre ou parfois les deux, entrent dans l'une de leurs périodes critiques septennales... un différend dégénère bien plus facilement en catastrophe en raison des tensions particulières survenant à ce moment-là...
ici la femme de 27 ans (entrée période critique septennale des 28 ans) a été étranglée par son mari (30 ans), qui a ensuite essayé - sans succès - de se suicider... il ne s'est que blessé...
grande prudence également, le jour de la semaine où nous sommes nés, dès la veille au soir de ce jour : notre "jour critique émotionnel" est également jour de tensions particulières... pouvant, dans les cas extrêmes, devenir "jour d'explosion"...
Familiendrama: Frau erwürgt, Ehemann verletzt
Die 27-jährige Frau wurde Montagmorgen tot in ihrer Wohnung im Vorarlberger Ort Nüziders gefunden. Die Polizei verdächtigt den Ehemann. Das Kind der beiden war zum Tatzeitpunkt in der Wohnung.
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toujours grande prudence, en cas de problèmes dans un couple, lorsque l'un ou l'autre ou parfois les deux, entrent dans l'une de leurs périodes critiques septennales... un différend dégénère bien plus facilement en catastrophe en raison des tensions particulières survenant à ce moment-là...
ici la femme de 27 ans (entrée période critique septennale des 28 ans) a été étranglée par son mari (30 ans), qui a ensuite essayé - sans succès - de se suicider... il ne s'est que blessé...
grande prudence également, le jour de la semaine où nous sommes nés, dès la veille au soir de ce jour : notre "jour critique émotionnel" est également jour de tensions particulières... pouvant, dans les cas extrêmes, devenir "jour d'explosion"...
retrouvé mort
http://www.lamontagne.fr/editions_locales/cantal/montvert_l_homme_porte_disparu_retrouve_dans_sa_voiture_immergee@CARGNjFdJSsBHh4HAB4-.html
Montvert : l'homme porté disparu retrouvé dans sa voiture immergée
Un quinquagénaire originaire de Laroquebrou a été retrouvé mort, dimanche matin, dans sa voiture immergée dans la retenue du barrage de Montvert. Il était porté disparu depuis vendredi.
L'homme n'avait plus donné signe de vie depuis vendredi dernier. JP L, 58 ans, originaire de Laroquebrou, a été retrouvé mort, dimanche, dans sa voiture immergée dans la retenue du barrage de Montvert. Après avoir découvert le véhicule au fond de l'eau, un de ses proches a donné l'alerte peu avant midi.
Pompiers, plongeurs et gendarmes de la compagnie d'Aurillac sont alors intervenus au bord de la Cère afin de sortir la voiture de l'eau et d'évacuer le corps. Cet endroit reculé, situé à quelques kilomètres de Laroquebrou, est bien connu des pêcheurs et de JPL, qui pratiquait cette activité.
La disparition de cet ancien employé de la SNCF, signalée vendredi par la famille, n'avait pas été considérée comme inquiétante par les gendarmes, mais des recherches avaient été entreprises. Ce décès survient moins de dix jours après celui de son frère, A L, à 52 ans, des suites d'une grave maladie.
Une enquête a été ouverte par le parquet d'Aurillac pour déterminer les causes de la mort. " Pour l'instant, aucun élément ne favorise la piste criminelle. Sur place et à première vue, rien ne relevait de l'intervention d'un tiers ", indique le procureur de la République.
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Montvert : l'homme porté disparu retrouvé dans sa voiture immergée
Un quinquagénaire originaire de Laroquebrou a été retrouvé mort, dimanche matin, dans sa voiture immergée dans la retenue du barrage de Montvert. Il était porté disparu depuis vendredi.
L'homme n'avait plus donné signe de vie depuis vendredi dernier. JP L, 58 ans, originaire de Laroquebrou, a été retrouvé mort, dimanche, dans sa voiture immergée dans la retenue du barrage de Montvert. Après avoir découvert le véhicule au fond de l'eau, un de ses proches a donné l'alerte peu avant midi.
Pompiers, plongeurs et gendarmes de la compagnie d'Aurillac sont alors intervenus au bord de la Cère afin de sortir la voiture de l'eau et d'évacuer le corps. Cet endroit reculé, situé à quelques kilomètres de Laroquebrou, est bien connu des pêcheurs et de JPL, qui pratiquait cette activité.
La disparition de cet ancien employé de la SNCF, signalée vendredi par la famille, n'avait pas été considérée comme inquiétante par les gendarmes, mais des recherches avaient été entreprises. Ce décès survient moins de dix jours après celui de son frère, A L, à 52 ans, des suites d'une grave maladie.
Une enquête a été ouverte par le parquet d'Aurillac pour déterminer les causes de la mort. " Pour l'instant, aucun élément ne favorise la piste criminelle. Sur place et à première vue, rien ne relevait de l'intervention d'un tiers ", indique le procureur de la République.
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retrouvé mort
http://www.lejdc.fr/editions_locales/clamecy/un_homme_retrouve_mort_a_son_domicile@CARGNjFdJSsBHh4GCx0-.html
Un homme retrouvé mort à son domicile
Une chute pourrait être à l'origine du décès d'un homme de 56 ans, retrouvé en sang, samedi matin, à son domicile de la rue Jean-Jaurès, à Clamecy.
Une autopsie sera pratiquée à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), dans les prochains jours. Elle devrait confirmer la thèse d'une chute accidentelle dans les escaliers (avec une fracture du rocher pour conséquence), privilégiée par les enquêteurs.
Le corps de ce célibataire avait été découvert dans son logement après l'alerte donnée par un ami venu lui rendre visite, vers 10 h 30. En montant les escaliers, il avait remarqué la présence de nombreuses traces de sang. Sang également abondant sur la porte de l'appartement de l'ami, par ailleurs verrouillée de l'intérieur.
(...)
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Un homme retrouvé mort à son domicile
Une chute pourrait être à l'origine du décès d'un homme de 56 ans, retrouvé en sang, samedi matin, à son domicile de la rue Jean-Jaurès, à Clamecy.
Une autopsie sera pratiquée à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), dans les prochains jours. Elle devrait confirmer la thèse d'une chute accidentelle dans les escaliers (avec une fracture du rocher pour conséquence), privilégiée par les enquêteurs.
Le corps de ce célibataire avait été découvert dans son logement après l'alerte donnée par un ami venu lui rendre visite, vers 10 h 30. En montant les escaliers, il avait remarqué la présence de nombreuses traces de sang. Sang également abondant sur la porte de l'appartement de l'ami, par ailleurs verrouillée de l'intérieur.
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Manaudou, le retour
http://www.lefigaro.fr/flash-sport/2011/06/26/97003-20110626FILSPO00191-manaudou-beaucoup-de-chemin-a-parcourir.php
Manaudou s'explique
«La retraite a été un bonheur. J'avais besoin de prendre le large. J'étais proche de la dépression. Mais même pendant la retraite, j'ai toujours suivi l'actualité de la natation Moi, je ne pouvais plus mettre un pied dans une piscine. Il y avait une forme de dégoût. Aujourd'hui j'ai envie de reprendre la compétition. Le chemin va être long car je me suis arrêtée pendant deux ans et demi. ............
...............
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finie la période critique septennale des 21 ans... on y va...!
Manaudou s'explique
«La retraite a été un bonheur. J'avais besoin de prendre le large. J'étais proche de la dépression. Mais même pendant la retraite, j'ai toujours suivi l'actualité de la natation Moi, je ne pouvais plus mettre un pied dans une piscine. Il y avait une forme de dégoût. Aujourd'hui j'ai envie de reprendre la compétition. Le chemin va être long car je me suis arrêtée pendant deux ans et demi. ............
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finie la période critique septennale des 21 ans... on y va...!
incertitudes
http://www.lefigaro.fr/international/2011/06/27/01003-20110627ARTFIG00374-incertitudes-autour-de-l-etat-de-sante-d-hugo-chavez.php
Incertitudes autour de l'état de santé d'Hugo Chavez
Le chef d'État vénézuélien se fait très discret depuis une opération d'urgence à La Havane, faisant courir de multiples rumeurs sur sa santé au sein de la population et de l'opposition.
Un cancer, une maladie grave, une cure de repos, une dépression ... L'absence du président Hugo Chavez depuis une opération d'urgence le 10 juin à Cuba fait courir toutes sortes de rumeurs sur son état de santé. Son gouvernement tente de convaincre que le chef de l'État est en pleine forme, sans néanmoins publier de bulletin de santé officiel.
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tiens un septennal... (28/07/1954)
(10 juin est un jour neutre)
Incertitudes autour de l'état de santé d'Hugo Chavez
Le chef d'État vénézuélien se fait très discret depuis une opération d'urgence à La Havane, faisant courir de multiples rumeurs sur sa santé au sein de la population et de l'opposition.
Un cancer, une maladie grave, une cure de repos, une dépression ... L'absence du président Hugo Chavez depuis une opération d'urgence le 10 juin à Cuba fait courir toutes sortes de rumeurs sur son état de santé. Son gouvernement tente de convaincre que le chef de l'État est en pleine forme, sans néanmoins publier de bulletin de santé officiel.
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tiens un septennal... (28/07/1954)
(10 juin est un jour neutre)
retrouvé mort
http://www.lefigaro.fr/international/2011/06/27/01003-20110627ARTFIG00442-un-ami-proche-de-david-cameron-retrouve-mort.php
Un ami proche de David Cameron retrouvé mort.
Le corps de Christopher Shale a été retrouvé dimanche matin dans les toilettes du festival de musique de Glastonbury. Peu avant sa disparition, Downing Street le prévenait de la publication imminente dans la presse de documents internes écrits de sa main.
...............
Si le directeur du festival de Glastonbury a d'abord évoqué auprès des médias la thèse d'un suicide, les proches de Christopher Shale ont eux affirmé que l'homme de 56 ans était mort d'une crise cardiaque. De son côté, la police a exclu l'hypothèse du meurtre d'après l'examen du corps et les circonstances du décès.
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aïe... faut pas trop blaguer avec une personne en pleine période critique septennale...
Un ami proche de David Cameron retrouvé mort.
Le corps de Christopher Shale a été retrouvé dimanche matin dans les toilettes du festival de musique de Glastonbury. Peu avant sa disparition, Downing Street le prévenait de la publication imminente dans la presse de documents internes écrits de sa main.
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Si le directeur du festival de Glastonbury a d'abord évoqué auprès des médias la thèse d'un suicide, les proches de Christopher Shale ont eux affirmé que l'homme de 56 ans était mort d'une crise cardiaque. De son côté, la police a exclu l'hypothèse du meurtre d'après l'examen du corps et les circonstances du décès.
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aïe... faut pas trop blaguer avec une personne en pleine période critique septennale...
meurtre d'un enfant
http://www.abendblatt.de/vermischtes/article1936665/Siebenjaehrige-Mary-Jane-getoetet-ein-Ort-in-Angst.html
Siebenjährige Mary-Jane getötet: ein Ort in Angst
Das Mädchen kam nicht von der Schule nach Hause. Dann wurde ihre Leiche in einem Bach gefunden. Die Polizei bestätigt ein Gewaltverbrechen.
=============
la petite ville allemande de Zella-Mehlis est sous le choc depuis que l'on a retrouvé, samedi matin, le corps de Mary-Jane - 7 ans - dans la forêt à un km de son habitation. sa mère a donné l'alerte lorsqu'elle n'est pas rentrée de l'école, vendredi après 16 heures.
édit 3/07 :
date de naissance de Mary-Jane : 11/07/2003
la disparition et le meurtre ont eu lieu vendredi après la sortie de classe, le 24 juin.
nous pouvons alors regarder la situation de la fillette :
juin 2011 (11/07/2003)
Lu 20
Ma 21
Me 22 P(6)
Je 23 P(7) I(1)
Ve 24 E(22)
Sa 25
Di 26
lorsque je le peux, je vérifie toutes les situations, même celle des victimes, ce qui est le cas ici. car elles peuvent toujours dire quelque chose...
c'est aussi le cas ici : la petite Mary-Jane se trouvait le jour de sa disparition dans son jour critique émotionnel E22 et elle approchait de sa date anniversaire. elle terminait aussi (enfant septennale, sa mère ayant 28 ans) son passage dans sa période critique septennale des 7 ans.
trois, mais surtout deux éléments (jour critique émotionnel E22 et proximité anniversaire), qui sont d'après-moi des éléments de "fragilisation".
en effet un jour critique émotionnel on a tendance à être plus entreprenant, on est plus exubérant et volubile, et on fait bien plus facilement confiance : on se fait - de ce fait - plus facilement "embobiner" même par un étranger, et mieux encore par une personne que l'on connaît...
on est plus mélancolique et on cherche les contacts...
édit 9/07 :
http://www.spiegel.de/panorama/justiz/0,1518,773400,00.html
http://www.welt.de/vermischtes/weltgeschehen/article13477889/Tino-L-missbrauchte-Mary-Jane-vor-Mord-sexuell.html
un individu de 37 ans du voisinage, apparemment ami de la mère de la fillette - laquelle donc le connaissait - a été arrêté et a avoué le meurtre...
l'individu était connu de la police pour différents faits mais pas d'ordre sexuels.
on peut noter encore que la mère qui aurait 28 ans se trouve par conséquent en pleine période critique septennale. (je me suis posé la question du "choix" d'un tel "ami"...)
il faut rajouter d'ailleurs que Mary-Jane est une enfant septennale, dans sa période critique des sept ans en même temps que sa mère.
Siebenjährige Mary-Jane getötet: ein Ort in Angst
Das Mädchen kam nicht von der Schule nach Hause. Dann wurde ihre Leiche in einem Bach gefunden. Die Polizei bestätigt ein Gewaltverbrechen.
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la petite ville allemande de Zella-Mehlis est sous le choc depuis que l'on a retrouvé, samedi matin, le corps de Mary-Jane - 7 ans - dans la forêt à un km de son habitation. sa mère a donné l'alerte lorsqu'elle n'est pas rentrée de l'école, vendredi après 16 heures.
édit 3/07 :
date de naissance de Mary-Jane : 11/07/2003
la disparition et le meurtre ont eu lieu vendredi après la sortie de classe, le 24 juin.
nous pouvons alors regarder la situation de la fillette :
juin 2011 (11/07/2003)
Lu 20
Ma 21
Me 22 P(6)
Je 23 P(7) I(1)
Ve 24 E(22)
Sa 25
Di 26
lorsque je le peux, je vérifie toutes les situations, même celle des victimes, ce qui est le cas ici. car elles peuvent toujours dire quelque chose...
c'est aussi le cas ici : la petite Mary-Jane se trouvait le jour de sa disparition dans son jour critique émotionnel E22 et elle approchait de sa date anniversaire. elle terminait aussi (enfant septennale, sa mère ayant 28 ans) son passage dans sa période critique septennale des 7 ans.
trois, mais surtout deux éléments (jour critique émotionnel E22 et proximité anniversaire), qui sont d'après-moi des éléments de "fragilisation".
en effet un jour critique émotionnel on a tendance à être plus entreprenant, on est plus exubérant et volubile, et on fait bien plus facilement confiance : on se fait - de ce fait - plus facilement "embobiner" même par un étranger, et mieux encore par une personne que l'on connaît...
on est plus mélancolique et on cherche les contacts...
édit 9/07 :
http://www.spiegel.de/panorama/justiz/0,1518,773400,00.html
http://www.welt.de/vermischtes/weltgeschehen/article13477889/Tino-L-missbrauchte-Mary-Jane-vor-Mord-sexuell.html
un individu de 37 ans du voisinage, apparemment ami de la mère de la fillette - laquelle donc le connaissait - a été arrêté et a avoué le meurtre...
l'individu était connu de la police pour différents faits mais pas d'ordre sexuels.
on peut noter encore que la mère qui aurait 28 ans se trouve par conséquent en pleine période critique septennale. (je me suis posé la question du "choix" d'un tel "ami"...)
il faut rajouter d'ailleurs que Mary-Jane est une enfant septennale, dans sa période critique des sept ans en même temps que sa mère.
dimanche 26 juin 2011
drame septennal
http://www.lamontagne.fr/editions_locales/clermont_ferrand/crime_passionnel_a_aydat_si_l_hypothese_du_meurtre_suivi_d_un_suicide_est_jugee_serieuse_elle_n_est_pas_encore_demontree@CARGNjFdJSsBHhkNCx8-.html
Crime passionnel à Aydat : si l'hypothèse du meurtre suivi d'un suicide est jugée sérieuse, elle n'est pas encore démontrée
L'homme retrouvé mort avec son amie, vendredi, à Aydat, aurait tenté de se suicider deux semaines plus tôt. Les gendarmes s'attellent à vérifier cette information, entre autres tâches.
L’affaire d’Aydat a mobilisé, hier, une vingtaine de gendarmes. Le dispositif est articulé autour de la section de recherches du groupement du Puy-de-Dôme et de la brigade de recherches de la compagnie de Clermont-Ferrand. Et l’enquête progresse par cercles concentriques.
D’abord la scène de crime : elle a été étudiée de fond en comble, vendredi, jusqu’à la tombée de la nuit. Puis ses abords : des patrouilles ont sillonné la commune pour recueillir d’éventuels témoignages sur les dernières heures de Thierry M., 56 ans, et Valérie C., 48 ans.
Enfin l’environnement des victimes : le but est d’entendre tous leurs proches afin de connaître la nature exacte de leurs rapports et d’y trouver peut-être une explication à ce drame.
Interrogé sur la possibilité qu’il s’agisse d’un meurtre suivi d’un suicide, le colonel Thierry Bensa, commandant du groupement de gendarmerie du Puy-de-Dôme, reste prudent : « C’est une hypothèse sérieuse. Mais elle n’est pas démontrée pour l’instant. Tous les prélèvements ont été effectués. Il faut maintenant attendre les résultats des analyses qui vont prendre plusieurs jours ».
Par exemple, le revolver calibre 38 récupéré près des corps va être expertisé. Il s’agira de savoir à qui il appartenait, s’il est bien à l’origine des tirs mortels et qui le tenait. L’autopsie des deux corps, qui est prévue en début de semaine prochaine, devrait aussi être riche d’enseignement. « Il s’agit de faire parler les objets et les corps », résume le colonel Thierry Bensa.
Selon nos informations, les gendarmes vérifient également un événement survenu il y a deux semaines. Thierry M. aurait tenté, à cette époque, de mettre fin à ses jours.
Pour quelle raison ? Serait-ce lié à sa relation avec Valérie C. ? Les réponses à ces questions pourraient permettre de lever le voile sur ce qui s’est produit, vendredi, sur la route du Lac, à Aydat.
================
une compatibilité septennale, ici, avec deux personnes simultanément dans leurs périodes critiques respectives (périodes critiques septennales des 56 ans et 49 ans)...
jour critique émotionnel ?
Crime passionnel à Aydat : si l'hypothèse du meurtre suivi d'un suicide est jugée sérieuse, elle n'est pas encore démontrée
L'homme retrouvé mort avec son amie, vendredi, à Aydat, aurait tenté de se suicider deux semaines plus tôt. Les gendarmes s'attellent à vérifier cette information, entre autres tâches.
L’affaire d’Aydat a mobilisé, hier, une vingtaine de gendarmes. Le dispositif est articulé autour de la section de recherches du groupement du Puy-de-Dôme et de la brigade de recherches de la compagnie de Clermont-Ferrand. Et l’enquête progresse par cercles concentriques.
D’abord la scène de crime : elle a été étudiée de fond en comble, vendredi, jusqu’à la tombée de la nuit. Puis ses abords : des patrouilles ont sillonné la commune pour recueillir d’éventuels témoignages sur les dernières heures de Thierry M., 56 ans, et Valérie C., 48 ans.
Enfin l’environnement des victimes : le but est d’entendre tous leurs proches afin de connaître la nature exacte de leurs rapports et d’y trouver peut-être une explication à ce drame.
Interrogé sur la possibilité qu’il s’agisse d’un meurtre suivi d’un suicide, le colonel Thierry Bensa, commandant du groupement de gendarmerie du Puy-de-Dôme, reste prudent : « C’est une hypothèse sérieuse. Mais elle n’est pas démontrée pour l’instant. Tous les prélèvements ont été effectués. Il faut maintenant attendre les résultats des analyses qui vont prendre plusieurs jours ».
Par exemple, le revolver calibre 38 récupéré près des corps va être expertisé. Il s’agira de savoir à qui il appartenait, s’il est bien à l’origine des tirs mortels et qui le tenait. L’autopsie des deux corps, qui est prévue en début de semaine prochaine, devrait aussi être riche d’enseignement. « Il s’agit de faire parler les objets et les corps », résume le colonel Thierry Bensa.
Selon nos informations, les gendarmes vérifient également un événement survenu il y a deux semaines. Thierry M. aurait tenté, à cette époque, de mettre fin à ses jours.
Pour quelle raison ? Serait-ce lié à sa relation avec Valérie C. ? Les réponses à ces questions pourraient permettre de lever le voile sur ce qui s’est produit, vendredi, sur la route du Lac, à Aydat.
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une compatibilité septennale, ici, avec deux personnes simultanément dans leurs périodes critiques respectives (périodes critiques septennales des 56 ans et 49 ans)...
jour critique émotionnel ?
exécuté
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=10838&hl=
La peine de mort a été annoncée, ne laissant au meurtrier de 21 ans que regrets et désespoir.
L'étudiant de 21 ans qui avait poignardé à mort une mère de famille pour couvrir son délit de fuite, vient d'être exécuté ce mardi matin 7 juin 2011
L'histoire de Yao débute en octobre dernier. Il percute en voiture une mère de famille qui rentrait chez elle en vélo. Craignant que la mère ne se souvienne de son numéro de plaque d'immatriculation et ne le dénonce à la police, Yao la poignarde à 8 reprises, dans la poitrine, dans l'estomac et dans le dos, avant de la laisser mourir sur place.
"Quand je suis sorti de la voiture, je l'ai trouvé allongée par terre en train de pleurer. Elle était une paysanne, et ces gens-là sont sources d'ennuis. J'ai eu peur qu'elle ne me poursuive, alors je l'ai poignardée."
Cette affaire avait déclencé la colère du public, surtout après que des camarades de Yao ont tenté de le défendre en le décrivant comme un étudiant gentil, honnête et formidable. De nombreux internautes ont fait le lien avec le nombre croissants d'incidents liés au comportement inconscient de la génération de jeunes riches du pays. Ils ont appelé à la justice, en insistant sur la peine de mort.
http://beijingsimple.com/tag/yao-jiaxin/
At 11pm on the 27th, Wang Hui showed this reporter some certifications issued by the police and other departments. One of them, the “Death Certificate” said: “Zhang Meng died from a wound on the right breast caused by a sharp object, puncturing arteries which resulted in blood loss.” Another document, the “Case Report” says: “October 20, 2010 Zhang Meng was murdered by… suspect Yao Jiaxin (药家鑫), born in November 7, 1989, at the address of #20 South Gongyuan road, New City district, Xi’an. Student at Xi’an Conservatory of Music. Criminally detained on October 23, 2010.
=================
situation au moment du drame, la nuit du 20 octobre 2010 :
octobre 2010 (7/11/1989)
Di 17
Lu 18
Ma 19 E(8)
Me 20
Je 21 P(18)
Ve 22 P(19)
l'accident et le drame étant survenus la nuit du 20, il s'agit
- d'un "jour accident" jour critique physique P18, (accident qui est le "point de départ" du drame...)
- proximité du 21ème anniversaire
- pleine période critique septennale des 21 ans.
La peine de mort a été annoncée, ne laissant au meurtrier de 21 ans que regrets et désespoir.
L'étudiant de 21 ans qui avait poignardé à mort une mère de famille pour couvrir son délit de fuite, vient d'être exécuté ce mardi matin 7 juin 2011
L'histoire de Yao débute en octobre dernier. Il percute en voiture une mère de famille qui rentrait chez elle en vélo. Craignant que la mère ne se souvienne de son numéro de plaque d'immatriculation et ne le dénonce à la police, Yao la poignarde à 8 reprises, dans la poitrine, dans l'estomac et dans le dos, avant de la laisser mourir sur place.
"Quand je suis sorti de la voiture, je l'ai trouvé allongée par terre en train de pleurer. Elle était une paysanne, et ces gens-là sont sources d'ennuis. J'ai eu peur qu'elle ne me poursuive, alors je l'ai poignardée."
Cette affaire avait déclencé la colère du public, surtout après que des camarades de Yao ont tenté de le défendre en le décrivant comme un étudiant gentil, honnête et formidable. De nombreux internautes ont fait le lien avec le nombre croissants d'incidents liés au comportement inconscient de la génération de jeunes riches du pays. Ils ont appelé à la justice, en insistant sur la peine de mort.
http://beijingsimple.com/tag/yao-jiaxin/
At 11pm on the 27th, Wang Hui showed this reporter some certifications issued by the police and other departments. One of them, the “Death Certificate” said: “Zhang Meng died from a wound on the right breast caused by a sharp object, puncturing arteries which resulted in blood loss.” Another document, the “Case Report” says: “October 20, 2010 Zhang Meng was murdered by… suspect Yao Jiaxin (药家鑫), born in November 7, 1989, at the address of #20 South Gongyuan road, New City district, Xi’an. Student at Xi’an Conservatory of Music. Criminally detained on October 23, 2010.
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situation au moment du drame, la nuit du 20 octobre 2010 :
octobre 2010 (7/11/1989)
Di 17
Lu 18
Ma 19 E(8)
Me 20
Je 21 P(18)
Ve 22 P(19)
l'accident et le drame étant survenus la nuit du 20, il s'agit
- d'un "jour accident" jour critique physique P18, (accident qui est le "point de départ" du drame...)
- proximité du 21ème anniversaire
- pleine période critique septennale des 21 ans.
drame
http://www.lepoint.fr/monde/un-chercheur-francais-au-coeur-d-un-drame-familial-suisse-23-06-2011-1345352_24.php
Un chercheur français au coeur d'un drame familial suisse
Le Point.fr -23/06/2011
Laurent Ségalat, 47 ans, généticien français de renom, est soupçonné par la justice du canton de Vaud d'avoir assassiné sa belle-mère.
Le 9 janvier 2010, Laurent Ségalat se rend chez son père et sa belle-mère à Vaux-sur-Morges, près de Lausanne. Il trouve sa belle-mère inanimée au pied des escaliers. Il tente en vain de la ranimer et appelle les secours. Aussitôt soupçonné par la justice vaudoise d'avoir assassiné la deuxième femme de son père, ce chercheur au Centre de génétique moléculaire et cellulaire de Lyon est jeté en prison. Depuis, Laurent Ségalat ne cesse de clamer son innocence.
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situation cyclique des deux personnes au moment du drame ?
Un chercheur français au coeur d'un drame familial suisse
Le Point.fr -23/06/2011
Laurent Ségalat, 47 ans, généticien français de renom, est soupçonné par la justice du canton de Vaud d'avoir assassiné sa belle-mère.
Le 9 janvier 2010, Laurent Ségalat se rend chez son père et sa belle-mère à Vaux-sur-Morges, près de Lausanne. Il trouve sa belle-mère inanimée au pied des escaliers. Il tente en vain de la ranimer et appelle les secours. Aussitôt soupçonné par la justice vaudoise d'avoir assassiné la deuxième femme de son père, ce chercheur au Centre de génétique moléculaire et cellulaire de Lyon est jeté en prison. Depuis, Laurent Ségalat ne cesse de clamer son innocence.
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situation cyclique des deux personnes au moment du drame ?
drame
http://news.google.fr/news/story?ncl=http://lci.tf1.fr/filnews/france/drame-familial-en-corse-il-tue-sa-femme-et-se-suicide-6551291.html&hl=fr
Drame en Corse: un homme tue sa femme avant de se suicider
Un homme a fait feu sur son épouse, samedi à la mi-journée à Porto-Vecchio (Corse-du-Sud), avant de retourner l'arme contre lui, a-t-on appris de source proche de l'enquête.
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octogénaires, mais pas d'indication d'âge précise pour l'instant...
Drame en Corse: un homme tue sa femme avant de se suicider
Un homme a fait feu sur son épouse, samedi à la mi-journée à Porto-Vecchio (Corse-du-Sud), avant de retourner l'arme contre lui, a-t-on appris de source proche de l'enquête.
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octogénaires, mais pas d'indication d'âge précise pour l'instant...
frelon asiatique
http://www.sudouest.fr/2011/06/25/la-premiere-victime-du-frelon-asiatique-435623-2780.php
Une quinquagénaire est décédée à la suite de piqûres de frelon asiatique
Dans le Médoc, une quinquagénaire est décédée à la suite de piqûres subies dans sa chambre.
Précision : Contrairement à ce qu'indiqué dans notre édition, il ne s'agit pas du premier décès en France lié à des piqûres de frelon asiatique.
En Dordogne, en 2008, une personne était déjà décédée des suites d'une attaque de frelons.
«MC J a été piquée par des frelons asiatiques. Et elle est décédée. » Selon nos informations, il s'agirait de la première personne ayant succombé, en France, après des piqûres de ces frelons asiatiques importés accidentellement sur le territoire national au début des années 2000. Les faits, qui se sont produits le samedi 11 juin à Saint-Laurent-Médoc, dans la maison de la victime, ont été confirmés hier..............
« La fenêtre était ouverte »
Âgée de 59 ans, MC J était dans sa chambre au moment où le drame est survenu. « La fenêtre était ouverte. Elle lisait. Elle a appelé son mari à l'aide. Il a trouvé trois frelons asiatiques morts dans la chambre. Et il en a tué un. MC venait d'être piquée à la gorge, au ventre et aux deux bras. Au bout de quelques minutes, elle a eu un malaise. Il a tout de suite alerté les pompiers », .............
Les secours auraient procédé à un massage cardiaque sur place avant d'évacuer la victime, dans un état jugé critique, au service des urgences du CHU de Bordeaux. Plongée dans le coma, MC J est décédée dans la matinée du dimanche 19 juin. ............
Pas que le frelon asiatique
Contactée par « Sud Ouest », le docteur Coralie Bragança, médecin urgentiste et toxicologue au centre antipoison de Bordeaux, précise que, « dans certaines conditions, et toujours les mêmes, la piqûre d'un hyménoptère est grave, voire mortelle. Ces circonstances valent de la même façon pour notre frelon autochtone ou pour le frelon asiatique : des piqûres multiples, en particulier sur la tête et le tronc. Ou bien une piqûre unique sur une muqueuse. » « Enfin, souligne le médecin, quelque chose qui est peu prévisible si l'accident n'est jamais arrivé à la personne, c'est qu'elle soit allergique au venin d'hyménoptère. » Coralie Bragança assure qu'« il n'y a pas de gravité surajoutée à une piqûre de Vespa velutina nigrithorax, cette espèce de frelon asiatique qui s'est répandue en France ». Si, en Asie, le centre antipoison de Singapour fait état de morts par suite des piqûres de ce frelon, « ce sont tous des patients qui ont été touchés dans les circonstances que je viens de décrire », dit encore cette spécialiste.
La proximité du nid
Introduit en Lot-et-Garonne avant 2004, le frelon asiatique a envahi 39 départements français, selon le tout dernier pointage de l'unité d'entomologie du muséum d'Histoire naturelle, à Paris. Une invasion qui a nourri des légendes urbaines prêtant nombre de décès à l'espèce. Pourtant, jamais un cas mortel n'a été porté à la connaissance du muséum d'Histoire naturelle.
Selon un rapport du centre de toxicovigilance, les frelons asiatiques ne s'avèrent dangereux que s'ils se sentent agressés dans un rayon de 5 mètres autour de leur nid. « Ou quand on provoque une vibration prolongée autour du nid. ça peut-être quelqu'un qui grimpe à un arbre ou qui marche sur un toit, comme c'est arrivé récemment », ajoute l'entomologiste Jean Haxaire, professeur de sciences naturelles dans un lycée agenais.
À Saint-Laurent-Médoc, « j'aimerais comprendre ce qu'il s'est passé. Le nid est peut-être sous la charpente ou sous l'appui de la fenêtre. Des vibrations autour du nid en seraient l'explication. Parce que le seul qui entre dans les pièces éclairées la nuit, c'est le frelon d'Europe. Le frelon asiatique, jamais ».
Par ailleurs chercheur associé au muséum, Jean Haxaire observe depuis 2004 l'évolution de nids dans son propre jardin. « Je me suis fait attaquer une seule fois. On m'avait demandé de faire une photo précise d'un frelon. Je l'ai attrapé dans le filet, et je me suis rendu compte que 10 ou 15 autres me suivaient. J'ai jeté le filet dans le fossé, j'ai dû faire le tour de la maison en courant, je me suis même cassé la figure. J'ai réussi à fermer la porte derrière moi. J'ai vraiment eu peur. Il se peut que le frelon piégé dans le filet ait libéré des phéromones de stress… Les abeilles font ça. Mais, s'il y a eu attaque, c'est parce que j'étais tout près du nid.
======================
pas directement à voir avec les cycles, quoique... (décès)...
un certain nombre de choses bizarre qu'il serait intéressant d'éclaircir dans cette attaque inexpliquée de frelons dans une chambre où une personne semble paisiblement assise à lire...
et un décès intervenu une semaine après...
Une quinquagénaire est décédée à la suite de piqûres de frelon asiatique
Dans le Médoc, une quinquagénaire est décédée à la suite de piqûres subies dans sa chambre.
Précision : Contrairement à ce qu'indiqué dans notre édition, il ne s'agit pas du premier décès en France lié à des piqûres de frelon asiatique.
En Dordogne, en 2008, une personne était déjà décédée des suites d'une attaque de frelons.
«MC J a été piquée par des frelons asiatiques. Et elle est décédée. » Selon nos informations, il s'agirait de la première personne ayant succombé, en France, après des piqûres de ces frelons asiatiques importés accidentellement sur le territoire national au début des années 2000. Les faits, qui se sont produits le samedi 11 juin à Saint-Laurent-Médoc, dans la maison de la victime, ont été confirmés hier..............
« La fenêtre était ouverte »
Âgée de 59 ans, MC J était dans sa chambre au moment où le drame est survenu. « La fenêtre était ouverte. Elle lisait. Elle a appelé son mari à l'aide. Il a trouvé trois frelons asiatiques morts dans la chambre. Et il en a tué un. MC venait d'être piquée à la gorge, au ventre et aux deux bras. Au bout de quelques minutes, elle a eu un malaise. Il a tout de suite alerté les pompiers », .............
Les secours auraient procédé à un massage cardiaque sur place avant d'évacuer la victime, dans un état jugé critique, au service des urgences du CHU de Bordeaux. Plongée dans le coma, MC J est décédée dans la matinée du dimanche 19 juin. ............
Pas que le frelon asiatique
Contactée par « Sud Ouest », le docteur Coralie Bragança, médecin urgentiste et toxicologue au centre antipoison de Bordeaux, précise que, « dans certaines conditions, et toujours les mêmes, la piqûre d'un hyménoptère est grave, voire mortelle. Ces circonstances valent de la même façon pour notre frelon autochtone ou pour le frelon asiatique : des piqûres multiples, en particulier sur la tête et le tronc. Ou bien une piqûre unique sur une muqueuse. » « Enfin, souligne le médecin, quelque chose qui est peu prévisible si l'accident n'est jamais arrivé à la personne, c'est qu'elle soit allergique au venin d'hyménoptère. » Coralie Bragança assure qu'« il n'y a pas de gravité surajoutée à une piqûre de Vespa velutina nigrithorax, cette espèce de frelon asiatique qui s'est répandue en France ». Si, en Asie, le centre antipoison de Singapour fait état de morts par suite des piqûres de ce frelon, « ce sont tous des patients qui ont été touchés dans les circonstances que je viens de décrire », dit encore cette spécialiste.
La proximité du nid
Introduit en Lot-et-Garonne avant 2004, le frelon asiatique a envahi 39 départements français, selon le tout dernier pointage de l'unité d'entomologie du muséum d'Histoire naturelle, à Paris. Une invasion qui a nourri des légendes urbaines prêtant nombre de décès à l'espèce. Pourtant, jamais un cas mortel n'a été porté à la connaissance du muséum d'Histoire naturelle.
Selon un rapport du centre de toxicovigilance, les frelons asiatiques ne s'avèrent dangereux que s'ils se sentent agressés dans un rayon de 5 mètres autour de leur nid. « Ou quand on provoque une vibration prolongée autour du nid. ça peut-être quelqu'un qui grimpe à un arbre ou qui marche sur un toit, comme c'est arrivé récemment », ajoute l'entomologiste Jean Haxaire, professeur de sciences naturelles dans un lycée agenais.
À Saint-Laurent-Médoc, « j'aimerais comprendre ce qu'il s'est passé. Le nid est peut-être sous la charpente ou sous l'appui de la fenêtre. Des vibrations autour du nid en seraient l'explication. Parce que le seul qui entre dans les pièces éclairées la nuit, c'est le frelon d'Europe. Le frelon asiatique, jamais ».
Par ailleurs chercheur associé au muséum, Jean Haxaire observe depuis 2004 l'évolution de nids dans son propre jardin. « Je me suis fait attaquer une seule fois. On m'avait demandé de faire une photo précise d'un frelon. Je l'ai attrapé dans le filet, et je me suis rendu compte que 10 ou 15 autres me suivaient. J'ai jeté le filet dans le fossé, j'ai dû faire le tour de la maison en courant, je me suis même cassé la figure. J'ai réussi à fermer la porte derrière moi. J'ai vraiment eu peur. Il se peut que le frelon piégé dans le filet ait libéré des phéromones de stress… Les abeilles font ça. Mais, s'il y a eu attaque, c'est parce que j'étais tout près du nid.
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pas directement à voir avec les cycles, quoique... (décès)...
un certain nombre de choses bizarre qu'il serait intéressant d'éclaircir dans cette attaque inexpliquée de frelons dans une chambre où une personne semble paisiblement assise à lire...
et un décès intervenu une semaine après...
samedi 25 juin 2011
drame conjugal
http://www.rp-online.de/niederrhein-sued/moenchengladbach/nachrichten/ehefrau-erstochen-mann-springt-in-den-tod-1.1314510
Mönchengladbach
Ehefrau erstochen: Mann springt in den Tod
.....................
Ein Notruf brachte die Fahndung nach dem 45-Jährigen gestern gegen 7.20 Uhr ins Rollen. Ein Bekannter des Mannes meldete sich bei der Polizei: Der 45-Jährige habe ihm gestanden, dass er seine Frau erstochen habe. Polizisten entdeckten die Leiche der 49-Jährigen im gemeinsamen Haus des Paares.
.........
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il se suicide en se jetant d'un toit, après avoir tué son épouse...
la période critique septennale se trouve ici chez l'épouse, qui a 49 ans : lors d'altercations - ici hélas dramatiquement terminée pour les deux - il faudrait penser à l'avance (puisque l'on connaît la situation à risque) qu'une situation en période critique septennale chez l'un ou chez l'autre, peut faire dégénérer un scénario de façon catastrophique si on n'y prend garde...
les pulsions et tensions peuvent - dans les cas exceptionnels heureusement mais ce sont autant de cas en trop trop - devenir tellement importantes, au point d'aller vers le "coup de folie"...
Mönchengladbach
Ehefrau erstochen: Mann springt in den Tod
.....................
Ein Notruf brachte die Fahndung nach dem 45-Jährigen gestern gegen 7.20 Uhr ins Rollen. Ein Bekannter des Mannes meldete sich bei der Polizei: Der 45-Jährige habe ihm gestanden, dass er seine Frau erstochen habe. Polizisten entdeckten die Leiche der 49-Jährigen im gemeinsamen Haus des Paares.
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il se suicide en se jetant d'un toit, après avoir tué son épouse...
la période critique septennale se trouve ici chez l'épouse, qui a 49 ans : lors d'altercations - ici hélas dramatiquement terminée pour les deux - il faudrait penser à l'avance (puisque l'on connaît la situation à risque) qu'une situation en période critique septennale chez l'un ou chez l'autre, peut faire dégénérer un scénario de façon catastrophique si on n'y prend garde...
les pulsions et tensions peuvent - dans les cas exceptionnels heureusement mais ce sont autant de cas en trop trop - devenir tellement importantes, au point d'aller vers le "coup de folie"...
retrouvé mort
http://www.leprogres.fr/ain/2011/06/25/bourg-en-bresse-un-homme-retrouve-mort-a-son-domicile
Bourg-en-Bresse : un homme retrouvé mort à son domicile
Jeudi, un peu avant 16 heures, des habitants d’un immeuble de la rue Quinet, dans le centre-ville, ont alerté les secours après avoir découvert un homme allongé au sol dans son appartement au premier étage.
À l’arrivée des sapeurs-pompiers, il était déjà trop tard.
..............
Mais l’enquête de police n’a pas établi que cet homme de 55 ans, qui menait une vie marginale et souffrait de problèmes de santé, ait été victime d’une agression.
Fragilisé par une alcoolisation fréquente et une mauvaise hygiène de vie, le quinquagénaire aurait vraisemblablement succombé à une hémorragie interne.
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Bourg-en-Bresse : un homme retrouvé mort à son domicile
Jeudi, un peu avant 16 heures, des habitants d’un immeuble de la rue Quinet, dans le centre-ville, ont alerté les secours après avoir découvert un homme allongé au sol dans son appartement au premier étage.
À l’arrivée des sapeurs-pompiers, il était déjà trop tard.
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Mais l’enquête de police n’a pas établi que cet homme de 55 ans, qui menait une vie marginale et souffrait de problèmes de santé, ait été victime d’une agression.
Fragilisé par une alcoolisation fréquente et une mauvaise hygiène de vie, le quinquagénaire aurait vraisemblablement succombé à une hémorragie interne.
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acte de démence
Le GIGN interpelle un homme armé après le meurtre d'un réparateur de télé
http://www.lavoixdunord.fr/Region/actualite/Secteur_Region/2011/06/25/article_le-gign-interpelle-un-homme-arme-apres-l.shtml
Le GIGN a dû intervenir hier matin à Mecquignies, près de Bavay, pour interpeller un homme armé. Ce dernier est suspecté d'avoir tué à bout portant le réparateur d'électroménager du village, qui travaillait chez une dame âgée. Il s'agirait d'un acte de démence.
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pas trouvé l'âge de la personne, pour l'instant.
http://www.lavoixdunord.fr/Region/actualite/Secteur_Region/2011/06/25/article_le-gign-interpelle-un-homme-arme-apres-l.shtml
Le GIGN a dû intervenir hier matin à Mecquignies, près de Bavay, pour interpeller un homme armé. Ce dernier est suspecté d'avoir tué à bout portant le réparateur d'électroménager du village, qui travaillait chez une dame âgée. Il s'agirait d'un acte de démence.
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pas trouvé l'âge de la personne, pour l'instant.
mort subite du nourrisson
je vérifie toujours, lorsque je les ai, les données concernant la MSN car je trouve fréquemment un lien avec l'arrivée ou le séjour en jour critique. cela semble être le cas ici aussi.
deux données pour des bébés différents nés le même jour, le 10 avril 2010, et décédés de MSN l'un le 25 août 2010 et le second le 10 septembre 2010
1) veille de jour critique physique P1
2) veille de jour critique émotionnel E15 avant veille jour critique physique de P18
deux données pour des bébés différents nés le même jour, le 10 avril 2010, et décédés de MSN l'un le 25 août 2010 et le second le 10 septembre 2010
1) veille de jour critique physique P1
2) veille de jour critique émotionnel E15 avant veille jour critique physique de P18
David Servan-Schreiber
Wikipédia :
David Servan-Schreiber, né le 21 avril 1961 à Neuilly-sur-Seine, est un médecin et docteur ès sciences français, il est chargé de cours à l'Université de Lyon I et enseigne comme professeur clinique de psychiatrie à l'Université de Pittsburgh. Sa carrière de praticien clinique au Canada et aux États-Unis a duré de 1983 à 2002. À partir de 2003, il est surtout connu comme chercheur et auteur scientifique auprès du grand public.
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entendu tout à l'heure sur France Inter (d'une oreille distraite, j'espère que j'ai juste) - à propos d'un nouveau livre semble-t-il qui parle de son cancer, déclaré il y a vingt ans et qui récidive depuis un an maintenant...
ce genre de donnée me permet de vérifier s'il s'agit de ce que j'appelle un "cancer septennal" - assez fréquent...
à vérification cela pourrait bien être çà :
DSS est né en 1961 : il y a vingt ans c'était période critique septennale des 28 ans et il y a un an par conséquent celle des 49 ans...
tiens çà devrait l'intéresser que l'apparition ou la récidive du cancer a un lien avec les périodes critiques septennales de notre cycle psychique et émotionnel... :-)
édit, effectivement :
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/societe/20110615.OBS5176/le-combat-contre-la-mort-de-david-servan-schreiber.html
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En juin 2010, le célébrissime neuropsychiatre, auteur d’"Anticancer" et de "Guérir", atteint d’un cancer du cerveau depuis près de vingt ans, a fait une grave rechute. En février, des zones de prolifération cancéreuse, inopérables, ont fait leur apparition dans son lobe frontal. Depuis, la partie gauche de son corps est paralysée. Son œil, son bras, sa jambe sont touchés, jusqu’à ses cordes vocales.
Au mois d’avril, David Servan-Schreiber a fêté ses 50 ans dans l’appartement parisien de son frère, Franklin. A ses amis proches, il a décidé de dire la vérité : "Je suis atteint d’un glioblastome de stade 4 dont les pronostics sont parmi les plus mauvais de tous les cancers." Mais la bataille continue, a-t-il insisté...
.............................
et encore un petit édit (26/06) pour une phrase que je viens de trouver dans un article de Paris-Match :
"Presque au même moment, Bernard Giraudeau, un de ses meilleurs amis, est happé par le monstre"
je suis allé voir et effectivement c'est un décès septennal... à 63 ans...
http://www.parismatch.com/Culture-Match/Livres/Actu/David-Servan-Schreiber-a-l-aube-de-la-mort-306445/
David Servan-Schreiber, né le 21 avril 1961 à Neuilly-sur-Seine, est un médecin et docteur ès sciences français, il est chargé de cours à l'Université de Lyon I et enseigne comme professeur clinique de psychiatrie à l'Université de Pittsburgh. Sa carrière de praticien clinique au Canada et aux États-Unis a duré de 1983 à 2002. À partir de 2003, il est surtout connu comme chercheur et auteur scientifique auprès du grand public.
==========
entendu tout à l'heure sur France Inter (d'une oreille distraite, j'espère que j'ai juste) - à propos d'un nouveau livre semble-t-il qui parle de son cancer, déclaré il y a vingt ans et qui récidive depuis un an maintenant...
ce genre de donnée me permet de vérifier s'il s'agit de ce que j'appelle un "cancer septennal" - assez fréquent...
à vérification cela pourrait bien être çà :
DSS est né en 1961 : il y a vingt ans c'était période critique septennale des 28 ans et il y a un an par conséquent celle des 49 ans...
tiens çà devrait l'intéresser que l'apparition ou la récidive du cancer a un lien avec les périodes critiques septennales de notre cycle psychique et émotionnel... :-)
édit, effectivement :
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/societe/20110615.OBS5176/le-combat-contre-la-mort-de-david-servan-schreiber.html
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En juin 2010, le célébrissime neuropsychiatre, auteur d’"Anticancer" et de "Guérir", atteint d’un cancer du cerveau depuis près de vingt ans, a fait une grave rechute. En février, des zones de prolifération cancéreuse, inopérables, ont fait leur apparition dans son lobe frontal. Depuis, la partie gauche de son corps est paralysée. Son œil, son bras, sa jambe sont touchés, jusqu’à ses cordes vocales.
Au mois d’avril, David Servan-Schreiber a fêté ses 50 ans dans l’appartement parisien de son frère, Franklin. A ses amis proches, il a décidé de dire la vérité : "Je suis atteint d’un glioblastome de stade 4 dont les pronostics sont parmi les plus mauvais de tous les cancers." Mais la bataille continue, a-t-il insisté...
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et encore un petit édit (26/06) pour une phrase que je viens de trouver dans un article de Paris-Match :
"Presque au même moment, Bernard Giraudeau, un de ses meilleurs amis, est happé par le monstre"
je suis allé voir et effectivement c'est un décès septennal... à 63 ans...
http://www.parismatch.com/Culture-Match/Livres/Actu/David-Servan-Schreiber-a-l-aube-de-la-mort-306445/
Samy
Samy Naceri à l'hôpital psychiatrique : Y a-t-il un pilote dans le taxi
http://www.adobuzz.com/news/34578-samy-naceri.html
Hier soir Samy Naceri a été interné d'urgence dans une unité psychiatrique à Nice. Alors qu'il purgeait ses 16 mois de prison ferme à la maison d'arrêt de Grasse, l'acteur de Taxi a pété les plombs. Scandales à gogo, gardes à vue et séjours en prison, Samy Naceri est malade et à bout de force et aurait tenté de mettre fin à ses jours. Pris dans une spirale infernale, sa descente aux enfers ne compte pas se terminer maintenant................................
===================
jeudi soir c'était situation neutre pour ce qui est des cycles courts de Samy Naceri, mais je pense que la période critique septennale des 49 ans ne lui a pas réussi... (naissance 2/07/1961) et actuellement il se trouve en outre "en approche" de sa date anniversaire : autre élément cyclique qui peut faire "monter la pression"...
http://www.adobuzz.com/news/34578-samy-naceri.html
Hier soir Samy Naceri a été interné d'urgence dans une unité psychiatrique à Nice. Alors qu'il purgeait ses 16 mois de prison ferme à la maison d'arrêt de Grasse, l'acteur de Taxi a pété les plombs. Scandales à gogo, gardes à vue et séjours en prison, Samy Naceri est malade et à bout de force et aurait tenté de mettre fin à ses jours. Pris dans une spirale infernale, sa descente aux enfers ne compte pas se terminer maintenant................................
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jeudi soir c'était situation neutre pour ce qui est des cycles courts de Samy Naceri, mais je pense que la période critique septennale des 49 ans ne lui a pas réussi... (naissance 2/07/1961) et actuellement il se trouve en outre "en approche" de sa date anniversaire : autre élément cyclique qui peut faire "monter la pression"...
Columbo
http://www.lemonde.fr/carnet/article/2011/06/24/peter-falk-l-inspecteur-columbo-est-mort_1540759_3382.html
Peter Falk, l'inspecteur Columbo, est mort
L'acteur américain Peter Falk, qui interprétait l'inspecteur Columbo dans la célèbre série télévisée, est mort à l'âge de 83 ans, a annoncé vendredi un membre de la famille sur la radio californienne KNX.
.....................................
====================
Wikipédia :
Peter Falk, de son nom complet Peter Michael Falk, né le 16 septembre 1927 à New York et mort le 23 juin 2011 à l'âge de 83 ans à son domicile de Beverly Hills, est un acteur, producteur, réalisateur et scénariste américain. Il est principalement connu pour avoir incarné le lieutenant Columbo dans la série télévisée Columbo, de 1968 à 2003
situation :
juin 2011 (16/09/1927)
Ma 21
Me 22
Je 23 P(7)
Ve 24 E(22)
Sa 25
c'est un décès à l'entrée de la période critique septennale des 84 ans (83 ans et 9 mois), un jour critique physique P7 et la veille du jour critique émotionnel E22. ce sont là trois "éléments-portails", comme j'appelle les jours et périodes critiques qui nous permettent d'aller et de venir, lorsqu'il s'agit de naissance et de décès...
édit :
http://www.voici.fr/news-people/actu-people/peter-falk-les-causes-de-sa-mort-revelees-415790
"Peter Falk serait mort suite à un arrêt cardio-respiratoire. Son cœur se serait donc tout simplement arrêté de battre."
cela pourrait effectivement correspondre avec le jour critique physique P7...
Peter Falk, l'inspecteur Columbo, est mort
L'acteur américain Peter Falk, qui interprétait l'inspecteur Columbo dans la célèbre série télévisée, est mort à l'âge de 83 ans, a annoncé vendredi un membre de la famille sur la radio californienne KNX.
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Wikipédia :
Peter Falk, de son nom complet Peter Michael Falk, né le 16 septembre 1927 à New York et mort le 23 juin 2011 à l'âge de 83 ans à son domicile de Beverly Hills, est un acteur, producteur, réalisateur et scénariste américain. Il est principalement connu pour avoir incarné le lieutenant Columbo dans la série télévisée Columbo, de 1968 à 2003
situation :
juin 2011 (16/09/1927)
Ma 21
Me 22
Je 23 P(7)
Ve 24 E(22)
Sa 25
c'est un décès à l'entrée de la période critique septennale des 84 ans (83 ans et 9 mois), un jour critique physique P7 et la veille du jour critique émotionnel E22. ce sont là trois "éléments-portails", comme j'appelle les jours et périodes critiques qui nous permettent d'aller et de venir, lorsqu'il s'agit de naissance et de décès...
édit :
http://www.voici.fr/news-people/actu-people/peter-falk-les-causes-de-sa-mort-revelees-415790
"Peter Falk serait mort suite à un arrêt cardio-respiratoire. Son cœur se serait donc tout simplement arrêté de battre."
cela pourrait effectivement correspondre avec le jour critique physique P7...
vendredi 24 juin 2011
tentative de suicide
http://www.lefigaro.fr/vie-entreprise/2011/06/24/09008-20110624ARTFIG00549-nouvelle-tentative-de-suicide-au-ministere-des-finances.php
Nouvelle tentative de suicide au ministère des Finances
Un représentant syndical de Force Ouvrière a tenté de mettre fin à ses jours ce vendredi, invoquant des conditions de travail difficiles. Les syndicats pointent le malaise grandissant des agents.
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Nouvelle tentative de suicide au ministère des Finances
Un représentant syndical de Force Ouvrière a tenté de mettre fin à ses jours ce vendredi, invoquant des conditions de travail difficiles. Les syndicats pointent le malaise grandissant des agents.
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Michael
http://www.europe1.fr/International/La-mort-de-Jackson-reste-un-mystere-601389/
La mort de Jackson reste un mystère.
===============
effectivement un mystère... Michael Jackson n'était pas en forme, mais la balance penche assez en défaveur du médecin...
voici leurs situations respectives :
Michael Joseph Jackson, né le 29 août 1958 à Gary (Indiana) et mort le 25 juin 2009
et sa situation le 25 juin 2009 :
juin 2009 (29/08/1958)
Sa 20
Di 21
Lu 22
Ma 23 P(1)
Me 24 I(17)
Je 25
Ve 26 E(1)
Sa 27
Di 28
pour Jackson c'est une veille de jour critique émotionnel E1, à 50 ans et 10 mois : si le jour critique émotionnel E1 est le plus difficile des quatre jours critiques du cycle (le jour critique émotionnel est fréquemment présent lors d'un suicide) il démarre en principe seulement en fin d'après-midi du 25 juin. Jackson vient cependant de passer par deux autres jours délicats - du moins si l'on a des problèmes de santé - que sont P1 mardi (possiblement gros down physique) et i17 mercredi... (jour critique intellectuel)
Dr. Conrad Murray
Born Conrad Robert Murray on February 19, 1953,
sa situation le 25 juin 2009 :
juin 2009 (19/02/1953)
Di 21
Lu 22
Ma 23
Me 24 P(18)
Je 25 P(19) E(1)
Ve 26
Sa 27
Di 28
pour lui c'est pleine période critique septennale des 56 ans, et jour doublement critique avec deux gros downs simultanés : P19 jour critique physique et E1 jour critique émotionnel... (méforme physique et émotionelle)
alors entre les deux, c'est le médecin qui est le plus mal loti avec la situation de ses cycles, avec trois éléments "perturbateurs" importants, contre un - pas direct - chez Jackson...
La mort de Jackson reste un mystère.
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effectivement un mystère... Michael Jackson n'était pas en forme, mais la balance penche assez en défaveur du médecin...
voici leurs situations respectives :
Michael Joseph Jackson, né le 29 août 1958 à Gary (Indiana) et mort le 25 juin 2009
et sa situation le 25 juin 2009 :
juin 2009 (29/08/1958)
Sa 20
Di 21
Lu 22
Ma 23 P(1)
Me 24 I(17)
Je 25
Ve 26 E(1)
Sa 27
Di 28
pour Jackson c'est une veille de jour critique émotionnel E1, à 50 ans et 10 mois : si le jour critique émotionnel E1 est le plus difficile des quatre jours critiques du cycle (le jour critique émotionnel est fréquemment présent lors d'un suicide) il démarre en principe seulement en fin d'après-midi du 25 juin. Jackson vient cependant de passer par deux autres jours délicats - du moins si l'on a des problèmes de santé - que sont P1 mardi (possiblement gros down physique) et i17 mercredi... (jour critique intellectuel)
Dr. Conrad Murray
Born Conrad Robert Murray on February 19, 1953,
sa situation le 25 juin 2009 :
juin 2009 (19/02/1953)
Di 21
Lu 22
Ma 23
Me 24 P(18)
Je 25 P(19) E(1)
Ve 26
Sa 27
Di 28
pour lui c'est pleine période critique septennale des 56 ans, et jour doublement critique avec deux gros downs simultanés : P19 jour critique physique et E1 jour critique émotionnel... (méforme physique et émotionelle)
alors entre les deux, c'est le médecin qui est le plus mal loti avec la situation de ses cycles, avec trois éléments "perturbateurs" importants, contre un - pas direct - chez Jackson...
drame conjugal
http://www.salzburg.com/online/nachrichten/chronik/Toedliches-Familiendrama-bei-Hartberg.html?article=eGMmOI8VgqD1b1XJB0JcI82lEfBOPzL3TE0zjgn&img=&text=&mode=
Tödliches Familiendrama bei Hartberg
Bei einem blutigen Familiendrama ist in der Nacht auf Freitag im oststeirischen Geiseldorf im Bezirk Hartberg eine 72-jährige Frau getötet worden. Die Frau wurde von der Polizei tot in ihrem Bett aufgefunden. Der Tat verdächtig ist laut Landeskriminalamt ihr 76-jähriger Ehemann, der sich selbst eine Kopfverletzung durch einen Streifschuss zugefügt haben dürfte.
Die Obduktion ergab, dass die Frau durch einen Schuss aus einem Kleinkalibergewehr in den Nacken getötet worden war. Ihr Mann wurde wegen Mordverdachts festgenommen. Er war zum fraglichen Zeitpunkt alkoholisiert, seine Angaben widersprächen laut Polizei den gefundenen Spuren.
Was sich genau auf dem kleinen Anwesen in Geiseldorf ereignet hat, war zunächst unklar. Ein 76-jähriger Oststeirer kam in der Nacht auf Freitag alkoholisiert auf seinem Traktor zum nahen Haus seiner Tochter gefahren und erzählte ihr, dass seine Frau tot sei. Er selbst hatte einen Streifschuss am Kopf und gab an, die 72-Jährige habe auf ihn geschossen. Die alarmierte Polizei fand die Ehefrau tot in ihrem Bett im Schlafzimmer. Im Vorzimmer entdeckten die Ermittler ein Gewehr - es dürfte sich mit Sicherheit um die Tatwaffe handeln. Waffenrechtliche Dokumente seien dafür nicht erforderlich, nur eine Meldung bei einem Waffenhändler, hieß es.
Durch die Obduktion wurde klar, „dass es bei der Frau eindeutig kein Suizid war“, so Major Rene Kornberger vom Landeskriminalamt zur APA. Mit einer Langwaffe sei eine Schussabgabe in den eigenen Nacken nicht möglich. Der Pensionist stritt aber eine Täterschaft ab: „Er hat gesagt, er hat nichts gemacht“, so Kornberger. Seine Frau habe auf ihn geschossen, dann habe er einen weiteren Schuss im Schlafzimmer gehört. Den Spuren am Tatort zufolge wurden mindestens drei Schüsse abgegeben, alle seien in eine Richtung gegangen, so Kornberger.
...................
===============
une femme de 72 ans a été tuée d'une balle dans la nuque... le mari de 76 ans (entrée période critique septennale des 77 ans) prétend qu'il s'agit d'un suicide... il a été lui-même blessé par une balle tirée par son épouse...
on ne lui croit pas, bien sûr, du moins pour ce qui est du suicide de l'épouse...
il avait bu au moment du drame... et semble s'être blessé lui-même...
Tödliches Familiendrama bei Hartberg
Bei einem blutigen Familiendrama ist in der Nacht auf Freitag im oststeirischen Geiseldorf im Bezirk Hartberg eine 72-jährige Frau getötet worden. Die Frau wurde von der Polizei tot in ihrem Bett aufgefunden. Der Tat verdächtig ist laut Landeskriminalamt ihr 76-jähriger Ehemann, der sich selbst eine Kopfverletzung durch einen Streifschuss zugefügt haben dürfte.
Die Obduktion ergab, dass die Frau durch einen Schuss aus einem Kleinkalibergewehr in den Nacken getötet worden war. Ihr Mann wurde wegen Mordverdachts festgenommen. Er war zum fraglichen Zeitpunkt alkoholisiert, seine Angaben widersprächen laut Polizei den gefundenen Spuren.
Was sich genau auf dem kleinen Anwesen in Geiseldorf ereignet hat, war zunächst unklar. Ein 76-jähriger Oststeirer kam in der Nacht auf Freitag alkoholisiert auf seinem Traktor zum nahen Haus seiner Tochter gefahren und erzählte ihr, dass seine Frau tot sei. Er selbst hatte einen Streifschuss am Kopf und gab an, die 72-Jährige habe auf ihn geschossen. Die alarmierte Polizei fand die Ehefrau tot in ihrem Bett im Schlafzimmer. Im Vorzimmer entdeckten die Ermittler ein Gewehr - es dürfte sich mit Sicherheit um die Tatwaffe handeln. Waffenrechtliche Dokumente seien dafür nicht erforderlich, nur eine Meldung bei einem Waffenhändler, hieß es.
Durch die Obduktion wurde klar, „dass es bei der Frau eindeutig kein Suizid war“, so Major Rene Kornberger vom Landeskriminalamt zur APA. Mit einer Langwaffe sei eine Schussabgabe in den eigenen Nacken nicht möglich. Der Pensionist stritt aber eine Täterschaft ab: „Er hat gesagt, er hat nichts gemacht“, so Kornberger. Seine Frau habe auf ihn geschossen, dann habe er einen weiteren Schuss im Schlafzimmer gehört. Den Spuren am Tatort zufolge wurden mindestens drei Schüsse abgegeben, alle seien in eine Richtung gegangen, so Kornberger.
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une femme de 72 ans a été tuée d'une balle dans la nuque... le mari de 76 ans (entrée période critique septennale des 77 ans) prétend qu'il s'agit d'un suicide... il a été lui-même blessé par une balle tirée par son épouse...
on ne lui croit pas, bien sûr, du moins pour ce qui est du suicide de l'épouse...
il avait bu au moment du drame... et semble s'être blessé lui-même...
infanticide
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=10812&hl=
Ka-Yang, accusée d'avoir cuit et tué son bébé au... micro-ondes
Ka Yang (29 ans), une habitante de Sacramento, a été arrêtée. La police la soupçonne d'avoir tué son bébé Mirabelle Thao-Lo, âgée de six semaines, en le cuisant au micro-ondes. ( la petite fille serait âgée de 6 mois d'après certains médias )
Le meurtre s'est produit le 17 mars dernier. L'autopsie a révélé que la mort avait été provoquée par de graves brûlures internes.
Le mobile reste mystérieux, la mère emprsionnée attend son procès, elle encourt la perpétuité
Ce fait divers plus que sordide bouleverse les Américains.
Ce n’est malheureusement pas la première fois que cet acte abject a lieu aux USA, puisqu’en 2008, une américaine de 28 ans avait également tué sa fille en la passant au micro-ondes, après une dispute avec son mari : ce dernier lui avait demandé s’il était vraiment le père de l’enfant.
====================
on peut remarquer que les deux mères avaient certainement des problèmes dans leur tête, bien sûr... mais avec leur période critique septennale des 28 ans...
Ka-Yang, accusée d'avoir cuit et tué son bébé au... micro-ondes
Ka Yang (29 ans), une habitante de Sacramento, a été arrêtée. La police la soupçonne d'avoir tué son bébé Mirabelle Thao-Lo, âgée de six semaines, en le cuisant au micro-ondes. ( la petite fille serait âgée de 6 mois d'après certains médias )
Le meurtre s'est produit le 17 mars dernier. L'autopsie a révélé que la mort avait été provoquée par de graves brûlures internes.
Le mobile reste mystérieux, la mère emprsionnée attend son procès, elle encourt la perpétuité
Ce fait divers plus que sordide bouleverse les Américains.
Ce n’est malheureusement pas la première fois que cet acte abject a lieu aux USA, puisqu’en 2008, une américaine de 28 ans avait également tué sa fille en la passant au micro-ondes, après une dispute avec son mari : ce dernier lui avait demandé s’il était vraiment le père de l’enfant.
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on peut remarquer que les deux mères avaient certainement des problèmes dans leur tête, bien sûr... mais avec leur période critique septennale des 28 ans...
jeudi 23 juin 2011
burn out
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Boulogne_sur_Mer/actualite/Secteur_Boulogne_sur_Mer/2011/06/23/article_un-cadre-tente-de-se-suicider-trop-de-pr.shtml
Un cadre tente de se suicider : trop de pression à la Terre des Deux caps ?
Depuis le début de l'année,la CFDT dénonce un climat au travail « exécrable » à la communauté de communes de la Terre des Deux caps. Parlant de « harcèlement », le syndicat a déposé plainte après la tentative de suicide d'un des cadres de la collectivité. Martial Herbert rejette tout harcèlement mais certains pointent du doigt de réels problèmes de management.
Comment le directeur du complexe sportif Capoolco a-t-il pu en arriver là ? Il a tenté de se suicider il y a quelques semaines à son domicile. Un geste qui survient deux mois après un burn-out, le syndrome d'épuisement professionnel qui l'avait obligé à prendre un congé maladie.
........................
================
burn-out, tentatives de suicide et suicides sont souvent liés aussi à l'arrivée ou la situation en période critique septennale... surtout chez les hommes d'affaires.
(mais pas d'indication d'âge de la personne, ici)
Un cadre tente de se suicider : trop de pression à la Terre des Deux caps ?
Depuis le début de l'année,la CFDT dénonce un climat au travail « exécrable » à la communauté de communes de la Terre des Deux caps. Parlant de « harcèlement », le syndicat a déposé plainte après la tentative de suicide d'un des cadres de la collectivité. Martial Herbert rejette tout harcèlement mais certains pointent du doigt de réels problèmes de management.
Comment le directeur du complexe sportif Capoolco a-t-il pu en arriver là ? Il a tenté de se suicider il y a quelques semaines à son domicile. Un geste qui survient deux mois après un burn-out, le syndrome d'épuisement professionnel qui l'avait obligé à prendre un congé maladie.
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burn-out, tentatives de suicide et suicides sont souvent liés aussi à l'arrivée ou la situation en période critique septennale... surtout chez les hommes d'affaires.
(mais pas d'indication d'âge de la personne, ici)
tentative de suicide
http://www.lavoixdunord.fr/actualite/L_info_en_continu/Metropole_Lilloise/2011/06/23/article_sauv-eacute-e-par-les-policiers-lors-d-u.shtml
Lille : Sauvée par des policiers lors d'une tentative de suicide
Une patiente du Centre psychiatrique d'accueil et d'admission (CPAA), dans un bâtiment de l'hôpital Saint-Vincent, a tenté de mettre fin à ses jours en sautant du premier étage, ce jeudi en fin de matinée, à Lille.
Refusant l'aide des pompiers, elle a sauté d'un parapet, au premier étage, situé à environ sept mètres du sol. Les policiers ont réquisitionné des matelas chez des riverains et ont pu de justesse les glisser sous la victime, ammortissant sa chute.
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(pas d'indication d'âge)
Lille : Sauvée par des policiers lors d'une tentative de suicide
Une patiente du Centre psychiatrique d'accueil et d'admission (CPAA), dans un bâtiment de l'hôpital Saint-Vincent, a tenté de mettre fin à ses jours en sautant du premier étage, ce jeudi en fin de matinée, à Lille.
Refusant l'aide des pompiers, elle a sauté d'un parapet, au premier étage, situé à environ sept mètres du sol. Les policiers ont réquisitionné des matelas chez des riverains et ont pu de justesse les glisser sous la victime, ammortissant sa chute.
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(pas d'indication d'âge)
bébé oublié
http://rt.com/news/dog-forgotten-baby-mother/
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pas que des malheurs et pas directement de lien avec les cycles, bien qu'il s'agisse d'une maman de 22 ans et d'alcool... mais j'ai trouvé l'anecdote intéressante... les rottweiler n'ayant pas toujours bonne réputation...
cette maman a fait la fête avec des copains qu'elle a rencontrés (si j'ai bien traduit) et est rentrée chez elle pas mal alcoolisée en oubliant son bébé de trois mois et son chien dans un parc public. (dans une ville de Russie)
bien sûr panique le lendemain matin... car elle ne se souvenait pas de grand chose... mais elle a finit par retrouver son bébé dans son landau, là où elle l'avait laissé, le Rottweiler ayant passé la nuit (pas froide heureusement) à surveiller fidèlement le bébé...
attention à l'alcool, hein... :-)
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pas que des malheurs et pas directement de lien avec les cycles, bien qu'il s'agisse d'une maman de 22 ans et d'alcool... mais j'ai trouvé l'anecdote intéressante... les rottweiler n'ayant pas toujours bonne réputation...
cette maman a fait la fête avec des copains qu'elle a rencontrés (si j'ai bien traduit) et est rentrée chez elle pas mal alcoolisée en oubliant son bébé de trois mois et son chien dans un parc public. (dans une ville de Russie)
bien sûr panique le lendemain matin... car elle ne se souvenait pas de grand chose... mais elle a finit par retrouver son bébé dans son landau, là où elle l'avait laissé, le Rottweiler ayant passé la nuit (pas froide heureusement) à surveiller fidèlement le bébé...
attention à l'alcool, hein... :-)
drame familial
http://www.frauenzimmer.de/medien/nachrichten/17b2e-0-0-14/drei-leichen-in-autowrack-entdeckt.phtml
Drei Leichen in ausgebranntem Auto entdeckt
Angehöriger soll Abschiedsbrief gefunden haben
Spaziergänger haben in Osthessen in einem ausgebrannten Auto drei Leichen entdeckt. Der Wagen stand in einem Wald zwischen Kirchheim und Oberaula, wie die Polizei in Bad Hersfeld berichtete. Bei den Toten handelt es sich offenbar um den 50-jährigen Familienvater Ulf W., seine Frau und die 17-jährige Tochter.
Aufgrund der bisherigen Ermittlungen gehen die Beamten davon aus, dass es sich um eine Tat mit familiärem Hintergrund handelt. Ein Angehöriger soll im Haus der Familie einen Abschiedsbrief gefunden haben. Nach Polizei-Angaben wurde zur Klärung der genauen Umstände die Rechtsmedizin in Gießen und auch das Landeskriminalamt eingeschaltet.
============
trois cadavres ont été trouvée dans une voiture incendiée en forêt... celui d'un père de 50 ans, de la mère (âge non indiqué - édit : 45 ans, semble-t-il) ) et de la fille de 17 ans...
un membre de la famille aurait découvert une lettre annonçant le drame...
parmi les trois personnes, c'est le père qui vient de vivre sa période critique septennale des 49 ans...
édit 28/06 :
http://www.fuldaerzeitung.de/nachrichten/huenfeld/Huenfeld-Familiendrama-aufgeklaert-Vater-toetete-Frau-und-Tochter;art17,423521
Familiendrama aufgeklärt: Vater tötete Frau und Tochter
Hauneck Die Staatsanwaltschaft Fulda hat am Dienstag die Obduktionsergebnisse der drei Leichen veröffentlicht, die am vergangenen Mittwoch in einem ausgebrannten Autowrack in der Nähe von Kirchheim gefunden worden waren. Demnach hat der Vater seine Ehefrau und seine Tochter getötet und dann Selbstmord begangen.
Den Ermittlungen zufolge hat der 50-jährige Mann seine 45 Jahre alte Frau vermutlich zu Hause mit drei Schlägen einer Axt erschlagen – darauf deuten Spuren am Hinterkopf des Opfers hin. Seine 17-jährige Tochter erschoss er mit einer 9mm-Pistole. Dann legte er die Leichen in seinen Wagen, fuhr mit ihnen in ein Waldstück, setzte das Auto in Brand und machte seinem Leben mit einem Schuss ein Ende. DNA-Gutachten sollen die vorliegenden Befunde absichern.
Wie ein Polizeisprecher gegenüber unserer Zeitung erklärte, war der 50-Jährige aus Hauneck-Rotensee Mitglied im Schützenverein und besaß legal zwei Pistolen. Die Überreste von einer der Waffen fand die Polizei in dem ausgebrannten Wagen. Welche Motive hinter dieser Gräueltat stehen, ist bislang unklar.
=========
l'homme de 50 ans aurait tué son épouse de trois coups de hache, puis tué sa fille d'un coup de pistolet.
il a ensuite placé les cadavres dans sa voiture, est allé en forêt, a mis le feu au véhicule puis s'est suicidé d'un coup de feu...
Drei Leichen in ausgebranntem Auto entdeckt
Angehöriger soll Abschiedsbrief gefunden haben
Spaziergänger haben in Osthessen in einem ausgebrannten Auto drei Leichen entdeckt. Der Wagen stand in einem Wald zwischen Kirchheim und Oberaula, wie die Polizei in Bad Hersfeld berichtete. Bei den Toten handelt es sich offenbar um den 50-jährigen Familienvater Ulf W., seine Frau und die 17-jährige Tochter.
Aufgrund der bisherigen Ermittlungen gehen die Beamten davon aus, dass es sich um eine Tat mit familiärem Hintergrund handelt. Ein Angehöriger soll im Haus der Familie einen Abschiedsbrief gefunden haben. Nach Polizei-Angaben wurde zur Klärung der genauen Umstände die Rechtsmedizin in Gießen und auch das Landeskriminalamt eingeschaltet.
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trois cadavres ont été trouvée dans une voiture incendiée en forêt... celui d'un père de 50 ans, de la mère (âge non indiqué - édit : 45 ans, semble-t-il) ) et de la fille de 17 ans...
un membre de la famille aurait découvert une lettre annonçant le drame...
parmi les trois personnes, c'est le père qui vient de vivre sa période critique septennale des 49 ans...
édit 28/06 :
http://www.fuldaerzeitung.de/nachrichten/huenfeld/Huenfeld-Familiendrama-aufgeklaert-Vater-toetete-Frau-und-Tochter;art17,423521
Familiendrama aufgeklärt: Vater tötete Frau und Tochter
Hauneck Die Staatsanwaltschaft Fulda hat am Dienstag die Obduktionsergebnisse der drei Leichen veröffentlicht, die am vergangenen Mittwoch in einem ausgebrannten Autowrack in der Nähe von Kirchheim gefunden worden waren. Demnach hat der Vater seine Ehefrau und seine Tochter getötet und dann Selbstmord begangen.
Den Ermittlungen zufolge hat der 50-jährige Mann seine 45 Jahre alte Frau vermutlich zu Hause mit drei Schlägen einer Axt erschlagen – darauf deuten Spuren am Hinterkopf des Opfers hin. Seine 17-jährige Tochter erschoss er mit einer 9mm-Pistole. Dann legte er die Leichen in seinen Wagen, fuhr mit ihnen in ein Waldstück, setzte das Auto in Brand und machte seinem Leben mit einem Schuss ein Ende. DNA-Gutachten sollen die vorliegenden Befunde absichern.
Wie ein Polizeisprecher gegenüber unserer Zeitung erklärte, war der 50-Jährige aus Hauneck-Rotensee Mitglied im Schützenverein und besaß legal zwei Pistolen. Die Überreste von einer der Waffen fand die Polizei in dem ausgebrannten Wagen. Welche Motive hinter dieser Gräueltat stehen, ist bislang unklar.
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l'homme de 50 ans aurait tué son épouse de trois coups de hache, puis tué sa fille d'un coup de pistolet.
il a ensuite placé les cadavres dans sa voiture, est allé en forêt, a mis le feu au véhicule puis s'est suicidé d'un coup de feu...
incendie
http://www.abendblatt.de/region/norddeutschland/article1933234/44-Jaehriger-soll-Haus-des-Vaters-im-Alten-Land-angezuendet-haben.html
44-Jähriger soll Haus des Vaters im Alten Land angezündet haben
Jork. In der Nacht zu Mittwoch ist das Dach eines Einfamilienhauses in Jork-Lühe im Alten Land abgebrannt. Die Polizei und der 68-jährige Bewohner vermuten, dass der 44-jährige Sohn einen Holzstapel neben dem Haus angezündet hat. Die Flammen griffen über, das Haus ist unbewohnbar.
Der 44-Jährige wurde noch in der Nacht in seiner Wohnung festgenommen. Er war alkoholisiert und stritt die Tat zunächst ab. Im September 2009 starb die Frau des 68-Jährigen und Mutter des Verdächtigen. Ein Jahr später distanzierte sich dieser vom Vater, und es gab immer wieder Streit.
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on suspecte le fils de 44 ans - alcoolisé au moment des faits - d'avoir causé volontairement l'incendie de la maison paternelle... peut-être en raison de différends qui existaient avec le père depuis le décès de la mère...
44-Jähriger soll Haus des Vaters im Alten Land angezündet haben
Jork. In der Nacht zu Mittwoch ist das Dach eines Einfamilienhauses in Jork-Lühe im Alten Land abgebrannt. Die Polizei und der 68-jährige Bewohner vermuten, dass der 44-jährige Sohn einen Holzstapel neben dem Haus angezündet hat. Die Flammen griffen über, das Haus ist unbewohnbar.
Der 44-Jährige wurde noch in der Nacht in seiner Wohnung festgenommen. Er war alkoholisiert und stritt die Tat zunächst ab. Im September 2009 starb die Frau des 68-Jährigen und Mutter des Verdächtigen. Ein Jahr später distanzierte sich dieser vom Vater, und es gab immer wieder Streit.
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on suspecte le fils de 44 ans - alcoolisé au moment des faits - d'avoir causé volontairement l'incendie de la maison paternelle... peut-être en raison de différends qui existaient avec le père depuis le décès de la mère...
tentative d'homicide
http://www.sudouest.fr/2011/06/23/huit-ans-de-prison-433410-4622.php
Huit ans de prison
Stéphane Duhamel a été condamné hier à huit années de prison. Quand il sortira, il devra se soumettre à un suivi socio-judiciaire.
Le jury a répondu « oui » à toutes les questions. Stéphane Duhamel est coupable de la tentative d'homicide volontaire sur son ex-compagne ; coupable aussi de violences volontaires sur les gendarmes. Il a condamné Stéphane Duhamel, 45 ans, à huit ans de prison puis à un suivi socio-judiciaire pendant dix ans après sa sortie. Ce n'était pas une formalité. Le jury a délibéré pendant cinq heures trente pour aboutir à cette peine, conforme aux réquisitions de l'avocate générale, Marie-Hélène Heyte.
Avant que le jury ne parte délibérer, l'accusé a pris la parole, en dernier. Trois minutes, quatre phrases. Plus quasiment qu'il n'en a jamais dit durant ces trois jours de procès. « Je regrette tout ça. Je n'ai pas menti, quand je dis que je ne me souviens pas. En prison, j'ai même demandé à faire des séances d'hypnose pour me rappeler mais ce n'est pas possible. Je compatis avec la victime. Pour moi, le suivi socio-judiciaire, c'est à vie. »
Devant lui son avocat, Me Philippe Bellandi, écoute. Il vient de faire part, dans sa plaidoirie, de sa « solitude ». Plaider contre les parties civiles et l'avocat général, il y est habitué. Mais « lorsque je me retourne, il y a Stéphane Duhamel. Depuis trente-deux mois que j'ai fait sa connaissance, il me parle de flashs. Je ne peux m'appuyer sur rien ».
Bribe d'émotion
En trois jours, l'accusé a failli lâcher une émotion. Au moment où son conseil livre aux jurés son analyse du passage à l'acte. Trois jours avant qu'il tente de tuer son ex-compagne, tous les deux étaient partis en week-end. « Il s'est mis à genoux devant elle ; elle accepte de se laisser séduire. Alors il se dit "ça y est, c'est gagné". » Le lendemain il va chercher le fils de sa compagne à l'école, prépare le repas. « Mais elle n'est pas prête, regrette même », poursuit Me Philippe Bellandi. « Tout s'est effondré de façon d'autant plus brutale qu'il s'était fait à l'idée que tout était reparti. » Stéphane Duhamel fait une tentative de suicide. Une énième. Dépressif, il l'est. Les psychiatres ont même retenu une altération de son discernement à cause de cette dépression collée à sa peau depuis son enfance. « Celui qui va me priver de mon bonheur, celui qui va me priver de mon amour, il va mourir avec moi », analyse son conseil. Stéphane Duhamel s'essuie le coin d'un œil. C'est le seul moment où est apparue une émotion sur son visage.
Acte maîtrisé ou fou ?
L'avocate générale l'explique de façon plus violente dans son réquisitoire. « C'est la politique de la terre brûlée : si tu n'es plus avec moi, tu n'es plus avec personne. » Elle s'est attachée à démontrer aux jurés que, le 23 octobre 2008, Stéphane Duhamel a maîtrisé l'enchaînement des événements. Tous, de la volonté de tuer son ex-compagne, en voulant d'abord la poignarder puis en l'étranglant, jusqu'à la tentative d'allumer la bouteille de gaz embarquée dans sa voiture, avant d'être interpellé. Sans oublier la collision avec deux voitures de la gendarmerie, pendant la poursuite qui a duré un peu moins d'une heure sur les routes de campagne, et pendant laquelle il téléphonera cinq fois à la gendarmerie
« C'était un acte désespéré, un acte de fou », rétorque Me Philippe Bellandi, levé pour « enlever quelques années ». .............
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si j'ai bien calculé l'intéressé se trouvait, au moment du drame, dans sa période critique septennale des 42 ans...
Huit ans de prison
Stéphane Duhamel a été condamné hier à huit années de prison. Quand il sortira, il devra se soumettre à un suivi socio-judiciaire.
Le jury a répondu « oui » à toutes les questions. Stéphane Duhamel est coupable de la tentative d'homicide volontaire sur son ex-compagne ; coupable aussi de violences volontaires sur les gendarmes. Il a condamné Stéphane Duhamel, 45 ans, à huit ans de prison puis à un suivi socio-judiciaire pendant dix ans après sa sortie. Ce n'était pas une formalité. Le jury a délibéré pendant cinq heures trente pour aboutir à cette peine, conforme aux réquisitions de l'avocate générale, Marie-Hélène Heyte.
Avant que le jury ne parte délibérer, l'accusé a pris la parole, en dernier. Trois minutes, quatre phrases. Plus quasiment qu'il n'en a jamais dit durant ces trois jours de procès. « Je regrette tout ça. Je n'ai pas menti, quand je dis que je ne me souviens pas. En prison, j'ai même demandé à faire des séances d'hypnose pour me rappeler mais ce n'est pas possible. Je compatis avec la victime. Pour moi, le suivi socio-judiciaire, c'est à vie. »
Devant lui son avocat, Me Philippe Bellandi, écoute. Il vient de faire part, dans sa plaidoirie, de sa « solitude ». Plaider contre les parties civiles et l'avocat général, il y est habitué. Mais « lorsque je me retourne, il y a Stéphane Duhamel. Depuis trente-deux mois que j'ai fait sa connaissance, il me parle de flashs. Je ne peux m'appuyer sur rien ».
Bribe d'émotion
En trois jours, l'accusé a failli lâcher une émotion. Au moment où son conseil livre aux jurés son analyse du passage à l'acte. Trois jours avant qu'il tente de tuer son ex-compagne, tous les deux étaient partis en week-end. « Il s'est mis à genoux devant elle ; elle accepte de se laisser séduire. Alors il se dit "ça y est, c'est gagné". » Le lendemain il va chercher le fils de sa compagne à l'école, prépare le repas. « Mais elle n'est pas prête, regrette même », poursuit Me Philippe Bellandi. « Tout s'est effondré de façon d'autant plus brutale qu'il s'était fait à l'idée que tout était reparti. » Stéphane Duhamel fait une tentative de suicide. Une énième. Dépressif, il l'est. Les psychiatres ont même retenu une altération de son discernement à cause de cette dépression collée à sa peau depuis son enfance. « Celui qui va me priver de mon bonheur, celui qui va me priver de mon amour, il va mourir avec moi », analyse son conseil. Stéphane Duhamel s'essuie le coin d'un œil. C'est le seul moment où est apparue une émotion sur son visage.
Acte maîtrisé ou fou ?
L'avocate générale l'explique de façon plus violente dans son réquisitoire. « C'est la politique de la terre brûlée : si tu n'es plus avec moi, tu n'es plus avec personne. » Elle s'est attachée à démontrer aux jurés que, le 23 octobre 2008, Stéphane Duhamel a maîtrisé l'enchaînement des événements. Tous, de la volonté de tuer son ex-compagne, en voulant d'abord la poignarder puis en l'étranglant, jusqu'à la tentative d'allumer la bouteille de gaz embarquée dans sa voiture, avant d'être interpellé. Sans oublier la collision avec deux voitures de la gendarmerie, pendant la poursuite qui a duré un peu moins d'une heure sur les routes de campagne, et pendant laquelle il téléphonera cinq fois à la gendarmerie
« C'était un acte désespéré, un acte de fou », rétorque Me Philippe Bellandi, levé pour « enlever quelques années ». .............
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si j'ai bien calculé l'intéressé se trouvait, au moment du drame, dans sa période critique septennale des 42 ans...
meurtre et seize ans après...
http://www.ruefrontenac.com/nouvelles-generales/faitsdivers/38707-joleil-campeau
Seize ans plus tard, un homme arrêté pour le meurtre de Joleil Campeau
Seize ans plus tard, la police de Laval a finalement arrêté un suspect dans le meurtre de Joleil Campeau, cette enfant de 9 ans dont la dépouille avait été retrouvée dans un marais du quartier Auteuil le 16 juin 1995.
«Le mercredi 22 juin 2011, vers 19 h, les enquêteurs de la Section des crimes majeurs du Département de police de Laval ont procédé à l’arrestation d’un homme dans le dossier du meurtre de la jeune Joleil Campeau», confirme le corps policier dans un communiqué envoyé tard mercredi soir.
L’homme arrêté est un résident de Montréal, âgé de 37 ans, qui devrait être formellement accusé de meurtre au palais de justice de Laval jeudi.
La police de Laval a bénéficié de l’aide de l’Équipe des dossiers non résolus de la Sûreté du Québec dans cette affaire.
Rappelons que le corps de la petite Joleil Campeau avait été retrouvé enfoui sous plus d’un mètre de boue, plusieurs jours après sa disparition. Le marais où les policiers avaient fait la macabre découverte était situé tout près de la résidence familiale où elle avait été vue pour la dernière fois.
L’enfant avait quitté la maison du 1, place Debussy, pour se rendre chez une amie qui habitait à une rue de la sienne. Mais elle n’y était jamais arrivée.
Ses parents, Pierre Campeau et Donna Sénécal, avaient été dévastés par sa disparition.
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37 ans aujourd'hui, c'est période critique septennale des 21 ans en 1995.
édit 1/07 :
http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faits-divers/201106/30/01-4413831-la-tante-de-joleil-campeau-sinterroge.php
La tante de Joleil Campeau s'interroge
«Si un psychiatre a été capable de prédire ce qui allait arriver, pourquoi l'a-t-on laissé sortir de prison?»
La tante de Joleil Campeau, Manon Sénécal, se posait bien des questions, hier, en apprenant le contenu des décisions de la Commission des libérations conditionnelles du Canada à l'égard d'Éric Daudelin, accusé la semaine dernière du meurtre de sa nièce.
Daudelin avait été mis en liberté le 12 mai 1995, soit un mois avant la disparition de la fillette de 9 ans, à Laval.
La Commission avait refusé de le mettre en liberté avant la fin de sa peine. Un psychiatre qui l'a évalué en 1994 avait conclu qu'il était «à très haut risque d'une récidive violente et probablement meurtrière à ce stade-ci».
Manon Sénécal se demande pourquoi un individu aussi dangereux a écopé d'une peine de seulement deux ans de prison. La Couronne avait porté la décision du juge de première instance en appel, mais la Cour d'appel a rejeté la requête.
«J'espère que certains juges ont de la misère à dormir ces jours-ci», a conclu Mme Sénécal, qui plaide pour un durcissement de la loi envers les agresseurs sexuels récidivistes.
* * *
CHRONOLOGIE
12 mai 1993 : Éric Daudelin est condamné à deux ans de prison au palais de justice de Montréal pour avoir agressé sexuellement deux adolescentes de 17 ans en 1992. Il est alors âgé de 19 ans.
18 mars 1994 : La Couronne porte la sentence en appel, mais la Cour d'appel rejette sa requête, invoquant que l'accusé «?suit ses traitements et qu'il a fait voir un certain désir de s'aider?».
1er septembre 1994 : La Commission des libérations conditionnelles du Canada refuse de le mettre en liberté. Elle conclut que, s'il est libéré, il commettra «une infraction causant la mort ou un dommage grave à une autre personne».
12 mai 1995 : Éric Daudelin est libéré au terme de sa peine.
12 juin 1995 : Joleil Campeau, 9 ans, est portée disparue après avoir quitté la maison de ses parents, dans le quartier Auteuil, à Laval. Son corps est retrouvé quatre jours plus tard dans un ruisseau non loin de chez elle.
2 juillet 1995 : Éric Daudelin enlève et viole une adolescente de 15 ans sous la menace d'un tournevis. Arrêté dans les heures suivantes, il écope de cinq ans de prison en décembre 1996.
1er mars 2000 : La Commission des libérations conditionnelles du Canada refuse de le mettre en liberté en évoquant ses «?fantasmes sexuels sadiques?». Elle conclut qu'«il n'existe pas en société de programmes de supervision suffisamment rigoureux pour protéger la société» contre son risque de récidive.
18 janvier 2002 : Daudelin sort de prison au terme de sa peine, mais sa liberté ne dure que quelques jours. Il écope coup sur coup de deux peines de prison de 15 et de 18 mois pour des bris de conditions.
22 juin 2011 : Trahi par son ADN, Éric Daudelin est arrêté pour le meurtre de Joleil Campeau plus de 16 ans après les faits. Le lendemain, il est formellement accusé de meurtre prémédité au palais de justice de Laval.
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en l'absence de la date de naissance précise de l'intéressé, qui a tué Joleil Campeau lors de sa période critique septennale des 21 ans, on peut encore vérifier s'il existe un lien entre les différentes agressions et un éventuel jour critique émotionnel. les agressions ont alors lieu le même jour ou jour à côté ; or cela pourrait bien être le cas puisque (je ne connais pas la date exacte de l'agression des ados en janvier 1992) mais nous avons
12 juin 1995 : lundi
2 juillet 1995 : dimanche (1)
(le jour critique émotionnel est un jour de pulsions que l'on retrouve fréquemment, à cause de cela, lors de passages à l'acte criminels).
(1) dossier du 3 juillet 1995 (ce qui nous donnerait un lundi et un jour qui n'est plus neutre du tout puisque veille de critique physique P1 et critique émotionnel E15) http://fr.canoe.ca/infos/societe/archives/2014/03/20140321-135029.html
Seize ans plus tard, un homme arrêté pour le meurtre de Joleil Campeau
Seize ans plus tard, la police de Laval a finalement arrêté un suspect dans le meurtre de Joleil Campeau, cette enfant de 9 ans dont la dépouille avait été retrouvée dans un marais du quartier Auteuil le 16 juin 1995.
«Le mercredi 22 juin 2011, vers 19 h, les enquêteurs de la Section des crimes majeurs du Département de police de Laval ont procédé à l’arrestation d’un homme dans le dossier du meurtre de la jeune Joleil Campeau», confirme le corps policier dans un communiqué envoyé tard mercredi soir.
L’homme arrêté est un résident de Montréal, âgé de 37 ans, qui devrait être formellement accusé de meurtre au palais de justice de Laval jeudi.
La police de Laval a bénéficié de l’aide de l’Équipe des dossiers non résolus de la Sûreté du Québec dans cette affaire.
Rappelons que le corps de la petite Joleil Campeau avait été retrouvé enfoui sous plus d’un mètre de boue, plusieurs jours après sa disparition. Le marais où les policiers avaient fait la macabre découverte était situé tout près de la résidence familiale où elle avait été vue pour la dernière fois.
L’enfant avait quitté la maison du 1, place Debussy, pour se rendre chez une amie qui habitait à une rue de la sienne. Mais elle n’y était jamais arrivée.
Ses parents, Pierre Campeau et Donna Sénécal, avaient été dévastés par sa disparition.
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37 ans aujourd'hui, c'est période critique septennale des 21 ans en 1995.
édit 1/07 :
http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faits-divers/201106/30/01-4413831-la-tante-de-joleil-campeau-sinterroge.php
La tante de Joleil Campeau s'interroge
«Si un psychiatre a été capable de prédire ce qui allait arriver, pourquoi l'a-t-on laissé sortir de prison?»
La tante de Joleil Campeau, Manon Sénécal, se posait bien des questions, hier, en apprenant le contenu des décisions de la Commission des libérations conditionnelles du Canada à l'égard d'Éric Daudelin, accusé la semaine dernière du meurtre de sa nièce.
Daudelin avait été mis en liberté le 12 mai 1995, soit un mois avant la disparition de la fillette de 9 ans, à Laval.
La Commission avait refusé de le mettre en liberté avant la fin de sa peine. Un psychiatre qui l'a évalué en 1994 avait conclu qu'il était «à très haut risque d'une récidive violente et probablement meurtrière à ce stade-ci».
Manon Sénécal se demande pourquoi un individu aussi dangereux a écopé d'une peine de seulement deux ans de prison. La Couronne avait porté la décision du juge de première instance en appel, mais la Cour d'appel a rejeté la requête.
«J'espère que certains juges ont de la misère à dormir ces jours-ci», a conclu Mme Sénécal, qui plaide pour un durcissement de la loi envers les agresseurs sexuels récidivistes.
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CHRONOLOGIE
12 mai 1993 : Éric Daudelin est condamné à deux ans de prison au palais de justice de Montréal pour avoir agressé sexuellement deux adolescentes de 17 ans en 1992. Il est alors âgé de 19 ans.
18 mars 1994 : La Couronne porte la sentence en appel, mais la Cour d'appel rejette sa requête, invoquant que l'accusé «?suit ses traitements et qu'il a fait voir un certain désir de s'aider?».
1er septembre 1994 : La Commission des libérations conditionnelles du Canada refuse de le mettre en liberté. Elle conclut que, s'il est libéré, il commettra «une infraction causant la mort ou un dommage grave à une autre personne».
12 mai 1995 : Éric Daudelin est libéré au terme de sa peine.
12 juin 1995 : Joleil Campeau, 9 ans, est portée disparue après avoir quitté la maison de ses parents, dans le quartier Auteuil, à Laval. Son corps est retrouvé quatre jours plus tard dans un ruisseau non loin de chez elle.
2 juillet 1995 : Éric Daudelin enlève et viole une adolescente de 15 ans sous la menace d'un tournevis. Arrêté dans les heures suivantes, il écope de cinq ans de prison en décembre 1996.
1er mars 2000 : La Commission des libérations conditionnelles du Canada refuse de le mettre en liberté en évoquant ses «?fantasmes sexuels sadiques?». Elle conclut qu'«il n'existe pas en société de programmes de supervision suffisamment rigoureux pour protéger la société» contre son risque de récidive.
18 janvier 2002 : Daudelin sort de prison au terme de sa peine, mais sa liberté ne dure que quelques jours. Il écope coup sur coup de deux peines de prison de 15 et de 18 mois pour des bris de conditions.
22 juin 2011 : Trahi par son ADN, Éric Daudelin est arrêté pour le meurtre de Joleil Campeau plus de 16 ans après les faits. Le lendemain, il est formellement accusé de meurtre prémédité au palais de justice de Laval.
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en l'absence de la date de naissance précise de l'intéressé, qui a tué Joleil Campeau lors de sa période critique septennale des 21 ans, on peut encore vérifier s'il existe un lien entre les différentes agressions et un éventuel jour critique émotionnel. les agressions ont alors lieu le même jour ou jour à côté ; or cela pourrait bien être le cas puisque (je ne connais pas la date exacte de l'agression des ados en janvier 1992) mais nous avons
12 juin 1995 : lundi
2 juillet 1995 : dimanche (1)
(le jour critique émotionnel est un jour de pulsions que l'on retrouve fréquemment, à cause de cela, lors de passages à l'acte criminels).
(1) dossier du 3 juillet 1995 (ce qui nous donnerait un lundi et un jour qui n'est plus neutre du tout puisque veille de critique physique P1 et critique émotionnel E15) http://fr.canoe.ca/infos/societe/archives/2014/03/20140321-135029.html
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