Un enfant de 10 ans s'empale sur un couteau
Hier soir vers 20 heures, un enfant de 10 ans s'est empalé sur un couteau dans l'appartement familial, situé dans le quartier Thiers de Marseille (1er arr).
Blessé au thorax, le pronostic vital de l'enfant est engagé. Il a été transporté à l'hôpital de la Timone.
La mère de 46 ans est en garde à vue. Pour l'heure, on ne sait pas s'il s'agit d'un accident ou d'un acte volontaire.
Source : La Provence le 31 octobree 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18892&hl=
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jeudi 31 octobre 2013
drame familial
Familiendrama in Wülfel: Mutter (30) vom Ex erstochen
In der Nacht ist es in einer Wohnung in der Pieperstraße (Wülfel) zu einem Familiendrama gekommen. Ein 30-jähriger Mann hat seine gleichaltrige Ex-Frau umgebracht. Gegen ihn ist jetzt ein Haftbefehl ausgestellt worden - wegen Mordes.
Der Täter wurde von der Polizei festgenommen und dem Haftrichter vorgeführt. Der neue Lebensgefährte (27) des Opfers war ebenfalls in der Wohnung und wurde beim Angriff des 30-Jährigen schwer verletzt. Auch das Kind (2) der Frau befand sich in der Wohnung. Der Junge blieb unverletzt. (...)
http://www.neuepresse.de/Hannover/Meine-Stadt/Familiendrama-in-Wuelfel-Mutter-30-vom-Ex-erstochen
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apparemment un drame de la jalousie : un ex-époux âgé de 30 ans a mortellement poignardé son ancienne épouse et blessé le nouveau compagnon de celle-ci...
In der Nacht ist es in einer Wohnung in der Pieperstraße (Wülfel) zu einem Familiendrama gekommen. Ein 30-jähriger Mann hat seine gleichaltrige Ex-Frau umgebracht. Gegen ihn ist jetzt ein Haftbefehl ausgestellt worden - wegen Mordes.
Der Täter wurde von der Polizei festgenommen und dem Haftrichter vorgeführt. Der neue Lebensgefährte (27) des Opfers war ebenfalls in der Wohnung und wurde beim Angriff des 30-Jährigen schwer verletzt. Auch das Kind (2) der Frau befand sich in der Wohnung. Der Junge blieb unverletzt. (...)
http://www.neuepresse.de/Hannover/Meine-Stadt/Familiendrama-in-Wuelfel-Mutter-30-vom-Ex-erstochen
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apparemment un drame de la jalousie : un ex-époux âgé de 30 ans a mortellement poignardé son ancienne épouse et blessé le nouveau compagnon de celle-ci...
collision mortelle
Collision mortelle à Castelsarrasin entre deux retraités et un train
Soixante-douze heures à peine après l’accident survenu à un passage à niveau SNCF de Moissac ayant coûté la vie à un automobiliste de 35 ans (notre édition du 28 octobre), c’est une nouvelle tragédie qui s’est jouée, hier après-midi, au passage à niveau n° 159 de Castelsarrasin.
Il était 14 h 53 lorsque le cheminot aux manettes de son train Corail 4756 effectuant la liaison Marseille - Bordeaux, est surpris par un véhicule au beau milieu du passage à niveau coupant le chemin de l’Amour. Circulant à sa vitesse de croisière, le conducteur n’a pas le temps de stopper le train qui tire une vingtaine de wagons. L’impact est terrible. «On a entendu un gros boum comme si on percutait un tas de pierres» assure l’un des passagers interrogés. La «Renault Twingo» et ses deux passagers sont alors emportés, et traînés sous la locomotive durant près d’un kilomètre. C’est une scène dantesque que les hommes du capitaine Bernard Chauderon découvrent à quelques centaines de mètres de la gare SNCF de Castelsarrasin. La voiture broyée sous le train, les pompiers qui font immédiatement appel au Samu, savent d’ores et déjà qu’il n’y a aucun espoir de trouver un survivant dans l’habitacle de l’épave. Georges Dubor, 77 ans, et son épouse Ginette, 79 ans, un couple de retraités castelsarrasinois, sont morts sur le coup. (...)
Quant aux circonstances de l’accident, elles demeurent obscures. Le conducteur âgé a-t-il calé sur la voie en s’engageant ? Rien n’est moins sûr, une surveillance de 48 heures du passage à niveau et de sa barrière ont été réclamés. instantanés d’un drame
http://www.ladepeche.fr/article/2013/10/31/1742685-castelsarrasin-accident-sncf-deux-retraites-tues-400-passagers-evacues.html?google_editors_picks=true
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deux accidents successifs... qui semblent être des "accidents septennaux"...
Soixante-douze heures à peine après l’accident survenu à un passage à niveau SNCF de Moissac ayant coûté la vie à un automobiliste de 35 ans (notre édition du 28 octobre), c’est une nouvelle tragédie qui s’est jouée, hier après-midi, au passage à niveau n° 159 de Castelsarrasin.
Il était 14 h 53 lorsque le cheminot aux manettes de son train Corail 4756 effectuant la liaison Marseille - Bordeaux, est surpris par un véhicule au beau milieu du passage à niveau coupant le chemin de l’Amour. Circulant à sa vitesse de croisière, le conducteur n’a pas le temps de stopper le train qui tire une vingtaine de wagons. L’impact est terrible. «On a entendu un gros boum comme si on percutait un tas de pierres» assure l’un des passagers interrogés. La «Renault Twingo» et ses deux passagers sont alors emportés, et traînés sous la locomotive durant près d’un kilomètre. C’est une scène dantesque que les hommes du capitaine Bernard Chauderon découvrent à quelques centaines de mètres de la gare SNCF de Castelsarrasin. La voiture broyée sous le train, les pompiers qui font immédiatement appel au Samu, savent d’ores et déjà qu’il n’y a aucun espoir de trouver un survivant dans l’habitacle de l’épave. Georges Dubor, 77 ans, et son épouse Ginette, 79 ans, un couple de retraités castelsarrasinois, sont morts sur le coup. (...)
Quant aux circonstances de l’accident, elles demeurent obscures. Le conducteur âgé a-t-il calé sur la voie en s’engageant ? Rien n’est moins sûr, une surveillance de 48 heures du passage à niveau et de sa barrière ont été réclamés. instantanés d’un drame
http://www.ladepeche.fr/article/2013/10/31/1742685-castelsarrasin-accident-sncf-deux-retraites-tues-400-passagers-evacues.html?google_editors_picks=true
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deux accidents successifs... qui semblent être des "accidents septennaux"...
mercredi 30 octobre 2013
menaces
Chaville : il menaçait de faire sauter son immeuble mais il n'était pas chez lui
Le RAID et de nombreux policiers ont été mobilisés pour maîtriser un locataire qui avait menacé par téléphone de faire sauter son immeuble. Mais l'homme n'était pas dans son appartement.
L’homme désespéré promettant de «tout faire sauter» à Chaville (Hauts-de-Seine) en fin d’après-midi ce mercredi n’était pas chez lui. Sa menace a mobilisé le RAID, le commissariat, la police judiciaire, la mairie qui a ouvert un gymnase pour accueillir les potentielles résidents privés de logement. Le quartier a été bouclé, son immeuble de la rue Fontaine-Henri IV où il demeure au huitième étage entièrement évacué, le gaz et l’électricité ont été coupés, les résidents du quartier bloqués hors d’un vaste périmètre de sécurité.
Et alors que les hommes du RAID avaient investi le bâtiment, le«forcené» est apparu vers 19h30 rue de la Fontaine-Henri IV, ses clés à la main. A la surprise générale. Vers 17 heures, quand cet homme de 50 ans a téléphoné à son bailleur pour menacer de tout faire sauter, il n’était tout simplement pas chez lui. Son désespoir s’expliquerait pas un risque d’expulsion parce qu’il a d’importantes dettes de loyer.
http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/chaville-retranche-chez-lui-il-menace-de-faire-sauter-l-immeuble-30-10-2013-3272325.php
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Le RAID et de nombreux policiers ont été mobilisés pour maîtriser un locataire qui avait menacé par téléphone de faire sauter son immeuble. Mais l'homme n'était pas dans son appartement.
L’homme désespéré promettant de «tout faire sauter» à Chaville (Hauts-de-Seine) en fin d’après-midi ce mercredi n’était pas chez lui. Sa menace a mobilisé le RAID, le commissariat, la police judiciaire, la mairie qui a ouvert un gymnase pour accueillir les potentielles résidents privés de logement. Le quartier a été bouclé, son immeuble de la rue Fontaine-Henri IV où il demeure au huitième étage entièrement évacué, le gaz et l’électricité ont été coupés, les résidents du quartier bloqués hors d’un vaste périmètre de sécurité.
Et alors que les hommes du RAID avaient investi le bâtiment, le«forcené» est apparu vers 19h30 rue de la Fontaine-Henri IV, ses clés à la main. A la surprise générale. Vers 17 heures, quand cet homme de 50 ans a téléphoné à son bailleur pour menacer de tout faire sauter, il n’était tout simplement pas chez lui. Son désespoir s’expliquerait pas un risque d’expulsion parce qu’il a d’importantes dettes de loyer.
http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/chaville-retranche-chez-lui-il-menace-de-faire-sauter-l-immeuble-30-10-2013-3272325.php
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retrouvés morts
Fin d’un mystère? Une voiture sortie de l’eau avec des restes humains
Une voiture, appartenant à un homme disparu il y a plusieurs années avec son petit garçon, a été sortie des eaux de la Somme avec des restes humains à l’intérieur, a-t-on appris auprès du parquet d’Amiens. «La plaque d’immatriculation correspond au véhicule» d’un homme disparu il y a plus de 11 ans, Pierre Mortier, accompagné de son fils, a déclaré à l’AFP le procureur d’Amiens Bernard Farret, confirmant une information du journal Le Courrier Picard. «Les premiers éléments laissent à penser qu’il y a effectivement deux corps» à l’intérieur de la voiture, a indiqué M. Farret. L’identification des restes humains va prendre plusieurs jours, selon le procureur. Pierre Mortier, âgé de 32 ans, avait disparu de son domicile d’Ailly-le-Haut-Clocher (Somme) en compagnie de son fils Antoine, quatre ans, le 7 juillet 2002. Une enquête pour enlèvement et séquestration avait été ouverte à l'époque par le procureur d'Abbeville: le père et l'enfant avaient été aperçus plusieurs fois, notamment à Amiens et Canaples L’affaire était restée une énigme malgré une enquête longue et approfondie. Le véhicule a été localisé grâce à un sonar dont les forces de l'ordre ne disposaient pas à l'époque des faits. Il semblerait que des ossements soient à l'intérieur du véhicule. Après 11 ans d'enquête, le mystère de cette disparition pourrait bien être en partie résolu: il reste en effet à savoir dans quelles circonstances la voiture de Pierre Mortier s'est retrouvée au fond de la Somme. Sources : L'Alsace/ FR3 Picardie le 30 octobre 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18889&hl=
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Une voiture, appartenant à un homme disparu il y a plusieurs années avec son petit garçon, a été sortie des eaux de la Somme avec des restes humains à l’intérieur, a-t-on appris auprès du parquet d’Amiens. «La plaque d’immatriculation correspond au véhicule» d’un homme disparu il y a plus de 11 ans, Pierre Mortier, accompagné de son fils, a déclaré à l’AFP le procureur d’Amiens Bernard Farret, confirmant une information du journal Le Courrier Picard. «Les premiers éléments laissent à penser qu’il y a effectivement deux corps» à l’intérieur de la voiture, a indiqué M. Farret. L’identification des restes humains va prendre plusieurs jours, selon le procureur. Pierre Mortier, âgé de 32 ans, avait disparu de son domicile d’Ailly-le-Haut-Clocher (Somme) en compagnie de son fils Antoine, quatre ans, le 7 juillet 2002. Une enquête pour enlèvement et séquestration avait été ouverte à l'époque par le procureur d'Abbeville: le père et l'enfant avaient été aperçus plusieurs fois, notamment à Amiens et Canaples L’affaire était restée une énigme malgré une enquête longue et approfondie. Le véhicule a été localisé grâce à un sonar dont les forces de l'ordre ne disposaient pas à l'époque des faits. Il semblerait que des ossements soient à l'intérieur du véhicule. Après 11 ans d'enquête, le mystère de cette disparition pourrait bien être en partie résolu: il reste en effet à savoir dans quelles circonstances la voiture de Pierre Mortier s'est retrouvée au fond de la Somme. Sources : L'Alsace/ FR3 Picardie le 30 octobre 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18889&hl=
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dispute
Il tue son frère au terme d'une dispute
Un homme de 53 ans a tué cet après-midi son frère de 51 ans au terme d'une dispute familiale, à Aubagne, dans le quartier de La Coueste. La victime a été abattue de deux balles tirées dans l'abdomen et le bras. Elle a succombé à ses blessures. Le tireur s'est aussitôt constitué prisonnier.
Source : La Provence le 29 octobre 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18890&hl=
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http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18890&hl=
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suicide
Italie : le suicide d'un jeune homosexuel secoue le pays
C'est une tragédie qui illustre une fois de plus le climat d'homophobie qui pèse sur l'Italie. Dans la nuit de samedi à dimanche, un jeune homosexuel de 21 ans s'est jeté du onzième étage d'un immeuble de Rome. En guise de testament, le malheureux a laissé une lettre où il écrit : "Je suis gay. L'Italie est un pays libre mais l'homophobie existe et ceux qui ont ce type d'attitudes doivent se confronter à leur conscience". Sous le choc, les parents du désespéré, qui suivait des études d'infirmier, ont affirmé ignorer tout de l'orientation sexuelle de leur fils : "Nous ne savions pas que notre fils était homosexuel, ni de son mal-être quand il était confronté à l'homophobie."(...)
Ce suicide est le troisième recensé en douze mois dans la capitale italienne. En novembre 2012, un lycéen de 15 ans avait mis fin à ses jours en se pendant avec une écharpe. Homosexuel affiché, il était souvent victime des moqueries de ses camarades de classe. En juillet dernier, un ado de 14 ans se jetait de la terrasse de l'appartement familial, situé au 3e étage. "Je suis homosexuel, personne ne comprend mon drame et je ne sais pas comment le faire accepter à ma famille", écrivait-il avant de commettre l'irréparable. Manifestation à Rome Pour Fabrizio Marrazzo, le porte-parole de Gay Center, "les suicides et tentatives de jeunes homosexuels sont un phénomène alarmant. (...)
http://www.metronews.fr/info/italie-le-suicide-d-un-jeune-homosexuel-secoue-le-pays/mmjD!GbrpDl0nCAtA/
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homosexuels... mais peut-être aussi dépression de la période critique septennale : dans les trois cas cités il s'agit de suicides septennaux.
C'est une tragédie qui illustre une fois de plus le climat d'homophobie qui pèse sur l'Italie. Dans la nuit de samedi à dimanche, un jeune homosexuel de 21 ans s'est jeté du onzième étage d'un immeuble de Rome. En guise de testament, le malheureux a laissé une lettre où il écrit : "Je suis gay. L'Italie est un pays libre mais l'homophobie existe et ceux qui ont ce type d'attitudes doivent se confronter à leur conscience". Sous le choc, les parents du désespéré, qui suivait des études d'infirmier, ont affirmé ignorer tout de l'orientation sexuelle de leur fils : "Nous ne savions pas que notre fils était homosexuel, ni de son mal-être quand il était confronté à l'homophobie."(...)
Ce suicide est le troisième recensé en douze mois dans la capitale italienne. En novembre 2012, un lycéen de 15 ans avait mis fin à ses jours en se pendant avec une écharpe. Homosexuel affiché, il était souvent victime des moqueries de ses camarades de classe. En juillet dernier, un ado de 14 ans se jetait de la terrasse de l'appartement familial, situé au 3e étage. "Je suis homosexuel, personne ne comprend mon drame et je ne sais pas comment le faire accepter à ma famille", écrivait-il avant de commettre l'irréparable. Manifestation à Rome Pour Fabrizio Marrazzo, le porte-parole de Gay Center, "les suicides et tentatives de jeunes homosexuels sont un phénomène alarmant. (...)
http://www.metronews.fr/info/italie-le-suicide-d-un-jeune-homosexuel-secoue-le-pays/mmjD!GbrpDl0nCAtA/
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homosexuels... mais peut-être aussi dépression de la période critique septennale : dans les trois cas cités il s'agit de suicides septennaux.
braqueur
Paris : le braqueur s'en prenait à des enfants
Il est soupçonné d'au moins cinq vols sous la menace d'une arme dont un sur un enfant de 11 ans pour un iPod et huit euros. Un homme de 28 ans a été arrêté à Paris par les enquêteurs du 2e district de la police judiciaire. Signe particulier de ce braqueur : il n'hésitait pas à s'en prendre à des enfants pour quelques menus larçins. Au total, au moins cinq personnes sont concernées par ces vols à main armée depuis le mois de mars. Sa dernière victime : un jeune garçon de 11 ans agressé pour "un iPod et huit euros", a indiqué une source policière. Confondu par son ADN Les enquêteurs de la police judiciaire sont parvenus à l'identifier grâce à son ADN laissé deux fois sur son arme perdue au cours de deux de ses braquages, dans le XIe et le XVIIIe arrondissements parisiens. Son profil génétique "a matché" dans le Fichier national automatisé des empreintes génétiques (FNAEG), selon cette source. Il a été interpellé au domicile de ses parents mardi et placé depuis en garde à vue.
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/paris-le-braqueur-s-en-prenait-a-des-enfants-8302212.html
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Il est soupçonné d'au moins cinq vols sous la menace d'une arme dont un sur un enfant de 11 ans pour un iPod et huit euros. Un homme de 28 ans a été arrêté à Paris par les enquêteurs du 2e district de la police judiciaire. Signe particulier de ce braqueur : il n'hésitait pas à s'en prendre à des enfants pour quelques menus larçins. Au total, au moins cinq personnes sont concernées par ces vols à main armée depuis le mois de mars. Sa dernière victime : un jeune garçon de 11 ans agressé pour "un iPod et huit euros", a indiqué une source policière. Confondu par son ADN Les enquêteurs de la police judiciaire sont parvenus à l'identifier grâce à son ADN laissé deux fois sur son arme perdue au cours de deux de ses braquages, dans le XIe et le XVIIIe arrondissements parisiens. Son profil génétique "a matché" dans le Fichier national automatisé des empreintes génétiques (FNAEG), selon cette source. Il a été interpellé au domicile de ses parents mardi et placé depuis en garde à vue.
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/paris-le-braqueur-s-en-prenait-a-des-enfants-8302212.html
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méfiance
Une femme de 83 ans est morte jeudi dernier après avoir consommé par erreur des champignons vénéneux. Son mari, également intoxiqué, est toujours hospitalisé, selon le maire de leur village vosgien.
Samedi 19 octobre un couple de Girmont-Val-d'Ajol (Vosges) avait mangé des amanites mortelles au dîner, que le mari avait cueillies le jour même, les ayant vraisemblablement "confondues" avec une espèce comestible, selon Jean-Marie Manens, le maire de la commune.
Certains champignons toxiques ressemblent à des comestibles
"Ce n'est pas un grand cueilleur de champignons" et "il n'a pas non plus une très bonne vue", a expliqué M. Manens à propos du mari. Tombé très malade, le couple n'avait pas alerté ses enfants. "Ils se disaient: 'On a peut-être fait une indigestion, on ne va pas les déranger pour ça'", a précisé le maire. Une petite-fille, constatant la gravité de leur état lors d'une visite à leur domicile le lendemain, avait finalement prévenu les urgences. Les autorités sanitaires recommandent de ne jamais consommer un champignon dont l'identification n'est pas certaine, rappelant que certains champignons vénéneux hautement toxiques ressemblent beaucoup aux espèces comestibles. Quelque 546 cas d'intoxication, dont un cas grave chez un enfant, liés à la consommation de champignons, ont été recensés en France entre le 1er juillet et le 6 octobre.
http://www.letelegramme.fr/ig/generales/france-monde/france/vosges-une-octogenaire-decede-apres-avoir-mange-des-champignons-toxiques-29-10-2013-2285834.php
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"Ce n'est pas un grand cueilleur de champignons" et "il n'a pas non plus une très bonne vue", a expliqué M. Manens à propos du mari. Tombé très malade, le couple n'avait pas alerté ses enfants. "Ils se disaient: 'On a peut-être fait une indigestion, on ne va pas les déranger pour ça'", a précisé le maire. Une petite-fille, constatant la gravité de leur état lors d'une visite à leur domicile le lendemain, avait finalement prévenu les urgences. Les autorités sanitaires recommandent de ne jamais consommer un champignon dont l'identification n'est pas certaine, rappelant que certains champignons vénéneux hautement toxiques ressemblent beaucoup aux espèces comestibles. Quelque 546 cas d'intoxication, dont un cas grave chez un enfant, liés à la consommation de champignons, ont été recensés en France entre le 1er juillet et le 6 octobre.
http://www.letelegramme.fr/ig/generales/france-monde/france/vosges-une-octogenaire-decede-apres-avoir-mange-des-champignons-toxiques-29-10-2013-2285834.php
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bébé secoué
Bébé secoué : les soupçons s’orientent vers la mère
Que s’est-il passé dans la matinée du mercredi 1er octobre à Mouzon, pour que ces événements tragiques conduisent à la mort d’un nourrisson de quatre mois ? Pour l’instant c’est encore un mystère, mais l’enquête qui devra déterminer les circonstances du drame progresse. L’étau semble d’ailleurs se resserrer autour de la mère.
Absent au moment des faits, le père ne semble plus être inquiété bien que toujours placé sous contrôle judiciaire avec interdiction d’entrer en contact avec la mère ou sa famille. Joint par téléphone, il ne souhaite pas s’exprimer davantage sur le sujet. La mère, quant à elle, est toujours à Reims, placée en détention provisoire où elle aurait, selon une source judiciaire, avoué avoir secoué l’enfant « pour l’aider à déglutir ». « Une affaire grave » Au début de l’affaire, elle avait affirmé avoir retrouvé son bébé « inerte dans son lit ». Un changement de version qui ne jouerait pas en sa faveur selon des proches de la famille qui soulignent qu’elle est très affectée par le drame. Si elle est mise en examen pour violence volontaire sur mineur de moins de 15 ans ayant entraîné la mort sans intention de la donner, la mère encourt, en fonction des conséquences du geste : délit ou crime, de 5 ans de prison à 30 ans de réclusion criminelle. Du côté du parquet de Reims, on nous explique que l’enquête suit son cours et qu’il est encore trop tôt pour confirmer quoi que ce soit quand bien même l’autopsie du bébé ferait état de violences. Le parquet reconnaît cependant qu’il s’agit « d’une affaire grave » et « d’un dossier extrêmement délicat ».
http://www.lunion.presse.fr/accueil/bebe-secoue-les-soupcons-s-orientent-vers-la-mere-ia0b0n240539
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Que s’est-il passé dans la matinée du mercredi 1er octobre à Mouzon, pour que ces événements tragiques conduisent à la mort d’un nourrisson de quatre mois ? Pour l’instant c’est encore un mystère, mais l’enquête qui devra déterminer les circonstances du drame progresse. L’étau semble d’ailleurs se resserrer autour de la mère.
Absent au moment des faits, le père ne semble plus être inquiété bien que toujours placé sous contrôle judiciaire avec interdiction d’entrer en contact avec la mère ou sa famille. Joint par téléphone, il ne souhaite pas s’exprimer davantage sur le sujet. La mère, quant à elle, est toujours à Reims, placée en détention provisoire où elle aurait, selon une source judiciaire, avoué avoir secoué l’enfant « pour l’aider à déglutir ». « Une affaire grave » Au début de l’affaire, elle avait affirmé avoir retrouvé son bébé « inerte dans son lit ». Un changement de version qui ne jouerait pas en sa faveur selon des proches de la famille qui soulignent qu’elle est très affectée par le drame. Si elle est mise en examen pour violence volontaire sur mineur de moins de 15 ans ayant entraîné la mort sans intention de la donner, la mère encourt, en fonction des conséquences du geste : délit ou crime, de 5 ans de prison à 30 ans de réclusion criminelle. Du côté du parquet de Reims, on nous explique que l’enquête suit son cours et qu’il est encore trop tôt pour confirmer quoi que ce soit quand bien même l’autopsie du bébé ferait état de violences. Le parquet reconnaît cependant qu’il s’agit « d’une affaire grave » et « d’un dossier extrêmement délicat ».
http://www.lunion.presse.fr/accueil/bebe-secoue-les-soupcons-s-orientent-vers-la-mere-ia0b0n240539
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retrouvé mort
Un médecin de 56 ans retrouvé mort
Une importante opération a eu lieu, lundi 28 octobre 2013, autour de Bierry-les-Belles-Fontaines pour retrouver un homme. Son corps a été découvert en fin de journée dans le ru du Vau. Un hélicoptère, des plongeurs, un maître-chien et une vingtaine de gendarmes et des sapeurs-pompiers. Les habitants de Bierry-les-Belles-Fontaines ont vu se déployer un important dispositif de secours, dans leur petit village, lundi matin. Résident secondaire à Vignes Appelés vers 10 heures suite au signalement d’une voiture abandonnée depuis plus de 24 heures, les gendarmes recherchaient son propriétaire, porté disparu. Ils ont alors pris la direction du hameau de Chevigny-le-Désert où se sont concentrées les opérations de recherches. Le corps sans vie de Michel Mohn, âgé de 56 ans, a été retrouvé vers 17 heures dans une nappe d’eau du ru du Vau, le long de la route départementale 957. Les enquêteurs sont parvenus jusqu’au petit cours d’eau grâce à l’intervention de chiens de l’équipe cynophile de Nevers, spécialisés dans la recherche de personne. Si la thèse du suicide semble privilégiée, une expertise médico-légale déterminera les causes exactes du décès. Domicilié à Fribourg Michel Mohn était un médecin de nationalité allemande, domicilié à Fribourg avec son épouse et leurs huit enfants. « Il possédait une résidence secondaire dans le village de Vignes depuis une dizaine d’années », précise le maire de la commune, Jean-Louis Groguenin, qui a appris la mort du quinquagénaire hier matin. D’après l’élu, Michel Mohn était « une personne très gentille, appréciée et bien intégrée. Il organisait chaque été un concours de pétanque. »
http://www.lyonne.fr/yonne/actualite/pays/avallonnais/2013/10/30/un-medecin-de-56ans-retrouve-mort_1747767.html
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Une importante opération a eu lieu, lundi 28 octobre 2013, autour de Bierry-les-Belles-Fontaines pour retrouver un homme. Son corps a été découvert en fin de journée dans le ru du Vau. Un hélicoptère, des plongeurs, un maître-chien et une vingtaine de gendarmes et des sapeurs-pompiers. Les habitants de Bierry-les-Belles-Fontaines ont vu se déployer un important dispositif de secours, dans leur petit village, lundi matin. Résident secondaire à Vignes Appelés vers 10 heures suite au signalement d’une voiture abandonnée depuis plus de 24 heures, les gendarmes recherchaient son propriétaire, porté disparu. Ils ont alors pris la direction du hameau de Chevigny-le-Désert où se sont concentrées les opérations de recherches. Le corps sans vie de Michel Mohn, âgé de 56 ans, a été retrouvé vers 17 heures dans une nappe d’eau du ru du Vau, le long de la route départementale 957. Les enquêteurs sont parvenus jusqu’au petit cours d’eau grâce à l’intervention de chiens de l’équipe cynophile de Nevers, spécialisés dans la recherche de personne. Si la thèse du suicide semble privilégiée, une expertise médico-légale déterminera les causes exactes du décès. Domicilié à Fribourg Michel Mohn était un médecin de nationalité allemande, domicilié à Fribourg avec son épouse et leurs huit enfants. « Il possédait une résidence secondaire dans le village de Vignes depuis une dizaine d’années », précise le maire de la commune, Jean-Louis Groguenin, qui a appris la mort du quinquagénaire hier matin. D’après l’élu, Michel Mohn était « une personne très gentille, appréciée et bien intégrée. Il organisait chaque été un concours de pétanque. »
http://www.lyonne.fr/yonne/actualite/pays/avallonnais/2013/10/30/un-medecin-de-56ans-retrouve-mort_1747767.html
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infanticides
Drame familial: Sonia Blanchette citée à procès
Au terme de son enquête préliminaire, Sonia Blanchette a été citée à procès sous des accusations de meurtres prémédités. La juge Marie-Josée Ménard en a fait l'annonce mardi matin au palais de justice de Drummondville. Ses trois enfants, Lorélie, Loïc et Anaïs respectivement âgés de 5, 4 et 2 ans, ont été retrouvés sans vie, dans le logement de leur mère, le 2 décembre 2012. L'avocat de la défense réclamait que sa cliente soit jugée pour meurtre non prémédité, alors que la couronne plaidait pour meurtre prémédité. Au mois de janvier dernier, l'accusée avait été jugée apte à subir son procès à la suite d'une évaluation psychiatrique effectuée par un médecin du Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke (CHUS). Un coroner qui a examiné les causes de la mort des trois enfants a conclu que les deux plus jeunes victimes avaient vraisemblablement été noyées. Elles portaient des marques de contusions à l'extrémité du nez. La plus âgée serait décédée des suites d'une combinaison de noyade et d'asphyxie provoquée par un étranglement. Les rapports toxicologiques ont révélé qu'aucun des enfants n'avait ingéré de drogues.
http://quebec.huffingtonpost.ca/2013/10/29/drame-familial-sonia-blanchette-citee-a-proces_n_4173692.html
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(la mère aurait 33 ans - année critique intellectuelle i1 - mais situation le jour du drame inconnue, pour l'instant)
Au terme de son enquête préliminaire, Sonia Blanchette a été citée à procès sous des accusations de meurtres prémédités. La juge Marie-Josée Ménard en a fait l'annonce mardi matin au palais de justice de Drummondville. Ses trois enfants, Lorélie, Loïc et Anaïs respectivement âgés de 5, 4 et 2 ans, ont été retrouvés sans vie, dans le logement de leur mère, le 2 décembre 2012. L'avocat de la défense réclamait que sa cliente soit jugée pour meurtre non prémédité, alors que la couronne plaidait pour meurtre prémédité. Au mois de janvier dernier, l'accusée avait été jugée apte à subir son procès à la suite d'une évaluation psychiatrique effectuée par un médecin du Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke (CHUS). Un coroner qui a examiné les causes de la mort des trois enfants a conclu que les deux plus jeunes victimes avaient vraisemblablement été noyées. Elles portaient des marques de contusions à l'extrémité du nez. La plus âgée serait décédée des suites d'une combinaison de noyade et d'asphyxie provoquée par un étranglement. Les rapports toxicologiques ont révélé qu'aucun des enfants n'avait ingéré de drogues.
http://quebec.huffingtonpost.ca/2013/10/29/drame-familial-sonia-blanchette-citee-a-proces_n_4173692.html
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(la mère aurait 33 ans - année critique intellectuelle i1 - mais situation le jour du drame inconnue, pour l'instant)
maltraitance fatale
Un bébé de 18 mois meurt après avoir été battu à Arlon
Une fillette de 18 mois est arrivée dans un état critique aux services des urgences de la clinique d'Arlon hier dans l'après-midi. L'enfant présentait des multiples traces de coups, ce qui a immédiatement alerté les médecins. La petite fille est décédée de ses blessures peu après son arrivée à l'hôpital. Confié à l'instruction, le dossier ouvert pour maltraitance se tourne vers un suspect principal, à savoir le compagnon de la mère. C'est lui qui aurait porté les coups fatals, mais le parquet attend les résultats de l'autopsie pour se livrer à la moindre déclaration. Source : 7 sur 7 le 29 octobre 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18881&hl=
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Une fillette de 18 mois est arrivée dans un état critique aux services des urgences de la clinique d'Arlon hier dans l'après-midi. L'enfant présentait des multiples traces de coups, ce qui a immédiatement alerté les médecins. La petite fille est décédée de ses blessures peu après son arrivée à l'hôpital. Confié à l'instruction, le dossier ouvert pour maltraitance se tourne vers un suspect principal, à savoir le compagnon de la mère. C'est lui qui aurait porté les coups fatals, mais le parquet attend les résultats de l'autopsie pour se livrer à la moindre déclaration. Source : 7 sur 7 le 29 octobre 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18881&hl=
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battu
Tennis. Paris-Bercy : Tsonga rate son rendez-vous avec Gasquet
Jo-Wilfried Tsonga ne participera pas au Masters de Londres, compétition qui réunit les huit meilleurs tennismen de l'année. Le n°1 français, n°9 mondial, a été éliminé par le Japonais Kei Nishikori, 19e, en trois sets 6-1, 6-7 (4/7), 6-7 (7-9) mardi au deuxième tour du Masters 1000 de Paris-Bercy. Ce revers le met définitivement hors course pour le prestigieux tournoi de fin de saison.
Le chef de file du tennis tricolore peut nourrir de gros regrets après avoir obtenu deux balles de match dans le tie-break du troisième set. Il a commis une double-faute sur l'une d'elles. Pourtant solide dans ce registre et très agressif dans les échanges, le Français a remporté haut la main le premier set durant lequel son adversaire n'a pas résisté sous ses coups de boutoirs. Dans la deuxième manche, à 2-1 contre lui, Tsonga s'est soudainement déréglé pour concéder pour la première fois son service sur une double faute. Derrière, Nishikori n'a pas tremblé pour confirmer son break d'avance et mener 4 jeux à 1. (....)
http://www.leparisien.fr/sports/autres/tennis-paris-bercy-gasquet-est-bien-lance-29-10-2013-3269039.php
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match du soir si j'ai bien compris, car je ne l'ai pas suivi.
la situation cyclique des deux joueurs pourrait correspondre au résultat, mais je ne sais pas si elle est en cause, pourquoi pas... il serait intéressant de le savoir...
Tsonga est en jour neutre mardi... mais il entre dans son jour critique émotionnel E8 de mercredi dès le mardi soir aux alentours de 18 heures... cela pourrait expliquer son bon démarrage et sa défaite ensuite...
Nishikori se trouvait mardi dans son jour critique physique P12... (donc en principe désavantagé) mais il en sort le soir au alentours de 18 heures, lorsque se termine cette journée chronobiologique... du moins d'après ma théorie... et cela pourrait expliquer ses difficultés au début et sa prise de contrôle ensuite...
Jo-Wilfried Tsonga ne participera pas au Masters de Londres, compétition qui réunit les huit meilleurs tennismen de l'année. Le n°1 français, n°9 mondial, a été éliminé par le Japonais Kei Nishikori, 19e, en trois sets 6-1, 6-7 (4/7), 6-7 (7-9) mardi au deuxième tour du Masters 1000 de Paris-Bercy. Ce revers le met définitivement hors course pour le prestigieux tournoi de fin de saison.
Le chef de file du tennis tricolore peut nourrir de gros regrets après avoir obtenu deux balles de match dans le tie-break du troisième set. Il a commis une double-faute sur l'une d'elles. Pourtant solide dans ce registre et très agressif dans les échanges, le Français a remporté haut la main le premier set durant lequel son adversaire n'a pas résisté sous ses coups de boutoirs. Dans la deuxième manche, à 2-1 contre lui, Tsonga s'est soudainement déréglé pour concéder pour la première fois son service sur une double faute. Derrière, Nishikori n'a pas tremblé pour confirmer son break d'avance et mener 4 jeux à 1. (....)
http://www.leparisien.fr/sports/autres/tennis-paris-bercy-gasquet-est-bien-lance-29-10-2013-3269039.php
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match du soir si j'ai bien compris, car je ne l'ai pas suivi.
la situation cyclique des deux joueurs pourrait correspondre au résultat, mais je ne sais pas si elle est en cause, pourquoi pas... il serait intéressant de le savoir...
Tsonga est en jour neutre mardi... mais il entre dans son jour critique émotionnel E8 de mercredi dès le mardi soir aux alentours de 18 heures... cela pourrait expliquer son bon démarrage et sa défaite ensuite...
Nishikori se trouvait mardi dans son jour critique physique P12... (donc en principe désavantagé) mais il en sort le soir au alentours de 18 heures, lorsque se termine cette journée chronobiologique... du moins d'après ma théorie... et cela pourrait expliquer ses difficultés au début et sa prise de contrôle ensuite...
mardi 29 octobre 2013
rectifié
Blatter: "Je m'excuse pour mes déclarations"
Un brin pathétique, Sepp Blatter (77 ans), rattrapé par la polémique que ses déclarations pour le moins déplacées, faites au sujet de Cristiano Ronaldo lors d'une conférence donnée à l'université d'Oxford, ont provoquée, a fini par répondre aux attentes du Real Madrid.
Le club merengue, après que Cristiano Ronaldo lui-même avait réagi très dignement sur sa page Facebook, avait exigé du président de la Fifa qu'il présente ses excuses. Blatter s'est exécuté dans un communiqué adressé au club espagnol. "Pour moi, Cristiano Ronaldo est au même niveau que Lionel Messi. Ce sont deux joueurs extraordinaires, avec des qualités différentes. Je m'excuse pour mes déclarations. Je n'ai jamais voulu manquer de respect au Real Madrid, à l'un de ses joueurs ou à ses fans", souligne Blatter. " D'abord, parce que le Real est l'un des membres fondateurs du Mondial des clubs. Mais aussi parce que c'est l'équipe que je suis et que j'admire depuis mon enfance." Des explications dont on doute qu'elles suffiront à regagner le coeur des Madrilènes et de leur star portugaise.
http://www.sports.fr/football/divers/scans/blatter-finit-par-presenter-de-fumeuses-excuses-882587/
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peut-être des mots de période critique septennale ? en plus un jour critique physique P18/P19... :-)
Un brin pathétique, Sepp Blatter (77 ans), rattrapé par la polémique que ses déclarations pour le moins déplacées, faites au sujet de Cristiano Ronaldo lors d'une conférence donnée à l'université d'Oxford, ont provoquée, a fini par répondre aux attentes du Real Madrid.
Le club merengue, après que Cristiano Ronaldo lui-même avait réagi très dignement sur sa page Facebook, avait exigé du président de la Fifa qu'il présente ses excuses. Blatter s'est exécuté dans un communiqué adressé au club espagnol. "Pour moi, Cristiano Ronaldo est au même niveau que Lionel Messi. Ce sont deux joueurs extraordinaires, avec des qualités différentes. Je m'excuse pour mes déclarations. Je n'ai jamais voulu manquer de respect au Real Madrid, à l'un de ses joueurs ou à ses fans", souligne Blatter. " D'abord, parce que le Real est l'un des membres fondateurs du Mondial des clubs. Mais aussi parce que c'est l'équipe que je suis et que j'admire depuis mon enfance." Des explications dont on doute qu'elles suffiront à regagner le coeur des Madrilènes et de leur star portugaise.
http://www.sports.fr/football/divers/scans/blatter-finit-par-presenter-de-fumeuses-excuses-882587/
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peut-être des mots de période critique septennale ? en plus un jour critique physique P18/P19... :-)
forcené
Quimper. Le forcené de Kerfeunten s’enfuit de l’hôpital et agresse un homme
Le forcené armé, qui s’est jeté d’un balcon le 11 octobre, à Quimper (Finistère) s’est enfui de l’hôpital et a agressé un homme, la semaine dernière.
En fin de semaine dernière, le forcené de Kerfeunteun, âgé de 33 ans, s’est enfui de l’hôpital psychiatrique Étienne-Gourmelen où il était interné. Il a alors agressé un homme dans la rue le blessant légèrement. « Il est retourné de lui-même à l’hôpital sans avoir été interpellé », explique une source proche de l’enquête. L’homme s’était retranché trois heures dans son appartement de Kerfeunteun, vendredi 11 octobre, menaçant les policiers avec une machette. Il avait alors sauté du deuxième étage devant une centaine de riverains. Tombé lourdement sur le trottoir, il a été médicalisé sur place par le service mobile d’urgence et de réanimation (Smur) puis transporté dans un état grave au centre hospitalier de Quimper avant d’être interné d’office à l’hôpital Gourmelen.
http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Quimper.-Le-forcene-de-Kerfeunten-s-enfuit-de-l-hopital-et-agresse-un-homme_8619-2243935_actu.Htm
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on peut s'intéresser au jour critique émotionnel des personnes, et s'il est en cause (ce qui est fréquemment le cas), y accorder une attention particulière ensuite, pour tenter d'éviter les récidives : s'agissant d'un jour de pulsions hebdomadaire, les passages à l'acte ont alors lieu le même jour de la semaine.
pas de données connues ici, mais pas impossible que cela soit le cas si la seconde agression a également eu lieu vendredi ou éventuellement samedi... (11 octobre était vendredi)
(l'intéressé se trouve dans son année critique intellectuelle i1, importante année critique du cerveau et de la pensée).
Le forcené armé, qui s’est jeté d’un balcon le 11 octobre, à Quimper (Finistère) s’est enfui de l’hôpital et a agressé un homme, la semaine dernière.
En fin de semaine dernière, le forcené de Kerfeunteun, âgé de 33 ans, s’est enfui de l’hôpital psychiatrique Étienne-Gourmelen où il était interné. Il a alors agressé un homme dans la rue le blessant légèrement. « Il est retourné de lui-même à l’hôpital sans avoir été interpellé », explique une source proche de l’enquête. L’homme s’était retranché trois heures dans son appartement de Kerfeunteun, vendredi 11 octobre, menaçant les policiers avec une machette. Il avait alors sauté du deuxième étage devant une centaine de riverains. Tombé lourdement sur le trottoir, il a été médicalisé sur place par le service mobile d’urgence et de réanimation (Smur) puis transporté dans un état grave au centre hospitalier de Quimper avant d’être interné d’office à l’hôpital Gourmelen.
http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Quimper.-Le-forcene-de-Kerfeunten-s-enfuit-de-l-hopital-et-agresse-un-homme_8619-2243935_actu.Htm
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on peut s'intéresser au jour critique émotionnel des personnes, et s'il est en cause (ce qui est fréquemment le cas), y accorder une attention particulière ensuite, pour tenter d'éviter les récidives : s'agissant d'un jour de pulsions hebdomadaire, les passages à l'acte ont alors lieu le même jour de la semaine.
pas de données connues ici, mais pas impossible que cela soit le cas si la seconde agression a également eu lieu vendredi ou éventuellement samedi... (11 octobre était vendredi)
(l'intéressé se trouve dans son année critique intellectuelle i1, importante année critique du cerveau et de la pensée).
drame de la séparation
Eure : il tue son ex-compagne
Un drame de la séparation qui finit tragiquement. Un homme d’une trentaine d’année a poignardé lundi soir son ex-compagne suite à une dispute, dans la commune des Andelys (Eure). Selon les premiers éléments de l’enquête, la dispute aurait éclaté au sujet des modalités de garde de l’enfant du couple. Le suspect aurait poignardé son ex-compagne égalemment âgée d’une trentaine d’années, qui est décédée quelques minutes après l’arrivée des secours. Celui-ci a été mis en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie d’Evreux. « Les prochaines heures devraient permettre de connaître avec précision les raisons de ce geste», a déclaré mardi matin le parquet d’Evreux, joint par Le Parisien. Source : Le Parisien le 29 octobre 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18878&hl=
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Un drame de la séparation qui finit tragiquement. Un homme d’une trentaine d’année a poignardé lundi soir son ex-compagne suite à une dispute, dans la commune des Andelys (Eure). Selon les premiers éléments de l’enquête, la dispute aurait éclaté au sujet des modalités de garde de l’enfant du couple. Le suspect aurait poignardé son ex-compagne égalemment âgée d’une trentaine d’années, qui est décédée quelques minutes après l’arrivée des secours. Celui-ci a été mis en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie d’Evreux. « Les prochaines heures devraient permettre de connaître avec précision les raisons de ce geste», a déclaré mardi matin le parquet d’Evreux, joint par Le Parisien. Source : Le Parisien le 29 octobre 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18878&hl=
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drame
Froidfond (85). Elle tue son mari de plusieurs coups de couteau
Un homme de 32 ans a été tué par sa femme de 43 ans, dans la nuit de lundi à mardi, à Froidfond, près de Challans en Vendée.
Entre 23 h et minuit, une dispute sur fond d’alcool a dégénéré au domicile du couple. La femme a porté plusieurs coups de couteau à son mari, qui est décédé suite à ses blessures. Un ami du couple se trouvait sur place au moment du drame.
Mariés depuis trois semaines Une autopsie et des auditions sont en cours ce mardi. L’enquête devra notamment déterminer si la femme a porté les coups volontairement, ou s’il s’agit de légitime défense. Le couple était connu des services de police pour des problèmes de violence conjugale. Les conjoints étaient mariés depuis seulement trois semaines. Source: Ouest France le 29 octobre2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18879&hl=
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Un homme de 32 ans a été tué par sa femme de 43 ans, dans la nuit de lundi à mardi, à Froidfond, près de Challans en Vendée.
Entre 23 h et minuit, une dispute sur fond d’alcool a dégénéré au domicile du couple. La femme a porté plusieurs coups de couteau à son mari, qui est décédé suite à ses blessures. Un ami du couple se trouvait sur place au moment du drame.
Mariés depuis trois semaines Une autopsie et des auditions sont en cours ce mardi. L’enquête devra notamment déterminer si la femme a porté les coups volontairement, ou s’il s’agit de légitime défense. Le couple était connu des services de police pour des problèmes de violence conjugale. Les conjoints étaient mariés depuis seulement trois semaines. Source: Ouest France le 29 octobre2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18879&hl=
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trafic
Trafic à la prison de Borgo : une surveillante incarcérée
Une gardienne de prison, soupçonnée d'avoir participé à un trafic au centre pénitentiaire de Borgo, en Haute-Corse, a été écrouée et transférée mardi à la prison des Baumettes à Marseille. Bénédicte Bourgeais a été écrouée puis transférée mardi au centre pénitentiaire des Baumettes à Marseille.
Mise en examen la semaine dernière pour "remise illicite d'objets" à des prisonniers et "corruption passive par personne exécutant une fonction publique", cette surveillante à la maison d'arrêt de Borgo, en Haute-Corse, est soupçonnée d'avoir introduit, dans la prision, des téléphones portables, de l'alcool et de la drogue au profit des détenus en 2012 et 2013. (.....)
http://www.franceinfo.fr/justice/trafic-a-la-prison-de-borgo-une-surveillante-incarceree-1194365-2013-10-29
110377
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Une gardienne de prison, soupçonnée d'avoir participé à un trafic au centre pénitentiaire de Borgo, en Haute-Corse, a été écrouée et transférée mardi à la prison des Baumettes à Marseille. Bénédicte Bourgeais a été écrouée puis transférée mardi au centre pénitentiaire des Baumettes à Marseille.
Mise en examen la semaine dernière pour "remise illicite d'objets" à des prisonniers et "corruption passive par personne exécutant une fonction publique", cette surveillante à la maison d'arrêt de Borgo, en Haute-Corse, est soupçonnée d'avoir introduit, dans la prision, des téléphones portables, de l'alcool et de la drogue au profit des détenus en 2012 et 2013. (.....)
http://www.franceinfo.fr/justice/trafic-a-la-prison-de-borgo-une-surveillante-incarceree-1194365-2013-10-29
110377
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fusillade
5 killed in Dallas-area shootings; suspect arrested
Police arrested a 36-year-old man early Tuesday in a wooded area east of Dallas after he allegedly went on a shooting spree, killing five people in four different locations the small east Texas town of Terrell.
http://www.usatoday.com/story/news/nation/2013/10/29/dallas-texas-slayings/3294097/
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un individu de 36 ans aurait été arrêté pour avoir tué cinq personnes à Dallas aux USA.
Police arrested a 36-year-old man early Tuesday in a wooded area east of Dallas after he allegedly went on a shooting spree, killing five people in four different locations the small east Texas town of Terrell.
http://www.usatoday.com/story/news/nation/2013/10/29/dallas-texas-slayings/3294097/
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un individu de 36 ans aurait été arrêté pour avoir tué cinq personnes à Dallas aux USA.
pédophilie
Razzia bei CDU-Geschäftsführer
Der Geschäftsführer der Frankfurter CDU steht im Verdacht des Besitzes von Kinderpornografie. Die Polizei ließ seine Büro- und Privaträume durchsuchen.
Für die Frankfurter CDU ist es eine böse Überraschung: Ihr Geschäftsführer Christian Wernet steht unter dem Verdacht des Besitzes von Kinderpornografie. Die CDU-Kreisgeschäftsstelle an der Hanauer Landstraße in Frankfurt und die Wohnung des 43-Jährigen in Niddatal wurden bereits am Montag von der Polizei durchsucht. Die Beamten beschlagnahmten unter anderem Computer und CDs. Wernet ist aber weiter auf freiem Fuß.
Von Aufgaben entbunden Die CDU hatte selbst die Polizei eingeschaltet, wie der Kreisvorsitzende Uwe Becker am Dienstagmorgen sagte. Mitarbeitern waren offenbar einschlägige Darstellungen auf dem Computer des Parteimanagers aufgefallen. Sie informierten CDU-Chef Becker, der sich an die Polizei wandte. Dies geschah, wie Becker der FR sagte, schon vor den Herbstferien. Wegen des Ermittlungsverfahrens der Staatsanwaltschaft hat die CDU Wernet von allen Aufgaben in der Partei entbunden. Dazu war der CDU-Kreisvorstand zu einer Sondersitzung zusammengekommen. Becker selbst teilte dem Parteimanager die Entscheidung mit. Über seine Reaktion wollte der CDU-Kreisvorsitzende mit Blick auf die Ermittlungen nichts sagen. Der CDU-Politiker ist auch noch Ortsvorsteher des Frankfurter Ortsbezirks 7 (Hausen, Industriehof, Praunheim, Rödelheim, Westhausen). Über dieses Amt werde es in Kürze Gespräche mit Wernet geben, kündigte Becker an.
http://www.fr-online.de/frankfurt/kinderpornografie-cdu-frankfurt-razzia-bei-cdu-geschaeftsfuehrer,1472798,24817220.html
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un responsable de la CDU de Francfort âgé de 43 ans a été destitué et une enquête pour détention de matériel pédopornographique est en cours.
Der Geschäftsführer der Frankfurter CDU steht im Verdacht des Besitzes von Kinderpornografie. Die Polizei ließ seine Büro- und Privaträume durchsuchen.
Für die Frankfurter CDU ist es eine böse Überraschung: Ihr Geschäftsführer Christian Wernet steht unter dem Verdacht des Besitzes von Kinderpornografie. Die CDU-Kreisgeschäftsstelle an der Hanauer Landstraße in Frankfurt und die Wohnung des 43-Jährigen in Niddatal wurden bereits am Montag von der Polizei durchsucht. Die Beamten beschlagnahmten unter anderem Computer und CDs. Wernet ist aber weiter auf freiem Fuß.
Von Aufgaben entbunden Die CDU hatte selbst die Polizei eingeschaltet, wie der Kreisvorsitzende Uwe Becker am Dienstagmorgen sagte. Mitarbeitern waren offenbar einschlägige Darstellungen auf dem Computer des Parteimanagers aufgefallen. Sie informierten CDU-Chef Becker, der sich an die Polizei wandte. Dies geschah, wie Becker der FR sagte, schon vor den Herbstferien. Wegen des Ermittlungsverfahrens der Staatsanwaltschaft hat die CDU Wernet von allen Aufgaben in der Partei entbunden. Dazu war der CDU-Kreisvorstand zu einer Sondersitzung zusammengekommen. Becker selbst teilte dem Parteimanager die Entscheidung mit. Über seine Reaktion wollte der CDU-Kreisvorsitzende mit Blick auf die Ermittlungen nichts sagen. Der CDU-Politiker ist auch noch Ortsvorsteher des Frankfurter Ortsbezirks 7 (Hausen, Industriehof, Praunheim, Rödelheim, Westhausen). Über dieses Amt werde es in Kürze Gespräche mit Wernet geben, kündigte Becker an.
http://www.fr-online.de/frankfurt/kinderpornografie-cdu-frankfurt-razzia-bei-cdu-geschaeftsfuehrer,1472798,24817220.html
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un responsable de la CDU de Francfort âgé de 43 ans a été destitué et une enquête pour détention de matériel pédopornographique est en cours.
bébé secoué
Un homme arrêté pour avoir présumément violenté un bébé
Un homme de 28 ans, responsable d'une garderie de Saint-François-Xavier-de-Brompton, a été arrêté jeudi dernier pour avoir violenté un bébé dont il avait la garde. C'est la mère du bambin qui aurait fait le signalement auprès des policiers de la Sûreté du Québec. Elle a dû aller chercher l'enfant à la garderie alors qu'il souffrait de vomissement, mais après un examen à l'hopital, les médecins ont découvert trois fractures aux côtes et une au poignet. L'enquête rapide menée par les enquêteurs de la Division des enquêtes régionales de l'Estrie a permis de procéder à l'arrestation du suspect le lendemain du signalement. L'homme comparaîtra aujourd'hui au palais de justice de Sherbrooke pour être formellement accusé de voies de fait causant des lésions corporelles.
http://www.985fm.ca/regional/nouvelles/un-homme-arrete-pour-avoir-presumement-violente-un-277061.html
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Un homme de 28 ans, responsable d'une garderie de Saint-François-Xavier-de-Brompton, a été arrêté jeudi dernier pour avoir violenté un bébé dont il avait la garde. C'est la mère du bambin qui aurait fait le signalement auprès des policiers de la Sûreté du Québec. Elle a dû aller chercher l'enfant à la garderie alors qu'il souffrait de vomissement, mais après un examen à l'hopital, les médecins ont découvert trois fractures aux côtes et une au poignet. L'enquête rapide menée par les enquêteurs de la Division des enquêtes régionales de l'Estrie a permis de procéder à l'arrestation du suspect le lendemain du signalement. L'homme comparaîtra aujourd'hui au palais de justice de Sherbrooke pour être formellement accusé de voies de fait causant des lésions corporelles.
http://www.985fm.ca/regional/nouvelles/un-homme-arrete-pour-avoir-presumement-violente-un-277061.html
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disparition ancienne
Disparue de Bousbecque : la maison de Jeanne n’a pas livré tous ses secrets
Deux enquêtes menées par la rédaction à 13 ans d’intervalle ne révéleront jamais les derniers secrets entourant la disparition de Jeanne Vanoverberghe en 1970. Avec la vente de sa maison abandonnée, l’histoire va pourtant se refermer…
C’est peut-être la fin d’une histoire que (presque) tous les Bousbecquois connaissent. Laissant pourtant une part de mystère qui ne sera jamais résolue. Quarante-trois ans après la disparition de Jeanne Vanoverberghe, un matin d’avril 1970, ce dossier va pouvoir se refermer, avec la vente de sa maison abandonnée. Les circonstances de cette disparition n’auront jamais été élucidées. Le corps repêché dans la Lys quelques semaines plus tard, à Bissegem en Belgique, ne sera jamais reconnu par un tiers. « Visage méconnaissable, endommagé par les bateaux », peut-on lire sur l’acte de décès de cette « personne inconnue de sexe féminin ». Même si l’acte détaille la physionomie et la tenue dans la laquelle elle a été retrouvée, ainsi que ces « huit médailles religieuses attachées à la chemise ». (...)
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18871&hl=
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pas trouvé la date précise de la disparition de cette personne... née le 9 mai 1904...
(son jour critique émotionnel est le lundi... les disparitions ont tendance à arriver ce jour-là ou un jour à côté...)
C’est peut-être la fin d’une histoire que (presque) tous les Bousbecquois connaissent. Laissant pourtant une part de mystère qui ne sera jamais résolue. Quarante-trois ans après la disparition de Jeanne Vanoverberghe, un matin d’avril 1970, ce dossier va pouvoir se refermer, avec la vente de sa maison abandonnée. Les circonstances de cette disparition n’auront jamais été élucidées. Le corps repêché dans la Lys quelques semaines plus tard, à Bissegem en Belgique, ne sera jamais reconnu par un tiers. « Visage méconnaissable, endommagé par les bateaux », peut-on lire sur l’acte de décès de cette « personne inconnue de sexe féminin ». Même si l’acte détaille la physionomie et la tenue dans la laquelle elle a été retrouvée, ainsi que ces « huit médailles religieuses attachées à la chemise ». (...)
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18871&hl=
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pas trouvé la date précise de la disparition de cette personne... née le 9 mai 1904...
(son jour critique émotionnel est le lundi... les disparitions ont tendance à arriver ce jour-là ou un jour à côté...)
tragique
Couple retrouvé mort, à Tourcoing : l’enquête se poursuit pour comprendre l’origine du drame
*Les époux Dumoulin, âgés de 69 et 73 ans, ont été retrouvés morts mercredi soir à leur domicile de la rue des Orions.
Selon les premiers éléments de l’enquête, l’homme aurait tué sa femme avant de mettre fin à ses jours. Les corps de deux septuagénaires ont été retrouvés sans vie à leur domicile de la rue des Orions. (...). Une lettre expliquant qu’il aurait tué sa femme avant de mettre fin à ses jours sans toutefois donner d’explications sur ce qui a pu motiver ce geste. C’est à l’étage que les deux corps ont été découverts. La mère a été retrouvée morte dans son lit, vraisemblablement victime de coups. Quant au père de famille, il a été retrouvé pendu dans la maison. Les corps des deux victimes ont été transportés à l’institut médico-légal pour y être autopsiés. Les enquêteurs ont procédé à de nombreux relevés de traces et indices dans toutes les pièces de la maison. Ils cherchent désormais à comprendre ce qui aurait pu amener ce couple sans histoire à disparaître de façon si tragique. Source : Nord Eclair le 25 octobre 2013
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les impulsions de nos cycles psychiques sont très souvent à l'origine d'un scénario dramatique... ici l'épouse entrait dans sa période critique septennale des 70 ans, ce qui est un premier élément : ensuite l'un des deux - souvent l'auteur d'un drame - se trouve par ailleurs dans ou à côté de son jour critique émotionnel (1), qui est un jour à risque de fortes tensions pouvant hélas devenir "explosives" en cas de conflit, si on n'y prend garde... à vérifier au moyen d'un regard sur la situation cyclique des personnes...
(1) http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/p/prevention.html
Selon les premiers éléments de l’enquête, l’homme aurait tué sa femme avant de mettre fin à ses jours. Les corps de deux septuagénaires ont été retrouvés sans vie à leur domicile de la rue des Orions. (...). Une lettre expliquant qu’il aurait tué sa femme avant de mettre fin à ses jours sans toutefois donner d’explications sur ce qui a pu motiver ce geste. C’est à l’étage que les deux corps ont été découverts. La mère a été retrouvée morte dans son lit, vraisemblablement victime de coups. Quant au père de famille, il a été retrouvé pendu dans la maison. Les corps des deux victimes ont été transportés à l’institut médico-légal pour y être autopsiés. Les enquêteurs ont procédé à de nombreux relevés de traces et indices dans toutes les pièces de la maison. Ils cherchent désormais à comprendre ce qui aurait pu amener ce couple sans histoire à disparaître de façon si tragique. Source : Nord Eclair le 25 octobre 2013
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les impulsions de nos cycles psychiques sont très souvent à l'origine d'un scénario dramatique... ici l'épouse entrait dans sa période critique septennale des 70 ans, ce qui est un premier élément : ensuite l'un des deux - souvent l'auteur d'un drame - se trouve par ailleurs dans ou à côté de son jour critique émotionnel (1), qui est un jour à risque de fortes tensions pouvant hélas devenir "explosives" en cas de conflit, si on n'y prend garde... à vérifier au moyen d'un regard sur la situation cyclique des personnes...
(1) http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/p/prevention.html
violences
Un Liégeois menace de tuer son ex s'il n'est pas incarcéré, il est libéré
Un Liégeois de 26 ans a été déféré lundi au Parquet de Liège pour des violences conjugales commises sur son ex-compagne. Il s'est livré dimanche en soirée à la police, demandant à être incarcéré. Il menaçait de tuer son ex-compagne s'il restait libre. Le parquet a toutefois décidé lundi de remettre l'individu en liberté. Dimanche vers 14 heures, une Sérésienne a contacté la police car son ex-compagnon tentait de rentrer dans son domicile. Une patrouille s'est rendue sur place. Le jeune homme a été amené au commissariat car son véhicule était muni de plaques d'immatriculation volées et il n'était pas assuré. A peine sorti du commissariat, le Liégeois a menacé son ex-compagne par SMS. Vers 17 heures, il est revenu au domicile de son ex et a porté des coups à celle-ci. La victime présentait des rougeurs à l'avant-bras et au poignet. Peu après 19 heures, le Liégeois de 26 ans s'est livré à la police. Il a demandé son incarcération, en vain. Remis en liberté lundi, l'homme comparaîtra prochainement, dans le cadre d'une procédure accélérée."
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=42656
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peut-être voir, et mettre en garde, s'il y a un lien avec le jour critique émotionnel, jour des "débordements", voire des explosions...
mais certains se sentent mieux en prison... :-)
Un Liégeois de 26 ans a été déféré lundi au Parquet de Liège pour des violences conjugales commises sur son ex-compagne. Il s'est livré dimanche en soirée à la police, demandant à être incarcéré. Il menaçait de tuer son ex-compagne s'il restait libre. Le parquet a toutefois décidé lundi de remettre l'individu en liberté. Dimanche vers 14 heures, une Sérésienne a contacté la police car son ex-compagnon tentait de rentrer dans son domicile. Une patrouille s'est rendue sur place. Le jeune homme a été amené au commissariat car son véhicule était muni de plaques d'immatriculation volées et il n'était pas assuré. A peine sorti du commissariat, le Liégeois a menacé son ex-compagne par SMS. Vers 17 heures, il est revenu au domicile de son ex et a porté des coups à celle-ci. La victime présentait des rougeurs à l'avant-bras et au poignet. Peu après 19 heures, le Liégeois de 26 ans s'est livré à la police. Il a demandé son incarcération, en vain. Remis en liberté lundi, l'homme comparaîtra prochainement, dans le cadre d'une procédure accélérée."
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=42656
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peut-être voir, et mettre en garde, s'il y a un lien avec le jour critique émotionnel, jour des "débordements", voire des explosions...
mais certains se sentent mieux en prison... :-)
aveux
Le meurtrier présumé du square du Temple à Paris est passé aux aveux
Un jeune de 20 ans a reconnu avoir asséné le coup de bûche qui a tué un homme dans la nuit de mardi à mercredi dernier dans le marais. Le corps sans vie de la victime avait été retrouvé au petit matin par le gardien du square du Temple (3e). Après plusieurs heures de garde à vue, il est passé aux aveux.
Dimanche soir, un jeune de 20 ans a été mis en examen et placé en détention provisoire pour "homicide volontaire" dans le cadre de l'enquête sur la mort d'un homme de 26 ans découvert mercredi 23 octobre square du Temple (3e). Alcool et cocaïne Le meurtrier présumé était sans-abri. Il avait été interpellé jeudi en fin d'après-midi dans le 15e arrondissement après s'être vanté auprès d'autres SDF d'avoir tué un homme à l'aide d'une bûche. "Le suspect et la victime ne se connaissaient pas, indique une source proche du dossier. Ils se sont rencontrés la veille du drame, probablement à proximité du square du Temple. Ils ont partagé alcool et cocaïne et se sont ensuite disputés. Après un échange verbal violent, le suspect a asséné un coup fatal au jeune de 26 ans. Il a reconnu les faits". Mercredi, un SDF de 47 ans avait été interpellé dans le cadre de cette affaire. Sa garde à vue avait finalement été levée jeudi soir." Un article d'Aurélie Sarrot.
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=42658
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Un jeune de 20 ans a reconnu avoir asséné le coup de bûche qui a tué un homme dans la nuit de mardi à mercredi dernier dans le marais. Le corps sans vie de la victime avait été retrouvé au petit matin par le gardien du square du Temple (3e). Après plusieurs heures de garde à vue, il est passé aux aveux.
Dimanche soir, un jeune de 20 ans a été mis en examen et placé en détention provisoire pour "homicide volontaire" dans le cadre de l'enquête sur la mort d'un homme de 26 ans découvert mercredi 23 octobre square du Temple (3e). Alcool et cocaïne Le meurtrier présumé était sans-abri. Il avait été interpellé jeudi en fin d'après-midi dans le 15e arrondissement après s'être vanté auprès d'autres SDF d'avoir tué un homme à l'aide d'une bûche. "Le suspect et la victime ne se connaissaient pas, indique une source proche du dossier. Ils se sont rencontrés la veille du drame, probablement à proximité du square du Temple. Ils ont partagé alcool et cocaïne et se sont ensuite disputés. Après un échange verbal violent, le suspect a asséné un coup fatal au jeune de 26 ans. Il a reconnu les faits". Mercredi, un SDF de 47 ans avait été interpellé dans le cadre de cette affaire. Sa garde à vue avait finalement été levée jeudi soir." Un article d'Aurélie Sarrot.
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=42658
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tuile
Monfils, la tuile
Gaël Monfils a dû déclarer forfait pour Bercy.
Battu au premier tour du tournoi de Valence la semaine dernière par David Ferrer (6-3, 6-2), Gaël Monfils pensait finir sa saison sur une bonne note au Masters 1000 de Paris-Bercy. Mais le 31e joueur mondial a dû déclarer forfait, victime d’une entorse du poignet gauche.
Gaël Monfils a décidément vécu une année 2013 bien compliquée. Bien décidé à tirer son épingle du jeu à Bercy cette semaine, après deux éliminations au premier tour coup sur coup face à Jaroslav Pospisil à Vienne et face à David Ferrer à Valence, le Français n’a même pas pu participer au premier tour du Masters 1000 parisien. Ce dernier a en effet été contraint de déclarer forfait lundi soir, à la veille de son entrée en lice face à Vasek Pospisil, en raison d’une entorse du poignet gauche, survenue dans l’après-midi lors de l’échauffement précédant son match de double qu’il a néanmoins disputé et perdu aux côtés d’Adrian Mannarino, face à la paire franco-française Chardy-Simon. "J’ai fait une chute pendant mon échauffement avec Tursunov, avant de disputer mon double,a expliqué Monfils.J’ai passé une IRM qui a révélé que je souffrais d’une entorse du poignet gauche. Ma saison est terminée. C’est frustrant, parce que j’avais beaucoup d’espoirs en arrivant ici." Seule bonne nouvelle pour lui, les vacances arrivent plus tôt que prévues.
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lui aussi son jour critique émotionnel c'est le lundi : doublé hier d'un jour critique physique P7...
(contre Pospisil c'était un jour critique physique P18, alors que contre Ferrer c'était jour neutre toutefois le lendemain d'un jour "fort" comme l'est le jour critique physique P1)
Monfils entre en début d'année prochaine dans sa période critique septennale des 28 ans.
Battu au premier tour du tournoi de Valence la semaine dernière par David Ferrer (6-3, 6-2), Gaël Monfils pensait finir sa saison sur une bonne note au Masters 1000 de Paris-Bercy. Mais le 31e joueur mondial a dû déclarer forfait, victime d’une entorse du poignet gauche.
Gaël Monfils a décidément vécu une année 2013 bien compliquée. Bien décidé à tirer son épingle du jeu à Bercy cette semaine, après deux éliminations au premier tour coup sur coup face à Jaroslav Pospisil à Vienne et face à David Ferrer à Valence, le Français n’a même pas pu participer au premier tour du Masters 1000 parisien. Ce dernier a en effet été contraint de déclarer forfait lundi soir, à la veille de son entrée en lice face à Vasek Pospisil, en raison d’une entorse du poignet gauche, survenue dans l’après-midi lors de l’échauffement précédant son match de double qu’il a néanmoins disputé et perdu aux côtés d’Adrian Mannarino, face à la paire franco-française Chardy-Simon. "J’ai fait une chute pendant mon échauffement avec Tursunov, avant de disputer mon double,a expliqué Monfils.J’ai passé une IRM qui a révélé que je souffrais d’une entorse du poignet gauche. Ma saison est terminée. C’est frustrant, parce que j’avais beaucoup d’espoirs en arrivant ici." Seule bonne nouvelle pour lui, les vacances arrivent plus tôt que prévues.
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lui aussi son jour critique émotionnel c'est le lundi : doublé hier d'un jour critique physique P7...
(contre Pospisil c'était un jour critique physique P18, alors que contre Ferrer c'était jour neutre toutefois le lendemain d'un jour "fort" comme l'est le jour critique physique P1)
Monfils entre en début d'année prochaine dans sa période critique septennale des 28 ans.
défait
Masters Paris-Bercy : Benoît Paire fustige le public "d'abrutis"
Le Français Benoît Paire s’est incliné au premier tour de Paris-Bercy face à son compatriote Pierre-Hugues Herbert, issu des qualifications (6-2, 6-2). Victime des sifflets du public, il s’en est pris aux "abrutis qui n’y connaissent rien."
Benoît Paire n’a pas l’habitude de mâcher ses mots, il l’a une nouvelle fois montré lundi 27 octobre. Défait sèchement par son compatriote tricolore Pierre-Hugues Herbert lors du premier tour du Masters de Paris-Bercy (6-2, 6-2), l’Avignonnais s’en est pris au public parisien qui l’a sifflé tout au long du match.
(.....) D’autant que le comportement de Benoît Paire n’a pas été irréprochable, le Français fracassant une raquette de rage ou portant le doigt devant sa bouche pour faire mine au public de se taire après avoir remporté un joli point.
http://www.france24.com/fr/20131029-benoit-paire-masters-paris-bercy-public-abrutis-tennis-atp-bnp-paribas-pierre-hugues-herbert
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c'est en quelque sorte un cercle vicieux : le public ressent le jour critique émotionnel du joueur (E8 ce lundi pour Benoît Paire) et le joueur réagit en fonction de la croissance de sa mauvaise humeur et sa colère...
on peut tenter d'éviter cela en se rappelant que l'on se trouve dans son jour critique (toujours le lundi pour Paire) et en prenant garde à ses réactions, ce jour-là. difficile, par contre d'éviter de possibles difficultés au jeu puisqu'il s'agit carrément d'un jour de tensions d'intensité variable.
Le Français Benoît Paire s’est incliné au premier tour de Paris-Bercy face à son compatriote Pierre-Hugues Herbert, issu des qualifications (6-2, 6-2). Victime des sifflets du public, il s’en est pris aux "abrutis qui n’y connaissent rien."
Benoît Paire n’a pas l’habitude de mâcher ses mots, il l’a une nouvelle fois montré lundi 27 octobre. Défait sèchement par son compatriote tricolore Pierre-Hugues Herbert lors du premier tour du Masters de Paris-Bercy (6-2, 6-2), l’Avignonnais s’en est pris au public parisien qui l’a sifflé tout au long du match.
(.....) D’autant que le comportement de Benoît Paire n’a pas été irréprochable, le Français fracassant une raquette de rage ou portant le doigt devant sa bouche pour faire mine au public de se taire après avoir remporté un joli point.
http://www.france24.com/fr/20131029-benoit-paire-masters-paris-bercy-public-abrutis-tennis-atp-bnp-paribas-pierre-hugues-herbert
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c'est en quelque sorte un cercle vicieux : le public ressent le jour critique émotionnel du joueur (E8 ce lundi pour Benoît Paire) et le joueur réagit en fonction de la croissance de sa mauvaise humeur et sa colère...
on peut tenter d'éviter cela en se rappelant que l'on se trouve dans son jour critique (toujours le lundi pour Paire) et en prenant garde à ses réactions, ce jour-là. difficile, par contre d'éviter de possibles difficultés au jeu puisqu'il s'agit carrément d'un jour de tensions d'intensité variable.
lundi 28 octobre 2013
décès
Mort de Lou Reed, légende du rock
Lou Reed, le leader du fameux groupe Velvet Underground dans les années 1960-1970, est décédé à l'âge de 71 ans.
Le magazine «Rolling Stone» a été le premier à annoncer la nouvelle. En mai dernier, le chanteur avait subi une greffe de foie. Son épouse, Laurie Anderson, affirmait alors que cette opération chirurgicale avait «sauvé la vie» de son mari. Le leader du fameux groupe Velvet Underground dans les années 1960-1970 avait subi une intervention «lourde» qui s'était très bien passée. «Je ne pense pas qu'il s'en remettra totalement, mais il reprendra des activités dans quelques mois. Il s'est déjà mis au Tai Chi», assurait Laurie Anderson, qui partageait la vie de Lou Reed depuis une vingtaine d'années. Le couple résidait à New York. L'interprète du tube planétaire «Perfect Day» n'avait jamais caché ses problèmes avec la drogue et l'alcool dans le passé. «J'ai essayé de me débarrasser de la drogue en buvant», écrivait-il en 1992. «Mais ça n'a pas marché». (...)
http://www.leparisien.fr/musique/mort-de-lou-reed-legende-du-rock-27-10-2013-3263363.php
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(Lou Reed est décédé la veille de son jour critique émotionnel E22, à 71 ans et 8 mois).
Lou Reed, le leader du fameux groupe Velvet Underground dans les années 1960-1970, est décédé à l'âge de 71 ans.
Le magazine «Rolling Stone» a été le premier à annoncer la nouvelle. En mai dernier, le chanteur avait subi une greffe de foie. Son épouse, Laurie Anderson, affirmait alors que cette opération chirurgicale avait «sauvé la vie» de son mari. Le leader du fameux groupe Velvet Underground dans les années 1960-1970 avait subi une intervention «lourde» qui s'était très bien passée. «Je ne pense pas qu'il s'en remettra totalement, mais il reprendra des activités dans quelques mois. Il s'est déjà mis au Tai Chi», assurait Laurie Anderson, qui partageait la vie de Lou Reed depuis une vingtaine d'années. Le couple résidait à New York. L'interprète du tube planétaire «Perfect Day» n'avait jamais caché ses problèmes avec la drogue et l'alcool dans le passé. «J'ai essayé de me débarrasser de la drogue en buvant», écrivait-il en 1992. «Mais ça n'a pas marché». (...)
http://www.leparisien.fr/musique/mort-de-lou-reed-legende-du-rock-27-10-2013-3263363.php
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(Lou Reed est décédé la veille de son jour critique émotionnel E22, à 71 ans et 8 mois).
drame conjugal
Mann tötet Ehefrau und sich selbst
Familiendrama in Oberschleißheim (Kreis München): Ein 48-Jähriger hat seine Ehefrau erstochen und sich selbst getötet. Nach bisherigen Ermittlungen soll sich die Tat am Freitagnachmittag in der gemeinsamen Wohnung in einem Hochhaus abgespielt haben. Gegen 17.20 Uhr war eines der drei erwachsenen Kinder zur Wohnung gekommen, um nach den Eltern zu schauen – die waren bereits tot. Nachdem beide offensichtlich an Stich- und Schnittverletzungen gestorben waren, übernahm die Mordkommission. Der Mann soll seine 45 Jahre alte Ehefrau erstochen und sich selbst mit dem Messer umgebracht haben. Die Spuren deuten darauf hin, dass die Frau nicht freiwillig aus dem Leben geschieden war. Das Motiv für die Tat ist bislang unklar. Nach Informationen unserer Zeitung soll der 48-Jährige aber an einer psychischen Erkrankung gelitten haben. Die Ermittlungen der Polizei dauern an. sri
http://www.ovb-online.de/bayern/mann-toetet-ehefrau-sich-selbst-3188970.html
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un homme âgé de 48 ans aurait poignardé son épouse puis se serait suicidé.
Familiendrama in Oberschleißheim (Kreis München): Ein 48-Jähriger hat seine Ehefrau erstochen und sich selbst getötet. Nach bisherigen Ermittlungen soll sich die Tat am Freitagnachmittag in der gemeinsamen Wohnung in einem Hochhaus abgespielt haben. Gegen 17.20 Uhr war eines der drei erwachsenen Kinder zur Wohnung gekommen, um nach den Eltern zu schauen – die waren bereits tot. Nachdem beide offensichtlich an Stich- und Schnittverletzungen gestorben waren, übernahm die Mordkommission. Der Mann soll seine 45 Jahre alte Ehefrau erstochen und sich selbst mit dem Messer umgebracht haben. Die Spuren deuten darauf hin, dass die Frau nicht freiwillig aus dem Leben geschieden war. Das Motiv für die Tat ist bislang unklar. Nach Informationen unserer Zeitung soll der 48-Jährige aber an einer psychischen Erkrankung gelitten haben. Die Ermittlungen der Polizei dauern an. sri
http://www.ovb-online.de/bayern/mann-toetet-ehefrau-sich-selbst-3188970.html
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un homme âgé de 48 ans aurait poignardé son épouse puis se serait suicidé.
suicide
Deux ans après sa condamnation et dans l’attente d’un procès en appel, Franck Gauthier a mis fin à ses jours à la maison d’arrêt d’Épinal où son corps a été retrouvé.
Il a été retrouvé à 1 h dans la nuit de samedi à dimanche, pendu avec ses draps dans une cellule qu’il occupait seul. « Il était placé sous surveillance spéciale », nous confiait pourtant une source hier. Franck Gauthier, 41 ans, avait été condamné à 30 ans de réclusion criminelle par la cour d’assises des Vosges en septembre 2011. Pour tentative d’assassinat et actes de torture et barbarie sur sa concubine.
http://www.vosgesmatin.fr/vosges/2013/10/28/retrouve-mort-dans-sa-cellule
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suicide à l'entrée dans la période critique septennale des 42 ans ?
(ce drame particulièrement horrible est apparemment un drame de la période critique septennale des 35 ans).
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2011/09/15/defiguree-a-l-acide-sulfurique
Il a été retrouvé à 1 h dans la nuit de samedi à dimanche, pendu avec ses draps dans une cellule qu’il occupait seul. « Il était placé sous surveillance spéciale », nous confiait pourtant une source hier. Franck Gauthier, 41 ans, avait été condamné à 30 ans de réclusion criminelle par la cour d’assises des Vosges en septembre 2011. Pour tentative d’assassinat et actes de torture et barbarie sur sa concubine.
http://www.vosgesmatin.fr/vosges/2013/10/28/retrouve-mort-dans-sa-cellule
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suicide à l'entrée dans la période critique septennale des 42 ans ?
(ce drame particulièrement horrible est apparemment un drame de la période critique septennale des 35 ans).
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2011/09/15/defiguree-a-l-acide-sulfurique
fusillade
Cinq morts dans une fusillade à Phoenix
Les identités des victimes et les motivations du tireur doivent encore être déterminées.
La police américaine a fait une macabre découverte samedi dans un complexe à appartements de Phoenix, à l'ouest des Etats-Unis. Une fusillade a eu lieu dans plusieurs appartements. Dans l'un d'eux, les agents ont trouvé le corps de 4 victimes et deux chiens. Dans un appartement voisin, une cinquième victime a été découverte, probablement le tireur, indique la chaine de télévision américaine CNN. Les identités des victimes et les motivations du tireur doivent encore être déterminées.
http://www.dhnet.be/actu/monde/cinq-morts-dans-une-fusillade-a-phoenix-526d13bc35703b1265377a82
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A Phoenix, dans l'Arizona, Michael Guzzo, 56 ans, a abattu quatre de ses voisins, ainsi que leurs deux chiens, avant de se suicider. Apparemment, il se plaignait des aboiements des chiens de cette famille.
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=42650
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Les identités des victimes et les motivations du tireur doivent encore être déterminées.
La police américaine a fait une macabre découverte samedi dans un complexe à appartements de Phoenix, à l'ouest des Etats-Unis. Une fusillade a eu lieu dans plusieurs appartements. Dans l'un d'eux, les agents ont trouvé le corps de 4 victimes et deux chiens. Dans un appartement voisin, une cinquième victime a été découverte, probablement le tireur, indique la chaine de télévision américaine CNN. Les identités des victimes et les motivations du tireur doivent encore être déterminées.
http://www.dhnet.be/actu/monde/cinq-morts-dans-une-fusillade-a-phoenix-526d13bc35703b1265377a82
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A Phoenix, dans l'Arizona, Michael Guzzo, 56 ans, a abattu quatre de ses voisins, ainsi que leurs deux chiens, avant de se suicider. Apparemment, il se plaignait des aboiements des chiens de cette famille.
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=42650
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dimanche 27 octobre 2013
drame familial
Une tentative d’homicide a été commise dimanche matin dans la tranquille commune de Gueures, au fin fond d’une paisible ruelle. L’auteur des faits, un homme âgé d’une cinquantaine d’années, s’est suicidé par pendaison dans son garage. Sa femme, Claudine, a été évacuée en urgence vers le centre hospitalier universitaire (CHU) de Rouen où elle est actuellement dans le coma. Elle souffre de plusieurs contusions à la tête et au visage et elle a été admise au service réanimation. Les faits relèvent de violences intra-familiales. Pour des raisons indéterminées, aux premières heures de la matinée vers 8 heures, une violente dispute aurait éclaté entre J L et son épouse, âgée elle-aussi d’une cinquantaine d’années.
A priori, l’homme aurait porté des coups de poings sur son épouse.
“Les auditions sont en cours, elles devront déterminer les rôles de chacun, les circonstances exactes des faits, des coups ont été portés mais on ne sait pas encore si un objet en particulier ou contondant a été utilisé ou si l’individu s’est servi de ses mains. C’est encore flou “ précise une source judiciaire. La bagarre aurait débuté dans la belle maison normande des L. qu’ils habitaient depuis 17 ans et se serait poursuivie dans le jardin en présence des deux filles du couples âgées de 16 et 22 ans. (...)
http://www.lesinformationsdieppoises.fr/2013/10/27/drame-familial-a-gueures-il-tente-de-tuer-sa-femme-et-se-suicide/
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“Les auditions sont en cours, elles devront déterminer les rôles de chacun, les circonstances exactes des faits, des coups ont été portés mais on ne sait pas encore si un objet en particulier ou contondant a été utilisé ou si l’individu s’est servi de ses mains. C’est encore flou “ précise une source judiciaire. La bagarre aurait débuté dans la belle maison normande des L. qu’ils habitaient depuis 17 ans et se serait poursuivie dans le jardin en présence des deux filles du couples âgées de 16 et 22 ans. (...)
http://www.lesinformationsdieppoises.fr/2013/10/27/drame-familial-a-gueures-il-tente-de-tuer-sa-femme-et-se-suicide/
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sordide canular
La mort au bout du fil
Le téléphone peut être un vrai instrument de torture. La preuve avec cette sordide affaire. « J’ai vécu un enfer », témoigne cette retraitée des environs de Nancy. Debout, au milieu de la salle du tribunal correctionnel, parmi d’autres victimes, elle raconte cette soirée cauchemardesque de mars dernier. Le téléphone a sonné au beau milieu de la nuit. Au bout du fil, une pseudo-médecin du CHU de Nancy lui a annoncé que son fils venait d’avoir un accident. « Elle m’a dit qu’il était mourant », s’étrangle d’émotion la retraitée. Elle a filé dans un état second à l’hôpital. Une fois sur place, personne ne peut lui dire ce qui est arrivé à son fils. Personne ne sait même où il se trouve. Et pour cause : le coup de fil est un canular. Mais avant de s’en rendre compte, elle va devoir vivre des minutes d’angoisse dans les couloirs de l’hôpital. Inexplicable Elle est la première victime d’une longue série. « C’est inhumain ce qu’elle m’a fait vivre », proteste la retraitée. « Elle », celle qui lui a infligé ce supplice, c’est Sandrine B., 37 ans, femme de ménage et mère de famille domiciliée dans un village des environs de Nancy. Durant trois nuits en mars, elle a appelé des dizaines et dizaines de personnes. Elle les a choisies au hasard dans l’annuaire. Avec une prédilection pour les prénoms rétro. Histoire de contacter de préférence des personnes âgées. Sans doute plus vulnérables, plus facilement embobinables à ses yeux. Et à ceux de son fils de 17 ans et de l’un de ses copains. Car le canular a été monté et réalisé en famille. Mais c’est la mère qui prenait la parole au téléphone la plupart du temps. Pour se faire passer pour un médecin et expliquer à son interlocuteur que l’un de ses proches, souvent son fils ou sa fille, était hospitalisé dans un état grave. Une fois, le hasard a fait qu’elle connaissait la dame tirée au sort dans l’annuaire et qu’elle avait un compte à régler avec elle. La vengeance a été terrible. Elle lui a fait croire que son fils allait perdre l’usage de ses jambes suite à un accident. Elle a rappelé un peu plus tard pour lui dire qu’il était mort. Hormis ce cas, elle n’avait pas besoin de mobile pour faire souffrir ceux qui étaient à l’autre bout du fil. « Lorsque vous avez annoncé à ma cliente que son fils avait été renversé, elle a hurlé de douleur au téléphone. Et cela ne vous a rien fait ? Vous avez continué ! », attaque Me Karine Laprévotte, l’avocate d’une septuagénaire qui a fini par faire un malaise et par être hospitalisée.
« Je regrette », murmure à plusieurs reprises Sandrine B. D’une voix à peine audible. Visage livide, silhouette arrondie et tenue d’ado, elle n’a de toute façon pas grand-chose à dire. Elle pleure en silence et est incapable d’expliquer ce qui lui est passé par la tête. « Elle doit être soignée » Dans son rapport, un expert psychiatre a insisté sur son « niveau intellectuel faible. » L’avocat de la défense, Me Nunge, parle aussi de « bêtise » et d’« immaturité. » Les avocats de certaines victimes ont un diagnostic plus inquiétant. « Elle a pris un réel plaisir à faire souffrir ses interlocuteurs au téléphone », affirme Me Kohler. « Elle a bien rigolé », insiste Me Niango, qui parle de « perversité » et de « summum du vice. » Et lorsqu’elle ne rigolait pas, lorsque la blague téléphonique ne marchait pas (souvent parce que son interlocuteur n’avait pas d’enfant), elle déversait un flot d’injures au téléphone.
« Cette dame doit être soignée car elle a un problème », répète, à tour de rôle, la dizaine de victimes qui sont venues à l’audience vendredi. Concernant les dommages et intérêts, elles réclament un total de près de 20 000 €. Le CHU demande, lui, 7 250 €. Quant au Parquet, le vice-procureur Amaury Lacote requiert un an de prison avec sursis et mise à l’épreuve. Jugement le 29 novembre. Source : Vosges Matin le 27 octobre 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18858&hl=
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ce qui lui a passé par la tête durant trois nuits en mars ? peut-être que la situation cyclique dirait quelque chose (jour critique intellectuel ou physique ?)
http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/p/analyser_25.html (rubrique "psychiatrie")
Le téléphone peut être un vrai instrument de torture. La preuve avec cette sordide affaire. « J’ai vécu un enfer », témoigne cette retraitée des environs de Nancy. Debout, au milieu de la salle du tribunal correctionnel, parmi d’autres victimes, elle raconte cette soirée cauchemardesque de mars dernier. Le téléphone a sonné au beau milieu de la nuit. Au bout du fil, une pseudo-médecin du CHU de Nancy lui a annoncé que son fils venait d’avoir un accident. « Elle m’a dit qu’il était mourant », s’étrangle d’émotion la retraitée. Elle a filé dans un état second à l’hôpital. Une fois sur place, personne ne peut lui dire ce qui est arrivé à son fils. Personne ne sait même où il se trouve. Et pour cause : le coup de fil est un canular. Mais avant de s’en rendre compte, elle va devoir vivre des minutes d’angoisse dans les couloirs de l’hôpital. Inexplicable Elle est la première victime d’une longue série. « C’est inhumain ce qu’elle m’a fait vivre », proteste la retraitée. « Elle », celle qui lui a infligé ce supplice, c’est Sandrine B., 37 ans, femme de ménage et mère de famille domiciliée dans un village des environs de Nancy. Durant trois nuits en mars, elle a appelé des dizaines et dizaines de personnes. Elle les a choisies au hasard dans l’annuaire. Avec une prédilection pour les prénoms rétro. Histoire de contacter de préférence des personnes âgées. Sans doute plus vulnérables, plus facilement embobinables à ses yeux. Et à ceux de son fils de 17 ans et de l’un de ses copains. Car le canular a été monté et réalisé en famille. Mais c’est la mère qui prenait la parole au téléphone la plupart du temps. Pour se faire passer pour un médecin et expliquer à son interlocuteur que l’un de ses proches, souvent son fils ou sa fille, était hospitalisé dans un état grave. Une fois, le hasard a fait qu’elle connaissait la dame tirée au sort dans l’annuaire et qu’elle avait un compte à régler avec elle. La vengeance a été terrible. Elle lui a fait croire que son fils allait perdre l’usage de ses jambes suite à un accident. Elle a rappelé un peu plus tard pour lui dire qu’il était mort. Hormis ce cas, elle n’avait pas besoin de mobile pour faire souffrir ceux qui étaient à l’autre bout du fil. « Lorsque vous avez annoncé à ma cliente que son fils avait été renversé, elle a hurlé de douleur au téléphone. Et cela ne vous a rien fait ? Vous avez continué ! », attaque Me Karine Laprévotte, l’avocate d’une septuagénaire qui a fini par faire un malaise et par être hospitalisée.
« Je regrette », murmure à plusieurs reprises Sandrine B. D’une voix à peine audible. Visage livide, silhouette arrondie et tenue d’ado, elle n’a de toute façon pas grand-chose à dire. Elle pleure en silence et est incapable d’expliquer ce qui lui est passé par la tête. « Elle doit être soignée » Dans son rapport, un expert psychiatre a insisté sur son « niveau intellectuel faible. » L’avocat de la défense, Me Nunge, parle aussi de « bêtise » et d’« immaturité. » Les avocats de certaines victimes ont un diagnostic plus inquiétant. « Elle a pris un réel plaisir à faire souffrir ses interlocuteurs au téléphone », affirme Me Kohler. « Elle a bien rigolé », insiste Me Niango, qui parle de « perversité » et de « summum du vice. » Et lorsqu’elle ne rigolait pas, lorsque la blague téléphonique ne marchait pas (souvent parce que son interlocuteur n’avait pas d’enfant), elle déversait un flot d’injures au téléphone.
« Cette dame doit être soignée car elle a un problème », répète, à tour de rôle, la dizaine de victimes qui sont venues à l’audience vendredi. Concernant les dommages et intérêts, elles réclament un total de près de 20 000 €. Le CHU demande, lui, 7 250 €. Quant au Parquet, le vice-procureur Amaury Lacote requiert un an de prison avec sursis et mise à l’épreuve. Jugement le 29 novembre. Source : Vosges Matin le 27 octobre 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18858&hl=
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ce qui lui a passé par la tête durant trois nuits en mars ? peut-être que la situation cyclique dirait quelque chose (jour critique intellectuel ou physique ?)
http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/p/analyser_25.html (rubrique "psychiatrie")
drame
Il tente de tuer sa compagne à l’hôpital
Un Mutzigeois de 63 ans a tenté de tuer sa compagne, gravement malade, à l’hôpital d’Obernai vendredi. Le geste d’un homme complexe, autour duquel s’était formé un cercle de solidarité. ...(...)
http://www.dna.fr/faits-divers/2013/10/27/il-tente-de-tuer-sa-compagne-a-l-hopital (abonnés)
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http://www.dna.fr/faits-divers/2013/10/27/il-tente-de-tuer-sa-compagne-a-l-hopital (abonnés)
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libérée
L’Espagne libère l’etarra Ines Del Rio après la décision de Strasbourg
La justice espagnole a libéré mardi une militante de l’ETA condamnée à 3.828 ans de prison pour des attentats meurtriers, suite à une décision de la Cour européenne des droits de l’Homme qui devrait contraindre Madrid à libérer plusieurs dizaines d’autres prisonniers. Ines Del Rio, âgée de 55 ans, a quitté la prison de La Corogne en Galicie (nord-ouest) à pied sous le regard des journalistes en fin d’après-midi mardi après avoir purgé 26 années de détention. Le tribunal de l’Audience nationale à Madrid venait d’ordonner sa mise en liberté. (...)
Née dans la localité de Tafalla, en Navarre, Ines Del Rio, connue sous les surnoms de «Nieves» ou «La Pequeña» (La Petite), avait rejoint au milieu des années 1980 le commando Madrid de l’ETA, l’un des plus meurtriers de l’organisation. Outre l’attentat à la voiture piégée de juillet 1986 à Madrid, la militante a participé à l’assassinat par balles de trois militaires en juin 1986, avant de s’enfuir en France, échappant ainsi à la police lors du démantèlement du commando Madrid en janvier 1987. De retour en Espagne, elle a été arrêtée en juillet 1987 alors qu’elle conduisait un véhicule chargé de 35 kilos d’explosifs dans le but de lancer une série d’attentats dans le sud de l’Espagne.
http://www.liberation.fr/monde/2013/10/21/espagne-arret-tres-attendu-de-la-cedh-sur-le-cas-d-une-militante-eta_941127
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si 55 ans aujourd'hui, un rapide calcul montre que c'est une vocation terroriste mobilisée avec l'arrivée de la période critique septennale des 28 ans.
La justice espagnole a libéré mardi une militante de l’ETA condamnée à 3.828 ans de prison pour des attentats meurtriers, suite à une décision de la Cour européenne des droits de l’Homme qui devrait contraindre Madrid à libérer plusieurs dizaines d’autres prisonniers. Ines Del Rio, âgée de 55 ans, a quitté la prison de La Corogne en Galicie (nord-ouest) à pied sous le regard des journalistes en fin d’après-midi mardi après avoir purgé 26 années de détention. Le tribunal de l’Audience nationale à Madrid venait d’ordonner sa mise en liberté. (...)
Née dans la localité de Tafalla, en Navarre, Ines Del Rio, connue sous les surnoms de «Nieves» ou «La Pequeña» (La Petite), avait rejoint au milieu des années 1980 le commando Madrid de l’ETA, l’un des plus meurtriers de l’organisation. Outre l’attentat à la voiture piégée de juillet 1986 à Madrid, la militante a participé à l’assassinat par balles de trois militaires en juin 1986, avant de s’enfuir en France, échappant ainsi à la police lors du démantèlement du commando Madrid en janvier 1987. De retour en Espagne, elle a été arrêtée en juillet 1987 alors qu’elle conduisait un véhicule chargé de 35 kilos d’explosifs dans le but de lancer une série d’attentats dans le sud de l’Espagne.
http://www.liberation.fr/monde/2013/10/21/espagne-arret-tres-attendu-de-la-cedh-sur-le-cas-d-une-militante-eta_941127
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si 55 ans aujourd'hui, un rapide calcul montre que c'est une vocation terroriste mobilisée avec l'arrivée de la période critique septennale des 28 ans.
accident
Mort d'un automobiliste percuté par une locomotive dans le Tarn-et-Garonne
Un automobiliste de 35 ans a été tué dans la nuit de samedi à dimanche, percuté par une locomotive qui circulait seule sur la ligne Toulouse-Bordeaux à Moissac (Tarn-et-Garonne), a-t-on appris auprès des secours. L'accident s'est déroulé peu après 02H00 sur le passage à niveau 148, pourtant équipé de barrières: la motrice de transport de fret a frappé de plein fouet le véhicule qui se trouvait sur la voie, le traînant sur plusieurs centaines de mètres. Les gendarmes ignoraient dimanche, faute de témoins, pourquoi et comment l'automobiliste, un habitant de Moissac, se trouvait sur la voie. Le trafic ferroviaire, interrompu le temps de l'intervention des secours, a été rétabli vers 10H00, a-t-on appris auprès de la SNCF.
http://www.leparisien.fr/toulouse-31000/mort-d-un-automobiliste-percute-par-une-locomotive-dans-le-tarn-et-garonne-27-10-2013-3263115.php
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Un automobiliste de 35 ans a été tué dans la nuit de samedi à dimanche, percuté par une locomotive qui circulait seule sur la ligne Toulouse-Bordeaux à Moissac (Tarn-et-Garonne), a-t-on appris auprès des secours. L'accident s'est déroulé peu après 02H00 sur le passage à niveau 148, pourtant équipé de barrières: la motrice de transport de fret a frappé de plein fouet le véhicule qui se trouvait sur la voie, le traînant sur plusieurs centaines de mètres. Les gendarmes ignoraient dimanche, faute de témoins, pourquoi et comment l'automobiliste, un habitant de Moissac, se trouvait sur la voie. Le trafic ferroviaire, interrompu le temps de l'intervention des secours, a été rétabli vers 10H00, a-t-on appris auprès de la SNCF.
http://www.leparisien.fr/toulouse-31000/mort-d-un-automobiliste-percute-par-une-locomotive-dans-le-tarn-et-garonne-27-10-2013-3263115.php
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drame familial
Cinq morts et un blessé à Brooklyn
Une femme et quatre enfants sont morts après avoir été poignardés samedi soir dans le quartier de Brooklyn, à New York, rapporte le New York Daily News. Deux fillettes de 6 et 9 ans, deux garçons de 18 mois et de 8 ans et une femme d’environ 30 ans sont morts après l’attaque dans un immeuble du secteur Sunset Park, peu avant 23 h. Trois des victimes ont été retrouvées mortes sur place et les deux autres sont décédées après leur transport à l’hôpital. Une autre personne a été blessée. Les autorités ont arrêté un suspect, qui se serait trouvé sur les lieux du crime à l’arrivée des secours. L’homme, qui était interrogé par les policiers, aurait des liens avec les victimes. Il s’agirait d’un drame familial, selon une source policière citée par le New York Daily News.
http://www.journaldemontreal.com/2013/10/27/5-morts-et-un-blesse-a-brooklyn
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un cousin âgé de 25 ans, suspecté, aurait été arrêté.
Une femme et quatre enfants sont morts après avoir été poignardés samedi soir dans le quartier de Brooklyn, à New York, rapporte le New York Daily News. Deux fillettes de 6 et 9 ans, deux garçons de 18 mois et de 8 ans et une femme d’environ 30 ans sont morts après l’attaque dans un immeuble du secteur Sunset Park, peu avant 23 h. Trois des victimes ont été retrouvées mortes sur place et les deux autres sont décédées après leur transport à l’hôpital. Une autre personne a été blessée. Les autorités ont arrêté un suspect, qui se serait trouvé sur les lieux du crime à l’arrivée des secours. L’homme, qui était interrogé par les policiers, aurait des liens avec les victimes. Il s’agirait d’un drame familial, selon une source policière citée par le New York Daily News.
http://www.journaldemontreal.com/2013/10/27/5-morts-et-un-blesse-a-brooklyn
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un cousin âgé de 25 ans, suspecté, aurait été arrêté.
samedi 26 octobre 2013
drame conjugal
Paris : un homme tue son épouse et se suicide devant leurs deux enfants
Un père a tué son épouse ce samedi matin puis s'est suicidé devant leurs deux enfants, âgés de dix et cinq ans. Les enfants n'ont pas été blessés mais sont extrêmement choqués. Un homme de 35 ans a tué sa femme d'un coup de couteau, ce samedi matin à Paris. Il a ensuite retourné l'arme contre lui et s'est donné la mort devant leurs deux enfants. Les pompiers sont intervenus peu après 8 heures dans un appartement du quartier populaire de Belleville, au nord-est de la capitale. On ignore si les deux adultes étaient déjà décédés lorsque les secours sont arrivés, mais tous deux se trouvaient en situation d'"urgence absolue", a indiqué un policier. Les deux enfants, une petite fille de dix ans et un garçon de cinq ans, n'ont pas été blessés mais étaient extrêmement choqués. Ils ont été hospitalisés et pris en charge par les services sociaux. Selon les premiers éléments de l'enquête, le couple se disputait quand le mari a donné un coup de couteau à sa compagne, âgée de 33 ans, puis de se poignarder à son tour.
http://www.rtl.fr/actualites/info/article/paris-un-homme-tue-son-epouse-et-se-suicide-devant-leurs-deux-enfants-7766093649
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apparemment, hélas, un drame de la période critique des 35 ans...
Un père a tué son épouse ce samedi matin puis s'est suicidé devant leurs deux enfants, âgés de dix et cinq ans. Les enfants n'ont pas été blessés mais sont extrêmement choqués. Un homme de 35 ans a tué sa femme d'un coup de couteau, ce samedi matin à Paris. Il a ensuite retourné l'arme contre lui et s'est donné la mort devant leurs deux enfants. Les pompiers sont intervenus peu après 8 heures dans un appartement du quartier populaire de Belleville, au nord-est de la capitale. On ignore si les deux adultes étaient déjà décédés lorsque les secours sont arrivés, mais tous deux se trouvaient en situation d'"urgence absolue", a indiqué un policier. Les deux enfants, une petite fille de dix ans et un garçon de cinq ans, n'ont pas été blessés mais étaient extrêmement choqués. Ils ont été hospitalisés et pris en charge par les services sociaux. Selon les premiers éléments de l'enquête, le couple se disputait quand le mari a donné un coup de couteau à sa compagne, âgée de 33 ans, puis de se poignarder à son tour.
http://www.rtl.fr/actualites/info/article/paris-un-homme-tue-son-epouse-et-se-suicide-devant-leurs-deux-enfants-7766093649
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apparemment, hélas, un drame de la période critique des 35 ans...
violences
Une mère (âgée de 34 ans nldr) déchire les testicules de son fils de 6 ans et les recolle avec du Superglu
Dans un accès de colère, Jennifer Marie Vargas a saisi les parties génitales de son fils, âgé de 6 ans et s’est mise à tourner tout en tirant dessus. La peau du scrotum s’est ouverte sur quatre centimètres. L’agression s’est produite sur une base de l’US Army près de San Antonio au Texas. Après avoir nettoyé la blessure, la maman a entrepris de la refermer avec de la colle extra-forte. C’est le père qui a prévenu les secours après avoir découvert son fils en pleurs alors qu’il rentrait du travail. Jennifer Vargas risque jusqu’à dix ans de prison. L’enfant souffre aussi de blessures au pénis."
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=42638
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Dans un accès de colère, Jennifer Marie Vargas a saisi les parties génitales de son fils, âgé de 6 ans et s’est mise à tourner tout en tirant dessus. La peau du scrotum s’est ouverte sur quatre centimètres. L’agression s’est produite sur une base de l’US Army près de San Antonio au Texas. Après avoir nettoyé la blessure, la maman a entrepris de la refermer avec de la colle extra-forte. C’est le père qui a prévenu les secours après avoir découvert son fils en pleurs alors qu’il rentrait du travail. Jennifer Vargas risque jusqu’à dix ans de prison. L’enfant souffre aussi de blessures au pénis."
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=42638
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accident
Drame à Heist-op-den-Berg: un mort et un enfant grièvement blessé
Une collision a coûté la vie vendredi peu après 7h à une femme de 49 ans qui traversait sur la Mechelsesteenweg à Heist-op-den-Berg (province d'Anvers) en compagnie de son fils de 5 ans, a indiqué le parquet de Malines. L'enfant se trouve dans un état critique à l'hôpital. Au moment où les victimes ont voulu traverser, ce qu'elles n'ont pas fait sur un passage pour piétons, elles ont été percutées par une voiture qui venait du centre de Heist-op-den-Berg pour prendre la direction de Malines. Le conducteur de 43 ans n'était, d'après le parquet, pas sous l'influence de l'alcool et ne roulait pas à une vitesse excessive. Le parquet a dépêché sur place un expert pour étudier les circonstances exactes de l'accident.
http://www.dhnet.be/actu/faits/drame-a-heist-op-den-berg-un-mort-et-un-enfant-grievement-blesse-526a384f35703b126535d405
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Une collision a coûté la vie vendredi peu après 7h à une femme de 49 ans qui traversait sur la Mechelsesteenweg à Heist-op-den-Berg (province d'Anvers) en compagnie de son fils de 5 ans, a indiqué le parquet de Malines. L'enfant se trouve dans un état critique à l'hôpital. Au moment où les victimes ont voulu traverser, ce qu'elles n'ont pas fait sur un passage pour piétons, elles ont été percutées par une voiture qui venait du centre de Heist-op-den-Berg pour prendre la direction de Malines. Le conducteur de 43 ans n'était, d'après le parquet, pas sous l'influence de l'alcool et ne roulait pas à une vitesse excessive. Le parquet a dépêché sur place un expert pour étudier les circonstances exactes de l'accident.
http://www.dhnet.be/actu/faits/drame-a-heist-op-den-berg-un-mort-et-un-enfant-grievement-blesse-526a384f35703b126535d405
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drame familial
Tödliches Ende eines Familiendramas
Ein schlimmer Familienstreit war wohl der Auslöser für diesen grausamen Vorfall in Strehla (bei Riesa). Nachdem Andy H. (21) Donnerstagabend seine Mutter (55) in deren Wohnung an der Torgauer Straße ins Gesicht schlug und mit Füßen trat, rannte er aus dem Haus und stieg in seinen Wagen. Damit raste er in Richtung Elbe. Doch anstatt auf dem Elbeparkplatz den Wagen stehen zu lassen, trat er aufs Gas und fuhr in die Fluten. Ein Augenzeuge zu BILD: „Der hatte locker 70 km/h drauf und ist absichtlich in die Elbe gefahren.“ Stundenlang versuchten Rettungskräfte am Abend, den Wagen aus der Elbe zu ziehen. Die stadtbekannte Familie (11 Kinder) machte in der Vergangenheit öfter mit Dramen auf sich aufmerksam. Vor einem Jahr starb bei einem Unfall bereits die Schwester von Andy H.
http://www.bild.de/regional/dresden/familiendrama/toedliches-ende-eines-familiendramas-33130606.bild.html
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dans ce drame aussi, comme souvent, les jours (à vérifier) et périodes critiques ne semblent pas étrangers : ce fils de 21 ans (période critique septennale) a, lors d'une dispute, violemment frappé à coups de poings et de pieds sa mère âgée de 55 ans (entrée période critique des 56 ans, donc une compatibilité "à risque" ... de différend...)
il est ensuite monté dans sa voiture et a foncé vers la rivière Elbe dans laquelle il s'est jeté à 70km/heure. les secours ont mis des heures à essayer de récupérer le véhicule au fond de l'eau...
Ein schlimmer Familienstreit war wohl der Auslöser für diesen grausamen Vorfall in Strehla (bei Riesa). Nachdem Andy H. (21) Donnerstagabend seine Mutter (55) in deren Wohnung an der Torgauer Straße ins Gesicht schlug und mit Füßen trat, rannte er aus dem Haus und stieg in seinen Wagen. Damit raste er in Richtung Elbe. Doch anstatt auf dem Elbeparkplatz den Wagen stehen zu lassen, trat er aufs Gas und fuhr in die Fluten. Ein Augenzeuge zu BILD: „Der hatte locker 70 km/h drauf und ist absichtlich in die Elbe gefahren.“ Stundenlang versuchten Rettungskräfte am Abend, den Wagen aus der Elbe zu ziehen. Die stadtbekannte Familie (11 Kinder) machte in der Vergangenheit öfter mit Dramen auf sich aufmerksam. Vor einem Jahr starb bei einem Unfall bereits die Schwester von Andy H.
http://www.bild.de/regional/dresden/familiendrama/toedliches-ende-eines-familiendramas-33130606.bild.html
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dans ce drame aussi, comme souvent, les jours (à vérifier) et périodes critiques ne semblent pas étrangers : ce fils de 21 ans (période critique septennale) a, lors d'une dispute, violemment frappé à coups de poings et de pieds sa mère âgée de 55 ans (entrée période critique des 56 ans, donc une compatibilité "à risque" ... de différend...)
il est ensuite monté dans sa voiture et a foncé vers la rivière Elbe dans laquelle il s'est jeté à 70km/heure. les secours ont mis des heures à essayer de récupérer le véhicule au fond de l'eau...
drame de la séparation
Opérée hier et toujours hospitalisée en soins intensifs à Poitiers, le pronostic vital de la jeune femme victime de son ancien compagnon, est toujours engagé.
Le patron d’un restaurant kebab à Confolens, "Le Diamante’K", a ouvert le feu hier midi sur sa compagne qui venait de lui annoncer qu’elle le quittait. Le drame s’est produit dans leur pavillon de Pressac, dans le Sud-Vienne. La victime a été hospitalisée dans un état grave. Quant à l’auteur, il s’est suicidé.
Ce drame de la rupture s’est noué à la mi-journée dans le quartier résidentiel des Grands-Chênes, dans une commune située à quelques kilomètres de la Charente, où vivait le couple.
Nazar Osman Youssef, 27 ans, d’origine irakienne, a tiré sur sa compagne, Coralie Fries, qui tentait de prendre la fuite dans la rue après lui avoir annoncé son intention de le quitter. La jeune femme, 27 ans également et originaire de Savigné dans le Civraisien, a été atteinte par six ou sept balles de revolver, notamment à l’abdomen. Il a ensuite mis le feu à une voiture devant chez lui, les flammes se propageant à un autre véhicule.
Des problèmes de mésentente connus Des voisins ont éloigné la jeune femme de l’incendie et l’ont maintenue consciente en attendant l’arrivée des secours. La victime, malgré son état, s’est inquiétée pour son petit chien qui s’était enfui mais qui a été retrouvé par la suite. Elle a été transportée par l’hélicoptère du Samu de Limoges au CHU de Poitiers dans un état grave, son pronostic vital étant engagé. Quant à l’auteur des coups de feu, il a retourné son arme contre lui, mettant fin à ses jours en se tirant une balle dans la gorge. La jeune femme était employée à la Maison des mille et une couleurs, la résidence des handicapés mentaux vieillissants d’Abzac. Elle avait démissionné il y a une quinzaine de jours pour aller travailler à Civray. Un départ lié à la séparation programmée du couple, qui n’avait pas d’enfant. À Pressac, où le couple habitait depuis trois ans, ces problèmes de mésentente étaient connus des voisins, même si personne ne pouvait imaginer le drame futur. "On n’a jamais eu de problèmes relationnels avec eux", témoigne le maire, Roland Debiais. À Confolens, c’est également la consternation. Le couple avait ouvert, il y a un an environ, un kebab au 8, rue du Maquis-Foch. Il s’était bien intégré dans le tissu local, même s’il ne résidait pas sur place. Le restaurant était très fréquenté et parfaitement tenu, selon des habitués. "C’était des gens très gentils. On tombe des nues", témoigne une voisine. Source : Charente Libre le 24 octobre 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18838&hl=
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probable drame de l'entrée dans la période critique septennale des 28 ans...
(compatibilité entre les deux personnes qui arrivent ensemble dans leur période critique, ss rés. d'exactitude des âges indiqués)
Des problèmes de mésentente connus Des voisins ont éloigné la jeune femme de l’incendie et l’ont maintenue consciente en attendant l’arrivée des secours. La victime, malgré son état, s’est inquiétée pour son petit chien qui s’était enfui mais qui a été retrouvé par la suite. Elle a été transportée par l’hélicoptère du Samu de Limoges au CHU de Poitiers dans un état grave, son pronostic vital étant engagé. Quant à l’auteur des coups de feu, il a retourné son arme contre lui, mettant fin à ses jours en se tirant une balle dans la gorge. La jeune femme était employée à la Maison des mille et une couleurs, la résidence des handicapés mentaux vieillissants d’Abzac. Elle avait démissionné il y a une quinzaine de jours pour aller travailler à Civray. Un départ lié à la séparation programmée du couple, qui n’avait pas d’enfant. À Pressac, où le couple habitait depuis trois ans, ces problèmes de mésentente étaient connus des voisins, même si personne ne pouvait imaginer le drame futur. "On n’a jamais eu de problèmes relationnels avec eux", témoigne le maire, Roland Debiais. À Confolens, c’est également la consternation. Le couple avait ouvert, il y a un an environ, un kebab au 8, rue du Maquis-Foch. Il s’était bien intégré dans le tissu local, même s’il ne résidait pas sur place. Le restaurant était très fréquenté et parfaitement tenu, selon des habitués. "C’était des gens très gentils. On tombe des nues", témoigne une voisine. Source : Charente Libre le 24 octobre 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18838&hl=
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probable drame de l'entrée dans la période critique septennale des 28 ans...
(compatibilité entre les deux personnes qui arrivent ensemble dans leur période critique, ss rés. d'exactitude des âges indiqués)
vendredi 25 octobre 2013
drame
Le fait divers du jour : il égorge sa prof puis file voir un film de Woody Allen
ETATS-UNIS -
Philip Chism, un adolescent de 14 ans, a égorgé sa professeur de mathématiques pour une raison indéterminée, mardi dans le Massachusetts. Le jeune Américain s'est ensuite rendu. Au cinéma, pour aller voir le dernier film de Woody Allen, avant d'être interpellé.
http://www.metronews.fr/info/le-fait-divers-du-jour-il-egorge-sa-prof-puis-file-voir-un-film-de-woody-allen/mmjy!Ojmyglj1mW7o/
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octobre 2013 (21/01/1999)
Je 17 E(8)
Ve 18
Sa 19
Di 20
Lu 21 P(6) I(9)
Ma 22 P(7)
Me 23
Je 24 E(15)
Ve 25
Sa 26
Di 27 P(12)
le meurtre aurait eu lieu le soir du mardi 22 octobre.
nous sommes donc dans l'épisode critique physique P6/P7 mais aussi le lendemain du jour critique intellectuel i9... (1) nous sommes enfin en pleine période critique septennale des 14 ans.
(1) ce jour critique intellectuel dont je parlais récemment en disant qu'il est fréquemment présent en cas de meurtre ou de tuerie : on le retrouve chez Kim de Gelder, Adam Lanza, Aaron Alexis, Breivik, et nombre d'autres dont je vais peut-être commencer à dresser la liste car je n'ai pas prêté suffisamment d'attention à ce "cycle du cerveau et de la pensée")
Philip Chism, un adolescent de 14 ans, a égorgé sa professeur de mathématiques pour une raison indéterminée, mardi dans le Massachusetts. Le jeune Américain s'est ensuite rendu. Au cinéma, pour aller voir le dernier film de Woody Allen, avant d'être interpellé.
http://www.metronews.fr/info/le-fait-divers-du-jour-il-egorge-sa-prof-puis-file-voir-un-film-de-woody-allen/mmjy!Ojmyglj1mW7o/
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octobre 2013 (21/01/1999)
Je 17 E(8)
Ve 18
Sa 19
Di 20
Lu 21 P(6) I(9)
Ma 22 P(7)
Me 23
Je 24 E(15)
Ve 25
Sa 26
Di 27 P(12)
le meurtre aurait eu lieu le soir du mardi 22 octobre.
nous sommes donc dans l'épisode critique physique P6/P7 mais aussi le lendemain du jour critique intellectuel i9... (1) nous sommes enfin en pleine période critique septennale des 14 ans.
(1) ce jour critique intellectuel dont je parlais récemment en disant qu'il est fréquemment présent en cas de meurtre ou de tuerie : on le retrouve chez Kim de Gelder, Adam Lanza, Aaron Alexis, Breivik, et nombre d'autres dont je vais peut-être commencer à dresser la liste car je n'ai pas prêté suffisamment d'attention à ce "cycle du cerveau et de la pensée")
accès de colère
Cognac : bébé secoué, père paumé
Assises de la Charente : un Cognaçais de 29 ans comparaît depuis jeudi pour la mort de sa fille de six mois en décembre 2009.
Le box des accusés est vide. Queue-de-cheval et sweat à capuche, Nicolas Berger, 29 ans, se tient droit à côté de son avocate Me Caroline Brochet. Jugé pour violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner, il comparaît libre à son procès d’assises, bientôt quatre ans après le décès de sa fille Pauline, à Cognac.
Pris d’un accès de colère dans l’après-midi du 30 décembre 2009, il avait violemment secoué l’enfant. (...)
http://www.sudouest.fr/2013/10/25/bebe-secoue-pere-paume-1210308-804.php
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les accès de colère ont tendance à arriver en jour critique émotionnel...
Le box des accusés est vide. Queue-de-cheval et sweat à capuche, Nicolas Berger, 29 ans, se tient droit à côté de son avocate Me Caroline Brochet. Jugé pour violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner, il comparaît libre à son procès d’assises, bientôt quatre ans après le décès de sa fille Pauline, à Cognac.
Pris d’un accès de colère dans l’après-midi du 30 décembre 2009, il avait violemment secoué l’enfant. (...)
http://www.sudouest.fr/2013/10/25/bebe-secoue-pere-paume-1210308-804.php
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les accès de colère ont tendance à arriver en jour critique émotionnel...
impatience
Un ambulancier coupable d’avoir « secoué » son bébé
Un père de famille, ambulancier de surcroît, a été déclaré coupable de voies de fait ayant causé des lésions corporelles à son bébé naissant. L’homme de 31 ans était visiblement nerveux jeudi, lors de la lecture de son jugement rendu par le juge Christian Boulet concernant les événements qui se sont produits en octobre 2009. Dans sa décision, le magistrat a souligné qu’au procès, les déclarations faites par les parents de la petite victime avaient été mises en preuve. Toutefois, le témoignage des deux parents qui a été rendu à la cour tendait à être très différent. Le père a nié les déclarations qu’il avait faites aux policiers et au Dr Jean Labbé, pédiatre expert en maltraitance, leur trouvant plutôt certaines explications. «Je ne retiens pas le témoignage de l’accusé qui mentionne avoir dit aux policiers qu’il avait eu une impatience accidentelle, puis dire par la suite qu’il avait été imprégné de cette idée par le Dr Labbé», a mentionné le président du tribunal.
Des différents témoignages qu’il a entendus, il retient plutôt la théorie du pédiatre qui a clairement affirmé que les côtes fracturées du bébé portaient une signature qui ne pouvait avoir été causée par autre chose qu’un serrement excessif, contrairement à ce qui avait été avancé par le Dr Jean Doray, pédiatre de la défense. «Je ne crois pas que les blessures aient pu être causées par un accouchement difficile, par une maladie génétique ou encore par une fragilité osseuse temporaire», a ajouté le juge. Il a donc condamné le père de famille à une accusation de voies de fait ayant causé des lésions corporelles à son bébé. Me Carmen Rioux, procureure aux poursuites criminelles et pénales, et Me Gervais Labreque, avocat de la défense, reviendront le 20 janvier pour débattre de la sentence de l’homme qui ne possède aucun antécédent judiciaire
http://www.journaldequebec.com/2013/10/24/un-ambulancier-coupable-davoir--secoue--son-bebe
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"impatience accidentelle" liée à l'entrée période critique septennale des 28 ans ou à un jour critique émotionnel ?
Un père de famille, ambulancier de surcroît, a été déclaré coupable de voies de fait ayant causé des lésions corporelles à son bébé naissant. L’homme de 31 ans était visiblement nerveux jeudi, lors de la lecture de son jugement rendu par le juge Christian Boulet concernant les événements qui se sont produits en octobre 2009. Dans sa décision, le magistrat a souligné qu’au procès, les déclarations faites par les parents de la petite victime avaient été mises en preuve. Toutefois, le témoignage des deux parents qui a été rendu à la cour tendait à être très différent. Le père a nié les déclarations qu’il avait faites aux policiers et au Dr Jean Labbé, pédiatre expert en maltraitance, leur trouvant plutôt certaines explications. «Je ne retiens pas le témoignage de l’accusé qui mentionne avoir dit aux policiers qu’il avait eu une impatience accidentelle, puis dire par la suite qu’il avait été imprégné de cette idée par le Dr Labbé», a mentionné le président du tribunal.
Des différents témoignages qu’il a entendus, il retient plutôt la théorie du pédiatre qui a clairement affirmé que les côtes fracturées du bébé portaient une signature qui ne pouvait avoir été causée par autre chose qu’un serrement excessif, contrairement à ce qui avait été avancé par le Dr Jean Doray, pédiatre de la défense. «Je ne crois pas que les blessures aient pu être causées par un accouchement difficile, par une maladie génétique ou encore par une fragilité osseuse temporaire», a ajouté le juge. Il a donc condamné le père de famille à une accusation de voies de fait ayant causé des lésions corporelles à son bébé. Me Carmen Rioux, procureure aux poursuites criminelles et pénales, et Me Gervais Labreque, avocat de la défense, reviendront le 20 janvier pour débattre de la sentence de l’homme qui ne possède aucun antécédent judiciaire
http://www.journaldequebec.com/2013/10/24/un-ambulancier-coupable-davoir--secoue--son-bebe
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"impatience accidentelle" liée à l'entrée période critique septennale des 28 ans ou à un jour critique émotionnel ?
jaloux
VERDICT
Ambarès (33) : 22 ans de réclusion pour l'assassinat de sa compagne le jour de son anniversaire
Les jurés d’assises n’ont pas retenu de circonstances atténuantes à Jean-Pierre Mourras, reconnu coupable d’avoir tué avec préméditation sa compagne en 2011
L’avocate générale Marie-Hélène de la Landelle avait demandé vingt-cinq ans de réclusion à l’encontre de Jean-Pierre Mourras. Il a finalement été condamné hier à vingt-deux ans pour l’assassinat de sa compagne, Marylène Rivière, le 23 octobre 2011.
Hier, aux assises de la Gironde, son avocate, Me Marion Teyssandier, s’est attachée à convaincre les jurés que des circonstances atténuantes pouvaient lui être reconnues. En raison de son enfance douloureuse et en raison d’un père alcoolique et violent qui l’a mis à la porte à 17 ans. Elle a aussi souligné que jusqu’à cet acte irréparable commis il y a deux ans, son casier judiciaire était vierge. Mais la partie était rude pour la défense. Hier matin, avant la plaidoirie de la partie civile et le réquisitoire de l’avocate générale, les proches de Marylène Rivière sont venus parler d’elle, la gorge serrée. «Pour nous, il est difficile d’être ici. On aurait dû fêter ses 56 ans hier soir», est venue rappeler sa nièce qui considérait la victime «comme ma maman». C’est précisément à l’issue d’un dimanche passé à fêter son anniversaire que Jean-Pierre Mourras est passé à l’acte. Pour l’occasion, le couple était parti sur le bassin d’Arcachon. Balade sur la plage, casino et plateau de fruits de mer avaient marqué la journée. Sur le chemin du retour vers Ambarès-et-Lagrave où ils habitaient, Jean-Pierre Mourras s’est arrêté dans un chemin forestier. Là, tout a basculé. Il a reproché à sa compagne des comportements indécents et de s’exhiber devant un voisin. Après l’avoir brutalisée, il est sorti de la voiture, a pris une bouteille de gaz dans le coffre et l’a placée entre les deux sièges avant d’ouvrir le clapet. Il a aussi pris deux ceintures pour immobiliser Marylène Rivière. Le lendemain matin, tous deux se sont réveillés. Jean-Pierre Mourras a repris la route et s’est arrêté dans un autre chemin, à Saint-Jean-d’Illac. Ils sont restés là. Dans la soirée, Marylène Rivière a été prise de convulsions et est morte peu après. Jean-Pierre Mourras est alors reparti pour Ambarès, en direction d’un garage appartenant à son ex-belle-mère. C’est là que les gendarmes découvriront le drame. Jean-Pierre Mourras a affirmé qu’il voulait aussi mourir. Il avait ouvert pour cela une deuxième bouteille de gaz. Mais on ne retrouvera pas trace de gaz dans ses poumons. Il y en avait beaucoup dans le corps de Marylène. Le scénario envisagé est qu’il lui a introduit un tuyau dans la bouche pour qu’elle l’absorbe. Thèse que Me Teyssandier avait fermement contestée. «Il est établi qu’elle est restée en vie jusqu’au lundi 24 octobre à 19 heures. Il s’est écoulé vingt heures depuis que Marylène est coincée dans cette voiture avec son bourreau, confrontée à la terreur et à l’angoisse», rappelait Me Marie Mescam, avocate des proches qui se sont constitués parties civiles. Pour elle, «les souffrances au moment de l’acte létal ont été extrêmes et relèvent de la torture, sous le regard de son assassin». «La jalousie n’est pas une excuse, ni en fait, ni en droit», lançait encore l’avocate. À sa suite, Marie-Hélène de la Landelle a soutenu qu’il n’y avait «pas d’incertitude sur le caractère prémédité et volontaire de l’acte». Elle n’a pas accordé de crédit aux deux tentatives de suicide que l’accusé aurait faites depuis sa détention et a vu «de la dissimulation, de la comédie, du sadisme, dans la façon dont les choses se sont déroulées». Source : Sud Ouest le 25 octobre 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18833&hl=
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tout cela ressemble hélas à un inquiétant scénario-paranoïa-délire de la période critique septennale des 56 ans... (de l'auteur, fin 2011 ?)
Hier, aux assises de la Gironde, son avocate, Me Marion Teyssandier, s’est attachée à convaincre les jurés que des circonstances atténuantes pouvaient lui être reconnues. En raison de son enfance douloureuse et en raison d’un père alcoolique et violent qui l’a mis à la porte à 17 ans. Elle a aussi souligné que jusqu’à cet acte irréparable commis il y a deux ans, son casier judiciaire était vierge. Mais la partie était rude pour la défense. Hier matin, avant la plaidoirie de la partie civile et le réquisitoire de l’avocate générale, les proches de Marylène Rivière sont venus parler d’elle, la gorge serrée. «Pour nous, il est difficile d’être ici. On aurait dû fêter ses 56 ans hier soir», est venue rappeler sa nièce qui considérait la victime «comme ma maman». C’est précisément à l’issue d’un dimanche passé à fêter son anniversaire que Jean-Pierre Mourras est passé à l’acte. Pour l’occasion, le couple était parti sur le bassin d’Arcachon. Balade sur la plage, casino et plateau de fruits de mer avaient marqué la journée. Sur le chemin du retour vers Ambarès-et-Lagrave où ils habitaient, Jean-Pierre Mourras s’est arrêté dans un chemin forestier. Là, tout a basculé. Il a reproché à sa compagne des comportements indécents et de s’exhiber devant un voisin. Après l’avoir brutalisée, il est sorti de la voiture, a pris une bouteille de gaz dans le coffre et l’a placée entre les deux sièges avant d’ouvrir le clapet. Il a aussi pris deux ceintures pour immobiliser Marylène Rivière. Le lendemain matin, tous deux se sont réveillés. Jean-Pierre Mourras a repris la route et s’est arrêté dans un autre chemin, à Saint-Jean-d’Illac. Ils sont restés là. Dans la soirée, Marylène Rivière a été prise de convulsions et est morte peu après. Jean-Pierre Mourras est alors reparti pour Ambarès, en direction d’un garage appartenant à son ex-belle-mère. C’est là que les gendarmes découvriront le drame. Jean-Pierre Mourras a affirmé qu’il voulait aussi mourir. Il avait ouvert pour cela une deuxième bouteille de gaz. Mais on ne retrouvera pas trace de gaz dans ses poumons. Il y en avait beaucoup dans le corps de Marylène. Le scénario envisagé est qu’il lui a introduit un tuyau dans la bouche pour qu’elle l’absorbe. Thèse que Me Teyssandier avait fermement contestée. «Il est établi qu’elle est restée en vie jusqu’au lundi 24 octobre à 19 heures. Il s’est écoulé vingt heures depuis que Marylène est coincée dans cette voiture avec son bourreau, confrontée à la terreur et à l’angoisse», rappelait Me Marie Mescam, avocate des proches qui se sont constitués parties civiles. Pour elle, «les souffrances au moment de l’acte létal ont été extrêmes et relèvent de la torture, sous le regard de son assassin». «La jalousie n’est pas une excuse, ni en fait, ni en droit», lançait encore l’avocate. À sa suite, Marie-Hélène de la Landelle a soutenu qu’il n’y avait «pas d’incertitude sur le caractère prémédité et volontaire de l’acte». Elle n’a pas accordé de crédit aux deux tentatives de suicide que l’accusé aurait faites depuis sa détention et a vu «de la dissimulation, de la comédie, du sadisme, dans la façon dont les choses se sont déroulées». Source : Sud Ouest le 25 octobre 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18833&hl=
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tout cela ressemble hélas à un inquiétant scénario-paranoïa-délire de la période critique septennale des 56 ans... (de l'auteur, fin 2011 ?)
pulsion
Quartier du château à Pau : le pédophile condamné à la prison
"C'est une pulsion : c'est venu d'un coup, comme ça, à cause de l'alcool" : Joseph M., 55 ans, est jugé ce jeudi en correctionnelle pour des atteintes sexuelles commises le 15 septembre dernier, dans un appartement du foyer Sainte-Anne, rue du Château, à Pau. Ce dimanche-là, vers midi, il a abordé la fille d'une voisine, âgée de 8 ans et demi, qui allait chercher du pain avec un garçonnet du quartier. Il lui a tendu deux euros. Il l'a fait monter chez lui, a refermé la porte derrière eux. Dans ce huis clos sordide, il l'a assise sur ses genoux, lui a caressé le sexe, l'a embrassée sur la bouche. L'enfant a réussi à fuir : elle est arrivée en pleurs chez sa mère, dans l'immeuble voisin. Cette dernière a déposé plainte.
Le lendemain, quand les policiers sont venus l'interpeller, vers 7 heures du matin, Joseph M. présentait un taux d'alcoolémie de 2,4 g/l - il boit deux, voire trois litres de vin par jour. Face aux enquêteurs de la police et au psychiatre, Joseph M., un homme sans emploi et placé à sa demande sous curatelle, a évoqué "plusieurs précédents" avec des fillettes de 4 à 8 ans quand il était plus jeune. Des faits que, désormais, il conteste fermement. Les expertises pointent pourtant "des tendances pédophiles".
Un psychologue suit la fillette, choquée. Hier soir, Joseph M. a été condamné à dix-huit mois de prison ferme, avec maintien en détention (il a été incarcéré au lendemain des faits). Il est placé sous contrôle sociojudiciaire pendant dix ans : il devra en respecter les obligations sous peine de faire deux ans de prison supplémentaires. Il a notamment une injonction de soins. Toute activité au contact des mineurs lui est interdite. Il devra verser, pour leur préjudice moral, 6 000 € à la fillette, et 2 000 € à sa mère, plus les frais d'avocat. Enfin, Joseph M. est désormais inscrit au fichier judiciaire automatisé des auteurs d'infractions sexuelles (FIJAIS) : il devra signaler tout changement d'adresse.
http://www.larepubliquedespyrenees.fr/2013/10/25/quartier-du-chateau-le-pedophile-en-prison,1161643.php
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à cause de l'alcool... d'un coup, comme çà... mais peut-être aussi à cause de l'entrée dans la période critique septennale des 56 ans...
"C'est une pulsion : c'est venu d'un coup, comme ça, à cause de l'alcool" : Joseph M., 55 ans, est jugé ce jeudi en correctionnelle pour des atteintes sexuelles commises le 15 septembre dernier, dans un appartement du foyer Sainte-Anne, rue du Château, à Pau. Ce dimanche-là, vers midi, il a abordé la fille d'une voisine, âgée de 8 ans et demi, qui allait chercher du pain avec un garçonnet du quartier. Il lui a tendu deux euros. Il l'a fait monter chez lui, a refermé la porte derrière eux. Dans ce huis clos sordide, il l'a assise sur ses genoux, lui a caressé le sexe, l'a embrassée sur la bouche. L'enfant a réussi à fuir : elle est arrivée en pleurs chez sa mère, dans l'immeuble voisin. Cette dernière a déposé plainte.
Le lendemain, quand les policiers sont venus l'interpeller, vers 7 heures du matin, Joseph M. présentait un taux d'alcoolémie de 2,4 g/l - il boit deux, voire trois litres de vin par jour. Face aux enquêteurs de la police et au psychiatre, Joseph M., un homme sans emploi et placé à sa demande sous curatelle, a évoqué "plusieurs précédents" avec des fillettes de 4 à 8 ans quand il était plus jeune. Des faits que, désormais, il conteste fermement. Les expertises pointent pourtant "des tendances pédophiles".
Un psychologue suit la fillette, choquée. Hier soir, Joseph M. a été condamné à dix-huit mois de prison ferme, avec maintien en détention (il a été incarcéré au lendemain des faits). Il est placé sous contrôle sociojudiciaire pendant dix ans : il devra en respecter les obligations sous peine de faire deux ans de prison supplémentaires. Il a notamment une injonction de soins. Toute activité au contact des mineurs lui est interdite. Il devra verser, pour leur préjudice moral, 6 000 € à la fillette, et 2 000 € à sa mère, plus les frais d'avocat. Enfin, Joseph M. est désormais inscrit au fichier judiciaire automatisé des auteurs d'infractions sexuelles (FIJAIS) : il devra signaler tout changement d'adresse.
http://www.larepubliquedespyrenees.fr/2013/10/25/quartier-du-chateau-le-pedophile-en-prison,1161643.php
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à cause de l'alcool... d'un coup, comme çà... mais peut-être aussi à cause de l'entrée dans la période critique septennale des 56 ans...
meurtre
Pontarlier : le meurtre de Jérôme Bideaud aurait-t-il pu être évité ?
Un homme de 26 ans a été tué à coups de couteau la semaine dernière. Son meurtrier présumé, qui nie les faits, était interdit de séjour à Pontarlier par la justice à cause d'une précédente agression. Sa présence avait été signalée à la police qui n'a pas agi...
Jeudi dernier, le 17 octobre, un meurtre a eu lieu à Pontarlier. A 4 heures du matin, alors qu'il sortait de son travail, Jérôme Bideaud, 26 ans, a été tué de 14 coups de couteau. Son corps a été retrouvé à quelques mètres de sa voiture. Pour le moment, l'homme, interpellé peu après les faits, nie être l'auteur de ces coups de couteau mortels.
Ce suspect est connu défavorablement par la justice. En mai dernier, il a violemment passé à tabac un autre homme, issu comme lui de la communauté turque. Avec plusieurs fractures au visage, dont un nez cassé, sa victime avait bénéficié d'une ITT (Interdiction Temporaire de Travail) de 21 jours. L'agresseur devait comparaître devant la justice en septembre mais avait bénéficié d'un délai supplémentaire pour préparer sa défense. Il avait été remis en liberté sous contrôle judiciaire avec interdiction de séjour à Pontarlier. Ce qui est troublant, c'est que la police aurait été prévenue de la présence de cet homme, violent, sur Pontarlier. En effet, l'épouse de sa victime de mai dernier en avait, a priori, averti la police de Pontarlier, le vendredi 11 octobre et le mardi 15 octobre, c'est à dire quelques jours avant le meurtre. Son signalement n'aurait donc pas été pris en considération. Le procureur a demandé un rapport administratif aux forces de l'ordre sur ces constatations de violation du contrôle judiciaire et des suites données.
http://franche-comte.france3.fr/2013/10/24/pontarlier-le-meurtre-de-jerome-bideaud-aurait-t-il-pu-etre-evite-345133.html
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(si âgé de 27 ans, comme j'ai trouvé, et s'il est l'auteur, le suspect entre dans sa période critique septennale des 28 ans - jour critique émotionnel ? précédentes agressions ? )
Un homme de 26 ans a été tué à coups de couteau la semaine dernière. Son meurtrier présumé, qui nie les faits, était interdit de séjour à Pontarlier par la justice à cause d'une précédente agression. Sa présence avait été signalée à la police qui n'a pas agi...
Jeudi dernier, le 17 octobre, un meurtre a eu lieu à Pontarlier. A 4 heures du matin, alors qu'il sortait de son travail, Jérôme Bideaud, 26 ans, a été tué de 14 coups de couteau. Son corps a été retrouvé à quelques mètres de sa voiture. Pour le moment, l'homme, interpellé peu après les faits, nie être l'auteur de ces coups de couteau mortels.
Ce suspect est connu défavorablement par la justice. En mai dernier, il a violemment passé à tabac un autre homme, issu comme lui de la communauté turque. Avec plusieurs fractures au visage, dont un nez cassé, sa victime avait bénéficié d'une ITT (Interdiction Temporaire de Travail) de 21 jours. L'agresseur devait comparaître devant la justice en septembre mais avait bénéficié d'un délai supplémentaire pour préparer sa défense. Il avait été remis en liberté sous contrôle judiciaire avec interdiction de séjour à Pontarlier. Ce qui est troublant, c'est que la police aurait été prévenue de la présence de cet homme, violent, sur Pontarlier. En effet, l'épouse de sa victime de mai dernier en avait, a priori, averti la police de Pontarlier, le vendredi 11 octobre et le mardi 15 octobre, c'est à dire quelques jours avant le meurtre. Son signalement n'aurait donc pas été pris en considération. Le procureur a demandé un rapport administratif aux forces de l'ordre sur ces constatations de violation du contrôle judiciaire et des suites données.
http://franche-comte.france3.fr/2013/10/24/pontarlier-le-meurtre-de-jerome-bideaud-aurait-t-il-pu-etre-evite-345133.html
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(si âgé de 27 ans, comme j'ai trouvé, et s'il est l'auteur, le suspect entre dans sa période critique septennale des 28 ans - jour critique émotionnel ? précédentes agressions ? )
otages
Douze personnes retenues en otage dans un fastfood de Fribourg
Une prise d'otages est actuellement en cours dans la ville allemande de Fribourg. Un homme armé a pris en otage douze personnes qui se trouvaient dans un restaurant fastfood, ont indiqué la police et l'agence de presse allemande DPA. L'homme serait connu de la justice, selon la police. Le preneur d'otages est un homme de 36 ans qui aurait déjà fait l'objet de condamnations à plusieurs reprises. Selon la police il est armé et dangereux. L'homme, en contact avec les forces de l'ordre par téléphone, aurait déclaré avoir des bombes sur lui. Il retient en otages douze personnes, dont des membres de sa famille et des connaissances. On ne connaît pas encore exactement ses motivations. L'homme se trouverait dans une situation émotionnellement difficile. La police est présente en nombre sur place et un périmètre de sécurité a été instauré autour du restaurant. Source : Belga le 24 octobre 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18825&hl=
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l'homme a été arrêté, apparemment sans dégâts, après un assaut de la police.
Une prise d'otages est actuellement en cours dans la ville allemande de Fribourg. Un homme armé a pris en otage douze personnes qui se trouvaient dans un restaurant fastfood, ont indiqué la police et l'agence de presse allemande DPA. L'homme serait connu de la justice, selon la police. Le preneur d'otages est un homme de 36 ans qui aurait déjà fait l'objet de condamnations à plusieurs reprises. Selon la police il est armé et dangereux. L'homme, en contact avec les forces de l'ordre par téléphone, aurait déclaré avoir des bombes sur lui. Il retient en otages douze personnes, dont des membres de sa famille et des connaissances. On ne connaît pas encore exactement ses motivations. L'homme se trouverait dans une situation émotionnellement difficile. La police est présente en nombre sur place et un périmètre de sécurité a été instauré autour du restaurant. Source : Belga le 24 octobre 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18825&hl=
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l'homme a été arrêté, apparemment sans dégâts, après un assaut de la police.
jeudi 24 octobre 2013
suicide
Suicide d'un policier aux frontières de Roissy
C'est la pression hiérarchique sur les chiffres de l'immigration qui aurait conduit ce policier à se suicider avec son arme de service, selon son entourage.
À bout, le gardien de la paix Frédéric P., 38 ans, en fonction à la division immigration de la police aux frontières de Roissy (PAF), s'est donné la mort avec son arme de service. C'est son épouse qui a découvert le corps à leur domicile du Val-d'Oise. Selon son entourage professionnel, il s'était plaint de la trop grande pression de la hiérarchie relative aux chiffres de l'immigration imposés aux fonctionnaires de police. La commissaire qui dirige actuellement la division immigration à la PAF de Roissy occupait précédemment les mêmes fonctions à l'aéroport d'Orly. (...)
http://www.lepoint.fr/societe/suicide-d-un-policier-aux-frontieres-de-roissy-24-10-2013-1747521_23.php
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C'est la pression hiérarchique sur les chiffres de l'immigration qui aurait conduit ce policier à se suicider avec son arme de service, selon son entourage.
À bout, le gardien de la paix Frédéric P., 38 ans, en fonction à la division immigration de la police aux frontières de Roissy (PAF), s'est donné la mort avec son arme de service. C'est son épouse qui a découvert le corps à leur domicile du Val-d'Oise. Selon son entourage professionnel, il s'était plaint de la trop grande pression de la hiérarchie relative aux chiffres de l'immigration imposés aux fonctionnaires de police. La commissaire qui dirige actuellement la division immigration à la PAF de Roissy occupait précédemment les mêmes fonctions à l'aéroport d'Orly. (...)
http://www.lepoint.fr/societe/suicide-d-un-policier-aux-frontieres-de-roissy-24-10-2013-1747521_23.php
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voyeur
Un médecin place une caméra dans les vestiaires femmes d'une piscine
La mairie d'Autun (Saône-et-Loire) a déposé plainte.
La semaine dernière, une nageuse a eu la désagréable surprise de découvrir une mini-caméra dissimulée dans le vestiaire collectif du centre nautique d’Autun (Saône-et-Loire). Une caméra qu’elle s’est empressée de remettre au personnel de la piscine. Alertés, les gendarmes ont rapidement remonté la piste du voyeur, rapporte le site de "France 3 Bourgogne". Placé en garde à vue, ce médecin d’une cinquantaine d’années, bien connu dans la ville, aurait reconnu avoir posé la caméra pour satisfaire ses envies de voyeurisme. Les enquêteurs ont saisi des supports informatiques à son domicile et sur son lieu de travail. Ils sont en cours d’analyse par le laboratoire de la gendarmerie à Mâcon. Une plainte a été déposée par la Communauté des communes de l’Autunois, gestionnaire du centre nautique, afin de pouvoir se porter partie civile, précise le "JSL". Le voyeur a été laissé libre dans l'attente des résultats de l'enquête.
http://tempsreel.nouvelobs.com/faits-divers/20131024.OBS2574/un-medecin-place-une-camera-dans-les-vestiaires-femmes-d-une-piscine.html
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La mairie d'Autun (Saône-et-Loire) a déposé plainte.
La semaine dernière, une nageuse a eu la désagréable surprise de découvrir une mini-caméra dissimulée dans le vestiaire collectif du centre nautique d’Autun (Saône-et-Loire). Une caméra qu’elle s’est empressée de remettre au personnel de la piscine. Alertés, les gendarmes ont rapidement remonté la piste du voyeur, rapporte le site de "France 3 Bourgogne". Placé en garde à vue, ce médecin d’une cinquantaine d’années, bien connu dans la ville, aurait reconnu avoir posé la caméra pour satisfaire ses envies de voyeurisme. Les enquêteurs ont saisi des supports informatiques à son domicile et sur son lieu de travail. Ils sont en cours d’analyse par le laboratoire de la gendarmerie à Mâcon. Une plainte a été déposée par la Communauté des communes de l’Autunois, gestionnaire du centre nautique, afin de pouvoir se porter partie civile, précise le "JSL". Le voyeur a été laissé libre dans l'attente des résultats de l'enquête.
http://tempsreel.nouvelobs.com/faits-divers/20131024.OBS2574/un-medecin-place-une-camera-dans-les-vestiaires-femmes-d-une-piscine.html
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décès
La mort de la veuve de Tito suscite émotion et nostalgie
Plus encore qu’un témoin majeur, c’est le symbole d’une époque qui vient de disparaître. Jovanka Broz, la veuve du maréchal Tito, est morte dimanche à Belgrade. Elle était âgée de quatre-vingt-neuf ans et avait été hospitalisée le 23 août dernier pour un cancer en phase de généralisation. Son décès a suscité une vague d’émotion, qui a balayé toutes les républiques de l’ancienne Yougoslavie, de Ljubljana (Slovénie) à Skopje (Macédoine).
Le destin de la « camarade Jovanka », ainsi que beaucoup de gens l’appellent toujours, pourrait ressembler à une métaphore du destin de la Fédération yougoslave disparue. C’est dans le maquis qu’elle a rencontré Tito, de près de trente ans son aîné. La jeune femme avait rejoint, dès l’âge de dix-sept ans, la première brigade féminine des partisans où elle se distingua comme tireuse d’élite. Le couple fut l’icône « glamour » d’une Yougoslavie socialiste ouverte sur le monde : Tito et Jovanka arpentaient le monde sur le Galeb, le yacht présidentiel, pour aller à la rencontre des pays non alignés, ils recevaient les stars d’Hollywood dans la villa de l’île de Brioni…
Quelques années avant la mort de Tito (1980), Jovanka connaît une étrange mise à l’écart : elle ne voit plus son mari et disparaît des photos officielles. Elle aurait été mise sur la touche par quelques proches conseillers, notamment le Slovène Stane Dolenc, qui la soupçonnait d’être une « espionne soviétique ». Exclue de tout droit à la succession de son époux, dépourvue de pension de retraite, elle fut même privée de passeport et de tout document d’identité jusqu’en 2009… Réuni en séance d’urgence lundi matin, le gouvernement serbe a décidé de réparer cette injustice, en accordant les honneurs militaires à Jovanka, qui sera enterrée samedi dans la villa des Fleurs, à Belgrade, aux côtés de son époux, Josip Broz Tito. Jean-Arnault Dérens
http://www.humanite.fr/monde/la-mort-de-la-veuve-de-tito-suscite-emotion-et-nos-551712
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c'est l'agonie du Maréchal Tito, au printemps 1980, qui m'a conforté dans l'intérêt et le bon fonctionnement des biorythmes : elle a duré environ trois mois et les diverses alertes qui annonçaient une brutale aggravation de son état correspondaient quasiment chaque fois à un jour critique physique...
il est ensuite décédé le lendemain d'un jour doublement critique physique P7 et émotionnel E22. presque même situation que son épouse, Jovanka Broz qui est décédée un jour doublement critique physique P7 et émotionnel E8.
Plus encore qu’un témoin majeur, c’est le symbole d’une époque qui vient de disparaître. Jovanka Broz, la veuve du maréchal Tito, est morte dimanche à Belgrade. Elle était âgée de quatre-vingt-neuf ans et avait été hospitalisée le 23 août dernier pour un cancer en phase de généralisation. Son décès a suscité une vague d’émotion, qui a balayé toutes les républiques de l’ancienne Yougoslavie, de Ljubljana (Slovénie) à Skopje (Macédoine).
Le destin de la « camarade Jovanka », ainsi que beaucoup de gens l’appellent toujours, pourrait ressembler à une métaphore du destin de la Fédération yougoslave disparue. C’est dans le maquis qu’elle a rencontré Tito, de près de trente ans son aîné. La jeune femme avait rejoint, dès l’âge de dix-sept ans, la première brigade féminine des partisans où elle se distingua comme tireuse d’élite. Le couple fut l’icône « glamour » d’une Yougoslavie socialiste ouverte sur le monde : Tito et Jovanka arpentaient le monde sur le Galeb, le yacht présidentiel, pour aller à la rencontre des pays non alignés, ils recevaient les stars d’Hollywood dans la villa de l’île de Brioni…
Quelques années avant la mort de Tito (1980), Jovanka connaît une étrange mise à l’écart : elle ne voit plus son mari et disparaît des photos officielles. Elle aurait été mise sur la touche par quelques proches conseillers, notamment le Slovène Stane Dolenc, qui la soupçonnait d’être une « espionne soviétique ». Exclue de tout droit à la succession de son époux, dépourvue de pension de retraite, elle fut même privée de passeport et de tout document d’identité jusqu’en 2009… Réuni en séance d’urgence lundi matin, le gouvernement serbe a décidé de réparer cette injustice, en accordant les honneurs militaires à Jovanka, qui sera enterrée samedi dans la villa des Fleurs, à Belgrade, aux côtés de son époux, Josip Broz Tito. Jean-Arnault Dérens
http://www.humanite.fr/monde/la-mort-de-la-veuve-de-tito-suscite-emotion-et-nos-551712
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c'est l'agonie du Maréchal Tito, au printemps 1980, qui m'a conforté dans l'intérêt et le bon fonctionnement des biorythmes : elle a duré environ trois mois et les diverses alertes qui annonçaient une brutale aggravation de son état correspondaient quasiment chaque fois à un jour critique physique...
il est ensuite décédé le lendemain d'un jour doublement critique physique P7 et émotionnel E22. presque même situation que son épouse, Jovanka Broz qui est décédée un jour doublement critique physique P7 et émotionnel E8.
Origine du nom Tito
Josip Broz adopta le nom de Tito en 1934 alors qu'il était membre du bureau politique du parti, alors à Vienne en Autriche.
Une explication populaire mais non avérée dit que le nom vient de la concaténation de deux mots croate ou serbe ti (c'est-à-dire toi) et to (c'est-à-dire ça). Il aurait utilisé ces mots pour donner des ordres en pointant une personne puis une tâche à accomplir. Tito est aussi un ancien nom croate correspondant à Titus. Le biographe de Tito,Vladimir Dedijer, affirmait que son nom viendrait de l'auteur croate Tituš Brezovački.
c'est un nom qu'il a adopté lors de sa période critique septennale des 42 ans...
colère
Bordeaux : il fonce dans le tribunal avec son camion
Il voulait exprimer son mécontentement, il est en garde à vue.
Originaire de Cenon, il était déjà connu des services judiciaires
Vers 10 h 50 ce jeudi, un homme de 28 ans a franchi le trottoir rue des Frères Bonie au volant d'un camion de chantier pour aller percuter le mur en verre du tribunal de grande instance (TGI) de Bordeaux. Deux vitres ont été endommagées. L'homme a été rapidement interpellé par les policiers présents au palais de justice. Il a été placé en garde à vue à la Sûreté départementale. L'homme, originaire de Cenon et déjà connu des services judiciaires, voulait exprimer son mécontentement contre la justice. Il aura certainement l'occasion de s'en expliquer prochainement devant... la justice.
http://www.sudouest.fr/2013/10/24/bordeaux-mecontent-d-une-decision-de-justice-il-fonce-dans-le-tribunal-avec-son-camion-1209717-2780.php
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Il voulait exprimer son mécontentement, il est en garde à vue.
Originaire de Cenon, il était déjà connu des services judiciaires
Vers 10 h 50 ce jeudi, un homme de 28 ans a franchi le trottoir rue des Frères Bonie au volant d'un camion de chantier pour aller percuter le mur en verre du tribunal de grande instance (TGI) de Bordeaux. Deux vitres ont été endommagées. L'homme a été rapidement interpellé par les policiers présents au palais de justice. Il a été placé en garde à vue à la Sûreté départementale. L'homme, originaire de Cenon et déjà connu des services judiciaires, voulait exprimer son mécontentement contre la justice. Il aura certainement l'occasion de s'en expliquer prochainement devant... la justice.
http://www.sudouest.fr/2013/10/24/bordeaux-mecontent-d-une-decision-de-justice-il-fonce-dans-le-tribunal-avec-son-camion-1209717-2780.php
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exécuté
Exécution en Arizona, la deuxième de l'année, avec un nouveau barbiturique
Un quadragénaire américain a été exécuté mercredi en Arizona pour le meurtre de six personnes en 1996, la deuxième exécution de l'année avec une nouvelle drogue dans cet Etat du sud-ouest des Etats-Unis.
Robert Jones, 43 ans, a été déclaré mort à 10H52 (17H52 GMT) à Florence, a annoncé à l'AFP Doug Nick, porte-parole des prisons de l'Etat. Il a été exécuté par injection létale de pentobarbital que l'Etat s'est procuré "localement", a-t-il ajouté. Une controverse touche actuellement plusieurs Etats américains, dont l'Arizona, qui doivent faire face à un épuisement de leur stock d'anesthésiant pour conduire leurs exécutions. Les fournisseurs européens refusent de fournir à cette fin ce barbiturique, communément utilisé pour euthanasier les animaux, forçant les Etats à le faire fabriquer par des préparateurs en pharmacie non agréés au niveau fédéral. L'Arizona avait déjà exécuté Edward Schad, 71 ans, le 9 octobre par injection létale d'un nouveau barbiturique. Il s'agit de la 36e exécution dans cet Etat depuis le rétablissement de la peine capitale en 1976 et de la 32e en 2013 aux Etats-Unis. Robert Jones avait été condamné à mort six fois, le 17 février 2000, pour le meurtre de six personnes lors de deux vols à main armée commis à Tucson il y a 17 ans. Il était en liberté conditionnelle, quand, avec un complice, il a fait irruption dans un tabac tuant un client et un employé pour dérober la caisse. Deux semaines plus tard, il avait abattu quatre autres personnes dans un club des pompiers de Tucson, également pour dévaliser la recette. Tous ses appels avaient échoué jusque devant la Cour suprême des Etats-Unis. Source : AFP le 23 octobre 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18808&hl=
http://www.murderpedia.org/male.J/j/jones-robert-glen.htm
Un quadragénaire américain a été exécuté mercredi en Arizona pour le meurtre de six personnes en 1996, la deuxième exécution de l'année avec une nouvelle drogue dans cet Etat du sud-ouest des Etats-Unis.
Robert Jones, 43 ans, a été déclaré mort à 10H52 (17H52 GMT) à Florence, a annoncé à l'AFP Doug Nick, porte-parole des prisons de l'Etat. Il a été exécuté par injection létale de pentobarbital que l'Etat s'est procuré "localement", a-t-il ajouté. Une controverse touche actuellement plusieurs Etats américains, dont l'Arizona, qui doivent faire face à un épuisement de leur stock d'anesthésiant pour conduire leurs exécutions. Les fournisseurs européens refusent de fournir à cette fin ce barbiturique, communément utilisé pour euthanasier les animaux, forçant les Etats à le faire fabriquer par des préparateurs en pharmacie non agréés au niveau fédéral. L'Arizona avait déjà exécuté Edward Schad, 71 ans, le 9 octobre par injection létale d'un nouveau barbiturique. Il s'agit de la 36e exécution dans cet Etat depuis le rétablissement de la peine capitale en 1976 et de la 32e en 2013 aux Etats-Unis. Robert Jones avait été condamné à mort six fois, le 17 février 2000, pour le meurtre de six personnes lors de deux vols à main armée commis à Tucson il y a 17 ans. Il était en liberté conditionnelle, quand, avec un complice, il a fait irruption dans un tabac tuant un client et un employé pour dérober la caisse. Deux semaines plus tard, il avait abattu quatre autres personnes dans un club des pompiers de Tucson, également pour dévaliser la recette. Tous ses appels avaient échoué jusque devant la Cour suprême des Etats-Unis. Source : AFP le 23 octobre 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18808&hl=
| Classification: Murderer |
| Characteristics: Robberies |
| Number of victims: 7 |
| Date of murders: May-August 1996 |
| Date of birth: December 25, 1969 |
| Victims profile: Men and women |
| Method of murder: Shooting |
| Location: Pima County, Arizona, USA |
| Status: Sentenced to death on February 17, 2000 |
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30 mai 1996 et
13 juin 1996 (25/12/1969)
Sa 25 P(12)
Di 26
Lu 27
Ma 28
Me 29 I(17)
Je 30 E(22)
Ve 31 P(18)
Juin 1996
Sa 1
Di 2
Lu 3
Ma 4
Me 5
Je 6 P(1) E(1)
Ve 7 I(26)
Sa 8
Di 9
Lu 10
Ma 11 P(6)
Me 12 P(7)
Je 13 E(8)
Ve 14
Sa 15 I(1)
Di 16
Lu 17 P(12)
situation on ne peut plus claire, le jour des deux expéditions meurtrières : à chaque fois le jour critique émotionnel, dans un épisode triplement critique (30 mai 1996) ou doublement critique (13 juin).
(26 ans et 5 mois)
Di 26
Lu 27
Ma 28
Me 29 I(17)
Je 30 E(22)
Ve 31 P(18)
Juin 1996
Sa 1
Di 2
Lu 3
Ma 4
Me 5
Je 6 P(1) E(1)
Ve 7 I(26)
Sa 8
Di 9
Lu 10
Ma 11 P(6)
Me 12 P(7)
Je 13 E(8)
Ve 14
Sa 15 I(1)
Di 16
Lu 17 P(12)
situation on ne peut plus claire, le jour des deux expéditions meurtrières : à chaque fois le jour critique émotionnel, dans un épisode triplement critique (30 mai 1996) ou doublement critique (13 juin).
(26 ans et 5 mois)
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