Un pédophile britannique arrêté en Bulgarie
Un Britannique de 63 ans a été arrêté samedi en Bulgarie pour avoir fait subir des sévices sexuels à deux garçons de dix et onze ans, a annoncé le ministère de l'Intérieur. Le Britannique s'était installé dans le village de Stambolovo, dans le centre de Bulgarie, après avoir purgé une peine de prison de trois ans dans son pays pour avoir eu des relations sexuelles avec des mineurs.
Il rencontrait les deux garçons avec l'accord de leurs parents auxquels il avait acheté une maison et payait les factures. Il achetait également de la nourriture et des cadeaux aux enfants.
La police a surpris l'homme avec un des garçons samedi matin à son domicile. Une enquête est en cours.
http://www.europe1.fr/International/Un-pedophile-britannique-arrete-en-Bulgarie-1060357/
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lundi 30 avril 2012
drame
Ivry-sur-Seine : le petit garçon tombé du 4e étage avec sa mère est décédé
Il n’a pas survécu à la terrible chute. Le petit garçon de deux ans, tombé dimanche après-midi avec sa mère du quatrième étage du 57, rue Jean-Le Galleu à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), est décédé tôt lundi matin à l’hôpital Necker à Paris (XVe).
Sa maman est toujours dans le coma à l’hôpital du Kremlin-Bicêtre avec un pronostic vital engagé. Une autopsie aura lieu mercredi matin pour définir exactement les causes de la mort de l’enfant, même s’il fait peu de doutes qu’elle est due à la chute de plusieurs mètres.
Le drame s’est noué hier aux alentours de 13h30 dans cette petite résidence privée du haut d’Ivry. Selon plusieurs sources concordantes, la femme, prénommée Nathalie et âgée d’une trentaine d’années, est tombée par la fenêtre de son appartement avec son fils né en 2010 dans les bras. «Vers 14 heures, j’ai vu les pompiers, le Samu et la police. Il y avait beaucoup de monde», témoignait hier un employé de la pizzéria attenante à l’immeuble. Les premiers éléments montrent que la jeune femme s’était enfermée dans sa chambre avec son garçon suite à une énième dispute avec son mari. «Ils avaient des problèmes familiaux, la police avait déjà été appelée plusieurs fois», assure une voisine. Le dernier conflit dans le couple remonte à samedi. La mère de famille a alors quitté le domicile conjugal pour se réfugier pour une nuit chez ses parents à Yerres (Essonne), avant de revenir à Ivry dimanche midi.
«Une demie-heure après, elle se serait enfermée avec son enfant dans une chambre, tandis que son mari était dans le salon», détaille une source judiciaire. La porte était fermée de l’intérieur, et les pompiers ont dû la casser pour y rentrer». La clef était engagée dans la serrure côté chambre, ce qui semble exclure toute implication directe du mari dans la défenestration. Ce dernier a été entendu dimanche par le service d’accueil et d’investigation de proximité (Saip) du commissariat d’Ivry et remis en liberté dans la soirée. Le Saip a été saisi dans le cadre d’une enquête préliminaire pour déterminer les circonstances de cette double défenestration, et notamment si la maman a voulu se suicider en emmenant son enfant avec elle. «Seule la mère, si elle survit, pourra expliquer exactement ce qui s’est passé», souligne une source judiciaire.
LeParisien.fr
http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/ivry-sur-seine-le-petit-garcon-defenestre-avec-sa-mere-est-decede-30-04-2012-1978955.php
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Il n’a pas survécu à la terrible chute. Le petit garçon de deux ans, tombé dimanche après-midi avec sa mère du quatrième étage du 57, rue Jean-Le Galleu à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), est décédé tôt lundi matin à l’hôpital Necker à Paris (XVe).
Sa maman est toujours dans le coma à l’hôpital du Kremlin-Bicêtre avec un pronostic vital engagé. Une autopsie aura lieu mercredi matin pour définir exactement les causes de la mort de l’enfant, même s’il fait peu de doutes qu’elle est due à la chute de plusieurs mètres.
Le drame s’est noué hier aux alentours de 13h30 dans cette petite résidence privée du haut d’Ivry. Selon plusieurs sources concordantes, la femme, prénommée Nathalie et âgée d’une trentaine d’années, est tombée par la fenêtre de son appartement avec son fils né en 2010 dans les bras. «Vers 14 heures, j’ai vu les pompiers, le Samu et la police. Il y avait beaucoup de monde», témoignait hier un employé de la pizzéria attenante à l’immeuble. Les premiers éléments montrent que la jeune femme s’était enfermée dans sa chambre avec son garçon suite à une énième dispute avec son mari. «Ils avaient des problèmes familiaux, la police avait déjà été appelée plusieurs fois», assure une voisine. Le dernier conflit dans le couple remonte à samedi. La mère de famille a alors quitté le domicile conjugal pour se réfugier pour une nuit chez ses parents à Yerres (Essonne), avant de revenir à Ivry dimanche midi.
«Une demie-heure après, elle se serait enfermée avec son enfant dans une chambre, tandis que son mari était dans le salon», détaille une source judiciaire. La porte était fermée de l’intérieur, et les pompiers ont dû la casser pour y rentrer». La clef était engagée dans la serrure côté chambre, ce qui semble exclure toute implication directe du mari dans la défenestration. Ce dernier a été entendu dimanche par le service d’accueil et d’investigation de proximité (Saip) du commissariat d’Ivry et remis en liberté dans la soirée. Le Saip a été saisi dans le cadre d’une enquête préliminaire pour déterminer les circonstances de cette double défenestration, et notamment si la maman a voulu se suicider en emmenant son enfant avec elle. «Seule la mère, si elle survit, pourra expliquer exactement ce qui s’est passé», souligne une source judiciaire.
LeParisien.fr
http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/ivry-sur-seine-le-petit-garcon-defenestre-avec-sa-mere-est-decede-30-04-2012-1978955.php
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drame
Une mère dépressive noie son bébé à Mont-Saint-Amand
En plein "baby blues", une maman noie son bébé dans son bain.
Une femme a noyé son bébé âgé d'un mois vendredi matin à Mont-Saint-Amand (Gand), écrit lundi Het Laatste Nieuws. La petite fille a été noyée dans son bain dans la maison familiale. La jeune mère, originaire du Cameroun, souffrait peut-être d'une dépression post-natale, selon le parquet de Gand. Elle a été placée sous mandat d'arrêt et comparaîtra mercredi devant la chambre du conseil.
http://www.rtl.be/info/votreregion/flandre/874365/une-mere-depressive-noie-son-bebe-a-mont-saint-amand
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En plein "baby blues", une maman noie son bébé dans son bain.
Une femme a noyé son bébé âgé d'un mois vendredi matin à Mont-Saint-Amand (Gand), écrit lundi Het Laatste Nieuws. La petite fille a été noyée dans son bain dans la maison familiale. La jeune mère, originaire du Cameroun, souffrait peut-être d'une dépression post-natale, selon le parquet de Gand. Elle a été placée sous mandat d'arrêt et comparaîtra mercredi devant la chambre du conseil.
http://www.rtl.be/info/votreregion/flandre/874365/une-mere-depressive-noie-son-bebe-a-mont-saint-amand
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amour perdu... et éléments critiques...
L'amour perdu responsable de 56 % des meurtres
L’histoire récente du Québec a révélé d’autres infamies qui allongent la liste. On peut penser à Guy Turcotte , à Cathie Gauthier-Lachance et à Pascal Morin.
Entre 1997 et 2007, le Québec a été le théâtre de 150 homicides intrafamiliaux, incluant dix tueries d'enfants qui ont fait seize victimes innocentes.
L'histoire récente du Québec a révélé d'autres infamies qui allongent la liste. On peut penser à Guy Turcotte, à Cathie Gauthier-Lachance et à Pascal Morin, qui vient d'être déclaré apte à comparaître pour le meurtre de sa mère et de ses deux petites nièces.
Devant ces données inquiétantes, le ministre de la Santé a demandé la mise sur pied d'un comité d'experts chargé d'étudier le phénomène des homicides intrafamiliaux. Le rapport sera déposé d'ici au début de l'été.
Passage à l'acte
Depuis quinze ans, la psychologue Suzanne Léveillée s'intéresse à la notion du passage à l'acte.
Tant pour l'homicide conjugal que pour le familicide, la séparation amoureuse est responsable de 56 % des cas. La perte d'argent est le deuxième facteur.
«Ces hommes sont incapables de se séparer de leur conjointe, de faire face à la perte, même s'ils sont conscients des difficultés vécues au sein du couple», a-t-elle expliqué.
Dans le cadre de ses recherches, la psychologue a rencontré plusieurs condamnés pour homicide conjugal, en milieu carcéral. Il est rare que les auteurs de familicide survivent à leur geste, puisque 80 % d'entre eux se suicident.
«Il y a des hommes qui réussissent à mettre ça de côté pour réussir à fonctionner, a expliqué la psychologue. Tuer quelqu'un et être victime, c'est différent. Ça n'a pas le même impact psychologique. Certains n'ont pas beaucoup de culpabilité. Ils contrôlent l'autre jusque dans la mort.»
Prévention
La meilleure façon de prévenir ces homicides consiste à mieux comprendre les enjeux susceptibles de les déclencher.
«De nos jours, la performance est au premier plan. Les gens ne prennent pas le temps de vivre leurs émotions et, souvent, se lancent dans l'action de tout ordre pour ne pas ressentir», a-t-elle affirmé.
Mme Léveillée est coauteure du livre Ces hommes qui tuent leur famille. Elle a également participé aux travaux du comité d'experts dont le mandat était d'étudier le phénomène aussi bien au Québec que dans d'autres sociétés.
Le jour où la vie bascule
«Bonne fête, mon petit Justin d'amour.
Aujourd'hui, tu serais devenu un adulte... Je donnerais ma vie si on me donnait l'opportunité de passer ne serait-ce qu'une petite heure avec toi.»
Ces vœux sont ceux de Marie-Paule McInnis, publiés sur Facebook le 29 mars pour l'anniversaire de son fils, Justin, mort avec son frère dans l'incendie de leur demeure allumé par leur père, à Port-Daniel, en Gaspésie.
Impossible à oublier
Bien que les événements remontent à 1996, la mère de 47 ans n'a rien oublié de ce soir tragique du 2 juillet où sa vie a basculé à tout jamais. «C'est là jusqu'à mon dernier souffle. La douleur ne s'en ira jamais. J'ai compris ça avec le temps», a-t-elle dit.
Vie insoutenable
Victime de violence conjugale, elle était séparée depuis un mois. Sa relation avec Jules-André Langlois était devenue insoutenable. Il lui interdisait de sortir, la menaçait, l'intimidait. Elle vivait sous son emprise.
«Contre sa volonté, je suis allée une fois chez la coiffeuse. Quand je suis revenue à la maison, le petit était assis par terre avec de gros couteaux tout autour de lui. Le message était clair.»
Dans les jours précédant la tragédie, elle avait loué un logement à proximité du domicile familial pour être près de ses fils.
«Je gardais espoir qu'il ne leur fasse rien. Ce n'était pas la première fois que je partais, mais il a vu que, cette fois, c'était plus sérieux.»
Pendant qu'il travaillait, elle gardait Justin et Jérôme avec elle. Le soir, il reprenait les enfants avec lui. À deux jours de l'audition devant la cour pour régler la question sur la garde partagée, il est passé à l'acte.
(...)
Chaque année, au Québec
— 1 familicide
— 3 homicides conjugaux
Les motivations — Perte amoureuse : 56 %
— Perte sociale (perte d'argent) : 31 %
— Perturbation de l'état mental : 19 %
Source : Canoë
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=13909&hl=
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les motivations sont intéressantes à connaître. (curieusement çà fait 106 % mais il y a peut-être des motivations multiples, parfois)
ensuite il faudrait s'intéresser aux cycles psychiques humains pour probablement constater qu'ils ont joué un rôle dans la plupart des cas... : que ce soit une perte amoureuse, une perte sociale ou une perturbation de l'état mental, les jours et périodes critiques de nos cycles jouent un rôle d'activateur et/ou de délencheur et souvent le drame arrive plus difficilement sans eux...
ce serait à étudier avec tous les cas arrivés : les quatre cas cités ci-dessus (Turcotte, Gauthier-Lachance, Maurin, Langlois), ont tous les quatre probablement un lien direct ou indirect avec l'arrivée et le passage des personnes dans la période critique septennale des 35 ans.
le jour critique émotionnel est le jour du drame pour Guy Turcotte mais je n'ai pas pu vérifier les autres cas où un jour critique risque également d'être présent et en cause.
autres éléments : la compatibilité avec le conjoint en situation critique (jour et/ou période longue)
mais tout ceci serait d'abord à regarder et étudier de près : un résultat probablement positif servirait ensuite à faire une prévention bien plus efficace, si les éléments moteurs (qui s'ajoutent aux motivations citées) d'un drame sont connus, et s'ils sont pris en compte à l'avance.
L’histoire récente du Québec a révélé d’autres infamies qui allongent la liste. On peut penser à Guy Turcotte , à Cathie Gauthier-Lachance et à Pascal Morin.
Entre 1997 et 2007, le Québec a été le théâtre de 150 homicides intrafamiliaux, incluant dix tueries d'enfants qui ont fait seize victimes innocentes.
L'histoire récente du Québec a révélé d'autres infamies qui allongent la liste. On peut penser à Guy Turcotte, à Cathie Gauthier-Lachance et à Pascal Morin, qui vient d'être déclaré apte à comparaître pour le meurtre de sa mère et de ses deux petites nièces.
Devant ces données inquiétantes, le ministre de la Santé a demandé la mise sur pied d'un comité d'experts chargé d'étudier le phénomène des homicides intrafamiliaux. Le rapport sera déposé d'ici au début de l'été.
Passage à l'acte
Depuis quinze ans, la psychologue Suzanne Léveillée s'intéresse à la notion du passage à l'acte.
Tant pour l'homicide conjugal que pour le familicide, la séparation amoureuse est responsable de 56 % des cas. La perte d'argent est le deuxième facteur.
«Ces hommes sont incapables de se séparer de leur conjointe, de faire face à la perte, même s'ils sont conscients des difficultés vécues au sein du couple», a-t-elle expliqué.
Dans le cadre de ses recherches, la psychologue a rencontré plusieurs condamnés pour homicide conjugal, en milieu carcéral. Il est rare que les auteurs de familicide survivent à leur geste, puisque 80 % d'entre eux se suicident.
«Il y a des hommes qui réussissent à mettre ça de côté pour réussir à fonctionner, a expliqué la psychologue. Tuer quelqu'un et être victime, c'est différent. Ça n'a pas le même impact psychologique. Certains n'ont pas beaucoup de culpabilité. Ils contrôlent l'autre jusque dans la mort.»
Prévention
La meilleure façon de prévenir ces homicides consiste à mieux comprendre les enjeux susceptibles de les déclencher.
«De nos jours, la performance est au premier plan. Les gens ne prennent pas le temps de vivre leurs émotions et, souvent, se lancent dans l'action de tout ordre pour ne pas ressentir», a-t-elle affirmé.
Mme Léveillée est coauteure du livre Ces hommes qui tuent leur famille. Elle a également participé aux travaux du comité d'experts dont le mandat était d'étudier le phénomène aussi bien au Québec que dans d'autres sociétés.
Le jour où la vie bascule
«Bonne fête, mon petit Justin d'amour.
Aujourd'hui, tu serais devenu un adulte... Je donnerais ma vie si on me donnait l'opportunité de passer ne serait-ce qu'une petite heure avec toi.»
Ces vœux sont ceux de Marie-Paule McInnis, publiés sur Facebook le 29 mars pour l'anniversaire de son fils, Justin, mort avec son frère dans l'incendie de leur demeure allumé par leur père, à Port-Daniel, en Gaspésie.
Impossible à oublier
Bien que les événements remontent à 1996, la mère de 47 ans n'a rien oublié de ce soir tragique du 2 juillet où sa vie a basculé à tout jamais. «C'est là jusqu'à mon dernier souffle. La douleur ne s'en ira jamais. J'ai compris ça avec le temps», a-t-elle dit.
Vie insoutenable
Victime de violence conjugale, elle était séparée depuis un mois. Sa relation avec Jules-André Langlois était devenue insoutenable. Il lui interdisait de sortir, la menaçait, l'intimidait. Elle vivait sous son emprise.
«Contre sa volonté, je suis allée une fois chez la coiffeuse. Quand je suis revenue à la maison, le petit était assis par terre avec de gros couteaux tout autour de lui. Le message était clair.»
Dans les jours précédant la tragédie, elle avait loué un logement à proximité du domicile familial pour être près de ses fils.
«Je gardais espoir qu'il ne leur fasse rien. Ce n'était pas la première fois que je partais, mais il a vu que, cette fois, c'était plus sérieux.»
Pendant qu'il travaillait, elle gardait Justin et Jérôme avec elle. Le soir, il reprenait les enfants avec lui. À deux jours de l'audition devant la cour pour régler la question sur la garde partagée, il est passé à l'acte.
(...)
Chaque année, au Québec
— 1 familicide
— 3 homicides conjugaux
Les motivations — Perte amoureuse : 56 %
— Perte sociale (perte d'argent) : 31 %
— Perturbation de l'état mental : 19 %
Source : Canoë
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=13909&hl=
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les motivations sont intéressantes à connaître. (curieusement çà fait 106 % mais il y a peut-être des motivations multiples, parfois)
ensuite il faudrait s'intéresser aux cycles psychiques humains pour probablement constater qu'ils ont joué un rôle dans la plupart des cas... : que ce soit une perte amoureuse, une perte sociale ou une perturbation de l'état mental, les jours et périodes critiques de nos cycles jouent un rôle d'activateur et/ou de délencheur et souvent le drame arrive plus difficilement sans eux...
ce serait à étudier avec tous les cas arrivés : les quatre cas cités ci-dessus (Turcotte, Gauthier-Lachance, Maurin, Langlois), ont tous les quatre probablement un lien direct ou indirect avec l'arrivée et le passage des personnes dans la période critique septennale des 35 ans.
le jour critique émotionnel est le jour du drame pour Guy Turcotte mais je n'ai pas pu vérifier les autres cas où un jour critique risque également d'être présent et en cause.
autres éléments : la compatibilité avec le conjoint en situation critique (jour et/ou période longue)
mais tout ceci serait d'abord à regarder et étudier de près : un résultat probablement positif servirait ensuite à faire une prévention bien plus efficace, si les éléments moteurs (qui s'ajoutent aux motivations citées) d'un drame sont connus, et s'ils sont pris en compte à l'avance.
retrouvé mort
Le pilote disparu mi-avril a été retrouvé mort
SUISSE CENTRALE — L'épave d'un motoplaneur disparu depuis près de trois semaines a été retrouvée samedi soir dans le canton de Schwytz.
La dépouille du pilote de 63 ans se trouvait dans l'habitacle, a indiqué dimanche la police cantonale.
Les secouristes ont localisé depuis un hélicoptère la queue de l'appareil dans un champ de neige situé à 1700 mètres d'altitude dans la commune d'Innerthal (SZ).
Le cadavre du pilote a pu être extrait de l'habitacle dimanche par la police schwyzoise et zurichoise.
La dépouille est examinée à l'Institut de médecine légale de Zurich pour déterminer les causes de la mort. L'appareil avait décollé de Hausen Am Albis (ZH) et n'avait plus donné signe depuis la mi-avril.
http://www.lematin.ch/suisse/Le-pilote-disparu-miavril-a-ete-retrouve-mort-/story/25606317
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SUISSE CENTRALE — L'épave d'un motoplaneur disparu depuis près de trois semaines a été retrouvée samedi soir dans le canton de Schwytz.
La dépouille du pilote de 63 ans se trouvait dans l'habitacle, a indiqué dimanche la police cantonale.
Les secouristes ont localisé depuis un hélicoptère la queue de l'appareil dans un champ de neige situé à 1700 mètres d'altitude dans la commune d'Innerthal (SZ).
Le cadavre du pilote a pu être extrait de l'habitacle dimanche par la police schwyzoise et zurichoise.
La dépouille est examinée à l'Institut de médecine légale de Zurich pour déterminer les causes de la mort. L'appareil avait décollé de Hausen Am Albis (ZH) et n'avait plus donné signe depuis la mi-avril.
http://www.lematin.ch/suisse/Le-pilote-disparu-miavril-a-ete-retrouve-mort-/story/25606317
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drame familial
Tirlemont: une mère et ses deux enfants tués pendant la nuit, le père suspecté
Un drame familial s'est déroulé dans la nuit de samedi à dimanche à Tirlemont. Trois personnes sont décédées. Le drame est encore mystérieux et la police scientifique s'affaire sur les lieux. Le père de famille, soupçonné des meurtre et grièvement blessé, sera bientôt auditionné.
La police locale a reçu un appel entre 4 et 5 heures du matin. Sur place, les policiers ont découvert trois personnes mortes: une femme de 25 ans et ses deux enfants, âgés respectivement de 1 an et demi et 7 ans. Ils ont été tués dans la nuit de samedi à dimanche à la suite d'un drame familial à Tirlemont. La police locale a interpellé le père des enfants, âgé de 26 ans, qui est fortement soupçonné d'être l'auteur des faits. Ce dernier est blessé mais il n'est pas en danger de mort. Il n'a cependant pas encore pu être interrogé étant donné la nature de ses blessures. Il devra bientôt répondre aux enquêteurs. La justice ne dispose donc pas pour l'instant d'informations sur le déroulement précis des faits. (.....)
http://www.rtl.be/info/votreregion/flandre/874228/tirlemont-trois-morts-lors-d-un-drame-familial
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Un drame familial s'est déroulé dans la nuit de samedi à dimanche à Tirlemont. Trois personnes sont décédées. Le drame est encore mystérieux et la police scientifique s'affaire sur les lieux. Le père de famille, soupçonné des meurtre et grièvement blessé, sera bientôt auditionné.
La police locale a reçu un appel entre 4 et 5 heures du matin. Sur place, les policiers ont découvert trois personnes mortes: une femme de 25 ans et ses deux enfants, âgés respectivement de 1 an et demi et 7 ans. Ils ont été tués dans la nuit de samedi à dimanche à la suite d'un drame familial à Tirlemont. La police locale a interpellé le père des enfants, âgé de 26 ans, qui est fortement soupçonné d'être l'auteur des faits. Ce dernier est blessé mais il n'est pas en danger de mort. Il n'a cependant pas encore pu être interrogé étant donné la nature de ses blessures. Il devra bientôt répondre aux enquêteurs. La justice ne dispose donc pas pour l'instant d'informations sur le déroulement précis des faits. (.....)
http://www.rtl.be/info/votreregion/flandre/874228/tirlemont-trois-morts-lors-d-un-drame-familial
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dimanche 29 avril 2012
décès
Choukri Ghanem, ancien ministre libyen du pétrole, était un proche de Mouammar Kadhafi.
Le corps de l'ancien ministre libyen du pétrole et proche du dictateur déchu depuis décédé Mouammar Kadhafi, Choukri Ghanem, mort dimanche 29 avril à Vienne où il s'était exilé, a été retrouvé dans le Danube, a annoncé la police.
Le cadavre de cet homme de 69 ans a été découvert dans le fleuve vers 8h40 par un passant, selon un communiqué de la police.
L'agence de presse autrichienne APA citant un expert de l'islam, Amer al-Bayati, qui lui-même se référait à la famille du défunt, avait dans un premier temps indiqué qu'il avait été retrouvé mort dans son appartement, apparemment victime d'une crise cardiaque.
Aucun signe de violence
Aucun signe de violence n'a été relevé sur le corps, a indiqué un porte-parole de la police viennoise, Roman Hahslinger. "Il est possible qu'il ait été pris d'un malaise et qu'il soit tombé à l'eau", a-t-il dit.
Une autopsie va être réalisée pour déterminer les causes du décès. (.....)
http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20120429.OBS7351/vienne-un-ancien-ministre-libyen-retrouve-mort-dans-le-danube.html
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c'est un décès septennal au moment de l'entrée dans la période critique septennale des 70 ans (69 ans et 7 mois).
sa situation :
avril 2012 (9/10/1942)
Lu 23
Ma 24
Me 25
Je 26 I(26)
Ve 27 P(12) E(8)
Sa 28
Di 29
Lu 30
Le corps de l'ancien ministre libyen du pétrole et proche du dictateur déchu depuis décédé Mouammar Kadhafi, Choukri Ghanem, mort dimanche 29 avril à Vienne où il s'était exilé, a été retrouvé dans le Danube, a annoncé la police.
Le cadavre de cet homme de 69 ans a été découvert dans le fleuve vers 8h40 par un passant, selon un communiqué de la police.
L'agence de presse autrichienne APA citant un expert de l'islam, Amer al-Bayati, qui lui-même se référait à la famille du défunt, avait dans un premier temps indiqué qu'il avait été retrouvé mort dans son appartement, apparemment victime d'une crise cardiaque.
Aucun signe de violence
Aucun signe de violence n'a été relevé sur le corps, a indiqué un porte-parole de la police viennoise, Roman Hahslinger. "Il est possible qu'il ait été pris d'un malaise et qu'il soit tombé à l'eau", a-t-il dit.
Une autopsie va être réalisée pour déterminer les causes du décès. (.....)
http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20120429.OBS7351/vienne-un-ancien-ministre-libyen-retrouve-mort-dans-le-danube.html
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c'est un décès septennal au moment de l'entrée dans la période critique septennale des 70 ans (69 ans et 7 mois).
sa situation :
avril 2012 (9/10/1942)
Lu 23
Ma 24
Me 25
Je 26 I(26)
Ve 27 P(12) E(8)
Sa 28
Di 29
Lu 30
lynché
Un pédophile présumé lynché au Mexique
Un Mexicain de 48 ans, soupçonné d'avoir abusé d'un enfant de 4 ans, a été lynché par ses voisins dans l'État de Durango (nord-ouest du pays), rapporte vendredi le parquet mexicain.
Selon le parquet, un enfant a confié à ses proches et à ses voisins qu'un homme l'avait attrapé et emmené de force dans sa maison. Les gens, furieux, ont fait irruption au domicile du pédophile présumé et se sont mis à le passer à tabac.
Les policiers dépêchés sur les lieux ont réussi à arracher l'homme des mains de ses voisins alors qu'il était encore vivant. Mais en arrivant au poste de police local, le suspect a succombé à ses blessures, rendant ainsi impossible l'établissement des détails de l'incident ou une explication du criminel présumé.
Source : Ria ru le 28 avril 2012
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=13895&hl=
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Un Mexicain de 48 ans, soupçonné d'avoir abusé d'un enfant de 4 ans, a été lynché par ses voisins dans l'État de Durango (nord-ouest du pays), rapporte vendredi le parquet mexicain.
Selon le parquet, un enfant a confié à ses proches et à ses voisins qu'un homme l'avait attrapé et emmené de force dans sa maison. Les gens, furieux, ont fait irruption au domicile du pédophile présumé et se sont mis à le passer à tabac.
Les policiers dépêchés sur les lieux ont réussi à arracher l'homme des mains de ses voisins alors qu'il était encore vivant. Mais en arrivant au poste de police local, le suspect a succombé à ses blessures, rendant ainsi impossible l'établissement des détails de l'incident ou une explication du criminel présumé.
Source : Ria ru le 28 avril 2012
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=13895&hl=
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décès
Wikipédia :
Roland Moreno est un inventeur français né le 11 juin 1945 au Caire et mort le 29 avril 2012 à Paris1, célèbre notamment pour avoir inventé la carte à puce en 1974.
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c'est un décès à 66 ans et 10 mois, la veille de son jour critique émotionnel E15.
l'invention de la carte à puce date de sa période critique septennale des 28 ans (brevet 25 mars 1974) : les périodes critiques sont fréquemment présentes lors d'inventions et découvertes intéressantes et importantes... ce sont des périodes d'inspiration et de motivation...
Roland Moreno est un inventeur français né le 11 juin 1945 au Caire et mort le 29 avril 2012 à Paris1, célèbre notamment pour avoir inventé la carte à puce en 1974.
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c'est un décès à 66 ans et 10 mois, la veille de son jour critique émotionnel E15.
l'invention de la carte à puce date de sa période critique septennale des 28 ans (brevet 25 mars 1974) : les périodes critiques sont fréquemment présentes lors d'inventions et découvertes intéressantes et importantes... ce sont des périodes d'inspiration et de motivation...
décès
La triste nouvelle est tombée aujourd'hui dimanche 29 avril : le chanteur Eric Charden, du duo à succès Stone et Charden, est décédé des suites d'"une longue maladie" a annoncé son service de presse. (.....)
http://www.closermag.fr/content/66692/le-chanteur-eric-charden-est-decede
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c'est un décès septennal, à l'entrée dans la période critique septennale des 70 ans et le lendemain d'un jour critique physique P7.
(15/10/1942 - 29/04/2012)
http://www.closermag.fr/content/66692/le-chanteur-eric-charden-est-decede
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c'est un décès septennal, à l'entrée dans la période critique septennale des 70 ans et le lendemain d'un jour critique physique P7.
(15/10/1942 - 29/04/2012)
piégé
Présumé pédophile piégé
QUÉBEC - E P G, un homme de 29 ans qui habite la région de Montréal, croyait, mercredi soir, aller rencontrer un jeune gamin de 12 ans. Il s’est plutôt fait surprendre par les policiers du Service de police de la ville de Québec.
C’est dans le terrain de stationnement de l’école Saint-Jean-Eudes, à Charlesbourg, que l’homme et sa présumée victime — qui était alors supervisée par les policiers — s’étaient donné rendez-vous vers 19 h 30.
Au lieu de trouver à cet endroit un jeune garçon qui fréquente l’école primaire, G s’est plutôt retrouvé face aux policiers qui l’ont cueilli comme un fruit mûr.(.....)
Comme il n’avait aucun antécédent judiciaire, la procureure aux poursuites criminelles et pénales, Me Sarah-Julie Chicoine, a accepté de remettre l’accusé en liberté en attendant la suite des procédures.(.....)
Sous le choc
Joint au téléphone en fin de journée hier, l’un de ses amis s’est dit sous le choc et complètement dépassé par la nouvelle.
Selon lui, l’accusé avait une vie rangée avec sa copine et jamais il n’aurait cru une telle chose possible.
« Même s’il y a des accusations, je ne vais le croire que lorsqu’il aura été reconnu coupable. Je ne lui ai pas encore parlé. D’ailleurs, aujourd’hui (hier), tout le monde le cherchait et on pensait qu’il avait peut-être eu un accident. Vous venez de me fournir une réponse, mais je suis abasourdi », a ajouté l’interlocuteur qui connaît l’accusé depuis au moins dix ans.
http://www.journaldequebec.com/2012/04/26/cyberpredateur-piege
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attention au réveil ou à la survenance de tendances enfouies ou cachées, et jusque là inoffensives : lorsqu'arrive une période critique septennale (ici probablement celle des 28 ans) peuvent survenir momentanément ou pour plus longtemps, un changement de personnalité, des pulsions ainsi qu'un effet de désinhibition... donnant ainsi lieu à une possibilité de passage à l'acte incompréhensible et inexpliqué, pour tous y compris parfois pour l'auteur lui-même...
QUÉBEC - E P G, un homme de 29 ans qui habite la région de Montréal, croyait, mercredi soir, aller rencontrer un jeune gamin de 12 ans. Il s’est plutôt fait surprendre par les policiers du Service de police de la ville de Québec.
C’est dans le terrain de stationnement de l’école Saint-Jean-Eudes, à Charlesbourg, que l’homme et sa présumée victime — qui était alors supervisée par les policiers — s’étaient donné rendez-vous vers 19 h 30.
Au lieu de trouver à cet endroit un jeune garçon qui fréquente l’école primaire, G s’est plutôt retrouvé face aux policiers qui l’ont cueilli comme un fruit mûr.(.....)
Comme il n’avait aucun antécédent judiciaire, la procureure aux poursuites criminelles et pénales, Me Sarah-Julie Chicoine, a accepté de remettre l’accusé en liberté en attendant la suite des procédures.(.....)
Sous le choc
Joint au téléphone en fin de journée hier, l’un de ses amis s’est dit sous le choc et complètement dépassé par la nouvelle.
Selon lui, l’accusé avait une vie rangée avec sa copine et jamais il n’aurait cru une telle chose possible.
« Même s’il y a des accusations, je ne vais le croire que lorsqu’il aura été reconnu coupable. Je ne lui ai pas encore parlé. D’ailleurs, aujourd’hui (hier), tout le monde le cherchait et on pensait qu’il avait peut-être eu un accident. Vous venez de me fournir une réponse, mais je suis abasourdi », a ajouté l’interlocuteur qui connaît l’accusé depuis au moins dix ans.
http://www.journaldequebec.com/2012/04/26/cyberpredateur-piege
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attention au réveil ou à la survenance de tendances enfouies ou cachées, et jusque là inoffensives : lorsqu'arrive une période critique septennale (ici probablement celle des 28 ans) peuvent survenir momentanément ou pour plus longtemps, un changement de personnalité, des pulsions ainsi qu'un effet de désinhibition... donnant ainsi lieu à une possibilité de passage à l'acte incompréhensible et inexpliqué, pour tous y compris parfois pour l'auteur lui-même...
dentiste
Pour se venger, une dentiste arrache toutes les dents de son ex-compagnon
En voilà un qui aurait peut-être dû réfléchir à deux fois avant de quitter sa compagne dentiste pour une autre femme. A M, 34 ans, s’est vengée de son ex-petit ami d'une terrible façon, raconte le site Atlantico. Elle lui a administré une forte dose d’anesthésiant avant de lui arracher l’intégralité de ses dents. Elle a ensuite enveloppé sa tête d’un bandage et lui a annoncé qu’il devait aller voir un spécialiste car il y avait eu des complications. Ce n'est qu'en rentrant chez lui que le malheureux a découvert ce qui s'était passé.
Et en plus d’avoir perdu ses dents, l'homme a également perdu sa nouvelle petite amie qui l'a quitté en le découvrant édenté.
L'ex compagne dentiste risque trois ans de prison.
Source : Le Dauphiné
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=13888&hl=
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attention les septennaux... :-)
édit : un canular, semblerait-il... mais intéressant tout de même... car j'ai remarqué, aussi dans les scénarios de films et de romans, les personnages se trouvent fréquemment dans "le bon âge" pour les faits qu'on leur a inventés...
instinctif ?
âge de l'inventeur du canular ? :-)
En voilà un qui aurait peut-être dû réfléchir à deux fois avant de quitter sa compagne dentiste pour une autre femme. A M, 34 ans, s’est vengée de son ex-petit ami d'une terrible façon, raconte le site Atlantico. Elle lui a administré une forte dose d’anesthésiant avant de lui arracher l’intégralité de ses dents. Elle a ensuite enveloppé sa tête d’un bandage et lui a annoncé qu’il devait aller voir un spécialiste car il y avait eu des complications. Ce n'est qu'en rentrant chez lui que le malheureux a découvert ce qui s'était passé.
Et en plus d’avoir perdu ses dents, l'homme a également perdu sa nouvelle petite amie qui l'a quitté en le découvrant édenté.
L'ex compagne dentiste risque trois ans de prison.
Source : Le Dauphiné
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=13888&hl=
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attention les septennaux... :-)
édit : un canular, semblerait-il... mais intéressant tout de même... car j'ai remarqué, aussi dans les scénarios de films et de romans, les personnages se trouvent fréquemment dans "le bon âge" pour les faits qu'on leur a inventés...
instinctif ?
âge de l'inventeur du canular ? :-)
poignardé
Un homme meurt poignardé par son cousin samedi matin
Un homme de 29 ans est mort samedi matin dans un appartement à Roanne (Loire) après avoir été poignardé au cours d’une dispute par son cousin de 23 ans qui souffrirait de troubles de la personnalité.
L’auteur présumé a été placé en garde à vue et a été examiné par un médecin qui a jugé son état compatible avec un tel interrogatoire par la police.(.....)
http://www.ledauphine.com/france-monde/2012/04/28/drame-familial-un-homme-meurt-poignarde
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Un homme de 29 ans est mort samedi matin dans un appartement à Roanne (Loire) après avoir été poignardé au cours d’une dispute par son cousin de 23 ans qui souffrirait de troubles de la personnalité.
L’auteur présumé a été placé en garde à vue et a été examiné par un médecin qui a jugé son état compatible avec un tel interrogatoire par la police.(.....)
http://www.ledauphine.com/france-monde/2012/04/28/drame-familial-un-homme-meurt-poignarde
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menaces
Menaces de mort
Un journaliste de J.E. dans de beaux draps
MONTRÉAL – Un journaliste de l'émission J.E. à TVA se retrouve dans une situation difficile, qui lui a valu d'être suspendu «indéfiniment» de son emploi.
Dominique Trottier, 36 ans, aurait tenté de forcer son collègue Michel Jean à démissionner, en plus de le harceler et de proférer des menaces de mort.
http://fr.canoe.ca/infos/societe/archives/2012/04/20120427-164305.html
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Un journaliste de J.E. dans de beaux draps
MONTRÉAL – Un journaliste de l'émission J.E. à TVA se retrouve dans une situation difficile, qui lui a valu d'être suspendu «indéfiniment» de son emploi.
Dominique Trottier, 36 ans, aurait tenté de forcer son collègue Michel Jean à démissionner, en plus de le harceler et de proférer des menaces de mort.
http://fr.canoe.ca/infos/societe/archives/2012/04/20120427-164305.html
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samedi 28 avril 2012
forcené
Spectaculaire opération de police à Londres pour déloger un homme retranché
La police a bouclé vendredi pendant trois heures une grande artère du centre de Londres avant d'arrêter un homme de 48 ans qui s'était retranché avec quatre otages, pour des raisons encore inconnues, dans un immeuble de bureaux.
L'homme, qui portait, selon des témoins, des bouteilles d'essence sur lui et menaçait de les faire exploser, se trouvait au 5e étage d'un immeuble d'où il jetait par intermittence divers objets par la fenêtre, dont des écrans d'ordinateurs.
Scotland Yard a écarté dès le début l'hypothèse d'un "acte de terrorisme".
http://tempsreel.nouvelobs.com/topnews/20120427.AFP4546/spectaculaire-operation-de-police-a-londres-pour-deloger-un-homme-retranche.html
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"acte de la période critique septennale des 49 ans" ? :-)
La police a bouclé vendredi pendant trois heures une grande artère du centre de Londres avant d'arrêter un homme de 48 ans qui s'était retranché avec quatre otages, pour des raisons encore inconnues, dans un immeuble de bureaux.
L'homme, qui portait, selon des témoins, des bouteilles d'essence sur lui et menaçait de les faire exploser, se trouvait au 5e étage d'un immeuble d'où il jetait par intermittence divers objets par la fenêtre, dont des écrans d'ordinateurs.
Scotland Yard a écarté dès le début l'hypothèse d'un "acte de terrorisme".
http://tempsreel.nouvelobs.com/topnews/20120427.AFP4546/spectaculaire-operation-de-police-a-londres-pour-deloger-un-homme-retranche.html
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"acte de la période critique septennale des 49 ans" ? :-)
vendredi 27 avril 2012
dépression septennale
Christophe Hondelatte : nouveau pétage de plombs à RTL
Officiellement, Hondelatte est au repos... Officieusement, l'animateur de RTL a eu des propos très crus envers son ancien assistant. Embarras.
Christophe Hondelatte n'est plus à l'antenne sur RTL depuis quelques jours. Il serait en arrêt maladie. Officiellement, la direction confirme qu'il est "au repos pour quelques jours". En vérité, l'animateur s'est violemment emporté en pleine réunion contre son ancien assistant. La violence des propos provoque des remous en interne au point que la Société des journalistes de la station a demandé un entretien avec Jacques Esnous, directeur de l'information de RTL, "pour évoquer le cas Hondelatte".
L'animateur est connu dans le métier pour ses emportements. Déjà sur France 2, en janvier 2005, un portrait de lui paru dans Libération l'avait à ce point mis en colère qu'il avait disparu et n'avait pas assuré le JT de 13 heures, produisant par la suite un certificat médical. L'histoire se répète avec les mêmes intervenants puisque Christopher Baldelli, patron de RTL, était déjà son chef sur France 2...
http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/emmanuel-berretta/christophe-hondelatte-nouveau-petage-de-plombs-a-rtl-27-04-2012-1455854_52.php
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Christophe Hondelatte s’explique sur «sa colère non maitrîsée»
Selon les informations du Point, Christophe Hondelatte se serait «violemment emporté en pleine réunion contre son ancien assistant à RTL». Ce qui expliquerait son absence à l’antenne ces derniers jours. L’animateur a donné sa version des faits sur son compte facebook.
(.....)«Me voilà donc obligé de m’expliquer, commence-t-il. Alors allons-y, puisque l’époque suppose, que l’intimité doit être exposée au grand jour. Et qu’à défaut, il faut laisser courir le mensonge et la calomnie. Oui un incident m’a opposée mardi dernier à mon ancien assistant.Une colère non maîtrisé, symptôme d’un mal qui me ronge depuis des mois, la dépression. Ce débordement m’a tétanisé au point que je n’ai pas été en mesure de présenter l’émission du soir. Et depuis je suis arrêté. Voilà, LA vérité. Est-il normal de faire de cela une «information» au prétexte que je suis célèbre? Il est probable, que ce syndrome dépressif est la conséquence de la prise d’un médicament que je suis contraint de gober quotidiennement depuis mes opérations du dos: le LYRICA. Il me permet de supporter la douleur, mais me pourrit la vie depuis la rentrée. Je reconnais néanmoins un petit fond dépressif et colérique, dont j’ai presque fait une philosophie, mais que je soigne autant que je le peux. Voilà, vous savez tout. Je me dis que beaucoup se reconnaîtront dans cette petite histoire. Ou y reconnaîtront un ami, un parent, un enfant. La vie ordinaire des gens ordinaires.»(.....)
http://www.gala.fr/l_actu/on_ne_parle_que_de_ca/christophe_hondelatte_s_explique_sur_sa_colere_non_maitrisee_260730
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dépression septennale des 49 ans et jour critique ne font jamais bon ménage... et la première suffit déjà, à parfois nous martyriser...
il faut savoir que oui, l'histoire peut se répéter... lors de la période critique suivante... 2005 était la période critique septennale des 42 ans... et nous voici dans celle des 49 ans...
attention au jour critique émotionnel : lundi... les "emportements", ou les gros coups de blues, ont tendance à avoir lieu ce jour là... ou celui à côté.
(mardi dernier était un épisode "délicat" car triplement critique).
avril 2012 (17/12/1962)
Je 19
Ve 20
Sa 21
Di 22
Lu 23 E(22)
Ma 24 P(18) I(9)
Me 25 P(19)
Je 26
Ve 27
Sa 28
Di 29
suicide
Mort chez The Killers : suicide de leur saxophoniste
Thomas Marth, 33 ans, saxophoniste de tournée pour The Killers a été retrouvé mort dans sa maison de Las Vegas lundi 23 avril. La police a confirmé que le musicien s'était suicidé. Thomas Marth aura joué sur deux des albums de The Killers (Sam's Town en 2006 et Day Age en 2008) ainsi que sur le DVD Live From The Royal Albert Hall.
Le groupe a révélé la mort de Thomas Marth sur son twitter. "Hier soir, nous avons perdu notre ami Thomas Marth. Nos prières sont tournées vers sa famille. Il manque une lumière à Las Vegas. Bon voyage, Tommy." Le saxophoniste jouait également régulièrement avec la formation de Las Vegas The Big Friendly Corporation.
http://musique.jeuxactu.com/news-mort-chez-the-killers-suicide-de-leur-saxophoniste-11417.htm
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Tommy Marth (November 23, 1978 – April 23, 2012)
suicide en jour neutre à 33 ans et 5 mois.
Thomas Marth, 33 ans, saxophoniste de tournée pour The Killers a été retrouvé mort dans sa maison de Las Vegas lundi 23 avril. La police a confirmé que le musicien s'était suicidé. Thomas Marth aura joué sur deux des albums de The Killers (Sam's Town en 2006 et Day Age en 2008) ainsi que sur le DVD Live From The Royal Albert Hall.
Le groupe a révélé la mort de Thomas Marth sur son twitter. "Hier soir, nous avons perdu notre ami Thomas Marth. Nos prières sont tournées vers sa famille. Il manque une lumière à Las Vegas. Bon voyage, Tommy." Le saxophoniste jouait également régulièrement avec la formation de Las Vegas The Big Friendly Corporation.
http://musique.jeuxactu.com/news-mort-chez-the-killers-suicide-de-leur-saxophoniste-11417.htm
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Tommy Marth (November 23, 1978 – April 23, 2012)
suicide en jour neutre à 33 ans et 5 mois.
suicide
Suicide d'un commandant de gendarmerie
Un commandant de brigades de gendarmerie de la Drôme s'est suicidé avec une arme de service vendredi matin dans les locaux de sa gendarmerie, a-t-on appris vendredi auprès de la gendarmerie et du parquet de la Drôme. "Il s'est suicidé avec une arme de service dans le local où sont rangées les armes", a déclaré à l'AFP le procureur de la République de Valence, Antoine Paganelli.
Marié et père de deux enfants de 18 et 12 ans, le capitaine était âgé de 46 ans et vivait avec sa famille dans un immeuble attenant à la brigade de Saint-Vallier.
En arrêt maladie depuis un mois, il était en maison de repos dans les Bouches-du-Rhône et était rentré dans la Drôme jeudi après-midi, selon la gendarmerie. (.....)
http://www.europe1.fr/Faits-divers/Suicide-d-un-commandant-de-gendarmerie-1058233/
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Un commandant de brigades de gendarmerie de la Drôme s'est suicidé avec une arme de service vendredi matin dans les locaux de sa gendarmerie, a-t-on appris vendredi auprès de la gendarmerie et du parquet de la Drôme. "Il s'est suicidé avec une arme de service dans le local où sont rangées les armes", a déclaré à l'AFP le procureur de la République de Valence, Antoine Paganelli.
Marié et père de deux enfants de 18 et 12 ans, le capitaine était âgé de 46 ans et vivait avec sa famille dans un immeuble attenant à la brigade de Saint-Vallier.
En arrêt maladie depuis un mois, il était en maison de repos dans les Bouches-du-Rhône et était rentré dans la Drôme jeudi après-midi, selon la gendarmerie. (.....)
http://www.europe1.fr/Faits-divers/Suicide-d-un-commandant-de-gendarmerie-1058233/
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suicide ?
Un père ne croit pas au suicide de sa fille
L’enquête sur la mort d’Angie Martinez, à Freyming-Merlebach, a conclu au suicide. Son père doute de cette thèse depuis la découverte d’un détail troublant dans un PV de police. Il réclame la réouverture du dossier.
On ne peut pas me laisser dans ce tourment. J’ai dû cesser de travailler. Je suis chauffeur routier. J’en devenais dangereux sur la route car je pensais sans arrêt à ma fille Angie. »
Antonio Martinez a toujours eu des doutes sur les causes exactes de la mort de sa fille de 21 ans, retrouvée sans vie, pendue, dans un appartement de Freyming-Merlebach, le 18 octobre 2010. L’enquête de police a rapidement conclu au suicide. Thèse confirmée par le parquet de Sarreguemines, qui classait l’affaire.
Début 2012, les doutes de M. Martinez se sont quasiment transformés en conviction à la lecture d’un procès-verbal rédigé par la police le jour de la découverte du corps. « Ce PV, auquel j’ai donc eu accès deux ans après les faits, dit que le médecin légiste dépêché sur les lieux constate que le cou de ma fille lui paraît brisé et que cette nuque brisée ne peut pas être mise en relation avec la hauteur de la pendaison. (.....)
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=13868&hl=
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les suicides ont tendance à avoir lieu le jour critique émotionnel ou parfois le jour à côté : la vérification de ce point pourrait éventuellement apporter aussi un indice dans un sens ou dans l'autre... (même si cela ne peut constituer qu'une indication en raison de possibles coïncidences)
L’enquête sur la mort d’Angie Martinez, à Freyming-Merlebach, a conclu au suicide. Son père doute de cette thèse depuis la découverte d’un détail troublant dans un PV de police. Il réclame la réouverture du dossier.
On ne peut pas me laisser dans ce tourment. J’ai dû cesser de travailler. Je suis chauffeur routier. J’en devenais dangereux sur la route car je pensais sans arrêt à ma fille Angie. »
Antonio Martinez a toujours eu des doutes sur les causes exactes de la mort de sa fille de 21 ans, retrouvée sans vie, pendue, dans un appartement de Freyming-Merlebach, le 18 octobre 2010. L’enquête de police a rapidement conclu au suicide. Thèse confirmée par le parquet de Sarreguemines, qui classait l’affaire.
Début 2012, les doutes de M. Martinez se sont quasiment transformés en conviction à la lecture d’un procès-verbal rédigé par la police le jour de la découverte du corps. « Ce PV, auquel j’ai donc eu accès deux ans après les faits, dit que le médecin légiste dépêché sur les lieux constate que le cou de ma fille lui paraît brisé et que cette nuque brisée ne peut pas être mise en relation avec la hauteur de la pendaison. (.....)
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=13868&hl=
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les suicides ont tendance à avoir lieu le jour critique émotionnel ou parfois le jour à côté : la vérification de ce point pourrait éventuellement apporter aussi un indice dans un sens ou dans l'autre... (même si cela ne peut constituer qu'une indication en raison de possibles coïncidences)
suicide
Détenu abattu en pleine prison : le "sniper" présumé s'est suicidé
Le sniper présumé de la prison de Varces s'est suicidé vendredi matin à la maison d'arrêt de Lyon-Corbas, au matin de son procès.
Ce vendredi, au matin même de son procès, le sniper présumé de la prison de Varces s'est suicidé à la maison d'arrêt de Lyon-Corbas. Marcel Egea aurait dû comparaître devant les assises du Rhône. Il était accusé d'"association de malfaiteurs" et de "meurtre et tentative de meurtre en bande organisée en récidive légale". Un homme au passé judiciaire chargé : en 1978, il avait déjà été condamné à 20 ans de réclusion criminelle pour tentative de meurtre lors d'un braquage. Il était accusé d'avoir abattu de cinq balles Sghaïr Lamiri, un détenu de 29 ans, le 28 septembre 2008 en pleine cour de la prison de Varces, en Isère. Peu après l'annonce de son suicide, le procès, où devait également comparaître Mourad Bouziane, accusé d'avoir commandité ce meurtre spectaculaire et inédit en France, a été renvoyé. (.....)
Les tirs ayant atteint Sghaïr Lamiri en ce 28 septembre 2008 provenaient d'un tireur embusqué positionné sur une colline surplombant l'établissement pénitentiaire. Un quart d'heure après les faits, Marcel Egea, alors âgé de 58 ans, avait été arrêté sur une moto volée. L'homme portait un fusil de chasse à lunette Remington dont le canon était encore chaud. Il était vêtu d'une tenue de camouflage et prétendait être venu cueillir des champignons. L'enquête devait montrer qu'il s'était rendu régulièrement sur les lieux auparavant. A son domicile, des munitions, des jumelles et un trépied pour arme longue étaient retrouvés.(.....)
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/detenu-abattu-en-pleine-prison-le-sniper-presume-s-est-suicide-7201004.html
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Le sniper présumé de la prison de Varces s'est suicidé vendredi matin à la maison d'arrêt de Lyon-Corbas, au matin de son procès.
Ce vendredi, au matin même de son procès, le sniper présumé de la prison de Varces s'est suicidé à la maison d'arrêt de Lyon-Corbas. Marcel Egea aurait dû comparaître devant les assises du Rhône. Il était accusé d'"association de malfaiteurs" et de "meurtre et tentative de meurtre en bande organisée en récidive légale". Un homme au passé judiciaire chargé : en 1978, il avait déjà été condamné à 20 ans de réclusion criminelle pour tentative de meurtre lors d'un braquage. Il était accusé d'avoir abattu de cinq balles Sghaïr Lamiri, un détenu de 29 ans, le 28 septembre 2008 en pleine cour de la prison de Varces, en Isère. Peu après l'annonce de son suicide, le procès, où devait également comparaître Mourad Bouziane, accusé d'avoir commandité ce meurtre spectaculaire et inédit en France, a été renvoyé. (.....)
Les tirs ayant atteint Sghaïr Lamiri en ce 28 septembre 2008 provenaient d'un tireur embusqué positionné sur une colline surplombant l'établissement pénitentiaire. Un quart d'heure après les faits, Marcel Egea, alors âgé de 58 ans, avait été arrêté sur une moto volée. L'homme portait un fusil de chasse à lunette Remington dont le canon était encore chaud. Il était vêtu d'une tenue de camouflage et prétendait être venu cueillir des champignons. L'enquête devait montrer qu'il s'était rendu régulièrement sur les lieux auparavant. A son domicile, des munitions, des jumelles et un trépied pour arme longue étaient retrouvés.(.....)
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/detenu-abattu-en-pleine-prison-le-sniper-presume-s-est-suicide-7201004.html
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meurtrier
Un an après, le meurtrier de l'aéroport de Bâle-Mulhouse reste introuvable
L'enquête sur le meurtre d'un contrôleur aérien à l'aéroport de Bâle-Mulhouse semble dans l'impasse un an après le drame, toutes les recherches pour retrouver le principal suspect étant resté vaines selon des sources proches du dossier.
Le 27 avril 2011, peu avant 8H00, Jean Meyer, 34 ans, était découvert gisant dans son sang sur un palier d'ascenceur, au pied de l'escalier menant à la tour de contrôle. L'autopsie devait montrer que l'homme, marié et père d'un enfant de quatre ans, était mort de huit à dix coups de couteau, dont trois mortels avaient perforé les deux poumons et tranché la carotide.
L'enquête des policiers de l'antenne mulhousienne de la Direction interrégionale de la Police judiciaire de Strasbourg les amenait rapidement à soupçonner Karim Ouali. Contrôleur aérien à Bâle-Mulhouse comme la victime, il s'était introduit peu avant le drame dans la tour de contrôle avec son badge d'accès, alors qu'il n'avait rien à y faire. Agé de 34 ans également, il était en effet en arrêt maladie depuis trois mois, en raison de troubles schizophréniques. Il avait en outre été vu par des témoins quittant précipitamment l'aéroport.(.....)
http://www.lepays.fr/actualite/2012/04/26/un-an-apres-le-meurtrier-de-l-aeroport-de-bale-mulhouse-est-introuvable
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suicide
Il blesse femme et enfant puis se suicide
Le différend conjugal a dégénéré. Dimanche, vers 23 heures, une violente altercation a éclaté au domicile d’un couple, rue des Nouettes, dans le XVe arrondissement. L’homme a porté un coup de couteau à sa femme et blessé son fils qui...
http://www.leparisien.fr/espace-premium/paris-75/-24-04-2012-1968549.php
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pas pu lire la suite pour regarder l'âge des personnes...
Le différend conjugal a dégénéré. Dimanche, vers 23 heures, une violente altercation a éclaté au domicile d’un couple, rue des Nouettes, dans le XVe arrondissement. L’homme a porté un coup de couteau à sa femme et blessé son fils qui...
http://www.leparisien.fr/espace-premium/paris-75/-24-04-2012-1968549.php
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pas pu lire la suite pour regarder l'âge des personnes...
jeudi 26 avril 2012
grève de la faim
Dordogne : une enseignante en grève de la faim depuis 17 jours
Une directrice d'école maternelle de Montignac (Dordogne), Isabelle Capmas-Faure, est en grève de la faim depuis 17 jours pour protester contre la fermeture d'une classe et la suppression de postes dans son établissement, a annoncé jeudi la fonctionnaire à l'AFP. Agée 41 ans, elle a commencé son action à Montignac (2.800 habitants) le 10 avril. "J'ai perdu sept kilos et je commence à avoir des manifestations de fatigue", a-t-elle raconté, précisant consommer tisanes et bouillons, tout en étant suivie par son médecin. (...)
Travailler avec 30 élèves, ce n'est pas possible", s'insurge l'institutrice, ajoutant qu'elle "n'a jamais fait grève" et n'est "pas syndiquée". Elle dit avoir reçu le soutien de nombreux parents d'élèves, élus locaux et enseignants en France.
http://lci.tf1.fr/filnews/france/dordogne-une-enseignante-en-greve-de-la-faim-depuis-17-jours-7199860.html
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Une directrice d'école maternelle de Montignac (Dordogne), Isabelle Capmas-Faure, est en grève de la faim depuis 17 jours pour protester contre la fermeture d'une classe et la suppression de postes dans son établissement, a annoncé jeudi la fonctionnaire à l'AFP. Agée 41 ans, elle a commencé son action à Montignac (2.800 habitants) le 10 avril. "J'ai perdu sept kilos et je commence à avoir des manifestations de fatigue", a-t-elle raconté, précisant consommer tisanes et bouillons, tout en étant suivie par son médecin. (...)
Travailler avec 30 élèves, ce n'est pas possible", s'insurge l'institutrice, ajoutant qu'elle "n'a jamais fait grève" et n'est "pas syndiquée". Elle dit avoir reçu le soutien de nombreux parents d'élèves, élus locaux et enseignants en France.
http://lci.tf1.fr/filnews/france/dordogne-une-enseignante-en-greve-de-la-faim-depuis-17-jours-7199860.html
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manif
Plusieurs centaines de policiers ont manifesté mercredi soir de façon spontanée et spectaculaire à Bobigny et sur les Champs-Elysées à Paris contre la mise en examen pour homicide volontaire d'un de leurs collègues qui a tué un multirécidiviste en fuite en Seine-Saint-Denis.
La version de la légitime défense invoquée par le fonctionnaire de 33 ans, placé sous contrôle judiciaire, avec notamment l'interdiction d'exercer, a été mise à mal par l'autopsie et un témoignage, révélés par le parquet, selon lesquels la victime a été tuée d'une balle dans le dos.(.....)
L'affaire remonte à samedi soir: des policiers de Noisy-le-Sec sont prévenus par un appel anonyme qu'un homme recherché pour des vols à main armée se trouve dans le centre-ville, selon le parquet de Bobigny.
Quatre policiers partent à la recherche de cet homme de 28 ans, visé par un mandat d'arrêt et qui n'avait pas regagné la prison de Châteaudun (Eure-et-Loir) après une permission de sortie en juin 2010. Son casier judiciaire comporte "onze condamnations, notamment criminelles pour des faits de vols avec arme".
http://www.lepoint.fr/societe/des-centaines-de-policiers-manifestent-contre-la-mise-en-examen-d-un-collegue-pour-homicide-26-04-2012-1455366_23.php
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La version de la légitime défense invoquée par le fonctionnaire de 33 ans, placé sous contrôle judiciaire, avec notamment l'interdiction d'exercer, a été mise à mal par l'autopsie et un témoignage, révélés par le parquet, selon lesquels la victime a été tuée d'une balle dans le dos.(.....)
L'affaire remonte à samedi soir: des policiers de Noisy-le-Sec sont prévenus par un appel anonyme qu'un homme recherché pour des vols à main armée se trouve dans le centre-ville, selon le parquet de Bobigny.
Quatre policiers partent à la recherche de cet homme de 28 ans, visé par un mandat d'arrêt et qui n'avait pas regagné la prison de Châteaudun (Eure-et-Loir) après une permission de sortie en juin 2010. Son casier judiciaire comporte "onze condamnations, notamment criminelles pour des faits de vols avec arme".
http://www.lepoint.fr/societe/des-centaines-de-policiers-manifestent-contre-la-mise-en-examen-d-un-collegue-pour-homicide-26-04-2012-1455366_23.php
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mercredi 25 avril 2012
retrouvé
L L a été retrouvé sain et sauf à Marseille
L L, un habitant de 35 ans des Pennes-Mirabeau qui avait disparu depuis le vendredi 20 avril, a été retrouvé sain et sauf aujourd'hui à Marseille.
Ce père de deux enfants, 3 et 7 ans, aurait des tendances suicidaires, selon ses proches. Il avait laissé une longue lettre "expliquant qu'il voulait en finir avec la vie", avait signalé Charlotte, son épouse, avec qui il est en instance de divorce.
Une enquête pour disparition inquiétante avait été ouverte et un appel à témoin lancé.
http://www.laprovence.com/actu/region-en-direct/laurent-lopiccolo-a-ete-retrouve-sain-et-sauf-a-marseille
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attention en période critique septennale des 35 ans... et au jour critique émotionnel...
L L, un habitant de 35 ans des Pennes-Mirabeau qui avait disparu depuis le vendredi 20 avril, a été retrouvé sain et sauf aujourd'hui à Marseille.
Ce père de deux enfants, 3 et 7 ans, aurait des tendances suicidaires, selon ses proches. Il avait laissé une longue lettre "expliquant qu'il voulait en finir avec la vie", avait signalé Charlotte, son épouse, avec qui il est en instance de divorce.
Une enquête pour disparition inquiétante avait été ouverte et un appel à témoin lancé.
http://www.laprovence.com/actu/region-en-direct/laurent-lopiccolo-a-ete-retrouve-sain-et-sauf-a-marseille
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attention en période critique septennale des 35 ans... et au jour critique émotionnel...
forcené
Puy-de-Dôme : reddition du forcené retranché, placé en garde à vue
Le forcené de 62 ans retranché depuis mardi à Beurières, village du Puy-de-Dôme où il a blessé un gendarme en lui tirant dessus, s'est rendu mercredi matin après l'assaut du GIGN et a été placé en garde à vue, a-t-on appris auprès de la préfecture et du parquet.(.....)
http://www.lalsace.fr/actualite/2012/04/25/puy-de-dome-reddition-du-forcene-retranche-place-en-garde-a-vue
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l'entrée dans la période critique septennale des 63 ans va accentuer des problèmes existants...
Le forcené de 62 ans retranché depuis mardi à Beurières, village du Puy-de-Dôme où il a blessé un gendarme en lui tirant dessus, s'est rendu mercredi matin après l'assaut du GIGN et a été placé en garde à vue, a-t-on appris auprès de la préfecture et du parquet.(.....)
http://www.lalsace.fr/actualite/2012/04/25/puy-de-dome-reddition-du-forcene-retranche-place-en-garde-a-vue
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l'entrée dans la période critique septennale des 63 ans va accentuer des problèmes existants...
suspect
Le premier suspect des meurtres de l'Essonne clame son innocence et veut sortir de prison. Michel Courtois, qui est détenu depuis novembre 2011, est accusé du premier des quatre crime à Juvisy-sur-Orge. Seulement voilà, Yoni Palmier a été mis en examen pour les trois autres meurtres. Et les analyses montrent qu'une seule et même arme a été utilisée dans les quatre cas. Pour Yassine Bouzrou, avocat de Michel Courtois, il y a assez d'éléments pour permettre une remise en liberté de son client.
Michel Courtois, 46 ans, a été placé en détention après avoir avoué le meurtre de Nathalie Davids, 35 ans, le 27 novembre 2011 dans le parking de son immeuble à Juvisy-sur-Orge.
Il s'est depuis rétracté et se trouvait en détention lors des meurtres de Jean-Yves Bonnerue, 52 ans (le 22 février), Marcel Brunetto, 81 ans (le 17 mars) et Nadjia Boudjemia-Lahcene, 48 ans (le 5 avril).
Ces quatre homicides ont été commis avec la même arme, un pistolet semi-automatique de 7,65 mm saisi lors des perquisitions qui ont suivi l'interpellation, samedi dernier, de Yoni Palmier.
Ce dernier, 33 ans, a été mis en examen lundi soir pour assassinats dans le cadre d'une information judiciaire qui ne concerne que les trois meurtres les plus récents.
Des aveux extorqués ?
Le nouvel avocat de Michel Courtois, Me Yassine Bouzrou, s'est plongé dans le dossier et estime que rien ne permet de maintenir son client en prison. Ses aveux? Extorqués dit l'avocat. L'expertise sur ses vêtements qui révèlent la présence de poudre? L'expertise précise qu'il peut s'agir d'une arme à feu mais aussi de particules provenant du secteur du bâtiment, explique encore Me Bouzrou. Le mobile amoureux? "Aucun dépit chez mon client", tonne l'avocat.
Police et justice vérifient actuellement s'il existe un lien, non établi à ce jour, entre Michel Courtois et Yoni Palmier; si le premier a pu commanditer les meurtres au second. "Absurde", conclut Yassine Bouzrou.
Les "aveux" de Michel Courtois :
Intervenus le 3 décembre 2011 lors de la 5e audition de Michel Courtois, à 00h40. "Je pense que c'est moi qui ai tué Nathalie parce que tous les éléments qui sont à charge contre moi tendent à prouver que je suis l'auteur de l'assassinat", explique-t-il avant de faire une longue déclaration très peu détaillée. "J'avais bu, un ami m'a prêté une moto [Ndlr: Michel Courtois n'a pas son permis], un casque dont je ne me souviens plus, je ne sais plus où je me suis stationné, je ne sais plus quelle heure il était, je ne sais plus si j'ai gardé mon casque, si j'ai rencontré des gens ou si les vêtements que je portais. Elle s'est garée sur sa place et s'est dirigée vers la porte d'accès à l'immeuble, j'ai tiré sur elle à 4 ou 5 reprises, j'étais dans mon monde, je ne voyais plus rien". Michel Courtois va revenir sur ses aveux devant la juge d'instruction...Trop tard. Réentendu par la magistrate le 14 avril dernier, il lui confie: "On me gueulait dessus, on me disait: "dis que c'est toi, dis que c'est toi!!" C'était du matraquage...Je suis resté seul avec des policiers pour fumer une cigarette, mon avocate n'était pas là à ce moment là, je leur ai demandé: "vous voulez que je dise n'importe quoi", ils ont répondu "oui", j'ai dit "Ok, je vais dire n'importe quoi"...
http://www.rtl.fr/actualites/article/le-premier-suspect-des-meurtres-de-l-essonne-demande-sa-remise-en-liberte-7747210965
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si l'on pouvait regarder la situation cyclique des deux suspects on aurait peut-être (je dis peut-être car il faut être prudent et les coïncidences existent... surtout en matière de cycles humains) des indications intéressantes :
- situation du premier suspect ? un jour critique émotionnel est fréquemment "jour de crime" ou de drame... (parfois un jour critique physique) cet élément est présent chez Yoni Palmier qui se trouve dans son jour critique émotionnel E15 le jour du premier meurtre... (1)
- un jour critique émotionnel... est aussi le jour où l'on cède plus facilement face à une pression... et donc on peut effectivement "avouer n'importe quoi"... ce ne sont pas vraiment des aveux extorqués mais des aveux obtenus en "situation de faiblesse". le jour critique émotionnel est le jour des aveux... sauf que les aveux peuvent être vrais (le jce est notre "jour de vérité" et nous avons tendance à "craquer"... mais les aveux peuvent aussi être du fait de notre "état de fragilité" : cet état qui peut nous faire avouer un crime que nous avons commis peut aussi nous faire avouer "n'importe quoi" si la pression est suffisante...
mais les éléments cycliques essentiels d'un drame restent la présence de jours et périodes critiques au moment du drame. ils sont fréquemment présents car ils constituent des éléments moteurs.
(1) http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/2012/04/mobile.html
mardi 24 avril 2012
suicide septennal
Procès commotions: Un plaignant se suicide
Ray Easterling, un ancien safety qui faisait partie d’une des plaintes posées contre la ligue, a été retrouvé mort chez lui jeudi dernier.
« Selon notre investigation, nous établissons qu’il s’agit d’un suicide« , a expliqué la police à FoxSports.com.
« Au cours de six derniers mois, je suppose, on voyait qu’il n’était pas dans son assiette, explique l’avocat Larry Coben à USA Today. Il n’arrêtait pas de se répéter et de s’embrouiller. C’est assez dur, assez dur. »
Le procès dont Easterling était le principal plaignant accuse la ligue de ne pas avoir bien traité les joueurs et de leur avoir caché un lien entre le football et les blessures au cerveau. C’était la première procédure du genre. Une soixantaine d’autres ont suivies.
Le suicide de celui qui a évolué avec les Falcons de 1972 à 79 va changer les choses dans la procédure: « Nous allons le changer d’un cas de blessures à un cas d’homicide involontaire« , explique Coben.
http://touchdownactu.com/28106/proces-commotions-un-plaignant-se-suicide/
===================
apparement un suicide septennal, précisément à l'entrée dans la période critique septennale des 63 ans, et deux jours avant son jour critique émotionnel E1.
Ray Easterling (September 3, 1949 – April 19, 2012)
(entrée dans la période critique septennale des 63 ans en mars 2012)
Ray Easterling, un ancien safety qui faisait partie d’une des plaintes posées contre la ligue, a été retrouvé mort chez lui jeudi dernier.
« Selon notre investigation, nous établissons qu’il s’agit d’un suicide« , a expliqué la police à FoxSports.com.
« Au cours de six derniers mois, je suppose, on voyait qu’il n’était pas dans son assiette, explique l’avocat Larry Coben à USA Today. Il n’arrêtait pas de se répéter et de s’embrouiller. C’est assez dur, assez dur. »
Le procès dont Easterling était le principal plaignant accuse la ligue de ne pas avoir bien traité les joueurs et de leur avoir caché un lien entre le football et les blessures au cerveau. C’était la première procédure du genre. Une soixantaine d’autres ont suivies.
Le suicide de celui qui a évolué avec les Falcons de 1972 à 79 va changer les choses dans la procédure: « Nous allons le changer d’un cas de blessures à un cas d’homicide involontaire« , explique Coben.
http://touchdownactu.com/28106/proces-commotions-un-plaignant-se-suicide/
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apparement un suicide septennal, précisément à l'entrée dans la période critique septennale des 63 ans, et deux jours avant son jour critique émotionnel E1.
Ray Easterling (September 3, 1949 – April 19, 2012)
(entrée dans la période critique septennale des 63 ans en mars 2012)
agressions pédophiles
Un salarié de Cunard reconnaît une dizaine d'agressions pédophiles
Selon le Daily Mail, un salarié de Cunard, Paul Trotter, dont le procès se déroule actuellement en Grande-Bretagne, vient de reconnaître avoir agressé sexuellement 13 enfants alors qu'il travaillait comme animateur d'un club pour enfants à bord des trois paquebots de la compagnie entre novembre 2007 et août 2011.
http://www.quotidiendutourisme.com/site/croisieres-un-salarie-de-cunard-reconnait-une-dizaine-d-agressions-pedophiles-66034.html
=================
il en est qui démarrent leurs activités avec une période critique septennale (du fait de pulsions survenant à ce moment-là), mais ne cessent pas avec la fin de la période. cela est probablement le cas ici, l'intéressé de 34 ans aujourd'hui ayant commis ses agressions à partir de sa période critique septennale de 28 ans.
(ce qui ne veut d'ailleurs pas dire qu'il ne se soit rien passé avant)
Selon le Daily Mail, un salarié de Cunard, Paul Trotter, dont le procès se déroule actuellement en Grande-Bretagne, vient de reconnaître avoir agressé sexuellement 13 enfants alors qu'il travaillait comme animateur d'un club pour enfants à bord des trois paquebots de la compagnie entre novembre 2007 et août 2011.
http://www.quotidiendutourisme.com/site/croisieres-un-salarie-de-cunard-reconnait-une-dizaine-d-agressions-pedophiles-66034.html
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il en est qui démarrent leurs activités avec une période critique septennale (du fait de pulsions survenant à ce moment-là), mais ne cessent pas avec la fin de la période. cela est probablement le cas ici, l'intéressé de 34 ans aujourd'hui ayant commis ses agressions à partir de sa période critique septennale de 28 ans.
(ce qui ne veut d'ailleurs pas dire qu'il ne se soit rien passé avant)
récidiviste septennal
“Mon client parle de pulsions”
(.....)DINANT Jean-Paul V. est en détention préventive depuis maintenant 10 mois, pour des faits de pédophilie commis durant l’année 2010, à Bohan. Il avait touché le sexe de quatre jeunes garçons qu’il entraînait bénévolement au foot. Il en aurait également violé un.
Ce mardi 28 février, le tribunal correctionnel de Dinant a désigné l’ASBL de l’UPPL (Unité de psychopathologie légale) afin qu’elle rencontre l’inculpé. Elle devra ensuite rendre un avis favorable ou non quant à une éventuelle mesure de probation. C’est en outre ce qu’avait plaidé la défense lors de la première audience du 21 février.
Pourtant, le prévenu a déjà été condamné à deux reprises pour des faits similaires. “En 1989 et en 1994 ”, signale Me Sarah Leclère. “Il avait été médicalement suivi après ces faits et ça avait porté ses fruits. Malheureusement, les vieux démons ont repris le dessus vingt ans après. Il n’avait cependant pas écopé de peine de prison ferme pour ces faits, c’est pour cela qu’il se trouve aujourd’hui dans les conditions légales pour bénéficier d’une mesure de probation.”
Cette peine peut toutefois sembler assez légère pour un pédophile, qui plus est récidiviste. “Mon client explique ces faits par des pulsions qu’il ressent. C’est pour lui une maladie et la seule chose qu’il demande est d’être pris en charge et de se faire soigner.” Pour savoir si la demande de l’avocat et les souhaits du principal prévenu seront respectés, il faudra donc attendre l’avis de l’UPPL, prévu pour le 24 avril.
En fonction de l’avis motivé rendu ce jour-là, la défense plaidera ou non en faveur de cette mesure de probation. Mais rien n’assure que cette désicion sera favorable à Jean-Paul Vanderstede. Et même si elle l’est, rien ne permet d’affirmer que le jugement rendu par le tribunal ira en ce sens. Dans le cas contraire, il ne resterait plus grand-chose à espérer de la défense pour son client.
En tout cas, le prévenu risque gros. Le procureur du Roi, Philippe Morandini, avait requis à son encontre une peine de six ans d’emprisonnement et 10 mois de mise à disposition du gouvernement. “Jean-Paul Vanderstede est en détention depuis 10 mois. Il est un peu perdu avec toutes ces procédures juridiques. Il sait cependant qu’il devra assumer ses actes.”
http://www.dhnet.be/regions/namur-luxembourg/article/387031/mon-client-parle-de-pulsions.html
===================
pour prévenir ce genre de récidives il nous faut tenir compte de l'effet de pulsions des périodes critiques septennales... le fait qu'un pédophile semble cesser ses activités et ses pulsions entre deux périodes critiques ne signifie pas qu'il est guéri : comme le dit l'article... les démons restent latents et l'activité peut revenir lors de la ou des périodes critiques septennales suivantes et c'est probablement ce qui est arrivé ici.
la personne aurait 52 ans aujourd'hui, si j'ai bien trouvé.
les faits :
- 2010 période critique septennale des 49 ans
- 1994 période critique septennale des 35 ans
- 1989 période critique septennale des 28 ans.
(.....)DINANT Jean-Paul V. est en détention préventive depuis maintenant 10 mois, pour des faits de pédophilie commis durant l’année 2010, à Bohan. Il avait touché le sexe de quatre jeunes garçons qu’il entraînait bénévolement au foot. Il en aurait également violé un.
Ce mardi 28 février, le tribunal correctionnel de Dinant a désigné l’ASBL de l’UPPL (Unité de psychopathologie légale) afin qu’elle rencontre l’inculpé. Elle devra ensuite rendre un avis favorable ou non quant à une éventuelle mesure de probation. C’est en outre ce qu’avait plaidé la défense lors de la première audience du 21 février.
Pourtant, le prévenu a déjà été condamné à deux reprises pour des faits similaires. “En 1989 et en 1994 ”, signale Me Sarah Leclère. “Il avait été médicalement suivi après ces faits et ça avait porté ses fruits. Malheureusement, les vieux démons ont repris le dessus vingt ans après. Il n’avait cependant pas écopé de peine de prison ferme pour ces faits, c’est pour cela qu’il se trouve aujourd’hui dans les conditions légales pour bénéficier d’une mesure de probation.”
Cette peine peut toutefois sembler assez légère pour un pédophile, qui plus est récidiviste. “Mon client explique ces faits par des pulsions qu’il ressent. C’est pour lui une maladie et la seule chose qu’il demande est d’être pris en charge et de se faire soigner.” Pour savoir si la demande de l’avocat et les souhaits du principal prévenu seront respectés, il faudra donc attendre l’avis de l’UPPL, prévu pour le 24 avril.
En fonction de l’avis motivé rendu ce jour-là, la défense plaidera ou non en faveur de cette mesure de probation. Mais rien n’assure que cette désicion sera favorable à Jean-Paul Vanderstede. Et même si elle l’est, rien ne permet d’affirmer que le jugement rendu par le tribunal ira en ce sens. Dans le cas contraire, il ne resterait plus grand-chose à espérer de la défense pour son client.
En tout cas, le prévenu risque gros. Le procureur du Roi, Philippe Morandini, avait requis à son encontre une peine de six ans d’emprisonnement et 10 mois de mise à disposition du gouvernement. “Jean-Paul Vanderstede est en détention depuis 10 mois. Il est un peu perdu avec toutes ces procédures juridiques. Il sait cependant qu’il devra assumer ses actes.”
http://www.dhnet.be/regions/namur-luxembourg/article/387031/mon-client-parle-de-pulsions.html
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pour prévenir ce genre de récidives il nous faut tenir compte de l'effet de pulsions des périodes critiques septennales... le fait qu'un pédophile semble cesser ses activités et ses pulsions entre deux périodes critiques ne signifie pas qu'il est guéri : comme le dit l'article... les démons restent latents et l'activité peut revenir lors de la ou des périodes critiques septennales suivantes et c'est probablement ce qui est arrivé ici.
la personne aurait 52 ans aujourd'hui, si j'ai bien trouvé.
les faits :
- 2010 période critique septennale des 49 ans
- 1994 période critique septennale des 35 ans
- 1989 période critique septennale des 28 ans.
confus
Il confond l'entrée du parking avec... celle du métro parisien
Scène inhabituelle mardi matin devant les grands magasins d'Haussmann qui a provoqué un attroupement de badauds : un 4X4 a plongé dans la bouche de métro... sans faire de blessé.
La scène est l'oeuvre d'un conducteur de 26 ans. Un véhicule 4X4 a plongé à vitesse lente dans une bouche de métro, mardi matin à Paris. La raison ? Son conducteur distrait l'a confondue avec l'entrée d'un parking... Par chance, il n'y a eu ni blessés, ni dégâts, selon l'AFP qui s'est trouvée sur place. Un immense attroupement de curieux s'est aussitôt affairée à photographier la voiture bloquée dans les escaliers. "Il y a un panneau ‘Parking Haussmann, grands magasins' qui est placé juste avant et comme il n'y a pas de plot devant l'entrée de l'escalier, je me suis trompé. Par chance, il n'y avait personne dans les escaliers", a raconté à l'AFP le conducteur.
Comme il roulait lentement, l'automobiliste a immédiatement freiné pour immobiliser son véhicule. Les roues avant du 4X4 se sont retrouvées bloquées dans les escaliers de la station de métro Chaussée d'Antin-Lafayette, alors que les roues-arrière étaient restées sur le trottoir. La police a immédiatement procédé à un contrôle d'alcoolémie du conducteur qui s'est révélé négatif. Selon une employée du restaurant Select, proche de la bouche de métro, un incident similaire s'était produit au même endroit il y a 4 ou 5 ans.
http://lci.tf1.fr/insolite/il-confond-l-entree-du-parking-avec-celle-du-metro-parisien-7188495.html
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contrôle d'alcoolémie et situation cyclique négatifs ? :-)
Scène inhabituelle mardi matin devant les grands magasins d'Haussmann qui a provoqué un attroupement de badauds : un 4X4 a plongé dans la bouche de métro... sans faire de blessé.
La scène est l'oeuvre d'un conducteur de 26 ans. Un véhicule 4X4 a plongé à vitesse lente dans une bouche de métro, mardi matin à Paris. La raison ? Son conducteur distrait l'a confondue avec l'entrée d'un parking... Par chance, il n'y a eu ni blessés, ni dégâts, selon l'AFP qui s'est trouvée sur place. Un immense attroupement de curieux s'est aussitôt affairée à photographier la voiture bloquée dans les escaliers. "Il y a un panneau ‘Parking Haussmann, grands magasins' qui est placé juste avant et comme il n'y a pas de plot devant l'entrée de l'escalier, je me suis trompé. Par chance, il n'y avait personne dans les escaliers", a raconté à l'AFP le conducteur.
Comme il roulait lentement, l'automobiliste a immédiatement freiné pour immobiliser son véhicule. Les roues avant du 4X4 se sont retrouvées bloquées dans les escaliers de la station de métro Chaussée d'Antin-Lafayette, alors que les roues-arrière étaient restées sur le trottoir. La police a immédiatement procédé à un contrôle d'alcoolémie du conducteur qui s'est révélé négatif. Selon une employée du restaurant Select, proche de la bouche de métro, un incident similaire s'était produit au même endroit il y a 4 ou 5 ans.
http://lci.tf1.fr/insolite/il-confond-l-entree-du-parking-avec-celle-du-metro-parisien-7188495.html
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contrôle d'alcoolémie et situation cyclique négatifs ? :-)
accident
" Un acteur brésilien est décédé après s'être pendu accidentellement en pleine représentation théâtrale. Tiago Klimeck, un jeune acteur de 27 ans seulement, était en pleine représentation de la pièce "The Passion of Christ" pour les fêtes de Pâques dans la ville de Itararé à Sao Paulo au Brésil lorsque le drame s'est produit. L'acteur, qui incarnait le rôle de Judas, rejouait la scène du suicide de l'apôtre qui regrettait d'avoir trahi son ami, Jésus.
Mais pour une raison que l'on ignore, le dispositif de sécurité qui devait protéger l'acteur tout en rendant la scène de pendaison la plus réelle possible n'a pas fonctionné et l'acteur s'est réellement pendu. Ce n'est que quatre minutes plus tard que les acteurs et les spectateurs, horrifiés, ont constaté qu'il ne jouait pas la comédie. Ils ont immédiatement prévenu les secours.
L'acteur était toujours en vie lorsqu'il a été transporté à l'hôpital. Mais son état était critique son cerveau n'éyant pas été oxygéné pendant plusieurs minutes. Tiago Klimeck est finalement décédé ce dimanche soit dix-sept jours après le terrible accident. Une enquête a été ouverte pour tenter de déterminer les causes du drame."
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=39175
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Mais pour une raison que l'on ignore, le dispositif de sécurité qui devait protéger l'acteur tout en rendant la scène de pendaison la plus réelle possible n'a pas fonctionné et l'acteur s'est réellement pendu. Ce n'est que quatre minutes plus tard que les acteurs et les spectateurs, horrifiés, ont constaté qu'il ne jouait pas la comédie. Ils ont immédiatement prévenu les secours.
L'acteur était toujours en vie lorsqu'il a été transporté à l'hôpital. Mais son état était critique son cerveau n'éyant pas été oxygéné pendant plusieurs minutes. Tiago Klimeck est finalement décédé ce dimanche soit dix-sept jours après le terrible accident. Une enquête a été ouverte pour tenter de déterminer les causes du drame."
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=39175
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cravate
Daniel Barthelemy dit ne pas savoir pourquoi il a tué son épouse. LIÈGE - Accusé de l’assassinat de son épouse, le Hutois D B soutient qu’il ne sait pas pourquoi il a commis le meurtre.
La cour d’assises de Liège a entamé le procès de D B, un Hutois de 65 ans accusé de l’assassinat de son épouse. Lors de son interrogatoire par le président Stéphane Goux, l’accusé a soutenu qu’il ne sait pas ce qui l’a poussé à se munir d’une cravate pour étrangler la victime. Il dit avoir été provoqué et excédé par le comportement de son épouse alcoolique.
DB, un Hutois de 65 ans, avait tué son épouse (61 ans) le 5 juillet 2009 vers 10h15 lors d’une dispute qui faisait suite à une nuit alcoolisée de la victime. L’accusé a prétendu avoir été excédé par le comportement de son épouse. C’est dans ces circonstances qu’il s’était emparé d’une cravate pour étrangler Nicole Charpentier. (.....)
Lors de son interrogatoire par le président Stéphane Goux, Daniel Barthélémy a précisé le contexte dans lequel se sont déroulés les faits. Il dit ne pas comprendre le geste qu’il a posé le jour des faits. « Ma femme buvait beaucoup et ramenait souvent des hommes à la maison à l’issue de ses sorties. J’ai passé des nuits blanches, avec le téléphone à côté de moi, dans l’attente de son retour. Je ne lui ai jamais posé de question sur le déroulement de ses soirées. Mais le 5 juillet 2009, il y a eu une scène de trop ! « , a expliqué l’accusé.
(....)
« Elle employait un ton glacial lorsqu’elle est venue vers moi. Je ne sais pas ce qui s’est passé. J’ai voulu prendre ma veste et partir. Mais j’ai vu cette cravate. Je ne me suis rendu compte que trop tard des conséquences de mon geste. »
http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20120423_00149738
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autre meurtre aux Assises : ici c'est probablement la période critique septennale des 63 ans et son effet de "pulsions-désinhibition" qui était de la partie...
La cour d’assises de Liège a entamé le procès de D B, un Hutois de 65 ans accusé de l’assassinat de son épouse. Lors de son interrogatoire par le président Stéphane Goux, l’accusé a soutenu qu’il ne sait pas ce qui l’a poussé à se munir d’une cravate pour étrangler la victime. Il dit avoir été provoqué et excédé par le comportement de son épouse alcoolique.
DB, un Hutois de 65 ans, avait tué son épouse (61 ans) le 5 juillet 2009 vers 10h15 lors d’une dispute qui faisait suite à une nuit alcoolisée de la victime. L’accusé a prétendu avoir été excédé par le comportement de son épouse. C’est dans ces circonstances qu’il s’était emparé d’une cravate pour étrangler Nicole Charpentier. (.....)
Lors de son interrogatoire par le président Stéphane Goux, Daniel Barthélémy a précisé le contexte dans lequel se sont déroulés les faits. Il dit ne pas comprendre le geste qu’il a posé le jour des faits. « Ma femme buvait beaucoup et ramenait souvent des hommes à la maison à l’issue de ses sorties. J’ai passé des nuits blanches, avec le téléphone à côté de moi, dans l’attente de son retour. Je ne lui ai jamais posé de question sur le déroulement de ses soirées. Mais le 5 juillet 2009, il y a eu une scène de trop ! « , a expliqué l’accusé.
(....)
« Elle employait un ton glacial lorsqu’elle est venue vers moi. Je ne sais pas ce qui s’est passé. J’ai voulu prendre ma veste et partir. Mais j’ai vu cette cravate. Je ne me suis rendu compte que trop tard des conséquences de mon geste. »
http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20120423_00149738
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autre meurtre aux Assises : ici c'est probablement la période critique septennale des 63 ans et son effet de "pulsions-désinhibition" qui était de la partie...
Assises
Assises du Rhône: une femme accusée d'avoir tué son compagnon avant de congeler le corps
LYON (AP) — La cour d'assises du Rhône juge depuis mardi matin G C, une femme de 53 ans accusée d'avoir tué en 2008 son compagnon, un ancien restaurateur de vingt ans son aîné, et d'avoir caché le corps pendant plus d'un an et demi dans un congélateur.
L'affaire avait été révélée en août 2010 quand la fille de l'accusée, après avoir reçu un coup de téléphone de son oncle, faisait part de ses soupçons à la police.
Après quelques vérifications, les enquêteurs décidaient de perquisitionner le domicile du couple, dans le VIe arrondissement de Lyon. Ils trouvaient alors un appartement très en désordre, aux volets fermés et, au milieu du salon, un congélateur dans lequel le corps recroquevillé du septuagénaire était dissimulé sous des sacs de nourriture.
L'autopsie a montré que la victime, qui souffrait de graves problèmes cardiaques, a succombé à des fractures, consécutives à des coups.
Guylaine Collober a finalement avoué avoir violemment frappé son compagnon dans les côtes au cours d'une dispute un soir de novembre 2008, mais sans intention de le tuer. La victime se serait pourtant écroulée après quelques minutes. Prise de panique, l'accusée avait appelée son demi-frère à l'aide, mais sans succès. Elle aurait ensuite envisagé le suicide, avant d'acheter un congélateur qui lui été livré trois jours après le drame...
Après avoir nettoyé le corps à l'eau de Javel, elle l'a finalement hissé dans le congélateur. Pendant un an et demi, elle avait continué de payer le loyer et l'électricité de son appartement avec le chéquier de son conjoint.
L'enquête a par ailleurs montré que les disputes et les bagarres se répétaient au sein du couple. Des témoins ont affirmé avoir vu la victime à plusieurs reprises avec des traces de contusion sur le visage. Des proches de l'accusée l'ont décrite comme une personne au caractère relativement violent.
Selon les experts psychiatres, cette femme à l'intelligence normale mais à la personnalité limite est pleinement responsable de ses actes. Le verdict est attendu jeudi. AP
http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20120424.FAP2969/assises-du-rhone-une-femme-accusee-d-avoir-tue-son-compagnon-avant-de-congeler-le-corps.html
=============
les procès d'Assises sont fréquemment des "procès de septennaux" certains types de drames ayant plus tendance à arriver lors de situations en période critique : ici c'est probablement la période critique septennale des 49 ans de la dame qui fait partie des éléments...
(pas trouvé l'âge du compagnon car il se pourrait bien qu'il y ait une compatibilité septennale entre les deux personnes, ce qui augmente le risque de tensions en période critique)
LYON (AP) — La cour d'assises du Rhône juge depuis mardi matin G C, une femme de 53 ans accusée d'avoir tué en 2008 son compagnon, un ancien restaurateur de vingt ans son aîné, et d'avoir caché le corps pendant plus d'un an et demi dans un congélateur.
L'affaire avait été révélée en août 2010 quand la fille de l'accusée, après avoir reçu un coup de téléphone de son oncle, faisait part de ses soupçons à la police.
Après quelques vérifications, les enquêteurs décidaient de perquisitionner le domicile du couple, dans le VIe arrondissement de Lyon. Ils trouvaient alors un appartement très en désordre, aux volets fermés et, au milieu du salon, un congélateur dans lequel le corps recroquevillé du septuagénaire était dissimulé sous des sacs de nourriture.
L'autopsie a montré que la victime, qui souffrait de graves problèmes cardiaques, a succombé à des fractures, consécutives à des coups.
Guylaine Collober a finalement avoué avoir violemment frappé son compagnon dans les côtes au cours d'une dispute un soir de novembre 2008, mais sans intention de le tuer. La victime se serait pourtant écroulée après quelques minutes. Prise de panique, l'accusée avait appelée son demi-frère à l'aide, mais sans succès. Elle aurait ensuite envisagé le suicide, avant d'acheter un congélateur qui lui été livré trois jours après le drame...
Après avoir nettoyé le corps à l'eau de Javel, elle l'a finalement hissé dans le congélateur. Pendant un an et demi, elle avait continué de payer le loyer et l'électricité de son appartement avec le chéquier de son conjoint.
L'enquête a par ailleurs montré que les disputes et les bagarres se répétaient au sein du couple. Des témoins ont affirmé avoir vu la victime à plusieurs reprises avec des traces de contusion sur le visage. Des proches de l'accusée l'ont décrite comme une personne au caractère relativement violent.
Selon les experts psychiatres, cette femme à l'intelligence normale mais à la personnalité limite est pleinement responsable de ses actes. Le verdict est attendu jeudi. AP
http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20120424.FAP2969/assises-du-rhone-une-femme-accusee-d-avoir-tue-son-compagnon-avant-de-congeler-le-corps.html
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les procès d'Assises sont fréquemment des "procès de septennaux" certains types de drames ayant plus tendance à arriver lors de situations en période critique : ici c'est probablement la période critique septennale des 49 ans de la dame qui fait partie des éléments...
(pas trouvé l'âge du compagnon car il se pourrait bien qu'il y ait une compatibilité septennale entre les deux personnes, ce qui augmente le risque de tensions en période critique)
accident
Collision à Amsterdam. Un "signal stop" non respecté serait à l'origine du drame
La collision survenue samedi entre deux trains, près d'Amsterdam (Pays-Bas), serait liée au non-respect d'un "signal stop". Une personne est décédée dans cet accident, et 117 autres blessées, dont 42 "grièvement".
"Il semble que l'omnibus a passé un signal stop", a indiqué, ce lundi, la ministre néerlandaise des Infrastructures Schultz van Haegen. "Une enquête plus approfondie devra déterminer si cela peut être confirmé de manière définitive", a ajouté la ministre.
Samedi, deux trains s'étaient heurtés frontalement sur un pont situé entre la gare centrale et la gare d'Amsterdam Sloterdijk, à l'ouest de la ville, sans dérailler, faisant 117 blessés, dont 42 "grièvement", et un mort, une femme de 68 ans.
Selon des témoins, le choc entre les deux trains n'avait pas été violent. De nombreux voyageurs, debout au moment de la collision, avaient été projetés contre les fenêtres et étaient tombés dans les allées des wagons, selon des témoins. L'un des deux trains aurait émis un long signal d'avertissement juste avant l'accident.
http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/europe/collision-a-amsterdam-un-signal-stop-non-respecte-serait-a-l-origine-du-drame-23-04-2012-1679305.php
===================
jour critique ? ce sont eux qui, souvent, sont en cause lors des "erreurs humaines" et des accidents... ils sont à l'origine de jours de fatigue, baisses d'attention, distraction, perturbations, etc...
les périodes critiques également.
La collision survenue samedi entre deux trains, près d'Amsterdam (Pays-Bas), serait liée au non-respect d'un "signal stop". Une personne est décédée dans cet accident, et 117 autres blessées, dont 42 "grièvement".
"Il semble que l'omnibus a passé un signal stop", a indiqué, ce lundi, la ministre néerlandaise des Infrastructures Schultz van Haegen. "Une enquête plus approfondie devra déterminer si cela peut être confirmé de manière définitive", a ajouté la ministre.
Samedi, deux trains s'étaient heurtés frontalement sur un pont situé entre la gare centrale et la gare d'Amsterdam Sloterdijk, à l'ouest de la ville, sans dérailler, faisant 117 blessés, dont 42 "grièvement", et un mort, une femme de 68 ans.
Selon des témoins, le choc entre les deux trains n'avait pas été violent. De nombreux voyageurs, debout au moment de la collision, avaient été projetés contre les fenêtres et étaient tombés dans les allées des wagons, selon des témoins. L'un des deux trains aurait émis un long signal d'avertissement juste avant l'accident.
http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/europe/collision-a-amsterdam-un-signal-stop-non-respecte-serait-a-l-origine-du-drame-23-04-2012-1679305.php
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jour critique ? ce sont eux qui, souvent, sont en cause lors des "erreurs humaines" et des accidents... ils sont à l'origine de jours de fatigue, baisses d'attention, distraction, perturbations, etc...
les périodes critiques également.
dimanche 22 avril 2012
tentative d'enlèvement
Besançon. Un homme d’une cinquantaine d’années est depuis hier en garde à vue dans le cadre d’une affaire de tentative d’enlèvement d’enfant.
Un jeune garçon de 11 ans attendait le bus, hier matin vers 9 h, rue de Trey, dans le quartier Saint-Claude à Besançon, lorsqu’un individu se serait approché de lui et aurait tenté de l’enlever.
L’homme, arrivé en voiture, aurait essayé de lui mettre un sac plastique sur la tête mais le bus serait arrivé à ce moment-là, mettant fin à ses agissements et le contraignant à s’enfuir au volant de son véhicule. L’enfant s’étant réfugié dans le bus, un témoin a noté la plaque d’immatriculation de la voiture, de sorte que la police a pu appréhender l’individu mis en cause dans l’après-midi.
En état de choc, l’enfant a été transporté au CHU. Quant à l’individu, il était toujours hier soir interrogé par les policiers sans que rien n’ait filtré du contenu de ses déclarations.
http://www.estrepublicain.fr/doubs/2012/04/22/suspecte-d-avoir-tente-d-enlever-un-enfant
============================
édit 23/04 :
je guettais les nouvelles pour voir si l'on indiquerait l'âge de l'homme en cause et les voici... :
TENTATIVE D’ENLÈVEMENT SUR MINEUR À BESANÇON
Les faits remontent à samedi. Il est alors 9 hdu matin, un garçon de 11 ans attend le bus rue de Trey dans le quartier de Saint-Claude lorsqu’un automobiliste fait halte
Une ouverture d’information judiciaire pour tentative d’enlèvement de mineur de moins de 15 ans a été ouverte lundi à l’encontre d’un Bisontin âgé de 56 ans.
Les faits remontent à samedi dernier. Il est alors 9 heures du matin, un garçon de 11 ans attend le bus rue de Trey dans le quartier de Saint-Claude à Besançon lorsqu’un automobiliste fait halte.
La suite, ce sont plusieurs témoins qui en ont fait part à la police aussitôt alertée. Ces derniers disent avoir vu l’homme descendre de sa voiture et essayer d’enlever le jeune garçon. A cet instant, arrivait le bus dans lequel l’enfant se réfugiait après avoir crié et s’être débattu tandis que l’homme prenait la fuite en voiture. Sauf qu’un témoin relevait le numéro de la plaque d’immatriculation, permettant ainsi de le retrouver.
Présenté lundi au parquet, l’homme a nié avoir commis la moindre agression. Selon ses dires, il se rendait à son travail et s’est arrêté à l’arrêt de bus pour consulter le tableau des horaires. Et s’il reconnaît avoir bien fait halte à cet endroit, il rejette toute tentative d’enlèvement. Reste que subsiste du flou dans ses explications et que certaines de ses dénégations se heurtent à des éléments objectifs, d’où l’ouverture d’une information.
Présenté à un juge d’instruction, l’homme sans antécédents judiciaires connus, devait se retrouver, en début de soirée, devant le juge des libertés et de la détention. Le procureur avait requis sa mise en détention.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2012/04/23/tentative-d-enlevement-sur-mineur
=============================
ma suspicion et la règle septennale semble donc juste ici aussi : période critique septennale des 56 ans...
la question est alors... comment expliquer que la survenance d'une période critique septennale puisse faire disjoncter à ce point une personne qui apparemment n'avait aucun antécédent judiciaire... (ce qui reste d'ailleurs à vérifier, notamment les périodes critiques passées...)
les psys (chologues et chiatres) ne nous le diront pas car ils ne connaîssent pas les périodes critiques septennales... : il faudrait pourtant qu'ils s'y intéressent...
Un jeune garçon de 11 ans attendait le bus, hier matin vers 9 h, rue de Trey, dans le quartier Saint-Claude à Besançon, lorsqu’un individu se serait approché de lui et aurait tenté de l’enlever.
L’homme, arrivé en voiture, aurait essayé de lui mettre un sac plastique sur la tête mais le bus serait arrivé à ce moment-là, mettant fin à ses agissements et le contraignant à s’enfuir au volant de son véhicule. L’enfant s’étant réfugié dans le bus, un témoin a noté la plaque d’immatriculation de la voiture, de sorte que la police a pu appréhender l’individu mis en cause dans l’après-midi.
En état de choc, l’enfant a été transporté au CHU. Quant à l’individu, il était toujours hier soir interrogé par les policiers sans que rien n’ait filtré du contenu de ses déclarations.
http://www.estrepublicain.fr/doubs/2012/04/22/suspecte-d-avoir-tente-d-enlever-un-enfant
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édit 23/04 :
je guettais les nouvelles pour voir si l'on indiquerait l'âge de l'homme en cause et les voici... :
TENTATIVE D’ENLÈVEMENT SUR MINEUR À BESANÇON
Les faits remontent à samedi. Il est alors 9 hdu matin, un garçon de 11 ans attend le bus rue de Trey dans le quartier de Saint-Claude lorsqu’un automobiliste fait halte
Une ouverture d’information judiciaire pour tentative d’enlèvement de mineur de moins de 15 ans a été ouverte lundi à l’encontre d’un Bisontin âgé de 56 ans.
Les faits remontent à samedi dernier. Il est alors 9 heures du matin, un garçon de 11 ans attend le bus rue de Trey dans le quartier de Saint-Claude à Besançon lorsqu’un automobiliste fait halte.
La suite, ce sont plusieurs témoins qui en ont fait part à la police aussitôt alertée. Ces derniers disent avoir vu l’homme descendre de sa voiture et essayer d’enlever le jeune garçon. A cet instant, arrivait le bus dans lequel l’enfant se réfugiait après avoir crié et s’être débattu tandis que l’homme prenait la fuite en voiture. Sauf qu’un témoin relevait le numéro de la plaque d’immatriculation, permettant ainsi de le retrouver.
Présenté lundi au parquet, l’homme a nié avoir commis la moindre agression. Selon ses dires, il se rendait à son travail et s’est arrêté à l’arrêt de bus pour consulter le tableau des horaires. Et s’il reconnaît avoir bien fait halte à cet endroit, il rejette toute tentative d’enlèvement. Reste que subsiste du flou dans ses explications et que certaines de ses dénégations se heurtent à des éléments objectifs, d’où l’ouverture d’une information.
Présenté à un juge d’instruction, l’homme sans antécédents judiciaires connus, devait se retrouver, en début de soirée, devant le juge des libertés et de la détention. Le procureur avait requis sa mise en détention.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2012/04/23/tentative-d-enlevement-sur-mineur
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ma suspicion et la règle septennale semble donc juste ici aussi : période critique septennale des 56 ans...
la question est alors... comment expliquer que la survenance d'une période critique septennale puisse faire disjoncter à ce point une personne qui apparemment n'avait aucun antécédent judiciaire... (ce qui reste d'ailleurs à vérifier, notamment les périodes critiques passées...)
les psys (chologues et chiatres) ne nous le diront pas car ils ne connaîssent pas les périodes critiques septennales... : il faudrait pourtant qu'ils s'y intéressent...
suicide
Un tueur en série présumé dont les victimes étaient des propriétaires de camions de ramassage s'est suicidé dans sa cellule de prison hier matin dans la province de Prachuap Khiri Khan.
Nirut Sonkhamhan, 43 ans, s'est pendu avec son t-shirt dans les toilettes vers 5 h30, après une tentative ratée Lundi.(...)
Selon la police, au cours de la dernière année, Nirut a empoisonné neuf propriétaires de camions qui lui offraient de le prendre en stop, en mélangeant du pesticide dans les boissons qu'il leur achetait en route.
On pense qu'il laissait les corps sur le côté de la route, prenant leurs possessions de valeur, et revendant les camions à un gang dans la province de Songkhla.
Quatre furent tués, trois survécurent, et deux ont disparu. Nirut a été arrêté Lundi à Nakhon Pathom.
Les membres du CSD ont arrêté une connaissance de la femme de Nirut pour avoir vendu les camions volés.
Pairat Chawaha, 48 ans a été arrêté à son domicile dans le District de Khlong Hoi Khong (province de Songkhla) hier.(...)
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=13827&hl=
=====================
Nirut Sonkhamhan, 43 ans, s'est pendu avec son t-shirt dans les toilettes vers 5 h30, après une tentative ratée Lundi.(...)
Selon la police, au cours de la dernière année, Nirut a empoisonné neuf propriétaires de camions qui lui offraient de le prendre en stop, en mélangeant du pesticide dans les boissons qu'il leur achetait en route.
On pense qu'il laissait les corps sur le côté de la route, prenant leurs possessions de valeur, et revendant les camions à un gang dans la province de Songkhla.
Quatre furent tués, trois survécurent, et deux ont disparu. Nirut a été arrêté Lundi à Nakhon Pathom.
Les membres du CSD ont arrêté une connaissance de la femme de Nirut pour avoir vendu les camions volés.
Pairat Chawaha, 48 ans a été arrêté à son domicile dans le District de Khlong Hoi Khong (province de Songkhla) hier.(...)
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=13827&hl=
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brûlé vif
Loire. Retrouvé brûlé vif dans le Forez : la piste du règlement de compte semble écartée
Tentative de suicide ou arnaque à l’assurance qui a mal tourné : ce sont les deux pistes privilégiées par les gendarmes pour expliquer ce qui a pu arriver à cet homme de 34 ans, retrouvé gravement brûlé, hier matin, à Magneux-Haute-Rive.
Rappelons que c’est un agriculteur du secteur qui, au petit matin, avait retrouvé la victime près d’un véhicule entièrement calciné. Brûlé sur près de 90 % du corps, l’homme a été transporté sur un hôpital spécialisé à Lyon. Il s’y trouvait toujours hier soir, dans un état grave.
La piste d’un règlement de comptes a été évoquée mais elle semble aujourd’hui écartée. L’homme, domicilié à Sury-le-Comtal (à une vingtaine de kilomètres de là), est inconnu de la justice et la voiture n’est pas signalée volée. « Et lors des quelques phrases qu’il a pu prononcer avant d’être pris en charge, à aucun moment il n’a évoqué une agression », explique un enquêteur.
D’où ces deux pistes qui semblent les plus plausibles : la tentative de suicide ou le début d’une éventuelle arnaque à l’assurance qui aurait mal tourné.
Appel à témoins : toutes les personnes susceptibles d’apporter des élements à l’enquête des gendarmes sont priées de contacter la brigade de gendarmerie de Montrond-les-Bains au 04 77 54 41 35.
Source : Le Progrès
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=13809&hl=
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jour critique émotionnel ? (présent en cas de tentative de suicide par exemple)
nous sommes à l'entrée dans la période critique septennale des 35 ans...
Tentative de suicide ou arnaque à l’assurance qui a mal tourné : ce sont les deux pistes privilégiées par les gendarmes pour expliquer ce qui a pu arriver à cet homme de 34 ans, retrouvé gravement brûlé, hier matin, à Magneux-Haute-Rive.
Rappelons que c’est un agriculteur du secteur qui, au petit matin, avait retrouvé la victime près d’un véhicule entièrement calciné. Brûlé sur près de 90 % du corps, l’homme a été transporté sur un hôpital spécialisé à Lyon. Il s’y trouvait toujours hier soir, dans un état grave.
La piste d’un règlement de comptes a été évoquée mais elle semble aujourd’hui écartée. L’homme, domicilié à Sury-le-Comtal (à une vingtaine de kilomètres de là), est inconnu de la justice et la voiture n’est pas signalée volée. « Et lors des quelques phrases qu’il a pu prononcer avant d’être pris en charge, à aucun moment il n’a évoqué une agression », explique un enquêteur.
D’où ces deux pistes qui semblent les plus plausibles : la tentative de suicide ou le début d’une éventuelle arnaque à l’assurance qui aurait mal tourné.
Appel à témoins : toutes les personnes susceptibles d’apporter des élements à l’enquête des gendarmes sont priées de contacter la brigade de gendarmerie de Montrond-les-Bains au 04 77 54 41 35.
Source : Le Progrès
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=13809&hl=
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jour critique émotionnel ? (présent en cas de tentative de suicide par exemple)
nous sommes à l'entrée dans la période critique septennale des 35 ans...
meurtre
Meurtre de Carouge : un suspect interpellé
Jeudi, l’auteur présumé du meurtre d’un habitant de Carouge a été appréhendé par la police.
Les faits remontent au 10 avril dernier vers 10 heures. Un homme de 78 ans, d’origine espagnole, avait été retrouvé sans vie dans son appartement situé à Carouge. La victime présentait une importante entaille au niveau de la gorge.
Grâce à l’enquête des inspecteurs de la brigade criminelle de la police judiciaire, un homme suspecté de cet homicide a été interpellé alors qu’il revenait en Suisse après un court séjour à l’étranger. Âgé de 42 ans, originaire du Kosovo et domicilié à Genève, il a reconnu les faits. Il a été mis à disposition du Ministère public.
Il s’agissait du deuxième homicide à Genève pour l’année 2012.
Source : Le Dauphiné le 22 avril 2012
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=13728&hl=
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Jeudi, l’auteur présumé du meurtre d’un habitant de Carouge a été appréhendé par la police.
Les faits remontent au 10 avril dernier vers 10 heures. Un homme de 78 ans, d’origine espagnole, avait été retrouvé sans vie dans son appartement situé à Carouge. La victime présentait une importante entaille au niveau de la gorge.
Grâce à l’enquête des inspecteurs de la brigade criminelle de la police judiciaire, un homme suspecté de cet homicide a été interpellé alors qu’il revenait en Suisse après un court séjour à l’étranger. Âgé de 42 ans, originaire du Kosovo et domicilié à Genève, il a reconnu les faits. Il a été mis à disposition du Ministère public.
Il s’agissait du deuxième homicide à Genève pour l’année 2012.
Source : Le Dauphiné le 22 avril 2012
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=13728&hl=
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suicide ?
Piéton tué sur l’A131 : la thèse du suicide privilégiée
La thèse d’un suicide est privilégiée par les gendarmes du peloton autoroutier de Saint-Romain-de-Colbosc après l’accident qui a coûté la vie à un Havrais âgé de 28 ans, jeudi vers 15 h, sur l’A 131, à la limite des communes de Saint-Vigor-d’Ymonville et de la Cerlangue. Le piéton a été percuté par un camion qui ciculait dans le sens Le Havre - Tancarville.
Selon les éléments recueillis par les militaires, la victime était venue jusqu’à cet endroit avec une voiture prêtée par une autre personne. Elle a stationné le véhicule sur la bande d’arrêt d’urgence, près d’une borne d’appel, avant d’en sortir.
C’est plusieurs dizaines de mètres plus loin, du même côté de l’autoroute, sur la voie de droite, qu’un poid lourd l’a heurtée. Le chauffeur routier aurait tenté vainement de l’éviter.
Les enquêteurs ont notamment constaté que la voiture garée n’avait pas subi de panne ni autre incident. Ils ont eu confirmation que la borne d’appel fonctionnait bien. Ainsi le jeune Havrais ne semble pas avoir eu de raison de s’engager sur la route, pour la traverser. L’enquête se poursuit.
http://www.paris-normandie.fr/actu/pieton-tue-sur-l%E2%80%99a131-la-these-du-suicide-privilegiee
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la période "suicide" y est : période critique septennale des 28 ans.
on peut encore vérifier si le jour critique émotionnel est présent : c'est le "jour du suicide".
La thèse d’un suicide est privilégiée par les gendarmes du peloton autoroutier de Saint-Romain-de-Colbosc après l’accident qui a coûté la vie à un Havrais âgé de 28 ans, jeudi vers 15 h, sur l’A 131, à la limite des communes de Saint-Vigor-d’Ymonville et de la Cerlangue. Le piéton a été percuté par un camion qui ciculait dans le sens Le Havre - Tancarville.
Selon les éléments recueillis par les militaires, la victime était venue jusqu’à cet endroit avec une voiture prêtée par une autre personne. Elle a stationné le véhicule sur la bande d’arrêt d’urgence, près d’une borne d’appel, avant d’en sortir.
C’est plusieurs dizaines de mètres plus loin, du même côté de l’autoroute, sur la voie de droite, qu’un poid lourd l’a heurtée. Le chauffeur routier aurait tenté vainement de l’éviter.
Les enquêteurs ont notamment constaté que la voiture garée n’avait pas subi de panne ni autre incident. Ils ont eu confirmation que la borne d’appel fonctionnait bien. Ainsi le jeune Havrais ne semble pas avoir eu de raison de s’engager sur la route, pour la traverser. L’enquête se poursuit.
http://www.paris-normandie.fr/actu/pieton-tue-sur-l%E2%80%99a131-la-these-du-suicide-privilegiee
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la période "suicide" y est : période critique septennale des 28 ans.
on peut encore vérifier si le jour critique émotionnel est présent : c'est le "jour du suicide".
suicide
Metz : un gendarme se suicide avec son arme à feu
Vendredi matin un gendarme de la cellule d’investigations criminelles s’est donné la mort avec sa propre arme à feu. Il était en poste à Metz-Queuleu. Le sous-officier s’est suicidé pour des raisons encore inconnues. Une enquête interne a été ouverte.
C’est vers 9h dans son bureau de la cellule d’investigations criminelles de Metz-Queuleu qu’un sous-officier de gendarmerie s’est donné la mort avec son arme à feu apprend-t-on de France Bleu Lorraine Nord. Le gendarme a retourné son arme de service chargée contre lui alors qu’il prenait son service.
Sous le choc
Malgré l’intervention des pompiers pour le transporter vers un hôpital, l’homme est mort suite à ses blessures. En effet il n’est pas décédé sur le coup. Le gendarme de 51 ans a pourtant bénéficié des premiers secours des sapeurs-pompiers de Metz et du Samu dépêché en urgence mais en vain.
Le sous-officier est père de trois enfants, était réputé sans histoire et en bonne santé. Il pratiquait régulièrement la course à pieds et participait activement à la vie de son quartier. Son acte désespéré laisse sous le choc sa brigade ainsi que ses proches qui ne comprennent toujours pas, vingt-quatre heures après le drame les circonstances du suicide.
http://www.loractu.fr/metz/1267-metz-un-gendarme-se-suicide-avec-son-arme-a-feu.html
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jour critique émotionnel ?
Vendredi matin un gendarme de la cellule d’investigations criminelles s’est donné la mort avec sa propre arme à feu. Il était en poste à Metz-Queuleu. Le sous-officier s’est suicidé pour des raisons encore inconnues. Une enquête interne a été ouverte.
C’est vers 9h dans son bureau de la cellule d’investigations criminelles de Metz-Queuleu qu’un sous-officier de gendarmerie s’est donné la mort avec son arme à feu apprend-t-on de France Bleu Lorraine Nord. Le gendarme a retourné son arme de service chargée contre lui alors qu’il prenait son service.
Sous le choc
Malgré l’intervention des pompiers pour le transporter vers un hôpital, l’homme est mort suite à ses blessures. En effet il n’est pas décédé sur le coup. Le gendarme de 51 ans a pourtant bénéficié des premiers secours des sapeurs-pompiers de Metz et du Samu dépêché en urgence mais en vain.
Le sous-officier est père de trois enfants, était réputé sans histoire et en bonne santé. Il pratiquait régulièrement la course à pieds et participait activement à la vie de son quartier. Son acte désespéré laisse sous le choc sa brigade ainsi que ses proches qui ne comprennent toujours pas, vingt-quatre heures après le drame les circonstances du suicide.
http://www.loractu.fr/metz/1267-metz-un-gendarme-se-suicide-avec-son-arme-a-feu.html
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jour critique émotionnel ?
poignardée
Une adolescente poignarde sa grand-mère dans les Yvelines
" Une mineure, âgée de 16 ans, a poignardé sa grand-mère de 81 ans, hier soir au Chesnay (Yvelines). On ne connaît pas encore les raisons de son acte.
Une mineure, âgée de 16 ans, a poignardé sa grand-mère de 81 ans, hier soir au Chesnay (Yvelines). Les faits se sont déroulés vers 18 heures au domicile de la victime situé rue Franklin. La jeune fille a porté cinq coups de couteau, dont un au thorax, à son aïeule avant de prendre la fuite. Immédiatement alertée, la police a fait hospitaliser l'octogénaire à l'hôpital parisien de la Pitié-Salpétrière où elle devait subir une opération.
Prise en chasse, l'auteure des coups a été interpellée, peu avant 23 heures, aux abords de son appartement à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines). L'origine du différend n'a pas été élucidée par les enquêteurs mais il semble que la jeune fille soit psychologiquement perturbée. Selon la police, elle devrait être placée en milieu psychiatrique à l'hôpital de Montesson (Yvelines) à l'issue de sa garde à vue. "
Source : LE PARISIEN.FR (22 avril 2012)
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=39164
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" Une mineure, âgée de 16 ans, a poignardé sa grand-mère de 81 ans, hier soir au Chesnay (Yvelines). On ne connaît pas encore les raisons de son acte.
Une mineure, âgée de 16 ans, a poignardé sa grand-mère de 81 ans, hier soir au Chesnay (Yvelines). Les faits se sont déroulés vers 18 heures au domicile de la victime situé rue Franklin. La jeune fille a porté cinq coups de couteau, dont un au thorax, à son aïeule avant de prendre la fuite. Immédiatement alertée, la police a fait hospitaliser l'octogénaire à l'hôpital parisien de la Pitié-Salpétrière où elle devait subir une opération.
Prise en chasse, l'auteure des coups a été interpellée, peu avant 23 heures, aux abords de son appartement à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines). L'origine du différend n'a pas été élucidée par les enquêteurs mais il semble que la jeune fille soit psychologiquement perturbée. Selon la police, elle devrait être placée en milieu psychiatrique à l'hôpital de Montesson (Yvelines) à l'issue de sa garde à vue. "
Source : LE PARISIEN.FR (22 avril 2012)
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=39164
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pédophilie
Retrait d'un co-président de l'initiative: abus avec mineure
Benjamin Spühler, l'un des co-présidents du comité d'initiative contre l'éducation sexuelle à l'école avant l'âge de 9 ans a été condamné pour des contacts sexuels avec une mineure dans les années 1990. Il s'est retiré du comité.
Le comité a été informé par un tiers de la condamnation de M. Spühler, il y a 17 ans, pour des faits qu'il a niés, indiquent les initiants vendredi dans un communiqué. Le comité confirme l'information révélée dans le "Blick" et l'"Aargauer Zeitung".
Sur cette base, il a appelé le principal intéressé à se retirer et à cesser toute activité liée à l'initiative populaire lancée mardi au niveau fédéral. Benjamin Spühler s'est exécuté "immédiatement" et s'est excusé pour ne pas avoir informé le comité au sujet de son passé.
M. Spühler siégeait au comité d'initiative en tant que président d'un comité de parents d'élèves bâlois. Ce groupe combat notamment l'introduction d'un équipement d'éducation sexuelle dans les écoles de Bâle-Ville. Il est à l'origine de l'initiative populaire "contre la sexualisation à l'école maternelle et à l'école primaire".
http://www.arcinfo.ch/fr/suisse/retrait-d-un-co-president-de-l-initiative-abus-avec-mineure-566-434382
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les réactions me semblent bizarres... l'intéressé se trouvait apparemment dans sa période critique septennale des 42 ans à l'époque et il a toujours nié les faits.
il peut très bien avoir effectivement gravement fauté à l'époque (1) - on le suppose puisqu'il a été condamné... - alors qu'apparemment ce sont des faits qu'il a niés...
mais cela a très bien pu faire de lui un "repenti" qui a pris conscience de certains problèmes, ce qui l'a conduit à se mobiliser aujourd'hui...
(1) la survenance d'une période critique septennale peut activer des tendances pédophiles profondément enfouies chez beaucoup de personnes. des passages à l'acte sont possibles du fait d'un changement de personnalité momentané et d'un effet de désinhibition qui s'opère alors.
cet état cesse cependant une fois la période critique septennale passée, ce qu'il faudrait pouvoir prendre en compte. et c'est ce en quoi je distingue la "pédophilie" de la "pédophilie septennale".
Benjamin Spühler, l'un des co-présidents du comité d'initiative contre l'éducation sexuelle à l'école avant l'âge de 9 ans a été condamné pour des contacts sexuels avec une mineure dans les années 1990. Il s'est retiré du comité.
Le comité a été informé par un tiers de la condamnation de M. Spühler, il y a 17 ans, pour des faits qu'il a niés, indiquent les initiants vendredi dans un communiqué. Le comité confirme l'information révélée dans le "Blick" et l'"Aargauer Zeitung".
Sur cette base, il a appelé le principal intéressé à se retirer et à cesser toute activité liée à l'initiative populaire lancée mardi au niveau fédéral. Benjamin Spühler s'est exécuté "immédiatement" et s'est excusé pour ne pas avoir informé le comité au sujet de son passé.
M. Spühler siégeait au comité d'initiative en tant que président d'un comité de parents d'élèves bâlois. Ce groupe combat notamment l'introduction d'un équipement d'éducation sexuelle dans les écoles de Bâle-Ville. Il est à l'origine de l'initiative populaire "contre la sexualisation à l'école maternelle et à l'école primaire".
http://www.arcinfo.ch/fr/suisse/retrait-d-un-co-president-de-l-initiative-abus-avec-mineure-566-434382
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les réactions me semblent bizarres... l'intéressé se trouvait apparemment dans sa période critique septennale des 42 ans à l'époque et il a toujours nié les faits.
il peut très bien avoir effectivement gravement fauté à l'époque (1) - on le suppose puisqu'il a été condamné... - alors qu'apparemment ce sont des faits qu'il a niés...
mais cela a très bien pu faire de lui un "repenti" qui a pris conscience de certains problèmes, ce qui l'a conduit à se mobiliser aujourd'hui...
(1) la survenance d'une période critique septennale peut activer des tendances pédophiles profondément enfouies chez beaucoup de personnes. des passages à l'acte sont possibles du fait d'un changement de personnalité momentané et d'un effet de désinhibition qui s'opère alors.
cet état cesse cependant une fois la période critique septennale passée, ce qu'il faudrait pouvoir prendre en compte. et c'est ce en quoi je distingue la "pédophilie" de la "pédophilie septennale".
meurtre
Sonia, 17 ans, a été poignardée
LAON (Aisne). Le jeune homme de 18 ans qui a avoué avoir tué Sonia Brunbrouck, une lycéenne laonnoise de 17 ans est toujours en garde à vue. Selon le procureur, il était animé de "pulsions morbides". Ses indications ont permis de retrouver le corps de la jeune fille dans les sous-bois, derrière les remparts de Laon. (...)
La lycéenne laonnoise âgée de 17 ans habitant Châtillon-lès-Sons et scolarisée au lycée Julie-Daubié à Laon avait disparu jeudi en début d'après-midi.
Interrogé par les gendarmes, un jeune homme de 18 ans a avoué l'avoir tuée. Ce sont ses indications qui ont permis de retrouver le corps de la victime qui reposait à 30 m d'un chemin, à l'abri de tous regards.(.....)
Vendredi en milieu d'après-midi, les gendarmes décident d'entendre à nouveau un jeune homme, tout juste majeur. Il craque. Il aurait avoué avoir tué Sonia Brunbrouck.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/sonia-17-ans-a-ete-poignardee
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/meutre-de-sonia-les-pulsions-macabres-de-lewis-peschet
=====================
j'ai trouvé ailleurs "âgé de près de 19 ans" - proximité anniversaire ? pas trouvé d'autre précision...
édit 2/05 :
Lewis Peschet transféré dans un service psychiatrique
LAON (Asne). Il avait d’abord été placé en détention provisoire. Avant une probable nouvelle expertise, le meurtrier présumé de Sonia Brunbrouck bénéficie d’un traitement adapté à son état psychologique. (...)
Mis en examen trois jours après le crime (l’union du lundi 23 avril), le jeune garçon, qui aura 19 ans ce mois-ci, avait été placé ensuite en détention provisoire. Même s’il s’agissait d’un prisonnier «lambda», quelques mesures avaient été prises à son encontre pour le protéger de lui-même et des autres détenus. Pour éviter toute agression, il était visiblement placé à l’isolement.
Source : L'Union le 1er mai 2012
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=13806&hl=
================
pas trouvé la date précise de naissance mais nous avons pour l'instant les éléments "proximité (ou approche) anniversaire" et année critique P18.
édit 7/05 :
Lewis Peschet a expliqué aux enquêteurs avoir envie de tuer quelqu'un depuis environ un an. Il ressort des premiers éléments de l'enquête que cette obsession l'a peu à peu envahi, jusqu'au passage à l'acte le 19 avril dernier.
L'adolescent de 18 ans a jeté son dévolu sur Sonia Brunbrouck, une jeune fille de 17 ans scolarisée au lycée Julie-Daubié, qu'il connaissait depuis trois ans.
En cours avec ses gants et son couteau
D'après les premiers éléments de l'enquête le jeune homme avait prévu de la tuer le 18 avril, soit la veille du crime. Il a expliqué lui avoir donné rendez-vous au cimetière Saint-Just, à Laon et ne pas avoir agi en apercevant un promeneur.
Il a alors demandé à la jeune fille de le rejoindre le lendemain, en fin de matinée, derrière l'abbaye Saint-Vincent. C'est de là qu'il l'a emmenée dans un petit coin isolé en contrebas de la promenade.
Le jeune homme avait tout prévu. Il portait sur lui l'arme du crime, un couteau, mais aussi des gants et un tablier.
« Jeudi matin il s'est calmement rendu en cours (au lycée Paul-Claudel à Laon N.D.L.R.) avec tout cet attirail », commente une source proche du dossier. D'après nos informations les gants lui ont été fournis par son père, auquel il aurait expliqué en avoir besoin pour un cours d'art plastique : « Il ne s'est pas méfié, ne pouvant imaginer les terribles desseins de son fils. »
Lewis Peschet a déclaré aux enquêteurs avoir poignardé Sonia le jeudi 19 avril vers 12 h 20. Une déclaration qui coïncide avec les résultats définitifs de l'autopsie qui situe la mort entre 10 h 30 et 13 h 30.
LAON (Aisne). Le jeune homme de 18 ans qui a avoué avoir tué Sonia Brunbrouck, une lycéenne laonnoise de 17 ans est toujours en garde à vue. Selon le procureur, il était animé de "pulsions morbides". Ses indications ont permis de retrouver le corps de la jeune fille dans les sous-bois, derrière les remparts de Laon. (...)
La lycéenne laonnoise âgée de 17 ans habitant Châtillon-lès-Sons et scolarisée au lycée Julie-Daubié à Laon avait disparu jeudi en début d'après-midi.
Interrogé par les gendarmes, un jeune homme de 18 ans a avoué l'avoir tuée. Ce sont ses indications qui ont permis de retrouver le corps de la victime qui reposait à 30 m d'un chemin, à l'abri de tous regards.(.....)
Vendredi en milieu d'après-midi, les gendarmes décident d'entendre à nouveau un jeune homme, tout juste majeur. Il craque. Il aurait avoué avoir tué Sonia Brunbrouck.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/sonia-17-ans-a-ete-poignardee
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/meutre-de-sonia-les-pulsions-macabres-de-lewis-peschet
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j'ai trouvé ailleurs "âgé de près de 19 ans" - proximité anniversaire ? pas trouvé d'autre précision...
édit 2/05 :
Lewis Peschet transféré dans un service psychiatrique
LAON (Asne). Il avait d’abord été placé en détention provisoire. Avant une probable nouvelle expertise, le meurtrier présumé de Sonia Brunbrouck bénéficie d’un traitement adapté à son état psychologique. (...)
Mis en examen trois jours après le crime (l’union du lundi 23 avril), le jeune garçon, qui aura 19 ans ce mois-ci, avait été placé ensuite en détention provisoire. Même s’il s’agissait d’un prisonnier «lambda», quelques mesures avaient été prises à son encontre pour le protéger de lui-même et des autres détenus. Pour éviter toute agression, il était visiblement placé à l’isolement.
Source : L'Union le 1er mai 2012
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=13806&hl=
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pas trouvé la date précise de naissance mais nous avons pour l'instant les éléments "proximité (ou approche) anniversaire" et année critique P18.
édit 7/05 :
Lewis Peschet a expliqué aux enquêteurs avoir envie de tuer quelqu'un depuis environ un an. Il ressort des premiers éléments de l'enquête que cette obsession l'a peu à peu envahi, jusqu'au passage à l'acte le 19 avril dernier.
L'adolescent de 18 ans a jeté son dévolu sur Sonia Brunbrouck, une jeune fille de 17 ans scolarisée au lycée Julie-Daubié, qu'il connaissait depuis trois ans.
En cours avec ses gants et son couteau
D'après les premiers éléments de l'enquête le jeune homme avait prévu de la tuer le 18 avril, soit la veille du crime. Il a expliqué lui avoir donné rendez-vous au cimetière Saint-Just, à Laon et ne pas avoir agi en apercevant un promeneur.
Il a alors demandé à la jeune fille de le rejoindre le lendemain, en fin de matinée, derrière l'abbaye Saint-Vincent. C'est de là qu'il l'a emmenée dans un petit coin isolé en contrebas de la promenade.
Le jeune homme avait tout prévu. Il portait sur lui l'arme du crime, un couteau, mais aussi des gants et un tablier.
« Jeudi matin il s'est calmement rendu en cours (au lycée Paul-Claudel à Laon N.D.L.R.) avec tout cet attirail », commente une source proche du dossier. D'après nos informations les gants lui ont été fournis par son père, auquel il aurait expliqué en avoir besoin pour un cours d'art plastique : « Il ne s'est pas méfié, ne pouvant imaginer les terribles desseins de son fils. »
Lewis Peschet a déclaré aux enquêteurs avoir poignardé Sonia le jeudi 19 avril vers 12 h 20. Une déclaration qui coïncide avec les résultats définitifs de l'autopsie qui situe la mort entre 10 h 30 et 13 h 30.
samedi 21 avril 2012
tentative et suicide septennal
Une mère et son fils tentent de se suicider ensemble à Kessel
Une femme de 41 ans et son fils de 14 ans ont tenté ensemble de mettre fin à leurs jours à Kessel, dans l'entité de Nijlen (province d'Anvers), a rapporté vendredi soir VTM dans son journal télévisé. La femme est décédée et les jours du garçon sont en danger.
Le drame s'est déroulé dans la maison familiale. Les services de secours ont trouvé vendredi matin le corps sans vie de la mère. La piste du double suicide est privilégiée, d'après le parquet de Malines.
Il est exceptionnel qu'un mineur tente de mettre fin à ses jours en compagnie d'un des parents, selon les spécialistes. Les enfants ne trouvent parfois pas de solution. C'est pourquoi, il est important que la famille, les amis et les professeurs ne négligent pas certains signes.
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1502/Belgique/article/detail/1426721/2012/04/20/Une-mere-et-son-fils-tentent-de-se-suicider-ensemble-a-Kessel.dhtml
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compatibilité septennale entre cette mère et son fils : ceci explique peut-être l'aspect exceptionnel...
Une femme de 41 ans et son fils de 14 ans ont tenté ensemble de mettre fin à leurs jours à Kessel, dans l'entité de Nijlen (province d'Anvers), a rapporté vendredi soir VTM dans son journal télévisé. La femme est décédée et les jours du garçon sont en danger.
Le drame s'est déroulé dans la maison familiale. Les services de secours ont trouvé vendredi matin le corps sans vie de la mère. La piste du double suicide est privilégiée, d'après le parquet de Malines.
Il est exceptionnel qu'un mineur tente de mettre fin à ses jours en compagnie d'un des parents, selon les spécialistes. Les enfants ne trouvent parfois pas de solution. C'est pourquoi, il est important que la famille, les amis et les professeurs ne négligent pas certains signes.
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1502/Belgique/article/detail/1426721/2012/04/20/Une-mere-et-son-fils-tentent-de-se-suicider-ensemble-a-Kessel.dhtml
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compatibilité septennale entre cette mère et son fils : ceci explique peut-être l'aspect exceptionnel...
suicide septennal
Un homme se jette du 6 e étage
Un homme de 42 ans s’est jeté, jeudi vers 21h, par la fenêtre du sixième étage de son hôtel à Nancy. Il s’est écrasé sur la terrasse d’un hôtel mitoyen. Il a été tué sur le coup.
Dans sa chambre, les policiers ont découvert des médicaments et une lettre expliquant son geste désespéré posée sur la table. Par ailleurs, une chaise se trouvait juste devant la fenêtre et la porte de la chambre était fermée de l’intérieur.
La victime est un ressortissant belge. Il y a quelques jours, son épouse avait signalé sa disparition.
http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2012/04/21/suicide-a-l-hotel
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Un homme de 42 ans s’est jeté, jeudi vers 21h, par la fenêtre du sixième étage de son hôtel à Nancy. Il s’est écrasé sur la terrasse d’un hôtel mitoyen. Il a été tué sur le coup.
Dans sa chambre, les policiers ont découvert des médicaments et une lettre expliquant son geste désespéré posée sur la table. Par ailleurs, une chaise se trouvait juste devant la fenêtre et la porte de la chambre était fermée de l’intérieur.
La victime est un ressortissant belge. Il y a quelques jours, son épouse avait signalé sa disparition.
http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2012/04/21/suicide-a-l-hotel
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drame familial
Familiendrama in Wörrstadt: 48-Jähriger hat seine 77-jährige Mutter erschossen
Es sieht ganz nach einer Familientragödie aus: Ein 48-jähriger Mann hat am frühen Freitagabend im Ortskern von Wörrstadt (Kreis Alzey-Worms) seine eigene Mutter (77) erschossen. Gegen 19 Uhr rief er selbst die Polizei. Der umgehend alarmierte Notarzt konnte in dem kleinen Haus nur noch den Tod der Seniorin feststellen. Gegenüber den Polizeibeamten machte der 48-Jährige zunächst wirre Angaben; er wurde daraufhin festgenommen. Am heutigen Samstag wurde er im Polizeipräsidium Mainz vernommen und anschließend gegen Mittag dem Ermittlungsrichter vorgeführt. Dieser ordnete Untersuchungshaft an, am Nachmittag wurde der Mann in die Justizvollzugsanstalt Rohrbach gebracht.
http://www.allgemeine-zeitung.de/region/alzey/vg-woerrstadt/woerrstadt/11890848.htm
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prudence en situation septennale : elle a tendance à accentuer notre sensibilité, et notre agressivité, aussi, s'il y a lieu...
ici ce sont deux personnes en situation septennale (compatibilité septennale) : un fils de 48 ans a tué sa mère de 77 ans avec une arme à feu. (peu avant 19 heures donc au moment du pic de pulsion que semble constituer 18 heures, moment de l'entrée dans une nouvelle journée chronobiologique)
d'après les voisins il s'agit de personnes "très bien" et le fils s'occupait apparemment de sa vieille mère.
Es sieht ganz nach einer Familientragödie aus: Ein 48-jähriger Mann hat am frühen Freitagabend im Ortskern von Wörrstadt (Kreis Alzey-Worms) seine eigene Mutter (77) erschossen. Gegen 19 Uhr rief er selbst die Polizei. Der umgehend alarmierte Notarzt konnte in dem kleinen Haus nur noch den Tod der Seniorin feststellen. Gegenüber den Polizeibeamten machte der 48-Jährige zunächst wirre Angaben; er wurde daraufhin festgenommen. Am heutigen Samstag wurde er im Polizeipräsidium Mainz vernommen und anschließend gegen Mittag dem Ermittlungsrichter vorgeführt. Dieser ordnete Untersuchungshaft an, am Nachmittag wurde der Mann in die Justizvollzugsanstalt Rohrbach gebracht.
http://www.allgemeine-zeitung.de/region/alzey/vg-woerrstadt/woerrstadt/11890848.htm
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prudence en situation septennale : elle a tendance à accentuer notre sensibilité, et notre agressivité, aussi, s'il y a lieu...
ici ce sont deux personnes en situation septennale (compatibilité septennale) : un fils de 48 ans a tué sa mère de 77 ans avec une arme à feu. (peu avant 19 heures donc au moment du pic de pulsion que semble constituer 18 heures, moment de l'entrée dans une nouvelle journée chronobiologique)
d'après les voisins il s'agit de personnes "très bien" et le fils s'occupait apparemment de sa vieille mère.
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