Paris. Mort d'un jeune Sri-Lankais après une altercation en bord de Seine
Un Sri-Lankais de 28 ans est mort vendredi après-midi à Paris après s'être jeté à l'eau à la suite d'une altercation en bord de Seine à Paris (XIIIe), a-t-on appris de source policière.
Selon les premiers éléments de l'enquête, vers 17h00, la victime a eu une altercation avec un groupe d'hommes en bord de Seine, quai d'Austerlitz pour des raisons ignorées avec précision.
Le groupe parti, un autre passant s'en est mêlé et a été jeté à l'eau par le Sri-Lankais, ce qui a provoqué le retour du premier groupe sur les lieux.
C'est alors que le ressortissant sri-lankais s'est jeté à l'eau, ne sachant pas nager. Secouru par la brigade fluviale, il a succombé à un arrêt
cardiaque à l'hôpital peu après 18h00, a dit la source précisant qu'une enquête a été ouverte afin de démêler cette affaire "confuse en l'état".
L'homme qu'il avait précipité dans l'eau a pu regagner la rive à la nage et a également tenté de sauver son présumé «pousseur», a aussi dit la source policière.
http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Paris.-Mort-d-un-jeune-Sri-Lankais-apres-une-altercation-en-bord-de-Seine_6346-2224226-fils-tous_filDMA.Htm
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samedi 31 août 2013
drame conjugal
Ehepaar binnen weniger Stunden getötet
In Potsdam hat sich am Freitagmorgen ein Familiendrama ereignet. Erst wurde eine Frau leblos gefunden - vermutlich wurde sie getötet. Wenig später wurde ein Mann auf der BAB 115 von einem Laster getötet - es handelte sich um ihren Ehemann. Die Polizei ermittelt zu den Zusammenhängen.
Gegen 7.30 Uhr wurde die Potsdamer Polizei zu einem Mehrfamilienhaus in Stadtteil Kirchsteigfeld gerufen. Ein Anrufer hatte gemeldet, dass in der Mietwohnung eines dort lebenden Ehepaars vermutlich jemand getötet worden sei. Als die Beamten die Wohnung betraten, fanden sie dort den Leichnam der 45-Jährigen Ehefrau. Laut der brandenburgischen Polizeidirektion West wies der Körper der Frau Spuren von Gewaltanwendung auf - welcher Art die Verletzungen waren, wollte die Polizei zunächst nicht sagen. Daraufhin wurden Ermittlungen wegen des Verdachts eines Tötungsdelikts gegen Unbekannt aufgenommen. Vom 49-jährigen Ehemann der Getöteten fehlte zu diesem Zeitpunkt jede Spur. Die Polizei leitete eine Großfahndung nach dem Mann ein.
Genau zwei Stunden später, um 9.30 Uhr, ereignete sich auf der Bundesautobahn 115 zwischen den Anschlussstellen Potsdam-Babelsberg und Potsdam-Drewitz, in unmittelbarer Nähe von Kirchsteigfeld, ein schwerer Verkehrsunfall. Laut Polizei war ein Mann völlig unvermittelt auf die Autobahn gelaufen. Er wurde von einem Laster erfasst und getötet. Bei dem Getöteten handelte sich um den gesuchten 49-jährigen Ehemann. (...)
http://www.tagesspiegel.de/berlin/polizei-justiz/familiendrama-in-potsdam-kirchsteigfeld-ehepaar-binnen-weniger-stunden-getoetet/8719582.html
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une femme de 45 ans a été retrouvée morte dans l'appartement d'un couple, alors que le mari avait disparu. celui-ci, qui avait probablement tué son épouse, s'est suicidé peu après en se jetant sous un camion sur une autoroute. il avait 49 ans.
In Potsdam hat sich am Freitagmorgen ein Familiendrama ereignet. Erst wurde eine Frau leblos gefunden - vermutlich wurde sie getötet. Wenig später wurde ein Mann auf der BAB 115 von einem Laster getötet - es handelte sich um ihren Ehemann. Die Polizei ermittelt zu den Zusammenhängen.
Gegen 7.30 Uhr wurde die Potsdamer Polizei zu einem Mehrfamilienhaus in Stadtteil Kirchsteigfeld gerufen. Ein Anrufer hatte gemeldet, dass in der Mietwohnung eines dort lebenden Ehepaars vermutlich jemand getötet worden sei. Als die Beamten die Wohnung betraten, fanden sie dort den Leichnam der 45-Jährigen Ehefrau. Laut der brandenburgischen Polizeidirektion West wies der Körper der Frau Spuren von Gewaltanwendung auf - welcher Art die Verletzungen waren, wollte die Polizei zunächst nicht sagen. Daraufhin wurden Ermittlungen wegen des Verdachts eines Tötungsdelikts gegen Unbekannt aufgenommen. Vom 49-jährigen Ehemann der Getöteten fehlte zu diesem Zeitpunkt jede Spur. Die Polizei leitete eine Großfahndung nach dem Mann ein.
Genau zwei Stunden später, um 9.30 Uhr, ereignete sich auf der Bundesautobahn 115 zwischen den Anschlussstellen Potsdam-Babelsberg und Potsdam-Drewitz, in unmittelbarer Nähe von Kirchsteigfeld, ein schwerer Verkehrsunfall. Laut Polizei war ein Mann völlig unvermittelt auf die Autobahn gelaufen. Er wurde von einem Laster erfasst und getötet. Bei dem Getöteten handelte sich um den gesuchten 49-jährigen Ehemann. (...)
http://www.tagesspiegel.de/berlin/polizei-justiz/familiendrama-in-potsdam-kirchsteigfeld-ehepaar-binnen-weniger-stunden-getoetet/8719582.html
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une femme de 45 ans a été retrouvée morte dans l'appartement d'un couple, alors que le mari avait disparu. celui-ci, qui avait probablement tué son épouse, s'est suicidé peu après en se jetant sous un camion sur une autoroute. il avait 49 ans.
vendredi 30 août 2013
drame
Maine-et-Loire. Un nonagénaire tue sa femme et se suicide
Le couple a été retrouvé dans sa maison de Pellouailles-les-Vignes. Ouest-France Un homme de 90 ans a tué sa femme de 88 ans avant de se suicider, samedi dernier, près d’Angers. Il l’a tuée avec un fusil de chasse, d’une balle dans le thorax et a retourné l’arme contre lui pour se donner la mort. Raymond avait 90 ans, sa femme, Jacqueline, 88 ans. Ils habitaient tous deux un pavillon, au lieu-dit Fausse-Bouyé, à l’entrée de Pellouailles-les-Vignes, près d’Angers. Leurs deux corps ont été découverts samedi après-midi, quelques heures après le drame. Tensions entre eux ? Ce sont les voisins qui ont donné l’alerte. D’autant plus inquiets de ne pas voir le couple qu’ils avaient entendu deux détonations le matin même, ils ont prévenu les pompiers. Rien ne permet d’expliquer ce geste désespéré. Aucune lettre n’a été retrouvée. Seules les balles et les douilles jonchaient le sol. « La veille du drame, la femme de cet ancien agriculteur se serait confiée à l’une de ses voisines, affirme une source proche de l’enquête. Il y avait manifestement des tensions entre eux. »
http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Pres-d-Angers-il-tue-sa-femme-et-se-suicide_40771-2224011-pere-pdl_filDMA.Htm
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(entrée en période critique septennale des 91 ans pour le mari)
Le couple a été retrouvé dans sa maison de Pellouailles-les-Vignes. Ouest-France Un homme de 90 ans a tué sa femme de 88 ans avant de se suicider, samedi dernier, près d’Angers. Il l’a tuée avec un fusil de chasse, d’une balle dans le thorax et a retourné l’arme contre lui pour se donner la mort. Raymond avait 90 ans, sa femme, Jacqueline, 88 ans. Ils habitaient tous deux un pavillon, au lieu-dit Fausse-Bouyé, à l’entrée de Pellouailles-les-Vignes, près d’Angers. Leurs deux corps ont été découverts samedi après-midi, quelques heures après le drame. Tensions entre eux ? Ce sont les voisins qui ont donné l’alerte. D’autant plus inquiets de ne pas voir le couple qu’ils avaient entendu deux détonations le matin même, ils ont prévenu les pompiers. Rien ne permet d’expliquer ce geste désespéré. Aucune lettre n’a été retrouvée. Seules les balles et les douilles jonchaient le sol. « La veille du drame, la femme de cet ancien agriculteur se serait confiée à l’une de ses voisines, affirme une source proche de l’enquête. Il y avait manifestement des tensions entre eux. »
http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Pres-d-Angers-il-tue-sa-femme-et-se-suicide_40771-2224011-pere-pdl_filDMA.Htm
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(entrée en période critique septennale des 91 ans pour le mari)
drame familial
Familiendrama auf Korfu: Deutsche ertränkt Tochter
Die Leichen einer Deutschen und ihrer sechs Jahre alte Tochter sind in einem Haus auf Korfu gefunden worden. Nach ersten Erkenntnissen der Polizei soll die 47 Jahre alte Frau am Mittwoch zunächst ihre Tochter in der Badewanne ihres Hauses in der Ortschaft Antipernoi ertränkt haben. Dann soll sich die Mutter selbst das Leben genommen. Die Leichen habe der 48 Jahre alte Lebensgefährte der Frau entdeckt. Die Mutter habe zwei Briefe hinterlassen, die auf Deutsch verfasst waren, teilte die Polizei mit, ohne weitere Details zu nennen. dpa/AZ
http://www.augsburger-allgemeine.de/panorama/Familiendrama-auf-Korfu-Deutsche-ertraenkt-Tochter-id26796881.html
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Corfou : une femme allemande âgée de 47 ans s'est suicidée après avoir noyé sa fillette de six ans dans la baignoire. elle a apparemment laissé une lettre. c'est le compagnon âgé, lui, de 48 ans qui a découvert le drame.
Die Leichen einer Deutschen und ihrer sechs Jahre alte Tochter sind in einem Haus auf Korfu gefunden worden. Nach ersten Erkenntnissen der Polizei soll die 47 Jahre alte Frau am Mittwoch zunächst ihre Tochter in der Badewanne ihres Hauses in der Ortschaft Antipernoi ertränkt haben. Dann soll sich die Mutter selbst das Leben genommen. Die Leichen habe der 48 Jahre alte Lebensgefährte der Frau entdeckt. Die Mutter habe zwei Briefe hinterlassen, die auf Deutsch verfasst waren, teilte die Polizei mit, ohne weitere Details zu nennen. dpa/AZ
http://www.augsburger-allgemeine.de/panorama/Familiendrama-auf-Korfu-Deutsche-ertraenkt-Tochter-id26796881.html
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Corfou : une femme allemande âgée de 47 ans s'est suicidée après avoir noyé sa fillette de six ans dans la baignoire. elle a apparemment laissé une lettre. c'est le compagnon âgé, lui, de 48 ans qui a découvert le drame.
accident
Un cristallier se tue au Frunthorn dans les Grisons
Parti mardi à la recherche de cristaux, un quinquagénaire a été retrouvé mort jeudi dans le massif du Frunthorn dans le canton des Grisons. Selon la police, il a sans doute été victime d'une chute de pierres. Un cristallier grison de 55 ans a été retrouvé mort jeudi matin dans le massif du Frunthorn, au-dessus de Vrin (GR). Il a sans doute été victime d'une culbute fatale causée par une chute de pierres, indique la police grisonne. Le malheureux était porté disparu depuis mardi soir. Le quinquagénaire était parti mardi matin en "quad" pour chercher des cristaux près du lieu-dit Vanescha, au pied du Frunthorn. Ne le voyant pas revenir en fin de journée, ses proches ont alerté la police. Proches et secouristes du Club alpin suisse ont immédiatement commencé leurs recherches. Ils les ont poursuivies mercredi, en vain. En raison du mauvais temps, la Rega n'a pu envoyer un hélicoptère que jeudi matin. Le cristallier a alors été découvert sans vie dans une zone escarpée.
http://www.arcinfo.ch/fr/suisse/un-cristallier-se-tue-au-frunthorn-dans-les-grisons-566-1212850
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Parti mardi à la recherche de cristaux, un quinquagénaire a été retrouvé mort jeudi dans le massif du Frunthorn dans le canton des Grisons. Selon la police, il a sans doute été victime d'une chute de pierres. Un cristallier grison de 55 ans a été retrouvé mort jeudi matin dans le massif du Frunthorn, au-dessus de Vrin (GR). Il a sans doute été victime d'une culbute fatale causée par une chute de pierres, indique la police grisonne. Le malheureux était porté disparu depuis mardi soir. Le quinquagénaire était parti mardi matin en "quad" pour chercher des cristaux près du lieu-dit Vanescha, au pied du Frunthorn. Ne le voyant pas revenir en fin de journée, ses proches ont alerté la police. Proches et secouristes du Club alpin suisse ont immédiatement commencé leurs recherches. Ils les ont poursuivies mercredi, en vain. En raison du mauvais temps, la Rega n'a pu envoyer un hélicoptère que jeudi matin. Le cristallier a alors été découvert sans vie dans une zone escarpée.
http://www.arcinfo.ch/fr/suisse/un-cristallier-se-tue-au-frunthorn-dans-les-grisons-566-1212850
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retrouvé mort
Un Orléanais retrouvé mort chez lui, sa compagne mise en examen
Les faits remontent au 7 août. Un quinquagénaire est découvert gisant dans une mare de sang, dans son appartement. Chute accidentelle ou agression ? L’autopsie n’a pas tranché. Incarcérée depuis trois semaines à la maison d’arrêt d’Orléans, Christelle L., 48 ans, a été remise en liberté hier et placée sous contrôle judiciaire par la chambre de l’instruction de la cour d’appel d’Orléans. Cette femme, hémiplégique et s’exprimant avec grande difficulté, reste mise en examen pour non-assistance à personne en danger. Le 7 août, au matin, le corps sans vie de son compagnon était découvert par un ami dans l’appartement que le couple partageait au 1er étage d’un immeuble situé 1 bis, rue des Maltotiers, à Orléans.
De fréquentes crises d’épilepsie Ce jour-là, les secours constatent que la victime, qui présente plusieurs plaies à la tête et gît dans une mare de sang, est morte depuis plus de quatre heures. D’autres traces de sang sont découvertes un peu partout dans un appartement devenu insalubre : sur des vêtements, des meubles, dans le lit… Déambulant en état d’ivresse dans le logement, sa compagne, qui n’a pas donné l’alerte, est immédiatement placée en garde à vue au commissariat. D’autant que le voisinage décrit les disputes récurrentes du couple, sur fond d’alcool, et les coups que Christelle n’hésiterait pas à porter en public à son concubin. En dépit de ses dénégations, elle est présentée le 9 août à un juge d’instruction qui la met en examen pour non-assistance à personne en danger. (...)
http://www.larep.fr/loiret/actualite/2013/08/30/un-orleanais-retrouve-mort-chez-lui-sa-compagne-mise-en-examen-1673179.html
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Les faits remontent au 7 août. Un quinquagénaire est découvert gisant dans une mare de sang, dans son appartement. Chute accidentelle ou agression ? L’autopsie n’a pas tranché. Incarcérée depuis trois semaines à la maison d’arrêt d’Orléans, Christelle L., 48 ans, a été remise en liberté hier et placée sous contrôle judiciaire par la chambre de l’instruction de la cour d’appel d’Orléans. Cette femme, hémiplégique et s’exprimant avec grande difficulté, reste mise en examen pour non-assistance à personne en danger. Le 7 août, au matin, le corps sans vie de son compagnon était découvert par un ami dans l’appartement que le couple partageait au 1er étage d’un immeuble situé 1 bis, rue des Maltotiers, à Orléans.
De fréquentes crises d’épilepsie Ce jour-là, les secours constatent que la victime, qui présente plusieurs plaies à la tête et gît dans une mare de sang, est morte depuis plus de quatre heures. D’autres traces de sang sont découvertes un peu partout dans un appartement devenu insalubre : sur des vêtements, des meubles, dans le lit… Déambulant en état d’ivresse dans le logement, sa compagne, qui n’a pas donné l’alerte, est immédiatement placée en garde à vue au commissariat. D’autant que le voisinage décrit les disputes récurrentes du couple, sur fond d’alcool, et les coups que Christelle n’hésiterait pas à porter en public à son concubin. En dépit de ses dénégations, elle est présentée le 9 août à un juge d’instruction qui la met en examen pour non-assistance à personne en danger. (...)
http://www.larep.fr/loiret/actualite/2013/08/30/un-orleanais-retrouve-mort-chez-lui-sa-compagne-mise-en-examen-1673179.html
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piège
Montpellier : elle lui tend un piège pour se venger et tente de l'étrangler
L'étudiante qui a tenté d'étrangler celui qu'elle considère comme son agresseur sexuel est poursuivie pour tentative d'assassinat. Estimant avoir été abusée sexuellement, une doctorante en physique, a tendu un piège à son supposé agresseur avant de se raviser au dernier moment. "Je veux faire un jeu avec toi, il me faut une chaise et une corde" L’histoire commence à la cité universitaire du Triolet, où les deux protagonistes résident pour l’été. Ils sympathisent et le jeune homme, âgé de 26 ans, vient aider sa copine, dans la soirée du 7 au 8 août, à réparer un logiciel en panne. C’est au cours de cette soirée que la jeune femme de 28 ans affirme avoir subi des attouchements non consentis. (...)
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18313&hl=
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L'étudiante qui a tenté d'étrangler celui qu'elle considère comme son agresseur sexuel est poursuivie pour tentative d'assassinat. Estimant avoir été abusée sexuellement, une doctorante en physique, a tendu un piège à son supposé agresseur avant de se raviser au dernier moment. "Je veux faire un jeu avec toi, il me faut une chaise et une corde" L’histoire commence à la cité universitaire du Triolet, où les deux protagonistes résident pour l’été. Ils sympathisent et le jeune homme, âgé de 26 ans, vient aider sa copine, dans la soirée du 7 au 8 août, à réparer un logiciel en panne. C’est au cours de cette soirée que la jeune femme de 28 ans affirme avoir subi des attouchements non consentis. (...)
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18313&hl=
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jugement
"Elle avait autant le contrôle de la situation que son violeur" dit un juge à propos de la victime qui s'est suicidée"
Un juge américain du Montana a présenté ses excuses après avoir affirmé que la victime d'un viol, âgée de 14 ans, avait "autant le contrôle de la situation" que son agresseur, qu'il n'a condamné qu'à un mois de prison. Le juge G. Todd Baugh avait condamné lundi Stacey Rambold, un enseignant, à 15 ans de réclusion après que celui-ci eut admis avoir violé Cherice Moralez, une jeune fille qui s'est par la suite suicidée. Mais il a suspendu presque l'intégralité de la peine pour n'en conserver que 31 jours. "Elle avait autant le contrôle de la situation que son violeur" Lors du prononcé de la sentence, le juge avait estimé que la jeune victime faisait "plus vieille que son âge biologique" et qu'elle avait "autant le contrôle de la situation" que l'enseignant.
"Stupide et faux" "Je ne sais pas ce que je pensais ou ce que j'essayais de dire", a admis le juge Baugh dans une interview à un journal local de cet Etat rural, "The Billings Gazette", daté de mercredi. "C'était juste stupide et faux". Le directeur du district scolaire de Billings, Terry Bouck, a souligné qu'il n'était pas d'accord avec la sentence: "Ce que M. Rambold a fait lorsqu'il était enseignant est répugnant et inexcusable". "Je respecte notre système judiciaire mais je ne suis pas d'accord avec la sentence et je pense que M. Rambold mérite de passer plus que 30 jours en prison", a-t-il ajouté. La mère de la jeune victime, Auliea Hanlon, après avoir assisté à l'audience lundi, a fait part de son "incrédulité" au regard des commentaires et de la décision du juge. "Cela rend quelque part un viol plus acceptable si vous blâmez la victime, même si elle n'avait que 14 ans", a-t-elle affirmé. La victime s'est suicidée trois ans après le viol La jeune fille s'est suicidée à l'âge de 17 ans, et selon sa mère le viol dont elle avait été victime trois ans auparavant a été un élément contribuant à son passage à l'acte. Les procureurs sont en train de réexaminer la sentence, basée sur une loi de l'Etat donnant au juge toute latitude concernant les peines à infliger aux accusés reconnus coupables d'avoir eu des relations sexuelles avec des mineurs."
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=42314
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j'ai tenté de trouver les données concernant les trois personnes dont il est question car elles peuvent souvent dire quelque chose... (viol, suicide avant l'anniversaire, jugement) mais j'ai seulement trouvé que l'enseignant était âgé de 49 ans et se trouvait donc en période critique septennale au moment du viol.
le juge (si données justes)
Je 22
Ve 23
Sa 24
Di 25
Lu 26
Ma 27 P(1) E(8) I(9)
Me 28
Je 29
Ve 30
Sa 31
Un juge américain du Montana a présenté ses excuses après avoir affirmé que la victime d'un viol, âgée de 14 ans, avait "autant le contrôle de la situation" que son agresseur, qu'il n'a condamné qu'à un mois de prison. Le juge G. Todd Baugh avait condamné lundi Stacey Rambold, un enseignant, à 15 ans de réclusion après que celui-ci eut admis avoir violé Cherice Moralez, une jeune fille qui s'est par la suite suicidée. Mais il a suspendu presque l'intégralité de la peine pour n'en conserver que 31 jours. "Elle avait autant le contrôle de la situation que son violeur" Lors du prononcé de la sentence, le juge avait estimé que la jeune victime faisait "plus vieille que son âge biologique" et qu'elle avait "autant le contrôle de la situation" que l'enseignant.
"Stupide et faux" "Je ne sais pas ce que je pensais ou ce que j'essayais de dire", a admis le juge Baugh dans une interview à un journal local de cet Etat rural, "The Billings Gazette", daté de mercredi. "C'était juste stupide et faux". Le directeur du district scolaire de Billings, Terry Bouck, a souligné qu'il n'était pas d'accord avec la sentence: "Ce que M. Rambold a fait lorsqu'il était enseignant est répugnant et inexcusable". "Je respecte notre système judiciaire mais je ne suis pas d'accord avec la sentence et je pense que M. Rambold mérite de passer plus que 30 jours en prison", a-t-il ajouté. La mère de la jeune victime, Auliea Hanlon, après avoir assisté à l'audience lundi, a fait part de son "incrédulité" au regard des commentaires et de la décision du juge. "Cela rend quelque part un viol plus acceptable si vous blâmez la victime, même si elle n'avait que 14 ans", a-t-elle affirmé. La victime s'est suicidée trois ans après le viol La jeune fille s'est suicidée à l'âge de 17 ans, et selon sa mère le viol dont elle avait été victime trois ans auparavant a été un élément contribuant à son passage à l'acte. Les procureurs sont en train de réexaminer la sentence, basée sur une loi de l'Etat donnant au juge toute latitude concernant les peines à infliger aux accusés reconnus coupables d'avoir eu des relations sexuelles avec des mineurs."
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=42314
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j'ai tenté de trouver les données concernant les trois personnes dont il est question car elles peuvent souvent dire quelque chose... (viol, suicide avant l'anniversaire, jugement) mais j'ai seulement trouvé que l'enseignant était âgé de 49 ans et se trouvait donc en période critique septennale au moment du viol.
le juge (si données justes)
| le 26 août : (veille d'un jour triplement critique) août 2013 (21/10/1941) |
Ve 23
Sa 24
Di 25
Lu 26
Ma 27 P(1) E(8) I(9)
Me 28
Je 29
Ve 30
Sa 31
jeudi 29 août 2013
à la machette
L’auteur présumé des faits, âgé de 56 ans a été mercredi et après s’être rendu, placé en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie d’Étain dans la Meuse où il a été entendu. Hier matin, le parquet de Verdun s’est dessaisi du dossier au profit de son homologue nancéien.
En début d’après-midi, l’homme a été transféré à Nancy. Le parquet a requis sa mise en examen pour tentative d’assassinat sur les deux victimes ainsi que son incarcération.
Le juge d’instruction devait prendre sa décision tard dans la soirée. Ensuite, l’auteur présumé devait passer devant le juge des libertés et de la détention. À l’heure ou nous mettons sous presse, la décision n’était pas encore connue.
Quant aux victimes, l’homme de 69 ans, sorti du bloc opératoire de Verdun, a été entendu brièvement par les enquêteurs. La dame de 56 ans a été opérée à Nancy. Elle devrait être entendue à son tour dans quelques jours.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2013/08/29/vers-une-mise-en-examen
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(trois personnes en période critique...)
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2013/08/29/vers-une-mise-en-examen
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(trois personnes en période critique...)
drame
Aude : il tue sa femme et se suicide
Un homme de 49 ans a tué à coups de fusil son ex-femme puis tiré en direction de son fils mercredi soir à Torvilliers (Aube) avant de se suicider, a-t-on appris jeudi de source judiciaire. Le fils du couple, qui n'a pas été blessé dans la fusillade, s'était rendu chez son père à Torvilliers après avoir reçu un texto de ce dernier indiquant "on est morts tous les deux", a-t-on indiqué au parquet de Troyes.
"Quand le fils est arrivé, il a essuyé un coup de feu tiré par son père mais on ne sait pas si l'homme avait l'intention de le tuer ou de le faire fuir", a poursuivi cette source. Dans la soirée, les gendarmes sur place, qui avaient été alertés par des voisins, ont entendu plusieurs détonations avant d'investir la maison et de retrouver les corps sans vie du couple qui était séparé depuis un an. "La femme âgée de 47 ans vivait à Troyes et était venue ce jour-là chez son ex-mari récupérer quelques affaires", a-t-on précisé au parquet de Troyes. L'enquête à été confiée à la gendarmerie de Troyes.
http://www.europe1.fr/Faits-divers/Aude-il-tue-sa-femme-et-se-suicide-1623573/
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Un homme de 49 ans a tué à coups de fusil son ex-femme puis tiré en direction de son fils mercredi soir à Torvilliers (Aube) avant de se suicider, a-t-on appris jeudi de source judiciaire. Le fils du couple, qui n'a pas été blessé dans la fusillade, s'était rendu chez son père à Torvilliers après avoir reçu un texto de ce dernier indiquant "on est morts tous les deux", a-t-on indiqué au parquet de Troyes.
"Quand le fils est arrivé, il a essuyé un coup de feu tiré par son père mais on ne sait pas si l'homme avait l'intention de le tuer ou de le faire fuir", a poursuivi cette source. Dans la soirée, les gendarmes sur place, qui avaient été alertés par des voisins, ont entendu plusieurs détonations avant d'investir la maison et de retrouver les corps sans vie du couple qui était séparé depuis un an. "La femme âgée de 47 ans vivait à Troyes et était venue ce jour-là chez son ex-mari récupérer quelques affaires", a-t-on précisé au parquet de Troyes. L'enquête à été confiée à la gendarmerie de Troyes.
http://www.europe1.fr/Faits-divers/Aude-il-tue-sa-femme-et-se-suicide-1623573/
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suicide
Gérard Defrance, promoteur immobilier et créateur de Horseland à Presmeques, s'est suicidé
Le promoteur immobilier Gérard Defrance, 61 ans, s'est donné la mort ce mercredi en début d’après-midi à Lille.
Gérard Defrance s'est suicidé dans un local attenant à son agence immobilière Defrance immobilier dans le Vieux-Lille. La police s'est rendu sur place ce mercredi après-midi. L'autopsie qui doit avoir lieu ce jeudi lieu devra confirmer la thèse du suicide. Gérard Defrance avait bâti sa fortune dans l’immobilier à Lille. Il possédait notamment de nombreux immeubles rue Masséna et à Euralille, entre autres. Récemment, il avait vécu un gros échec avec la construction de Hoseland à Presmeques. Un vaste complexe hôtelier et équestre de luxe qui a coûté très cher et qui a été contesté par des habitants et écologistes.
http://nord-pas-de-calais.france3.fr/2013/08/29/gerard-defrance-promoteur-immobilier-et-createur-de-horseland-presmeques-s-est-suicide-308881.html
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c'est apparemment un suicide le lendemain d'un épisode critique P18/P19 et jour critique émotionnel E1...
août 2013 (8/01/1952)
Je 22
Ve 23
Sa 24
Di 25
Lu 26 P(18)
Ma 27 P(19) E(1)
Me 28
Je 29 I(9)
Ve 30
Sa 31
Le promoteur immobilier Gérard Defrance, 61 ans, s'est donné la mort ce mercredi en début d’après-midi à Lille.
Gérard Defrance s'est suicidé dans un local attenant à son agence immobilière Defrance immobilier dans le Vieux-Lille. La police s'est rendu sur place ce mercredi après-midi. L'autopsie qui doit avoir lieu ce jeudi lieu devra confirmer la thèse du suicide. Gérard Defrance avait bâti sa fortune dans l’immobilier à Lille. Il possédait notamment de nombreux immeubles rue Masséna et à Euralille, entre autres. Récemment, il avait vécu un gros échec avec la construction de Hoseland à Presmeques. Un vaste complexe hôtelier et équestre de luxe qui a coûté très cher et qui a été contesté par des habitants et écologistes.
http://nord-pas-de-calais.france3.fr/2013/08/29/gerard-defrance-promoteur-immobilier-et-createur-de-horseland-presmeques-s-est-suicide-308881.html
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c'est apparemment un suicide le lendemain d'un épisode critique P18/P19 et jour critique émotionnel E1...
août 2013 (8/01/1952)
Je 22
Ve 23
Sa 24
Di 25
Lu 26 P(18)
Ma 27 P(19) E(1)
Me 28
Je 29 I(9)
Ve 30
Sa 31
suicide
Suicide : un employé de la CPAM à Marseille saute du 8e étage
Un employé de la Caisse Primaire d'Assurance Maladie, âgé de 40 ans, s'est suicidé jeudi 29 août en sautant du 8e étage d'un centre de l'organisme à Marseille, a-t-on indiqué de sources concordantes. "Il a sauté d'un coup à travers une fenêtre" du centre Kléber (3e arrondissement), sous les yeux de plusieurs employés, a-t-on précisé à la CPAM.
L'homme travaillait dans la logistique dans un autre centre, celui de Valmante (9e arrondissement), a précisé la CPAM, qui exclut que son suicide puisse être lié aux conditions de travail. Selon la ministre déléguée aux Personnes handicapées et à la Lutte contre l'exclusion, Marie-Arlette Carlotti, qui s'est rendue sur place jeudi en fin d'après-midi, il s'agissait d'un peintre en bâtiment qui travaillait depuis 12 ans à la CPAM. L'homme était en arrêt-maladie depuis mai pour dépression, a ajouté la ministre. "Je suis venue dire toute ma solidarité au personnel", a-t-elle déclaré, excluant également que ce suicide soit lié à la situation professionnelle de la victime. Après ce suicide, la direction a mis en place une cellule de soutien psychologique pour le personnel.
http://tempsreel.nouvelobs.com/faits-divers/20130829.OBS4943/suicide-un-employe-de-la-cpam-a-marseille-saute-du-8e-etage.html
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Un employé de la Caisse Primaire d'Assurance Maladie, âgé de 40 ans, s'est suicidé jeudi 29 août en sautant du 8e étage d'un centre de l'organisme à Marseille, a-t-on indiqué de sources concordantes. "Il a sauté d'un coup à travers une fenêtre" du centre Kléber (3e arrondissement), sous les yeux de plusieurs employés, a-t-on précisé à la CPAM.
L'homme travaillait dans la logistique dans un autre centre, celui de Valmante (9e arrondissement), a précisé la CPAM, qui exclut que son suicide puisse être lié aux conditions de travail. Selon la ministre déléguée aux Personnes handicapées et à la Lutte contre l'exclusion, Marie-Arlette Carlotti, qui s'est rendue sur place jeudi en fin d'après-midi, il s'agissait d'un peintre en bâtiment qui travaillait depuis 12 ans à la CPAM. L'homme était en arrêt-maladie depuis mai pour dépression, a ajouté la ministre. "Je suis venue dire toute ma solidarité au personnel", a-t-elle déclaré, excluant également que ce suicide soit lié à la situation professionnelle de la victime. Après ce suicide, la direction a mis en place une cellule de soutien psychologique pour le personnel.
http://tempsreel.nouvelobs.com/faits-divers/20130829.OBS4943/suicide-un-employe-de-la-cpam-a-marseille-saute-du-8e-etage.html
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numéro 2
Le numéro 2 de Renault, Carlos Tavares, quitte ses fonctions
«D’un commun accord avec Renault, Carlos Tavares cesse à compter de ce jour d’exercer ses fonctions de directeur général délégué aux opérations de Renault, afin de poursuivre des projets personnels.» Le communiqué est laconique, mais l'annonce, peu surpenante. Renault se trouve sans numéro deux après le départ annoncé jeudi de Carlos Tavares, qui avait créé la surprise il y a deux semaines en affichant son ambition de prendre la tête d’un autre constructeur automobile. Il figure dans les effectifs de l’entreprise, jusqu’à une date non précisée et c’est le PDG Carlos Ghosn, qui reprend «à titre temporaire» ses fonctions, a dit un porte-parole. «Une adaptation de l’organisation visant à renforcer les performances industrielles et commerciales du Groupe Renault sera arrêtée et communiquée prochainement», s’est limité à ajouter le groupe. Tavares, 55 ans, a sucité l’étonnement il y a deux semaines en confiant dans un entretien à l’agence financière Bloomberg que, faute d’espoir de succéder un jour à Carlos Ghosn, il visait plus haut ailleurs, notamment chez les géants américains du secteur. (.....)
http://www.liberation.fr/societe/2013/08/29/le-numero-deux-de-renault-carlos-tavares-quitte-ses-fonctions_927991
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fréquemment, lorsque çà bouge, c'est qu'arrive une période critique septennale : ici apparemment entrée dans celle des 56 ans... :-)
«D’un commun accord avec Renault, Carlos Tavares cesse à compter de ce jour d’exercer ses fonctions de directeur général délégué aux opérations de Renault, afin de poursuivre des projets personnels.» Le communiqué est laconique, mais l'annonce, peu surpenante. Renault se trouve sans numéro deux après le départ annoncé jeudi de Carlos Tavares, qui avait créé la surprise il y a deux semaines en affichant son ambition de prendre la tête d’un autre constructeur automobile. Il figure dans les effectifs de l’entreprise, jusqu’à une date non précisée et c’est le PDG Carlos Ghosn, qui reprend «à titre temporaire» ses fonctions, a dit un porte-parole. «Une adaptation de l’organisation visant à renforcer les performances industrielles et commerciales du Groupe Renault sera arrêtée et communiquée prochainement», s’est limité à ajouter le groupe. Tavares, 55 ans, a sucité l’étonnement il y a deux semaines en confiant dans un entretien à l’agence financière Bloomberg que, faute d’espoir de succéder un jour à Carlos Ghosn, il visait plus haut ailleurs, notamment chez les géants américains du secteur. (.....)
http://www.liberation.fr/societe/2013/08/29/le-numero-deux-de-renault-carlos-tavares-quitte-ses-fonctions_927991
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fréquemment, lorsque çà bouge, c'est qu'arrive une période critique septennale : ici apparemment entrée dans celle des 56 ans... :-)
décès
Un footballeur argentin décède en plein match
Hector Sanabria, 27 ans, est décédé d'une attaque cardiaque durant un match de football de son équipe, Laferrere, en quatrième division, ont annoncé les médias argentins mercredi. Hector Sanabria s'est écroulé à la 29e minute du match contre Lamadrid, mardi. Il n'avait pas reçu de coup ou été impliqué dans des affrontements avec d'autres joueurs, et est mort avant d'arriver à l'hôpital. "Il a d'abord tenu ses genoux et s'est abaissé. Il semblait fatigué. Puis il s'est écroulé au sol, en arrière. Le gardien de Lamadrid Nahuel Valina a commencé à crier pour appeler l'assistance médicale", a raconté Gustavo Diaz, porte-parole de Laferrere, au quotidien argentin Clarin. "C'est là que nous avons réalisé que ça pouvait être sérieux. Comme Valina nous a raconté ensuite, il a vu Hector avoir une attaque et c'est pour ça qu'il a crié, désespéré", a ajouté Diaz. Le joueur a subi une attaque cardiaque et a été amené en ambulance à l'hôpital le plus proche, dans la banlieue sud-ouest de Buenos Aires. Tous les efforts pour le réanimer ont été vains. Le match a été interrompu quand sa mort a été annoncée. Toute la famille de Sanabria était présente au stade, car le joueur allait fêter ses 28 ans jeudi et préparait une fête. Le quotidien sportif Ole a précisé que le joueur ne souffrait d'aucun problème de santé. "C'est une terrible tragédie. C'était un gars en bonne santé, nous sommes tous dévastés", a déclaré le président de Laferrere Carlos Esposito.
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1510/Football-Etranger/article/detail/1694724/2013/08/28/Un-footballeur-argentin-decede-en-plein-match.dhtml
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http://www.transfermarkt.co.uk/en/sanabria/profil/spieler_195544.html
Hector Sanabria, 27 ans, est décédé d'une attaque cardiaque durant un match de football de son équipe, Laferrere, en quatrième division, ont annoncé les médias argentins mercredi. Hector Sanabria s'est écroulé à la 29e minute du match contre Lamadrid, mardi. Il n'avait pas reçu de coup ou été impliqué dans des affrontements avec d'autres joueurs, et est mort avant d'arriver à l'hôpital. "Il a d'abord tenu ses genoux et s'est abaissé. Il semblait fatigué. Puis il s'est écroulé au sol, en arrière. Le gardien de Lamadrid Nahuel Valina a commencé à crier pour appeler l'assistance médicale", a raconté Gustavo Diaz, porte-parole de Laferrere, au quotidien argentin Clarin. "C'est là que nous avons réalisé que ça pouvait être sérieux. Comme Valina nous a raconté ensuite, il a vu Hector avoir une attaque et c'est pour ça qu'il a crié, désespéré", a ajouté Diaz. Le joueur a subi une attaque cardiaque et a été amené en ambulance à l'hôpital le plus proche, dans la banlieue sud-ouest de Buenos Aires. Tous les efforts pour le réanimer ont été vains. Le match a été interrompu quand sa mort a été annoncée. Toute la famille de Sanabria était présente au stade, car le joueur allait fêter ses 28 ans jeudi et préparait une fête. Le quotidien sportif Ole a précisé que le joueur ne souffrait d'aucun problème de santé. "C'est une terrible tragédie. C'était un gars en bonne santé, nous sommes tous dévastés", a déclaré le président de Laferrere Carlos Esposito.
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1510/Football-Etranger/article/detail/1694724/2013/08/28/Un-footballeur-argentin-decede-en-plein-match.dhtml
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http://www.transfermarkt.co.uk/en/sanabria/profil/spieler_195544.html
| Name in native country: | Héctor Arnaldo Sanabria |
| Date of birth: | 29.08.1985 |
| Place of birth: | Morón |
| Date of death: | 27.08.2013 at the age of 27 years |
| Nationality: | Argentina |
| Position: | Striker - Centre Forward |
c'est un décès en jour neutre mais deux jours avant le 28ème anniversaire (donc pleine période critique septennale et proximité anniversaire)
gus
Gus, l'ours polaire devenu la mascotte du zoo de Central Park à New York, est mort, ont annoncé mercredi ses responsables.
Gus, 27 ans, y était arrivé en 1988, et les responsables du zoo estiment que plus de 20 millions de personnes lui avaient depuis rendu visite.
Il a été euthanasié mardi après la découverte d'une grosse tumeur inopérable dans la région de la thyroïde. Depuis un certain temps, l'ours avait perdu l'appétit et avait des difficultés à avaler et mâcher.
"Gus était une légende du zoo de Central park, et une grande source de joie pour nos visiteurs et notre personnel", a déclaré mercredi Jim Breheny, directeur exécutif de la Wildlife conservation Society (WCS), qui gère le zoo.
"C'était un ambassadeur important pour son espèce, attirant l'attention sur les problèmes auxquels ces ours sont confrontés dans la nature, en raison du changement de leur environnement".
Gus était devenu au fil des ans une célébrité des médias locaux, qui ont tous fait état de sa mort mercredi.
En 1994, sa façon répétitive de nager - témoignant de son ennui - avait suscité l'inquiétude, et un programme spécial avait été mis en place pour qu'il ait à bouger des objets et à chercher sa nourriture, afin qu'il reste actif et en bonne santé.
Il avait perdu sa compagne Ida, d'un cancer, il y a deux ans.
La durée moyenne de vie d'un ours polaire est de 20,7 ans, selon la WCS et Gus était à ce titre un très vieux Monsieur.
Le Zoo de Central Park, ouvert toute l'année, héberge plus de 150 espèces d'animaux, mammifères, oiseaux, reptiles et amphibiens.
http://www.france24.com/fr/20130828-mort-lours-polaire-mascotte-zoo-central-park-a-new-york
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http://www.france24.com/fr/20130828-mort-lours-polaire-mascotte-zoo-central-park-a-new-york
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drame conjugal
Marne : un homme en garde à vue pour avoir mortellement frappé sa femme
L'autopsie a été révélé que la femme avait été victime d'un hématome sous-dural à la tête et qu'elle avait également des traces de coups à une cuisse. Un homme de 50 ans, qui habite Jâlons (Marne), était en garde à vue mercredi et devait être déféré devant un juge après avoir reconnu des coups mortels, de balai notamment, contre son épouse. Les faits se sont déroulés samedi. Les gendarmes ont été appelés au domicile du couple et constaté la mort de la femme, âgée de 48 ans.
Les premières constatations ont poussé le parquet à demander une autopsie, qui a eu lieu lundi, a relaté le procureur à Châlons Christian de Roquigny, confirmant une information de L'Union. Le médecin-légiste a relevé que la femme avait été frappée, victime d'un hématome sous-dural à la tête et qu'elle avait également des traces de coups à une cuisse, preuves d'une "certaine violence".
Placé en garde à vue mardi, l'homme a reconnu avoir frappé sa femme à coups de manche de balai. Il avait d'abord affirmé qu'elle était tombée sous l'emprise de l'alcool, a rapporté le procureur. Le couple n'était pas connu pour des faits de violence même si les voisins ont fait état de disputes bruyantes. Le couple a trois enfants majeurs, qui ont quitté le domicile familial. L'homme devrait être déféré jeudi devant un juge d'instruction de Reims, le parquet de Châlons ayant été dessaisi. Source : RTL le 28 aou^t 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18301&hl=
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L'autopsie a été révélé que la femme avait été victime d'un hématome sous-dural à la tête et qu'elle avait également des traces de coups à une cuisse. Un homme de 50 ans, qui habite Jâlons (Marne), était en garde à vue mercredi et devait être déféré devant un juge après avoir reconnu des coups mortels, de balai notamment, contre son épouse. Les faits se sont déroulés samedi. Les gendarmes ont été appelés au domicile du couple et constaté la mort de la femme, âgée de 48 ans.
Les premières constatations ont poussé le parquet à demander une autopsie, qui a eu lieu lundi, a relaté le procureur à Châlons Christian de Roquigny, confirmant une information de L'Union. Le médecin-légiste a relevé que la femme avait été frappée, victime d'un hématome sous-dural à la tête et qu'elle avait également des traces de coups à une cuisse, preuves d'une "certaine violence".
Placé en garde à vue mardi, l'homme a reconnu avoir frappé sa femme à coups de manche de balai. Il avait d'abord affirmé qu'elle était tombée sous l'emprise de l'alcool, a rapporté le procureur. Le couple n'était pas connu pour des faits de violence même si les voisins ont fait état de disputes bruyantes. Le couple a trois enfants majeurs, qui ont quitté le domicile familial. L'homme devrait être déféré jeudi devant un juge d'instruction de Reims, le parquet de Châlons ayant été dessaisi. Source : RTL le 28 aou^t 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18301&hl=
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différend
Douarnenez (29). Tentative de meurtre, une femme arrêtée
Un homme de 49 ans a reçu un coup de couteau dans la nuit de dimanche à lundi à Douarnenez. Un scellé a été posé sur la maison où s’est déroulée l’agression.
C’est la concubine, auteure présumée du coup de couteau qui a alerté les sapeurs-pompiers après s’être rendue compte de la gravité des faits. Un différend conjugal Le mobile de l’agression pourrait être un différend conjugal. Interpellée puis placée en garde à vue, la femme sera déférée ce jeudi au parquet de Brest. Elle pourrait être placée en détention provisoire. La victime a été opérée à deux reprises au centre hospitalier de Quimper. Il a été placé sous haute surveillance.
http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Douarnenez-29-.-Tentative-de-meurtre-une-femme-arretee_40792-2223672_actu.Htm
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Un homme de 49 ans a reçu un coup de couteau dans la nuit de dimanche à lundi à Douarnenez. Un scellé a été posé sur la maison où s’est déroulée l’agression.
C’est la concubine, auteure présumée du coup de couteau qui a alerté les sapeurs-pompiers après s’être rendue compte de la gravité des faits. Un différend conjugal Le mobile de l’agression pourrait être un différend conjugal. Interpellée puis placée en garde à vue, la femme sera déférée ce jeudi au parquet de Brest. Elle pourrait être placée en détention provisoire. La victime a été opérée à deux reprises au centre hospitalier de Quimper. Il a été placé sous haute surveillance.
http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Douarnenez-29-.-Tentative-de-meurtre-une-femme-arretee_40792-2223672_actu.Htm
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drame familial
Laval: une mère tente de se suicider avec sa fille
LAVAL - Une mère aurait tenté de mettre fin à ses jours en emmenant sa fillette de sept ans avec elle, mercredi matin, à Laval. En après-midi, l'état de l'enfant s'était amélioré, tandis que la femme de 35 ans se trouvait toujours entre la vie et la mort. (...) C'est le père qui a fait la macabre découverte, vers 6 h 55, au sous-sol de la demeure familiale située 2306, rue de Vérone. «Il trouvait la maison assez tranquille. Il est donc descendu et a retrouvé sa femme inconsciente. La fillette se trouvait à ses côtés. Elle était aussi inconsciente, mais elle vomissait», a raconté Mme Laurin. Des flacons de médicaments ont été retrouvés à proximité de la mère. Ils ont été remis aux ambulanciers et devraient être analysés au cours de l'enquête. «Ça a tout l'apparence d'une tentative de suicide accompagnée d'une tentative de meurtre, a dit Mme Laurin. (...)
http://fr.canoe.ca/infos/societe/archives/2013/08/20130828-124933.html
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édit 1/09 :
Elle est aussi accusée de s’être livrée à des voies de fait et de voies de fait armées à l’endroit de ses deux autres enfants entre le 13 septembre 2011 et le 27 août 2013.
http://www.journaldemontreal.com/2013/08/30/la-mere-officiellement-accusee
(lien entre les deux dates - mardi ?)
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LAVAL - Une mère aurait tenté de mettre fin à ses jours en emmenant sa fillette de sept ans avec elle, mercredi matin, à Laval. En après-midi, l'état de l'enfant s'était amélioré, tandis que la femme de 35 ans se trouvait toujours entre la vie et la mort. (...) C'est le père qui a fait la macabre découverte, vers 6 h 55, au sous-sol de la demeure familiale située 2306, rue de Vérone. «Il trouvait la maison assez tranquille. Il est donc descendu et a retrouvé sa femme inconsciente. La fillette se trouvait à ses côtés. Elle était aussi inconsciente, mais elle vomissait», a raconté Mme Laurin. Des flacons de médicaments ont été retrouvés à proximité de la mère. Ils ont été remis aux ambulanciers et devraient être analysés au cours de l'enquête. «Ça a tout l'apparence d'une tentative de suicide accompagnée d'une tentative de meurtre, a dit Mme Laurin. (...)
http://fr.canoe.ca/infos/societe/archives/2013/08/20130828-124933.html
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édit 1/09 :
Elle est aussi accusée de s’être livrée à des voies de fait et de voies de fait armées à l’endroit de ses deux autres enfants entre le 13 septembre 2011 et le 27 août 2013.
http://www.journaldemontreal.com/2013/08/30/la-mere-officiellement-accusee
(lien entre les deux dates - mardi ?)
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mercredi 28 août 2013
mise en danger
La justice visée par une plainte après deux agressions sexuelles à Colombes
Début août, deux agressions sexuelles particulièrement violentes ont eu lieu à Colombes (Hauts-de-Seine). L'auteur de ces faits a été identifié. Il s'agit d'un récidiviste qui était à la prison de la Santé où il bénéficiait d'un régime de semi-liberté. La mère d'une des victimes porte plainte pour "mise en danger de la vie d'autrui". L'incompréhension à Colombes dans les Hauts de Seine.
Début août, un homme a agressé sexuellement deux femmes. Des agressions particulièrement violentes. Cet homme, un récidiviste de 26 ans, a vite été identifié par la police. Il était en régime de semi-liberté et dépendait de la prison de la Santé. Au moment des faits, le 7 août, il était censé avoir regagné sa cellule depuis plusieurs heures. Selon une source judiciaire, il avait prétexté des raisons "médicales" pour rentrer à 21h au lieu de 18h. Il est finalement retourné à la prison de la Santé vers minuit, alcoolisé, des traces de sang sur ses vêtements.
Remettre "en liberté de ce genre d'énergumène, c'est de l'incompétence gravissime" (la mère d'une des victimes) La mère de l'une des deux victimes toujours dans le coma, Guislaine Stenger, a décidé de porter plainte pour "mise en danger de la vie d'autrui". Elle ne comprend pas comment un détenu dangereux, déjà condamné par le passé pour agression sexuelle, a pu bénéficier d'un régime de semi-liberté. Pour Guislaine Stenger, c'est une faute de l'administration pénitentiaire et de la justice. "Cette personne là n'aurait pas dû se trouver dehors", a confié Guislaine Stenger à France Info assurant qu'elle ne faisait "aucune polémique sur la semi-liberté". Elle estime que "certains n'ont pas fait leur job. Tous les policiers qui ont eu affaire à lui à un moment donné ou à un autre s'entendent tous pour dire que c'est un animal, une bête féroce". La mère se révolte : remettre "en liberté de ce genre d'énergumène, c'est de l'incompétence gravissime". La question du suivi Selon l'avocat de l'une des victimes, Gilles-Jean Portejoie, le problème est également celui du suivi du détenu. Il était censé travailler dans une épicerie mais il s'avère qu'elle était fermée durant le mois d'août. "On accorde une semi-liberté à quelqu'un parce qu'il a un contrat de travail", explique l'avocat, "or, ce contrat était suspendu pendant les vacances de l'entreprise et personne ne s'en est rendu compte ?". En pleine réforme pénale, l'administration pénitentiaire se retranche derrière l'enquête en cours. Aucun commentaire n'a été fait pour l'instant.
http://www.franceinfo.fr/faits-divers/colombes-plainte-pour-mise-en-danger-d-autrui-contre-un-violeur-recidiviste-1122813-2013-08-28
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Début août, deux agressions sexuelles particulièrement violentes ont eu lieu à Colombes (Hauts-de-Seine). L'auteur de ces faits a été identifié. Il s'agit d'un récidiviste qui était à la prison de la Santé où il bénéficiait d'un régime de semi-liberté. La mère d'une des victimes porte plainte pour "mise en danger de la vie d'autrui". L'incompréhension à Colombes dans les Hauts de Seine.
Début août, un homme a agressé sexuellement deux femmes. Des agressions particulièrement violentes. Cet homme, un récidiviste de 26 ans, a vite été identifié par la police. Il était en régime de semi-liberté et dépendait de la prison de la Santé. Au moment des faits, le 7 août, il était censé avoir regagné sa cellule depuis plusieurs heures. Selon une source judiciaire, il avait prétexté des raisons "médicales" pour rentrer à 21h au lieu de 18h. Il est finalement retourné à la prison de la Santé vers minuit, alcoolisé, des traces de sang sur ses vêtements.
Remettre "en liberté de ce genre d'énergumène, c'est de l'incompétence gravissime" (la mère d'une des victimes) La mère de l'une des deux victimes toujours dans le coma, Guislaine Stenger, a décidé de porter plainte pour "mise en danger de la vie d'autrui". Elle ne comprend pas comment un détenu dangereux, déjà condamné par le passé pour agression sexuelle, a pu bénéficier d'un régime de semi-liberté. Pour Guislaine Stenger, c'est une faute de l'administration pénitentiaire et de la justice. "Cette personne là n'aurait pas dû se trouver dehors", a confié Guislaine Stenger à France Info assurant qu'elle ne faisait "aucune polémique sur la semi-liberté". Elle estime que "certains n'ont pas fait leur job. Tous les policiers qui ont eu affaire à lui à un moment donné ou à un autre s'entendent tous pour dire que c'est un animal, une bête féroce". La mère se révolte : remettre "en liberté de ce genre d'énergumène, c'est de l'incompétence gravissime". La question du suivi Selon l'avocat de l'une des victimes, Gilles-Jean Portejoie, le problème est également celui du suivi du détenu. Il était censé travailler dans une épicerie mais il s'avère qu'elle était fermée durant le mois d'août. "On accorde une semi-liberté à quelqu'un parce qu'il a un contrat de travail", explique l'avocat, "or, ce contrat était suspendu pendant les vacances de l'entreprise et personne ne s'en est rendu compte ?". En pleine réforme pénale, l'administration pénitentiaire se retranche derrière l'enquête en cours. Aucun commentaire n'a été fait pour l'instant.
http://www.franceinfo.fr/faits-divers/colombes-plainte-pour-mise-en-danger-d-autrui-contre-un-violeur-recidiviste-1122813-2013-08-28
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suicide
Il se suicide dans la Meuse
Pour ne pas être secouru, l’homme avait délibérément verrouillé les portes d’accès à son véhicule.
Dans la nuit de lundi à mardi, vers 1h30 du matin, le conducteur d’une Toyota, qui circulait rue de la Pairelle, a délibérément jeté son véhicule dans la Meuse. Alertés par des riverains, les pompiers de Namur, emmenés par le lieutenant Gérard Beaumont, se sont rendus sur place, accompagnés de l’équipe des plongeurs namurois, d’une ambulance et du SMUR du CHR de Namur. Malgré l’obscurité, les plongeurs ont rapidement localisé l’épave de la voiture, qui gisait sur le toit, dans le fond du fleuve. Les portes de la voiture étaient fermées à clef. Il a fallu l’intervention du dépanneur Compère pour la remonter à la surface et la déposer sur la berge. A son bord, comme on pouvait s’en douter, les secouristes ont fait la macabre découverte d’un homme mort. Le conducteur avait péri noyé.
Les policiers chargés de l’enquête ont alerté le parquet de Namur qui a envoyé sur place un expert afin de déterminer les causes exactes de l’accident. Cependant, la thèse du suicide, déjà sur les lèvres des enquêteurs, a rapidement été confirmée par le parquet hier matin. Il n’y a plus aucun doute sur le fait que l’automobiliste a tout mis en œuvre pour mourir.
Le témoignage d’un riverain direct de la scène, qui a voulu lui porter secours, a emporté la conviction du magistrat de garde. Sorti de son sommeil par le choc, ce riverain s’était précipité à l’extérieur pour aussitôt offrir son assistance à l’infortuné conducteur. Mais celui-ci, par la fenêtre entrouverte de son véhicule , lui a demandé de le laisser tranquille. «Foutez-moi la paix ! » aurait-il lancé. Déterminé, il a ensuite remonté la vitre et a coulé avec la voiture. Une entreprise de pompes funèbres namuroise a pris en charge le corps du défunt, né en 1959 et domicilié au CPAS de Saint-Josse ten Noode. La victime avait été mariée et avait deux enfants. Elle avait déjà tenté de se suicider en se jetant dans la Sambre, en 2011, mais avait été secourue.(...)
http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=dmf20130828_00352002
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Pour ne pas être secouru, l’homme avait délibérément verrouillé les portes d’accès à son véhicule.
Dans la nuit de lundi à mardi, vers 1h30 du matin, le conducteur d’une Toyota, qui circulait rue de la Pairelle, a délibérément jeté son véhicule dans la Meuse. Alertés par des riverains, les pompiers de Namur, emmenés par le lieutenant Gérard Beaumont, se sont rendus sur place, accompagnés de l’équipe des plongeurs namurois, d’une ambulance et du SMUR du CHR de Namur. Malgré l’obscurité, les plongeurs ont rapidement localisé l’épave de la voiture, qui gisait sur le toit, dans le fond du fleuve. Les portes de la voiture étaient fermées à clef. Il a fallu l’intervention du dépanneur Compère pour la remonter à la surface et la déposer sur la berge. A son bord, comme on pouvait s’en douter, les secouristes ont fait la macabre découverte d’un homme mort. Le conducteur avait péri noyé.
Les policiers chargés de l’enquête ont alerté le parquet de Namur qui a envoyé sur place un expert afin de déterminer les causes exactes de l’accident. Cependant, la thèse du suicide, déjà sur les lèvres des enquêteurs, a rapidement été confirmée par le parquet hier matin. Il n’y a plus aucun doute sur le fait que l’automobiliste a tout mis en œuvre pour mourir.
Le témoignage d’un riverain direct de la scène, qui a voulu lui porter secours, a emporté la conviction du magistrat de garde. Sorti de son sommeil par le choc, ce riverain s’était précipité à l’extérieur pour aussitôt offrir son assistance à l’infortuné conducteur. Mais celui-ci, par la fenêtre entrouverte de son véhicule , lui a demandé de le laisser tranquille. «Foutez-moi la paix ! » aurait-il lancé. Déterminé, il a ensuite remonté la vitre et a coulé avec la voiture. Une entreprise de pompes funèbres namuroise a pris en charge le corps du défunt, né en 1959 et domicilié au CPAS de Saint-Josse ten Noode. La victime avait été mariée et avait deux enfants. Elle avait déjà tenté de se suicider en se jetant dans la Sambre, en 2011, mais avait été secourue.(...)
http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=dmf20130828_00352002
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c'est grave docteur ?
Une fillette poursuivie pour viol après avoir joué au "docteur"
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Une petite Américaine de dix ans est accusée du viol d'un garçon de quatre ans avec lequel elle a été aperçue en train de jouer au docteur. Le viol présumé se serait produit en avril dernier. La suspecte, une fillette surnommée Ashley par les médias américains, a été aperçue par un de ses voisins alors qu'elle jouait au docteur avec un groupe d'enfants qui résident dans son immeuble de Houston aux Etats-Unis. Le témoin a immédiatement prévenu les parents d'un garçon de quatre ans qui avait participé à ce "jeu". Ceux-ci ont, à leur tour, averti la police locale qui s'est rendue rendue au domicile d'Ashley afin de l'interpeller. "Je pleurais et ils m'ont mise dans la voiture", confie à MyFoxHouston.com la fillette qui a passé quatre jours dans un centre de détention pour mineurs en juin dernier.
"Je n'avais jamais vu un enfant si jeune être accusé d'un tel crime", indique Quanell X qui travaille avec la famille d'Ashley. "Ce n'était rien de plus qu'un geste inapproprié qui a conduit à ce qu'un enfant de dix ans soit accusé de viol aggravé". Pour la mère d'Ashley, cette histoire est complètement folle. "c'est un cauchemar", dit-elle. "C'est mon bébé et le simple fait de penser qu'elle vive quelque chose comme ça me fait très mal". Selon elle, la police en charge des crimes sexuels ne l'a jamais été autorisée à assister aux interrogatoires de sa fille. Le jugement d'Ashley est prévu pour le mois d'octobre prochain. Source : 7 sur 7 le 27 août 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18285&hl=
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Une petite Américaine de dix ans est accusée du viol d'un garçon de quatre ans avec lequel elle a été aperçue en train de jouer au docteur. Le viol présumé se serait produit en avril dernier. La suspecte, une fillette surnommée Ashley par les médias américains, a été aperçue par un de ses voisins alors qu'elle jouait au docteur avec un groupe d'enfants qui résident dans son immeuble de Houston aux Etats-Unis. Le témoin a immédiatement prévenu les parents d'un garçon de quatre ans qui avait participé à ce "jeu". Ceux-ci ont, à leur tour, averti la police locale qui s'est rendue rendue au domicile d'Ashley afin de l'interpeller. "Je pleurais et ils m'ont mise dans la voiture", confie à MyFoxHouston.com la fillette qui a passé quatre jours dans un centre de détention pour mineurs en juin dernier.
"Je n'avais jamais vu un enfant si jeune être accusé d'un tel crime", indique Quanell X qui travaille avec la famille d'Ashley. "Ce n'était rien de plus qu'un geste inapproprié qui a conduit à ce qu'un enfant de dix ans soit accusé de viol aggravé". Pour la mère d'Ashley, cette histoire est complètement folle. "c'est un cauchemar", dit-elle. "C'est mon bébé et le simple fait de penser qu'elle vive quelque chose comme ça me fait très mal". Selon elle, la police en charge des crimes sexuels ne l'a jamais été autorisée à assister aux interrogatoires de sa fille. Le jugement d'Ashley est prévu pour le mois d'octobre prochain. Source : 7 sur 7 le 27 août 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18285&hl=
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retrouvés morts
Un couple retrouvé mort à Rawdon
Selon le sergent Gino Paré de la SQ, c'est un proche du couple qui s'était présenté à la résidence des victimes qui a fait la macabre découverte vers 9 h 00 dans la matinée du 27 août. Autopsies Les corps de l'homme et de la femme, tous deux âgés de 76 ans, ont été transférés à l'Institut médico-légal de Montréal. Une autopsie doit être pratiquée sur les deux corps dans la journée du 28 août. Selon le sergent Paré, les policiers n'ont trouvé aucune trace de violence dans la demeure des septuagénaires dont l'identité n'a pas encore été dévoilée.
http://www.laction.com/Faits-divers/2013-08-27/article-3366342/Un-couple-retrouve-mort-a-Rawdon/1
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Selon le sergent Gino Paré de la SQ, c'est un proche du couple qui s'était présenté à la résidence des victimes qui a fait la macabre découverte vers 9 h 00 dans la matinée du 27 août. Autopsies Les corps de l'homme et de la femme, tous deux âgés de 76 ans, ont été transférés à l'Institut médico-légal de Montréal. Une autopsie doit être pratiquée sur les deux corps dans la journée du 28 août. Selon le sergent Paré, les policiers n'ont trouvé aucune trace de violence dans la demeure des septuagénaires dont l'identité n'a pas encore été dévoilée.
http://www.laction.com/Faits-divers/2013-08-27/article-3366342/Un-couple-retrouve-mort-a-Rawdon/1
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psys
Avec la crise, les psy ont la cote ! Selon un sondage TNS Sofres à paraître dans la revue Psychologies Magazine de septembre, 28 % des Français auraient déjà consulté un professionnel. Et la cause principale de ces visites chez le psychiatre, psychothérapeute, ou psychanaliste est souvent la même. Un tiers de sondés reconnaissent avoir consulté pour une dépression.
Concernant les autres causes, le stress et les ennuis familiaux viennent juste derrière la dépression, loin devant « l'envie de mieux se connaître » (6 %).
Mais les psys ne sont pas les seuls témoins de la souffrance psychique d'une partie des Français. Une étude de 2012 commandée par le ministère de la Santé (DREES) montre que les médecins généralistes sont en première ligne. Les deux tiers d’entre eux déclarent être confrontés chaque semaine à la souffrance psychique de la population. 82 % des médecins interrogés évoquent des personnes souffrant d’anxiété et 67% de dépression. Ces professionnels sont également à l'écoute des tendances suicidaires. Au cours des cinq dernières années, huit médecins sur dix ont été confrontés à une tentative de suicide et près de la moitié à un suicide. Autre résultat de cette enquête, près de sept médecins généralistes sur dix prescrivent un antidépresseur avec un anxiolytique ou un hypnotique, là où des pscychothérapies seraient plus efficaces. Généraliste ou psy, les Français semblent tirer bénéfice de ces consultations. L'enquête de Psychologies Magazine confirme que 86 % d'entre eux estiment que cela les a aidé. 69 % de ceux qui ont mis un terme à leur thérapie l'ont fait « parce qu'ils se sentaient mieux ». Des résultats encourageants lorsqu'on connaît les ravages que peut causer une dépression chez l'homme. D'après une étude présentée fin janvier au Congrès de l’Académie américaine de neurologie, la dépression multiplierait par 4 le risque de récidive fatale d’AVC. Si bien que dans les services de réadaptation cardiaque, la dépression est déjà dépistée comme un facteur de risque en post-infarctus !
http://pourquoi-docteur.nouvelobs.com/Plus-d-un-Francais-sur-quatre-consulte-un-psy-3456.html
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Mais les psys ne sont pas les seuls témoins de la souffrance psychique d'une partie des Français. Une étude de 2012 commandée par le ministère de la Santé (DREES) montre que les médecins généralistes sont en première ligne. Les deux tiers d’entre eux déclarent être confrontés chaque semaine à la souffrance psychique de la population. 82 % des médecins interrogés évoquent des personnes souffrant d’anxiété et 67% de dépression. Ces professionnels sont également à l'écoute des tendances suicidaires. Au cours des cinq dernières années, huit médecins sur dix ont été confrontés à une tentative de suicide et près de la moitié à un suicide. Autre résultat de cette enquête, près de sept médecins généralistes sur dix prescrivent un antidépresseur avec un anxiolytique ou un hypnotique, là où des pscychothérapies seraient plus efficaces. Généraliste ou psy, les Français semblent tirer bénéfice de ces consultations. L'enquête de Psychologies Magazine confirme que 86 % d'entre eux estiment que cela les a aidé. 69 % de ceux qui ont mis un terme à leur thérapie l'ont fait « parce qu'ils se sentaient mieux ». Des résultats encourageants lorsqu'on connaît les ravages que peut causer une dépression chez l'homme. D'après une étude présentée fin janvier au Congrès de l’Académie américaine de neurologie, la dépression multiplierait par 4 le risque de récidive fatale d’AVC. Si bien que dans les services de réadaptation cardiaque, la dépression est déjà dépistée comme un facteur de risque en post-infarctus !
http://pourquoi-docteur.nouvelobs.com/Plus-d-un-Francais-sur-quatre-consulte-un-psy-3456.html
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pédophile
Gruissan : le pédophile présumé aurait abusé de sa petite nièce
L'alerte avait été donnée dimanche après-midi, par plusieurs personnes ayant remarqué le comportement inquiétant d'un homme sur la plage des Chalets. Depuis sa serviette, l'individu filmait en effet les enfants situés à proximité. Arrivés peu de temps après, les gendarmes l'ont interpellé au moment où il quittait les lieux.
Ils allaient faire alors une terrible découverte. Dans l'une des poches du sexagénaire, les enquêteurs ont en effet trouvé trois cartes SD. Celles-ci contenaient non seulement des images à caractère pédopornographique, mais aussi des vidéos montrant l'individu commettre une agression sexuelle sur une fillette. Le suspect a reconnu les faits durant sa garde à vue : installé à Narbonne depuis deux ans, il vivait auparavant en Belgique où il a indiqué avoir déjà eu affaire à la justice pour des faits similaires. Une information en cours de vérification. Les enquêteurs opérant sur cette affaire sordide ont identifié l'enfant visible sur des vidéos que possédait l'homme de 63 ans interpellé dimanche dernier sur la plage des Chalets à Gruissan, dans l'Aude. La victime, âgée de 7 ans, est sa petite nièce Présenté au juge d'instruction hier mardi, l'homme a été écroué à la maison d'arrêt de Béziers. Une information judiciaire a été ouverte pour tentative de viol sur mineur, agression sexuelle sur mineur et détention d'images à caractère pédopornographique. Source : L'Indépendant le 28 août 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18295&hl=
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L'alerte avait été donnée dimanche après-midi, par plusieurs personnes ayant remarqué le comportement inquiétant d'un homme sur la plage des Chalets. Depuis sa serviette, l'individu filmait en effet les enfants situés à proximité. Arrivés peu de temps après, les gendarmes l'ont interpellé au moment où il quittait les lieux.
Ils allaient faire alors une terrible découverte. Dans l'une des poches du sexagénaire, les enquêteurs ont en effet trouvé trois cartes SD. Celles-ci contenaient non seulement des images à caractère pédopornographique, mais aussi des vidéos montrant l'individu commettre une agression sexuelle sur une fillette. Le suspect a reconnu les faits durant sa garde à vue : installé à Narbonne depuis deux ans, il vivait auparavant en Belgique où il a indiqué avoir déjà eu affaire à la justice pour des faits similaires. Une information en cours de vérification. Les enquêteurs opérant sur cette affaire sordide ont identifié l'enfant visible sur des vidéos que possédait l'homme de 63 ans interpellé dimanche dernier sur la plage des Chalets à Gruissan, dans l'Aude. La victime, âgée de 7 ans, est sa petite nièce Présenté au juge d'instruction hier mardi, l'homme a été écroué à la maison d'arrêt de Béziers. Une information judiciaire a été ouverte pour tentative de viol sur mineur, agression sexuelle sur mineur et détention d'images à caractère pédopornographique. Source : L'Indépendant le 28 août 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18295&hl=
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suicide
Suicide d’un employé municipal : beaucoup de questions en suspens
Plus de deux cents personnes sont venues rendre un dernier hommage à L C mardi après-midi. Les forces de l’ordre étaient présentes pour fluidifier la circulation.
Quelqu’un de bien. Un mec super qui ne connaissait pas la méchanceté ». En ce mardi après-midi, le cimetière d’Arlod résonnait de mots d’amitié et d’amour envers L C. Dans un silence recueilli, uniquement perturbé par la pluie battante, plus de 200 Bellegardiens avaient fait le déplacement pour rendre un dernier hommage à cet employé de 34 ans, en situation de léger handicap, affecté au service de l’environnement. Vendredi matin, après avoir nettoyé les locaux, l’homme a décidé d’en finir avec la vie. Un de ses collègues l’a retrouvé pendu dans le local des services techniques de la mairie, aux Etournelles. Un déchirement pour ses proches et amis. Une incompréhension, même si cela faisait près de huit mois que leur ami si joyeux et léger, perdait peu à peu pied. Un courrier qui témoigne de son malaise « Au cours de ces derniers mois, tes parents étaient présents pour essayer de comprendre cette injustice qui te rongeait. Ta joie de vivre s’était éclipsée à cause d’un harcèlement permanent », témoigne sa cousine Valérie lors d’un discours dans le cimetière. De ses souffrances, Lionel parle peu. Même Christian, son plus fidèle ami au sein de la mairie, n’en avait pas pris la mesure : « C’était quelqu’un de très secret qui n’arrivait pas à parler de ce genre de choses », mentionne-t-il.
http://www.ledauphine.com/ain/2013/08/27/suicide-d-un-employe-municipal-beaucoup-de-questions-en-suspens
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Plus de deux cents personnes sont venues rendre un dernier hommage à L C mardi après-midi. Les forces de l’ordre étaient présentes pour fluidifier la circulation.
Quelqu’un de bien. Un mec super qui ne connaissait pas la méchanceté ». En ce mardi après-midi, le cimetière d’Arlod résonnait de mots d’amitié et d’amour envers L C. Dans un silence recueilli, uniquement perturbé par la pluie battante, plus de 200 Bellegardiens avaient fait le déplacement pour rendre un dernier hommage à cet employé de 34 ans, en situation de léger handicap, affecté au service de l’environnement. Vendredi matin, après avoir nettoyé les locaux, l’homme a décidé d’en finir avec la vie. Un de ses collègues l’a retrouvé pendu dans le local des services techniques de la mairie, aux Etournelles. Un déchirement pour ses proches et amis. Une incompréhension, même si cela faisait près de huit mois que leur ami si joyeux et léger, perdait peu à peu pied. Un courrier qui témoigne de son malaise « Au cours de ces derniers mois, tes parents étaient présents pour essayer de comprendre cette injustice qui te rongeait. Ta joie de vivre s’était éclipsée à cause d’un harcèlement permanent », témoigne sa cousine Valérie lors d’un discours dans le cimetière. De ses souffrances, Lionel parle peu. Même Christian, son plus fidèle ami au sein de la mairie, n’en avait pas pris la mesure : « C’était quelqu’un de très secret qui n’arrivait pas à parler de ce genre de choses », mentionne-t-il.
http://www.ledauphine.com/ain/2013/08/27/suicide-d-un-employe-municipal-beaucoup-de-questions-en-suspens
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bébé
Audenarde: encore un bébé décédé (trop?) rapidement et classé dans les "morts naturelles"!
A la suite de notre récent article sur les parents accusés du meurtre de leur petite fille décédée et fraîchement vaccinée, nous avons reçu le message suivant d'une visiteuse: "J'ai lu votre article hier, je n'osais me prononcer par manque d'infos, l'envie de creuser pour en savoir plus sur ces effets secondaires ressemblant au syndrome du bébé secoué, c'est dans ma nature de ne pas tout prendre pour vérité et pourtant, je ne remets pas en cause vos actions, loin de là. Bref, hier votre article et aujourd'hui, dans les colonnes de mon canard : http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20130819_00348548 Or que dit cet article de Vers l'Avenir?? Il parle du décès par arrêt cardiaque d'un bébé de 4 mois et demi (= en plein dans la période d'acharnement vaccinal!) au sujet duquel on suspectait initialement qu'il aurait pu être secoué... Notre site a déjà abordé le fait que le syndrome du bébé secoué peut aussi être dû aux vaccinations infantiles. Voir les nombreux liens d'information à ce sujet.
Le décès a eu lieu en avril dernier dans une crèche d'Audenarde. Lundi dernier, le parquet a indiqué que l'enfant n'avait pas fait l'objet d'une manipulation brutale. Un groupe d'"experts" a finalement conclu à une mort naturelle. Mais c'est évidemment là que tout le problème réside puisque le citoyen ne reçoit en réalité jamais le moindre détail sur les éléments qui fondent la sacrosainte décision de ces "experts". Un arrêt cardiaque n'est pas chose commune chez un si jeune enfant. De combien de jours dataient ses dernières vaccinations? De quelles vaccinations s'agissait-il? Certainement de vaccinations multiples injectées en cocktail, vu la triste manie actuelle...
C'est capital de rappeler ici ce qui se trouve dans les revues médicales officielles au sujet des effets secondaires de vaccins. Ainsi, dans la Revue du Praticien de Novembre 2011, trois éléments-clés étaient exposés: 1°) Le nombre d'effets secondaires GRAVES des vaccins est largement sous-estimé, seuls 1 à 10% de l'ensemble de ceux-ci étant effectivement comptabilisés. 2°) "Il n’y a pas de consensus sur les éléments chronologiques ou sémiologiques de l’imputabilité d’un vaccin dans la survenue d’un EI.(effet indésirable)". Ce point est réellement central ici parce que s'il n'y a aucun accord au sein de la communauté médicale sur les critères de temps et de symptômes à réunir pour pouvoir incriminer un vaccin dans la genèse d'un effet morbide ou même létal, comment accorder une foi sans faille à la conclusion des experts qui innocentent ainsi d'emblée la très dérangeante implication possible des vaccins?? Plusieurs études ont déjà montré que les vaccinations favorisaient la mort subite du jeune enfant qui inclut aussi un arrêt cardiaque et des perturbations respiratoires préalables, parfois très subtiles et échappant à la vigilance de l'entourage (parents, gardiennes, etc). Et là encore, dans le cas des morts subites du nourrisson, l'implication des vaccins est le tabou des tabous! 3°) Troisième aveu de poids issu, nous vous le rappelons, d'une revue médicale tout à fait officielle: le nombre de sujets inclus dans les essais cliniques de vaccins pré-commercialisation est largement insuffisant pour pouvoir détecter et évaluer la fréquence réelle des effets secondaires rares mais beaucoup plus graves. En d'autres termes, cela signifie que les vaccinés sont des cobayes et que le vrai rapport bénéfices/risques n'est JAMAIS connu des pseudos experts au moment où le vaccin est ajouté au calendrier vaccinal, remboursé et administré très largement à une population ignorante et crédule! C'est d'ailleurs si vrai que c'est pour cela que le politiquement correct insiste de façon faussement rassurante sur la grande importance de la pharmacovigilance post-commercialisation mais qui ne survient alors qu'à posteriori, "quand le mal est déjà fait"... histoire de faire semblant d'être très prudent! Si on ajoute à ces éléments importants, le lien idéologique ET financier qui unit le corps médical d'une façon générale aux vaccins, on se rend compte que les prétendus experts mandatés par le tribunal n'ont tout simplement pas pu aboutir à une conclusion fiable et objective! Car il ne faut pas l'oublier, selon le rapport de la Cour des Comptes française d'octobre 2012, les vaccinations constituent 12,6% des consultations (et donc des revenus) en médecine générale -sans compter les primes additionnelles (CAPI de + de 7000 euros par an) et 33% des rentrées des pédiatres. Ces chiffres ne comptent que pour l'acte vaccinal (injection) et pas pour les suites des vaccins car les effets secondaires de vaccins amènent inévitablement d'autres consultations et sont donc une autre source indéniable de revenus, même si cela gène très fortement les médecins que ce constat incontournable soit ainsi mis par écrit. "Comme si nous voulions sciemment nuire aux patients!" les entend-t-on déjà pester. Mais, même avec les meilleures intentions du monde, il n'empêche que les effets secondaires des vaccins sont aussi une autre source de consultations et donc de revenus...
Un rapport conjoint de l'ONE et de PROVAC de 2009 affirmait d'ailleurs clairement qu' au moins 5% des enfants vaccinés (1 enfant sur 20 donc, tout de même!) est obligé de consulter un médecin pour effets secondaires endéans les 48 heures qui suivent une vaccination. Mais quel pourcentage d'enfants sont obligés de consulter un médecin pour effets secondaires de vaccins toute limite de temps confondue? Certainement bien plus que 5% mais on retombe à ce niveau sur l'aberration d'études cliniques pré-commercialisation des vaccins qui n'évaluent les effets secondaires que sur quelques jours ou tout au plus (dans le meilleur des cas!) sur quelques semaines!!! Donc voilà, faites bien attention quand vous lisez des informations dans les médias, songez toujours à tous les sujets encombrants qui peuvent finalement "briller par leur absence", comme les vaccins ou bien d'autres "sujets chauds", dans bien d'autres domaines. Les avis d'experts ne doivent jamais être pris à priori pour argent comptant, comme on a pu le voir ci-dessus, et même quand ces experts sont impliqués dans une procédure judiciaire (au contraire, c'est encore pire, car les enjeux sont toujours accrus, incriminer des vaccins ou d'autres sujets tabous dans des procédures judiciaires, c'est un risque encore accru de médiatisation avec son cortège d'effets commercialement indésirables pour tous ceux qui en retirent de l'argent...)
http://www.initiativecitoyenne.be/article-audenarde-encore-un-bebe-decede-trop-rapidement-classe-dans-les-morts-naturelles-119703192.html
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(pas trouvé de données (naissance/décès) concernant le bébé en question)
A la suite de notre récent article sur les parents accusés du meurtre de leur petite fille décédée et fraîchement vaccinée, nous avons reçu le message suivant d'une visiteuse: "J'ai lu votre article hier, je n'osais me prononcer par manque d'infos, l'envie de creuser pour en savoir plus sur ces effets secondaires ressemblant au syndrome du bébé secoué, c'est dans ma nature de ne pas tout prendre pour vérité et pourtant, je ne remets pas en cause vos actions, loin de là. Bref, hier votre article et aujourd'hui, dans les colonnes de mon canard : http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20130819_00348548 Or que dit cet article de Vers l'Avenir?? Il parle du décès par arrêt cardiaque d'un bébé de 4 mois et demi (= en plein dans la période d'acharnement vaccinal!) au sujet duquel on suspectait initialement qu'il aurait pu être secoué... Notre site a déjà abordé le fait que le syndrome du bébé secoué peut aussi être dû aux vaccinations infantiles. Voir les nombreux liens d'information à ce sujet.
Le décès a eu lieu en avril dernier dans une crèche d'Audenarde. Lundi dernier, le parquet a indiqué que l'enfant n'avait pas fait l'objet d'une manipulation brutale. Un groupe d'"experts" a finalement conclu à une mort naturelle. Mais c'est évidemment là que tout le problème réside puisque le citoyen ne reçoit en réalité jamais le moindre détail sur les éléments qui fondent la sacrosainte décision de ces "experts". Un arrêt cardiaque n'est pas chose commune chez un si jeune enfant. De combien de jours dataient ses dernières vaccinations? De quelles vaccinations s'agissait-il? Certainement de vaccinations multiples injectées en cocktail, vu la triste manie actuelle...
C'est capital de rappeler ici ce qui se trouve dans les revues médicales officielles au sujet des effets secondaires de vaccins. Ainsi, dans la Revue du Praticien de Novembre 2011, trois éléments-clés étaient exposés: 1°) Le nombre d'effets secondaires GRAVES des vaccins est largement sous-estimé, seuls 1 à 10% de l'ensemble de ceux-ci étant effectivement comptabilisés. 2°) "Il n’y a pas de consensus sur les éléments chronologiques ou sémiologiques de l’imputabilité d’un vaccin dans la survenue d’un EI.(effet indésirable)". Ce point est réellement central ici parce que s'il n'y a aucun accord au sein de la communauté médicale sur les critères de temps et de symptômes à réunir pour pouvoir incriminer un vaccin dans la genèse d'un effet morbide ou même létal, comment accorder une foi sans faille à la conclusion des experts qui innocentent ainsi d'emblée la très dérangeante implication possible des vaccins?? Plusieurs études ont déjà montré que les vaccinations favorisaient la mort subite du jeune enfant qui inclut aussi un arrêt cardiaque et des perturbations respiratoires préalables, parfois très subtiles et échappant à la vigilance de l'entourage (parents, gardiennes, etc). Et là encore, dans le cas des morts subites du nourrisson, l'implication des vaccins est le tabou des tabous! 3°) Troisième aveu de poids issu, nous vous le rappelons, d'une revue médicale tout à fait officielle: le nombre de sujets inclus dans les essais cliniques de vaccins pré-commercialisation est largement insuffisant pour pouvoir détecter et évaluer la fréquence réelle des effets secondaires rares mais beaucoup plus graves. En d'autres termes, cela signifie que les vaccinés sont des cobayes et que le vrai rapport bénéfices/risques n'est JAMAIS connu des pseudos experts au moment où le vaccin est ajouté au calendrier vaccinal, remboursé et administré très largement à une population ignorante et crédule! C'est d'ailleurs si vrai que c'est pour cela que le politiquement correct insiste de façon faussement rassurante sur la grande importance de la pharmacovigilance post-commercialisation mais qui ne survient alors qu'à posteriori, "quand le mal est déjà fait"... histoire de faire semblant d'être très prudent! Si on ajoute à ces éléments importants, le lien idéologique ET financier qui unit le corps médical d'une façon générale aux vaccins, on se rend compte que les prétendus experts mandatés par le tribunal n'ont tout simplement pas pu aboutir à une conclusion fiable et objective! Car il ne faut pas l'oublier, selon le rapport de la Cour des Comptes française d'octobre 2012, les vaccinations constituent 12,6% des consultations (et donc des revenus) en médecine générale -sans compter les primes additionnelles (CAPI de + de 7000 euros par an) et 33% des rentrées des pédiatres. Ces chiffres ne comptent que pour l'acte vaccinal (injection) et pas pour les suites des vaccins car les effets secondaires de vaccins amènent inévitablement d'autres consultations et sont donc une autre source indéniable de revenus, même si cela gène très fortement les médecins que ce constat incontournable soit ainsi mis par écrit. "Comme si nous voulions sciemment nuire aux patients!" les entend-t-on déjà pester. Mais, même avec les meilleures intentions du monde, il n'empêche que les effets secondaires des vaccins sont aussi une autre source de consultations et donc de revenus...
Un rapport conjoint de l'ONE et de PROVAC de 2009 affirmait d'ailleurs clairement qu' au moins 5% des enfants vaccinés (1 enfant sur 20 donc, tout de même!) est obligé de consulter un médecin pour effets secondaires endéans les 48 heures qui suivent une vaccination. Mais quel pourcentage d'enfants sont obligés de consulter un médecin pour effets secondaires de vaccins toute limite de temps confondue? Certainement bien plus que 5% mais on retombe à ce niveau sur l'aberration d'études cliniques pré-commercialisation des vaccins qui n'évaluent les effets secondaires que sur quelques jours ou tout au plus (dans le meilleur des cas!) sur quelques semaines!!! Donc voilà, faites bien attention quand vous lisez des informations dans les médias, songez toujours à tous les sujets encombrants qui peuvent finalement "briller par leur absence", comme les vaccins ou bien d'autres "sujets chauds", dans bien d'autres domaines. Les avis d'experts ne doivent jamais être pris à priori pour argent comptant, comme on a pu le voir ci-dessus, et même quand ces experts sont impliqués dans une procédure judiciaire (au contraire, c'est encore pire, car les enjeux sont toujours accrus, incriminer des vaccins ou d'autres sujets tabous dans des procédures judiciaires, c'est un risque encore accru de médiatisation avec son cortège d'effets commercialement indésirables pour tous ceux qui en retirent de l'argent...)
http://www.initiativecitoyenne.be/article-audenarde-encore-un-bebe-decede-trop-rapidement-classe-dans-les-morts-naturelles-119703192.html
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(pas trouvé de données (naissance/décès) concernant le bébé en question)
dépression
Divorce : la dépression au bout de la séparation?
On appelle ça un risque associé. Perte de repères, garde des enfants, une séparation est souvent synonyme de dépression. Mais est-ce le divorce qui conduit à la dépression, ou la dépression qui conduit au divorce? C'est ce qu'ont tenté de déterminer le chercheur en psychologie David Sbarra et son équipe de l'université d'Arizona.
Pour ce faire, ils ont eu recours à une importante base de donnée américaine appelée MIDUS, mise en place en 1989 afin de mieux comprendre la midlife, le milieu de vie, ou cette période allant de 30 à 70 ans.
En analysant et en comparant les parcours psychologiques et maritaux de dizaines de milliers d'américains, ils ont ainsi pu se rendre compte que, de manière générale, divorcer augmentait effectivement bien le risque de déprimer. Mais s'il s'attendaient à ce résultat, leurs conclusions indiquent que face à ce risque de dépression post-divorce, notre passé y est pour beaucoup.
Pas tous à la même enseigne L'écart est flagrant. 60% des participants qui avaient un passif dépressif sont effectivement tombés en dépression après leur divorce. Un chiffre qui chute à près de 10% pour ceux qui n'avaient aucun passif dépressif, signe que le premier facteur de risque n'est pas la séparation en temps que tel, mais bien le parcours personnel de chacun. "Ces chiffres sont importants parce qu'ils montrent que la plupart des personnes font bien preuve de résilience lorsqu'ils divorcent, on ne constate effectivement pas de problèmes parmi ceux qui n'ont pas eu d'expérience dépressive auparavant," explique David Sbarra dans un communiqué. Si vous n'avez donc pas connu de période dépressive avant de divorcer, il y a donc de fortes chance pour que vous teniez le coup après un divorce, indiquent les résultats de l'étude. À l'inverse, si vous avez connu des épisodes dépressifs et que vous vous traversez un divorce, mieux vaut alors s'armer de soutien en consultant par exemple un psychologue. Pour les thérapeutes, toute la question est alors de savoir ce qui passe dans la tête de ceux qui dépriment après le divorce. "Est-ce qu'ils se rejettent la faute? Ruminent-ils davantage quant à leur séparation? Celle-ci est-elle plus douloureuse que les autres? Autant de questions qui méritent d'être creusées," conclut David Sbarra. Quant à savoir pourquoi certaines personnes sont dépressives et pas d'autres, une étude publiée par quelques semaines apporte quelques éléments de réponse. L'un des premiers facteurs de dépression... serait le conjoint
http://www.huffingtonpost.fr/2013/08/28/divorce-risque-depression_n_3823411.html
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certains éléments rejoignent mon idée : j'ai constaté que les conflits et les séparations ont lieu surtout en période critique septennale, ou que les conflits donnant lieu plus tard à une séparation ont tendance à démarrer en période critique septennale...
la dépression aussi car la période critique septennale est en fait une période de dépression pour certains au sens réel, mais aussi et surtout au sens "remise en cause et changement d'état"- naturelle et cyclique : il y a ceux qui "ne ressentent rien" ou encore qui gèrent... et ceux qui réagissent plus ou moins fortement parce qu'ils sont sensibles à la déprime et la dépression, voire ceux qui sombrent carrément...
peut-être que l'on peut expliquer les 60 % qui ont un passif dépressif et qui tombent en dépression après leur divorce... par le fait que ce sont des personnes "sensibles à la dépression" (reste à trouver pourquoi elles le sont plus que d'autres, mais cela doit pouvoir s'expliquer aussi...) ces personnes vont donc repasser lors d'une période critique suivante par un "élément dépression" et y sombrer à cette occasion, le divorce venant s'ajouter comme un élément qui accentue l'effet. il ne serait d'ailleurs pas impossible que certains auraient rechuté dans une dépression lors de leur période critique suivante... même s'ils n'avaient pas divorcé... cette "récidive" dans la dépression avec ou sans divorce doit d'ailleurs aussi pouvoir s'étudier... et peut-être se constater... puisque d'après moi fréquemment liée au fonctionnement d'un cycle psychique septennal.
On appelle ça un risque associé. Perte de repères, garde des enfants, une séparation est souvent synonyme de dépression. Mais est-ce le divorce qui conduit à la dépression, ou la dépression qui conduit au divorce? C'est ce qu'ont tenté de déterminer le chercheur en psychologie David Sbarra et son équipe de l'université d'Arizona.
Pour ce faire, ils ont eu recours à une importante base de donnée américaine appelée MIDUS, mise en place en 1989 afin de mieux comprendre la midlife, le milieu de vie, ou cette période allant de 30 à 70 ans.
En analysant et en comparant les parcours psychologiques et maritaux de dizaines de milliers d'américains, ils ont ainsi pu se rendre compte que, de manière générale, divorcer augmentait effectivement bien le risque de déprimer. Mais s'il s'attendaient à ce résultat, leurs conclusions indiquent que face à ce risque de dépression post-divorce, notre passé y est pour beaucoup.
Pas tous à la même enseigne L'écart est flagrant. 60% des participants qui avaient un passif dépressif sont effectivement tombés en dépression après leur divorce. Un chiffre qui chute à près de 10% pour ceux qui n'avaient aucun passif dépressif, signe que le premier facteur de risque n'est pas la séparation en temps que tel, mais bien le parcours personnel de chacun. "Ces chiffres sont importants parce qu'ils montrent que la plupart des personnes font bien preuve de résilience lorsqu'ils divorcent, on ne constate effectivement pas de problèmes parmi ceux qui n'ont pas eu d'expérience dépressive auparavant," explique David Sbarra dans un communiqué. Si vous n'avez donc pas connu de période dépressive avant de divorcer, il y a donc de fortes chance pour que vous teniez le coup après un divorce, indiquent les résultats de l'étude. À l'inverse, si vous avez connu des épisodes dépressifs et que vous vous traversez un divorce, mieux vaut alors s'armer de soutien en consultant par exemple un psychologue. Pour les thérapeutes, toute la question est alors de savoir ce qui passe dans la tête de ceux qui dépriment après le divorce. "Est-ce qu'ils se rejettent la faute? Ruminent-ils davantage quant à leur séparation? Celle-ci est-elle plus douloureuse que les autres? Autant de questions qui méritent d'être creusées," conclut David Sbarra. Quant à savoir pourquoi certaines personnes sont dépressives et pas d'autres, une étude publiée par quelques semaines apporte quelques éléments de réponse. L'un des premiers facteurs de dépression... serait le conjoint
http://www.huffingtonpost.fr/2013/08/28/divorce-risque-depression_n_3823411.html
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certains éléments rejoignent mon idée : j'ai constaté que les conflits et les séparations ont lieu surtout en période critique septennale, ou que les conflits donnant lieu plus tard à une séparation ont tendance à démarrer en période critique septennale...
la dépression aussi car la période critique septennale est en fait une période de dépression pour certains au sens réel, mais aussi et surtout au sens "remise en cause et changement d'état"- naturelle et cyclique : il y a ceux qui "ne ressentent rien" ou encore qui gèrent... et ceux qui réagissent plus ou moins fortement parce qu'ils sont sensibles à la déprime et la dépression, voire ceux qui sombrent carrément...
peut-être que l'on peut expliquer les 60 % qui ont un passif dépressif et qui tombent en dépression après leur divorce... par le fait que ce sont des personnes "sensibles à la dépression" (reste à trouver pourquoi elles le sont plus que d'autres, mais cela doit pouvoir s'expliquer aussi...) ces personnes vont donc repasser lors d'une période critique suivante par un "élément dépression" et y sombrer à cette occasion, le divorce venant s'ajouter comme un élément qui accentue l'effet. il ne serait d'ailleurs pas impossible que certains auraient rechuté dans une dépression lors de leur période critique suivante... même s'ils n'avaient pas divorcé... cette "récidive" dans la dépression avec ou sans divorce doit d'ailleurs aussi pouvoir s'étudier... et peut-être se constater... puisque d'après moi fréquemment liée au fonctionnement d'un cycle psychique septennal.
drame familial
Familiendrama im Plattenbau: Zwei Kinder in Suhl getötet
Das Mädchen war erst sechs Monate alt, der Junge knapp zwei Jahre. Im südthüringischen Suhl werden die Geschwister in der elterlichen Wohnung getötet. Die Polizei vermutet den Täter in der Familie.(...) Zuvor sind die beiden Enkelkinder der Frau tot in einer Wohnung in Thüringen gefunden worden. Eine Beziehungstat, vermuten die Ermittler, und suchen nach dem Sohn der Frau, dem 34 Jahre alten Vater der getöteten Kinder. (...)
Die Hintergründe der Tragödie in Suhl-Himmelreich sind dagegen noch weitgehend unklar. Sicher ist, dass die 23 Jahre alte Mutter am Morgen die Leichen ihrer sechs Monate alten Tochter und des knapp zwei Jahre alten Sohnes in der rund 55 Quadratmeter großen Wohnung fand. Der Vater der Kinder ist verschwunden. (...)
http://www.neuepresse.de/Nachrichten/Panorama/Uebersicht/Familiendrama-im-Plattenbau-Zwei-Kinder-in-Suhl-getoetet
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un père de 34 ans est recherché après que ses deux petits enfants de six mois et deux ans ont été découverts morts par la mère dans l'appartement commun.
édit : les enfants auraient été étouffés. le père est toujours recherché. il aurait laissé un message écrit duquel il ressort qu'il s'agirait d'un conflit de séparation...
édit 8/09 : le père aurait été retrouvé mort noyé.
http://www.fr-online.de/panorama/familiendrama-suhl-polizei-entdeckt-leiche,1472782,24240786.html
Das Mädchen war erst sechs Monate alt, der Junge knapp zwei Jahre. Im südthüringischen Suhl werden die Geschwister in der elterlichen Wohnung getötet. Die Polizei vermutet den Täter in der Familie.(...) Zuvor sind die beiden Enkelkinder der Frau tot in einer Wohnung in Thüringen gefunden worden. Eine Beziehungstat, vermuten die Ermittler, und suchen nach dem Sohn der Frau, dem 34 Jahre alten Vater der getöteten Kinder. (...)
Die Hintergründe der Tragödie in Suhl-Himmelreich sind dagegen noch weitgehend unklar. Sicher ist, dass die 23 Jahre alte Mutter am Morgen die Leichen ihrer sechs Monate alten Tochter und des knapp zwei Jahre alten Sohnes in der rund 55 Quadratmeter großen Wohnung fand. Der Vater der Kinder ist verschwunden. (...)
http://www.neuepresse.de/Nachrichten/Panorama/Uebersicht/Familiendrama-im-Plattenbau-Zwei-Kinder-in-Suhl-getoetet
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un père de 34 ans est recherché après que ses deux petits enfants de six mois et deux ans ont été découverts morts par la mère dans l'appartement commun.
édit : les enfants auraient été étouffés. le père est toujours recherché. il aurait laissé un message écrit duquel il ressort qu'il s'agirait d'un conflit de séparation...
édit 8/09 : le père aurait été retrouvé mort noyé.
http://www.fr-online.de/panorama/familiendrama-suhl-polizei-entdeckt-leiche,1472782,24240786.html
coup de folie
Une mère blessée au couteau par sa fille
Il pourrait s'agir d'un coup de folie...
Il est 3h30, dans la nuit de samedi à dimanche, dans un pavillon du quartier de La Source à Orléans.
Un couple dort, lorsque soudain, leur fille fait irruption dans la chambre à coucher. Dans ce qui semble être un accès de folie, la jeune femme, âgée de 20 ans, porte un coup de couteau à sa mère, au niveau de la poitrine.
La victime a immédiatement été transportée à l’hôpital de La Source pour y être prise en charge, mais ses jours ne sont pas en danger.
La jeune femme, placée d’office au centre hospitalier spécialisé Daumezon, n’était pour l’heure, pas en état d’être entendue par les enquêteurs du commissariat d’Orléans.
Source: La Rep le 20 août 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18282&hl=
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http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18282&hl=
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immolation
L’immolée de Clichy était une employée municipale
Clichy, rue Martre.
Une femme à l’identité mystérieuse s’est immolée par le feu lundi vers 18 heures dans la cour intérieure de cette annexe de la mairie. C’est un fonctionnaire de police du commissariat tout proche qui a éteint les flammes. La femme qui est morte en s’immolant par le feu, lundi en fin de journée à Clichy, était un membre du personnel communal. L’autopsie du corps sera réalisée demain, mais selon toute vraisemblance, il s’agit de Dominique, 59 ans, qui travaillait en CDD pour le Clic (Centre local d’information et de coordination), une structure intercommunale entre les mairies de Clichy et de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), spécialisée dans l’insertion des personnes âgées.
L’employée s’est donné la mort précisément en face de son lieu de travail, dans la cour du centre administratif Gaston-Deferre, rue Martre. C’est là, sous un escalier extérieur, que les policiers sont intervenus, lundi soir peu après 18 heures, pour tenter d’éteindre les flammes. Mais il était déjà trop tard. Selon les premiers éléments de l’enquête, qui a été confiée à la Sûreté territoriale des Hauts-de-Seine, tout porte à croire qu’il s’agit bien de cette personne : la mère de famille a laissé des écrits chez elle, et au bureau, dans lesquels elle évoque explicitement sa volonté de mettre fin à ses jours. A Clichy, des agents, encore marqués par le suicide d’un collègue qui s’était pendu en janvier 2012 dans les sous-sols de l’hôtel de ville, redoutaient qu’il s’agisse d’un des leurs. Source : Le Parisien le 21 août 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18289&hl=
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Une femme à l’identité mystérieuse s’est immolée par le feu lundi vers 18 heures dans la cour intérieure de cette annexe de la mairie. C’est un fonctionnaire de police du commissariat tout proche qui a éteint les flammes. La femme qui est morte en s’immolant par le feu, lundi en fin de journée à Clichy, était un membre du personnel communal. L’autopsie du corps sera réalisée demain, mais selon toute vraisemblance, il s’agit de Dominique, 59 ans, qui travaillait en CDD pour le Clic (Centre local d’information et de coordination), une structure intercommunale entre les mairies de Clichy et de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), spécialisée dans l’insertion des personnes âgées.
L’employée s’est donné la mort précisément en face de son lieu de travail, dans la cour du centre administratif Gaston-Deferre, rue Martre. C’est là, sous un escalier extérieur, que les policiers sont intervenus, lundi soir peu après 18 heures, pour tenter d’éteindre les flammes. Mais il était déjà trop tard. Selon les premiers éléments de l’enquête, qui a été confiée à la Sûreté territoriale des Hauts-de-Seine, tout porte à croire qu’il s’agit bien de cette personne : la mère de famille a laissé des écrits chez elle, et au bureau, dans lesquels elle évoque explicitement sa volonté de mettre fin à ses jours. A Clichy, des agents, encore marqués par le suicide d’un collègue qui s’était pendu en janvier 2012 dans les sous-sols de l’hôtel de ville, redoutaient qu’il s’agisse d’un des leurs. Source : Le Parisien le 21 août 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18289&hl=
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mardi 27 août 2013
décès
Le directeur financier de Zurich Assurances retrouvé mort chez lui
Zurich Assurances annonce le décès de son directeur financier par le biais d'un communiqué. Le cadre a été retrouvé mort chez lui lundi. Le directeur financier de Zurich Insurance Group - Zurich Assurances - a été retrouvé mort lundi matin à son domicile. La police enquête sur les circonstances du décès, a indiqué le groupe, qui s'est refusé à donner davantage de précisions "par égard pour la famille". "Le conseil d'administration, la direction, ainsi que l'ensemble des collaborateurs ont exprimé leur profonde tristesse", a déclaré Martin Senn, directeur général de Zurich Assurances, cité dans le communiqué. Le cadre, âgé de 53 ans, avait rejoint Zurich Assurances en 1996, avant d'être nommé directeur financier en 2011.
http://www.rts.ch/info/regions/autres-cantons/5160350-le-directeur-financier-de-zurich-assurances-retrouve-mort-chez-lui.html
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(il s'agirait d'un suicide)
Zurich Assurances annonce le décès de son directeur financier par le biais d'un communiqué. Le cadre a été retrouvé mort chez lui lundi. Le directeur financier de Zurich Insurance Group - Zurich Assurances - a été retrouvé mort lundi matin à son domicile. La police enquête sur les circonstances du décès, a indiqué le groupe, qui s'est refusé à donner davantage de précisions "par égard pour la famille". "Le conseil d'administration, la direction, ainsi que l'ensemble des collaborateurs ont exprimé leur profonde tristesse", a déclaré Martin Senn, directeur général de Zurich Assurances, cité dans le communiqué. Le cadre, âgé de 53 ans, avait rejoint Zurich Assurances en 1996, avant d'être nommé directeur financier en 2011.
http://www.rts.ch/info/regions/autres-cantons/5160350-le-directeur-financier-de-zurich-assurances-retrouve-mort-chez-lui.html
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(il s'agirait d'un suicide)
décès
La mort d'un septuagénaire soulève l'indignation
C'est dans le plus grand anonymat qu'un septuagénaire en crise et armé d'un couteau, sur qui un agent de la police de Montréal a fait feu le 26 juillet, a rendu l'âme deux semaines plus tard, a appris La Presse.
C'était un vendredi après-midi. Robert Hénault, 70 ans, était dans son très modeste logement du 4634, rue Saint-Denis, dans le Plateau Mont-Royal, au-dessus de l'ancienne quincaillerie Rona, récemment fermée, où il a déjà travaillé avant sa retraite. Son chien, un berger allemand, était avec lui. Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a été alerté, car l'homme avait un comportement qui faisait craindre à son entourage qu'il mette fin à ses jours.
Arrivés sur les lieux, les policiers ont sonné à la porte. Aucune réponse. Ils sont entrés dans le magasin de meubles récemment ouvert dans le local de l'ancien Rona par les nouveaux propriétaires de l'immeuble. «C'est pour son bien qu'on veut entrer», auraient-ils dit au jeune homme, qui leur a ouvert la porte. Ils se seraient alors retrouvés face à Robert Hénault, en crise, hostile à leur présence. Il aurait même poignardé son propre chien. La suite de l'histoire est la partie manquante du récit. Les policiers affirment qu'ils se sont sentis menacés - on ne sait de quelle façon, mais l'un d'eux a fait feu. M. Hénault aurait reçu la balle dans la région de l'aine. Il a été transporté à l'hôpital où, initialement, on disait ne pas craindre pour sa vie. Comme chaque fois qu'une personne est blessée au cours d'une intervention policière, un autre corps policier a été chargé de l'enquête - la Sûreté du Québec (SQ) dans ce cas-ci. Personne n'a reparlé de l'histoire. Mais le 8 août, à l'Hôpital général de Montréal, dont il n'était jamais ressorti, son état s'est détérioré et il est mort. Bien connu dans le secteur La SQ se fait avare de détails sur cette affaire, comme c'est généralement le cas au cours de ce type d'enquête. Difficile de savoir ce qui a causé la détresse de M. Hénault ou ce qu'il a fait pour mériter une balle. (.....)
http://www.lapresse.ca/actualites/justice-et-affaires-criminelles/faits-divers/201308/27/01-4683532-la-mort-dun-septuagenaire-souleve-lindignation.php
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C'est dans le plus grand anonymat qu'un septuagénaire en crise et armé d'un couteau, sur qui un agent de la police de Montréal a fait feu le 26 juillet, a rendu l'âme deux semaines plus tard, a appris La Presse.
C'était un vendredi après-midi. Robert Hénault, 70 ans, était dans son très modeste logement du 4634, rue Saint-Denis, dans le Plateau Mont-Royal, au-dessus de l'ancienne quincaillerie Rona, récemment fermée, où il a déjà travaillé avant sa retraite. Son chien, un berger allemand, était avec lui. Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a été alerté, car l'homme avait un comportement qui faisait craindre à son entourage qu'il mette fin à ses jours.
Arrivés sur les lieux, les policiers ont sonné à la porte. Aucune réponse. Ils sont entrés dans le magasin de meubles récemment ouvert dans le local de l'ancien Rona par les nouveaux propriétaires de l'immeuble. «C'est pour son bien qu'on veut entrer», auraient-ils dit au jeune homme, qui leur a ouvert la porte. Ils se seraient alors retrouvés face à Robert Hénault, en crise, hostile à leur présence. Il aurait même poignardé son propre chien. La suite de l'histoire est la partie manquante du récit. Les policiers affirment qu'ils se sont sentis menacés - on ne sait de quelle façon, mais l'un d'eux a fait feu. M. Hénault aurait reçu la balle dans la région de l'aine. Il a été transporté à l'hôpital où, initialement, on disait ne pas craindre pour sa vie. Comme chaque fois qu'une personne est blessée au cours d'une intervention policière, un autre corps policier a été chargé de l'enquête - la Sûreté du Québec (SQ) dans ce cas-ci. Personne n'a reparlé de l'histoire. Mais le 8 août, à l'Hôpital général de Montréal, dont il n'était jamais ressorti, son état s'est détérioré et il est mort. Bien connu dans le secteur La SQ se fait avare de détails sur cette affaire, comme c'est généralement le cas au cours de ce type d'enquête. Difficile de savoir ce qui a causé la détresse de M. Hénault ou ce qu'il a fait pour mériter une balle. (.....)
http://www.lapresse.ca/actualites/justice-et-affaires-criminelles/faits-divers/201308/27/01-4683532-la-mort-dun-septuagenaire-souleve-lindignation.php
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désespoir
Un drame du désespoir
Un homme s’est défenestré hier midi du 5e étage d’une résidence à St-Charles.
Terrible drame, hier en fin de matinée, dans le quartier Saint-Charles de Biarritz. Sur le coup de midi, un homme s’est jeté du cinquième étage d’une résidence située rue Raoul Follereau à deux pas du square Ferdinand Hirigoyen. Les secours arrivés rapidement sur les lieux, n’ont hélas rien pu faire. Le malheureux est décédé sur le coup. La police nationale a été dépêchée sur les lieux afin de déterminer les causes de ce drame qui a provoqué beaucoup d’émotion dans cet îlot commercial de Biarritz, situé au sein d’un quartier résidentiel particulièrement paisible. L’enquête s’oriente vers un suicide. La victime était âgée de 71 ans. Elle était atteinte d’un cancer en phase terminale et aurait souhaité ainsi abréger ses souffrances.
http://www.sudouest.fr/2013/08/27/un-drame-du-desespoir-1151201-4037.php
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Terrible drame, hier en fin de matinée, dans le quartier Saint-Charles de Biarritz. Sur le coup de midi, un homme s’est jeté du cinquième étage d’une résidence située rue Raoul Follereau à deux pas du square Ferdinand Hirigoyen. Les secours arrivés rapidement sur les lieux, n’ont hélas rien pu faire. Le malheureux est décédé sur le coup. La police nationale a été dépêchée sur les lieux afin de déterminer les causes de ce drame qui a provoqué beaucoup d’émotion dans cet îlot commercial de Biarritz, situé au sein d’un quartier résidentiel particulièrement paisible. L’enquête s’oriente vers un suicide. La victime était âgée de 71 ans. Elle était atteinte d’un cancer en phase terminale et aurait souhaité ainsi abréger ses souffrances.
http://www.sudouest.fr/2013/08/27/un-drame-du-desespoir-1151201-4037.php
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tentative de suicide
Trappes. La jeune fille qui avait porté plainte pour agression islamophobe s’est défenestrée
La jeune fille de 16 ans qui avait porté plainte, le 13 août dernier, disant avoir été victime, à Trappes (Yvelines), d’une agression islamophobe, alors qu’elle était voilée, s’est grièvement blessée, lundi soir, en se défenestrant. Le drame est survenu peu avant 19 h. L’adolescente s’est jetée du 4e étage de son immeuble.
Deux tentatives de suicide La jeune fille, dont l’état est qualifié de « préoccupant », a d’abord été admise à l’hôpital Percy à Clamart, avant d’être transférée à l’hôpital parisien Georges Pompidou. Elle avait déjà tenté de mettre fin à ses jours, en absorbant des médicaments il y a trois jours, le 23 août, a-t-on appris de source policière. Les raisons de ces deux tentatives de suicide n’étaient pas précisées lundi soir. (...)
http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Trappes.-La-jeune-fille-qui-avait-porte-plainte-pour-agression-islamophobe-s-est-defenestree_39382-2223224_actu.Htm
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situation le jour de l'agression et le jour des tentatives de suicide ? (13 août est un mardi, défenestration lundi soir = mardi du point de vue des rythmes)
apparemment on l'aurait suspectée de mentir... mais comment savoir... la mythomanie existe et est apparemment assez fréquente... un repère éventuel : le jour critique émotionnel... mais seulement éventuel indice aussi ... et pas certitude...
http://www.saphirnews.com/Tentative-de-suicide-a-Trappes-la-police-est-elle-responsable_a17441.html
La jeune fille de 16 ans qui avait porté plainte, le 13 août dernier, disant avoir été victime, à Trappes (Yvelines), d’une agression islamophobe, alors qu’elle était voilée, s’est grièvement blessée, lundi soir, en se défenestrant. Le drame est survenu peu avant 19 h. L’adolescente s’est jetée du 4e étage de son immeuble.
Deux tentatives de suicide La jeune fille, dont l’état est qualifié de « préoccupant », a d’abord été admise à l’hôpital Percy à Clamart, avant d’être transférée à l’hôpital parisien Georges Pompidou. Elle avait déjà tenté de mettre fin à ses jours, en absorbant des médicaments il y a trois jours, le 23 août, a-t-on appris de source policière. Les raisons de ces deux tentatives de suicide n’étaient pas précisées lundi soir. (...)
http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Trappes.-La-jeune-fille-qui-avait-porte-plainte-pour-agression-islamophobe-s-est-defenestree_39382-2223224_actu.Htm
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situation le jour de l'agression et le jour des tentatives de suicide ? (13 août est un mardi, défenestration lundi soir = mardi du point de vue des rythmes)
apparemment on l'aurait suspectée de mentir... mais comment savoir... la mythomanie existe et est apparemment assez fréquente... un repère éventuel : le jour critique émotionnel... mais seulement éventuel indice aussi ... et pas certitude...
http://www.saphirnews.com/Tentative-de-suicide-a-Trappes-la-police-est-elle-responsable_a17441.html
lundi 26 août 2013
forcené
Un forcené armé d'un couteau a tué quatre personnes et en a blessé 11 autres lundi dans une ville du sud-ouest de la Chine.
Les responsables de la ville de Chengdu ont expliqué que le suspect de 41 ans a attaqué les autres passagers à bord d'un autobus dimanche soir, avant de s'en prendre à des passants. Il a ensuite été blessé par les balles de la police.
Des photos montrent des victimes gisant au sol dans des mares de sang.
L'homme aurait raconté aux policiers s'être querellé avec des membres de sa famille.
http://www.985fm.ca/international/nouvelles/chine-un-homme-tue-quatre-personnes-a-coups-de-co-261574.html
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http://www.985fm.ca/international/nouvelles/chine-un-homme-tue-quatre-personnes-a-coups-de-co-261574.html
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drame conjugal
Une femme avoue avoir tué son homme à Jette
Le drame s’est joué dimanche au sein du domicile d'un couple ayant quatre enfants. La victime aurait été empoisonnée, étouffée et achevée à coup(s) de couteau...
Second drame familial en un week-end pour les policiers de la zone Bruxelles-Ouest. Mireille, 45 ans, aurait assassiné son compagnon de 55 ans au sein de leur appartement du Foyer Jettois situé avenue Guillaume De Greef. Le couple avait quatre enfants âgés de 14 à 25 ans. "Cette femme déclare avoir tué son mari" ,(...)
Selon nos infos, Mireille a expliqué qu'elle en aurait eu marre que son compagnon la batte et elle a au passage précisé qu'elle n'aurait pas réussi à perpétrer son meurtre du premier coup. Elle aurait en effet d’abord tenté sans succès d’empoisonner son mari. Ensuite, elle aurait alors essayé de l'étouffer avant de finalement l'achever à coup(s) de couteau et de l'emballer dans un sac en plastique.
"Vous n'allez tout de même pas me mettre en prison pour ça" , se serait-elle exclamée au sortir de son appartement lorsque les policiers lui ont passé les menottes. "La dame a été entendue par le juge d'instruction qui l'a placée sous mandat d'arrêt vu la gravité des faits", indique Anja Bijnens, porte-parole du parquet de Bruxelles. "Il semble qu'elle était victime depuis quelques temps de violences intrafamiliales et que ce sont ces circonstances qui ont mené au drame." Source : La Dernière Heure le 26 août 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18274&hl=
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les "violences intra-familiales" ont fréquemment un lien avec une situation en période critique septennale (ici probablement l'entrée dans celle des 56 ans de la victime) ou/et du jour critique émotionnel (serait à vérifier) de l'auteur ou de la victime...
Le drame s’est joué dimanche au sein du domicile d'un couple ayant quatre enfants. La victime aurait été empoisonnée, étouffée et achevée à coup(s) de couteau...
Second drame familial en un week-end pour les policiers de la zone Bruxelles-Ouest. Mireille, 45 ans, aurait assassiné son compagnon de 55 ans au sein de leur appartement du Foyer Jettois situé avenue Guillaume De Greef. Le couple avait quatre enfants âgés de 14 à 25 ans. "Cette femme déclare avoir tué son mari" ,(...)
Selon nos infos, Mireille a expliqué qu'elle en aurait eu marre que son compagnon la batte et elle a au passage précisé qu'elle n'aurait pas réussi à perpétrer son meurtre du premier coup. Elle aurait en effet d’abord tenté sans succès d’empoisonner son mari. Ensuite, elle aurait alors essayé de l'étouffer avant de finalement l'achever à coup(s) de couteau et de l'emballer dans un sac en plastique.
"Vous n'allez tout de même pas me mettre en prison pour ça" , se serait-elle exclamée au sortir de son appartement lorsque les policiers lui ont passé les menottes. "La dame a été entendue par le juge d'instruction qui l'a placée sous mandat d'arrêt vu la gravité des faits", indique Anja Bijnens, porte-parole du parquet de Bruxelles. "Il semble qu'elle était victime depuis quelques temps de violences intrafamiliales et que ce sont ces circonstances qui ont mené au drame." Source : La Dernière Heure le 26 août 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18274&hl=
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les "violences intra-familiales" ont fréquemment un lien avec une situation en période critique septennale (ici probablement l'entrée dans celle des 56 ans de la victime) ou/et du jour critique émotionnel (serait à vérifier) de l'auteur ou de la victime...
suicide
Haute-Loire: suicide d'une employée de la Poste sur son lieu de travail
Une postière de 47 ans s'est suicidée au centre de distribution du courrier de Langeac en Haute-Loire jeudi 22 août. C'est la CGT FAPT qui l'a annoncé ce lundi, confirmant une information du Progrès. "Marie-Hélène semble s'être épuisée, physiquement et psychiquement au travail", estime le syndicat CGT FAPT de Haute-Loire dans un communiqué. Pour la CGT "les éléments dont nous avons connaissance posent clairement la question de la charge et de l'organisation du travail qui mettent les salariés dans une situation d'échec et de désespoir". En savoir plus sur
http://lexpansion.lexpress.fr/entreprise/haute-loire-suicide-d-une-employee-de-la-poste-sur-son-lieu-de-travail_399456.html
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Une postière de 47 ans s'est suicidée au centre de distribution du courrier de Langeac en Haute-Loire jeudi 22 août. C'est la CGT FAPT qui l'a annoncé ce lundi, confirmant une information du Progrès. "Marie-Hélène semble s'être épuisée, physiquement et psychiquement au travail", estime le syndicat CGT FAPT de Haute-Loire dans un communiqué. Pour la CGT "les éléments dont nous avons connaissance posent clairement la question de la charge et de l'organisation du travail qui mettent les salariés dans une situation d'échec et de désespoir". En savoir plus sur
http://lexpansion.lexpress.fr/entreprise/haute-loire-suicide-d-une-employee-de-la-poste-sur-son-lieu-de-travail_399456.html
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disparues de Perpignan
Disparues de Perpignan : l'ADN de la fille découvert dans un congélateur
L'ADN d'Allison Benitez a été découvert dans un congélateur appartenant à Francisco Benitez. Le père de famille s'est donné la mort le 5 août dernier, trois semaines après la disparition d'Allison et Marie-Josée Benitez. C'est une trace d'ADN appartenant à Allison Benitez, disparues à Perpignan avec sa mère le 14 juillet dernier, qui a été découvert dans un congélateur. Celui-ci, installé au domicile familial, a été vidé de son contenu après la disparition des deux femmes.. Ce congélateur avait été méticuleusement nettoyé par Francisco Benitez, le père de famille, après la disparition des deux femmes. L'homme, ancien légionnaire et considéré comme le principal suspect dans cette affaire, s'est donné la mort le 5 août dernier.
http://www.franceinfo.fr/faits-divers/disparues-de-perpignan-des-traces-d-adn-decouvertes-dans-un-congelateur-1120935-2013-08-26
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Comme Allison et Marie-Josée, Simone a disparu du jour au lendemain, le soir du 29 novembre 2004 à Nîmes. Comme elles, elle n'avait aucune raison apparente de le faire et de laisser tomber ses quatre enfants selon ses proches. Comme elles, l'un des derniers signes de vie qu'elle ait donnés est un texto annonçant son départ.
http://languedoc-roussillon.france3.fr/2013/08/08/la-soeur-de-simone-de-oliveira-alves-disparue-nimes-en-2004-temoigne-de-ses-soupcons-299937.html
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trois dates à observer :
29 novembre 2004 (lundi soir)(disparition de Simone)
14 juillet 2013 (dimanche soir)(disparition d'Allison et Marie Josée)
5 août 2013 (lundi soir)(suicide de Francisco Benitez)
je ne connais pas la date de naissance de Francisco Benitez, mais elle permettrait de voir s'il existe un lien entre les jours des différents drames... et son jour critique émotionnel...
le jour critique émotionnel est en effet le jour hebdomadaire de pulsions lors duquel ont tendance à arriver - donc toujours le même jour de la semaine, ou le jour à coté (ce qui est le cas ici)... les passages à l'acte successifs lorsqu'il y a récidive de comportements ou d'actes dramatiques.
il peut cependant aussi y avoir coïncidence...
pour qu'il y ait un lien avec le jour critique émotionnel il faudrait que Benitez soit un natif du dimanche ou du lundi : cela contribuerait alors à renforcer les soupçons qui pèsent sur lui...
2004 semble aussi être le moment de l'entrée dans la période critique septennale des 42 ans de Francisco Benitez.
L'ADN d'Allison Benitez a été découvert dans un congélateur appartenant à Francisco Benitez. Le père de famille s'est donné la mort le 5 août dernier, trois semaines après la disparition d'Allison et Marie-Josée Benitez. C'est une trace d'ADN appartenant à Allison Benitez, disparues à Perpignan avec sa mère le 14 juillet dernier, qui a été découvert dans un congélateur. Celui-ci, installé au domicile familial, a été vidé de son contenu après la disparition des deux femmes.. Ce congélateur avait été méticuleusement nettoyé par Francisco Benitez, le père de famille, après la disparition des deux femmes. L'homme, ancien légionnaire et considéré comme le principal suspect dans cette affaire, s'est donné la mort le 5 août dernier.
http://www.franceinfo.fr/faits-divers/disparues-de-perpignan-des-traces-d-adn-decouvertes-dans-un-congelateur-1120935-2013-08-26
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Comme Allison et Marie-Josée, Simone a disparu du jour au lendemain, le soir du 29 novembre 2004 à Nîmes. Comme elles, elle n'avait aucune raison apparente de le faire et de laisser tomber ses quatre enfants selon ses proches. Comme elles, l'un des derniers signes de vie qu'elle ait donnés est un texto annonçant son départ.
http://languedoc-roussillon.france3.fr/2013/08/08/la-soeur-de-simone-de-oliveira-alves-disparue-nimes-en-2004-temoigne-de-ses-soupcons-299937.html
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trois dates à observer :
29 novembre 2004 (lundi soir)(disparition de Simone)
14 juillet 2013 (dimanche soir)(disparition d'Allison et Marie Josée)
5 août 2013 (lundi soir)(suicide de Francisco Benitez)
je ne connais pas la date de naissance de Francisco Benitez, mais elle permettrait de voir s'il existe un lien entre les jours des différents drames... et son jour critique émotionnel...
le jour critique émotionnel est en effet le jour hebdomadaire de pulsions lors duquel ont tendance à arriver - donc toujours le même jour de la semaine, ou le jour à coté (ce qui est le cas ici)... les passages à l'acte successifs lorsqu'il y a récidive de comportements ou d'actes dramatiques.
il peut cependant aussi y avoir coïncidence...
pour qu'il y ait un lien avec le jour critique émotionnel il faudrait que Benitez soit un natif du dimanche ou du lundi : cela contribuerait alors à renforcer les soupçons qui pèsent sur lui...
2004 semble aussi être le moment de l'entrée dans la période critique septennale des 42 ans de Francisco Benitez.
suicide
Ils voulaient mourir à deux, mais c'est elle qui est partie. Un couple d'octogénaire qui voulait se suicider a précipité sa voiture lundi matin, vers 9h30, dans le canal de l'Ourcq, à hauteur de Pavillons-sous-Bois. La femme de 84 ans est décédée mais son compagnon, âgé de 80 ans, a été récupéré sain et sauf, selon une source préfectorale.
Une lettre annonçant leur intention de se suicider, adressée à la femme de ménage du couple, a été retrouvée. Originaires de la commune du Raincy, les octogénaires ont tenté de se suicider à quelques kilomètres de leur domicile.
(...)
http://www.metronews.fr/paris/un-couple-d-octogenaires-plonge-dans-le-canal-de-l-ourcq-la-femme-decede/mmhz!54ZWBLbHvvkY/
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(l'épouse se trouve dans sa période critique septennale)
http://www.metronews.fr/paris/un-couple-d-octogenaires-plonge-dans-le-canal-de-l-ourcq-la-femme-decede/mmhz!54ZWBLbHvvkY/
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(l'épouse se trouve dans sa période critique septennale)
fakir
Jacques Deman alias le fakir Seuqcaj Named est décédé à l'âge de 55 ans des suites d'une grave infection pulmonaire dans un hôpital de Saint-Quentin.
Originaire de Belgique, Seuqcaj était un célèbre fakir qui avait participé à la toute première saison de Belgium's Got Talent. Vous aviez d'ailleurs pu l'apercevoir sur la scène du Wolubilis à Bruxelles en juillet 2012. Toutes nos condoléances !
http://www.rtl.be/people/primetime/belgiumgottalent/757393/bgt-le-fakir-seuqcaj-est-decede
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http://www.rtl.be/people/primetime/belgiumgottalent/757393/bgt-le-fakir-seuqcaj-est-decede
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drame
Un homme se suicide en pleine rue après avoir tiré sur sa femme à Colombes
Touchée de deux balles de calibre 7.65 ce lundi matin à Colombes (Hauts-de-Seine), une femme de 42 ans se trouve actuellement entre la vie et la mort. C’est son compagnon qui aurait tenté de la tuer dans ou devant l’appartement conjugal, situé rue d’Estienne-d’Orves. La voisine du couple a découvert la victime sur le palier du logement vers 7 heures 45. Tandis que cette dernière était évacuée vers l’hôpital Foch, à Suresnes, celui que la police soupçonne d’être le tireur, un homme de 52 ans, s’est donné la mort place de l’Eglise, toujours à Colombes. Mardi dernier, la police était déjà intervenue dans le cadre d’un «différend conjugal» ayant opposé le couple." Un article de V.M. Source : LE PARISIEN.FR (26 août 2013)
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=42287
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Touchée de deux balles de calibre 7.65 ce lundi matin à Colombes (Hauts-de-Seine), une femme de 42 ans se trouve actuellement entre la vie et la mort. C’est son compagnon qui aurait tenté de la tuer dans ou devant l’appartement conjugal, situé rue d’Estienne-d’Orves. La voisine du couple a découvert la victime sur le palier du logement vers 7 heures 45. Tandis que cette dernière était évacuée vers l’hôpital Foch, à Suresnes, celui que la police soupçonne d’être le tireur, un homme de 52 ans, s’est donné la mort place de l’Eglise, toujours à Colombes. Mardi dernier, la police était déjà intervenue dans le cadre d’un «différend conjugal» ayant opposé le couple." Un article de V.M. Source : LE PARISIEN.FR (26 août 2013)
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=42287
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drame familial
Tödliches Familiendrama in Rodenbach
In Rodenbach im Main-Kinzig-Kreis ist heute früh bei einem Familiendrama ein 95jähriger Mann getötet worden. Vermutlich wurde er von seiner Frau oder seinem Sohn erschlagen. Die Familie lebt zusammen in einem Haus in Rodenbach. Der 95jährige, seine 85jährige Frau und der etwa 55 Jahre alte Sohn leben dort völlig zurückgezogen - haben keine Kontakte zu den Nachbarn. Heute früh um kurz nach zwei Uhr alarmieren Mutter und Sohn die Polizei. Die findet den Rentner tot in der Wohnung. Nach ersten Informationen starb der 95jährige durch stumpfe Gewalt. Sowohl Mutter und Sohn werden derzeit von den Fahndern verhört. Die Hintergründe des Familiendramas sind noch völlig unklar.
http://www.ffh.de/news-service/ffh-nachrichten/nController/News/nAction/show/nCategory/rheinmain/nId/32351/nItem/toedliches-familiendrama-in-rodenbach.html
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un drame familial lors duquel le père, âgé de 95 ans, semble avoir été tué par son épouse et son fils (resp. 85 et 55 ans). l'enquête est en cours et les deux personnes sont questionnées.
In Rodenbach im Main-Kinzig-Kreis ist heute früh bei einem Familiendrama ein 95jähriger Mann getötet worden. Vermutlich wurde er von seiner Frau oder seinem Sohn erschlagen. Die Familie lebt zusammen in einem Haus in Rodenbach. Der 95jährige, seine 85jährige Frau und der etwa 55 Jahre alte Sohn leben dort völlig zurückgezogen - haben keine Kontakte zu den Nachbarn. Heute früh um kurz nach zwei Uhr alarmieren Mutter und Sohn die Polizei. Die findet den Rentner tot in der Wohnung. Nach ersten Informationen starb der 95jährige durch stumpfe Gewalt. Sowohl Mutter und Sohn werden derzeit von den Fahndern verhört. Die Hintergründe des Familiendramas sind noch völlig unklar.
http://www.ffh.de/news-service/ffh-nachrichten/nController/News/nAction/show/nCategory/rheinmain/nId/32351/nItem/toedliches-familiendrama-in-rodenbach.html
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un drame familial lors duquel le père, âgé de 95 ans, semble avoir été tué par son épouse et son fils (resp. 85 et 55 ans). l'enquête est en cours et les deux personnes sont questionnées.
drame
Drame de Revin : l'homme "semblait encore assez alerte"
REVIN (08). Un couple d'octogénaires a été retrouvé ce dimanche après-midi gisant au sol dans une maison de Revin. Selon les premières constatations, l'homme aurait tiré sur sa femme avant de retourner l'arme contre lui. (...)
Un couple discret Selon les premières constatations de la gendarmerie, l'homme aurait utilisé une arme à feu pour tirer sur son épouse puis aurait ensuite retourné l'arme contre lui pour mettre fin à ses jours. La femme a été héliportée au CHU de Reims, dans un état grave. L'homme, en revanche, est mort sur le coup. Un couple discret Des membres de la famille qui occupent l'appartement d'à côté, choqués, ont refusé de s'exprimer. Dans les maisons avoisinantes de ce quartier paisible, on a, semble-t-il, rien perçu de suspect. « C'était l'anniversaire de mon fils, on n'a rien entendu de particulier », témoigne une voisine installée à Revin depuis quelques mois. « Quant à ces personnes âgées, il m'est seulement arrivé de voir parfois le monsieur se balader dans son jardin, mais c'est tout ». Une autre voisine qui revenait de week-end, se rappelait « avoir croisé le monsieur qui semblait encore assez alerte ». Il semble que le couple se signalait surtout par sa discrétion. Pour autant, les motifs de cet acte, demeurent, pour l'heure, inconnus. (...)
http://www.lunion.presse.fr/accueil/drame-de-revin-l-homme-semblait-encore-assez-alerte-ia0b0n185115
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édit 29/08 :
Homicide et suicide à Revin : l'épouse de 87 ans n'a pas survécu
Alzira Teixeira, la femme de 87 ans sur laquelle son mari a tiré dimanche avant de se suicider, est décédée hier matin, a-t-on appris de source judiciaire. Elle avait été admise dimanche soir à l'hôpital de Reims (nos éditions de lundi et mardi). Dimanche après-midi, allée du 8-mai-1945, son mari Arthur Teixeira, 87 ans, lui avait tiré dessus avec un pistolet 8 mm, avant de retourner l'arme contre lui. Il était mort sur le coup, mais pas elle. Le corps d'Arthur Teixeira a subi une autopsie hier, qui a permis de confirmer la thèse du suicide. Le corps de son épouse sera autopsié dans les tout prochains jours.
http://www.lunion.presse.fr/region/homicide-et-suicide-a-revin-l-epouse-de-87-ans-n-a-pas-jna3b25n186796
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REVIN (08). Un couple d'octogénaires a été retrouvé ce dimanche après-midi gisant au sol dans une maison de Revin. Selon les premières constatations, l'homme aurait tiré sur sa femme avant de retourner l'arme contre lui. (...)
Un couple discret Selon les premières constatations de la gendarmerie, l'homme aurait utilisé une arme à feu pour tirer sur son épouse puis aurait ensuite retourné l'arme contre lui pour mettre fin à ses jours. La femme a été héliportée au CHU de Reims, dans un état grave. L'homme, en revanche, est mort sur le coup. Un couple discret Des membres de la famille qui occupent l'appartement d'à côté, choqués, ont refusé de s'exprimer. Dans les maisons avoisinantes de ce quartier paisible, on a, semble-t-il, rien perçu de suspect. « C'était l'anniversaire de mon fils, on n'a rien entendu de particulier », témoigne une voisine installée à Revin depuis quelques mois. « Quant à ces personnes âgées, il m'est seulement arrivé de voir parfois le monsieur se balader dans son jardin, mais c'est tout ». Une autre voisine qui revenait de week-end, se rappelait « avoir croisé le monsieur qui semblait encore assez alerte ». Il semble que le couple se signalait surtout par sa discrétion. Pour autant, les motifs de cet acte, demeurent, pour l'heure, inconnus. (...)
http://www.lunion.presse.fr/accueil/drame-de-revin-l-homme-semblait-encore-assez-alerte-ia0b0n185115
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édit 29/08 :
Homicide et suicide à Revin : l'épouse de 87 ans n'a pas survécu
Alzira Teixeira, la femme de 87 ans sur laquelle son mari a tiré dimanche avant de se suicider, est décédée hier matin, a-t-on appris de source judiciaire. Elle avait été admise dimanche soir à l'hôpital de Reims (nos éditions de lundi et mardi). Dimanche après-midi, allée du 8-mai-1945, son mari Arthur Teixeira, 87 ans, lui avait tiré dessus avec un pistolet 8 mm, avant de retourner l'arme contre lui. Il était mort sur le coup, mais pas elle. Le corps d'Arthur Teixeira a subi une autopsie hier, qui a permis de confirmer la thèse du suicide. Le corps de son épouse sera autopsié dans les tout prochains jours.
http://www.lunion.presse.fr/region/homicide-et-suicide-a-revin-l-epouse-de-87-ans-n-a-pas-jna3b25n186796
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avc
Dominique Warluzel obtient sa licence en droit de l'Université de Genève en 1980 et obtient son brevet d'avocat en 1983.
De 1983 à 1989, il est collaborateur en l'étude Poncet, Turrettini, Amaudruz & Neyroud. En 1984, il défend le ravisseur de la fille de Frédéric Dard. Il devient associé en 1989.
(...).
Le 2 janvier 2013, Dominique Warluzel est victime d'une attaque vasculaire cérébrale (AVC) à Nassau aux Bahamas d'où il gère une partie de ses affaires. Il est opéré en urgence et subit une trépanation. Le 7 juillet 2013, lors de l'émission de la RTS « Pardonnez-moi », interviewé par le journaliste Darius Rochebin, il apparaît handicapé, victime d'une hémiplégie latérale gauche. Au cours de cet entretien émouvant, il reconnaît que sa pugnacité dans sa vie professionnelle constitue l'un des facteurs qui a pu déclencher cet AVC3.
(Wikipédia)
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en cherchant l'identité (pas trouvée) du ravisseur de Joséphine Dard je suis tombé sur la page Wikipédia de son défenseur, Dominique Warluzel. (né 29 mai 1957) il y est mentionné que ce dernier a fait un AVC début de l'année. (son jour critique émotionnel E8 et donc au moment de l'entrée dans sa période critique septennale des 56 ans).
(Wikipédia)
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en cherchant l'identité (pas trouvée) du ravisseur de Joséphine Dard je suis tombé sur la page Wikipédia de son défenseur, Dominique Warluzel. (né 29 mai 1957) il y est mentionné que ce dernier a fait un AVC début de l'année. (son jour critique émotionnel E8 et donc au moment de l'entrée dans sa période critique septennale des 56 ans).
drame familial
Deux fillettes âgées de deux et cinq ans, enlevées par leur père, ont été retrouvées mortes dimanche dans une voiture calcinée à Grabs, dans l'est de la Suisse, a annoncé la police, qui soupçonne ce dernier d'avoir tué ses enfants. Le père, un Suisse de 44 ans, a été retrouvé, grièvement brûlé, à une centaine de mètres de sa voiture, et a succombé peu après à ses blessures.
Selon la police du canton de Saint-Gall, il est soupçonné d'avoir tué ses deux enfants. Dimanche après-midi, la mère des deux fillettes avait appelé la police pour les avertir que son ex-compagnon, dont elle vivait séparée, avait enlevé les deux fillettes, qui se trouvaient chez un parent. Une opération de recherche avait immédiatement été lancée.
Une demi-heure plus tard, la police a été informée qu'une voiture avait pris feu dans une clairière près de Grabs, à deux pas de la frontière avec le Liechtenstein. Les pompiers et la police se sont aussitôt rendus sur place où ils ont découvert le véhicule, puis les cadavres carbonisés des deux enfants.
Vingt minutes plus tard, la police a reçu un autre appel les informant qu'un homme grièvement blessé avait été découvert à proximité. Entre-temps, il était devenu clair que l'homme en question était le père des enfants, a expliqué la police. Héliporté vers une clinique spécialisée, il a succombé à ses blessures dans la soirée.
Le ministère public du canton de Saint-Gall a ouvert une enquête. La mère des deux enfants a été prise en charge par une cellule de soutien psychologique.
http://www.bfmtv.com/international/drame-familial-suisse-mort-deux-fillettes-pere-soupconne-588402.html
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http://www.bfmtv.com/international/drame-familial-suisse-mort-deux-fillettes-pere-soupconne-588402.html
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drame familial
Drame familial à Koekelberg: le fils craignait le pire
Un sexagénaire s'est donné la mort à Koekelberg juste après avoir vraisemblablement tiré sur sa compagne. Le fils a fait la macabre découverte.
Le parquet de Bruxelles a ouvert une enquête sur un possible drame familial survenu samedi après-midi à Koekelberg. Un homme de 69 ans a vraisemblablement tiré sur sa compagne de 49 ans avant de se donner la mort. Les deux victimes ont été trouvées par la police après que le fils du sexagénaire a donné l'alerte, a indiqué dimanche le parquet de Bruxelles.
Le fils a sollicité une voisine Le fils du sexagénaire, âgé de 40 ans, a averti la police samedi soir car il essayait en vain de joindre son père depuis l'après-midi. Il avait également demandé à une voisine de son père d'aller jeter un coup d'oeil au domicile de ce dernier. La voisine était entrée dans l'habitation et avait fait le tour du rez-de-chaussée mais sans rien remarquer. Comme son père et sa partenaire étaient dépressifs depuis un certain temps déjà, le fils craignait le pire, d'où son appel à la police. Autopsie à venir Lorsque les policiers ont pénétré dans l'habitation située rue Emile Deroover, ils ont trouvé les deux corps sans vie dans le lit. Le sexagénaire avait une arme à feu à la main, avec laquelle il a vraisemblablement tué sa partenaire avant de se tirer une balle dans la tête. Le parquet de Bruxelles s'est rendu samedi soir sur place avec un médecin légiste, le laboratoire judiciaire et un expert en balistique. Il a ouvert une enquête judiciaire dimanche
http://www.rtl.be/info/belgique/faitsdivers/1027360/drame-familial-a-koekelberg-le-fils-craignait-le-pire
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périodes critiques d'où probablement dépressions septennales communes, et l'escalade fatale...
Un sexagénaire s'est donné la mort à Koekelberg juste après avoir vraisemblablement tiré sur sa compagne. Le fils a fait la macabre découverte.
Le parquet de Bruxelles a ouvert une enquête sur un possible drame familial survenu samedi après-midi à Koekelberg. Un homme de 69 ans a vraisemblablement tiré sur sa compagne de 49 ans avant de se donner la mort. Les deux victimes ont été trouvées par la police après que le fils du sexagénaire a donné l'alerte, a indiqué dimanche le parquet de Bruxelles.
Le fils a sollicité une voisine Le fils du sexagénaire, âgé de 40 ans, a averti la police samedi soir car il essayait en vain de joindre son père depuis l'après-midi. Il avait également demandé à une voisine de son père d'aller jeter un coup d'oeil au domicile de ce dernier. La voisine était entrée dans l'habitation et avait fait le tour du rez-de-chaussée mais sans rien remarquer. Comme son père et sa partenaire étaient dépressifs depuis un certain temps déjà, le fils craignait le pire, d'où son appel à la police. Autopsie à venir Lorsque les policiers ont pénétré dans l'habitation située rue Emile Deroover, ils ont trouvé les deux corps sans vie dans le lit. Le sexagénaire avait une arme à feu à la main, avec laquelle il a vraisemblablement tué sa partenaire avant de se tirer une balle dans la tête. Le parquet de Bruxelles s'est rendu samedi soir sur place avec un médecin légiste, le laboratoire judiciaire et un expert en balistique. Il a ouvert une enquête judiciaire dimanche
http://www.rtl.be/info/belgique/faitsdivers/1027360/drame-familial-a-koekelberg-le-fils-craignait-le-pire
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périodes critiques d'où probablement dépressions septennales communes, et l'escalade fatale...
dimanche 25 août 2013
drame de la séparation
Un drame de la séparation s’est peut-être déroulé à Bagnols-sur-Cèze ce samedi soir après 19 heures. Un homme aurait mortellement blessé son épouse à l'arme à feu avant de s'enfuir.
Le drame s'est produit en début de soirée avenue Léon Blum à Bagnols-sur-Cèze (lors d'une dispute ?) entre un artisan-tapissier-décorateur et son épouse. Le couple est en instance de divorce.
Selon nos informations, l'homme est suspecté d'avoir tué sa femme à l'arme à feu. L’alerte à la police a été donnée par un proche contacté par le mari lui-même. Celui-ci lui aurait révélé le meurtre et fait part de son intention de se suicider. (.....)
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Bagnols : suspecté d'avoir tué sa femme, il est retrouvé les veines tailladées Le suspect principal de l'homicide de Bagnols gisait sur les bords d'une route. Aux alentours de midi, les gendarmes de Valence ont retrouvé le meurtrier présumé de la bagnolaise abattue à son domicile samedi 24 août au soir, vers 19 heures. L'homme gisait sur la route à proximité de sa moto après s'être coupé les veines. Dans un état grave, le témoin principal de ce drame qui semble passionnel, a été héliporté à l'hôpital de Montélimar. Source : Midi Libre le 25 août 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18267&hl=
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(la victime aurait 43 ans - pas de donnée trouvée concernant l'époux pour l'instant)
Selon nos informations, l'homme est suspecté d'avoir tué sa femme à l'arme à feu. L’alerte à la police a été donnée par un proche contacté par le mari lui-même. Celui-ci lui aurait révélé le meurtre et fait part de son intention de se suicider. (.....)
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Bagnols : suspecté d'avoir tué sa femme, il est retrouvé les veines tailladées Le suspect principal de l'homicide de Bagnols gisait sur les bords d'une route. Aux alentours de midi, les gendarmes de Valence ont retrouvé le meurtrier présumé de la bagnolaise abattue à son domicile samedi 24 août au soir, vers 19 heures. L'homme gisait sur la route à proximité de sa moto après s'être coupé les veines. Dans un état grave, le témoin principal de ce drame qui semble passionnel, a été héliporté à l'hôpital de Montélimar. Source : Midi Libre le 25 août 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18267&hl=
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(la victime aurait 43 ans - pas de donnée trouvée concernant l'époux pour l'instant)
suicide
Un homme d'une cinquantaine d'années, détenu à la prison de Tarascon (Bouches-du-Rhône), s'est donné la mort hier après-midi, rapporte aujourd'hui une source proche de l'enquête.
Le quinquagénaire qui était incarcéré dans le cadre d'une affaire d'exhibition sexuelle a été découvert par les surveillants avec le câble d'une rallonge électrique autour du cou. Le centre de détention de Tarascon a une capacité de 652 places et accueille des condamnés à des peines de plus d'un an de prison. Le parquet a confié l'enquête sur ce décès à la Sécurité publique des Bouches-du-Rhône.
En juillet, un quadragénaire s'était également pendu à la prison des Baumettes à Marseille où il purgeait une peine dans un dossier de stupéfiants.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/08/24/97001-20130824FILWWW00194-un-detenu-se-suicide-a-tarascon.php
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http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/08/24/97001-20130824FILWWW00194-un-detenu-se-suicide-a-tarascon.php
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énervé
Un homme de 27 ans est décédé aux environs de 2 h 30 dans la nuit de vendredi à samedi, dans un immeuble du quartier Saint-Alexandre, à Dinard.
Originaire des Côtes-d’Armor, l’homme était invité avec sa compagne chez un couple d’amis dinardais, habitant dans la résidence Le Brix du quartier Saint-Alexandre.
Le ton serait monté entre les deux hommes, passablement alcoolisés, au cours de la soirée jusqu’à aboutir à une dispute. Le couple invité aurait ensuite quitté l’appartement, énervé.
Il se sectionne l’artère du bras Deux étages plus bas, sous l’emprise de la colère et de l’alcool, la victime aurait donné un coup de poing dans une vitre de la cage d’escalier, la faisant exploser sous le choc et se sectionnant l’artère du bras. Les secours ont aussitôt été prévenus mais l’homme serait décédé d’une hémorragie peu de temps après leur arrivée. Une enquête est en cours pour déterminer les circonstances exactes des faits. Le deuxième homme est actuellement en garde à vue pour être entendu sur les événements, mais le témoignage de la compagne de la victime rejoindrait la version établie.
http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Dinard.-enerve-un-homme-tape-dans-une-vitre-et-decede_39382-2222685_actu.Htm
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Il se sectionne l’artère du bras Deux étages plus bas, sous l’emprise de la colère et de l’alcool, la victime aurait donné un coup de poing dans une vitre de la cage d’escalier, la faisant exploser sous le choc et se sectionnant l’artère du bras. Les secours ont aussitôt été prévenus mais l’homme serait décédé d’une hémorragie peu de temps après leur arrivée. Une enquête est en cours pour déterminer les circonstances exactes des faits. Le deuxième homme est actuellement en garde à vue pour être entendu sur les événements, mais le témoignage de la compagne de la victime rejoindrait la version établie.
http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Dinard.-enerve-un-homme-tape-dans-une-vitre-et-decede_39382-2222685_actu.Htm
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drame familial
Hossegor : il poignarde ses parents puis se tranche la gorge
Un Seignossais de 40 ans, pris d'une crise de démence, a poignardé ses parents avant de se trancher la gorge la nuit dernière à Hossegor. L'homme est mort, les parents ont été hospitalisés
Dans la nuit de vendredi à samedi, peu avant minuit, un schizophrène de 40 ans a poignardé son père de 74 ans et sa mère de 68 ans à leur domicile d'Hossegor. Les gendarmes puis les pompiers sont intervenus rapidement. Les deux victimes, dont les jours ne sont pas en danger, sont évacués sur l'hôpital de Bayonne. Le fils menace alors les gendarmes avec la même couteau puis se retranche dans un cabanon de l'habitation parentale. La négociation pour l'inciter à se rendre est infructueuse de même que deux tentatives pour le maîtriser. L'homme retourne alors son arme vers lui et se tranche la gorge. Immédiatement pris en charge par le Samu déjà sur place, il va décéder peu avant 2 heures du matin. Source : Sud Ouest le 24 août 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18257&hl=
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Un Seignossais de 40 ans, pris d'une crise de démence, a poignardé ses parents avant de se trancher la gorge la nuit dernière à Hossegor. L'homme est mort, les parents ont été hospitalisés
Dans la nuit de vendredi à samedi, peu avant minuit, un schizophrène de 40 ans a poignardé son père de 74 ans et sa mère de 68 ans à leur domicile d'Hossegor. Les gendarmes puis les pompiers sont intervenus rapidement. Les deux victimes, dont les jours ne sont pas en danger, sont évacués sur l'hôpital de Bayonne. Le fils menace alors les gendarmes avec la même couteau puis se retranche dans un cabanon de l'habitation parentale. La négociation pour l'inciter à se rendre est infructueuse de même que deux tentatives pour le maîtriser. L'homme retourne alors son arme vers lui et se tranche la gorge. Immédiatement pris en charge par le Samu déjà sur place, il va décéder peu avant 2 heures du matin. Source : Sud Ouest le 24 août 2013
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=18257&hl=
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drame
Abattu d'une balle dans la tête à Angoulême par un homme sortant d'un hôpital psychiatrique
Un suspect, connu pour "des antécédents psychiatriques", a été immédiatement arrêté. Joachim T., âgé de 23 ans a été tué d'une balle dans la tête, samedi après-midi dans un quartier sensible d'Angoulême, par un autre qui sortait d'hôpital psychiatrique.
Que s'est-il passé ? Les faits se sont déroulés aux alentours de 13h30 samedi dans un quartier sensible d'Angoulême quand des témoins ont vu la victime poursuivie dans la rue par son agresseur. Atteint au bras par un premier tir, la victime a tenté de trouver refuge dans une voiture mais le conducteur, effrayé, n'est pas resté sur place. Son agresseur l'a rattrapé et abattu d'un tir dans la tête. Le mobile n'est pas connu, mais d'après les premiers éléments de l'enquête, l'agresseur et la victime se connaissaient.
Un suspect avec "des antécédents psychiatriques" Le suspect, Soufiane T., âgé de 24 ans, était connu des services de police pour des faits d'outrage et de rébellion. Il s'est volontairement présenté à la police après les faits. Il a été placé en garde à vue. Une arme de gros calibre "compatible avec les faits", selon le procureur de la République, Patrice Cambérou, a ensuite été retrouvée dans une poubelle-container. Le suspect venait apparemment d'effectuer un séjour en hôpital psychiatrique. Le procureur ignorait à ce stade s'il était en sortie d'essai ou en sortie définitive, "mais il n'était apparemment pas en fuite".
Pas forcément pénalement responsable Une enquête en flagrance pour meurtre a été ouverte, et selon l'audition du suspect, une information judiciaire sera ouverte pour homicide volontaire ou assassinat, selon le magistrat. "On ne peut à ce stade dire s'il est pénalement responsable", et seules les expertises, qui auront lieu dans les prochains jours, pourront le déterminer, a-t-il ajouté. Des événements violents récemment dans le voisinage. La victime est originaire du quartier de Basseau, qui jouxte celui de la Grande Garenne où un animateur, âgé de 46 ans et père de six enfants, a été tué le 11 juillet d'un coup de couteau dans la gorge après être intervenu pour mettre fin à une bagarre sur le parking d'un immeuble." Source : EUROPE 1 & AFP (25 août 2013)
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=42269
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édit 27/08 :
un récit qui soulève la question de la survenance d'une schizophrénie ou d'un changement d'état ou de personnalité avec l'arrivée de l'année critique physique P1 avec ou après l'âge de 23 ans... :
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=42295
Un suspect, connu pour "des antécédents psychiatriques", a été immédiatement arrêté. Joachim T., âgé de 23 ans a été tué d'une balle dans la tête, samedi après-midi dans un quartier sensible d'Angoulême, par un autre qui sortait d'hôpital psychiatrique.
Que s'est-il passé ? Les faits se sont déroulés aux alentours de 13h30 samedi dans un quartier sensible d'Angoulême quand des témoins ont vu la victime poursuivie dans la rue par son agresseur. Atteint au bras par un premier tir, la victime a tenté de trouver refuge dans une voiture mais le conducteur, effrayé, n'est pas resté sur place. Son agresseur l'a rattrapé et abattu d'un tir dans la tête. Le mobile n'est pas connu, mais d'après les premiers éléments de l'enquête, l'agresseur et la victime se connaissaient.
Un suspect avec "des antécédents psychiatriques" Le suspect, Soufiane T., âgé de 24 ans, était connu des services de police pour des faits d'outrage et de rébellion. Il s'est volontairement présenté à la police après les faits. Il a été placé en garde à vue. Une arme de gros calibre "compatible avec les faits", selon le procureur de la République, Patrice Cambérou, a ensuite été retrouvée dans une poubelle-container. Le suspect venait apparemment d'effectuer un séjour en hôpital psychiatrique. Le procureur ignorait à ce stade s'il était en sortie d'essai ou en sortie définitive, "mais il n'était apparemment pas en fuite".
Pas forcément pénalement responsable Une enquête en flagrance pour meurtre a été ouverte, et selon l'audition du suspect, une information judiciaire sera ouverte pour homicide volontaire ou assassinat, selon le magistrat. "On ne peut à ce stade dire s'il est pénalement responsable", et seules les expertises, qui auront lieu dans les prochains jours, pourront le déterminer, a-t-il ajouté. Des événements violents récemment dans le voisinage. La victime est originaire du quartier de Basseau, qui jouxte celui de la Grande Garenne où un animateur, âgé de 46 ans et père de six enfants, a été tué le 11 juillet d'un coup de couteau dans la gorge après être intervenu pour mettre fin à une bagarre sur le parking d'un immeuble." Source : EUROPE 1 & AFP (25 août 2013)
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=42269
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édit 27/08 :
un récit qui soulève la question de la survenance d'une schizophrénie ou d'un changement d'état ou de personnalité avec l'arrivée de l'année critique physique P1 avec ou après l'âge de 23 ans... :
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=42295
retrouvé mort
Un homme de 35 ans retrouvé mort à son domicile
Ce matin, le corps sans vie d'un homme de 35 ans a été retrouvé par son frère, inquiet de ne pas le voir se lever. Cette macabre découverte a été faite dans une maison de plain-pied de l'avenue Pierre de Coubertin, à Carpentras, où vivaient les deux hommes. Les conditions d'hygiène douteuses dans lesquelles évoluait la victime, ainsi que des problèmes de santé, laissent penser à une mort accidentelle. Cependant, à cause de la position du corps sur un matelas posé sur des palettes et de divers éléments, une autopsie a été ordonnée. La Provence
http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2500712/un-homme-de-35-ans-retrouve-mort-a-son-domicile.html
Ce matin, le corps sans vie d'un homme de 35 ans a été retrouvé par son frère, inquiet de ne pas le voir se lever. Cette macabre découverte a été faite dans une maison de plain-pied de l'avenue Pierre de Coubertin, à Carpentras, où vivaient les deux hommes. Les conditions d'hygiène douteuses dans lesquelles évoluait la victime, ainsi que des problèmes de santé, laissent penser à une mort accidentelle. Cependant, à cause de la position du corps sur un matelas posé sur des palettes et de divers éléments, une autopsie a été ordonnée. La Provence
http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2500712/un-homme-de-35-ans-retrouve-mort-a-son-domicile.html
meurtre
Marignane : un jeune homme mis en examen
Un retraité a été tué jeudi à Marignane alors qu'il tentait de stopper les auteurs d'un braquage.
Le jeune homme de 18 ans mis en examen était déjà connu des services de police. Son complice est toujours recherché. Un jeune homme de 18 ans a été mis en examen samedi soir après la mort du retraité qui avait tenté d'arrêter un braquage dans un bureau de tabac, à Marignane. Écroué samedi, il a été mis en examen pour "vol avec arme" et "meurtre afin d'assurer l'impunité de son auteur", faits passibles de la réclusion criminelle à perpétuité.
Le jeune homme mis en examen a fêté ses 18 ans jeudi, le jour du braquage. Il est déjà connu des services de police pour une douzaine de délits, principalement des vols avec dégradation ou effraction en 2011 et 2012. Il a aussi déjà été condamné trois fois par le tribunal pour enfants et exécutait une peine de quatre mois avec mise à l'épreuve. Suivi par la protection judiciaire de la jeunesse, il avait répondu à la plupart des convocations, mais sa personnalité se révélait, selon le juge des enfants, "de plus en plus fuyante et hermétique à tout accompagnement social et éducatif", a indiqué le procureur adjoint à Aix-en-Provence,
Le caractère "volontaire" du meurtre". Samedi, lors d'un point presse, le procureur a en outre souligné que "les témoignages venaient confirmer le caractère volontaire du meurtre". Interrogé sur l'attitude du suspect, placé en garde à vue pendant près de 48 heures, le directeur adjoint de la PJ Christian Sivy a indiqué qu'"il nous dit qu'il prend conscience de la gravité des faits et qu'il est désolé pour la famille et les proches". La victime avait tenté de les désarmer. Jeudi, vers 18h00, deux hommes en scooter ont attaqué un tabac du centre de Marignane. Munis de fusils à pompe, ils ont emporté la caisse ainsi que plusieurs cartouches de cigarette. Un retraité d'Air France, âgé de 61 ans, les a alors pris en chasse. Le sexagénaire a percuté leur scooter pour les faire tomber, puis a tenté de les désarmer. Dans la bagarre, l'un des voleurs a tiré sur lui, le blessant mortellement.
http://www.europe1.fr/Faits-divers/Marignane-un-jeune-homme-mis-en-examen-1618589/
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Le jeune homme de 18 ans mis en examen était déjà connu des services de police. Son complice est toujours recherché. Un jeune homme de 18 ans a été mis en examen samedi soir après la mort du retraité qui avait tenté d'arrêter un braquage dans un bureau de tabac, à Marignane. Écroué samedi, il a été mis en examen pour "vol avec arme" et "meurtre afin d'assurer l'impunité de son auteur", faits passibles de la réclusion criminelle à perpétuité.
Le jeune homme mis en examen a fêté ses 18 ans jeudi, le jour du braquage. Il est déjà connu des services de police pour une douzaine de délits, principalement des vols avec dégradation ou effraction en 2011 et 2012. Il a aussi déjà été condamné trois fois par le tribunal pour enfants et exécutait une peine de quatre mois avec mise à l'épreuve. Suivi par la protection judiciaire de la jeunesse, il avait répondu à la plupart des convocations, mais sa personnalité se révélait, selon le juge des enfants, "de plus en plus fuyante et hermétique à tout accompagnement social et éducatif", a indiqué le procureur adjoint à Aix-en-Provence,
Le caractère "volontaire" du meurtre". Samedi, lors d'un point presse, le procureur a en outre souligné que "les témoignages venaient confirmer le caractère volontaire du meurtre". Interrogé sur l'attitude du suspect, placé en garde à vue pendant près de 48 heures, le directeur adjoint de la PJ Christian Sivy a indiqué qu'"il nous dit qu'il prend conscience de la gravité des faits et qu'il est désolé pour la famille et les proches". La victime avait tenté de les désarmer. Jeudi, vers 18h00, deux hommes en scooter ont attaqué un tabac du centre de Marignane. Munis de fusils à pompe, ils ont emporté la caisse ainsi que plusieurs cartouches de cigarette. Un retraité d'Air France, âgé de 61 ans, les a alors pris en chasse. Le sexagénaire a percuté leur scooter pour les faire tomber, puis a tenté de les désarmer. Dans la bagarre, l'un des voleurs a tiré sur lui, le blessant mortellement.
http://www.europe1.fr/Faits-divers/Marignane-un-jeune-homme-mis-en-examen-1618589/
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