Une arboricultrice meurt dans une chambre pressurisée
Une arboricultrice de 53 ans a trouvé la mort, hier matin, dans l'une des chambres pressurisées de son exploitation agricole situé au lieu-dit «La Barthe» à Albefeuille-Lagarde. Inquiet de ne pas avoir de ses nouvelles, c'est son époux, Gilles Marty qui est aussi conseiller municipal de la commune qui l'a découverte inanimée, les chambres «froides» étant très limitées en oxygène pour éviter l'oxydation des pommes qui y sont stockées. Il alertait aussitôt les secours. Sur place, les pompiers et une équipe médicale d'urgence du SAMU faisaient l'impossible pour tenter de la réanimer. Respirant encore, la quinquagénaire dont le pronostic vital était engagée, était acheminée au centre hospitalier de Montauban. Malgré les efforts des urgentistes, cette dernière décédait un peu plus tard. En état de choc, son mari était également hospitalisé.Sur les lieux, les techniciens en identification criminelle (TIC) et les enquêteurs de la communauté de brigades de Moissac réalisaient durant une bonne partie de l'après-midi les constatations et prélèvements d'usage. Accident, suicide ? Après avoir passé les lieux au crible, les gendarmes privilégiaient un acte volontaire. L'exploitante se serait en effet introduite par une trappe de la chambre et aurait attendue d'y suffoquer. Une mort terrible qui laisser presque sans voix le maire Marc Bourdoncle, un ami et voisin de cette famille qui dirige une exploitation arboricole d'une vingtaine d'hectares. «C'est terrible pour Gilles et ses deux fils qui sont sur le coup de cette tragédie» assurait le premier édile qui a passé une partie de la journée sur place pour épauler la famille. Avant de rendre le corps à la famille, le parquet a toutefois réclamé un examen de corps pour lever tout doute.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/29/2187041-une-arboricultrice-meurt-dans-une-chambre-pressurisee.html
080159
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(rythmes courts ?)(époux en pcs 56 ans)
mercredi 30 septembre 2015
violences
Il tente de venir en aide à une prostituée et se fait crever l'oeil
Le tribunal correctionnel de Bruges a condamné mardi un homme de 29 ans à 12 ans de prison ferme pour une triple tentative de meurtre. Il avait menacé de tuer une prostituée et crevé l'oeil d'un individu venu au secours de la victime.
Le 4 décembre 2014, le condamné s'était rendu dans un quartier de la prostitution à Ostende armé d'un couteau. Entendant les cris d'une prostituée roumaine, deux hommes se sont précipités pour lui venir en aide. M. E. a alors sorti son couteau, crevant notamment l'oeil d'un d'entre eux. Ce dernier a reçu 7.500 euros de dommages et intérêts à titre provisionnel.
Selon son avocat, ses actes n'étaient pas prémédités et étaient dépourvus d'intention de tuer. Le tribunal lui a donné raison sur le premier point: il a requalifié les faits de triple tentative d'assassinat en triple tentative de meurtre.
Source : La Dernière Heure le 29 septeembre 2015
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=22801&hl=
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(période critique septennale des 28 ans)
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=22801&hl=
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(période critique septennale des 28 ans)
collision
Collision frontale : une trentenaire décède
Deux voitures se sont percutées hier en fin d’après-midi sur la RD 764. Une femme de 30 ans, habitante de Pontlevoy, est décédée dans l’accident. L'état des deux voitures en atteste. C'est un terrible accident qui s'est produit hier, vers 17 h, sur la route départementale 764 entre les communes de Montrichard et de Pontlevoy. Deux voitures, l'une conduite par une femme de 62 ans, l'autre par une femme de 30 ans – toutes deux domiciliées à Pontlevoy – sont entrées en collision, juste après le croisement menant à la commune de Bourré. Le choc n'a laissé aucune chance à la trentenaire. L'autre conductrice a été héliportée dans un état grave vers le centre hospitalier de Blois dans la soirée. C'est la communauté de brigades (COB) de Montrichard qui a effectué les premières constatations, et régulé la circulation en établissant une déviation par Bourré le temps de l'intervention des secours. Hier soir, le maire de Pontlevoy, Jean Louis Berthault, s'est rendu au domicile de la victime. Ce n'est pas la première fois qu'un accident mortel se produit sur cette route. En effet, en août 2011, une violente collision entre une Opel Vectra immatriculée en Loir-et-Cher et une fourgonnette de Bourré avait coûté la vie à une fillette de 3 ans.
http://www.lanouvellerepublique.fr/Loir-et-Cher/Actualite/Faits-divers-justice/n/Contenus/Articles/2015/09/30/Collision-frontale-une-trentenaire-decede-2484250
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Deux voitures se sont percutées hier en fin d’après-midi sur la RD 764. Une femme de 30 ans, habitante de Pontlevoy, est décédée dans l’accident. L'état des deux voitures en atteste. C'est un terrible accident qui s'est produit hier, vers 17 h, sur la route départementale 764 entre les communes de Montrichard et de Pontlevoy. Deux voitures, l'une conduite par une femme de 62 ans, l'autre par une femme de 30 ans – toutes deux domiciliées à Pontlevoy – sont entrées en collision, juste après le croisement menant à la commune de Bourré. Le choc n'a laissé aucune chance à la trentenaire. L'autre conductrice a été héliportée dans un état grave vers le centre hospitalier de Blois dans la soirée. C'est la communauté de brigades (COB) de Montrichard qui a effectué les premières constatations, et régulé la circulation en établissant une déviation par Bourré le temps de l'intervention des secours. Hier soir, le maire de Pontlevoy, Jean Louis Berthault, s'est rendu au domicile de la victime. Ce n'est pas la première fois qu'un accident mortel se produit sur cette route. En effet, en août 2011, une violente collision entre une Opel Vectra immatriculée en Loir-et-Cher et une fourgonnette de Bourré avait coûté la vie à une fillette de 3 ans.
http://www.lanouvellerepublique.fr/Loir-et-Cher/Actualite/Faits-divers-justice/n/Contenus/Articles/2015/09/30/Collision-frontale-une-trentenaire-decede-2484250
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drame familial
Frau (34) tötet ihren Bruder,
ihre Oma – und sich selbst
Wernigerode – Furchtbare Familientragödie im Harz! Eine Frau tötete offenbar ihren Bruder und ihre Oma, bevor sie sich selbst umbrachte. Ein Zeuge entdeckte am Dienstagmittag in Wernigerode (Sachsen-Anhalt) die drei Leichen in einem Wohnhaus in der Straße Am Großen Bleek und alarmierte die Polizei. Bei den Leichen handelt es sich um ein Geschwisterpaar – eine Frau (34) und einen Mann (42) sowie deren Großmutter (89).
Was genau geschah, kann die Polizei aufgrund der laufenden Ermittlungen noch nicht sicher sagen. Aber: „Vorgefundene Schriftstücke deuten auf einen erweiterten Suizid hin“, so ein Polizeisprecher. Demnach richtete die 34-Jährige offenbar ihren Bruder und ihre Oma hin, bevor sie sich selbst das Leben nahm. Die Polizei geht davon aus, dass die Tat länger als 24 Stunden zurückliegt.
Weitere Angaben wie etwa über die Tatwaffe konnten die Ermittler bislang nicht machen. Es wird nun untersucht, was sich genau in dem Wohnhaus zugetragen habe, sagte ein Polizeisprecher. Nähere Erkenntnisse erhoffen sich die Ermittler auch von der Obduktion der Leichen, die in den kommenden Tagen erfolgen soll.
http://www.bild.de/regional/leipzig/familiendrama/drei-tote-bei-familiendrama-in-wernigerode-42767278.bild.html
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probablement un drame des périodes critiques septennales communes : une femme âgée de 34 ans aurait tué son frère de 42 ans ainsi que leur grand-mère âgée de 89 ans. elle s'est ensuite suicidée en laissant un écrit. (périodes critiques des 35 et 42 ans)
Wernigerode – Furchtbare Familientragödie im Harz! Eine Frau tötete offenbar ihren Bruder und ihre Oma, bevor sie sich selbst umbrachte. Ein Zeuge entdeckte am Dienstagmittag in Wernigerode (Sachsen-Anhalt) die drei Leichen in einem Wohnhaus in der Straße Am Großen Bleek und alarmierte die Polizei. Bei den Leichen handelt es sich um ein Geschwisterpaar – eine Frau (34) und einen Mann (42) sowie deren Großmutter (89).
Was genau geschah, kann die Polizei aufgrund der laufenden Ermittlungen noch nicht sicher sagen. Aber: „Vorgefundene Schriftstücke deuten auf einen erweiterten Suizid hin“, so ein Polizeisprecher. Demnach richtete die 34-Jährige offenbar ihren Bruder und ihre Oma hin, bevor sie sich selbst das Leben nahm. Die Polizei geht davon aus, dass die Tat länger als 24 Stunden zurückliegt.
Weitere Angaben wie etwa über die Tatwaffe konnten die Ermittler bislang nicht machen. Es wird nun untersucht, was sich genau in dem Wohnhaus zugetragen habe, sagte ein Polizeisprecher. Nähere Erkenntnisse erhoffen sich die Ermittler auch von der Obduktion der Leichen, die in den kommenden Tagen erfolgen soll.
http://www.bild.de/regional/leipzig/familiendrama/drei-tote-bei-familiendrama-in-wernigerode-42767278.bild.html
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probablement un drame des périodes critiques septennales communes : une femme âgée de 34 ans aurait tué son frère de 42 ans ainsi que leur grand-mère âgée de 89 ans. elle s'est ensuite suicidée en laissant un écrit. (périodes critiques des 35 et 42 ans)
bébé secoué
Ce sont les médecins de l'hôpital de la Timone qui avaient donné l'alerte. Quelque chose ne collait pas dans la version de ce père de famille qui venait de débarquer aux urgences, ce 28 avril 2011. Son bébé venait d'y être admis. Il raconte que les blessures du nourrisson sont dues à la chute de son cosy, lequel était posé sur le comptoir de la cuisine du domicile familial, à Arles. Mais l'hématome sous-dural et les tâches rouges dans les yeux que présente le petit garçon ne sont pas compatibles avec un tel scénario. Les symptômes s'apparentent plutôt à ceux d'un bébé secoué.
Le nourrisson était inanimé à son retour Le procureur est alerté, et les parents sont aussitôt placés en garde à vue. Très vite, le père avoue avoir secoué l'enfant. La mère explique quant à elle qu'elle avait quitté l'appartement du couple après une dispute avec son conjoint et n'avait pas assisté aux violences. Elle avait retrouvé le nourrisson inanimé à son retour. Questionnée sur d'anciennes fractures aux côtes et à la cheville constatées par le personnel médical, la maman évoque alors un possible lien avec une scène vécue le 31 mars de la même année. Ce jour-là, son mari se serait enfermé dans une chambre avec son fils et aurait commis des violences. Par texto, la maman avait appelé sa mère au secours : "Viens vite, il fait du mal au petit". Elle non plus n'était pas épargnée par les coups portés par son mari. "Ma cliente a d'abord été poursuivie pour non-assistance à personne en danger, or elle n'a pas assisté directement aux violences, et elle ne pouvait de toute façon pas s'interposer puisqu'elle-même était frappée", explique Me Philippe Ramon, avocat de la mère. Trois ans de prison dont deux avec sursis Le 1er septembre dernier, cette dernière a comparu devant le tribunal correctionnel de Tarascon sous la prévention de non-dénonciation de mauvais traitement sur mineur. Le procureur Christian Pasta avait requis une déclaration de culpabilité avec dispense de peine contre la mère et trois ans de prison dont deux avec sursis contre le père, qui a déjà passé un an derrière les barreaux dans le cadre de la détention provisoire. Hier, le juge tarasconnais a rendu sa décision : le père de la victime a écopé de trois ans de prison dont deux avec sursis et la mère de six mois de prison avec sursis. Le couple a aujourd'hui récupéré la garde de l'enfant. Romain Fauvet
http://www.laprovence.com/article/actualites/3600150/bebe-secoue-les-parents-condamnes-par-le-tribunal-de-tarascon.html
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cet homme pourrait avoir des problèmes avec son jour critique émotionnel, mais cela reste à vérifier au moyen de l'examen des rythmes courts. 28 avril et 31 mars 2011 sont en effet chaque fois un jeudi et séparés de 28 jours, soit la durée exacte du cycle émotionnel.
la prévention consisterait en une information voire une mise en garde : attention au jour critique émotionnel qui est hebdomadaire et peut être notre jour de colère et de dérapage en cas de problèmes. (les bébés ont tendance à être secoués l'un de leurs jours critiques ou l'un des jours ou épisodes critiques de leur gardien - la situation du bébé ainsi que les cycles longs du père, devraient également être vérifiés ici)
Le nourrisson était inanimé à son retour Le procureur est alerté, et les parents sont aussitôt placés en garde à vue. Très vite, le père avoue avoir secoué l'enfant. La mère explique quant à elle qu'elle avait quitté l'appartement du couple après une dispute avec son conjoint et n'avait pas assisté aux violences. Elle avait retrouvé le nourrisson inanimé à son retour. Questionnée sur d'anciennes fractures aux côtes et à la cheville constatées par le personnel médical, la maman évoque alors un possible lien avec une scène vécue le 31 mars de la même année. Ce jour-là, son mari se serait enfermé dans une chambre avec son fils et aurait commis des violences. Par texto, la maman avait appelé sa mère au secours : "Viens vite, il fait du mal au petit". Elle non plus n'était pas épargnée par les coups portés par son mari. "Ma cliente a d'abord été poursuivie pour non-assistance à personne en danger, or elle n'a pas assisté directement aux violences, et elle ne pouvait de toute façon pas s'interposer puisqu'elle-même était frappée", explique Me Philippe Ramon, avocat de la mère. Trois ans de prison dont deux avec sursis Le 1er septembre dernier, cette dernière a comparu devant le tribunal correctionnel de Tarascon sous la prévention de non-dénonciation de mauvais traitement sur mineur. Le procureur Christian Pasta avait requis une déclaration de culpabilité avec dispense de peine contre la mère et trois ans de prison dont deux avec sursis contre le père, qui a déjà passé un an derrière les barreaux dans le cadre de la détention provisoire. Hier, le juge tarasconnais a rendu sa décision : le père de la victime a écopé de trois ans de prison dont deux avec sursis et la mère de six mois de prison avec sursis. Le couple a aujourd'hui récupéré la garde de l'enfant. Romain Fauvet
http://www.laprovence.com/article/actualites/3600150/bebe-secoue-les-parents-condamnes-par-le-tribunal-de-tarascon.html
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cet homme pourrait avoir des problèmes avec son jour critique émotionnel, mais cela reste à vérifier au moyen de l'examen des rythmes courts. 28 avril et 31 mars 2011 sont en effet chaque fois un jeudi et séparés de 28 jours, soit la durée exacte du cycle émotionnel.
la prévention consisterait en une information voire une mise en garde : attention au jour critique émotionnel qui est hebdomadaire et peut être notre jour de colère et de dérapage en cas de problèmes. (les bébés ont tendance à être secoués l'un de leurs jours critiques ou l'un des jours ou épisodes critiques de leur gardien - la situation du bébé ainsi que les cycles longs du père, devraient également être vérifiés ici)
suicide
Cathriona White, 28 ans, la compagne de l’acteur Jim Carrey, a été retrouvée inanimée chez elle près de Los Angeles.
Elle a été déclarée morte par les médecins à 4 h 30. Selon les policiers, elle se serait suicidée.
En couple depuis 2012 avec la star de « The Mask », Cathriona White avait annoncé :
« Je me retire de Twitter. J’espère avoir éclairé mes proches. »
La jeune femme aurait laissé une lettre de suicide dans laquelle figure le nom de Jim Carrey, et le fait qu’ils auraient rompu le 24 septembre dernier.
Selon la presse spécialisée dans les célébrités américaines, le couple se serait séparé jeudi dernier après une relation amoureuse tumultueuse interrompue déjà plusieurs fois.
D’après le site TMZ. com, qui cite des sources policières, elle serait décédée d’une surdose de médicaments mais M. Corral n’était pas en mesure de confirmer cette information dans l’immédiat.
Jim Carrey s’est dit « choqué et profondément attristé par le décès de ma douce Cathriona ».
« C’était une fleur irlandaise délicate et vraiment gentille, trop sensible pour cette terre, pour qui aimer et être aimé était la seule chose qui étincelait », a-t-il déclaré.
« Mon cœur va à sa famille, ses amis et tous ceux qui l’aimaient. Nous avons tous été frappé par la foudre », a-t-il ajouté.
Carrey postait régulièrement sur son compte Twitter des photos prises par la jeune femme.
http://www.jeanmarcmorandini.com/article-343415-cathriona-white-28-ans-la-compagne-de-l-acteur-jim-carrey-retrouvee-morte-chez-elle-pres-de-los-angeles.html
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(pas trouvé données de naissance pour l'instant, pour vérifier : les suicides interviennent très fréquemment le jour critique émotionnel)(suicide en période critique septennale des 28 ans)
édit :
Cathriona White (born September 20, 1987
http://www.brittluneborg.com/2015-2017-dragon-prediction/
septembre 2015 (20/09/1987)
Di 20 E(8)
Lu 21
Ma 22 P(18)
Me 23 P(19) I(1)
Je 24
Ve 25
Sa 26
Di 27 E(15)
Lu 28 P(1)
Ma 29
Me 30
(native du dimanche, décès le lendemain soir de son jour critique émotionnel E15, un jour critique physique P1) (P1 est cependant aussi un jour de possible overdose accidentelle) une semaine après son anniversaire un dimanche...
(la rupture du 24 s'est passée après un épisode critique fort de Cathriona W. et le lendemain du jour critique émotionnel de Jim Carrey)
même si ce n'est pas précisément un suicide à 27 ans mais plutôt à 28 (elle a 28 ans depuis une semaine si la donnée est juste) Cathriona White entre pour moi dans le 27 Club fréquenté par ces célébrités qui se sont otés la vie en raison d'une dépression septennale de la période critique des 28 ans...)
http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/2011/07/club-des-27.html
la création du 27 Club est en fait la découverte des dégâts de la période critique des 28 ans et ses dépressions septennales... sauf que l'on ne fait pas, pour l'instant, le lien avec le cycle émotionnel de 28 années à pulsation tous les sept ans...
édit :
réserves pour la date de naissance ci-dessus car IMDb dit tout autre chose :
Date of Birth 14 September 1985, Cappawhite, Co. Tipperary, Ireland
Date of Death 28 September 2015, Sherman Oaks, Los Angeles, California, USA (suicide by overdose) Birth Name Cathriona Anne White
http://www.imdb.com/name/nm4349738/bio?ref_=nm_ov_bth_nm
alors situation : (aussi P1 mais pas de jour critique émotionnel à côté - veille de i 17)
(nous serions aussi sortis de la période critique septennale des 28 ans = 30 ans proximité anniversaire)
Sa 26 E(22)
Di 27
Lu 28 P(1)
Ma 29 I(17)
Me 30
http://www.jeanmarcmorandini.com/article-343415-cathriona-white-28-ans-la-compagne-de-l-acteur-jim-carrey-retrouvee-morte-chez-elle-pres-de-los-angeles.html
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(pas trouvé données de naissance pour l'instant, pour vérifier : les suicides interviennent très fréquemment le jour critique émotionnel)(suicide en période critique septennale des 28 ans)
édit :
Cathriona White (born September 20, 1987
http://www.brittluneborg.com/2015-2017-dragon-prediction/
septembre 2015 (20/09/1987)
Di 20 E(8)
Lu 21
Ma 22 P(18)
Me 23 P(19) I(1)
Je 24
Ve 25
Sa 26
Di 27 E(15)
Lu 28 P(1)
Ma 29
Me 30
(native du dimanche, décès le lendemain soir de son jour critique émotionnel E15, un jour critique physique P1) (P1 est cependant aussi un jour de possible overdose accidentelle) une semaine après son anniversaire un dimanche...
(la rupture du 24 s'est passée après un épisode critique fort de Cathriona W. et le lendemain du jour critique émotionnel de Jim Carrey)
même si ce n'est pas précisément un suicide à 27 ans mais plutôt à 28 (elle a 28 ans depuis une semaine si la donnée est juste) Cathriona White entre pour moi dans le 27 Club fréquenté par ces célébrités qui se sont otés la vie en raison d'une dépression septennale de la période critique des 28 ans...)
http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/2011/07/club-des-27.html
la création du 27 Club est en fait la découverte des dégâts de la période critique des 28 ans et ses dépressions septennales... sauf que l'on ne fait pas, pour l'instant, le lien avec le cycle émotionnel de 28 années à pulsation tous les sept ans...
édit :
réserves pour la date de naissance ci-dessus car IMDb dit tout autre chose :
Date of Birth 14 September 1985, Cappawhite, Co. Tipperary, Ireland
Date of Death 28 September 2015, Sherman Oaks, Los Angeles, California, USA (suicide by overdose) Birth Name Cathriona Anne White
http://www.imdb.com/name/nm4349738/bio?ref_=nm_ov_bth_nm
alors situation : (aussi P1 mais pas de jour critique émotionnel à côté - veille de i 17)
(nous serions aussi sortis de la période critique septennale des 28 ans = 30 ans proximité anniversaire)
Sa 26 E(22)
Di 27
Lu 28 P(1)
Ma 29 I(17)
Me 30
mardi 29 septembre 2015
drame
Une nonagénaire violée à son domicile par un proche
C'est un scénario cauchemardesque qui s'est déroulé dans la nuit du vendredi 17 au samedi 18 septembre dans une maison cannoise. Ce soir-là, aux alentours de 3 heures du matin, D., 96 ans, est réveillée par du bruit provenant de son domicile. Intriguée, la nonagénaire, qui vit seule au rez-de-chaussée, se lève… et tombe nez à nez avec son agresseur.
Ce dernier n'a aucun mal à immobiliser sa frêle victime. La malheureuse sera violée à deux reprises, avant que son bourreau ne prenne la fuite au milieu de la nuit. Ce n'est que le lendemain matin que D., sous le choc, appelle sa famille à l'aide.
Un proche de la famille Il s'agit en fait d'un proche de la famille de D. Un jeune homme âgé de 27 ans, sans emploi, qui habite à seulement quelques centaines de mètres de la victime. Le suspect a été interpellé à son domicile jeudi soir, et mis en examen pour "viol sur personne vulnérable", indiquait lundi le parquet de Grasse. Ce n'est qu'après son arrestation que D. a été informée de l'identité de son agresseur. Désorientée et ne portant pas ses lunettes au moment de l'agression, elle n'a pas reconnu son bourreau, qu'elle connaissait pourtant très bien. Source : Nice Matin le 29 septembre 2015
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=22791&hl=
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(période critique septennale des 28 ans)
Un proche de la famille Il s'agit en fait d'un proche de la famille de D. Un jeune homme âgé de 27 ans, sans emploi, qui habite à seulement quelques centaines de mètres de la victime. Le suspect a été interpellé à son domicile jeudi soir, et mis en examen pour "viol sur personne vulnérable", indiquait lundi le parquet de Grasse. Ce n'est qu'après son arrestation que D. a été informée de l'identité de son agresseur. Désorientée et ne portant pas ses lunettes au moment de l'agression, elle n'a pas reconnu son bourreau, qu'elle connaissait pourtant très bien. Source : Nice Matin le 29 septembre 2015
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=22791&hl=
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(période critique septennale des 28 ans)
viol
Une quadragénaire victime d'un viol barbare
Sordide, sauvage, barbare… Les qualificatifs concernant le viol commis au cours de la nuit de vendredi à samedi à Montréal ne sont pas assez forts pour le décrire, ce que nous nous garderons de faire d'ailleurs dans le détail.
Hier après-midi, deux hommes ont été mis en examen pour «viol en réunion» et ont été placés en détention dans deux maisons d'arrêt distinctes nous a appris hier soir le parquet de Narbonne devant lequel ils ont été déférés.
Les deux suspects sont âgés d'une quarantaine d'années et sont suspectés d'avoir fait subir un véritable calvaire à une mère célibataire habitant dans le village de Montréal au cours de la nuit de vendredi à samedi. Les mis en examen résident tous deux dans la commune ou aux abords immédiats et connaissaient d'ailleurs très bien leur victime. C'est d'ailleurs au domicile de cette dame qu'ont été commis les faits présumés, au terme d'une soirée beaucoup trop arrosée. Pour des raisons encore indéterminées, si ce n'est une alcoolisation excessive, la situation a dégénéré et les deux hommes ont fait subir les pires assauts et sévices sexuels à la victime. Dans un premier temps, ce sont les sapeurs pompiers qui ont été alertés et ont pris en charge la malheureuse femme qui souffrait de très sérieuses lésions au niveau des organes génitaux. Les services de gendarmerie ont été avisés immédiatement et ont appréhendé les deux hommes qui se trouvaient encore sur les lieux. (...) Hier, la victime était toujours hospitalisée et son état de santé comme son état de choc nécessiteront encore de nombreux soins. En outre, la nouvelle de cet odieux crime présumé s'est vite répandue à Montréal. Le choc dans la commune est réel, d'autant plus que les deux hommes n'ont pas d'antécédents, ont un travail, une vie de famille et ne présentaient jusqu'alors aucun signe laissant imaginer qu'ils puissent basculer dans la sauvagerie et se retrouver derrière les barreaux… Source : La Dépêche le 29 septembre 2015
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=22794&hl=
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Les deux suspects sont âgés d'une quarantaine d'années et sont suspectés d'avoir fait subir un véritable calvaire à une mère célibataire habitant dans le village de Montréal au cours de la nuit de vendredi à samedi. Les mis en examen résident tous deux dans la commune ou aux abords immédiats et connaissaient d'ailleurs très bien leur victime. C'est d'ailleurs au domicile de cette dame qu'ont été commis les faits présumés, au terme d'une soirée beaucoup trop arrosée. Pour des raisons encore indéterminées, si ce n'est une alcoolisation excessive, la situation a dégénéré et les deux hommes ont fait subir les pires assauts et sévices sexuels à la victime. Dans un premier temps, ce sont les sapeurs pompiers qui ont été alertés et ont pris en charge la malheureuse femme qui souffrait de très sérieuses lésions au niveau des organes génitaux. Les services de gendarmerie ont été avisés immédiatement et ont appréhendé les deux hommes qui se trouvaient encore sur les lieux. (...) Hier, la victime était toujours hospitalisée et son état de santé comme son état de choc nécessiteront encore de nombreux soins. En outre, la nouvelle de cet odieux crime présumé s'est vite répandue à Montréal. Le choc dans la commune est réel, d'autant plus que les deux hommes n'ont pas d'antécédents, ont un travail, une vie de famille et ne présentaient jusqu'alors aucun signe laissant imaginer qu'ils puissent basculer dans la sauvagerie et se retrouver derrière les barreaux… Source : La Dépêche le 29 septembre 2015
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=22794&hl=
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boxé
Un cambrioleur KO après un face-à-face avec un boxeur
Un homme de 41 ans a écopé de huit mois de prison ferme, lundi dans l'Ain, après une tentative d'intrusion qui lui a laissé deux beaux yeux au beurre noir, rapporte Le Progrès mardi. Sa victime était en effet un spécialiste de boxe française. Sonné, il est resté au tapis avant que les policiers ne viennent l'interpeller. Un cambrioleur, qui tentait de pénétrer dans un pavillon de Biziat, dans l'Ain, dans la nuit de vendredi à samedi, s'est retrouvé face à une victime aux talents sportifs bien utiles. Pratiquant assidu de boxe française, selon le Progrès qui rapporte l'histoire mardi, le propriétaire de la maison ne s'est en effet pas posé de questions. "Je l'ai frappé jusqu'à ce qu'il ne bouge plus", raconte-t-il au quotidien régional. Un bon réflexe pour celui qui regardait la télévision pendant que sa femme et ses quatre enfants étaient endormis à l'étage. Le voleur, un récidiviste de 41 ans selon 20 Minutes Lyon, a lui comparu lundi devant le tribunal de Bourg-en-Bresse. Avec deux beaux yeux au beurre noir. Il a écopé de huit mois de prison ferme pour sa tentative manquée du week-end et d'autres vols commis dans la région depuis sa sortie de prison fin août.
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/un-cambrioleur-mis-ko-apres-un-face-a-face-avec-un-boxeur-8663281.html
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(période critique septennale des 42 ans)
Un homme de 41 ans a écopé de huit mois de prison ferme, lundi dans l'Ain, après une tentative d'intrusion qui lui a laissé deux beaux yeux au beurre noir, rapporte Le Progrès mardi. Sa victime était en effet un spécialiste de boxe française. Sonné, il est resté au tapis avant que les policiers ne viennent l'interpeller. Un cambrioleur, qui tentait de pénétrer dans un pavillon de Biziat, dans l'Ain, dans la nuit de vendredi à samedi, s'est retrouvé face à une victime aux talents sportifs bien utiles. Pratiquant assidu de boxe française, selon le Progrès qui rapporte l'histoire mardi, le propriétaire de la maison ne s'est en effet pas posé de questions. "Je l'ai frappé jusqu'à ce qu'il ne bouge plus", raconte-t-il au quotidien régional. Un bon réflexe pour celui qui regardait la télévision pendant que sa femme et ses quatre enfants étaient endormis à l'étage. Le voleur, un récidiviste de 41 ans selon 20 Minutes Lyon, a lui comparu lundi devant le tribunal de Bourg-en-Bresse. Avec deux beaux yeux au beurre noir. Il a écopé de huit mois de prison ferme pour sa tentative manquée du week-end et d'autres vols commis dans la région depuis sa sortie de prison fin août.
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/un-cambrioleur-mis-ko-apres-un-face-a-face-avec-un-boxeur-8663281.html
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(période critique septennale des 42 ans)
drame
Un jeune homme décède à la Tour du Dürrenbuhl (FR).Un accident mortel s'est produit ce week-end à la Tour du Dürrenbuhl à Fribourg.
Un jeune homme de 20 ans a perdu la vie à la Tour du Dürrenbuhl située en ville de Fribourg, indique lundi la police cantonale. Les faits se sont produits dans la nuit de samedi à dimanche. Une enquête a été ouverte.
Dépêchés sur place, les secours et la police n'ont pas pu réanimer le malheureux qui gisait inconscient au pied de l'édifice. Selon les premiers éléments, le jeune homme aurait chuté accidentellement, écrivent les autorités.
La victime se trouvait sur les lieux dans le cadre d'une rencontre de scouts.
http://www.lenouvelliste.ch/articles/suisse/un-jeune-homme-decede-a-la-tour-du-durrenbuhl--436840
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(période critique septennale des 21 ans)
http://www.lenouvelliste.ch/articles/suisse/un-jeune-homme-decede-a-la-tour-du-durrenbuhl--436840
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(période critique septennale des 21 ans)
pédophilie
Une affaire de pédophilie en Wallonie découverte grâce au Canada
Deux hommes présumés complices ont été arrêtés le mois dernier en Belgique après une enquête de la police canadienne. Ils sont soupçonnés de faits de pédopornographie sur la fille de l’un d’eux, née en 2010.
Ce sont les autorités canadiennes qui ont donné l'alerte après avoir vu circuler sur internet beaucoup de photos pornographiques d'une petite fille, explique Sud Presse ce mardi. Il s’agit de la propre fille d'un des deux hommes interpellés.
La police canadienne a ouvert une enquête sur ces photos il y a un an et a réussi à retracer les images jusqu’à Huy, d’où elles avaient été diffusées. Elle a donc alerté les autorités liégeoises. La police a arrêté les deux hommes sur leur lieu de travail il y a un mois. C’est le père de la fillette, Marc M., 49 ans, domicilié à Hamoir, qui est suspecté d’avoir lui-même pris les photos. L’homme arrêté à Lobbes, Michel G, né en 1956, détenait lui des images pédopornographiques chez lui.
A Lobbes, c’est la consternation. L’homme, un infirmier, était bien connu pour participer à la vie de la commune. Il est toujours en prison.
Aucun des deux n’avait de casier judiciaire.
http://www.rtl.be/info/belgique/faits-divers/une-affaire-de-pedophilie-en-wallonie-decouverte-grace-au-canada-758213.aspx
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http://www.rtl.be/info/belgique/faits-divers/une-affaire-de-pedophilie-en-wallonie-decouverte-grace-au-canada-758213.aspx
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drame conjugal
Familiendrama im Hunsrück: Mann erschießt Ehefrau - Einzelheiten zur Tat weiterhin unklar
(Wiebelsheim) Entsetzen im Hunsrück: Ein Mann hat am Montagabend in Wiebelsheim (Rhein-Hunsrück-Kreis) seine von ihm Ehefrau erschossen. Er wurde von der Polizei später in seinem Auto tot aufgefunden. Das Paar hinterlässt drei kleine Kinder.
Ein tödliches Familiendrama hat sich offenbar im Hunsrückdorf Wiebelsheim abgespielt: Ein 46-Jähriger soll seine getrennt von ihm lebende Ehefrau in ihrem Haus erschossen haben, wie die Staatsanwaltschaft Koblenz am Dienstag mitteilte. Anschließend habe sich der Mann in einem nahe gelegenen Wald in seinem Auto wohl selbst getötet. Um die genauen Todesursachen zu klären, sollen die Leichen obduziert werden.
Eine Zeugin hatte die 43-jährige Frau am Montagabend mit einer Schussverletzung im Haus entdeckt, teilte die Staatsanwaltschaft weiter mit. Die Frau sei nicht mehr ansprechbar gewesen und dann in dem Haus gestorben. Bei den Ermittlungen fiel der Tatverdacht auf den Ehemann der Toten, nach dem dann sofort gefahndet wurde. Am späten Abend wurde der 46-Jährige tot in seinem Auto gefunden. Seine Leiche wies ebenfalls eine Schussverletzung auf.
Das Ehepaar hatte drei gemeinsame Kinder im Alter zwischen 2 und 12 Jahren, die bei der Tat nicht im Haus waren. Verwandte kümmerten sich um sie. Nähere Angaben wollte die Staatsanwaltschaft nicht machen, um die Hinterbliebenen zu schützen.
http://www.volksfreund.de/nachrichten/region/hunsrueck/aktuell/Heute-in-der-Hunsrueck-Zeitung-Update-Familiendrama-im-Hunsrueck-Mann-erschiesst-Ehefrau-Einzelheiten-zur-Tat-weiterhin-unklar;art779,4328515
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un homme de 46 ans aurait tué par arme à feu son épouse de 43 ans dont il est récemment séparé. il s'est ensuite suicidé d'un coup de feu. le couple laisse trois orphelins âgés de 2 à 12 ans, qui n'étaient apparemment pas présents au moment du drame. (drame de la période critique septennale des 42 ans)
http://www.volksfreund.de/nachrichten/region/hunsrueck/aktuell/Heute-in-der-Hunsrueck-Zeitung-Update-Familiendrama-im-Hunsrueck-Mann-erschiesst-Ehefrau-Einzelheiten-zur-Tat-weiterhin-unklar;art779,4328515
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un homme de 46 ans aurait tué par arme à feu son épouse de 43 ans dont il est récemment séparé. il s'est ensuite suicidé d'un coup de feu. le couple laisse trois orphelins âgés de 2 à 12 ans, qui n'étaient apparemment pas présents au moment du drame. (drame de la période critique septennale des 42 ans)
drame conjugal
Drame conjugal à Périgueux : il tue sa compagne avant de se suicider
Le drâme s'est déroulé en plein centre de Périgueux, allée d'Aquitaine Ce lundi, vers 21 heures, un Périgourdin d'une quarantaine d'années a tué sa compagne, à coups de couteau, avant de se donner la mort avec un fusil à pompe. Ce drame s'est déroulé dans une résidence du centre-ville. C'est le fils de cet artisan, âgé de 15 ans, qui a découvert les corps. La nuit était en train de tomber, ce lundi soir, quand un adolescent d'une quinzaine d'années, totalement paniqué, s'est présenté au commissariat de Périgueux. Quelques minutes avant, à deux pas de là, dans l'appartement familial, situé face au Théâtre de l'Odyssée, le jeune homme a découvert les corps, sans vie, de son père, et de son ancienne belle-mère. D'après le procureur de la République, Jean-François Mailhes, cité par Sud Ouest, "la thèse du drame conjugal est privilégiée". D'après les enquêteurs, il y aurait eu une dispute, dans l'appartement, situé au quatrième étage de la résidence de l'Allée d'Aquitaine. L'artisan du bâtiment, âgé d'une quarantaine d'années, aurait, alors, tué son ex-compagne, avec une arme blanche. Il se serait, ensuite, donné la mort à l'aide d'un fusil à pompe. Pourtant, dans l'immeuble, personne n'a entendu, ni les cris, ni le tir. D'après les voisins, le couple s'était séparé, récemment, mais les deux compagnons étaient sur le point de se réconcilier. Ensemble, ils ont un enfant de trois ans.
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/drame-conjugal-perigueux-il-tue-sa-compagne-avant-de-se-suicider-1443500968
140770E22Ma/050672E1Lu
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(ss réserve données justes probable drame de la période critique septennale des 42 ans et jours critiques émotionnels successifs)
édit 30/09 :
Drame conjugal à Périgueux : la thèse d'un meurtre suivi d'un suicide se renforce
Les enquêteurs privilégient la piste du crime passionnel après la découverte des corps sans vie d'un couple bien connu à Périgueux, lundi soir Drame conjugal à Périgueux : la thèse d'un meurtre suivi d'un suicide se renforce C’est vers 21 heures, lundi soir, que policiers et secouristes ont trouvé les corps dans l’appartement allée d’Aquitaine. (...)Les éléments recueillis semblent alimenter la thèse du crime passionnel suivi du suicide. (...)Tout porte à croire que le locataire, Frédéric Beauvieux, 45 ans, a donné des coups à sa compagne, Myriam Vergnier, 43 ans, avant de la tuer en lui assénant plusieurs coups de couteau au thorax. Les policiers ont trouvé sur place une lettre. C'est manifestement après l'avoir rédigée qu'il s'est donné la mort, posant le canon d'un fusil à pompe contre sa poitrine, au niveau du cœur. (...)Huis clos Les témoignages recueillis décrivent un couple traversant une phase compliquée de son histoire. Frédéric Beauvieux et Myriam Vergnier avaient rompu il y a quelques mois mais avaient renoué depuis peu. Ils venaient d'ailleurs de prendre des vacances ensemble. Que s'est-il passé, dans cette phase de réconciliation, pour en arriver à cette conclusion macabre ? C'est toute la difficulté de l'enquête en cours. (...)
Il y a un an, le 25 septembre 2014, un événement avec les mêmes conséquences funestes s'était produit dans une maison de la rue Michel-Roulland, dans le quartier Saint-Martin à Périgueux. Un homme de 44 ans avait tué son ex-compagne de 42 ans avant de se pendre. Ce geste effroyable a fait orphelines deux fillettes, aujourd'hui âgées de 11 et 5 ans.
http://www.sudouest.fr/2015/09/30/la-piste-du-crime-passionnel-2139433-3.php
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apparemment un drame de la période critique septennale des 42 ans et des jours critiques émotionnels successifs... si les données trouvées sont justes :
28/29 septembre 2015 (14/07/1970)(45 ans et deux mois)
Ve 25
Sa 26
Di 27
Lu 28
Ma 29 E(22)
Me 30 P(1)
(entrée lundi soir dans le jour critique émotionnel E22)
28/29 septembre 2015 (5/06/1972)(43 ans et 4 mois)
Je 24
Ve 25
Sa 26 P(18)
Di 27 P(19)
Lu 28 E(1)
Ma 29
Me 30
(épisode triple critique fort avec les jours critiques physique P18/P19 et surtout lundi le jour critique émotionnel E1 - le plus fort des quatre jours critiques de ce cycle - récent passage dans la période critique septennale des 42 ans)
(les deux personnes ont toujours leur jour critique émotionnel lundi et mardi)
je n'ai pas trouvé les données de naissance de l'autre drame cité, du 25 septembre 2014 mais on trouverait probablement aussi un rôle analogue des rythmes courts, pratiquement toujours présents. aussi un drame de la période critique septennale des 42 ans. tout comme le drame (en Allemagne) objet de mon post suivant...
Le drâme s'est déroulé en plein centre de Périgueux, allée d'Aquitaine Ce lundi, vers 21 heures, un Périgourdin d'une quarantaine d'années a tué sa compagne, à coups de couteau, avant de se donner la mort avec un fusil à pompe. Ce drame s'est déroulé dans une résidence du centre-ville. C'est le fils de cet artisan, âgé de 15 ans, qui a découvert les corps. La nuit était en train de tomber, ce lundi soir, quand un adolescent d'une quinzaine d'années, totalement paniqué, s'est présenté au commissariat de Périgueux. Quelques minutes avant, à deux pas de là, dans l'appartement familial, situé face au Théâtre de l'Odyssée, le jeune homme a découvert les corps, sans vie, de son père, et de son ancienne belle-mère. D'après le procureur de la République, Jean-François Mailhes, cité par Sud Ouest, "la thèse du drame conjugal est privilégiée". D'après les enquêteurs, il y aurait eu une dispute, dans l'appartement, situé au quatrième étage de la résidence de l'Allée d'Aquitaine. L'artisan du bâtiment, âgé d'une quarantaine d'années, aurait, alors, tué son ex-compagne, avec une arme blanche. Il se serait, ensuite, donné la mort à l'aide d'un fusil à pompe. Pourtant, dans l'immeuble, personne n'a entendu, ni les cris, ni le tir. D'après les voisins, le couple s'était séparé, récemment, mais les deux compagnons étaient sur le point de se réconcilier. Ensemble, ils ont un enfant de trois ans.
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/drame-conjugal-perigueux-il-tue-sa-compagne-avant-de-se-suicider-1443500968
140770E22Ma/050672E1Lu
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(ss réserve données justes probable drame de la période critique septennale des 42 ans et jours critiques émotionnels successifs)
édit 30/09 :
Drame conjugal à Périgueux : la thèse d'un meurtre suivi d'un suicide se renforce
Les enquêteurs privilégient la piste du crime passionnel après la découverte des corps sans vie d'un couple bien connu à Périgueux, lundi soir Drame conjugal à Périgueux : la thèse d'un meurtre suivi d'un suicide se renforce C’est vers 21 heures, lundi soir, que policiers et secouristes ont trouvé les corps dans l’appartement allée d’Aquitaine. (...)Les éléments recueillis semblent alimenter la thèse du crime passionnel suivi du suicide. (...)Tout porte à croire que le locataire, Frédéric Beauvieux, 45 ans, a donné des coups à sa compagne, Myriam Vergnier, 43 ans, avant de la tuer en lui assénant plusieurs coups de couteau au thorax. Les policiers ont trouvé sur place une lettre. C'est manifestement après l'avoir rédigée qu'il s'est donné la mort, posant le canon d'un fusil à pompe contre sa poitrine, au niveau du cœur. (...)Huis clos Les témoignages recueillis décrivent un couple traversant une phase compliquée de son histoire. Frédéric Beauvieux et Myriam Vergnier avaient rompu il y a quelques mois mais avaient renoué depuis peu. Ils venaient d'ailleurs de prendre des vacances ensemble. Que s'est-il passé, dans cette phase de réconciliation, pour en arriver à cette conclusion macabre ? C'est toute la difficulté de l'enquête en cours. (...)
Il y a un an, le 25 septembre 2014, un événement avec les mêmes conséquences funestes s'était produit dans une maison de la rue Michel-Roulland, dans le quartier Saint-Martin à Périgueux. Un homme de 44 ans avait tué son ex-compagne de 42 ans avant de se pendre. Ce geste effroyable a fait orphelines deux fillettes, aujourd'hui âgées de 11 et 5 ans.
http://www.sudouest.fr/2015/09/30/la-piste-du-crime-passionnel-2139433-3.php
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apparemment un drame de la période critique septennale des 42 ans et des jours critiques émotionnels successifs... si les données trouvées sont justes :
28/29 septembre 2015 (14/07/1970)(45 ans et deux mois)
Ve 25
Sa 26
Di 27
Lu 28
Ma 29 E(22)
Me 30 P(1)
(entrée lundi soir dans le jour critique émotionnel E22)
28/29 septembre 2015 (5/06/1972)(43 ans et 4 mois)
Je 24
Ve 25
Sa 26 P(18)
Di 27 P(19)
Lu 28 E(1)
Ma 29
Me 30
(épisode triple critique fort avec les jours critiques physique P18/P19 et surtout lundi le jour critique émotionnel E1 - le plus fort des quatre jours critiques de ce cycle - récent passage dans la période critique septennale des 42 ans)
(les deux personnes ont toujours leur jour critique émotionnel lundi et mardi)
je n'ai pas trouvé les données de naissance de l'autre drame cité, du 25 septembre 2014 mais on trouverait probablement aussi un rôle analogue des rythmes courts, pratiquement toujours présents. aussi un drame de la période critique septennale des 42 ans. tout comme le drame (en Allemagne) objet de mon post suivant...
lundi 28 septembre 2015
drame
Un octogénaire tue sa femme et se suicide
Un homme âgé de 89 ans a tué dimanche son épouse atteinte d'un cancer généralisé avant de mettre fin à ses jours à leur domicile d'Antony (Hauts-de-Seine), près de Paris, révèle aujourd'hui le Parisien. Peu avant 9 heures, le mari téléphone aux pompiers en expliquant avoir tué son épouse de 81 ans. Quand les secours et la police arrivent au domicile, ils découvrent les corps des deux époux allongés, une carabine à leur côté et un impact de balle dans la tête. Sur place, les enquêteurs ont retrouvé "une lettre d'adieu" écrite par l'épouse. Atteinte d'un cancer généralisé, un mélanome avec des métastases au cerveau, elle déclarait son "intention de mettre fin à ses jours". Peu avant le drame, vers 6 heures le mari avait signalé à la police la disparition de sa femme au petit matin, mais celle-ci avait entretemps regagné le domicile. Une autopsie a été ordonnée sur les deux corps.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/09/28/97001-20150928FILWWW00211-un-octogenaire-tue-sa-femme-et-se-suicide.php
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Un homme âgé de 89 ans a tué dimanche son épouse atteinte d'un cancer généralisé avant de mettre fin à ses jours à leur domicile d'Antony (Hauts-de-Seine), près de Paris, révèle aujourd'hui le Parisien. Peu avant 9 heures, le mari téléphone aux pompiers en expliquant avoir tué son épouse de 81 ans. Quand les secours et la police arrivent au domicile, ils découvrent les corps des deux époux allongés, une carabine à leur côté et un impact de balle dans la tête. Sur place, les enquêteurs ont retrouvé "une lettre d'adieu" écrite par l'épouse. Atteinte d'un cancer généralisé, un mélanome avec des métastases au cerveau, elle déclarait son "intention de mettre fin à ses jours". Peu avant le drame, vers 6 heures le mari avait signalé à la police la disparition de sa femme au petit matin, mais celle-ci avait entretemps regagné le domicile. Une autopsie a été ordonnée sur les deux corps.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/09/28/97001-20150928FILWWW00211-un-octogenaire-tue-sa-femme-et-se-suicide.php
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drame
Une mère tente d'égorger sa fille de 14 ans à Schoten
Une femme de 48 ans, de Schoten (province d'Anvers), a été interpellée lundi matin après avoir visiblement tenté durant la nuit d'égorger une de ses deux filles de 14 ans, a indiqué le parquet d'Anvers.
La jeune fille, dont la mère a tenté d'ouvrir la gorge pendant qu'elle dormait, a réussi à s'enfuir avec sa sœur jumelle. Avec l'aide d'une connaissance, elles se sont rendues à l'hôpital. La jeune fille blessée était en danger de mort, mais ses jours ne seraient entre-temps plus en danger.
La mère a été interpellée chez elle un peu plus tard. Elle sera présentée au juge d'instruction.
Source : Belga le 28 septembre 2015
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=22781&hl=
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(période critique septennale des 49 ans - compatibilité des périodes critiques)
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=22781&hl=
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(période critique septennale des 49 ans - compatibilité des périodes critiques)
meurtre
Le meurtre d’une jeune pâtissière
- Mansour Larabi, 38 ans, un ancien légionnaire du 2e REG de Laudun (Gard) sera jugé du 7 au 10 décembre aux assises de l’Hérault. Le 10 février 2012 à Béziers, ce militaire dépressif après plusieurs missions en Afghanistan, a étranglé sa compagne, tandis que sa fillette de 2 ans et demi dormait dans la chambre voisine. Il a ensuite jeté le corps de la victime dans un sac lesté, au fond du gouffre de l’Œil doux, avant d’être découvert inconscient dans un hôtel de Narbonne où il aurait tenté de se suicider. Il dit avoir agi sous l’emprise de la colère, alors que la jeune femme voulait le quitter.
Source : Midi Libre le 21 septembre 2015
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=13247&st=15
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(apparemment drame de la période critique septennale des 35 ans)
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=13247&st=15
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(apparemment drame de la période critique septennale des 35 ans)
drame
Thaïlande : cinq enfants poignardés à mort par un malade mental
Cinq enfants ont été poignardés à mort en Thaïlande par un homme tout juste sorti de l'hôpital. «Il a été traité ici pendant deux semaines avant de rentrer chez lui car il se sentait mieux», a déclaré Paritat Silpakit, le directeur de l'hôpital public Suanprung de Chiang Mai, dans le nord de la Thaïlande. Il n'a pas souhaité préciser la maladie psychiatrique de l'homme, qui a poignardé dimanche après-midi les cinq petits garçons, âgés de cinq mois à huit ans, dans son village de Chai Prakarn, dans la province de Chiang Mai.
Une femme enceinte grièvement blessée Une femme enceinte ayant tenté de s'interposer a dû être hospitalisée, grièvement blessée. Des photos des corps des petits garçons ont été diffusées sur les réseaux sociaux. Cette affaire pose la question des soins psychiatriques en Thaïlande, pays doté d'un système de santé public développé, mais sans tradition ancienne de soins psychiatriques. Les malades mentaux y sont encore souvent assimilés à des possédés, sous l'influence d'esprits malins, notamment dans les campagnes. «La prise irrégulière des médicaments et la distance pour se rendre à l'hôpital restent un défi», a expliqué Panpimol Wipulakorn, responsable du département de santé mentale du ministère de la Santé.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/thailande-cinq-enfants-poignardes-a-mort-par-un-malade-mental-28-09-2015-5134183.php
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(l'homme serait âgé de 24 ans)
Cinq enfants ont été poignardés à mort en Thaïlande par un homme tout juste sorti de l'hôpital. «Il a été traité ici pendant deux semaines avant de rentrer chez lui car il se sentait mieux», a déclaré Paritat Silpakit, le directeur de l'hôpital public Suanprung de Chiang Mai, dans le nord de la Thaïlande. Il n'a pas souhaité préciser la maladie psychiatrique de l'homme, qui a poignardé dimanche après-midi les cinq petits garçons, âgés de cinq mois à huit ans, dans son village de Chai Prakarn, dans la province de Chiang Mai.
Une femme enceinte grièvement blessée Une femme enceinte ayant tenté de s'interposer a dû être hospitalisée, grièvement blessée. Des photos des corps des petits garçons ont été diffusées sur les réseaux sociaux. Cette affaire pose la question des soins psychiatriques en Thaïlande, pays doté d'un système de santé public développé, mais sans tradition ancienne de soins psychiatriques. Les malades mentaux y sont encore souvent assimilés à des possédés, sous l'influence d'esprits malins, notamment dans les campagnes. «La prise irrégulière des médicaments et la distance pour se rendre à l'hôpital restent un défi», a expliqué Panpimol Wipulakorn, responsable du département de santé mentale du ministère de la Santé.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/thailande-cinq-enfants-poignardes-a-mort-par-un-malade-mental-28-09-2015-5134183.php
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(l'homme serait âgé de 24 ans)
décès
Un coureur décède lors du trail de la traversée des Aiguilles
Col du Festre.
Un homme de 63 ans est décédé alors qu’il participait au trail de la traversée des Aiguilles, dans la commune du Dévoluy. L’homme évoluait dans la descente du Col du Festre, aux alentours de 11h30, lorsqu’il a été victime d’un malaise cardiaque. Les médecins sont intervenus rapidement sur place mais n’ont pu ranimer la victime. Les sapeurs-pompiers de Veynes et du Dévoluy sont également intervenus, avant d’être relayés par la CRS de Briançon. Originaire du département, le sexagénaire était un habitué des courses en montagne.
http://www.ledauphine.com/hautes-alpes/2015/09/27/le-devoluy-un-coureur-decede-lors-du-trail-de-la-traversee-des-aiguilles
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Un homme de 63 ans est décédé alors qu’il participait au trail de la traversée des Aiguilles, dans la commune du Dévoluy. L’homme évoluait dans la descente du Col du Festre, aux alentours de 11h30, lorsqu’il a été victime d’un malaise cardiaque. Les médecins sont intervenus rapidement sur place mais n’ont pu ranimer la victime. Les sapeurs-pompiers de Veynes et du Dévoluy sont également intervenus, avant d’être relayés par la CRS de Briançon. Originaire du département, le sexagénaire était un habitué des courses en montagne.
http://www.ledauphine.com/hautes-alpes/2015/09/27/le-devoluy-un-coureur-decede-lors-du-trail-de-la-traversee-des-aiguilles
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collision
Aude: Il marche sur la route en pleine nuit et trouve la mort dans une collision
Un homme de 35 ans a été mortellement percuté par une voiture dans la nuit de samedi à dimanche, entre Narbonne et Coursan, dans l’Aude. Il était 4 heures du matin lorsqu’un conducteur a heurté la victime, qui marchait au milieu de la route sur la D6009, rapporte L’Indépendant. Aidé par un autre automobiliste, qu’il avait arrêté peu après le drame, ce sexagénaire, très choqué, a retrouvé le piéton décédé sur le coup dans un fossé. Les tests d’alcoolémie et de stupéfiants sur le conducteur, qui respectait les limites de vitesse, se sont avérés négatifs. Un Belge installé depuis trois mois dans l'Aude Quant au trentenaire mort dans l’accident, il a été identifié comme un ressortissant belge, installé depuis trois mois dans l’Aude. Sa présence sur la chaussée avait été signalée à la gendarmerie, peu avant l’accident, par un automobiliste qui venait de l'éviter.
http://www.20minutes.fr/toulouse/1696259-20150927-aude-marche-route-pleine-nuit-trouve-mort-collision
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(période critique septennale des 35 ans)
Un homme de 35 ans a été mortellement percuté par une voiture dans la nuit de samedi à dimanche, entre Narbonne et Coursan, dans l’Aude. Il était 4 heures du matin lorsqu’un conducteur a heurté la victime, qui marchait au milieu de la route sur la D6009, rapporte L’Indépendant. Aidé par un autre automobiliste, qu’il avait arrêté peu après le drame, ce sexagénaire, très choqué, a retrouvé le piéton décédé sur le coup dans un fossé. Les tests d’alcoolémie et de stupéfiants sur le conducteur, qui respectait les limites de vitesse, se sont avérés négatifs. Un Belge installé depuis trois mois dans l'Aude Quant au trentenaire mort dans l’accident, il a été identifié comme un ressortissant belge, installé depuis trois mois dans l’Aude. Sa présence sur la chaussée avait été signalée à la gendarmerie, peu avant l’accident, par un automobiliste qui venait de l'éviter.
http://www.20minutes.fr/toulouse/1696259-20150927-aude-marche-route-pleine-nuit-trouve-mort-collision
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(période critique septennale des 35 ans)
retrouvé mort
Le corps d'un homme sans vie a été retrouvé samedi, vers 15 h 30, à Cormelles-le-Royal, à la coulée verte. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes du décès.
Macabre découverte, samedi 26 septembre, vers 15 h 30, pour un promeneur à Cormelles-le-Royal, commune de l'agglomération caennaise. Il a en effet retrouvé le corps sans vie d'un homme.
Autopsie ordonnée
La victime, âgée de 64 ans, domiciliée dans l'agglomération caennaise, avait fait l'objet d'une disparition inquiétante auprès de la police le 22 septembre. Cette dernière a ouvert une enquête pour déterminer les causes exactes du décès. Aucune piste n'est pour l'instant écartée par les enquêteurs. Une autopsie a été ordonnée par le parquet de Caen. Elle devrait avoir lieu en ce début de semaine.
http://www.ouest-france.fr/faits-divers-pres-de-caen-un-promeneur-decouvre-un-corps-sans-vie-3720850
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(période critique septennale des 63 ans)
http://www.ouest-france.fr/faits-divers-pres-de-caen-un-promeneur-decouvre-un-corps-sans-vie-3720850
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(période critique septennale des 63 ans)
décès
Mars 2014
Le 17 mars 2014, alors que la mission militaire canadienne venait officiellement de prendre fin et que les derniers soldats rentraient au pays, le Royal 22e Régiment était endeuillé par la perte de l’un des siens… une nouvelle fois cette année là.
Originaire de Sorel-Tracy, le caporal A L, 44 ans, du 3e Bataillon du Royal 22e Régiment était alors retrouvé sans vie chez lui, à sa résidence de Ste-Catherine-de-la-Jacques Cartier, dans la région de Québec. (...)
http://www.45enord.ca/2015/09/deces-dalain-lacasse-en-2014-le-coroner-souligne-limportance-de-savoir-reconnaitre-les-urgences-suicidaires/
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juillet 25, 1970 - mars 17, 2014
Lu 10
Ma 11
Me 12
Je 13
Ve 14
Sa 15 P(1) E(8) I(1)
Di 16
Lu 17
Ma 18
Me 19
Je 20
(le 17 est jour neutre mais passage, le 15, par un jour triplement critique fort)
http://www.45enord.ca/2015/09/deces-dalain-lacasse-en-2014-le-coroner-souligne-limportance-de-savoir-reconnaitre-les-urgences-suicidaires/
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juillet 25, 1970 - mars 17, 2014
Lu 10
Ma 11
Me 12
Je 13
Ve 14
Sa 15 P(1) E(8) I(1)
Di 16
Lu 17
Ma 18
Me 19
Je 20
(le 17 est jour neutre mais passage, le 15, par un jour triplement critique fort)
dimanche 27 septembre 2015
drame familial
Un homme de 41 ans a poignardé ses deux enfants de 1 ans et 3 ans, samedi 26 septembre 2015, en début d’après-midi, sur la commune de Bourdainville, dans le pays de Caux (Seine-Maritime), entre Tôtes et Yvetot. Il aurait ensuite tenté de se suicider. Selon les premiers éléments, la fillette de trois ans aurait été la plus grièvement touchée. Elle a été transportée par hélicoptère au CHU de Rouen (Seine-Maritime), mais ses jours ne seraient pas en danger. Le bébé de 17 mois, lui, serait moins grièvement touché. Il a néanmoins été hospitalisé. Le père de famille, qui aurait porté les coups, aurait tenté de se suicider après son acte. Il est lui aussi blessé. « Ce drame s’est produit dans un contexte de séparation difficile. C’est la maman qui a sorti les enfants de la maison et alerté les secours. Elle a sûrement sauvé la vie de ces petits », souligne le maire de la commune de 450 habitants à Normandie-actu. (...)
http://www.normandie-actu.fr/drame-familial-en-seine-maritime-un-pere-poignarde-ses-deux-enfants_157953/
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(drame de la période critique septennale des 42 ans)
http://www.normandie-actu.fr/drame-familial-en-seine-maritime-un-pere-poignarde-ses-deux-enfants_157953/
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(drame de la période critique septennale des 42 ans)
samedi 26 septembre 2015
course
Elle abandonne sa fille (20 mois) sur la plage pour courir nue pendant des heures
M B (35 ans) et son mari C (32 ans) sont accusés d’abandon d’enfant et d’exhibitionnisme. Selon la police, ils étaient probablement sous l’emprise de la drogue au moment des faits.
Mardi, la police de Cameron Parish (Louisiane) a reçu un appel à 10h16 du matin. Une petite fille venait d’être découverte seule sur une plage. Une voiture avec le moteur encore en marche se trouvait à proximité. La fillette était assoiffée et couverte de piqûres de moustiques.
Les deux parents ont été découverts deux heures plus tard à près de 7 km de là. Ils couraient nus sur la plage.
Source : Sud Info le 25 septembre 2015
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=22777&hl=
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http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=22777&hl=
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ADN
Meurtre d'une auto-stoppeuse en Lot-et-Garonne : 21 ans après, l'ADN a parlé
Ghislaine Grivart de Kerstrat avait été tuée en 1994 en Lot-et-Garonne. Une empreinte génétique met en cause un délinquant sexuel mort en 2005 Ses vêtements portaient l’ADN de Didier Buret, le principal suspect.
L 'ADN est un bavard. Qui peut parler longtemps. Très longtemps. Voilà vingt et un ans que le dossier du meurtre de Ghislaine Grivart de Kerstrat, une jeune Villeneuvoise de 19 ans dont le corps avait été découvert dans un bois de Montaut (en Lot-et-Garonne), était rangé au rayon des affaires non résolues. Il en est sorti. Grâce à l'ADN. Dans les affaires criminelles, une moindre souillure peut être le prétexte à de profonds bouleversements. Avec cette empreinte génétique identifiée sur un des vêtements que Ghislaine Grivart de Kerstrat portait le jour de sa disparation, en 1994, un nom est sorti, celui d'un délinquant sexuel. Selon nos informations, il s'agit de Didier Buret. Il se suicide en 2005 après une plainte pour viol déposée par sa compagne. L'instruction se poursuit néanmoins. Source : Sud Ouest le 26 septembre 2015
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=22778&hl=
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(âge non précisé)
L 'ADN est un bavard. Qui peut parler longtemps. Très longtemps. Voilà vingt et un ans que le dossier du meurtre de Ghislaine Grivart de Kerstrat, une jeune Villeneuvoise de 19 ans dont le corps avait été découvert dans un bois de Montaut (en Lot-et-Garonne), était rangé au rayon des affaires non résolues. Il en est sorti. Grâce à l'ADN. Dans les affaires criminelles, une moindre souillure peut être le prétexte à de profonds bouleversements. Avec cette empreinte génétique identifiée sur un des vêtements que Ghislaine Grivart de Kerstrat portait le jour de sa disparation, en 1994, un nom est sorti, celui d'un délinquant sexuel. Selon nos informations, il s'agit de Didier Buret. Il se suicide en 2005 après une plainte pour viol déposée par sa compagne. L'instruction se poursuit néanmoins. Source : Sud Ouest le 26 septembre 2015
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=22778&hl=
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(âge non précisé)
drame
Lille : mort d'un parachutiste professionnel
"Un parachutiste a été retrouvé mort samedi", a indiqué le Codis, les pompiers ont constaté que "ni son parachute principal, ni son parachute de secours n'étaient ouverts", a ajouté cette source. Le corps de l'homme, âgé de 35 ans, a été retrouvé à proximité du centre de parachutisme de Bondue, dans un champs. Le parachutiste professionnel était salarié de ce centre, il était moniteur et comptabilisait plus de 5.000 sauts. Une enquête de police a été ouverte pour déterminer les causes de l'accident.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/09/26/97001-20150926FILWWW00084-lille-mort-d-un-parachutiste-professionnel.php
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(période critique septennale des 35 ans - rythmes courts ?)
(édit : une enquête sur l'hypothèse d'un suicide serait ouverte.)
"Un parachutiste a été retrouvé mort samedi", a indiqué le Codis, les pompiers ont constaté que "ni son parachute principal, ni son parachute de secours n'étaient ouverts", a ajouté cette source. Le corps de l'homme, âgé de 35 ans, a été retrouvé à proximité du centre de parachutisme de Bondue, dans un champs. Le parachutiste professionnel était salarié de ce centre, il était moniteur et comptabilisait plus de 5.000 sauts. Une enquête de police a été ouverte pour déterminer les causes de l'accident.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/09/26/97001-20150926FILWWW00084-lille-mort-d-un-parachutiste-professionnel.php
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(période critique septennale des 35 ans - rythmes courts ?)
(édit : une enquête sur l'hypothèse d'un suicide serait ouverte.)
forcené
« Ce que j’ai fait est impardonnable. Il est temps que ça s’arrête… » Debout à la barre du tribunal d’Epinal ce jeudi matin, un homme de 27 ans fait profil bas face au président Gautier Archambaud. Une attitude qui peut se comprendre à l’évocation des faits pour lesquels il comparaît.
Dans la nuit du 31 août au 1er septembre dernier, l’individu a été l’auteur d’une dispute qui a bien failli déraper. Ce soir-là, à son domicile de Girecourt-sur-Durbion, l’homme a vidé l’intégralité d’une bouteille de whisky avant de s’attaquer à une bouteille de vin blanc. Pour sa compagne, la coupe est pleine et elle lui fait savoir qu’il est temps pour lui de se faire soigner s’il ne veut pas voir le couple exploser. Sauf que la discussion tourne au vinaigre.(...)
Pour l’avocat, cet alcoolisme, latent depuis cinq ans, est dû à des problèmes dépressifs qu’il faut désormais traiter. Pour cela, il fallait peut-être un déclic. Pour Me Bonnet, cette interpellation, qui s’est d’ailleurs déroulée sans violence, fut un vrai électrochoc pour son client puisqu’il a entrepris des soins depuis. L’avocat a été écouté : un an de prison entièrement assorti d’un sursis mise à l’épreuve avec obligation de soins et interdiction de détenir ou porter une arme pendant cinq ans. Sergio DE GOUVEIA
http://www.vosgesmatin.fr/edition-d-epinal/2015/09/25/girecourt-sur-durbion-le-forcene-ecope-d-un-an-de-prison-avec-sursis
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(période critique septennale des 28 ans)
Pour l’avocat, cet alcoolisme, latent depuis cinq ans, est dû à des problèmes dépressifs qu’il faut désormais traiter. Pour cela, il fallait peut-être un déclic. Pour Me Bonnet, cette interpellation, qui s’est d’ailleurs déroulée sans violence, fut un vrai électrochoc pour son client puisqu’il a entrepris des soins depuis. L’avocat a été écouté : un an de prison entièrement assorti d’un sursis mise à l’épreuve avec obligation de soins et interdiction de détenir ou porter une arme pendant cinq ans. Sergio DE GOUVEIA
http://www.vosgesmatin.fr/edition-d-epinal/2015/09/25/girecourt-sur-durbion-le-forcene-ecope-d-un-an-de-prison-avec-sursis
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(période critique septennale des 28 ans)
vendredi 25 septembre 2015
drame
ETATS-UNIS – En plein milieu d'un rapport sexuel avec son meilleur ami et une jeune femme, un étudiant de l'université de Yale a poignardé son compère à la gorge avant de suicider.
Les plans sexe à plusieurs, ce n'est pas pour les jaloux. C'est ce que rappelle un dramatique fait divers mettant en scène trois étudiants de la prestigieuse université de Yale, dans le Connecticut (Est des Etats-Unis). Les faits se sont déroulés en mai, mais c'est un rapport de police récemment divulgué qui en donne le déroulé : trois jeunes gens - deux garçons et une fille – se sont engagés dans un plan à trois qui a mal tourné, quand l'un d'entre eux est devenu fou de jalousie. Tyler et Alexander, tous les deux âgés de 21 ans, sont amis de longue date. Originaires du New Hampshire, ils ont tous les deux intégré Yale, dont Tyler vient de sortir diplômé en philosophie. Loin de mener une vie dissolue, donc, d'autant que les deux garçons sont engagés dans le mouvement conservateur de leur université.
Tyler s'excuse avant de sauter par la fenêtre A l'aube ce jour-là, après avoir bien forcé sur l'alcool, les deux amis entreprennent de faire l'amour avec une jeune étudiante. Quand soudain, Tyler saisit un couteau sur la table de chevet, qu'il plonge dans la gorge de son meilleur ami. Prenant conscience de son geste mais étant dans un état manifestement second, il répète des excuses en allant et venant dans l'appartement avant de se jeter par la fenêtre, relate le rapport de police obtenu par le site américain Gawker. L'agresseur sera retrouvé mort six étages plus bas. Quand la police arrive, elle trouve les deux survivants nus dans l'appartement. Alexander est gravement blessé, et la jeune femme presse un t-shirt sur sa blessure pour tenter de stopper l’hémorragie. Si le garçon a survécu, la communauté étudiante de Yale a été bouleversée par ce drame.
http://www.metronews.fr/info/le-fait-divers-du-jour-jaloux-il-poignarde-son-meilleur-ami-pendant-un-plan-sexe-a-trois/moix!kIJ9WFNaIb5XQ/
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Les plans sexe à plusieurs, ce n'est pas pour les jaloux. C'est ce que rappelle un dramatique fait divers mettant en scène trois étudiants de la prestigieuse université de Yale, dans le Connecticut (Est des Etats-Unis). Les faits se sont déroulés en mai, mais c'est un rapport de police récemment divulgué qui en donne le déroulé : trois jeunes gens - deux garçons et une fille – se sont engagés dans un plan à trois qui a mal tourné, quand l'un d'entre eux est devenu fou de jalousie. Tyler et Alexander, tous les deux âgés de 21 ans, sont amis de longue date. Originaires du New Hampshire, ils ont tous les deux intégré Yale, dont Tyler vient de sortir diplômé en philosophie. Loin de mener une vie dissolue, donc, d'autant que les deux garçons sont engagés dans le mouvement conservateur de leur université.
Tyler s'excuse avant de sauter par la fenêtre A l'aube ce jour-là, après avoir bien forcé sur l'alcool, les deux amis entreprennent de faire l'amour avec une jeune étudiante. Quand soudain, Tyler saisit un couteau sur la table de chevet, qu'il plonge dans la gorge de son meilleur ami. Prenant conscience de son geste mais étant dans un état manifestement second, il répète des excuses en allant et venant dans l'appartement avant de se jeter par la fenêtre, relate le rapport de police obtenu par le site américain Gawker. L'agresseur sera retrouvé mort six étages plus bas. Quand la police arrive, elle trouve les deux survivants nus dans l'appartement. Alexander est gravement blessé, et la jeune femme presse un t-shirt sur sa blessure pour tenter de stopper l’hémorragie. Si le garçon a survécu, la communauté étudiante de Yale a été bouleversée par ce drame.
http://www.metronews.fr/info/le-fait-divers-du-jour-jaloux-il-poignarde-son-meilleur-ami-pendant-un-plan-sexe-a-trois/moix!kIJ9WFNaIb5XQ/
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meurtres
Le tueur en série de Malines a fait d'autres victimes
Renaud Hardy pourrait également être impliqué dans le meurtre d'Anne Bourgoin (38 ans), abattue en 2006 aux abords du Sportpaleis d'Anvers.
C'est désormais une certitude, la justice belge a mis la main sur un tueur en série. Renaud Hardy, 52 ans et originaire de Malines, est soupçonné d'avoir commis au moins deux meurtres et une tentative de meurtre. Il a été trahi par les traces ADN. Auteur présumé du meurtre de Linda Doms (52 ans), son ex-compagne, dans la nuit de mercredi à jeudi dernier, il aurait également tué une octogénaire de son quartier et tenté d'assassiner une dame de 69 ans à Bonheiden, près de Malines, l'année dernière. A côté de cela, le parquet d'Anvers le soupçonne aussi d'avoir abattu Ann Bourgoin (38 ans), qui roulait à vélo aux abords du Sportpaleis.
Renaud Hardy (52 ans), atteint de la maladie de Parkinson, a été longuement interrogé hier par les enquêteurs. Il nie toute implication dans la mort de Maria Walschaerts (82 ans), retrouvée assassinée à son domicile en mai 2014, le crâne défoncé. "L'enquête ADN a permis de lier le suspect au meurtre", assure Nele Poelmans, porte-parole du parquet de Malines. Selon Het Laatste Nieuws, son ADN aurait été retrouvé sur les lieux même du crime. Profil psychopathe Confondu par son ADN, il serait aussi l'auteur d'une tentative de meurtre en septembre 2014 à Bonheiden (Malines). Il aurait tenté de s'introduire, sans succès, au domicile d'une femme célibataire. Selon la justice, son intention macabre ne faisait aucun doute. Ces faits-là, ils les nient tout autant. Le seul meurtre qu'il a reconnu pour l'instant, c'est celui sur Linda Doms, une éducatrice pour personnes handicapées avec qui il avait eu une relation. Il l'aurait abusée, frappée avec un bâton en bois jusqu'à ce que mort s'en suive. Il a même filmé les faits pour pouvoir revoir les images après coup. La police en est désormais convaincue, elle se trouve face à un profil d'un vrai psychopathe, qui se délecte des souffrances de sa victime.
"J'ai du mal à accepter ma maladie" Pour les enquêteurs, il n'est pas exclu qu'il puisse être impliqué dans d'autres affaires de meurtre non résolues, comme celui d'Ann Bourgoin (38 ans). Cette mère de famille avait été abattue en 2006 alors qu'elle circulait à vélo à proximité du Sportpaleis d'Anvers. Pour rappel, le 9 septembre dernier, R.H. comparaissait devant le tribunal correctionnel de Malines pour avoir tiré avec un fusil à plomb sur une femme à vélo l'année dernière, d'où les suspicions de la police. "J'ai du mal à accepter ma maladie de Parkinson et j'ai agi par frustration", déclarait-il. Le 11 août 2006, Ann Bourgoin avait également été la cible d'une balle de petit calibre et n'a pas survécu. Seule l'autopsie avait pu révéler la présence de la douille dans son corps. Si son implication dans cette affaire reste à prouver, elle présente des similitudes frappantes avec l'attaque perpétrée en 2014 sur le Battelbrug (Malines), un pont tournant qui enjambe le canal de Louvain. Malgré l'interpellation d'un suspect deux ans après les faits, et faute de preuves, l'affaire n'a jamais été élucidée Source: Het Laatste Nieuws le 25 septembre 2015
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=22768&hl=
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on peut tenter de comparer les données (toutefois à vérifier car on trouve parfois diverses) : un psychopathe a tendance à agir en épisode "pulsions" et c'est alors souvent son jour critique émotionnel. il agira alors de préférence le même jour de la semaine...(ou le jour à côté)
or Linda Doms aurait été tuée dans la nuit de mercredi à jeudi dernier ; Maria Walschaerts semble avoir été tuée jeudi 22 mai 2014... et le 11 août 2006 (Ann Bourgoin) est un vendredi... alors que des tirs à la carabine auraient eu lieu le mercredi 1er octobre 2014
(jeudi est alors jour central mais données toutefois à vérifier car il peut y avoir des coïncidences...- pas trouvé date pour la tentative de meurtre Bonheiden septembre 2014 )
Renaud Hardy pourrait également être impliqué dans le meurtre d'Anne Bourgoin (38 ans), abattue en 2006 aux abords du Sportpaleis d'Anvers.
C'est désormais une certitude, la justice belge a mis la main sur un tueur en série. Renaud Hardy, 52 ans et originaire de Malines, est soupçonné d'avoir commis au moins deux meurtres et une tentative de meurtre. Il a été trahi par les traces ADN. Auteur présumé du meurtre de Linda Doms (52 ans), son ex-compagne, dans la nuit de mercredi à jeudi dernier, il aurait également tué une octogénaire de son quartier et tenté d'assassiner une dame de 69 ans à Bonheiden, près de Malines, l'année dernière. A côté de cela, le parquet d'Anvers le soupçonne aussi d'avoir abattu Ann Bourgoin (38 ans), qui roulait à vélo aux abords du Sportpaleis.
Renaud Hardy (52 ans), atteint de la maladie de Parkinson, a été longuement interrogé hier par les enquêteurs. Il nie toute implication dans la mort de Maria Walschaerts (82 ans), retrouvée assassinée à son domicile en mai 2014, le crâne défoncé. "L'enquête ADN a permis de lier le suspect au meurtre", assure Nele Poelmans, porte-parole du parquet de Malines. Selon Het Laatste Nieuws, son ADN aurait été retrouvé sur les lieux même du crime. Profil psychopathe Confondu par son ADN, il serait aussi l'auteur d'une tentative de meurtre en septembre 2014 à Bonheiden (Malines). Il aurait tenté de s'introduire, sans succès, au domicile d'une femme célibataire. Selon la justice, son intention macabre ne faisait aucun doute. Ces faits-là, ils les nient tout autant. Le seul meurtre qu'il a reconnu pour l'instant, c'est celui sur Linda Doms, une éducatrice pour personnes handicapées avec qui il avait eu une relation. Il l'aurait abusée, frappée avec un bâton en bois jusqu'à ce que mort s'en suive. Il a même filmé les faits pour pouvoir revoir les images après coup. La police en est désormais convaincue, elle se trouve face à un profil d'un vrai psychopathe, qui se délecte des souffrances de sa victime.
"J'ai du mal à accepter ma maladie" Pour les enquêteurs, il n'est pas exclu qu'il puisse être impliqué dans d'autres affaires de meurtre non résolues, comme celui d'Ann Bourgoin (38 ans). Cette mère de famille avait été abattue en 2006 alors qu'elle circulait à vélo à proximité du Sportpaleis d'Anvers. Pour rappel, le 9 septembre dernier, R.H. comparaissait devant le tribunal correctionnel de Malines pour avoir tiré avec un fusil à plomb sur une femme à vélo l'année dernière, d'où les suspicions de la police. "J'ai du mal à accepter ma maladie de Parkinson et j'ai agi par frustration", déclarait-il. Le 11 août 2006, Ann Bourgoin avait également été la cible d'une balle de petit calibre et n'a pas survécu. Seule l'autopsie avait pu révéler la présence de la douille dans son corps. Si son implication dans cette affaire reste à prouver, elle présente des similitudes frappantes avec l'attaque perpétrée en 2014 sur le Battelbrug (Malines), un pont tournant qui enjambe le canal de Louvain. Malgré l'interpellation d'un suspect deux ans après les faits, et faute de preuves, l'affaire n'a jamais été élucidée Source: Het Laatste Nieuws le 25 septembre 2015
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=22768&hl=
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on peut tenter de comparer les données (toutefois à vérifier car on trouve parfois diverses) : un psychopathe a tendance à agir en épisode "pulsions" et c'est alors souvent son jour critique émotionnel. il agira alors de préférence le même jour de la semaine...(ou le jour à côté)
or Linda Doms aurait été tuée dans la nuit de mercredi à jeudi dernier ; Maria Walschaerts semble avoir été tuée jeudi 22 mai 2014... et le 11 août 2006 (Ann Bourgoin) est un vendredi... alors que des tirs à la carabine auraient eu lieu le mercredi 1er octobre 2014
(jeudi est alors jour central mais données toutefois à vérifier car il peut y avoir des coïncidences...- pas trouvé date pour la tentative de meurtre Bonheiden septembre 2014 )
drame
Des chasseurs de fantômes retrouvés morts
Un couple de chasseurs de fantômes a été retrouvé mort dans une maison de Sparks, au Nevada. Mark et Debby Constantino s'étaient fait connaître par leur présence dans l'émission télévisée Ghost Adventures. Les policiers sont entrés en contact avec le couple mercredi alors qu'il enquêtaient sur le meurtre d'un homme survenu mardi. Mark et Debby Constantino étaient barricadés dans un appartement lorsque les policiers ont été contactés. Ils répondaient à une alerte de prise d'otage.
Un homme en colère Lorsque les policiers se sont approchés de l'appartement, Mark Constantino a ouvert le feu sur les agents. Les policiers n'ont pas répliqué. Les agents ont demandé à l'homme d'ouvrir la porte mais il a dit aux policiers: donnez-moi quinze minutes pour me calmer ou je vais la tuer. Lorsque les policiers ont ouvert la porte, l'homme et la femme étaient morts.
Un meurtre qui serait lié à la prise d'otage Mardi, les policiers avaient trouvé le corps d'un homme à Reno, là où Debby Constantino vivait avec une autre femme. Les policiers confirment que la mort de l'homme et celle du couple sont liées. Ordonnance de non-communication La semaine dernière, Debby Constantino avait obtenu une ordonnance de non-communication contre son mari. Le couple devait comparaître en décembre pour leur divorce. Mark et Debby Constantino avaient réalisé des épisodes télévisés de chasse aux fantômes à Reno et à San Francisco au cours des dernières années.
http://www.journaldemontreal.com/2015/09/24/des-chasseurs-de-fantomes-retrouves-morts
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On Tuesday, September 22, 2015, at 6:31 a.m. the Reno Police Department (RPD) received a trouble unknown call for service to 2305 Escalera Court. RPD officers arrived on scene and located a deceased male victim with a gunshot wound to his head. This victim has been identified as James Anderson (1/14/60). During the course of the investigation on Escalera Court, investigators determined that Anderson's roommate, Debra Constantino (10/17/62), was missing from the residence. A history check revealed that Ms. Constantino and her husband, Mark Constantino (1/30/62), have been involved in prior domestic violence incidents. Investigators learned of a recent Kidnapping and Domestic Battery/Strangulation case, which was reported to RPD on August 7, 2015.
http://portal.cityofsparks.us/pdnews/default.aspx?i=37062
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(jour critique émotionnel et intellectuel)
septembre 2015 (30/01/1962)
Sa 19 P(18)
Di 20 P(19)
Lu 21
Ma 22 E(22)
Me 23 I(26)
Je 24
Ve 25 P(1)
Un couple de chasseurs de fantômes a été retrouvé mort dans une maison de Sparks, au Nevada. Mark et Debby Constantino s'étaient fait connaître par leur présence dans l'émission télévisée Ghost Adventures. Les policiers sont entrés en contact avec le couple mercredi alors qu'il enquêtaient sur le meurtre d'un homme survenu mardi. Mark et Debby Constantino étaient barricadés dans un appartement lorsque les policiers ont été contactés. Ils répondaient à une alerte de prise d'otage.
Un homme en colère Lorsque les policiers se sont approchés de l'appartement, Mark Constantino a ouvert le feu sur les agents. Les policiers n'ont pas répliqué. Les agents ont demandé à l'homme d'ouvrir la porte mais il a dit aux policiers: donnez-moi quinze minutes pour me calmer ou je vais la tuer. Lorsque les policiers ont ouvert la porte, l'homme et la femme étaient morts.
Un meurtre qui serait lié à la prise d'otage Mardi, les policiers avaient trouvé le corps d'un homme à Reno, là où Debby Constantino vivait avec une autre femme. Les policiers confirment que la mort de l'homme et celle du couple sont liées. Ordonnance de non-communication La semaine dernière, Debby Constantino avait obtenu une ordonnance de non-communication contre son mari. Le couple devait comparaître en décembre pour leur divorce. Mark et Debby Constantino avaient réalisé des épisodes télévisés de chasse aux fantômes à Reno et à San Francisco au cours des dernières années.
http://www.journaldemontreal.com/2015/09/24/des-chasseurs-de-fantomes-retrouves-morts
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On Tuesday, September 22, 2015, at 6:31 a.m. the Reno Police Department (RPD) received a trouble unknown call for service to 2305 Escalera Court. RPD officers arrived on scene and located a deceased male victim with a gunshot wound to his head. This victim has been identified as James Anderson (1/14/60). During the course of the investigation on Escalera Court, investigators determined that Anderson's roommate, Debra Constantino (10/17/62), was missing from the residence. A history check revealed that Ms. Constantino and her husband, Mark Constantino (1/30/62), have been involved in prior domestic violence incidents. Investigators learned of a recent Kidnapping and Domestic Battery/Strangulation case, which was reported to RPD on August 7, 2015.
http://portal.cityofsparks.us/pdnews/default.aspx?i=37062
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(jour critique émotionnel et intellectuel)
septembre 2015 (30/01/1962)
Sa 19 P(18)
Di 20 P(19)
Lu 21
Ma 22 E(22)
Me 23 I(26)
Je 24
Ve 25 P(1)
réapparition
"Victime d'un meurtre", elle réapparaît 31 ans plus tard
Victime présumée d'un meurtre en 1984 selon la police, une femme âgée aujourd'hui de 55 ans est réapparue par hasard à Düsseldorf (ouest) après avoir vécu pendant 31 ans en cachant sa véritable identité, a annoncé la police jeudi.
Cette femme, étudiante de 24 ans au moment des faits, avait disparu en juillet 1984 dans la région de Brunswick (nord) où elle vivait dans une cité étudiante, selon les détails fournis par la police. Après des mois de recherches sans résultat, la police avait conclu à un meurtre.
Déclarée morte depuis 1989
Le meurtrier d'une écolière dont le corps avait été retrouvé un an plus tôt dans une forêt proche de Wolfsburg avait même fini par avouer les faits avant de se rétracter plus tard. En 1989, elle avait été officiellement déclarée morte.
Révélations Par le plus grand des hasards, la police a finalement retrouvé sa trace le 11 septembre dernier. Appelés sur les lieux d'un cambriolage à Düsseldorf, les policiers ont eu la surprise de tomber sur une femme qui leur a dit que le nom figurant sur la sonnette n'était en fait pas sa véritable identité. Elle a ensuite révélé qui elle était et avoir volontairement disparu il y a 31 ans. Anciens papiers d'identité Elle a même pu fournir ses anciens papiers d'identité à la police. Elle a en revanche refusé de s'expliquer sur les raisons qui l'ont poussée à disparaître à l'époque. Elle a également souhaité ne pas reprendre contact avec sa famille. La police ne s'explique toujours pas comment elle a pu vivre toutes ces années sans le moindre papier d'identité. Source : Belga le 24 septembre 20185
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=15312&hl=castres
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(période critique septennale des 56 ans)
Révélations Par le plus grand des hasards, la police a finalement retrouvé sa trace le 11 septembre dernier. Appelés sur les lieux d'un cambriolage à Düsseldorf, les policiers ont eu la surprise de tomber sur une femme qui leur a dit que le nom figurant sur la sonnette n'était en fait pas sa véritable identité. Elle a ensuite révélé qui elle était et avoir volontairement disparu il y a 31 ans. Anciens papiers d'identité Elle a même pu fournir ses anciens papiers d'identité à la police. Elle a en revanche refusé de s'expliquer sur les raisons qui l'ont poussée à disparaître à l'époque. Elle a également souhaité ne pas reprendre contact avec sa famille. La police ne s'explique toujours pas comment elle a pu vivre toutes ces années sans le moindre papier d'identité. Source : Belga le 24 septembre 20185
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=15312&hl=castres
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(période critique septennale des 56 ans)
drame
Il aimait son bébé mais ses coups l'ont tué
Première journée du procès en assises d'un jeune père dont les coups à répétition ont tué son bébé de 4 mois. Le procès se poursuit aujourd'hui et demain à Albi.
Son avocat, Me Jean-Baptiste Alary, ronge son frein. Son client, Kévin Tailame, 23 ans, un Castrais d'origine réunionnaise, a besoin d'un recadrage. Il a eu le mérite, hier, pour la première journée de son procès, d'irriter sérieusement la présidente de la cour d'assises mais aussi l'avocat général, Charlotte Beluet. Il est accusé de violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner sur son enfant, Savannah, un bébé de 4 mois, dans la nuit du 28 au 29 septembre 2012 à Castres. Après quelques explications touffues livrées aux enquêteurs, il a finalement reconnu une série de coups, de baffes comme il dit mais aussi de coups de poing qui ont tué le bébé.
Un pantin désarticulé livré à une fureur qu'il n'explique pas. Ce n'est qu'en milieu d'après-midi qu'il consent à distiller la vérité sur la mort de son enfant. Un enfant désiré mais qui va vite lui prendre la tête. À tel point que le bébé va connaître ses premières «baffes» trois semaines après sa naissance. (...)
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=15312&hl=castres
========================
deux données de naissance - toujours ss réserve qu'elles soient justes - indiquent une compatibilité dans les cycles physiques du père et du bébé. les deux se trouvaient en jour critique physique le 28 septembre 2012 : c'est jour de pleurs pouvant être importants pour bébé, et jour de possible fatigue ou "mauvaise forme" pour le père... (ce qui n'excuse en rien mais permet de comprendre un scénario dramatique : situation se reproduisant régulièrement du fait de la compatibilité des cycles respectifs p.ex. sit. ident. 3 sem.après la naissance - d'où possible reproduction des violences ?)(aussi pleine période critique septennale des 21 ans)
(la petite fille qui aurait dû fêter ses 4 mois vendredi… 5/10/2012)
28/29 septembre 2012 (5/06/2012)
Ma 25 E(1)
Me 26
Je 27
Ve 28 P(1) I(17)
Sa 29
Di 30
28/29 septembre 2012 (30/12/1991)
Lu 24 E(15)
Ma 25
Me 26
Je 27
Ve 28 P(12)
Sa 29
Di 30
Un pantin désarticulé livré à une fureur qu'il n'explique pas. Ce n'est qu'en milieu d'après-midi qu'il consent à distiller la vérité sur la mort de son enfant. Un enfant désiré mais qui va vite lui prendre la tête. À tel point que le bébé va connaître ses premières «baffes» trois semaines après sa naissance. (...)
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=15312&hl=castres
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deux données de naissance - toujours ss réserve qu'elles soient justes - indiquent une compatibilité dans les cycles physiques du père et du bébé. les deux se trouvaient en jour critique physique le 28 septembre 2012 : c'est jour de pleurs pouvant être importants pour bébé, et jour de possible fatigue ou "mauvaise forme" pour le père... (ce qui n'excuse en rien mais permet de comprendre un scénario dramatique : situation se reproduisant régulièrement du fait de la compatibilité des cycles respectifs p.ex. sit. ident. 3 sem.après la naissance - d'où possible reproduction des violences ?)(aussi pleine période critique septennale des 21 ans)
(la petite fille qui aurait dû fêter ses 4 mois vendredi… 5/10/2012)
28/29 septembre 2012 (5/06/2012)
Ma 25 E(1)
Me 26
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Ve 28 P(1) I(17)
Sa 29
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28/29 septembre 2012 (30/12/1991)
Lu 24 E(15)
Ma 25
Me 26
Je 27
Ve 28 P(12)
Sa 29
Di 30
jeudi 24 septembre 2015
chute
Plusieurs ont cru à un suicide lorsqu’une octogénaire s’est jetée du 9e étage d’un centre pour personnes âgées en janvier dernier. Mais un coroner a plutôt conclu à un état mental confusionnel «particulièrement fréquent» chez les aînés.
Le matin du 24 janvier dernier, policiers et ambulanciers ont été appelés à la résidence Jazz pour personnes âgées autonomes, à Longueuil. S N semblait dans un «état inhabituel» et «paranoïaque».(...) En vérifiant ses antécédents médicaux, les ambulanciers n’ont rien trouvé en lien avec des problèmes psychiatriques.
Elle refusait d’aller à l’hôpital, mais elle n’était pas agressive et n’a pas tenu de propos suicidaires. (...) Un delirium
Si les premiers signes de ce décès laissaient entrevoir une mort volontaire, le coroner a plutôt découvert une tout autre explication: le delirium.
(...) «Quelqu’un qui souffre de delirium et se jette en bas d’un édifice, c’est du jamais-vu pour moi», avoue de son côté David Lussier, médecin à l’Institut de gériatrie de Montréal.
Subit
La particularité de ce trouble est son côté subit, explique le Dr Lussier. Il peut se manifester en une demi-heure, et «une fois le problème résolu, tout peut revenir à la normale».
(...)
http://www.journaldemontreal.com/2015/09/23/une-ainee-tombee-du-9e-etage-en-raison-dun-delirium
=====================
comme nous avons les données nous pouvons regarder la situation le jour du drame : effectivement le jour critique émotionnel... (surtout) et jour critique physique P7. (à 5 mois de l'anniversaire)
24 janvier 2015 (9/09/1933)
Di 18 P(1)I(17)
Lu 19
Ma 20
Me 21
Je 22
Ve 23 P(6)
Sa 24 P(7) E(15)
Di 25
Lu 26
Ma 27 I(26)
Me 28
Je 29 P(12)
http://www.journaldemontreal.com/2015/09/23/une-ainee-tombee-du-9e-etage-en-raison-dun-delirium
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comme nous avons les données nous pouvons regarder la situation le jour du drame : effectivement le jour critique émotionnel... (surtout) et jour critique physique P7. (à 5 mois de l'anniversaire)
24 janvier 2015 (9/09/1933)
Di 18 P(1)I(17)
Lu 19
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Sa 24 P(7) E(15)
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Lu 26
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Me 28
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suicide
Un homme et sa mère originaires de la Creuse retrouvés dans les gorges de Galamus
Les corps d'un homme de 43 ans et de sa maman de 70 ans ont été découverts ce jeudi matin dans les gorges de Galamus (Pyrénées-Orientales). Ils étaient portés disparus depuis dimanche dans la Creuse. Il s'agirait d'un suicide.
(...) Une enquête a été ouverte, mais pour les gendarmes, c'est la piste du suicide qui est privilégiée.
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/un-homme-et-sa-mere-originaires-de-la-creuse-se-suicident-dans-les-gorges-de-galamus-1443106092
========================
probable drame de la compatibilité dans les périodes critiques réciproques (42 ans et 70 ans)
(rythmes courts à voir)
Les corps d'un homme de 43 ans et de sa maman de 70 ans ont été découverts ce jeudi matin dans les gorges de Galamus (Pyrénées-Orientales). Ils étaient portés disparus depuis dimanche dans la Creuse. Il s'agirait d'un suicide.
(...) Une enquête a été ouverte, mais pour les gendarmes, c'est la piste du suicide qui est privilégiée.
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/un-homme-et-sa-mere-originaires-de-la-creuse-se-suicident-dans-les-gorges-de-galamus-1443106092
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probable drame de la compatibilité dans les périodes critiques réciproques (42 ans et 70 ans)
(rythmes courts à voir)
Cuers
Un village plongé dans l'horreur et dans la stupeur. Le tueur fou a visé ceux qui ont croisé son chemin
Le 24 septembre 1995, le village de Cuers bascule dans l'horreur. Un tueur fou vient d'abattre, au hasard, plus d'une dizaine de personnes. Le meurtrier s'appelle Eric Borel. Il a 16 ans. Après avoir assassiné sa mère, son beau-père et son demi-frère, il a semé la mort sur la route "Passant, sache que rien ne justifie la mort d'innocents; n'oublions jamais le 24 septembre 1995." Cette phrase indélébile est désormais gravée dans la pierre, au pied d'un olivier de la place Peysonneau, à Cuers. Immense cicatrice qui ne se refermera jamais, la tuerie est dans toutes les mémoires. Dans les alentours, chacun a un ami, un parent, une connaissance qui a péri sous les balles ou a été blessé par cet adolescent de 16 ans, pris d'une crise de folie meurtrière. Éric Borel, bon élève, taciturne, est devenu l'un des plus grands tueurs de masse français. Un tueur en série qui va briser la vie de plus d'une quinzaine de personnes, en seulement quelques heures. Il tue sa famille... Tout bascule le 23 septembre 1995, traverse des Aiguiers à Solliès-Pont. En début d'après-midi, Éric Borel arme une carabine 22. Long Rifle. Il tue son beau-père, son demi-frère, et réserve le même sort à sa mère qui revient de la messe. Il est alors dans une fureur hors du commun. Il s'acharne à coups de marteau sur les dépouilles, avant de nettoyer les traces de sang et dissimuler les trois corps sous des draps. En fuite, le jeune homme parcourt, pendant la nuit, de nombreux kilomètres. ... Puis s'en prend à son ami Il dort à la belle étoile. Près d'un ruisseau, juste à côté de la caserne des pompiers, à Solliès-Pont, les enquêteurs retrouveront, plus tard, un sac rempli d'effets personnels. Il y a des vêtements et une cinquantaine de cartouches. Le jeune assassin rejoint, au petit matin, le domicile d'Allan, le plus proche de ses amis. Il veut fuguer avec ce dernier. Son camarade refuse. Il lui tire une balle dans le dos. Transporté à l'hôpital dans un état jugé préoccupant, le jeune garçon succombe à ses blessures. Il tue au hasard dans la ville Éric Borel poursuit, quant à lui, son parcours macabre. Carabine en main, il avance vers le village voisin de Cuers . Il continue à viser ceux qu'il croise. Au hasard. Dans les vignes. Près des maisons. Jusqu'au centre-ville. Il assassine un homme, puis met en joue un couple. Le mari est tué, la femme survivra. Il avance encore. Deux frères passent sur le trottoir. Il tire encore. Deux morts de plus. Rien ne l'arrête. La liste s'allonge: un adolescent, un père de cinq enfants, une vieille dame de 75 ans , un marchand de vêtements, deux personnes venues retirer de l'argent au distributeur automatique, un passant. Tous tombent sous les balles. Des blessés aux blessures indélébiles Parmi la dizaine de blessés, il y a une camarade de classe du meurtrier et un journaliste de Nice-Matin venu couvrir une course cycliste. Ils ont frôlé la mort . Marqués à tout jamais. Encerclé par les gendarmes, non loin du collège de la Ferrage, Éric Borel fait tomber son propre jugement. Il se tire une balle dans la tête; emportant dans sa tombe les raisons qui l'ont poussé à tuer, de sang-froid, ceux qui, ce jour-là, ont eu le malheur de croiser sa route.
http://www.nicematin.com/derniere-minute/retro-a-16-ans-il-seme-la-mort-dans-les-rues-de-cuers-en-1995.2319738.html
=========================
Éric Borel, né le et mort le
les rythmes et cycles psychiques humains disent pratiquement toujours quelque chose lorsqu'il y a un drame grave : ici probablement en cause le jour critique intellectuel i26 - jour critique du cerveau... et des coups de folie... (dans l'année i17 année critique du cerveau)...
le lendemain 24 est la veille du jour critique émotionnel E1...
23 septembre 1995 (11/12/1978)
Lu 18 E(22)
Ma 19
Me 20
Je 21
Ve 22 P(12)
Sa 23 I(26)
Di 24
Lu 25 E(1)
Ma 26
Me 27
Je 28 P(18)
mais pas que le jour critique intellectuel... j'ai mis un moment à trouver l'âge du beau-père et de la mère car son acharnement sur les corps semble traduire une haine particulière à leur encontre et effectivement comme je le pensais, les deux personnes se trouvent respectivement dans leur période critique septennale des 49 ans pour le beau-père alors que la mère sort de sa période critique septennale des 35 ans, sauf erreur. de quoi créer des tensions. (pas trouvé leur date de naissance qui permettrait de voir leur situation le jour du drame ou plutôt le jour avant, ce qui pourrait être intéressant)
(Borel killed his stepfather, Yves Bichet, in the kitchen by shooting him four times with a .22-caliber rifle, before smashing his head with a hammer. (...) Borel waited for his mother to come home. As soon as his mother, Marie-Jeanne Parenti, arrived at home from church at about 8:30 p.m., Borel immediately killed her with a single shot to the head. In contrast to her husband and son no blunt force was used on Mrs. Parenti, although some reports have suggested that he beat her as well with either the hammer or a baseball bat.)
(Murderpedia)
Le 24 septembre 1995, le village de Cuers bascule dans l'horreur. Un tueur fou vient d'abattre, au hasard, plus d'une dizaine de personnes. Le meurtrier s'appelle Eric Borel. Il a 16 ans. Après avoir assassiné sa mère, son beau-père et son demi-frère, il a semé la mort sur la route "Passant, sache que rien ne justifie la mort d'innocents; n'oublions jamais le 24 septembre 1995." Cette phrase indélébile est désormais gravée dans la pierre, au pied d'un olivier de la place Peysonneau, à Cuers. Immense cicatrice qui ne se refermera jamais, la tuerie est dans toutes les mémoires. Dans les alentours, chacun a un ami, un parent, une connaissance qui a péri sous les balles ou a été blessé par cet adolescent de 16 ans, pris d'une crise de folie meurtrière. Éric Borel, bon élève, taciturne, est devenu l'un des plus grands tueurs de masse français. Un tueur en série qui va briser la vie de plus d'une quinzaine de personnes, en seulement quelques heures. Il tue sa famille... Tout bascule le 23 septembre 1995, traverse des Aiguiers à Solliès-Pont. En début d'après-midi, Éric Borel arme une carabine 22. Long Rifle. Il tue son beau-père, son demi-frère, et réserve le même sort à sa mère qui revient de la messe. Il est alors dans une fureur hors du commun. Il s'acharne à coups de marteau sur les dépouilles, avant de nettoyer les traces de sang et dissimuler les trois corps sous des draps. En fuite, le jeune homme parcourt, pendant la nuit, de nombreux kilomètres. ... Puis s'en prend à son ami Il dort à la belle étoile. Près d'un ruisseau, juste à côté de la caserne des pompiers, à Solliès-Pont, les enquêteurs retrouveront, plus tard, un sac rempli d'effets personnels. Il y a des vêtements et une cinquantaine de cartouches. Le jeune assassin rejoint, au petit matin, le domicile d'Allan, le plus proche de ses amis. Il veut fuguer avec ce dernier. Son camarade refuse. Il lui tire une balle dans le dos. Transporté à l'hôpital dans un état jugé préoccupant, le jeune garçon succombe à ses blessures. Il tue au hasard dans la ville Éric Borel poursuit, quant à lui, son parcours macabre. Carabine en main, il avance vers le village voisin de Cuers . Il continue à viser ceux qu'il croise. Au hasard. Dans les vignes. Près des maisons. Jusqu'au centre-ville. Il assassine un homme, puis met en joue un couple. Le mari est tué, la femme survivra. Il avance encore. Deux frères passent sur le trottoir. Il tire encore. Deux morts de plus. Rien ne l'arrête. La liste s'allonge: un adolescent, un père de cinq enfants, une vieille dame de 75 ans , un marchand de vêtements, deux personnes venues retirer de l'argent au distributeur automatique, un passant. Tous tombent sous les balles. Des blessés aux blessures indélébiles Parmi la dizaine de blessés, il y a une camarade de classe du meurtrier et un journaliste de Nice-Matin venu couvrir une course cycliste. Ils ont frôlé la mort . Marqués à tout jamais. Encerclé par les gendarmes, non loin du collège de la Ferrage, Éric Borel fait tomber son propre jugement. Il se tire une balle dans la tête; emportant dans sa tombe les raisons qui l'ont poussé à tuer, de sang-froid, ceux qui, ce jour-là, ont eu le malheur de croiser sa route.
http://www.nicematin.com/derniere-minute/retro-a-16-ans-il-seme-la-mort-dans-les-rues-de-cuers-en-1995.2319738.html
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Éric Borel, né le et mort le
les rythmes et cycles psychiques humains disent pratiquement toujours quelque chose lorsqu'il y a un drame grave : ici probablement en cause le jour critique intellectuel i26 - jour critique du cerveau... et des coups de folie... (dans l'année i17 année critique du cerveau)...
le lendemain 24 est la veille du jour critique émotionnel E1...
23 septembre 1995 (11/12/1978)
Lu 18 E(22)
Ma 19
Me 20
Je 21
Ve 22 P(12)
Sa 23 I(26)
Di 24
Lu 25 E(1)
Ma 26
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Je 28 P(18)
mais pas que le jour critique intellectuel... j'ai mis un moment à trouver l'âge du beau-père et de la mère car son acharnement sur les corps semble traduire une haine particulière à leur encontre et effectivement comme je le pensais, les deux personnes se trouvent respectivement dans leur période critique septennale des 49 ans pour le beau-père alors que la mère sort de sa période critique septennale des 35 ans, sauf erreur. de quoi créer des tensions. (pas trouvé leur date de naissance qui permettrait de voir leur situation le jour du drame ou plutôt le jour avant, ce qui pourrait être intéressant)
(Borel killed his stepfather, Yves Bichet, in the kitchen by shooting him four times with a .22-caliber rifle, before smashing his head with a hammer. (...) Borel waited for his mother to come home. As soon as his mother, Marie-Jeanne Parenti, arrived at home from church at about 8:30 p.m., Borel immediately killed her with a single shot to the head. In contrast to her husband and son no blunt force was used on Mrs. Parenti, although some reports have suggested that he beat her as well with either the hammer or a baseball bat.)
(Murderpedia)
violences
Un instituteur de 60 ans a été interpellé ce mercredi et pourrait être bientôt jugé pour des violences sur quatre enfants d’une école maternelle de Pantin (Seine-Saint-Denis). Cet homme a été placé en garde à vue à la suite de plaintes déposées par quatre parents d’élèves d’une école de cette ville de l’est parisien.
Plusieurs accès de colère envers des élèves de maternelle
Déféré mercredi soir, le sexagénaire devait être vu par le procureur jeudi, et pourrait se voir notifier « une convocation par procès-verbal en vue d’un procès en correctionnelle », selon les termes du parquet. En poste depuis douze ans dans l’établissement, il est soupçonné d’avoir eu « des mouvements de colère, parfois violents », à l’encontre de quatre petits écoliers en première année de maternelle, peu après la rentrée scolaire.
L’un des enfants, d’à peine trois ans, aurait notamment été poussé en classe, se blessant à la bouche en chutant, et un autre aurait été pris avec énergie par le bras, a détaillé le parquet. Sur les quatre concernés, deux se sont vus prescrire une ITT (incapacité temporaire de travail) de deux jours.
(...)
http://www.20minutes.fr/societe/1694403-20150924-seine-saint-denis-instituteur-soupconne-violences-eleves-interpelle
===========================
(jour critique émotionnel ?)
http://www.20minutes.fr/societe/1694403-20150924-seine-saint-denis-instituteur-soupconne-violences-eleves-interpelle
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(jour critique émotionnel ?)
violences conjugales
Un Liégeois poignarde sa femme puis vient la frapper à l'hôpital
Un Liégeois de 46 ans a été déféré mardi au parquet de Liège pour des violences conjugales commises sur sa compagne, âgée de 48 ans, à l'hôpital. La quadragénaire avait déjà été poignardée à l'abdomen six jours plus tôt, raison de son hospitalisation. Lundi vers midi, l'individu s'est présenté aux Bruyères pour venir voir sa compagne. Dans la chambre, il l'a frappée insistant même sur la cicatrice consécutive au coup de couteau reçu par la victime le 16 septembre dernier. La victime avait expliqué ce jour-là qu'elle avait été poignardée par un ancien compagnon qu'elle avait rencontré à Lantin. Elle avait déclaré qu'il n'avait pas apprécié la rupture raison pour laquelle il l'avait poignardée à la sortie du bus se situant à proximité de son domicile. Après les faits, l'agresseur avait pris la fuite et était recherché. Devant les agents, la quadragénaire a expliqué qu'elle avait menti et que c'était son actuel compagnon qui était l'auteur du coup de couteau, ce que ce dernier a fini par avouer. Source : Belga le 22 septembre 2015
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=22765&hl=
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Un Liégeois de 46 ans a été déféré mardi au parquet de Liège pour des violences conjugales commises sur sa compagne, âgée de 48 ans, à l'hôpital. La quadragénaire avait déjà été poignardée à l'abdomen six jours plus tôt, raison de son hospitalisation. Lundi vers midi, l'individu s'est présenté aux Bruyères pour venir voir sa compagne. Dans la chambre, il l'a frappée insistant même sur la cicatrice consécutive au coup de couteau reçu par la victime le 16 septembre dernier. La victime avait expliqué ce jour-là qu'elle avait été poignardée par un ancien compagnon qu'elle avait rencontré à Lantin. Elle avait déclaré qu'il n'avait pas apprécié la rupture raison pour laquelle il l'avait poignardée à la sortie du bus se situant à proximité de son domicile. Après les faits, l'agresseur avait pris la fuite et était recherché. Devant les agents, la quadragénaire a expliqué qu'elle avait menti et que c'était son actuel compagnon qui était l'auteur du coup de couteau, ce que ce dernier a fini par avouer. Source : Belga le 22 septembre 2015
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=22765&hl=
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suicide
This page is in memory of Madison Holleran: 11/19/94 – 1/17/14
https://www.facebook.com/MadisonHolleranMemorial
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c'est apparemment à l'arrivée de son jour critique émotionnel E1 que Madison s'est suicidée...
17 janvier 2014 (19 novembre 1994)
Ma 14 I(1)
Me 15 P(6)
Je 16 P(7)
Ve 17
Sa 18 E(1)
Di 19
Lu 20
Ma 21 P(12)
https://www.facebook.com/MadisonHolleranMemorial
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c'est apparemment à l'arrivée de son jour critique émotionnel E1 que Madison s'est suicidée...
17 janvier 2014 (19 novembre 1994)
Ma 14 I(1)
Me 15 P(6)
Je 16 P(7)
Ve 17
Sa 18 E(1)
Di 19
Lu 20
Ma 21 P(12)
mercredi 23 septembre 2015
suicide
Eckwersheim
Suicide sur la voie ferrée Un homme âgé de 51 ans a mis fin à ses jours, ce mercredi vers 12h30, en se jetant sous le TGV Strasbourg – Paris à hauteur du passage à niveau d’Eckwersheim.
Le train, qui transportait une centaine de passagers, a été immobilisé en pleines voies jusque vers 14h. Des retards ont été enregistrés sur quelques TGV.
Le trafic a repris normalement à 14h15.
http://www.dna.fr/actualite/2015/09/23/suicide-voie-ferree-eckwersheim-trafic-perturbe
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http://www.dna.fr/actualite/2015/09/23/suicide-voie-ferree-eckwersheim-trafic-perturbe
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suicide
L’épouse d’un gendarme s’est suicidée par pendaison aujourd’hui au domicile familial d’Avon (77, Seine-et-Marne). Cette maréchal-des-logis-chef de 43 ans servait au centre national de formation de la sécurité routière...Lettre
Son mari est adjudant de gendarmerie, également à Fontainebleau.
La quadragénaire a laissé une lettre pour expliquer les raisons de son terrible geste, qui endeuille la Gendarmerie nationale.
Secours Info partage la douleur de la famille, de ses proches et s’associe à leur peine.
http://secoursinfo.fr/2015/09/22/lepouse-dun-gendarme-se-suicide/
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http://secoursinfo.fr/2015/09/22/lepouse-dun-gendarme-se-suicide/
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affolement
Le «petit accident» de Stromae affole les réseaux sociaux
Depuis l'annulation du concert du chanteur belge hier soir à Minneapolis, médias et fans ont massivement relayé la nouvelle sur la Toile, et font part de leur soutien au chanteur.
Au beau milieu de sa tournée américaine, le chanteur Stromae a dû annuler le concert de Minneapolis, hier, après un «léger accident» a déclaré l'un des membres de son équipe. Il n'en a pas fallu plus pour que Twitter s'emballe. Son public a appris cette inquiétante nouvelle alors qu'il attendait l'artiste belge au Myth Live Event Center, la salle de Minneapolis dans laquelle il devait se produire. Tristes et frustrés, les fans américains lui ont rapidement posté des messages de soutien sur Twitter: En tournée aux États-unis depuis début septembre, Paul Van Haver- de son vrai nom- ne cesse de gagner en popularité. Ces derniers jours , ses deux nouvelles vidéos promotionnelles tournées à New York et Seattle, et réalisées par son ami Jérôme Guiot ont été massivement relayées. Même succès pour son clip Quand c'est, sur le cancer. À tel point qu'il faut à présent être polyglotte pour comprendre tous les compliments qui lui sont adressés sur le réseau à l'oiseau bleu... qu'il avait pourtant critiqué dans sa chanson Carmen.
«Stromae est trop bon pour être vrai» Le jeune artiste a explosé sur la scène internationale avec son album Racine carrée, meilleure vente en France en 2013 et 2014. Aucun détail n'a été divulgué sur les circonstances de son accident à Minneapolis, ni sur la suite de la tournée, démarrée le 12 septembre à Miami et qui doit encore le mener le 25 septembre à Detroit, le 26 à Toronto et les 28 et 29 à Montréal, avant l'apothéose au célèbre Madison Square Garden de New York le 1er octobre. Malgré le peu d'informations dont ils disposent, les médias américains, flamands, français, etc. se sont tout de même empressés de relayer l'histoire. Du côté wallon, les journalistes ont traité l'épisode avec une petite nuance: c'est un message de soutien qu'ils ont envoyé à leur «héros national», plutôt qu'un simple article sur son état de santé. La maison de disque de Stromae, Universal Music, devrait donner plus de précisions sur son état de santé.
http://www.lefigaro.fr/musique/2015/09/23/03006-20150923ARTFIG00272-le-petit-accident-de-stromae-affole-les-reseaux-sociaux.php
========================
apparemment un "petit accident" du jour critique émotionnel, mais on n'en sait pas plus...
quand même à l'issue d'un épisode double critique fort avec les jours critiques physique P18/P19... :
septembre 2015 (12/03/1985)
Je 17 I(26)
Ve 18
Sa 19
Di 20 P(18)
Lu 21 P(19)
Ma 22 E(8)
Me 23
Je 24
Ve 25 I(1)
Depuis l'annulation du concert du chanteur belge hier soir à Minneapolis, médias et fans ont massivement relayé la nouvelle sur la Toile, et font part de leur soutien au chanteur.
Au beau milieu de sa tournée américaine, le chanteur Stromae a dû annuler le concert de Minneapolis, hier, après un «léger accident» a déclaré l'un des membres de son équipe. Il n'en a pas fallu plus pour que Twitter s'emballe. Son public a appris cette inquiétante nouvelle alors qu'il attendait l'artiste belge au Myth Live Event Center, la salle de Minneapolis dans laquelle il devait se produire. Tristes et frustrés, les fans américains lui ont rapidement posté des messages de soutien sur Twitter: En tournée aux États-unis depuis début septembre, Paul Van Haver- de son vrai nom- ne cesse de gagner en popularité. Ces derniers jours , ses deux nouvelles vidéos promotionnelles tournées à New York et Seattle, et réalisées par son ami Jérôme Guiot ont été massivement relayées. Même succès pour son clip Quand c'est, sur le cancer. À tel point qu'il faut à présent être polyglotte pour comprendre tous les compliments qui lui sont adressés sur le réseau à l'oiseau bleu... qu'il avait pourtant critiqué dans sa chanson Carmen.
«Stromae est trop bon pour être vrai» Le jeune artiste a explosé sur la scène internationale avec son album Racine carrée, meilleure vente en France en 2013 et 2014. Aucun détail n'a été divulgué sur les circonstances de son accident à Minneapolis, ni sur la suite de la tournée, démarrée le 12 septembre à Miami et qui doit encore le mener le 25 septembre à Detroit, le 26 à Toronto et les 28 et 29 à Montréal, avant l'apothéose au célèbre Madison Square Garden de New York le 1er octobre. Malgré le peu d'informations dont ils disposent, les médias américains, flamands, français, etc. se sont tout de même empressés de relayer l'histoire. Du côté wallon, les journalistes ont traité l'épisode avec une petite nuance: c'est un message de soutien qu'ils ont envoyé à leur «héros national», plutôt qu'un simple article sur son état de santé. La maison de disque de Stromae, Universal Music, devrait donner plus de précisions sur son état de santé.
http://www.lefigaro.fr/musique/2015/09/23/03006-20150923ARTFIG00272-le-petit-accident-de-stromae-affole-les-reseaux-sociaux.php
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apparemment un "petit accident" du jour critique émotionnel, mais on n'en sait pas plus...
quand même à l'issue d'un épisode double critique fort avec les jours critiques physique P18/P19... :
septembre 2015 (12/03/1985)
Je 17 I(26)
Ve 18
Sa 19
Di 20 P(18)
Lu 21 P(19)
Ma 22 E(8)
Me 23
Je 24
Ve 25 I(1)
malaise
Marcoule : un salarié décède, la piste de l’inhalation d’argon “plausible“
L’homme qui avait fait un malaise le 8 septembre dernier sur le chantier de la construction de la nouvelle installation du traitement du linge du site de Marcoule est décédé les dimanche 13 septembre. Une enquête est en cours pour déterminer les causes de son décès, mais d’après nos informations, une piste se dégagerait. Sébastien P., âgé de 28 ans et salarié du sous-traitant du CEA Cofély Endel, une entreprise filiale d’Engie (ex-GDF-Suez), travaillait dans un regard, sur une installation semi-enterrée, et a chuté dans le regard après avoir fait un malaise. (...)
» Pour autant, une piste semble se dégager pour expliquer le décès d’un salarié a priori en pleine force de l’âge. La piste de l’argon Il s’agit de la hypothèse de l’inhalation d’argon, un gaz rare inodore, incolore et sans saveur qui détruit l’oxygène, utilisé notamment pour effectuer des soudures sans risque d’oxydation. Dans ce cas, le salarié aurait succombé à une asphyxie. « C’est une piste plausible, nous a-t-on affirmé du côté des enquêteurs. Mais tant qu’on n’a pas les résultats, on ne peut pas exclure qu’il ait fait un malaise cardiaque, un AVC ou autre chose. » Si la piste de l’inhalation d’argon était confirmée, un autre question se poserait : celle de savoir si les consignes de sécurité ont bien été respectées. « Je ne peux pas vous dire exactement ce que Sébastien P. était en train de faire, ainsi que l’équipement qu’il portait, je n’ai pas ces éléments », affirme Isabelle Fondimare. (...)
https://www.objectifgard.com/2015/09/23/fait-du-jour-marcoule-un-salarie-decede-la-piste-de-linhalation-dargon-plausible/
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L’homme qui avait fait un malaise le 8 septembre dernier sur le chantier de la construction de la nouvelle installation du traitement du linge du site de Marcoule est décédé les dimanche 13 septembre. Une enquête est en cours pour déterminer les causes de son décès, mais d’après nos informations, une piste se dégagerait. Sébastien P., âgé de 28 ans et salarié du sous-traitant du CEA Cofély Endel, une entreprise filiale d’Engie (ex-GDF-Suez), travaillait dans un regard, sur une installation semi-enterrée, et a chuté dans le regard après avoir fait un malaise. (...)
» Pour autant, une piste semble se dégager pour expliquer le décès d’un salarié a priori en pleine force de l’âge. La piste de l’argon Il s’agit de la hypothèse de l’inhalation d’argon, un gaz rare inodore, incolore et sans saveur qui détruit l’oxygène, utilisé notamment pour effectuer des soudures sans risque d’oxydation. Dans ce cas, le salarié aurait succombé à une asphyxie. « C’est une piste plausible, nous a-t-on affirmé du côté des enquêteurs. Mais tant qu’on n’a pas les résultats, on ne peut pas exclure qu’il ait fait un malaise cardiaque, un AVC ou autre chose. » Si la piste de l’inhalation d’argon était confirmée, un autre question se poserait : celle de savoir si les consignes de sécurité ont bien été respectées. « Je ne peux pas vous dire exactement ce que Sébastien P. était en train de faire, ainsi que l’équipement qu’il portait, je n’ai pas ces éléments », affirme Isabelle Fondimare. (...)
https://www.objectifgard.com/2015/09/23/fait-du-jour-marcoule-un-salarie-decede-la-piste-de-linhalation-dargon-plausible/
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émoi
Le village de Mornimont (province de Namur) est en émoi. Une jeune fille a été abusée par un habitant de la localité. Filmée, elle s'est retrouvée sur un site pédopornographique relate les journaux du groupe Sudpresse.
La famille de la victime connaissait l'accusé, décrit par ses proches et connaissances comme quelqu'un d'extrêmement serviable. Selon le quotidien, les faits remonteraient à 2013 et se seraient poursuivis jusqu'il y à peu. L'entourage de la jeune fille est effondré.
"On croit toujours que ça n'arrive qu'aux autres", relate sa maman dans les colonnes du quotidien. "Je suis perdue, je me sens mal de n'avoir rien vu, ni soupçonné. Ma fille ne se confie pas et je ne veux pas la brusquer. Elle a juste dit qu'il y avait eu des choses". L'auteur des faits a été arrêté et est aujourd'hui sous les verrous à la prison de Namur. Il a été régulièrement au contact de jeunes enfants pour avoir été pendant des années "famille d'accueil".
Une confrontation a même eu lieu entre l'auteur présumé des faits et la famille de la victime. "Il était en pleurs. Mais il était incapable de m'expliquer pourquoi il a fait ça. Il m'a promis qu'il n'y avait pas eu pénétration avec ma fille. Je ne réalise même pas ce qui nous arrive".
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1502/Belgique/article/detail/2463864/2015/09/22/Une-jeune-namuroise-se-retrouve-sur-un-site-pedopornographique.dhtml
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http://www.7sur7.be/7s7/fr/1502/Belgique/article/detail/2463864/2015/09/22/Une-jeune-namuroise-se-retrouve-sur-un-site-pedopornographique.dhtml
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pédophile
Vendée: un père de famille mis en examen pour pédophilie L'homme a été incarcéré mi-septembre après trois plaintes. C'est un portefeuille égaré qui est à l'origine de l'enquête. Il y a environ une semaine, un père de trois enfants résidant en Vendée a été mis en examen pour agressions sexuelles et placé en détention provisoire, après la plainte de trois familles, rapportait lundi Ouest France.
L'une des mères d'une victime présumée a expliqué que son fils avait dormi un soir chez cet homme, père de trois filles, qu'elle connaissait bien. D'après elle, son fils aurait dormi dans le lit de cette personne et des photos auraient alors été faites. L'enquête qui remonte à cet été a pu débuter "quand des gendarmes ont trouvé, sur une carte mémoire d'un portefeuille égaré, des photos pédophiles", précise le quotidien.
http://www.bfmtv.com/societe/vendee-un-pere-de-famille-mis-en-examen-pour-pedophilie-916778.html
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http://www.bfmtv.com/societe/vendee-un-pere-de-famille-mis-en-examen-pour-pedophilie-916778.html
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martyr
Enfant martyr de Kanata: contre-interrogatoire incisif
Le ton a changé lors du contre-interrogatoire du fils témoignant contre son père, dans cette triste et sordide histoire rappelant celle d'Aurore l'enfant martyre, à Ottawa.
L'adolescent de 13 ans, qui en avait 11 lors de son évasion du domicile familial, témoigne depuis la semaine dernière. Son père, autrefois affecté à la lutte antiterroriste à la Gendarmerie royale du Canada, est accusé de voies de fait graves, de voies de fait armées, de séquestration et de manquement au devoir de fournir les choses nécessaires à la vie. La belle-mère de l'enfant est aussi accusée.
(...) Le pire épisode aurait débuté lors du voyage en Floride, et aurait pris fin avec sa fuite de sa résidence de Kanata, en février 2013. Il a expliqué qu'il était alors incapable d'endurer davantage de violence et avait fait le choix de quitter le nid familial.
Source : Le Droit le 23 septembre 2015
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=22761&hl=
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calvaire probablement lié à la situation en période critique septennale des 42 ans du père... et des 35 ans de la belle-mère...
(Aurore l'enfant martyre est effectivement un drame de la période critique septennale des 28 ans de M.Anne Houde et des 35 ans de T. Gagnon)
http://cycleshistoire.blogspot.fr/2015/09/aurore-gagnon.html
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=22761&hl=
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calvaire probablement lié à la situation en période critique septennale des 42 ans du père... et des 35 ans de la belle-mère...
(Aurore l'enfant martyre est effectivement un drame de la période critique septennale des 28 ans de M.Anne Houde et des 35 ans de T. Gagnon)
http://cycleshistoire.blogspot.fr/2015/09/aurore-gagnon.html
rage
Triple rage meurtrière à Wilno
Deux victimes ont été tuées près du village de Wilno mardi. La troisième victime a été tuée dans la région de Bancroft.
Un homme de 57 ans pris d'une rage meurtrière a roulé plus de 300 kilomètres et tué trois femmes dans les environs de Wilno, en Ontario, avant d'être arrêté à Ottawa, mardi.
La Police provinciale de l'Ontario (PPO) a pris l'homme en chasse peu après 9h et demandé à tous les résidents des environs de rester à l'intérieur et de verrouiller leurs portes.
Wilno est un village situé à 175 km à l'ouest de la capitale fédérale comptant une importante population d'origine polonaise. Le suspect a ouvert le feu en trois endroits différents avant de prendre la fuite. Deux victimes ont été atteintes par balle dans cette même région située au sud-est du parc provincial Algonquin. Le tireur aurait fait une troisième victime, cette fois dans la région de Bancroft, avant de se diriger vers la capitale.
Le compte Twitter officiel de la Police d'Ottawa a partagé des publications de la PPO indiquant que le suspect avait été arrêté par des agents de police de la capitale, et que les résidents qui étaient confinés à l'intérieur de leurs demeures ou de leurs bureaux étaient désormais libres de se déplacer.
L'arrestation a eu lieu dans l'ouest de la ville, dans le secteur de Kinburn.
Selon plusieurs médias de la région, le tireur serait Basil Borutski, un individu avec un dossier criminel qui aurait récemment été libéré de prison. Selon ces mêmes médias, l'une des victimes serait Anastasia Kuzyk, une agente d'immeuble dans le secteur de Pembroke.
La PPO a indiqué mardi soir par voie de communiqué qu'un bilan complet des événements sera effectué mercredi.
(...)
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=22762&hl=
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(période critique septennale des 56 ans - rythmes courts à voir - sorti de prison en période critique)
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=22762&hl=
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(période critique septennale des 56 ans - rythmes courts à voir - sorti de prison en période critique)
bébé secoué
Affaire du bébé secoué (64) : les parties civiles réclament que le père prenne ses responsabilités
Les pires symptômes du bébé secoué Les faits se sont déroulés à Siros, en 2012. Le 23 septembre 2012, l'enfant, alors âgé de trois mois, était conduit par ses parents aux urgences pédiatriques de l'hôpital de Pau. Gravement blessé, il présentait les pires symptômes du bébé secoué. Son père, un postier de 40 ans originaire de Siros, avait alors été interpellé, puis mis en examen et placé en détention pour " violences sur mineur par ascendant ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente ". Mais il niait toute maltraitance. Lors d'une comparution pour une demande de mise en liberté, il avait expliqué que son bébé avait été pris d'un malaise après avoir bu un biberon et l'avoir secoué pour le réanimer. Une version que personne ne peut attester, le père se trouvant seul avec son fils au moment des faits. Début septembre 2012, le bébé avait été hospitalisé pour une fracture au coude Début septembre, un autre tête-à-tête s'était pourtant mal fini : le bébé avait été hospitalisé pour une fracture du coude. Ainsi que la veille du drame, le pédiatre avait relevé un hématome au front. " À cette époque, il était dans un état de grand épuisement général [...] Ce n'est pas un homme violent. C'est aujourd'hui un homme ravagé qui regrette énormément son geste ", expliquait son avocat, Me Sagardoytho. Le père de famille comparaît libre à partir de ce mardi.
http://www.sudouest.fr/2015/09/22/affaire-du-bebe-secoue-64-les-parties-civiles-reclament-que-le-pere-prenne-ses-responsabilites-2131634-4344.php
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les bébés sont souvent secoués parce qu'ils pleurent beaucoup (fréquemment leur jour critique physique) (pas pu vérifier ici car il faut la date de naissance du bébé) ; (édit une naissance 5/07/2012 (ss.réserve exact.) donne effectivement un jour critique physique P12 le 23 septembre 2012)
un second élément fréquemment présent et en cause est une situation critique du "secoueur"... qui à cause de cela peut "déraper"...
les données que j'ai trouvées ici - (23/07/1972) sous réserve qu'elles soient justes - indiquent effectivement le jour critique émotionnel E1 - jour critique le plus fort de ce cycle des émotions - pour le père, le 23 septembre 2012...
il y a donc ici coïncidence fortuite de deux éléments à risque...
pas trouvé non plus la date de l'hospitalisation de début septembre pour voir si elle date d'un dimanche jour critique émotionnel...
Les pires symptômes du bébé secoué Les faits se sont déroulés à Siros, en 2012. Le 23 septembre 2012, l'enfant, alors âgé de trois mois, était conduit par ses parents aux urgences pédiatriques de l'hôpital de Pau. Gravement blessé, il présentait les pires symptômes du bébé secoué. Son père, un postier de 40 ans originaire de Siros, avait alors été interpellé, puis mis en examen et placé en détention pour " violences sur mineur par ascendant ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente ". Mais il niait toute maltraitance. Lors d'une comparution pour une demande de mise en liberté, il avait expliqué que son bébé avait été pris d'un malaise après avoir bu un biberon et l'avoir secoué pour le réanimer. Une version que personne ne peut attester, le père se trouvant seul avec son fils au moment des faits. Début septembre 2012, le bébé avait été hospitalisé pour une fracture au coude Début septembre, un autre tête-à-tête s'était pourtant mal fini : le bébé avait été hospitalisé pour une fracture du coude. Ainsi que la veille du drame, le pédiatre avait relevé un hématome au front. " À cette époque, il était dans un état de grand épuisement général [...] Ce n'est pas un homme violent. C'est aujourd'hui un homme ravagé qui regrette énormément son geste ", expliquait son avocat, Me Sagardoytho. Le père de famille comparaît libre à partir de ce mardi.
http://www.sudouest.fr/2015/09/22/affaire-du-bebe-secoue-64-les-parties-civiles-reclament-que-le-pere-prenne-ses-responsabilites-2131634-4344.php
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les bébés sont souvent secoués parce qu'ils pleurent beaucoup (fréquemment leur jour critique physique) (pas pu vérifier ici car il faut la date de naissance du bébé) ; (édit une naissance 5/07/2012 (ss.réserve exact.) donne effectivement un jour critique physique P12 le 23 septembre 2012)
un second élément fréquemment présent et en cause est une situation critique du "secoueur"... qui à cause de cela peut "déraper"...
les données que j'ai trouvées ici - (23/07/1972) sous réserve qu'elles soient justes - indiquent effectivement le jour critique émotionnel E1 - jour critique le plus fort de ce cycle des émotions - pour le père, le 23 septembre 2012...
il y a donc ici coïncidence fortuite de deux éléments à risque...
pas trouvé non plus la date de l'hospitalisation de début septembre pour voir si elle date d'un dimanche jour critique émotionnel...
dispute conjugale
Hubert, poignardé par sa femme et sa fille ! La dispute conjugale vire au drame. Hubert est décédé dans sa cuisine.
C’est un drame familial épouvantable qui s’est joué, mardi matin, à Oupeye, en région liégeoise.
Vers 6 h du matin, la police locale a en effet été appelée au domicile d’H S, un prépensionné de Chertal.
L’homme âgé de 56 ans avait été tué de plusieurs coups de couteau dans un contexte de rupture. La veille, en effet, l’épouse de M. S avait signifié à son mari son intention de divorcer. Le ton est monté puis tout le monde a passé la nuit.
Mardi matin, tôt le matin, alors que son épouse était dans la cuisine, H S serait arrivé et aurait alors tenté d’étrangler son épouse.
La dispute a fait un bruit d’enfer à tel point que les deux enfants du couple qui étaient encore au lit, une jeune fille de 25 ans et un jeune homme de 20 ans, ont été réveillés et sont immédiatement descendus de leur chambre.
Voyant ce qui se passait , et selon les premiers éléments de l’enquête, la jeune femme serait intervenue pour obliger son père à lâcher le cou de sa maman. Comme elle n’y arrivait pas, elle aurait saisi un couteau et aurait porté un coup au flanc de son père.
L’homme a lâché prise, mais ne s’est pas calmé pour autant, Comme il était toujours menaçant, la maman aurait alors, à son tour, donné deux coups de couteau à son mari, le touchant une fois en plein cœur. L’homme s’est effondré.
L’alerte a été donnée, mais à l’arrivée des secours, le blessé avait succombé à ses blessures. Les deux femmes ont été privées de liberté et devaient comparaître en toute fin de soirée devant la juge d’instruction Viviane Joliet.
http://www.dhnet.be/actu/faits/hubert-poignarde-par-sa-femme-et-sa-fille-560198763570b0f19ed0aad8
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(période critique des 56 ans pour la victime - âge de l'épouse non précisé - voir aussi mes deux posts précédents)
http://www.dhnet.be/actu/faits/hubert-poignarde-par-sa-femme-et-sa-fille-560198763570b0f19ed0aad8
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(période critique des 56 ans pour la victime - âge de l'épouse non précisé - voir aussi mes deux posts précédents)
drame
Le cadavre d’un homme retrouvé à Evry Ris-Orangis, mardi. Une femme, qui dit avoir tué son mari, a été arrêtée ce mardi après-midi à Draveil. Dans la Seine, les pompiers et la police cherchaient des sacs qu’elle aurait jetés.
C’est un passant qui a donné l’alerte. Depuis 14 h 30 ce mardi, une femme se trouve en garde à vue au commissariat d’Evry. Elle est suspectée d’avoir tué son mari. Une heure trente plus tôt, elle est aperçue à la hauteur du pont qui relie Ris-Orangis à Draveil en train de jeter des sacs a priori remplis dans la Seine.
La police et les pompiers-plongeurs sont dépêchés sur place et passent au crible les eaux et les berges. Des objets ont été retrouvés sans que l’enquête puisse dire à l’heure actuelle s’ils sont liés à l’affaire. Quelques instants plus tard, cette quinquagénaire est interpellée et placée en garde à vue. Les enquêteurs se rendent immédiatement à son domicile, à Evry, et découvrent dans le logement le cadavre de son époux, né en 1958. Sur son visage, des traces de lésions. A 17 heures, les auditions n’avaient pas encore commencé. Des constatations médico-légales, techniques et scientifiques sont en cours.
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=22757&hl=
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(période critique septennale des 56 ans pour l'époux - âge de la femme non précisé. la période critique peut se trouver chez la victime, suscitant parfois tensions et différends, comme peut-être aussi dans le cas précédent)
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=22757&hl=
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(période critique septennale des 56 ans pour l'époux - âge de la femme non précisé. la période critique peut se trouver chez la victime, suscitant parfois tensions et différends, comme peut-être aussi dans le cas précédent)
violences
Le Pecq : l’épouse schizophrène frappe son mari avec un marteau pendant son sommeil
Une femme de 60 ans qui souffre de schizophrénie a tenté de tuer son mari, dans la nuit de samedi à dimanche, au Pecq. C’est vers 2 h 30, au domicile conjugal de l’avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny que la victime, âgée de 63 ans, a été frappée au visage par sa femme armée d’un marteau alors qu’il dormait. Elle se serait brusquement réveillée durant la nuit afin de récupérer l’outil. Elle s’est ensuite rendue dans la chambre à coucher puis a frappé son mari à plusieurs reprises. Présent au moment des faits, le fils du couple, âgé de 29 ans, est intervenu pour ceinturer sa mère, la blessant d’ailleurs au thorax. A l’arrivée des secours, l’homme présentait de nombreuses blessures au visage. Il a été transporté conscient à l’hôpital de Poissy. L’épouse a également été hospitalisée. L’expert psychiatre qui l’a auscultée a conclu qu’elle était consciente et responsable de ses actes au moment de l’agression. Elle soutient de son côté n’avoir aucun souvenir de l’agression. Elle a été placée en garde à vue dans les locaux du commissariat. Cette femme n’est pas une inconnue pour les policiers de Saint-Germain-en-Laye. Elle avait poursuivi en justice des fonctionnaires après une interpellation au cours de laquelle elle s’était rebellée. Elle était ressortie de cette arrestation avec une fracture. Le dossier s’était finalement soldé par la relaxe des policiers. Source Le Parisien le 7 septembre 2015
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=22759&hl=
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je n'avais pas vu que l'article est du 7 septembre donc drame dans la nuit du 5 au 6 septembre.
car un édit, hélas :
Versailles: une détenue au lourd passé psychiatrique se suicide 22/09/2015
Une détenue de 60 ans incarcérée depuis deux semaines, après avoir frappé son mari à coups de marteau, s'est suicidée samedi dans sa cellule à Versailles, a-t-on appris mardi de son avocat, qui a dénoncé "l'irresponsabilité administrative" face à la fragilité psychiatrique de sa cliente. Dans la nuit du samedi 5 au dimanche 6 septembre, cette enseignante de 60 ans, prise d'une crise d'angoisse, s'était réveillée en pleine nuit et avait blessé son mari au visage à coups de marteau à leur domicile du Pecq (Yvelines), selon une source policière. Placée depuis en détention provisoire à la maison d'arrêt pour femmes de Versailles, cette sexagénaire suivie depuis longtemps pour des problèmes psychiatriques s'est pendue "à l'aide d'un collant" alors que sa codétenue était sortie en promenade, selon son avocat, Me Yves Beddouk. Une autopsie est en cours. Pour l'avocat, "l'institution a commis une faute" en ordonnant le placement en détention de sa cliente alors que, selon lui, "elle aurait dû être hospitalisée d'office", au vu de son passif psychiatrique déjà marqué par une tentative de suicide. "Tous les voyants étaient au rouge mais elle n'a pas eu de traitement particulier, il y a un problème", a estimé Me Beddouk. Selon lui, le médecin qui l'a examinée aurait commis "une erreur d'appréciation" en considérant que "son état était compatible avec la garde à vue", tout comme le juge des libertés et de la détention qui a ordonné son incarcération. "À la prison, l'administration pénitentiaire a bien compris qu'il y avait un problème, elle a été envoyée à l'hôpital André-Mignot de Versailles, qui l'a renvoyée en prison", a déploré Me Beddouk.
http://www.bfmtv.com/societe/versailles-une-detenue-au-lourd-passe-psychiatrique-se-suicide-916845.html
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et effectivement il pourrait y avoir un lien avec le jour critique émotionnel les deux drames ayant eu lieu le même jour. (le jour critique émotionnel - déterminé à l'avance - est toujours un jour à risque... dans ces cas - toutefois ici à vérifier)
Une femme de 60 ans qui souffre de schizophrénie a tenté de tuer son mari, dans la nuit de samedi à dimanche, au Pecq. C’est vers 2 h 30, au domicile conjugal de l’avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny que la victime, âgée de 63 ans, a été frappée au visage par sa femme armée d’un marteau alors qu’il dormait. Elle se serait brusquement réveillée durant la nuit afin de récupérer l’outil. Elle s’est ensuite rendue dans la chambre à coucher puis a frappé son mari à plusieurs reprises. Présent au moment des faits, le fils du couple, âgé de 29 ans, est intervenu pour ceinturer sa mère, la blessant d’ailleurs au thorax. A l’arrivée des secours, l’homme présentait de nombreuses blessures au visage. Il a été transporté conscient à l’hôpital de Poissy. L’épouse a également été hospitalisée. L’expert psychiatre qui l’a auscultée a conclu qu’elle était consciente et responsable de ses actes au moment de l’agression. Elle soutient de son côté n’avoir aucun souvenir de l’agression. Elle a été placée en garde à vue dans les locaux du commissariat. Cette femme n’est pas une inconnue pour les policiers de Saint-Germain-en-Laye. Elle avait poursuivi en justice des fonctionnaires après une interpellation au cours de laquelle elle s’était rebellée. Elle était ressortie de cette arrestation avec une fracture. Le dossier s’était finalement soldé par la relaxe des policiers. Source Le Parisien le 7 septembre 2015
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=22759&hl=
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je n'avais pas vu que l'article est du 7 septembre donc drame dans la nuit du 5 au 6 septembre.
car un édit, hélas :
Versailles: une détenue au lourd passé psychiatrique se suicide 22/09/2015
Une détenue de 60 ans incarcérée depuis deux semaines, après avoir frappé son mari à coups de marteau, s'est suicidée samedi dans sa cellule à Versailles, a-t-on appris mardi de son avocat, qui a dénoncé "l'irresponsabilité administrative" face à la fragilité psychiatrique de sa cliente. Dans la nuit du samedi 5 au dimanche 6 septembre, cette enseignante de 60 ans, prise d'une crise d'angoisse, s'était réveillée en pleine nuit et avait blessé son mari au visage à coups de marteau à leur domicile du Pecq (Yvelines), selon une source policière. Placée depuis en détention provisoire à la maison d'arrêt pour femmes de Versailles, cette sexagénaire suivie depuis longtemps pour des problèmes psychiatriques s'est pendue "à l'aide d'un collant" alors que sa codétenue était sortie en promenade, selon son avocat, Me Yves Beddouk. Une autopsie est en cours. Pour l'avocat, "l'institution a commis une faute" en ordonnant le placement en détention de sa cliente alors que, selon lui, "elle aurait dû être hospitalisée d'office", au vu de son passif psychiatrique déjà marqué par une tentative de suicide. "Tous les voyants étaient au rouge mais elle n'a pas eu de traitement particulier, il y a un problème", a estimé Me Beddouk. Selon lui, le médecin qui l'a examinée aurait commis "une erreur d'appréciation" en considérant que "son état était compatible avec la garde à vue", tout comme le juge des libertés et de la détention qui a ordonné son incarcération. "À la prison, l'administration pénitentiaire a bien compris qu'il y avait un problème, elle a été envoyée à l'hôpital André-Mignot de Versailles, qui l'a renvoyée en prison", a déploré Me Beddouk.
http://www.bfmtv.com/societe/versailles-une-detenue-au-lourd-passe-psychiatrique-se-suicide-916845.html
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et effectivement il pourrait y avoir un lien avec le jour critique émotionnel les deux drames ayant eu lieu le même jour. (le jour critique émotionnel - déterminé à l'avance - est toujours un jour à risque... dans ces cas - toutefois ici à vérifier)
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