Le drâme s'est déroulé en plein centre de Périgueux, allée d'Aquitaine Ce lundi, vers 21 heures, un Périgourdin d'une quarantaine d'années a tué sa compagne, à coups de couteau, avant de se donner la mort avec un fusil à pompe. Ce drame s'est déroulé dans une résidence du centre-ville. C'est le fils de cet artisan, âgé de 15 ans, qui a découvert les corps. La nuit était en train de tomber, ce lundi soir, quand un adolescent d'une quinzaine d'années, totalement paniqué, s'est présenté au commissariat de Périgueux. Quelques minutes avant, à deux pas de là, dans l'appartement familial, situé face au Théâtre de l'Odyssée, le jeune homme a découvert les corps, sans vie, de son père, et de son ancienne belle-mère. D'après le procureur de la République, Jean-François Mailhes, cité par Sud Ouest, "la thèse du drame conjugal est privilégiée". D'après les enquêteurs, il y aurait eu une dispute, dans l'appartement, situé au quatrième étage de la résidence de l'Allée d'Aquitaine. L'artisan du bâtiment, âgé d'une quarantaine d'années, aurait, alors, tué son ex-compagne, avec une arme blanche. Il se serait, ensuite, donné la mort à l'aide d'un fusil à pompe. Pourtant, dans l'immeuble, personne n'a entendu, ni les cris, ni le tir. D'après les voisins, le couple s'était séparé, récemment, mais les deux compagnons étaient sur le point de se réconcilier. Ensemble, ils ont un enfant de trois ans.
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/drame-conjugal-perigueux-il-tue-sa-compagne-avant-de-se-suicider-1443500968
140770E22Ma/050672E1Lu
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(ss réserve données justes probable drame de la période critique septennale des 42 ans et jours critiques émotionnels successifs)
édit 30/09 :
Drame conjugal à Périgueux : la thèse d'un meurtre suivi d'un suicide se renforce
Les enquêteurs privilégient la piste du crime passionnel après la découverte des corps sans vie d'un couple bien connu à Périgueux, lundi soir Drame conjugal à Périgueux : la thèse d'un meurtre suivi d'un suicide se renforce C’est vers 21 heures, lundi soir, que policiers et secouristes ont trouvé les corps dans l’appartement allée d’Aquitaine. (...)Les éléments recueillis semblent alimenter la thèse du crime passionnel suivi du suicide. (...)Tout porte à croire que le locataire, Frédéric Beauvieux, 45 ans, a donné des coups à sa compagne, Myriam Vergnier, 43 ans, avant de la tuer en lui assénant plusieurs coups de couteau au thorax. Les policiers ont trouvé sur place une lettre. C'est manifestement après l'avoir rédigée qu'il s'est donné la mort, posant le canon d'un fusil à pompe contre sa poitrine, au niveau du cœur. (...)Huis clos Les témoignages recueillis décrivent un couple traversant une phase compliquée de son histoire. Frédéric Beauvieux et Myriam Vergnier avaient rompu il y a quelques mois mais avaient renoué depuis peu. Ils venaient d'ailleurs de prendre des vacances ensemble. Que s'est-il passé, dans cette phase de réconciliation, pour en arriver à cette conclusion macabre ? C'est toute la difficulté de l'enquête en cours. (...)
Il y a un an, le 25 septembre 2014, un événement avec les mêmes conséquences funestes s'était produit dans une maison de la rue Michel-Roulland, dans le quartier Saint-Martin à Périgueux. Un homme de 44 ans avait tué son ex-compagne de 42 ans avant de se pendre. Ce geste effroyable a fait orphelines deux fillettes, aujourd'hui âgées de 11 et 5 ans.
http://www.sudouest.fr/2015/09/30/la-piste-du-crime-passionnel-2139433-3.php
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apparemment un drame de la période critique septennale des 42 ans et des jours critiques émotionnels successifs... si les données trouvées sont justes :
28/29 septembre 2015 (14/07/1970)(45 ans et deux mois)
Ve 25
Sa 26
Di 27
Lu 28
Ma 29 E(22)
Me 30 P(1)
(entrée lundi soir dans le jour critique émotionnel E22)
28/29 septembre 2015 (5/06/1972)(43 ans et 4 mois)
Je 24
Ve 25
Sa 26 P(18)
Di 27 P(19)
Lu 28 E(1)
Ma 29
Me 30
(épisode triple critique fort avec les jours critiques physique P18/P19 et surtout lundi le jour critique émotionnel E1 - le plus fort des quatre jours critiques de ce cycle - récent passage dans la période critique septennale des 42 ans)
(les deux personnes ont toujours leur jour critique émotionnel lundi et mardi)
je n'ai pas trouvé les données de naissance de l'autre drame cité, du 25 septembre 2014 mais on trouverait probablement aussi un rôle analogue des rythmes courts, pratiquement toujours présents. aussi un drame de la période critique septennale des 42 ans. tout comme le drame (en Allemagne) objet de mon post suivant...
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