Affaire du bébé secoué (64) : les parties civiles réclament que le père prenne ses responsabilités
Les pires symptômes du bébé secoué
Les faits se sont déroulés à Siros, en 2012. Le 23 septembre 2012, l'enfant, alors âgé de trois mois, était conduit par ses parents aux urgences pédiatriques de l'hôpital de Pau. Gravement blessé, il présentait les pires symptômes du bébé secoué. Son père, un postier de 40 ans originaire de Siros, avait alors été interpellé, puis mis en examen et placé en détention pour " violences sur mineur par ascendant ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente ".
Mais il niait toute maltraitance. Lors d'une comparution pour une demande de mise en liberté, il avait expliqué que son bébé avait été pris d'un malaise après avoir bu un biberon et l'avoir secoué pour le réanimer. Une version que personne ne peut attester, le père se trouvant seul avec son fils au moment des faits.
Début septembre 2012, le bébé avait été hospitalisé pour une fracture au coude
Début septembre, un autre tête-à-tête s'était pourtant mal fini : le bébé avait été hospitalisé pour une fracture du coude. Ainsi que la veille du drame, le pédiatre avait relevé un hématome au front.
" À cette époque, il était dans un état de grand épuisement général [...] Ce n'est pas un homme violent. C'est aujourd'hui un homme ravagé qui regrette énormément son geste ", expliquait son avocat, Me Sagardoytho.
Le père de famille comparaît libre à partir de ce mardi.
http://www.sudouest.fr/2015/09/22/affaire-du-bebe-secoue-64-les-parties-civiles-reclament-que-le-pere-prenne-ses-responsabilites-2131634-4344.php
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les bébés sont souvent secoués parce qu'ils pleurent beaucoup (fréquemment leur jour critique physique) (pas pu vérifier ici car il faut la date de naissance du bébé) ; (édit une naissance 5/07/2012 (ss.réserve exact.) donne effectivement un jour critique physique P12 le 23 septembre 2012)
un second élément fréquemment présent et en cause est une situation critique du "secoueur"... qui à cause de cela peut "déraper"...
les données que j'ai trouvées ici - (23/07/1972) sous réserve qu'elles soient justes - indiquent effectivement le jour critique émotionnel E1 - jour critique le plus fort de ce cycle des émotions - pour le père, le 23 septembre 2012...
il y a donc ici coïncidence fortuite de deux éléments à risque...
pas trouvé non plus la date de l'hospitalisation de début septembre pour voir si elle date d'un dimanche jour critique émotionnel...
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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