Ce sont les médecins de l'hôpital de la Timone qui avaient donné l'alerte. Quelque chose ne collait pas dans la version de ce père de famille qui venait de débarquer aux urgences, ce 28 avril 2011. Son bébé venait d'y être admis. Il raconte que les blessures du nourrisson sont dues à la chute de son cosy, lequel était posé sur le comptoir de la cuisine du domicile familial, à Arles. Mais l'hématome sous-dural et les tâches rouges dans les yeux que présente le petit garçon ne sont pas compatibles avec un tel scénario. Les symptômes s'apparentent plutôt à ceux d'un bébé secoué.
Le nourrisson était inanimé à son retour
Le procureur est alerté, et les parents sont aussitôt placés en garde à vue. Très vite, le père avoue avoir secoué l'enfant. La mère explique quant à elle qu'elle avait quitté l'appartement du couple après une dispute avec son conjoint et n'avait pas assisté aux violences. Elle avait retrouvé le nourrisson inanimé à son retour. Questionnée sur d'anciennes fractures aux côtes et à la cheville constatées par le personnel médical, la maman évoque alors un possible lien avec une scène vécue le 31 mars de la même année.
Ce jour-là, son mari se serait enfermé dans une chambre avec son fils et aurait commis des violences. Par texto, la maman avait appelé sa mère au secours : "Viens vite, il fait du mal au petit". Elle non plus n'était pas épargnée par les coups portés par son mari. "Ma cliente a d'abord été poursuivie pour non-assistance à personne en danger, or elle n'a pas assisté directement aux violences, et elle ne pouvait de toute façon pas s'interposer puisqu'elle-même était frappée", explique Me Philippe Ramon, avocat de la mère.
Trois ans de prison dont deux avec sursis
Le 1er septembre dernier, cette dernière a comparu devant le tribunal correctionnel de Tarascon sous la prévention de non-dénonciation de mauvais traitement sur mineur. Le procureur Christian Pasta avait requis une déclaration de culpabilité avec dispense de peine contre la mère et trois ans de prison dont deux avec sursis contre le père, qui a déjà passé un an derrière les barreaux dans le cadre de la détention provisoire. Hier, le juge tarasconnais a rendu sa décision : le père de la victime a écopé de trois ans de prison dont deux avec sursis et la mère de six mois de prison avec sursis. Le couple a aujourd'hui récupéré la garde de l'enfant.
Romain Fauvet
http://www.laprovence.com/article/actualites/3600150/bebe-secoue-les-parents-condamnes-par-le-tribunal-de-tarascon.html
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cet homme pourrait avoir des problèmes avec son jour critique émotionnel, mais cela reste à vérifier au moyen de l'examen des rythmes courts. 28 avril et 31 mars 2011 sont en effet chaque fois un jeudi et séparés de 28 jours, soit la durée exacte du cycle émotionnel.
la prévention consisterait en une information voire une mise en garde : attention au jour critique émotionnel qui est hebdomadaire et peut être notre jour de colère et de dérapage en cas de problèmes. (les bébés ont tendance à être secoués l'un de leurs jours critiques ou l'un des jours ou épisodes critiques de leur gardien - la situation du bébé ainsi que les cycles longs du père, devraient également être vérifiés ici)
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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