http://www.sofoot.com/cate-ancien-de-la-samp-est-mort-151417.html
Catè, ancien de la Samp, est mort
Les supporters de la Sampdoria s’en rappellent encore, même s’il n’évoque pas forcément d’excellents souvenirs.
Le Brésilien Marcos Antonio Lemos Tozzi, 38 ans, plus connu sous le nom de Catè, est décédé hier dans un accident de la route. La Fiat Uno qu’il conduisait s’est explosée contre un camion. L’ancien joueur est mort sur le coup.
Même s'il n’a jamais été une tête d’affiche, Catè avait laissé un bon souvenir dans tous les clubs où il est passé. Enfin, presque tous. Au Brésil, il se fait un nom sous le maillot de San Paolo, club avec lequel il remporte la Coupe Intercontinentale en 1992, contre le Barça. Sa meilleure saison, il la réalise en 1997, avec l’Universidad Catolica au Chili. Il est alors repéré par la Sampdoria.
En Serie A, il disputera 15 matches et inscrira un but, un seul, contre Venezia. A la fin de la saison, la Samp est malheureusement reléguée en Serie B. Après quoi, il retournera au Brésil, où il terminera tranquillement sa carrière.
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lorsque quelqu'un "s'explose" contre un camion ou un platane je vérifie toujours si ce n'est pas arrivé un jour critique émotionnel... (1) et c'est souvent le cas... ici apparemment aussi (veille du jour critique émotionnel E15). (7 November 1973 – 27 December 2011), (pas tout à fait deux mois après son anniversaire)
(1) (le jour critique émotionnel est très fréquemment le "jour du suicide").
samedi 31 décembre 2011
Pyromane
http://www.rtl.be/info/votreregion/hainaut/846961/pour-sauver-son-bebe-des-flammes-il-le-lance-a-un-homme-il-s-agissait-de-l-incendiaire
Pour sauver son bébé des flammes, il le lance à un homme: il s’agissait de l’incendiaire
Un bébé de six mois, grièvement blessé après être tombé sur la tête du premier étage de son immeuble en proie aux flammes dans la nuit de mercredi à jeudi à Renaix, est décédé vendredi après-midi. Son père l’a lancé à un individu situé sous ses fenêtres afin de le lui sauver la vie. L’homme ne l’a pas rattrapé. Il est l’incendiaire présumé.
Un incendie s'est déclaré vers 2Hh0 dans la nuit de mercredi à jeudi dans un immeuble à appartements de la Kruisstraat à Renaix. Les pompiers ont dû évacuer les habitants des différents appartements, via le toit notamment.
Pour le sauver, un père lance son bébé à un homme sur le trottoir
Un bébé de 6 mois et une femme de 56 ans ont été grièvement blessés dans l'incendie. L'enfant avait été jeté du premier étage par son père qui voulait le sauver des flammes, mais il n'a pas été rattrapé et est tombé sur la tête. Au total, six personnes ont été blessées. Le bébé de 6 mois a été hospitalisé dans un état critique.
Il s’agissait de l’incendiaire
L'homme qui était censé attraper le bébé est en fait celui qui a été interpellé et arrêté pour incendie volontaire. Rien ne prouve pour l'instant qu'il ait intentionnellement laissé tomber l'enfant. Le juge d'instruction d'Audenarde a placé sous mandat d'arrêt l’homme de 32 ans.
L'individu a été condamné le 5 mai dernier à trois ans de prison pour un autre incendie. Il bénéficiait depuis du port du bracelet électronique. Le suspect nie être l'auteur de cet incendie.
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Pour sauver son bébé des flammes, il le lance à un homme: il s’agissait de l’incendiaire
Un bébé de six mois, grièvement blessé après être tombé sur la tête du premier étage de son immeuble en proie aux flammes dans la nuit de mercredi à jeudi à Renaix, est décédé vendredi après-midi. Son père l’a lancé à un individu situé sous ses fenêtres afin de le lui sauver la vie. L’homme ne l’a pas rattrapé. Il est l’incendiaire présumé.
Un incendie s'est déclaré vers 2Hh0 dans la nuit de mercredi à jeudi dans un immeuble à appartements de la Kruisstraat à Renaix. Les pompiers ont dû évacuer les habitants des différents appartements, via le toit notamment.
Pour le sauver, un père lance son bébé à un homme sur le trottoir
Un bébé de 6 mois et une femme de 56 ans ont été grièvement blessés dans l'incendie. L'enfant avait été jeté du premier étage par son père qui voulait le sauver des flammes, mais il n'a pas été rattrapé et est tombé sur la tête. Au total, six personnes ont été blessées. Le bébé de 6 mois a été hospitalisé dans un état critique.
Il s’agissait de l’incendiaire
L'homme qui était censé attraper le bébé est en fait celui qui a été interpellé et arrêté pour incendie volontaire. Rien ne prouve pour l'instant qu'il ait intentionnellement laissé tomber l'enfant. Le juge d'instruction d'Audenarde a placé sous mandat d'arrêt l’homme de 32 ans.
L'individu a été condamné le 5 mai dernier à trois ans de prison pour un autre incendie. Il bénéficiait depuis du port du bracelet électronique. Le suspect nie être l'auteur de cet incendie.
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Kim III
Kim III, la démence en héritage
Le Point -
Corée du Nord. Son père mort, Kim Jong-un, 28 ans, devient tyran à la place du tyran. Une succession à haut risque.
http://www.lepoint.fr/monde/kim-iii-la-demence-en-heritage-30-12-2011-1413805_24.php
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les leaders septennaux sont toujours un peu "à risque" car on ne sait pas de quelle façon peut se manifester leur arrivée ou leur situation dans une période critique...
Le Point -
Corée du Nord. Son père mort, Kim Jong-un, 28 ans, devient tyran à la place du tyran. Une succession à haut risque.
http://www.lepoint.fr/monde/kim-iii-la-demence-en-heritage-30-12-2011-1413805_24.php
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les leaders septennaux sont toujours un peu "à risque" car on ne sait pas de quelle façon peut se manifester leur arrivée ou leur situation dans une période critique...
drame de la séparation
http://www.midilibre.fr/2011/12/30/dma-il-tue-sa-compagne-et-se-suicide,437420.php
Hérault Il tue sa compagne et se suicide
Un homme de 61 ans a tué ce matin d’un coup de fusil sa compagne dans une maison de Montbazin, village situé au nord du Bassin de Thau.
Il a ensuite retourné l’arme contre lui. Le couple, originaire de Pignan, était en pleine séparation.
La femme, 47 ans, éducatrice à Clapiers, avait décidé de s’installer chez une amie à Montbazin.
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Hérault Il tue sa compagne et se suicide
Un homme de 61 ans a tué ce matin d’un coup de fusil sa compagne dans une maison de Montbazin, village situé au nord du Bassin de Thau.
Il a ensuite retourné l’arme contre lui. Le couple, originaire de Pignan, était en pleine séparation.
La femme, 47 ans, éducatrice à Clapiers, avait décidé de s’installer chez une amie à Montbazin.
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récidive cyclique
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=3654&st=60&hl=
Romain Hissel a été placé sous mandat d'arrêt et transféré à la prison de Lantin samedi matin, apprend-on de source judiciaire confirmant une information révélée La Dernière Heure.
Le jeune homme avait fugué, il y a deux jours, du centre psychiatrique de Lierneux, rompant ainsi les conditions établies par la justice.
Romain Hissel, 22 ans, avait pu quitter, le 29 août, le centre psychiatrique Le Petit Bourgogne à Liège, sous la condition d'intégrer un centre fermé de soins spécialisés. Il avait rejoint le centre de Lierneux dont il ne pouvait sortir que sous autorisation de la justice et du corps médical. Il y a deux jours, il a néanmoins à nouveau fugué.
Vendredi après-midi, le jeune homme a contacté son avocat qui lui a conseillé de se livrer à la police, ce qu'il a fait en fin d'après-midi en se rendant au commissariat de la rue Darchis. Romain Hissel n'a donné aucune explication sur ce qu'il a fait durant ces deux jours.
Sur base du non-respect des conditions, le jeune homme a été placé sous mandat d'arrêt et transféré, samedi matin, à la prison de Lantin. Il pourrait, dans les prochains mois, faire l'objet d'une mesure d'internement.
Il y a dix jours Romain Hissel avait comparu devant la chambre du conseil de Liège pour répondre de faits qualifiés de menaces et de tentatives de car-jacking après une fuite du Petit Bourgogne, le 16 juin. Le parquet avait requis son internement, sans pour autant imposer un établissement de défense sociale. L'ordonnance dans ce dossier est attendue le 18 janvier.
Source : Belga
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il y a deux jours ce devait être jeudi et il pourrait bien s'agir d'une récidive cyclique annoncée, puisque j'écrivais le 17 juin dernier
http://rythmescycleshumains.blogspot.com/2011/06/evasion.html
"il serait intéressant de voir si Romain Hissel a son jour critique émotionnel le jeudi ou plutôt le vendredi : il avait déjà poignardé son père un jeudi soir...
les "disjonctions" ont lieu de préférence le jour critique émotionnel - c'est à dire toujours le même jour de la semaine, les pulsions du cycle émotionnel étant hebdomadaires. il faut apporter une attention particulière à ce jour-là, notamment chez les personnes qui ont des problèmes, car c'est le jour des réactions émotionnelles... et des "explosions" le cas échéant..."
vendredi 30 décembre 2011
meurtre
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=12638&hl=
Paris : Jeannine, 86 ans, a été massacrée par son voisin serviable...........
Jean-Paul, le voisin, l’ami, le «gars serviable», aurait sauvagement tué Jeannine Gruffy, 86 ans, d’une quarantaine de coups de couteau... pour une carte bleue. ............
Ici, tout le monde se connaît. Depuis des décennies, même. Les locataires, âgés pour la plupart, ont vieilli ensemble, derrière les murs de briques et de pierres de ces bâtiments bien entretenus construits après-guerre, et destinés à loger ceux qui avaient tout perdu dans les bombardements.
Jeannine Gruffy, ancienne employée dans le notariat, veuve depuis le milieu des années 80 et mère d’une fille unique handicapée partie vivre à Toulouse, était arrivée en 1950 dans son petit appartement du deuxième étage. Jean-Paul, le solide déménageur de plus de 130 kilos, l’octogénaire l’a connu alors qu’il gambadait dans le jardinet de la cité: il avait à peine 3 ans. Et depuis, avec son épouse, il ne cessait de proposer ses services à Jeannine. ..................
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pas trouvé d'indication de l'âge du voisin pour l'instant...
Paris : Jeannine, 86 ans, a été massacrée par son voisin serviable...........
Jean-Paul, le voisin, l’ami, le «gars serviable», aurait sauvagement tué Jeannine Gruffy, 86 ans, d’une quarantaine de coups de couteau... pour une carte bleue. ............
Ici, tout le monde se connaît. Depuis des décennies, même. Les locataires, âgés pour la plupart, ont vieilli ensemble, derrière les murs de briques et de pierres de ces bâtiments bien entretenus construits après-guerre, et destinés à loger ceux qui avaient tout perdu dans les bombardements.
Jeannine Gruffy, ancienne employée dans le notariat, veuve depuis le milieu des années 80 et mère d’une fille unique handicapée partie vivre à Toulouse, était arrivée en 1950 dans son petit appartement du deuxième étage. Jean-Paul, le solide déménageur de plus de 130 kilos, l’octogénaire l’a connu alors qu’il gambadait dans le jardinet de la cité: il avait à peine 3 ans. Et depuis, avec son épouse, il ne cessait de proposer ses services à Jeannine. ..................
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pas trouvé d'indication de l'âge du voisin pour l'instant...
jeudi 29 décembre 2011
suicide
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=4169&hl=
Baumettes : suicide d'une mère condamnée à 20 ans de prison pour infanticides
Une mère de famille de 42 ans, condamnée à vingt ans de prison pour avoir tué ses deux enfants de 5 et 9 ans, s’est pendue lundi dans sa cellule des Baumettes. Elle est décédée mardi soir à l’hôpital.
Janice Dauphinat a tenté de mettre fin à ses jours en se pendant lundi dans sa cellule. « Elle était dans une zone où elle faisait l’objet d’une surveillance toute particulière. Elle était connue comme fragile », a expliqué le procureur adjoint de la République M. Fagni.
Transportée à l’hôpital, elle a été hospitalisée en réanimation et est décédée mardi soir en début de soirée.
Durant son procès, la quadragénaire avait reconnu avoir tué, le 15 mars 2009, ses deux enfants, Quentin, 5 ans, et Noélie, 9 ans. Elle avait expliqué son geste par sa volonté de les protéger de leur père. En 2007, dans le cadre de sa procédure de divorce, Janice Dauphinat avait porté plainte contre son mari, l’accusant d’attouchements sexuels sur leur fille. La justice avait classé la plainte sans suite.
Source : Ouest France
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suicide septennal : nous sommes en pleine période critique septennale des 42 ans. la date du double infanticide et déjà tentative de suicide du 15 mars 2009 (pas de période critique des cycles longs à ce moment-là mais un dimanche en fin d'après midi apparemment) peut être mise en parallèle avec le jour du suicide un lundi donc le même jour et possiblement jour critique émotionnel de la personne. cela répondrait aussi, si c'est le cas à la question comment a-t-elle pu en arriver là... mais le jour critique émotionnel reste à vérifier. (native du lundi ?)
Baumettes : suicide d'une mère condamnée à 20 ans de prison pour infanticides
Une mère de famille de 42 ans, condamnée à vingt ans de prison pour avoir tué ses deux enfants de 5 et 9 ans, s’est pendue lundi dans sa cellule des Baumettes. Elle est décédée mardi soir à l’hôpital.
Janice Dauphinat a tenté de mettre fin à ses jours en se pendant lundi dans sa cellule. « Elle était dans une zone où elle faisait l’objet d’une surveillance toute particulière. Elle était connue comme fragile », a expliqué le procureur adjoint de la République M. Fagni.
Transportée à l’hôpital, elle a été hospitalisée en réanimation et est décédée mardi soir en début de soirée.
Durant son procès, la quadragénaire avait reconnu avoir tué, le 15 mars 2009, ses deux enfants, Quentin, 5 ans, et Noélie, 9 ans. Elle avait expliqué son geste par sa volonté de les protéger de leur père. En 2007, dans le cadre de sa procédure de divorce, Janice Dauphinat avait porté plainte contre son mari, l’accusant d’attouchements sexuels sur leur fille. La justice avait classé la plainte sans suite.
Source : Ouest France
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suicide septennal : nous sommes en pleine période critique septennale des 42 ans. la date du double infanticide et déjà tentative de suicide du 15 mars 2009 (pas de période critique des cycles longs à ce moment-là mais un dimanche en fin d'après midi apparemment) peut être mise en parallèle avec le jour du suicide un lundi donc le même jour et possiblement jour critique émotionnel de la personne. cela répondrait aussi, si c'est le cas à la question comment a-t-elle pu en arriver là... mais le jour critique émotionnel reste à vérifier. (native du lundi ?)
des drames récents et leurs points communs
Bulle : Un Suisse tire sur ses deux jeunes enfants, tue le bébé et se suicide : il se trouve à l'entrée dans la période critique septennale des 35 ans.
Fontaine la Comte : Une mère de famille tue sa fille de 10 ans et se suicide : elle se trouve à l'entrée dans sa période critique septennale des 42 ans.
Suicide d'un scénariste canadien dans une chambre d'hôtel à Hollywood : il se trouve en pleine période critique septennale des 63 ans, à l'arrivée de son jour critique émotionnel E1.
Louvain : l'homme de 48 ans qui a tué vendredi soir l'un de ses colocataires avec une hache : se trouvait à l'entrée dans sa période critique septennale des 49 ans.
Troyes : Un policier blessé au genou et l'autre grièvement mordu : un homme en état de furie n'a pu être maîtrisé qu'au Taser : il se trouvait à l'entrée dans sa période critique septennale des 42 ans.
GRAPEVINE, Texas Un homme déguisé en Père Noël a ouvert le feu sur des membres de sa famille tuant six personnes, puis s'est suicidé : il se trouvait en pleine période critique septennale des 56 ans. tuerie et suicide son jour critique émotionnel E1.
l'épouse, parmi les victimes, entre aussi dans sa période critique septennale des 56 ans et se trouve au lendemain de son jour critique émotionnel E1. (compatibilité)
Hazebrouck : Un homme se suicide, écrasé par un train de marchandises : il se trouvait à l'entrée dans sa période critique septennale des 35 ans.
Fresnoy en Gohelle : Un homme tue son épouse d'un coup de fusil de chasse et se suicide. il a probablement sombré dans un conflit ou une dépression de la période critique septennale 56 ans. son épouse se trouvait aussi dans une situation "à risque" (période critique septennale des 42 ans)(compatibilité)
Narbonne : Le forcené interné en hôpital psychiatrique après plus de six heures de discussions et de négociations : il se trouvait à l'entrée dans sa période critique septennale des 63 ans.
Courcouronnes " Le praticien de 57 ans a été interpellé à Courcouronnes les mains ensanglantées. En garde à vue, il a reconnu les faits. Sa maîtresse, âgée de 28 ans, est entre la vie et la mort. présentes ici, les situations en période critiques septennales réciproques (ou à l'issue) (compatibilité), celle des 56 ans pour l'homme et celle des 28 ans pour la femme.
dans tous ces cas l'arrivée, la situation ou le passage dans l'une des périodes critiques septennales des personnes impliquées ont probablement joué un rôle prédominant dans le déclenchement du drame. le jour critique émotionnel est présent également (là où j'ai pu le vérifier au moyen de la date de naissance).
la période critique septennale est une période lors de laquelle - bien plus qu'à d'autres moments - la goutte peut faire déborder la vase, nous pouvons "craquer" ou "disjoncter" lors de situations de tensions, celles-ci étant le propre de ces périodes de possible changement momentané de personnalité, au point parfois de devenir une sorte de piège...
dans les scénarios dramatiques il s'agit fréquemment aussi de personnes qui ont sombré dans de graves dépressions septennales, une forme particulière de dépression directement liée à la période critique septennale...
une prévention consisterait à connaître et comprendre (à l'avance bien sûr) le fonctionnement du mécanisme : on sait que des conflits graves peuvent arriver à tel moment précis en raison d'un cycle naturel de nos émotions ; on lève le pouce et on remet à plus tard... lors d'un différend qui survient à l'arrivée d'une période critique septennale ou durant et même parfois après celle-ci.
on demande un arbitrage et surtout on se rappelle et on s'engage A L'AVANCE à ne pas oublier que l'on va entrer ou que l'on se trouve dans une période à haut risque. (car par un effet voulu et annexe nous sommes plus ou moins désinhibés le moment venu afin d'oublier ou passer outre nos résolutions, justement... : il est donc assez difficile de gérer un épisode de crise qui survient en période critique sauf à s'y attendre et s'y être préparé à l'avance...)
Fontaine la Comte : Une mère de famille tue sa fille de 10 ans et se suicide : elle se trouve à l'entrée dans sa période critique septennale des 42 ans.
Suicide d'un scénariste canadien dans une chambre d'hôtel à Hollywood : il se trouve en pleine période critique septennale des 63 ans, à l'arrivée de son jour critique émotionnel E1.
Louvain : l'homme de 48 ans qui a tué vendredi soir l'un de ses colocataires avec une hache : se trouvait à l'entrée dans sa période critique septennale des 49 ans.
Troyes : Un policier blessé au genou et l'autre grièvement mordu : un homme en état de furie n'a pu être maîtrisé qu'au Taser : il se trouvait à l'entrée dans sa période critique septennale des 42 ans.
GRAPEVINE, Texas Un homme déguisé en Père Noël a ouvert le feu sur des membres de sa famille tuant six personnes, puis s'est suicidé : il se trouvait en pleine période critique septennale des 56 ans. tuerie et suicide son jour critique émotionnel E1.
l'épouse, parmi les victimes, entre aussi dans sa période critique septennale des 56 ans et se trouve au lendemain de son jour critique émotionnel E1. (compatibilité)
Hazebrouck : Un homme se suicide, écrasé par un train de marchandises : il se trouvait à l'entrée dans sa période critique septennale des 35 ans.
Fresnoy en Gohelle : Un homme tue son épouse d'un coup de fusil de chasse et se suicide. il a probablement sombré dans un conflit ou une dépression de la période critique septennale 56 ans. son épouse se trouvait aussi dans une situation "à risque" (période critique septennale des 42 ans)(compatibilité)
Narbonne : Le forcené interné en hôpital psychiatrique après plus de six heures de discussions et de négociations : il se trouvait à l'entrée dans sa période critique septennale des 63 ans.
Courcouronnes " Le praticien de 57 ans a été interpellé à Courcouronnes les mains ensanglantées. En garde à vue, il a reconnu les faits. Sa maîtresse, âgée de 28 ans, est entre la vie et la mort. présentes ici, les situations en période critiques septennales réciproques (ou à l'issue) (compatibilité), celle des 56 ans pour l'homme et celle des 28 ans pour la femme.
dans tous ces cas l'arrivée, la situation ou le passage dans l'une des périodes critiques septennales des personnes impliquées ont probablement joué un rôle prédominant dans le déclenchement du drame. le jour critique émotionnel est présent également (là où j'ai pu le vérifier au moyen de la date de naissance).
la période critique septennale est une période lors de laquelle - bien plus qu'à d'autres moments - la goutte peut faire déborder la vase, nous pouvons "craquer" ou "disjoncter" lors de situations de tensions, celles-ci étant le propre de ces périodes de possible changement momentané de personnalité, au point parfois de devenir une sorte de piège...
dans les scénarios dramatiques il s'agit fréquemment aussi de personnes qui ont sombré dans de graves dépressions septennales, une forme particulière de dépression directement liée à la période critique septennale...
une prévention consisterait à connaître et comprendre (à l'avance bien sûr) le fonctionnement du mécanisme : on sait que des conflits graves peuvent arriver à tel moment précis en raison d'un cycle naturel de nos émotions ; on lève le pouce et on remet à plus tard... lors d'un différend qui survient à l'arrivée d'une période critique septennale ou durant et même parfois après celle-ci.
on demande un arbitrage et surtout on se rappelle et on s'engage A L'AVANCE à ne pas oublier que l'on va entrer ou que l'on se trouve dans une période à haut risque. (car par un effet voulu et annexe nous sommes plus ou moins désinhibés le moment venu afin d'oublier ou passer outre nos résolutions, justement... : il est donc assez difficile de gérer un épisode de crise qui survient en période critique sauf à s'y attendre et s'y être préparé à l'avance...)
accident
http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Un-homme-de-28-ans-decede-des-suites-d-un-accident-de-la-route-a-Plesse-44-_40771-2026760-pere-pdl_filDMA.Htm
Un homme de 28 ans décède des suites d’un accident de la route à Plessé (44)
Un habitant de la commune de Drefféac, près de Pont-Château, est décédé ce mercredi matin au CHU de Nantes des suites de ses blessures.
Ce jeune homme de 28 ans a eu un accident de la route la veille, vers 22 h 30, entre Guémené-Penfao et Plessé, sur une route départementale, à hauteur du lieu-dit « La Brousse-aux-Cerfs ». D’après la gendarmerie, à la sortie d’une courbe à gauche, il a perdu le contrôle de sa Peugeot 605 et a percuté un arbre. Les pompiers l’ont désincarcéré avant de le transporter à Nantes. Afin d’établir les crconstances de cet accident, la gendarmerie a ouvert une enquête.
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Un homme de 28 ans décède des suites d’un accident de la route à Plessé (44)
Un habitant de la commune de Drefféac, près de Pont-Château, est décédé ce mercredi matin au CHU de Nantes des suites de ses blessures.
Ce jeune homme de 28 ans a eu un accident de la route la veille, vers 22 h 30, entre Guémené-Penfao et Plessé, sur une route départementale, à hauteur du lieu-dit « La Brousse-aux-Cerfs ». D’après la gendarmerie, à la sortie d’une courbe à gauche, il a perdu le contrôle de sa Peugeot 605 et a percuté un arbre. Les pompiers l’ont désincarcéré avant de le transporter à Nantes. Afin d’établir les crconstances de cet accident, la gendarmerie a ouvert une enquête.
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infanticide et suicide
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=38302
Un Suisse tire sur ses deux jeunes enfants et tue le bébé
" Un homicide et une tentative d'homicide ont été commis mercredi en fin d'après-midi dans un immeuble à Bulle, en Suisse. Un père de famille a grièvement blessé sa fille de 6 ans et tué son bébé de deux mois. Après son acte, il a pris la fuite et s'est donné la mort.
En fin d'après-midi, la police cantonale fribourgeoise est intervenue dans un appartement d'un immeuble à Bulle. La mère, âgée de 23 ans, l'a informée que son concubin, un ressortissant portugais de 34 ans, avait tiré sur leurs deux filles, une enfant de six ans et un bébé de deux mois.
Les deux jeunes enfants étaient grièvement blessées. Arrivés sur les lieux, les ambulanciers ont emmené l'aînée à l'hôpital, alors que le bébé est mort sur place. La mère a indiqué que l'auteur avait pris la fuite à pied, une arme à la main.
Un important dispositif policier a été déployé pour retrouver l'auteur. Dans la soirée, son corps a été découvert, une arme de poing à ses côtés, dans une forêt avoisinante, endroit où il s'est donné la mort. Une enquête est en cours auprès du Ministère public."
Source : BELGA (29 décembre 2011
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probable drame septennal à l'arrivée de la période critique septennale des 35 ans...
édit :
http://www.tdg.ch/actu/suisse/drame-bulle-fillette-decedee-2011-12-30
La fillette de six ans grièvement blessée mercredi par son père avec une arme de poing à Bulle (FR) n’a pas survécu.
Mercredi en fin d’après-midi, dans un immeuble à Bulle, un père de famille a tiré sur ses deux enfants. Une dispute survenue mardi soir serait à l’origine du drame. La mère des deux enfants aurait demandé au père de quitter le domicile.
Un Suisse tire sur ses deux jeunes enfants et tue le bébé
" Un homicide et une tentative d'homicide ont été commis mercredi en fin d'après-midi dans un immeuble à Bulle, en Suisse. Un père de famille a grièvement blessé sa fille de 6 ans et tué son bébé de deux mois. Après son acte, il a pris la fuite et s'est donné la mort.
En fin d'après-midi, la police cantonale fribourgeoise est intervenue dans un appartement d'un immeuble à Bulle. La mère, âgée de 23 ans, l'a informée que son concubin, un ressortissant portugais de 34 ans, avait tiré sur leurs deux filles, une enfant de six ans et un bébé de deux mois.
Les deux jeunes enfants étaient grièvement blessées. Arrivés sur les lieux, les ambulanciers ont emmené l'aînée à l'hôpital, alors que le bébé est mort sur place. La mère a indiqué que l'auteur avait pris la fuite à pied, une arme à la main.
Un important dispositif policier a été déployé pour retrouver l'auteur. Dans la soirée, son corps a été découvert, une arme de poing à ses côtés, dans une forêt avoisinante, endroit où il s'est donné la mort. Une enquête est en cours auprès du Ministère public."
Source : BELGA (29 décembre 2011
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probable drame septennal à l'arrivée de la période critique septennale des 35 ans...
édit :
http://www.tdg.ch/actu/suisse/drame-bulle-fillette-decedee-2011-12-30
La fillette de six ans grièvement blessée mercredi par son père avec une arme de poing à Bulle (FR) n’a pas survécu.
Mercredi en fin d’après-midi, dans un immeuble à Bulle, un père de famille a tiré sur ses deux enfants. Une dispute survenue mardi soir serait à l’origine du drame. La mère des deux enfants aurait demandé au père de quitter le domicile.
mercredi 28 décembre 2011
éléments pulsions
ou moteurs d'un drame
un petit rappel rapide à propos de ma théorie car ce sont toujours les mêmes éléments qu'il faut rechercher - et qui sont généralement présents en tant que contributeurs au déclenchement - après un drame, mais qui peuvent aussi, pour cela, aider à parfois prévenir (tous ces éléments étant connus à l'avance) :
(par ordre d'importance)
- périodes critiques septennales : autour de nos âges de la table de sept (cycle psychique et émotionnel à pulsations septennales, çàd induisant des pulsions (parfois de graves dépressions) lors de la survenance de nos années de vie de la table de sept)
- jour critique émotionnel : cycle psychique à pulsations chaque septième jour de notre vie, de ce fait toujours le jour de la semaine où nous sommes nés. (également possibles survenances d'états de "dépression foudroyante" déjà dès la veille au soir)
- proximité date anniversaire : fréquemment présente dans certains types de faits divers graves, mais aussi suicides ; je considère quatre semaines avant et quatre semaines après la date anniversaire.
- jour critique physique : chaque sixième jour de notre vie mais certains plus que les autres (P1 et P18/P19 notamment) c'est à dire jour 1 du cycle de 23 jours, et jours 18 et/ou 19 du cycle.
- jour critique intellectuel : cycle de 33 jours essentiellement remarquable par les faits divers survenant le premier jour du cycle (E1) surtout... aussi, mais moins, les autres jours critiques du cycle.
- période critique sextennale : cycle physique et psychique à pulsation chaque sixième année de notre vie - mais s'agissant d'un cycle de 23 années ce sont surtout certaines années qui semblent plus fréquemment présentes : âge de 23 ans, 47 ans notamment.
- période critique octonale : cycle de 33 années essentiellement remarquable par les faits divers arrivant à 33 ans : première années de démarrage d'un nouveau cycle intellectuel (de la pensée) de 33 ans.
certains de ces éléments sont donc fort nombreux (pas tous heureusement, ce qui permet aisément de les repérer) et rythment notre quotidien - (le jour critique émotionnel est hebdomadaire, par exemple...) et, bien qu'étant prévus pour avoir un rôle utile, ils constituent fréquemment des épisodes "à risque" de tension, car épisodes à la fois de pulsions (nous sommes poussés à agir, à réagir, alors que simultanément nous sommes désinhibés afin que nous ayons moins peur d'agir.
(dans la version "mauvais sens" ou "mauvais usage" des pulsions, c'est cet effet de pulsions accompagné de moins d'inhibitions voire de désinhibition qui peut donner lieu à des drames très divers comme les drames familiaux et conjugaux, suicides, agressions de certain type, etc...)
pratiquement tous les drame familiaux et individuels que je cite dans mes posts relèvent de ce mécanisme... et ce sont la grande majorité des drames qui illustrent tristement l'actualité.
(les jours critiques (émotionnels, physiques et intellectuels) sont calculés et indiqués ici :
http://biorythm.online.fr/w/ )
un petit rappel rapide à propos de ma théorie car ce sont toujours les mêmes éléments qu'il faut rechercher - et qui sont généralement présents en tant que contributeurs au déclenchement - après un drame, mais qui peuvent aussi, pour cela, aider à parfois prévenir (tous ces éléments étant connus à l'avance) :
(par ordre d'importance)
- périodes critiques septennales : autour de nos âges de la table de sept (cycle psychique et émotionnel à pulsations septennales, çàd induisant des pulsions (parfois de graves dépressions) lors de la survenance de nos années de vie de la table de sept)
- jour critique émotionnel : cycle psychique à pulsations chaque septième jour de notre vie, de ce fait toujours le jour de la semaine où nous sommes nés. (également possibles survenances d'états de "dépression foudroyante" déjà dès la veille au soir)
- proximité date anniversaire : fréquemment présente dans certains types de faits divers graves, mais aussi suicides ; je considère quatre semaines avant et quatre semaines après la date anniversaire.
- jour critique physique : chaque sixième jour de notre vie mais certains plus que les autres (P1 et P18/P19 notamment) c'est à dire jour 1 du cycle de 23 jours, et jours 18 et/ou 19 du cycle.
- jour critique intellectuel : cycle de 33 jours essentiellement remarquable par les faits divers survenant le premier jour du cycle (E1) surtout... aussi, mais moins, les autres jours critiques du cycle.
- période critique sextennale : cycle physique et psychique à pulsation chaque sixième année de notre vie - mais s'agissant d'un cycle de 23 années ce sont surtout certaines années qui semblent plus fréquemment présentes : âge de 23 ans, 47 ans notamment.
- période critique octonale : cycle de 33 années essentiellement remarquable par les faits divers arrivant à 33 ans : première années de démarrage d'un nouveau cycle intellectuel (de la pensée) de 33 ans.
certains de ces éléments sont donc fort nombreux (pas tous heureusement, ce qui permet aisément de les repérer) et rythment notre quotidien - (le jour critique émotionnel est hebdomadaire, par exemple...) et, bien qu'étant prévus pour avoir un rôle utile, ils constituent fréquemment des épisodes "à risque" de tension, car épisodes à la fois de pulsions (nous sommes poussés à agir, à réagir, alors que simultanément nous sommes désinhibés afin que nous ayons moins peur d'agir.
(dans la version "mauvais sens" ou "mauvais usage" des pulsions, c'est cet effet de pulsions accompagné de moins d'inhibitions voire de désinhibition qui peut donner lieu à des drames très divers comme les drames familiaux et conjugaux, suicides, agressions de certain type, etc...)
pratiquement tous les drame familiaux et individuels que je cite dans mes posts relèvent de ce mécanisme... et ce sont la grande majorité des drames qui illustrent tristement l'actualité.
(les jours critiques (émotionnels, physiques et intellectuels) sont calculés et indiqués ici :
http://biorythm.online.fr/w/ )
drame septennal
http://poitou-charentes.france3.fr/info/drame-familial-a-fontaine-le-comte-71822594.html
Drame familial à Fontaine-le-Comte
Une mère de famille tue sa fille de 10 ans et se suicide avec l'arme de service de son mari.
Les faits se sont déroulés hier après-midi. Selon des sources judiciaires, une femme de 41 ans a tué sa fille de 10 ans tout en se suicidant. Un seul coup de feu aurait été entendu.
Le père et un autre de leurs enfants de 6 ans, se trouvaient, au même moment, dans une autre partie de la maison. La femme aurait utilisé l'arme de service de son mari. Une enquête est en cours.
===================
probable drame de l'entrée dans la période critique septennale des 42 ans (suicide septennal, sous réserve que l'âge indiqué soit exact : l'arrivée d'une période critique septennale peut entraîner de gravissimes états de dépression - on peut encore vérifier ici s'il y a passage à l'acte le jour critique émotionnel, ce qui est fréquemment le cas).
Drame familial à Fontaine-le-Comte
Une mère de famille tue sa fille de 10 ans et se suicide avec l'arme de service de son mari.
Les faits se sont déroulés hier après-midi. Selon des sources judiciaires, une femme de 41 ans a tué sa fille de 10 ans tout en se suicidant. Un seul coup de feu aurait été entendu.
Le père et un autre de leurs enfants de 6 ans, se trouvaient, au même moment, dans une autre partie de la maison. La femme aurait utilisé l'arme de service de son mari. Une enquête est en cours.
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probable drame de l'entrée dans la période critique septennale des 42 ans (suicide septennal, sous réserve que l'âge indiqué soit exact : l'arrivée d'une période critique septennale peut entraîner de gravissimes états de dépression - on peut encore vérifier ici s'il y a passage à l'acte le jour critique émotionnel, ce qui est fréquemment le cas).
suicide
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/arts_et_spectacles/2011/12/27/001-suicide-joseph-bodolai.shtml
Suicide d'un scénariste canadien dans une chambre d'hôtel à Hollywood
Le scénariste d'origine canadienne Joseph Bodolai, qui a notamment travaillé pour « Saturday Night Live », s'est suicidé dans une chambre d'hôtel de Hollywood.
Selon Craig Harvey, le porte-parole du bureau du coroner de Los Angeles, le personnel de l'établissement a trouvé le corps de l'homme de 63 ans vers 13 h 30 lundi au Re-Tan Hotel. Il louait la chambre depuis le 19 décembre.
M. Harvey a révélé mardi que M. Bodolai avait bu un mélange de Gatorade et d'antigel. Sa mort a été classée comme étant un suicide.
Le commandant de police Andrew Smith a précisé que le natif de Toronto n'avait laissé aucune lettre.
Mais le dernier message qu'il avait mis en ligne sur son blogue personnel était plutôt sinistre.
Daté du 23 décembre et intitulé « Si aujourd'hui était le dernier jour de votre vie, que feriez-vous? », le texte dressait la liste des regrets et des bons coups de son auteur.
......................
================
il s'agit d'un suicide septennal à l'âge de 63 ans et 7 mois, à l'arrivée d'un jour doublement critique : jour critique émotionnel E1 (le plus "fort" des quatre jours critiques de ce cycle) et intellectuel i9. suit le jour critique physique P12 donc un ensemble "à risque".
le 23 décembre était effectivement aussi critique, s'agissant de l'épisode physique P6/P7.
l'élément important reste cependant la période critique des 63 ans et la dépression septennale qu'elle peut amener.
le 19/20 décembre était un autre épisode doublement critique. (location de la chambre d'hôtel)
décembre 2011 (11/05/1948)
Lu 19 I(1)
Ma 20 E(22)
Me 21
Je 22 P(6)
Ve 23 P(7)
Sa 24
Di 25
Lu 26
Ma 27 E(1) I(9)
Me 28 P(12)
Je 29
Ve 30
Sa 31
Suicide d'un scénariste canadien dans une chambre d'hôtel à Hollywood
Le scénariste d'origine canadienne Joseph Bodolai, qui a notamment travaillé pour « Saturday Night Live », s'est suicidé dans une chambre d'hôtel de Hollywood.
Selon Craig Harvey, le porte-parole du bureau du coroner de Los Angeles, le personnel de l'établissement a trouvé le corps de l'homme de 63 ans vers 13 h 30 lundi au Re-Tan Hotel. Il louait la chambre depuis le 19 décembre.
M. Harvey a révélé mardi que M. Bodolai avait bu un mélange de Gatorade et d'antigel. Sa mort a été classée comme étant un suicide.
Le commandant de police Andrew Smith a précisé que le natif de Toronto n'avait laissé aucune lettre.
Mais le dernier message qu'il avait mis en ligne sur son blogue personnel était plutôt sinistre.
Daté du 23 décembre et intitulé « Si aujourd'hui était le dernier jour de votre vie, que feriez-vous? », le texte dressait la liste des regrets et des bons coups de son auteur.
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il s'agit d'un suicide septennal à l'âge de 63 ans et 7 mois, à l'arrivée d'un jour doublement critique : jour critique émotionnel E1 (le plus "fort" des quatre jours critiques de ce cycle) et intellectuel i9. suit le jour critique physique P12 donc un ensemble "à risque".
le 23 décembre était effectivement aussi critique, s'agissant de l'épisode physique P6/P7.
l'élément important reste cependant la période critique des 63 ans et la dépression septennale qu'elle peut amener.
le 19/20 décembre était un autre épisode doublement critique. (location de la chambre d'hôtel)
décembre 2011 (11/05/1948)
Lu 19 I(1)
Ma 20 E(22)
Me 21
Je 22 P(6)
Ve 23 P(7)
Sa 24
Di 25
Lu 26
Ma 27 E(1) I(9)
Me 28 P(12)
Je 29
Ve 30
Sa 31
sclérose
http://www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/sante/201108/02/01-4422753-une-trifluvienne-reclame-le-droit-de-mourir.php
Une Trifluvienne réclame le droit de mourir
(Trois-Rivières) Elle a les yeux pétillants, un sourire contagieux. Assise à la table de sa cuisine, elle ne laisse rien transpirer du drame qui frappe toute sa personne depuis 2007.
.....................
Ginette Leblanc, une femme active, sportive et passionnée de la vie, souffre de sclérose latérale amyotrophique, une maladie dégénérative jugée incurable.
..................
La Trifluvienne de 47 ans perdra d'abord l'usage de ses membres et tout son tonus musculaire s'affaissera. Elle devra bientôt dépendre entièrement des autres pour sa toilette personnelle, sera confinée au lit jour et nuit, perdra l'usage de la parole puis mourra éventuellement d'un arrêt respiratoire. «Moi qui suis claustrophobe! Je ne veux pas mourir étouffée», dit-elle. «Je ne veux pas vivre au lit tout le temps.»
Ginette Leblanc a communiqué avec Le Nouvelliste, pour tenter de trouver quelqu'un qui pourrait l'aider à choisir le moment de sa mort, avant que les plus grandes et les plus angoissantes souffrances surviennent.
«J'ai demandé à mon neurologue, mais je n'ai toujours pas de réponse», dit-elle.
Mme Leblanc estime qu'avec un tel pronostic pour sa santé, elle devrait humainement avoir le droit d'abréger ses souffrances au moment où elles deviendront intolérables.
Au Canada, la loi ne permet pas le suicide assisté. On se souviendra du cas de Sue Rodriguez, elle aussi atteinte de sclérose latérale amyotrophique, qui avait porté une requête jusqu'en Cour suprême, au début des années 1990, afin d'obtenir de l'aide d'un médecin pour mettre fin à ses jours.
La cour avait rejeté ses arguments. Toutefois, en 2008, un jury québécois a malgré tout acquitté Stéphan Dufour d'accusations de suicide assisté alors qu'il avait admis mettre à la disposition de son oncle lourdement handicapé les objets qui lui ont permis de se suicider.
Ginette Leblanc a l'intention de prendre toutes les tribunes qui seront mises à sa disposition dans les médias pour demander qu'une assistance au suicide soit permise au pays dans le cas de maladies incurables comme la sienne. Elle va même plus loin et estime qu'il faudrait rendre ce processus facilement disponible aux personnes qui en ont besoin lorsqu'elles estiment avoir suffisamment souffert.
Quand la vie glisse entre les doigts...
C'est en 2007 que le premier symptôme de la maladie est apparu. Alors qu'elle s'en allait rencontrer des clients, Ginette Leblanc a constaté que son pied gauche était «tombant». Au fil des mois, elle doit avoir recours à une canne pour se déplacer, puis à des béquilles,
La douleur gagne vite le dos. Les spasmes envahissent tout son corps. En mars 2009, le fauteuil roulant s'impose. «J'avais tellement mal que je pleurais tout le temps. Il a fallu que je prenne des antidépresseurs», dit-elle. «J'ai dépensé 2000 $ en frais de chiro et de physiothérapeute, mais ça n'a donné aucun résultat», dit-elle.
.........................
==================
Sue Rodriguez (August 2, 1950 – February 12, 1994) was an advocate of assisted suicide.
Rodriguez, who lived in Victoria, British Columbia, was diagnosed with amyotrophic lateral sclerosis (ALS) in early 1991.
====================
http://www.cyberpresse.ca/le-quotidien/actualites/200812/12/01-809872-stephan-dufour-est-acquitte.php
Ce matin, au Palais de justice d'Alma, au Lac-Saint-Jean, Stéphan Dufour a été reconnu non-coupable, lui qui était accusé d'avoir aidé son oncle malade à s'enlever la vie, le 9 septembre 2006. Chantal Maltais, âgé de 49 ans au moment du drame, s'est pendu à l'intérieur de la garde-robe de sa chambre, grâce à un collier étrangleur installé par son neveu deux jours plus tôt.
====================
on peut ici aussi relever la curieuse coïncidence des maladies et suicides septennaux dans les trois cas cités... 2007 donne période critique septennale des 42 ans pour Ginette Leblanc, 1991 donne la même période pour Sue Rodriguez, alors que le dernier cas cité est un suicide septennal à 49 ans.
Une Trifluvienne réclame le droit de mourir
(Trois-Rivières) Elle a les yeux pétillants, un sourire contagieux. Assise à la table de sa cuisine, elle ne laisse rien transpirer du drame qui frappe toute sa personne depuis 2007.
.....................
Ginette Leblanc, une femme active, sportive et passionnée de la vie, souffre de sclérose latérale amyotrophique, une maladie dégénérative jugée incurable.
..................
La Trifluvienne de 47 ans perdra d'abord l'usage de ses membres et tout son tonus musculaire s'affaissera. Elle devra bientôt dépendre entièrement des autres pour sa toilette personnelle, sera confinée au lit jour et nuit, perdra l'usage de la parole puis mourra éventuellement d'un arrêt respiratoire. «Moi qui suis claustrophobe! Je ne veux pas mourir étouffée», dit-elle. «Je ne veux pas vivre au lit tout le temps.»
Ginette Leblanc a communiqué avec Le Nouvelliste, pour tenter de trouver quelqu'un qui pourrait l'aider à choisir le moment de sa mort, avant que les plus grandes et les plus angoissantes souffrances surviennent.
«J'ai demandé à mon neurologue, mais je n'ai toujours pas de réponse», dit-elle.
Mme Leblanc estime qu'avec un tel pronostic pour sa santé, elle devrait humainement avoir le droit d'abréger ses souffrances au moment où elles deviendront intolérables.
Au Canada, la loi ne permet pas le suicide assisté. On se souviendra du cas de Sue Rodriguez, elle aussi atteinte de sclérose latérale amyotrophique, qui avait porté une requête jusqu'en Cour suprême, au début des années 1990, afin d'obtenir de l'aide d'un médecin pour mettre fin à ses jours.
La cour avait rejeté ses arguments. Toutefois, en 2008, un jury québécois a malgré tout acquitté Stéphan Dufour d'accusations de suicide assisté alors qu'il avait admis mettre à la disposition de son oncle lourdement handicapé les objets qui lui ont permis de se suicider.
Ginette Leblanc a l'intention de prendre toutes les tribunes qui seront mises à sa disposition dans les médias pour demander qu'une assistance au suicide soit permise au pays dans le cas de maladies incurables comme la sienne. Elle va même plus loin et estime qu'il faudrait rendre ce processus facilement disponible aux personnes qui en ont besoin lorsqu'elles estiment avoir suffisamment souffert.
Quand la vie glisse entre les doigts...
C'est en 2007 que le premier symptôme de la maladie est apparu. Alors qu'elle s'en allait rencontrer des clients, Ginette Leblanc a constaté que son pied gauche était «tombant». Au fil des mois, elle doit avoir recours à une canne pour se déplacer, puis à des béquilles,
La douleur gagne vite le dos. Les spasmes envahissent tout son corps. En mars 2009, le fauteuil roulant s'impose. «J'avais tellement mal que je pleurais tout le temps. Il a fallu que je prenne des antidépresseurs», dit-elle. «J'ai dépensé 2000 $ en frais de chiro et de physiothérapeute, mais ça n'a donné aucun résultat», dit-elle.
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Sue Rodriguez (August 2, 1950 – February 12, 1994) was an advocate of assisted suicide.
Rodriguez, who lived in Victoria, British Columbia, was diagnosed with amyotrophic lateral sclerosis (ALS) in early 1991.
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http://www.cyberpresse.ca/le-quotidien/actualites/200812/12/01-809872-stephan-dufour-est-acquitte.php
Ce matin, au Palais de justice d'Alma, au Lac-Saint-Jean, Stéphan Dufour a été reconnu non-coupable, lui qui était accusé d'avoir aidé son oncle malade à s'enlever la vie, le 9 septembre 2006. Chantal Maltais, âgé de 49 ans au moment du drame, s'est pendu à l'intérieur de la garde-robe de sa chambre, grâce à un collier étrangleur installé par son neveu deux jours plus tôt.
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on peut ici aussi relever la curieuse coïncidence des maladies et suicides septennaux dans les trois cas cités... 2007 donne période critique septennale des 42 ans pour Ginette Leblanc, 1991 donne la même période pour Sue Rodriguez, alors que le dernier cas cité est un suicide septennal à 49 ans.
baby-sitter
un baby-sitter tue une fillette à coups de brique puis la découpe à la scie
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=38295
" Un Américain de 39 ans a avoué à la police avoir tué à coups de brique la fillette d'un ami dont il avait la garde, puis avoir découpé son corps à la scie, a-t-on appris auprès des forces de l'ordre mardi.
La police avait lancé des recherches vendredi pour retrouver la jeune victime, Aliahna Lemmon, 9 ans, après sa disparition. Le baby-sitter, Michael Plumadore, originaire de l'Indiana, avait d'abord expliqué aux autorités que, selon ses soeurs qu'il gardait également, la fillette avait quitté le domicile vendredi matin avec sa mère et qu'il ne s'en était rendu compte que dans la soirée.
À coups de briques
Mais après un interrogatoire de plusieurs heures lundi, il a avoué le meurtre. Selon la police, Plumadore se serait acharné sur la jeune fille à coups de brique sur la tête, jeudi matin, alors qu'il en avait la garde.
Il aurait ensuite porté le corps à l'intérieur de sa caravane, l'aurait enveloppé dans un sac poubelle et placé dans son congélateur. Plus tard dans la soirée, il aurait ressorti le cadavre et l'aurait découpé en morceaux "à l'aide d'une scie" puis "mis les morceaux un à un dans des sacs".
Il s'en serait enfin débarrassé dans une benne à ordures, toujours selon ses aveux. La tête, les pieds et les mains d'Aliahna Lemmon ont cependant été retrouvés dans le congélateur. "Il nous manque encore un mobile", a souligné un porte-parole de la police."
================
l'intéressé est né le 16 novembre 1972 et nous pouvons donc regarder sa situation cyclique le jeudi où d'après l'article, il aurait tué l'enfant à coup de briques... :
décembre 2011 (16/11/1972)
Lu 19 P(18)
Ma 20 P(19)
Me 21
Je 22 E(1)
Ve 23 I(26)
Sa 24
Di 25 P(1)
la réponse au moins partielle au mobile de ce crime se trouve alors effectivement dans la présence du jour critique émotionnel E1 (le plus fort des quatre jours critiques de notre cycle psychique et émotionnel)(naissance jeudi/crime jeudi : le jour critique émotionnel - "jour pulsions" - est toujours le jour de la semaine où on est né)
(39 ans n'est pas une année critique, mais l'intéressé se trouve aussi à proximité de sa date anniversaire : je retiens en général quatre semaines, comme "élément pulsions", mais ici c'est un peu plus)
à noter également le jour critique intellectuel du vendredi 23 puis la survenance du jour critique physique P1 (autre "jour pulsions" important), le dimanche 25. Plumadore vient donc de passer dans P18/P19 (P1 étant la suite logique).
ce serait à vérifier au moyen de l'informatique en recoupant de nombreux cas, mais la présence de certains éléments pulsions "forts" est très fréquente, voire majoritaire, et on les retrouve presque tous ici, du moins les plus importants :
- jours critique émotionnel (E1 étant le plus fort des quatre)
- jours critiques physiques P18/19 suivis de P1.
- proximité date anniversaire
- la période critique septennale autre élément "fort" n'est pas présente ici.
on peut supposer que la fillette a réagit avec vigueur à une probable agression ou tentative d'agression de l'intéressé et que celui-ci ait alors "disjoncté"...
l'intéressé a "démarré" ses actes de délinquance avec le survenue de sa période critique septennale des 28 ans puisqu'il a été condamné pour deux faits d'autre nature en 1999 et 2000.
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=38295
" Un Américain de 39 ans a avoué à la police avoir tué à coups de brique la fillette d'un ami dont il avait la garde, puis avoir découpé son corps à la scie, a-t-on appris auprès des forces de l'ordre mardi.
La police avait lancé des recherches vendredi pour retrouver la jeune victime, Aliahna Lemmon, 9 ans, après sa disparition. Le baby-sitter, Michael Plumadore, originaire de l'Indiana, avait d'abord expliqué aux autorités que, selon ses soeurs qu'il gardait également, la fillette avait quitté le domicile vendredi matin avec sa mère et qu'il ne s'en était rendu compte que dans la soirée.
À coups de briques
Mais après un interrogatoire de plusieurs heures lundi, il a avoué le meurtre. Selon la police, Plumadore se serait acharné sur la jeune fille à coups de brique sur la tête, jeudi matin, alors qu'il en avait la garde.
Il aurait ensuite porté le corps à l'intérieur de sa caravane, l'aurait enveloppé dans un sac poubelle et placé dans son congélateur. Plus tard dans la soirée, il aurait ressorti le cadavre et l'aurait découpé en morceaux "à l'aide d'une scie" puis "mis les morceaux un à un dans des sacs".
Il s'en serait enfin débarrassé dans une benne à ordures, toujours selon ses aveux. La tête, les pieds et les mains d'Aliahna Lemmon ont cependant été retrouvés dans le congélateur. "Il nous manque encore un mobile", a souligné un porte-parole de la police."
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l'intéressé est né le 16 novembre 1972 et nous pouvons donc regarder sa situation cyclique le jeudi où d'après l'article, il aurait tué l'enfant à coup de briques... :
décembre 2011 (16/11/1972)
Lu 19 P(18)
Ma 20 P(19)
Me 21
Je 22 E(1)
Ve 23 I(26)
Sa 24
Di 25 P(1)
la réponse au moins partielle au mobile de ce crime se trouve alors effectivement dans la présence du jour critique émotionnel E1 (le plus fort des quatre jours critiques de notre cycle psychique et émotionnel)(naissance jeudi/crime jeudi : le jour critique émotionnel - "jour pulsions" - est toujours le jour de la semaine où on est né)
(39 ans n'est pas une année critique, mais l'intéressé se trouve aussi à proximité de sa date anniversaire : je retiens en général quatre semaines, comme "élément pulsions", mais ici c'est un peu plus)
à noter également le jour critique intellectuel du vendredi 23 puis la survenance du jour critique physique P1 (autre "jour pulsions" important), le dimanche 25. Plumadore vient donc de passer dans P18/P19 (P1 étant la suite logique).
ce serait à vérifier au moyen de l'informatique en recoupant de nombreux cas, mais la présence de certains éléments pulsions "forts" est très fréquente, voire majoritaire, et on les retrouve presque tous ici, du moins les plus importants :
- jours critique émotionnel (E1 étant le plus fort des quatre)
- jours critiques physiques P18/19 suivis de P1.
- proximité date anniversaire
- la période critique septennale autre élément "fort" n'est pas présente ici.
on peut supposer que la fillette a réagit avec vigueur à une probable agression ou tentative d'agression de l'intéressé et que celui-ci ait alors "disjoncté"...
l'intéressé a "démarré" ses actes de délinquance avec le survenue de sa période critique septennale des 28 ans puisqu'il a été condamné pour deux faits d'autre nature en 1999 et 2000.
à la hache
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1502/Belgique/article/detail/1369322/2011/12/27/Meurtre-a-la-hache-a-Louvain-le-suspect-reste-en-detention.dhtml
Meurtre à la hache à Louvain: le suspect reste en détention
Le mandat d'arrêt de l'homme de 48 ans qui a tué vendredi soir l'un de ses colocataires avec une hache, à Louvain, a été confirmé mardi par la chambre du conseil de Louvain, indique le parquet de Louvain. Les motivations de l'auteur n'ont pas encore pu être établies.
Le suspect et la victime, âgée de 54 ans, vivaient en colocation avec deux autres hommes à Heverlee. Ces deux-ci n'étaient pas présents à leur domicile au moment des faits. Vendredi soir, le suspect et la victime ont regardé la télévision en buvant des bières. Une dispute a alors éclaté.
Le suspect a été chercher une hache à la cave et a frappé la victime à trois reprises à la tête. Après son geste, il a appelé la police. A l'arrivée de celle-ci, la victime était déjà décédée. L'homme est connu des services de police, mais son casier est vierge. (belga/mb)
=====================
Meurtre à la hache à Louvain: le suspect reste en détention
Le mandat d'arrêt de l'homme de 48 ans qui a tué vendredi soir l'un de ses colocataires avec une hache, à Louvain, a été confirmé mardi par la chambre du conseil de Louvain, indique le parquet de Louvain. Les motivations de l'auteur n'ont pas encore pu être établies.
Le suspect et la victime, âgée de 54 ans, vivaient en colocation avec deux autres hommes à Heverlee. Ces deux-ci n'étaient pas présents à leur domicile au moment des faits. Vendredi soir, le suspect et la victime ont regardé la télévision en buvant des bières. Une dispute a alors éclaté.
Le suspect a été chercher une hache à la cave et a frappé la victime à trois reprises à la tête. Après son geste, il a appelé la police. A l'arrivée de celle-ci, la victime était déjà décédée. L'homme est connu des services de police, mais son casier est vierge. (belga/mb)
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forcené
http://www.lest-eclair.fr/article/a-la-une/un-forcene-remis-en-liberte-jusquau-proces
Un « forcené » remis en liberté jusqu'au procès
Troyes- Un policier blessé au genou et l'autre grièvement mordu : un homme en état de furie n'a pu être maîtrisé qu'au Taser
« Tsunami, tsunami, ça va être la fin du monde ! » hurlait-il vendredi soir, à sa fenêtre. Romuald, 41 ans, présenté hier au tribunal correctionnel en comparution immédiate, paraît avoir retrouvé son calme et ses esprits.
Comme l'a souligné l'un des deux policiers blessés, qu'assistait Me Pernet : « Vendredi soir, il montrait un visage complètement opposé, il était complètement fou, il criait qu'il allait tuer tout le monde. »
Vers 21 h, la police a été avertie que, boulevard Jules-Guesde, un « forcené était retranché chez lui, menaçant de mettre fin à ses jours », expose le président Gérard Launoy. À l'arrivée des policiers et des pompiers, il jetait des objets par la fenêtre et vociférait : « Tsunami, tsunami… » Romuald n'acceptait l'idée de se rendre qu'à la condition d'obtenir un entretien « Ben Laden, Sarkozy ou Obama. »
Finalement, les policiers ont défoncé la porte. « Vous avez bousculé les meubles pour entraver l'avancée des policiers », rappelle le président au prévenu qui n'a pu être neutralisé vers 22 h qu'avec un Taser.
« Perte de matière »
Juste avant, alors qu'un des policiers, pourtant équipé d'un gilet pare-balles, tentait de le calmer en lui maintenant la tête, Romuald l'aurait férocement mordu à l'aisselle, au point d'arracher un morceau de chair : « Il y a perte de substance », précise le certificat médical qui fixe l'ITT (incapacité temporaire totale) à 7 jours. Le prévenu est aussi poursuivi pour avoir, dans sa rage, blessé au genou, un autre policier, en arrêt de travail jusqu'au 10 janvier.
Il n'a pas été jugé hier. Frédéric Ebel, vice-procureur a requis un délai, demandant à ce que Romuald bénéficie d'une expertise psychiatrique.
En effet, depuis mai, la police en est à sa septième intervention face à ses agitations. Romuald a mis son comportement sur le compte de la colère provoquée par une dispute avec une de ses ex-compagnes. « Je ne me suis pas rendu parce que je ne voulais pas retourner à l'hôpital psychiatrique où j'ai déjà fait deux séjours. Quant à la morsure, c'était juste pour me défendre et je n'ai jamais donné de coup de pied à personne », affirme-t-il.
Une précédente expertise avait conclu à « l'absence de pathologie mentale » de Romuald qui « donne l'impression d'une fragilité psychoaffective en voie de décompensation ».
En tout cas, le prévenu estime ne pas avoir de besoin de traitement médical et explique que c'est justement pour cette raison qu'il a récemment arrêté brutalement de prendre ses antidépresseurs…
« Mon problème, c'est d'être chômeur, je passe mes journées à ne rien faire et je ne supporte pas ça », confie cet homme, titulaire d'un bac électromécanique obtenu dans son Cameroun natal qu'il a quitté pour arriver à Troyes, en 2003.
Le tribunal a renvoyé l'examen de l'affaire au 1er février.
Contrairement à ce qu'avait demandé le représentant du ministère public, il n'a pas prononcé de maintien en détention. Il a donné raison à l'avocat de la défense, Me Benjamin Madelenat, qui avait plaidé pour une remise en liberté sous contrôle judiciaire : « Vous devrez pointer deux fois par semaine au commissariat », a conclu le président.
==================
dans ce scénario il semble bien y avoir un lien avec l'entrée en période critique septennale des 42 ans... et peut-être un jour critique émotionnel (à vérifier, en recoupant aussi chacune des sept interventions précédentes car elles ont tendance à arriver en "jour pulsions" et souvent le même jour de la semaine, le jour critique émotionnel)
ce scénario soulève aussi la question de la limite entre lucidité/responsabilité et délire... irresponsable... pouvant survenir momentanément ou épisodiquement avec l'arrivée d'une période critique septennale.
Un « forcené » remis en liberté jusqu'au procès
Troyes- Un policier blessé au genou et l'autre grièvement mordu : un homme en état de furie n'a pu être maîtrisé qu'au Taser
« Tsunami, tsunami, ça va être la fin du monde ! » hurlait-il vendredi soir, à sa fenêtre. Romuald, 41 ans, présenté hier au tribunal correctionnel en comparution immédiate, paraît avoir retrouvé son calme et ses esprits.
Comme l'a souligné l'un des deux policiers blessés, qu'assistait Me Pernet : « Vendredi soir, il montrait un visage complètement opposé, il était complètement fou, il criait qu'il allait tuer tout le monde. »
Vers 21 h, la police a été avertie que, boulevard Jules-Guesde, un « forcené était retranché chez lui, menaçant de mettre fin à ses jours », expose le président Gérard Launoy. À l'arrivée des policiers et des pompiers, il jetait des objets par la fenêtre et vociférait : « Tsunami, tsunami… » Romuald n'acceptait l'idée de se rendre qu'à la condition d'obtenir un entretien « Ben Laden, Sarkozy ou Obama. »
Finalement, les policiers ont défoncé la porte. « Vous avez bousculé les meubles pour entraver l'avancée des policiers », rappelle le président au prévenu qui n'a pu être neutralisé vers 22 h qu'avec un Taser.
« Perte de matière »
Juste avant, alors qu'un des policiers, pourtant équipé d'un gilet pare-balles, tentait de le calmer en lui maintenant la tête, Romuald l'aurait férocement mordu à l'aisselle, au point d'arracher un morceau de chair : « Il y a perte de substance », précise le certificat médical qui fixe l'ITT (incapacité temporaire totale) à 7 jours. Le prévenu est aussi poursuivi pour avoir, dans sa rage, blessé au genou, un autre policier, en arrêt de travail jusqu'au 10 janvier.
Il n'a pas été jugé hier. Frédéric Ebel, vice-procureur a requis un délai, demandant à ce que Romuald bénéficie d'une expertise psychiatrique.
En effet, depuis mai, la police en est à sa septième intervention face à ses agitations. Romuald a mis son comportement sur le compte de la colère provoquée par une dispute avec une de ses ex-compagnes. « Je ne me suis pas rendu parce que je ne voulais pas retourner à l'hôpital psychiatrique où j'ai déjà fait deux séjours. Quant à la morsure, c'était juste pour me défendre et je n'ai jamais donné de coup de pied à personne », affirme-t-il.
Une précédente expertise avait conclu à « l'absence de pathologie mentale » de Romuald qui « donne l'impression d'une fragilité psychoaffective en voie de décompensation ».
En tout cas, le prévenu estime ne pas avoir de besoin de traitement médical et explique que c'est justement pour cette raison qu'il a récemment arrêté brutalement de prendre ses antidépresseurs…
« Mon problème, c'est d'être chômeur, je passe mes journées à ne rien faire et je ne supporte pas ça », confie cet homme, titulaire d'un bac électromécanique obtenu dans son Cameroun natal qu'il a quitté pour arriver à Troyes, en 2003.
Le tribunal a renvoyé l'examen de l'affaire au 1er février.
Contrairement à ce qu'avait demandé le représentant du ministère public, il n'a pas prononcé de maintien en détention. Il a donné raison à l'avocat de la défense, Me Benjamin Madelenat, qui avait plaidé pour une remise en liberté sous contrôle judiciaire : « Vous devrez pointer deux fois par semaine au commissariat », a conclu le président.
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dans ce scénario il semble bien y avoir un lien avec l'entrée en période critique septennale des 42 ans... et peut-être un jour critique émotionnel (à vérifier, en recoupant aussi chacune des sept interventions précédentes car elles ont tendance à arriver en "jour pulsions" et souvent le même jour de la semaine, le jour critique émotionnel)
ce scénario soulève aussi la question de la limite entre lucidité/responsabilité et délire... irresponsable... pouvant survenir momentanément ou épisodiquement avec l'arrivée d'une période critique septennale.
mardi 27 décembre 2011
accident, meurtre, ou suicide ?
http://www.maerkischeallgemeine.de/cms/beitrag/12247846/1353449/Potsdam-Mann-von-Strassenbahn-ueberrollt.html
Potsdam: Mann von Straßenbahn überrollt
Ein 42-Jähriger wurde am Montag in der Heinrich-Mann-Allee von einer Straßenbahn der Linie 91 überrollt. Der Mann aus Werder (Havel) lag in den Gleisen, eine Gefahrenbremsung des Tram-Fahrers konnte das Unglück nicht mehr verhindern. Durch einen Rettungswagen wurde der schwerverletzte Mann in ein Potsdamer Krankenhaus gebracht. Der Straßenbahnfahrer musste seelisch betreut werden. Die Strecke wurde für den Straßenbahnverkehr für zirka 75 Minuten komplett gesperrt. Die Kriminalpolizei ermittelt zum Unfallhergang.
Potsdam: Mann von Straßenbahn überrollt
Ein 42-Jähriger wurde am Montag in der Heinrich-Mann-Allee von einer Straßenbahn der Linie 91 überrollt. Der Mann aus Werder (Havel) lag in den Gleisen, eine Gefahrenbremsung des Tram-Fahrers konnte das Unglück nicht mehr verhindern. Durch einen Rettungswagen wurde der schwerverletzte Mann in ein Potsdamer Krankenhaus gebracht. Der Straßenbahnfahrer musste seelisch betreut werden. Die Strecke wurde für den Straßenbahnverkehr für zirka 75 Minuten komplett gesperrt. Die Kriminalpolizei ermittelt zum Unfallhergang.
alerte
http://lci.tf1.fr/people/le-duc-d-edimbourg-devrait-quitter-l-hopital-ce-mardi-6896471.html
Le duc d'Edimbourg a quitté l'hôpital
le 27 décembre 2011
Opéré d'urgence vendredi pour une artère bouchée, le prince Philip a rejoint les autres membres de la famille royale qu'il a "hâte" de retrouver dans leur résidence de Sandringham ce mardi.
..................
Cette alerte est la plus sérieuse qu'ait connue le duc d'Edimbourg, qui est prince consort depuis près de 60 ans, et qui jouissait jusqu'à présent d'une santé robuste.
===============
sa situation le vendredi 23 indique effectivement un jour doublement critique assez important puisque P18/E1 :
décembre 2011 (10/06/1921)
Me 21I(1)
Je 22
Ve 23 P(18) E(1)
Sa 24 P(19)
Di 25
Lu 26
Ma 27
Me 28
Je 29 P(1) I(9)
Le duc d'Edimbourg a quitté l'hôpital
le 27 décembre 2011
Opéré d'urgence vendredi pour une artère bouchée, le prince Philip a rejoint les autres membres de la famille royale qu'il a "hâte" de retrouver dans leur résidence de Sandringham ce mardi.
..................
Cette alerte est la plus sérieuse qu'ait connue le duc d'Edimbourg, qui est prince consort depuis près de 60 ans, et qui jouissait jusqu'à présent d'une santé robuste.
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sa situation le vendredi 23 indique effectivement un jour doublement critique assez important puisque P18/E1 :
décembre 2011 (10/06/1921)
Me 21I(1)
Je 22
Ve 23 P(18) E(1)
Sa 24 P(19)
Di 25
Lu 26
Ma 27
Me 28
Je 29 P(1) I(9)
violences
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=38288
A Renaix, un homme frappe sa belle-mère à mort la veille de Noël
" Un homme de 24 ans qui avait violemment frappé sa belle-mère, âgée de 48 ans, la veille de Noël, à Renaix (Belgique), a été placé sous mandat d'arrêt. La victime a succombé à ses blessures, a indiqué le parquet d'Audenarde. Les faits s'étaient déroulés vers 23 heures.
"Une discussion sur des histoires de famille a dégénéré en bagarre en pleine rue. Le suspect, qui habitait chez la victime, a frappé la dame à plusieurs reprises à hauteur de la tête", explique le parquet. Grièvement blessée, la belle-mère avait été emmenée à l'hôpital où elle a succombé à ses blessures.
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A Renaix, un homme frappe sa belle-mère à mort la veille de Noël
" Un homme de 24 ans qui avait violemment frappé sa belle-mère, âgée de 48 ans, la veille de Noël, à Renaix (Belgique), a été placé sous mandat d'arrêt. La victime a succombé à ses blessures, a indiqué le parquet d'Audenarde. Les faits s'étaient déroulés vers 23 heures.
"Une discussion sur des histoires de famille a dégénéré en bagarre en pleine rue. Le suspect, qui habitait chez la victime, a frappé la dame à plusieurs reprises à hauteur de la tête", explique le parquet. Grièvement blessée, la belle-mère avait été emmenée à l'hôpital où elle a succombé à ses blessures.
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dispute
http://tvanouvelles.ca/lcn/judiciaire/archives/2011/09/20110906-211444.html
Drame familial à Sorel-Tracy
Le tireur plaide non coupable
A P, ce Sorelois de 45 ans qui a tué son frère samedi à bout portant dans la résidence familiale, a comparu mardi au palais de justice de Sorel-Tracy, faisant face à une accusation de meurtre au premier degré.
L'air serein et posé, celui-ci n'a jeté aucun regard vers l'assistance. Son avocat a déposé un plaidoyer de non-culpabilité.
L'homme est accusé d'avoir tiré sur son frère, Richard, 49 ans, à la suite d'une dispute.
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Drame familial à Sorel-Tracy
Le tireur plaide non coupable
A P, ce Sorelois de 45 ans qui a tué son frère samedi à bout portant dans la résidence familiale, a comparu mardi au palais de justice de Sorel-Tracy, faisant face à une accusation de meurtre au premier degré.
L'air serein et posé, celui-ci n'a jeté aucun regard vers l'assistance. Son avocat a déposé un plaidoyer de non-culpabilité.
L'homme est accusé d'avoir tiré sur son frère, Richard, 49 ans, à la suite d'une dispute.
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lundi 26 décembre 2011
père noël
http://www.cyberpresse.ca/international/etats-unis/201112/26/01-4480999-texas-un-homme-deguise-en-pere-noel-decime-sa-famille-et-se-suicide.php
Texas: un homme déguisé en Père Noël décime sa famille et se suicide
GRAPEVINE, Texas
Un homme déguisé en Père Noël a ouvert le feu sur des membres de sa famille dimanche, tué six personnes, puis a retourné l'arme contre lui et s'est suicidé, dans une petite ville du Texas, a-t-on appris auprès de la police lundi.
«C'était une fête de Noël tout à fait ordinaire, avec un sapin de Noël, et les cadeaux venaient juste d'être ouverts lorsque l'incident a eu lieu», a expliqué à l'AFP le sergent Robert Eberling de la police de Grapevine.
Quelqu'un a appelé la police dimanche à la mi-journée depuis le lieu du drame, mais lorsque l'agent a décroché, personne n'a répondu. C'est à ce moment que décision a été prise de se rendre sur les lieux.
Selon le sergent Eberling, deux armes de poing ont été retrouvées à côté des sept corps sans vie des victimes, âgées de 15 à 58 ans. Les corps ont tous été retrouvés dans le salon de l'appartement. Il n'y a aucun survivant.
.....................
===================
pas d'indication au sujet de l'âge de ce triste père-noël pour le moment...
édit : je m'y attendais un peu et il semble bien s'agir d'un "septennal killer" et suicidaire (période critique septennale des 56 ans) :
"Grapevine police Lieutenant Todd Dearing told the BBC that the suspected shooter was a 56-year-old man."
http://www.bbc.co.uk/news/world-us-canada-16335174
on peut encore vérifier le jour critique émotionnel... mais il n'est pas forcément présent, l'opération ayant probablement été préméditée à l'avance pour le soir de Noël...
c'est surtout la période critique septennale qui semble être le moteur de ce drame (et la séparation conjugale à laquelle elle a peut-être conduit en début d'année)
============
édit : date de naissance trouvée (29/05/1955) eh bien contre toute attente le père-noël a bien tué tout le monde son jour critique émotionnel : natif du dimanche ... drame le dimanche ... (jour critique émotionnel E1, le plus fort des quatre jours critiques de notre cycle psychique et émotionnel)
je ne m'y attendais pas vraiment car l'opération a dû être réfléchie à l'avance et Noël ne correspondait pas forcément à son jour critique émotionnel... mais on pourrait alors quand même supposer que la décision ultime a été prise le samedi ou le dimanche même... (la "pression" - entendez aussi "pulsions" d'un jour critique émotionnel démarre la veille au soir ou dans l'après-midi)
décembre (29/05/1955)
Me 21 P(7)
Je 22
Ve 23
Sa 24
Di 25 E(1)
Lu 26 P(12)
Ma 27 I(9)
Me 28
Je 29
Ve 30
autre élément intéressant avec l'identité des victimes :
l'épouse Fatemeh Ramati est née le 4 février 1956. elle se trouve donc à l'entrée dans sa période critique septennale des 56 ans à elle. (entrée en août 2011)
cette compatibilité des périodes critiques a certainement contribué à l'échec de ce couple qui s'est séparé apparemment en début d'année. (l'époux entrait dans sa période critique septennale des 56 ans en décembre 2010).
la compatibilité "à risque" va même jusqu'aux cycles courts : le jour critique émotionnel de l'époux est le dimanche alors que celui de l'épouse est le samedi. il y a donc chaque week-end "chevauchement" des jours critiques émotionnels, ce qui peut être à l'origine de fréquents problèmes... généralement le week-end.
l'épouse était d'ailleurs en P12 - E1 (cela signifie même cycle à un jour près !) samedi le 24...
Texas: un homme déguisé en Père Noël décime sa famille et se suicide
GRAPEVINE, Texas
Un homme déguisé en Père Noël a ouvert le feu sur des membres de sa famille dimanche, tué six personnes, puis a retourné l'arme contre lui et s'est suicidé, dans une petite ville du Texas, a-t-on appris auprès de la police lundi.
«C'était une fête de Noël tout à fait ordinaire, avec un sapin de Noël, et les cadeaux venaient juste d'être ouverts lorsque l'incident a eu lieu», a expliqué à l'AFP le sergent Robert Eberling de la police de Grapevine.
Quelqu'un a appelé la police dimanche à la mi-journée depuis le lieu du drame, mais lorsque l'agent a décroché, personne n'a répondu. C'est à ce moment que décision a été prise de se rendre sur les lieux.
Selon le sergent Eberling, deux armes de poing ont été retrouvées à côté des sept corps sans vie des victimes, âgées de 15 à 58 ans. Les corps ont tous été retrouvés dans le salon de l'appartement. Il n'y a aucun survivant.
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pas d'indication au sujet de l'âge de ce triste père-noël pour le moment...
édit : je m'y attendais un peu et il semble bien s'agir d'un "septennal killer" et suicidaire (période critique septennale des 56 ans) :
"Grapevine police Lieutenant Todd Dearing told the BBC that the suspected shooter was a 56-year-old man."
http://www.bbc.co.uk/news/world-us-canada-16335174
on peut encore vérifier le jour critique émotionnel... mais il n'est pas forcément présent, l'opération ayant probablement été préméditée à l'avance pour le soir de Noël...
c'est surtout la période critique septennale qui semble être le moteur de ce drame (et la séparation conjugale à laquelle elle a peut-être conduit en début d'année)
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édit : date de naissance trouvée (29/05/1955) eh bien contre toute attente le père-noël a bien tué tout le monde son jour critique émotionnel : natif du dimanche ... drame le dimanche ... (jour critique émotionnel E1, le plus fort des quatre jours critiques de notre cycle psychique et émotionnel)
je ne m'y attendais pas vraiment car l'opération a dû être réfléchie à l'avance et Noël ne correspondait pas forcément à son jour critique émotionnel... mais on pourrait alors quand même supposer que la décision ultime a été prise le samedi ou le dimanche même... (la "pression" - entendez aussi "pulsions" d'un jour critique émotionnel démarre la veille au soir ou dans l'après-midi)
décembre (29/05/1955)
Me 21 P(7)
Je 22
Ve 23
Sa 24
Di 25 E(1)
Lu 26 P(12)
Ma 27 I(9)
Me 28
Je 29
Ve 30
autre élément intéressant avec l'identité des victimes :
l'épouse Fatemeh Ramati est née le 4 février 1956. elle se trouve donc à l'entrée dans sa période critique septennale des 56 ans à elle. (entrée en août 2011)
cette compatibilité des périodes critiques a certainement contribué à l'échec de ce couple qui s'est séparé apparemment en début d'année. (l'époux entrait dans sa période critique septennale des 56 ans en décembre 2010).
la compatibilité "à risque" va même jusqu'aux cycles courts : le jour critique émotionnel de l'époux est le dimanche alors que celui de l'épouse est le samedi. il y a donc chaque week-end "chevauchement" des jours critiques émotionnels, ce qui peut être à l'origine de fréquents problèmes... généralement le week-end.
l'épouse était d'ailleurs en P12 - E1 (cela signifie même cycle à un jour près !) samedi le 24...
agression
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=12600&hl=
Oupeye: elle le poignarde car elle pense qu’il fournit de la drogue à son fils
Une habitante d’Oupeye, Fabiana D. (48 ans), a été placée dimanche sous mandat d’arrêt au parquet de Liège, pour tentative de meurtre. Cette personne soupçonnait un de ses voisins de revendre de la drogue a son fils.
Samedi en fin de journée, Fabienne a apostrophé l’individu dans la rue.
Elle l’a poursuivi près de leurs domiciles, l’a rejoint et lui a porté plusieurs coups de couteau dans le thorax.
La victime a du être hospitalisée.
Quant à Fabianna D., elle a été écrouée à la prison de Lantin.
Source : Sud Presse
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Oupeye: elle le poignarde car elle pense qu’il fournit de la drogue à son fils
Une habitante d’Oupeye, Fabiana D. (48 ans), a été placée dimanche sous mandat d’arrêt au parquet de Liège, pour tentative de meurtre. Cette personne soupçonnait un de ses voisins de revendre de la drogue a son fils.
Samedi en fin de journée, Fabienne a apostrophé l’individu dans la rue.
Elle l’a poursuivi près de leurs domiciles, l’a rejoint et lui a porté plusieurs coups de couteau dans le thorax.
La victime a du être hospitalisée.
Quant à Fabianna D., elle a été écrouée à la prison de Lantin.
Source : Sud Presse
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dimanche 25 décembre 2011
tueur
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=38269
Italie: un homme tire sur une famille et tue trois personnes
" Un homme en colère a ouvert le feu samedi soir avec un fusil sur une famille dans le sud de l’Italie, tuant une mère, son fils et sa fille, à l’issue d’une querelle de voisinage.
Le mari de la femme tuée, qui tenait une blanchisserie, a été grièvement blessé.
Le drame s’est déroulé en pleine rue, devant la blanchisserie, dans le village de Genzano di Lucania, non loin de Potenza, dans la région de Basilicate.
Les deux jeunes gens tués, Donata et Matteo, âgés de moins de vingt ans, ont tenté de s’enfuir mais ont été atteints par des balles à quelques dizaines de mètres de distance.
Le tireur, âgé de 70 ans, a été arrêté par les carabiniers."
===============
j'ai lu ailleurs qu'il aurait 77 ans, mais nous restons là dans les septennaux, sans compter qu'apparemment la dispute soit peut-être liée aussi à l'entrée en période critique de deux des victimes.
"Les victimes sont Antonietta Di Palma, 55 ans, tué en face de la blanchisserie qui était en marche, et ses deux fils, Matthew et Maria Donata Menchise, 31 et 27 ans. . Le blessé est Leonardo Menchise, le mari et père Antoinette des garçons, blessé à la jambe et maintenant hospitalisée dans un état grave à l'hôpital de Saint-Charles Power.
Le tireur, Ettore Bruscella, 77 ans a été été arrêté par les carabiniers, et a été immédiatement placé en détention.
Un litige entre voisins qui durait depuis plusieurs années et qui était devenu une véritable obsession pour Ettore Bruscella, serait à l'origine du drame Le tireur était apparament gêné par les émanations de fumée et les vapeurs émises par les machines à laver de la blanchisserie
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Italie: un homme tire sur une famille et tue trois personnes
" Un homme en colère a ouvert le feu samedi soir avec un fusil sur une famille dans le sud de l’Italie, tuant une mère, son fils et sa fille, à l’issue d’une querelle de voisinage.
Le mari de la femme tuée, qui tenait une blanchisserie, a été grièvement blessé.
Le drame s’est déroulé en pleine rue, devant la blanchisserie, dans le village de Genzano di Lucania, non loin de Potenza, dans la région de Basilicate.
Les deux jeunes gens tués, Donata et Matteo, âgés de moins de vingt ans, ont tenté de s’enfuir mais ont été atteints par des balles à quelques dizaines de mètres de distance.
Le tireur, âgé de 70 ans, a été arrêté par les carabiniers."
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j'ai lu ailleurs qu'il aurait 77 ans, mais nous restons là dans les septennaux, sans compter qu'apparemment la dispute soit peut-être liée aussi à l'entrée en période critique de deux des victimes.
"Les victimes sont Antonietta Di Palma, 55 ans, tué en face de la blanchisserie qui était en marche, et ses deux fils, Matthew et Maria Donata Menchise, 31 et 27 ans. . Le blessé est Leonardo Menchise, le mari et père Antoinette des garçons, blessé à la jambe et maintenant hospitalisée dans un état grave à l'hôpital de Saint-Charles Power.
Le tireur, Ettore Bruscella, 77 ans a été été arrêté par les carabiniers, et a été immédiatement placé en détention.
Un litige entre voisins qui durait depuis plusieurs années et qui était devenu une véritable obsession pour Ettore Bruscella, serait à l'origine du drame Le tireur était apparament gêné par les émanations de fumée et les vapeurs émises par les machines à laver de la blanchisserie
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samedi 24 décembre 2011
Johannes Heesters
http://www.welt.de/newsticker/dpa_nt/infoline_nt/boulevard_nt/article13783777/Johannes-Heesters-stirbt-an-Heiligabend.html
Johannes Heesters stirbt an Heiligabend
Berlin/München (dpa) - Johannes Heesters ist tot. Der Grandseigneur der Operette starb am Samstag im Alter von 108 Jahren, wie das Klinikum Starnberg mitteilte. Um 10.15 Uhr an Heiligabend sei er im Beisein seiner Frau «friedlich verstorben».
................
=================
le célèbre acteur allemand vient de décéder aujourd'hui, trois semaines après son 108ème anniversaire - (il est du 5 décembre 1903).
c'est un décès son jour critique émotionnel E15 à proximité de son anniversaire.
les jours critiques sont des "jours-portails" par lesquels nous entrons dans la vie (les trois cycles - physique - émotionnel et intellectuel - démarrent ensemble le jour de notre naissance) et je crois avoir remarqué - ce serait à vérifier - que les décès sereins dans la grande vieillesse semblent avoir fréquemment lieu le jour critique émotionnel : il s'agit alors en quelque sorte d'une sortie au moment opportun, par la porte par laquelle nous sommes arrivés... - ici naissance un samedi et décès un samedi puisque le jour critique émotionnel reste la vie durant toujours le jour de la semaine où nous sommes nés.
le jour critique physique est aussi fréquemment présent lors d'un décès, puisque le cycle physique régit le fonctionnement physique de notre corps : il indique alors un arrêt de la vie plus lié à notre état physique, le jour critique émotionnel étant davantage lié au fonctionnemrent de notre psychisme et état émotionnel.
c'est d'ailleurs un jour critique physique P18 que Johannes Heesters a eu un accès de faiblesse qui l'a amené à être hospitalisé, le dimanche 27 novembre dernier. mais c'était aussi le lendemain de son jour critique émotionnel.
Johannes Heesters stirbt an Heiligabend
Berlin/München (dpa) - Johannes Heesters ist tot. Der Grandseigneur der Operette starb am Samstag im Alter von 108 Jahren, wie das Klinikum Starnberg mitteilte. Um 10.15 Uhr an Heiligabend sei er im Beisein seiner Frau «friedlich verstorben».
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le célèbre acteur allemand vient de décéder aujourd'hui, trois semaines après son 108ème anniversaire - (il est du 5 décembre 1903).
c'est un décès son jour critique émotionnel E15 à proximité de son anniversaire.
les jours critiques sont des "jours-portails" par lesquels nous entrons dans la vie (les trois cycles - physique - émotionnel et intellectuel - démarrent ensemble le jour de notre naissance) et je crois avoir remarqué - ce serait à vérifier - que les décès sereins dans la grande vieillesse semblent avoir fréquemment lieu le jour critique émotionnel : il s'agit alors en quelque sorte d'une sortie au moment opportun, par la porte par laquelle nous sommes arrivés... - ici naissance un samedi et décès un samedi puisque le jour critique émotionnel reste la vie durant toujours le jour de la semaine où nous sommes nés.
le jour critique physique est aussi fréquemment présent lors d'un décès, puisque le cycle physique régit le fonctionnement physique de notre corps : il indique alors un arrêt de la vie plus lié à notre état physique, le jour critique émotionnel étant davantage lié au fonctionnemrent de notre psychisme et état émotionnel.
c'est d'ailleurs un jour critique physique P18 que Johannes Heesters a eu un accès de faiblesse qui l'a amené à être hospitalisé, le dimanche 27 novembre dernier. mais c'était aussi le lendemain de son jour critique émotionnel.
dispute mortelle
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=38264
Un habitant d'Heverlee tué à coups de hache
" Le meurtrier a contacté la police peu après minuit et indiqué qu'il avait tué quelqu'un.
Un homme de 54 ans a été tué vendredi soir dans un immeuble de la Tiensesteenweg à Heverlee (Belgique), a indiqué samedi le porte-parole du parquet de Louvain, Patrick Vits. L'auteur du crime s'est rendu à la police. L'homme, âgé de 48 ans, a contacté la police peu après minuit et indiqué qu'il avait tué quelqu'un. La victime et l'auteur présumé des faits vivaient dans le même immeuble et se connaissaient.
"La victime était décédée lorsque la police est arrivée sur les lieux. Elle est morte après avoir reçu des coups de hache sur la tête. Selon le suspect, les deux hommes se sont disputés au cours de la soirée. La dispute s'est envenimée et le suspect s'est alors rendu dans son appartement pour prendre une hache. Le motif de leur différend n'est pas encore connu", a indiqué M. Vits.
"Le suspect a reconnu les faits et collabore actuellement à l'enquête. L'homme était connu de la police louvaniste mais par pour des actes de violence. Il comparaîtra dans le courant de l'après-midi devant un juge d'instruction qui décidera de son placement sous mandat d'arrêt", a ajouté le porte-parole du parquet."
Source : LA DERNIERE HEURE (24 décembre 2011
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Un habitant d'Heverlee tué à coups de hache
" Le meurtrier a contacté la police peu après minuit et indiqué qu'il avait tué quelqu'un.
Un homme de 54 ans a été tué vendredi soir dans un immeuble de la Tiensesteenweg à Heverlee (Belgique), a indiqué samedi le porte-parole du parquet de Louvain, Patrick Vits. L'auteur du crime s'est rendu à la police. L'homme, âgé de 48 ans, a contacté la police peu après minuit et indiqué qu'il avait tué quelqu'un. La victime et l'auteur présumé des faits vivaient dans le même immeuble et se connaissaient.
"La victime était décédée lorsque la police est arrivée sur les lieux. Elle est morte après avoir reçu des coups de hache sur la tête. Selon le suspect, les deux hommes se sont disputés au cours de la soirée. La dispute s'est envenimée et le suspect s'est alors rendu dans son appartement pour prendre une hache. Le motif de leur différend n'est pas encore connu", a indiqué M. Vits.
"Le suspect a reconnu les faits et collabore actuellement à l'enquête. L'homme était connu de la police louvaniste mais par pour des actes de violence. Il comparaîtra dans le courant de l'après-midi devant un juge d'instruction qui décidera de son placement sous mandat d'arrêt", a ajouté le porte-parole du parquet."
Source : LA DERNIERE HEURE (24 décembre 2011
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fractales et gigognes
le mécanisme des rythmes et cycles humains correspond aussi aux fameuses "fractales" de Mandelbrot : cela peut se comprendre à partir du moment où l'on considère que tout ce qui existe et fonctionne dans l'Univers répond à ce principe de constitution et de fonctionnement... une galaxie est un petit élément d'une galaxie plus grande... etc...
fractale et/ou gigogne ? ce qui est un peu la même chose... mais pas tout à fait : les fractales sont "à l'extérieur" alors que les gigognes sont "à l'intérieur", "emboitées" les une dans les autres, en quelque sorte des fractales "à l'envers"... mais le principe semble être le même.
les rythmes et cycles fonctionnent en gigogne - ce sont des "fractales immatérielles". en fait je pense qu'il s'agit d'une énergie... qui pulse.
c'est ainsi que le rythme physique des biorythmes de 6 jours "pulse" à l'intérieur d'un cycle physique de 23 jours mais fonctionne également au moyen d'un rythme de 6 ans fonctionnant à l'intérieur d'un plus vaste cycle de 23 ans,
le cycle psychique et émotionnel de 7 jours "pulse" à l'intérieur d'un cycle psychique et émotionnel de 28 jours qui se poursuit dans un cycle septennal de 7 ans, lui-même composant d'un cycle long de 28 ans...
alors qu'un rythme intellectuel de 8 jours est inclus dans un cycle intellectuel de 33 jours faisant partie d'un cycle de 8 ans, lui-même dans son équivalent un cycle intellectuel de 33 ans...
fractale et/ou gigogne ? ce qui est un peu la même chose... mais pas tout à fait : les fractales sont "à l'extérieur" alors que les gigognes sont "à l'intérieur", "emboitées" les une dans les autres, en quelque sorte des fractales "à l'envers"... mais le principe semble être le même.
les rythmes et cycles fonctionnent en gigogne - ce sont des "fractales immatérielles". en fait je pense qu'il s'agit d'une énergie... qui pulse.
c'est ainsi que le rythme physique des biorythmes de 6 jours "pulse" à l'intérieur d'un cycle physique de 23 jours mais fonctionne également au moyen d'un rythme de 6 ans fonctionnant à l'intérieur d'un plus vaste cycle de 23 ans,
le cycle psychique et émotionnel de 7 jours "pulse" à l'intérieur d'un cycle psychique et émotionnel de 28 jours qui se poursuit dans un cycle septennal de 7 ans, lui-même composant d'un cycle long de 28 ans...
alors qu'un rythme intellectuel de 8 jours est inclus dans un cycle intellectuel de 33 jours faisant partie d'un cycle de 8 ans, lui-même dans son équivalent un cycle intellectuel de 33 ans...
suicide
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Hazebrouck/actualite/Secteur_Hazebrouck/2011/12/24/article_un-homme-meurt-ecrase-par-un-train-de-ma.shtml
Un homme meurt écrasé par un train de marchandises : le trafic perturbé deux heures hier en gare d'Hazebrouck.
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L'identité de la victime sera confirmée après une autopsie et grâce à une comparaison de son ADN. Mais d'après les services de police, il s'agirait d'un Hazebrouckois de 34 ans.
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probable suicide septennal à l'arrivée de la période critique septennale des 35 ans.
vendredi 23 décembre 2011
critique...
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5ihHGNHunw9kJ1pQQooaCEYyeOi_Q?docId=CNG.79bb3ae66d03e4f9da2d888a6d3d5c0d.131
George Michael a vécu "le pire mois de sa vie" pendant sa pneumonie
LONDRES — Le chanteur George Michael, de retour à Londres après une hospitalisation d'un mois à Vienne pour une pneumonie, a déclaré vendredi qu'il avait vécu "le pire mois de sa vie" et qu'il était passé par des moments "critiques".
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très probable, qu'il soit passé par des moments critiques... et peut-être même pas tout à fait sorti, encore : George Michael étant du 25 juin 1963, il se trouve au "moment charnière" de l'entrée dans sa période critique septennale des 49 ans (en janvier prochain...)
George Michael a vécu "le pire mois de sa vie" pendant sa pneumonie
LONDRES — Le chanteur George Michael, de retour à Londres après une hospitalisation d'un mois à Vienne pour une pneumonie, a déclaré vendredi qu'il avait vécu "le pire mois de sa vie" et qu'il était passé par des moments "critiques".
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très probable, qu'il soit passé par des moments critiques... et peut-être même pas tout à fait sorti, encore : George Michael étant du 25 juin 1963, il se trouve au "moment charnière" de l'entrée dans sa période critique septennale des 49 ans (en janvier prochain...)
accident
http://www.lejsl.com/edition-de-macon/2011/12/23/mort-sur-le-coup
Terrible collision frontale entre un camion et une voiture, hier en fin d’après-midi sur la RCEA à la hauteur de Davayé : l’automobiliste âgé de 23 ans a perdu la vie.
L’accident s’est produit sur la Route centre Europe Atlantique (RCEA), hier vers 18 h 15 sur la commune de Davayé. La collision a eu lieu sur une portion à double sens, quasiment sous le pont permettant la traversée de la RD 54 (dit « pont de la patte-d’oie »).
D’après les premières constatations et témoignages recueillis sur place, une Peugeot 207 conduite par un jeune homme de 23 ans, natif de Perpignan, se dirigeait vers Mâcon lorsqu’elle se serait déportée sur la gauche de la chaussée. Au même moment, un semi-remorque frigorifique circulait en direction de Cluny. Le chauffeur a tenté de se déporter sur la droite, mais n’a pu éviter la collision. Celle-ci a été effroyable. Sous la violence du choc, l’avant de la voiture a été broyé, le bloc-moteur étant éjecté à une dizaine de mètres de la carrosserie.
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Terrible collision frontale entre un camion et une voiture, hier en fin d’après-midi sur la RCEA à la hauteur de Davayé : l’automobiliste âgé de 23 ans a perdu la vie.
L’accident s’est produit sur la Route centre Europe Atlantique (RCEA), hier vers 18 h 15 sur la commune de Davayé. La collision a eu lieu sur une portion à double sens, quasiment sous le pont permettant la traversée de la RD 54 (dit « pont de la patte-d’oie »).
D’après les premières constatations et témoignages recueillis sur place, une Peugeot 207 conduite par un jeune homme de 23 ans, natif de Perpignan, se dirigeait vers Mâcon lorsqu’elle se serait déportée sur la gauche de la chaussée. Au même moment, un semi-remorque frigorifique circulait en direction de Cluny. Le chauffeur a tenté de se déporter sur la droite, mais n’a pu éviter la collision. Celle-ci a été effroyable. Sous la violence du choc, l’avant de la voiture a été broyé, le bloc-moteur étant éjecté à une dizaine de mètres de la carrosserie.
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Waneta E. Hoyt
Wikipédia :
Waneta Ethel Hoyt (May 13, 1946 – August 13, 1998) was an American serial killer. She was born in Richford, New York and died at the Bedford Hills Correctional Facility for Women.
.........
Ses cinq enfants biologiques sont supposés morts suite à des morts subites du nourrisson. Sa famille et elle furent utilisées dans un article du Journal of Pediatrics, en 1972, comme preuve que la mort subite du nourrisson était génétique. En 1995, Hoyt avoue le meurtre de ses enfants et est condamnée à la prison à vie.
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aveux lors de sa période critique septennale des 49 ans.
naissance et décès des nourrissons : (Wikipédia)
17/10/1964 - 26/01/1965
31/05/1966 - 26/09/1966 (1968 mentionné par erreur ?)
19/07/1968 - 5/09/1968
18/03/1970 - 5/06/1970
9/05/1971 - 28/07/1971
on peut donc regarder la situation des bébés, la mort subite du nourrisson intervenant majoritairement un jour critique physique :
1) jour neutre
2) jour neutre (veille de E8)
3) jour neutre (veille E22 - i17)
4) jour neutre toutefois veille de P12 jour critique physique
5) jour critique physique P12
situation pour Waneta Hoyt : (13/05/1946)
1) lendemain de P1 et surlendemain de i 1 E1. (18 ans année critique physique P18)
2) jour critique émotionnel E22 et intellectuel i 17 lendemain de critique physique P12. (20 ans et 4 mois soit entrée période critique septennale des 21 ans)
3) jour critique intellectuel i 1. (22 ans et 4 mois)
4) jour neutre mais 24 ans (année critique P1) et proximité anniversaire.
5) jour critique intellectuel i 1. (25 ans et 2 mois)
quatre dates de décès de nourrissons correspondent à des jours pulsions de leur mère, sauf le 4ème où deux éléments pulsions sont présents quand même : l'année de vie et la proximité de l'anniversaire. (les jours "forts" sont E1 - P1 - i 1 - E22)
Waneta Ethel Hoyt (May 13, 1946 – August 13, 1998) was an American serial killer. She was born in Richford, New York and died at the Bedford Hills Correctional Facility for Women.
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Ses cinq enfants biologiques sont supposés morts suite à des morts subites du nourrisson. Sa famille et elle furent utilisées dans un article du Journal of Pediatrics, en 1972, comme preuve que la mort subite du nourrisson était génétique. En 1995, Hoyt avoue le meurtre de ses enfants et est condamnée à la prison à vie.
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aveux lors de sa période critique septennale des 49 ans.
naissance et décès des nourrissons : (Wikipédia)
17/10/1964 - 26/01/1965
31/05/1966 - 26/09/1966 (1968 mentionné par erreur ?)
19/07/1968 - 5/09/1968
18/03/1970 - 5/06/1970
9/05/1971 - 28/07/1971
on peut donc regarder la situation des bébés, la mort subite du nourrisson intervenant majoritairement un jour critique physique :
1) jour neutre
2) jour neutre (veille de E8)
3) jour neutre (veille E22 - i17)
4) jour neutre toutefois veille de P12 jour critique physique
5) jour critique physique P12
situation pour Waneta Hoyt : (13/05/1946)
1) lendemain de P1 et surlendemain de i 1 E1. (18 ans année critique physique P18)
2) jour critique émotionnel E22 et intellectuel i 17 lendemain de critique physique P12. (20 ans et 4 mois soit entrée période critique septennale des 21 ans)
3) jour critique intellectuel i 1. (22 ans et 4 mois)
4) jour neutre mais 24 ans (année critique P1) et proximité anniversaire.
5) jour critique intellectuel i 1. (25 ans et 2 mois)
quatre dates de décès de nourrissons correspondent à des jours pulsions de leur mère, sauf le 4ème où deux éléments pulsions sont présents quand même : l'année de vie et la proximité de l'anniversaire. (les jours "forts" sont E1 - P1 - i 1 - E22)
veuves noires
Voici quelques "Veuves Noires", classées par ordre chronologique :
http://www.tueursenserie.org/spip.php?article46
j'ai trouvé cette liste et par curiosité regardé l'âge au "démarrage" des meurtres pour voir s'il y a un lien avec une période critique septennale : fort intéressant car la grande majorité de ces femmes a démarré les meurtres en période critique septennale ou à côté de celle-ci, (de sorte que la période critique est à mon avis en cause). compréhensible si l'on sait que nos périodes critiques septennales sont des périodes de "pulsions psychiques".
Mary Ann Cotton.
Anglaise. De 1852 à 1872, elle a empoisonné 21 personnes, dont 4 époux, ses enfants, ses beaux enfants, sa mère, sa belle-soeur et des amis.
période critique septennale des 21 ans.
Belle Gunness.
Américaine. De 1872 à 1893, elle a tué ses 6 enfants, 2 époux et d’innombrables hommes, des soupirants ou des ouvriers de sa ferme.
période critique septennale des 42 ans.
Amy Archer-Gilligan.
Américaine. De 1911 à 1914, elle a empoisonné - parfois après les avoir épousés - plusieurs hommes riches et âgés dont elle s’occupait dans sa maison de repos.
période critique septennale des 42 ans.
Vera Renczi.
Roumaine. Dans les années 1910, elle a assassiné 2 époux, son fils et 32 amants (dont elle a gardé les corps chez elle), par jalousie maladive.
premier meurtre année incertaine.
Ottilie Gburek.
Américaine d’origine polonaise. De 1919 à 1921, elle a empoisonné 5 de ses époux, dont elle affirmait avoir "vu" la mort "en rêve", ainsi que les enfants d’une voisine.
période critique septennale des 42 ans.
Daisy DeMelker.
Anglaise résidente en Afrique du Sud. De 1907 à 1932, elle a assassiné 2 époux, ses 5 enfants, un fiancé et des amis.
36 ans période critique septennale des 35 ans
Marie Becker.
Belge. De 1932 à 1936, dépensière et "nymphomane", elle a empoisonné deux époux, ainsi que de nombreuses "amies" riches de l’aristocratie Liégoise.
53 ans (année critique physique P7)
Nanny Doss.
Américaine. Des années 1920 aux années 1950, cette douce "mamie" a empoisonné 4 époux, 2 enfants, sa mère, sa soeur et son petit-fils.
période critique septennale des 21 ans.
Marie Besnard.
Française. Elle a été acquittée en 1961 par manque de preuves. Mais beaucoup pensent qu’elle a empoisonné 12 personnes de sa famille, dont ses 2 époux, entre 1927 et 1949.
31 ans. pas de période critique ce qui irait en sa faveur : elle a en effet été acquittée.
Janie Lou Gibbs.
Américaine. De 1965 à 1967 cette chrétienne fondamentaliste dévouée à sa famille... a assassiné son époux, ses 3 fils et son petit-fils, pour l’argent.
période critique septennale des 35 ans.
Waneta E. Hoyt.
Américaine. De 1965 à 1971, elle a assassiné 5 de ses 6 enfants. Elle a persuadé de nombreux médecins qu’ils étaient décédés du syndrome de la mort subite du nourrisson. Elle n’a été arrêtée qu’en 1994.
19 ans - cas particulier de bébés assassinés. (voir ci-dessus post la concernant car les bébés ont été tués en jour pulsions)
Blanche Taylor Moore.
Américaine. De 1966 à 1989, elle a assassiné son père, sa belle-mère, son époux et son amant. Son second époux a survécu miraculeusement.
période critique septennale des 35 ans.
http://www.tueursenserie.org/spip.php?article46
j'ai trouvé cette liste et par curiosité regardé l'âge au "démarrage" des meurtres pour voir s'il y a un lien avec une période critique septennale : fort intéressant car la grande majorité de ces femmes a démarré les meurtres en période critique septennale ou à côté de celle-ci, (de sorte que la période critique est à mon avis en cause). compréhensible si l'on sait que nos périodes critiques septennales sont des périodes de "pulsions psychiques".
Mary Ann Cotton.
Anglaise. De 1852 à 1872, elle a empoisonné 21 personnes, dont 4 époux, ses enfants, ses beaux enfants, sa mère, sa belle-soeur et des amis.
période critique septennale des 21 ans.
Belle Gunness.
Américaine. De 1872 à 1893, elle a tué ses 6 enfants, 2 époux et d’innombrables hommes, des soupirants ou des ouvriers de sa ferme.
période critique septennale des 42 ans.
Amy Archer-Gilligan.
Américaine. De 1911 à 1914, elle a empoisonné - parfois après les avoir épousés - plusieurs hommes riches et âgés dont elle s’occupait dans sa maison de repos.
période critique septennale des 42 ans.
Vera Renczi.
Roumaine. Dans les années 1910, elle a assassiné 2 époux, son fils et 32 amants (dont elle a gardé les corps chez elle), par jalousie maladive.
premier meurtre année incertaine.
Ottilie Gburek.
Américaine d’origine polonaise. De 1919 à 1921, elle a empoisonné 5 de ses époux, dont elle affirmait avoir "vu" la mort "en rêve", ainsi que les enfants d’une voisine.
période critique septennale des 42 ans.
Daisy DeMelker.
Anglaise résidente en Afrique du Sud. De 1907 à 1932, elle a assassiné 2 époux, ses 5 enfants, un fiancé et des amis.
36 ans période critique septennale des 35 ans
Marie Becker.
Belge. De 1932 à 1936, dépensière et "nymphomane", elle a empoisonné deux époux, ainsi que de nombreuses "amies" riches de l’aristocratie Liégoise.
53 ans (année critique physique P7)
Nanny Doss.
Américaine. Des années 1920 aux années 1950, cette douce "mamie" a empoisonné 4 époux, 2 enfants, sa mère, sa soeur et son petit-fils.
période critique septennale des 21 ans.
Marie Besnard.
Française. Elle a été acquittée en 1961 par manque de preuves. Mais beaucoup pensent qu’elle a empoisonné 12 personnes de sa famille, dont ses 2 époux, entre 1927 et 1949.
31 ans. pas de période critique ce qui irait en sa faveur : elle a en effet été acquittée.
Janie Lou Gibbs.
Américaine. De 1965 à 1967 cette chrétienne fondamentaliste dévouée à sa famille... a assassiné son époux, ses 3 fils et son petit-fils, pour l’argent.
période critique septennale des 35 ans.
Waneta E. Hoyt.
Américaine. De 1965 à 1971, elle a assassiné 5 de ses 6 enfants. Elle a persuadé de nombreux médecins qu’ils étaient décédés du syndrome de la mort subite du nourrisson. Elle n’a été arrêtée qu’en 1994.
19 ans - cas particulier de bébés assassinés. (voir ci-dessus post la concernant car les bébés ont été tués en jour pulsions)
Blanche Taylor Moore.
Américaine. De 1966 à 1989, elle a assassiné son père, sa belle-mère, son époux et son amant. Son second époux a survécu miraculeusement.
période critique septennale des 35 ans.
matricide
http://www.au-troisieme-oeil.com/index.php?page=actu&type=skr&news=38254
Le matricide de Pulligny déclaré irresponsable
" Maxime S., un jeune homme de 25 ans meurtrier de sa mère, a été déclaré, mercredi, pénalement irresponsable. L’action publique est éteinte. La chambre de l’instruction a renvoyé le dossier sur intérêts civils devant le tribunal de grande instance.
Le 14 septembre 2009 à Pulligny, près de Nancy, Maxime S. a porté neuf coups de couteau à sa mère, veuve, qui vivait avec ses trois enfants. À l’époque, le jeune homme n’a pas pu donner de mobile à son geste. La folie aurait peut-être sa part dans ce drame. Depuis, l’état psychiatrique du matricide s’est dégradé.
Aujourd’hui soigné, il annonce qu’il a pour mission de tuer toutes les femmes. Cependant les experts sont partagés sur le moment où il a basculé dans la maladie psychiatrique. Bénéficiait-il encore d’une parcelle de lucidité en 2009 au moment de son acte ? La chambre de l’instruction a estimé que cela n’était pas le cas en demandant son hospitalisation d’office. Elle a suivi les arguments développés par M e Loïc Demarest, défenseur nancéien du jeune homme."
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Le matricide de Pulligny déclaré irresponsable
" Maxime S., un jeune homme de 25 ans meurtrier de sa mère, a été déclaré, mercredi, pénalement irresponsable. L’action publique est éteinte. La chambre de l’instruction a renvoyé le dossier sur intérêts civils devant le tribunal de grande instance.
Le 14 septembre 2009 à Pulligny, près de Nancy, Maxime S. a porté neuf coups de couteau à sa mère, veuve, qui vivait avec ses trois enfants. À l’époque, le jeune homme n’a pas pu donner de mobile à son geste. La folie aurait peut-être sa part dans ce drame. Depuis, l’état psychiatrique du matricide s’est dégradé.
Aujourd’hui soigné, il annonce qu’il a pour mission de tuer toutes les femmes. Cependant les experts sont partagés sur le moment où il a basculé dans la maladie psychiatrique. Bénéficiait-il encore d’une parcelle de lucidité en 2009 au moment de son acte ? La chambre de l’instruction a estimé que cela n’était pas le cas en demandant son hospitalisation d’office. Elle a suivi les arguments développés par M e Loïc Demarest, défenseur nancéien du jeune homme."
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coup de folie
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Avesnes_sur_Helpe/actualite/Autour_de_Avesnes_sur_Helpe/Avesnes_et_son_arrondissement/2011/12/23/article_hirson-02-un-forcene-maitrise.shtml
Hirson (02) : un forcené maîtrisé
Suite, semble-t-il, à une rupture sentimentale, un homme a eu un accès de folie. Il est sorti d'une habitation avec un fusil de chasse et a tiré plusieurs coups de feu en l'air ainsi qu'en direction de son véhicule.
Rapidement sur place, une dizaine de gendarmes ont d'abord commencé par sécuriser les lieux, notamment la population environnante du quartier.
Puis, deux heures plus tard, les militaires, dont certains du peloton de surveillance et d'intervention (PSIG), ont réussi à maîtriser le forcené grâce à un pistolet à impulsion électrique (Taser).
L'homme a été immédiatement conduit au centre hospitalier hirsonnais par les sapeurs-pompiers, son cas relevant d'abord de la médecine. Il n'en devra pas moins s'expliquer sur ses actes dès sa sortie.
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Hirson (02) : un forcené maîtrisé
Suite, semble-t-il, à une rupture sentimentale, un homme a eu un accès de folie. Il est sorti d'une habitation avec un fusil de chasse et a tiré plusieurs coups de feu en l'air ainsi qu'en direction de son véhicule.
Rapidement sur place, une dizaine de gendarmes ont d'abord commencé par sécuriser les lieux, notamment la population environnante du quartier.
Puis, deux heures plus tard, les militaires, dont certains du peloton de surveillance et d'intervention (PSIG), ont réussi à maîtriser le forcené grâce à un pistolet à impulsion électrique (Taser).
L'homme a été immédiatement conduit au centre hospitalier hirsonnais par les sapeurs-pompiers, son cas relevant d'abord de la médecine. Il n'en devra pas moins s'expliquer sur ses actes dès sa sortie.
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forcenés
http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-deux-forcenes-maitrises-par-la-police-22-12-2011-1780267.php
La scène aura duré moins de deux heures. Les policiers de l'anti-gang sont intervenus jeudi peu avant 19 heures dans le IIème arrondissement de Paris pour maîtriser deux forcenés, après avoir fait exploser la porte de l'appartement où ils s'étaient retranchés. Les deux hommes, habitués des séjours en hôpital psychiatrique, s'étaient barricadés au domicile de l'un d'eux et brandissaient des armes par la fenêtre, avait constaté notre reporter sur place, au carrefour des rues Montmartre et Etienne-Marcel, à proximité du quartier des Halles.
La police en renfort sur place avait dû interrompre la circulation, tandis que de nombreux badauds scrutaient
les mouvements des deux forcenés aux fenêtres de l'appartement, situé au deuxième étage d'un bâtiment qui en compte cinq.
Les deux hommes, âgés entre 25 et 30 ans, menaçaient les forces de l'ordre avec un sabre et un chalumeau. Des policiers cagoulés de la BRI avaient pris position à l'étage au-dessus et les pompiers avaient déployé une grande échelle devant la fenêtre.
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La scène aura duré moins de deux heures. Les policiers de l'anti-gang sont intervenus jeudi peu avant 19 heures dans le IIème arrondissement de Paris pour maîtriser deux forcenés, après avoir fait exploser la porte de l'appartement où ils s'étaient retranchés. Les deux hommes, habitués des séjours en hôpital psychiatrique, s'étaient barricadés au domicile de l'un d'eux et brandissaient des armes par la fenêtre, avait constaté notre reporter sur place, au carrefour des rues Montmartre et Etienne-Marcel, à proximité du quartier des Halles.
La police en renfort sur place avait dû interrompre la circulation, tandis que de nombreux badauds scrutaient
les mouvements des deux forcenés aux fenêtres de l'appartement, situé au deuxième étage d'un bâtiment qui en compte cinq.
Les deux hommes, âgés entre 25 et 30 ans, menaçaient les forces de l'ordre avec un sabre et un chalumeau. Des policiers cagoulés de la BRI avaient pris position à l'étage au-dessus et les pompiers avaient déployé une grande échelle devant la fenêtre.
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