ou moteurs d'un drame
un petit rappel rapide à propos de ma théorie car ce sont toujours les mêmes éléments qu'il faut rechercher - et qui sont généralement présents en tant que contributeurs au déclenchement - après un drame, mais qui peuvent aussi, pour cela, aider à parfois prévenir (tous ces éléments étant connus à l'avance) :
(par ordre d'importance)
- périodes critiques septennales : autour de nos âges de la table de sept (cycle psychique et émotionnel à pulsations septennales, çàd induisant des pulsions (parfois de graves dépressions) lors de la survenance de nos années de vie de la table de sept)
- jour critique émotionnel : cycle psychique à pulsations chaque septième jour de notre vie, de ce fait toujours le jour de la semaine où nous sommes nés. (également possibles survenances d'états de "dépression foudroyante" déjà dès la veille au soir)
- proximité date anniversaire : fréquemment présente dans certains types de faits divers graves, mais aussi suicides ; je considère quatre semaines avant et quatre semaines après la date anniversaire.
- jour critique physique : chaque sixième jour de notre vie mais certains plus que les autres (P1 et P18/P19 notamment) c'est à dire jour 1 du cycle de 23 jours, et jours 18 et/ou 19 du cycle.
- jour critique intellectuel : cycle de 33 jours essentiellement remarquable par les faits divers survenant le premier jour du cycle (E1) surtout... aussi, mais moins, les autres jours critiques du cycle.
- période critique sextennale : cycle physique et psychique à pulsation chaque sixième année de notre vie - mais s'agissant d'un cycle de 23 années ce sont surtout certaines années qui semblent plus fréquemment présentes : âge de 23 ans, 47 ans notamment.
- période critique octonale : cycle de 33 années essentiellement remarquable par les faits divers arrivant à 33 ans : première années de démarrage d'un nouveau cycle intellectuel (de la pensée) de 33 ans.
certains de ces éléments sont donc fort nombreux (pas tous heureusement, ce qui permet aisément de les repérer) et rythment notre quotidien - (le jour critique émotionnel est hebdomadaire, par exemple...) et, bien qu'étant prévus pour avoir un rôle utile, ils constituent fréquemment des épisodes "à risque" de tension, car épisodes à la fois de pulsions (nous sommes poussés à agir, à réagir, alors que simultanément nous sommes désinhibés afin que nous ayons moins peur d'agir.
(dans la version "mauvais sens" ou "mauvais usage" des pulsions, c'est cet effet de pulsions accompagné de moins d'inhibitions voire de désinhibition qui peut donner lieu à des drames très divers comme les drames familiaux et conjugaux, suicides, agressions de certain type, etc...)
pratiquement tous les drame familiaux et individuels que je cite dans mes posts relèvent de ce mécanisme... et ce sont la grande majorité des drames qui illustrent tristement l'actualité.
(les jours critiques (émotionnels, physiques et intellectuels) sont calculés et indiqués ici :
http://biorythm.online.fr/w/ )
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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