Le coordonnateur national du renseignement Laurent Nuñez a souligné la difficulté de détecter les profils comme ceux de Jamel Gorchene, auteur de l’attaque au commissariat de Rambouillet.
L’assaillant Jamel Gorchene ... « n’avait pas été porteur de menaces, on n’avait pas détecté de signes de radicalisation » à son sujet, a développé sur BFMTV Laurent Nuñez.
Il fait partie de ces « individus inconnus des services de renseignement, qui sont très isolés, n’ont pas de relations avec d’autres individus qui les rendraient détectables », a-t-il ajouté. « Cela devient très compliqué […] de détecter ce genre de profil » commun aux « huit attaques » terroristes commises en France depuis la tuerie de la préfecture de police de Paris en octobre 2019, a souligné l’ancien secrétaire d’État au ministère de l’Intérieur. Le 3 octobre 2019, un employé avait tué à coups de couteau trois policiers et un agent administratif, avant d’être abattu, au sein de la préfecture de police, dans la capitale.
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les huit attaques seraient à analyser à la lumière des rythmes psychiques des intéressés car il y a peut-être des similitudes, la radicalisation s'opérant souvent à la faveur d'une période critique septennale, par exemple... (celle des 35 ans pour Jamel Gorchene et celle des 42 ans pour Michael Harpon) (les
états parfois plus ou moins dépressifs provoqués par la survenance d'une
période critique septennale ou certains autres éléments critiques, vont pouvoir amener les personnes à se
réfugier dans la religion et parfois dans la radicalisation) les deux attaques ont aussi eu lieu en épisode critique semestriel, autre élément pulsions...
cela ne permet peut-être pas une détection précoce, mais surtout de mieux comprendre les mécanismes et les états dépressifs et de désinhibition qui mènent à des actes insensés... la prévention passe aussi par une information quant à l'existence et au fonctionnement, aux effets, de nos périodes critiques septennales et autres éléments critiques survenant régulièrement tout au long de la vie...