mardi 8 mars 2011

drame de la période critique septennale

http://www.leparisien.fr/reims-51100/marne-une-mere-poignarde-son-fils-de-8-ans-avant-de-l-etouffer-08-03-2011-1349321.php
Marne: une mère poignarde son fils de 8 ans avant de l'étouffer

Une femme âgée de 35 ans a poignardé et étouffé son fils de 8 ans lundi soir, au domicile familial situé dans le centre ville d'Epernay (Marne), puis a tenté de se suicider avant d'appeler les secours, a-t-on appris mardi de source judiciaire.
"Quand les secours sont arrivés, l'enfant avait succombé et la femme qui s'était assénée quelques coups de couteau était en plein délire psychiatrique, affirmant être possédée par le diable et que son enfant était Belzébuth", a expliqué à l'AFP Christian de Rocquigny, le procureur de Châlons-en-Champagne.
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un drame de la période critique septennale - sous réserve que l'âge indiqué soit juste : ce qui est probablement le cas, ce type de délire étant l'un des symptômes possibles dans des situations en période critique septennale chez des personnes qui ont des problèmes psychiques ou psychiatriques. la période critique avec la survenue de ses pulsions  peut alors constituer un déclencheur de divers comportements à risque, pouvant être gravissimes...
jour critique émotionnel ?


édit :
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/rumeur-autour-du-suicide-familial
l'article fait état des autres affaires qui sont tous deux également être des drames septennaux...
(Armentières et Pont de Metz)
http://rythmescycleshumains.blogspot.com/2011/02/toujours-et-encore-des-drames.html
http://rythmescycleshumains.blogspot.com/2011/01/drame-familial-et-suicide-septennal.html


édit 10/03 :
trouvé un article de L'Union sur SKCenter :
Meurtre du petit Axel / « C'est le diable dont j'ai accouché »


ÉPERNAY (Marne). La femme qui a poignardé puis étouffé son fils lundi soir est en proie à des troubles majeurs de la personnalité. Elle répète en boucle que l'Antéchrist avait pris possession de son fils et qu'elle a voulu le délivrer pour qu'il entre au paradis. Un récit hallucinant.
CE lundi aux environs de 18 h 30, le sapeur-pompier de permanence au standard de la caserne d'Epernay écoute avec stupéfaction les propos décousus et emprunts de mysticisme, que déverse d'une voix blanche et de manière quasi mécanique la femme qui se trouve à l'autre bout du combiné. Des propos incohérents et alarmants qui font craindre le pire. Le pompier est convaincu qu'un drame terrible vient de se jouer à l'adresse de l'appel. Alors, très vite, un véhicule de secours fonce au n°1 de la rue de Monthléry. C'est là, dans un des appartements de cette maison à la façade en ciment crépi et aux ouvertures encadrées de briques, qu'une vision d'horreur s'offre à la vue des pompiers. Ils secourent la mère qui a donné l'alerte quelques minutes plus tôt. Mélinda, 34 ans, a le corps ensanglanté. Elle est lardée de coups de couteau au thorax.
« L'Antéchrist voulait rentrer au paradis »
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« Mon fils est mort depuis la naissance »
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Selon elle, le drame s'est noué après la sortie des cours. Axel serait rentré comme d'habitude de l'école primaire tandis qu'elle lui préparait son goûter. C'est à son retour qu'elle aurait été prise d'une bouffée délirante, si l'on en juge par ses propos hallucinants qui placent son fils dans la peau du diable. « Il est rentré et il a dit qu'il allait tuer tout le monde », raconte Mélinda. Elle semble alors persuadée qu'elle s'adresse à « l'Antéchrist », comme elle le nomme. « Il m'a regardée et il m'a dit qu'il voulait rentrer au paradis. Il fallait qu'il parte en martyre pour être pardonné. »
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En attendant, les policiers tentent d'apporter des réponses à d'autres questions. Mélinda avait-elle un passé psychiatrique ? Avait-elle déjà manifesté des troubles de la personnalité ? Quelles étaient ses relations avec le petit Axel avant le drame ? Pouvait-on prévenir le terrible huis clos auquel une mère et son enfant étaient ici confrontés ? L'audition des voisins, des proches de Mélinda - mais aussi de cet enfant scolarisé en école primaire et de cette famille monoparentale que des services sociaux avaient prise en charge - pourrait éclairer l'enquête. À condition que le binôme n'ait pas été par trop esseulé
Source : L'Union

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on peut déjà noter le moment du drame : lundi aux alentours de 18h30 ce qui correspond bien au pic de pulsions lié à l'entrée dans une nouvelle journée chronobiologique, ici donc celle du mardi.
on peut alors vérifier si la personne est une native du mardi car les "disjonctions" ont tendance à arriver - s'il en arrive - le jour critique émotionnel en raison des pulsions survenant ce jour là et notamment - c'est selon les personnes et leur état et situation - à l'arrivée de ce nouveau jour soit la veille aux alentours de 18 heures.
voir aussi un autre pic possible : celui des 34 ans et demi qui est l'entrée dans la période critique septennale des 35 ans.

par ailleurs l'enfant est un enfant septennal et les problèmes peuvent éventuellement avoir démarré avec l'entrée de l'enfant dans sa période critique septennale, à l'arrivée des sept ans de celui-ci... (six ans et demi plus précisément : moment de l'arrivée de la première période critique septennale de la vie humaine).

pour ce qui est des antécédents on peut voir comment se sont passées les "périodes sensibles" précédentes, celles qui posent parfois problèmes étant dans ce cas la période critique septennale des 21 ans, l'année critique physique des 23 ans, puis la période critique septennale des 28 ans...
par ailleurs à l'intérieur de ces périodes et autrement aussi c'est le jour critique émotionnel qu'il faut observer.

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