mercredi 9 mars 2011

week-end dramatique

http://www.ledauphine.com/drome/2011/03/08/pourquoi-leur-week-end-en-italie-a-t-il-vire-au-drame-1
Pourquoi leur week-end en Italie a-t-il viré au drame ?

Plus d’une semaine après les faits, reste cette interrogation : pourquoi le dernier week-end de deux jeunes vivant une relation depuis quelques mois, a-t-il viré au drame ?
Huit jours après la découverte de Samira à proximité d’une décharge italienne, vivante, mais gravement blessée par balle, l’état de santé de la jeune Crestoise âgée de 20 ans est toujours des plus préoccupants. Pour l’heure, les chirurgiens n’ont pas réussi à extraire le projectile qui est venu se loger dans le cou, à proximité du cervelet.
Maël Combier, Valentinois âgé de 22 ans, est, quant à lui, écroué depuis dimanche soir à la maison d’arrêt de Privas, pour tentative d’assassinat.
Deux jours plus tôt, après avoir été recherché par les policiers italiens et français, il s’était rendu, spontanément, au commissariat de Valence. « Il s’est livré à la police parce qu’il n’avait pas d’autre solution » nous a confié Me Alain Fort, son avocat. « Ce n’est pas un bandit qui peut faire face à une cavale ».
C’est, selon nos informations, lors de la soirée du 25 février, que Maël et Samira, venus séparément, s’étaient retrouvés dans une discothèque de l’agglomération valentinoise. Samira, découvrant qu’il était accompagné d’une jeune femme, une dispute aurait éclaté.
Une arme pour se protéger?
Elle se serait poursuivie sur le parking de l’établissement de nuit, où des menaces de mort auraient été proférées par des amis de la Crestoise à l’encontre de Maël Combier.
Le lendemain, samedi, le jeune homme, se serait procuré une arme, un pistolet de calibre 7.65, dans un quartier valentinois. Dans l’objectif de se protéger ?
Ce jour-là également, apparemment animés par un même souhait de réconciliation, Samira et Maël prenaient, ensemble, la direction du Sud de la France, puis de l’Italie.
C’est sur le chemin du retour qu’une dispute aurait à nouveau éclaté. Maël Combier aurait alors emprunté une route de campagne, sorti le pistolet avant de tirer un coup de feu.
« Il était dans un état psychologique délabré par un harcèlement énorme qu’il a subi pendant des mois et qui s’est accentué ces dernières semaines » précisait Me Alain Fort. « Il n’était plus dans un état normal. Il a voulu lui faire peur… »

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situation cyclique des deux personnes le jour du drame ?

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