samedi 28 octobre 2017

drame

Mouzay : le père maintenu en détention Le père de l’enfant de 5 ans, retrouvé mort dans une voiture presque totalement immergée dans le canal à Mouzay, mis en examen pour meurtre, avait fait appel de son mandat de dépôt. Il a été maintenu en détention. Le 10 août dans la soirée, la voiture avait été retirée du canal. La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Nancy a examiné, jeudi, l’appel formé par Me Christophe Héchinger, avocat de Stéphane Prunaux, 42 ans, instituteur domicilié aux environs de Bar-sur-Aube (10). L’homme avait été mis en examen pour meurtre d’un mineur de 15 ans. En effet, le 10 août dernier, il avait été retrouvé dans une voiture presque totalement immergée dans un canal. Son fils de 5 ans était décédé dans l’habitacle. L’homme aurait dû se marier avec la mère de son fils quelques jours après le drame. Le parquet de Verdun s’était dessaisi de l’affaire au profit de celui de Nancy qui avait ouvert une information judiciaire pour meurtre sur mineur de 15 ans. Le père avait fait l’objet d’une mesure d’hospitalisation en soins psychiatriques sans consentement à Verdun levée le 17 octobre dernier. (...) « Il y a des éléments du dossier qui doivent être élucidés » Dans cette affaire, des éléments restent encore flous : l’autopsie de l’enfant a mis en évidence l’absence d’eau dans les poumons et l’estomac « ce qui laisserait supposer que l’enfant était déjà décédé au moment où la voiture était immergée dans l’eau et que le décès ne serait pas consécutif à une mort par noyade. (...) Le mis en examen affirmait aussi au magistrat instructeur (notre édition du 19 octobre) « que son fils était décédé accidentellement à son domicile par une noyade dans une baignoire, la découverte du corps l’ayant convaincu de se donner la mort en se rendant jusqu’à la Meuse pour s’y suicider ». Pour Me Liliane Glock, « il y a des éléments du dossier qui doivent être élucidés ». Elle a notamment évoqué au cours de l’audience, la faible distance des secours par rapport au domicile du mis en cause, mais aussi la possible présence de Stéphane Prunaux sur les lieux du drame quelques jours auparavant, ainsi que des recherches qu’il aurait effectué sur internet les jours précédant. Des recherches concernant notamment le mot-clef « noyade ».(...)
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-verdun/2017/10/27/mouzay-le-pere-maintenu-en-detention
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les rythmes psychiques humains sont généralement présents et au moins en partie en cause lors d'un drame et il faut toujours les consulter car ils peuvent donner de précieuses indications quant à l'état d'une personne et au pourquoi d'un scénario... et c'est généralement - comme ici - le jour critique émotionnel que l'on trouve... (1)

une donnée de naissance trouvée permet de voir la situation au moment du drame :
- un épisode critique physique et psychique fort (P17/P19) du lundi 5 au soir au 8 août (sur les lieux du drame et recherches sur internet ?)
- drame la veille à l'arrivée du jour critique émotionnel E22 et surtout aussi du jour critique intellectuel i1 
- période critique septennale des 42 ans à 5/7 mois de l'anniversaire

10 août 2017 (28/03/1975)
Di 6 P(17)
Lu 7 P(18)
Ma 8 P(19)
Me 9
Je 10
Ve 11 E(22) I(1)
Sa 12
Di 13 P(1)
Lu 14

(1) https://rythmescycleshumains.blogspot.fr/p/analyser_25.html
(aussi curieux que cela puisse paraître, les rythmes et cycles psychiques humains, qui sont omniprésents dans nos actes et actions... et pratiquement toujours présents et en cause lorsque nos actes "dépassent les limites" ... restent apparemment à ce jour ignorés des professionnels...)

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