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Meurtre de Marie-Jeanne Horlait à Frameries : ce n'est pas une chute dans les escaliers mais un meurtre violent
Ce vendredi à 10h, la reconstitution du meurtre de Mme Horlait a débuté dans la rue Léopold à La Bouverie. Une quinzaine de personnes, accusés, famille, magistrats, policiers, etc étaient présentes sur place pour reconstituer le meurtre de la septuagénaire.
Tout s’est déroulé calmement, presque sereinement, selon nos sources. Pour rappel, le jeudi 17 janvier vers 21 heures, Marie-Jeanne Horlait (73 ans) est retrouvée morte à son domicile. Elle y vit avec sa fille d’adoption Marie-Hélène et le compagnon de celle-ci Michael. Après avoir prétendu, le jour des faits, que la dame était tombée dans les escaliers, les accusés sont revenus sur leur version.
« C’est clairement le compagnon de ma cliente qui tue Mme Horlait par des coups. En fait, la maman avait une clochette qu’elle faisait sonner pour les appeler et ça a été la goutte d’eau. L’homme s’est mis en colère et a commencé à la frapper, je pense », explique Maître Aurélie Henin, avocat de Marie-Hélène Horlait, fille d’adoption de la victime. « Mon client n’a jamais contesté que c’étaient ses coups qui avaient tué Mme Horlait. Pour ce qui est d’un élément déclencheur, il n’y en a pas vraiment. C’est plutôt une accumulation et une mésentente chronique qui s’aggrave de plus en plus. Selon les accusés, les clochettes étaient utilisées pour que la dame les appelle pour la servir. ça aurait contribué à l’agacement de mon client », ajoute Maître Itani, avocat de Michael, le compagnon de Marie-Hélène. Pendant que son compagnon ruent de coups la dame, Marie-Hélène ne bouge pas. Après la mort de la dame, les accusés ne s’arrêtent pas là.
http://www.sudinfo.be/712611/article/regions/mons/actualite/2013-04-26/frameries-ce-n-est-pas-une-chute-dans-les-escaliers-mais-un-meurtre-violent

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d'après ce que j'ai trouvé ailleurs le suspecté aurait 36 ans et sort par conséquent de sa récente période critique. jour critique émotionnel ?