samedi 27 avril 2013

meurtre

Meurtre à coups d’haltère : le père arrêté
Goran Ibraimovic, en cavale depuis trois semaines, a été pincé à la gare de Charleroi. Le dimanche 7 avril dernier, un crime particulièrement violent était commis dans un petit appartement de la rue Fessler à Marchienne-au-Pont. Un logement occupé par Goran Ibraimovic (41 ans) et son fils Martin, âgé de 20 ans. Ayant un penchant pour la boisson, le père était plutôt du genre atrabilaire, mais jamais jusqu’alors il ne s’en était pris à son fils, préférant se prendre le bec avec sa compagne. Mais ce matin-là, vers 8h30, Goran Ibraimovic s’en est pris à Martin, qui dormait paisiblement. Pour une raison indéterminée, le père s’est emparé d’haltères de trois kilos et a asséné des coups violents au crâne du jeune homme. Emmené au CHU de Charleroi en état de mort cérébrale, Martin a subi plusieurs interventions qui permettaient d’espérer une évolution positive. Mais le cerveau de la victime était apparemment trop endommagé. Il est décédé de ses blessures cinq jours plus tard. Le jeune homme, qui habitait depuis longtemps ce quartier de Marchienne-au-Pont, était décrit comme souriant, sportif et sans histoires par tous ses amis.
Goran Ibraimovic, lui, s’est enfui juste après la commission des faits. Selon les enquêteurs de la police fédérale de Charleroi, qui avaient lancé un avis de recherche à son encontre, il aurait pris le train à la gare de Charleroi-sud en direction d’Anvers. Durant trois semaines, le suspect est resté caché on ne sait où, jusqu’à ce qu’il réapparaisse à Charleroi ce mercredi. Inculpé de meurtre et placé sous mandat d’arrêt, il a comparu ce vendredi devant la chambre du conseil qui a prolongé sa détention préventive pour un mois. S’il reconnaît la matérialité des faits, le suspect n’a pu, pour l’instant, donner d’explication valable à son geste. Il semble particulièrement confus sur les circonstances de son crime. F.D.
http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20130427_00302511

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entrée dans la période critique septennale des 42 ans ? (compatibilité avec la victime également à l'entrée de sa période critique à elle)

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