Mort au Glénan en 2004 : non-lieu possible
Le samedi 3 juillet 2004, à 7 h 55, l'intendante du centre nautique des Glénans découvre, dans un bloc sanitaire, sur l'île de Bananec, le corps sans vie de Raphaël Favre, 17 ans. Le jeune homme était en stage de voile avec six autres ados. Près de huit ans plus tard, dans un rapport remis au juge d'instruction de Quimper, un expert-psychiatrique pointe l'absence de discernement du meurtrier présumé de l'adolescent, au moment des faits. Pour l'expert, « il ne serait pas responsable de ses actes ».
Avec ce nouvel élément, l'enquête pourrait aboutir à un non-lieu. Une thèse que l'avocat confirme. « Il y en aura forcément un. Mais je demanderai de constater des charges réelles et existantes de façon à pouvoir enclencher une procédure particulière et instaurer un procès devant la chambre d'instruction. »
ADN du suspect sur la corde
En décembre 2004, le Dr Ursula Hege-Blank, qui avait déjà effectué une expertise à partir du rapport d'autopsie et du plan des lieux, s'était dit convaincu « qu'on ne peut soutenir l'hypothèse du suicide. La strangulation par une intervention tierce me paraît l'hypothèse la plus vraisemblable. »
Vincent Omez, avocat des parents de Raphaël ajoute même « que son ADN avait été prélevé sur la cordelette retrouvée autour du cou de la victime ».
Aujourd'hui, les parents de Raphaël attendent avec impatience la décision du juge. « Nous souhaitons que l'instruction démontre que leur fils n'a pas mis fin à ses jours, que c'est un meurtre » conclut l'avocat.
http://www.brest.maville.com/actu/actudet_-Mort-au-Glenan-en-2004-non-lieu-possible_52689-2186159_actu.Htm
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la situation cyclique des personnes en dirait probablement plus... s'il y a présence d'éléments moteurs comme jours ou périodes critiques...
il est dit que le suspect a 29 ans mais je n'ai pas trouvé si c'est aujourd'hui ou à l'époque : mais dans les deux cas ce serait un âge septennal...
jour critique émotionnel ?
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