dépression et suicide... prévention

Prévenir la dépression et le suicide par l'éducation

61e Semaine de la santé mentale
Au Québec, entre 5 % et 10 % des jeunes vont souffrir de dépression au cours de leur adolescence. Cette maladie mentale est également la première cause du décrochage scolaire et l'un des principaux facteurs de risque reliés au suicide. Comment venir en aide aux adolescents qui feront face un jour à la dépression? En les éduquant à identifier les signes et les symptômes, à briser leur isolement ainsi qu'à référer un jeune en difficulté aux ressources d'aide appropriées, et ce, grâce au programme Solidaires pour la vie de la Fondation des maladies mentales.

50% des maladies mentales se manifestent avant l'âge de 14 ans et 75 % avant l'âge de 24 ans. En dépistant la dépression dès ses premiers symptômes à l'adolescence, il est possible d'en réduire les conséquences à long terme sur la vie d'un jeune, ainsi que les risques de rechute. Il est donc important de porter attention aux signes de la maladie, qui peuvent être très différents d'une personne à l'autre. Par exemple, les adultes affichent davantage d'apathie et de tristesse, alors que les adolescents montrent plus d'irritabilité et de sautes d'humeur. D'autres signes comme un trouble de l'appétit, une grande fatigue ou le retrait social peuvent être associés à la dépression. (.....)

À propos de la Fondation des maladies mentales
Fondée en 1980 par le Dr Yves Lamontagne, la Fondation des maladies mentales a pour mission la prévention des maladies mentales dans le but de réduire la souffrance des personnes atteintes et celle de leurs proches en mobilisant les individus et la société. Pour plus de renseignements sur la Fondation, les maladies mentales et les ressources disponibles, veuillez visiter le site de la Fondation à l'adresse suivante : www.fondationdesmaladiesmentales.org.
http://www.newswire.ca/fr/story/970653/prevenir-la-depression-et-le-suicide-par-l-education

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éduquer à identifier les signes et les symptômes : excellente idée, et l'observation de nos cycles physiques et psychiques est là un outil très intéressant...

pour simplifier :

nos "downs" peuvent arriver tout naturellement - puisqu'il s'agit apparemment de cycles hormonaux,

- lors de l'entrée et du séjour dans l'une de nos périodes critiques septennales : l'adolescent est concerné par l'une de nos plus importantes périodes critiques (1) en raison des changements physiques et psychiques qu'elle opère, celle de l'adolescence. on y entre aux alentours de 13 ans et demi pour en sortir après nos 15 ans.

- lors de l'entrée et du séjour dans notre jour critique émotionnel : attention il est hebdomadaire et peut être notre fréquent et fort jour de blues. c'est pour cela que l'on a tendance à plus se suicider ce jour-là ou le jour de la veille de son arrivée. il est facile à repérer : c'est toujours le jour de la semaine où nous sommes nés : il ne faut donc pas s'étonner d'avoir de gros coups de baisse de moral et d'angoisse ce jour-là et dès la veille au soir de ce jour. comprendre que c'est entre autre à cause de cycles naturels de nos humeurs aide à tenir le coup et à ne pas passer à un acte gravissime.

- autres éléments à observer selon des sensibilités individuelles : l'approche et les environs de la date anniversaire, certains jours critiques d'un cycle de l'énergie physique, peuvent également être la cause d'importants coups de blues voire de ce que j'appelle des "dépressions foudroyantes" lors desquelles il y a risque de passage à un acte désespéré si l'on est très mal...
plusieurs des éléments cités sont souvent présents simultanément, ce qui aggrave la situation et l'état.
or connaître ces éléments et leurs effets à risque peut sérieusement aider à gérer et assumer.



(1) l'adolescence est la seconde période critique de notre vie, la première étant celle de nos sept ans.