dimanche 25 mars 2012

infanticide

Justice : Enzo, 2 ans, mort sous les coups de son beau-père.
Un couple comparaît à partir de lundi et jusqu'à vendredi devant la cour d'assises de Seine-et-Marne pour répondre de la mort d'Enzo, deux ans, retrouvé inanimé le 31 mai 2008 à Nemours et qui présentait des traces de coups sur le visage et le corps.
Les faits remontent au 31 mai 2008. Vers minuit, le petit Enzo est décédé, sans que les pompiers ne puissent le réanimer. Durant les deux jours précédents, Julien Chevalier, maître-chien, le concubin de la mère de l'enfant, Cécile Sergent, 27 ans, lui a asséné des gifles, des coups de pied, des coups portés avec des objets, notamment une laisse, dans son appartement de Nemours, au motif que l'enfant n'obéissait pas. Plus tard, l'autopsie révélera un décès par traumatisme crânien, avec de nombreux ecchymoses au niveau du cuir chevelu.
Aux policiers, Julien Chevalier, 31 ans, a expliqué avoir frappé l'enfant comme il frappait ses chiens. « J'ai voulu le faire obéir, comme je le fais avec mes animaux », avait-il lancé aux enquêteurs. Il aurait même dit au petit Enzo que « s'il continuait, il finirait au cimetière ».
Présence d'hématomes
Ce dechaînement de violences a commencé quinez jours plus tôt. Le 18 mai, le petit Enzo avait été frappé par Julien Chevalier, cogné par terre et contre les meubles de la salle de bain. Ce dernier avait même tiré sur l'enfant à trois ou quatre reprises avec un pistolet à billes, le touchant au visage. (...)http://www.francesoir.fr/actualite/faits-divers/justice-enzo-2-ans-mort-sous-les-coups-de-son-beau-pere-201341.html

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des éléments qui pourraient éventuellement dire quelque chose : 31 mai et 18 mai - dates des coups - correspondent en effet au rythme du cycle émotionnel de sorte qu'il est possible que l'auteur des coups ait agit sous le fait des pulsions de son jour critique émotionnel... (le 31 mai vers minuit compte pour le lendemain, le jour critique émotionnel - toujours le même jour de la semaine - démarrant déjà la veille au soir)
(cela reste une hypothèse tant que nous ne connaissons pas la date de naissance de l'accusé, celle-ci permettant de vérifier. les comportements violents, s'il y en a, sont cependant fréquemment du jour critique émotionnel, notre jour de colère voire de hargne... - ici, en plus, les violences auraient eu lieu durant plusieurs jours...)

voici ce shéma :

 mai 2008 :
Ve 16
Sa 17
Di 18 P(1) E(1) I(1)
Lu 19
Ma 20
Me 21
Je 22
Ve 23
Sa 24 P(7)
Di 25 E(8)
Lu 26 I(9)
Ma 27
Me 28
Je 29 P(12)
Ve 30
Sa 31
Juin 2008
Di 1 E(15)
Lu 2

en outre, si les deux personnes ont aujourd'hui respectivement 32 ans pour le père et 27 ans pour la mère, cela signifie qu'ils se trouvaient tous deux en situation critique à l'époque des faits : le père entrait dans sa période critique septennale des 28 ans, alors que la mère se trouvait dans l'année critique P1 (après 23 ans, la 24ème année de vie).

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