dimanche 20 novembre 2011

Agnès

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/11/20/01016-20111120ARTFIG00172-questions-sur-l-assassin-d-agnes-13-ans.php
Questions sur l'assassin d'Agnès, 13 ans
Au Chambon-sur-Lignon, proches et enseignants évoquent un défaut de suivi du lycéen violeur.
Une information judiciaire a été ouverte pour assassinat et viol après la découverte du corps calciné d'Agnès, collégienne de treize ans au Chambon-sur-Lignon (Haute-Loire). Dimanche soir, alors que la polémique montait sur la prise en charge de l'assassin présumé, le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, affirmait que son homologue à la Justice, Michel Mercier, a ordonné l'ouverture d'une «enquête pour déterminer une éventuelle défaillance».

• Quel est le parcours du jeune assassin présumé?
Entouré par un père professeur, une mère comptable et deux sœurs, Mathieu M., originaire du Gard, a passé une enfance sans histoire. Confronté à des problèmes de drogue, il en a été sevré l'été dernier, après son passage en maison d'arrêt. Né le 30 décembre 1993, cet élève de 1re a commis l'irréparable, un mois avant sa majorité.

• Qu'est-ce qu'un «contrôle judiciaire très strict»?
Déjà mis en examen pour viol sur une collégienne en août 2010 dans le Gard, Mathieu avait effectué quatre mois de détention provisoire. Depuis près d'un an il était soumis à un «contrôle judiciaire extrêmement strict qu'il respectait», a déclaré le procureur de la République de Clermont-Ferrand, Jean-Yves Coquillat . Placé en internat, Mathieu ne pouvait plus se rendre dans le Gard, même pour y voir sa famille. De plus, le lycéen devait «suivre un traitement médical».

• Qui a décidé qu'il n'était pas dangereux?
«Il était suivi par un psychiatre au Puy-en-Velay, puis par un psychologue dans son établissement», a précisé le procureur Coquillat. Relevant des «troubles de la personnalité», les médecins du Gard l'avaient jugé «réadaptable, réinsérable et ne présentant pas de dangerosité». «Mais la psychiatrie n'est pas une science exacte», concède-t-on au parquet de Clermont-Ferrand. Le médecin qui l'a examiné ce week-end a estimé que son état de santé était compatible avec une garde à vue. Au terme de 48 heures d'auditions, il a lui-même conduit les gendarmes sur les lieux où gisait le corps. Un militaire estimait dimanche «a priori, nous ne sommes pas face à un fou, mais un pervers absolu».
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l'article ci-dessus me fournit une première précieuse donnée : la date de naissance de Mathieu M. l'assassin d' Agnès.
et la situation cyclique que j'ai de suite regardée est parlante :
le drame a eu lieu à l'entrée dans le jour critique émotionnel E8, la veille d'un jour critique physique P1 autre jour important de pulsions.
la 18ème année de vie est une année critique physique P18.
nous sommes par ailleurs à l'approche de la date anniversaire (je compte généralement quatre semaines mais là c'est un peu plus, cette période étant considérée comme une période de pulsions.

novembre 2011 (30/12/1993)
Me 9
Je 10 E(1)
Ve 11
Sa 12 P(18) I(26)
Di 13 P(19)
Lu 14
Ma 15
Me 16
Je 17 E(8)
Ve 18 P(1)
Sa 19
Di 20 I(1)
Lu 21

 
on peut encore vérifier la situation cyclique des faits précédents en août 2010 : pas trouvé la date précise, mais pas impossible que l'on trouve aussi le jour critique émotionnel. (donc jeudi, ou mercredi dès fin d'après-midi) (jour neutre - voir ci-dessous)

la situation d'Agnès peut aussi être regardée et interprétée (mais date de naissance pas connue) : période critique septennale (elle y est) période pré-anniversaire (elle semble y être) jour critique émotionnel ou autre jour critique ?  (les éléments critiques allant ici dans le sens de pulsions pour "agir""entreprendre"... mais avec une moindre méfiance...) (1)

édit : 
http://www.menly.fr/buzz/news/35991-meurtre-agnes-mathieu-identite/
Un scénario qui se répète aujourd’hui puisque « La fois précédente, explique le procureur, les circonstances étaient identiques. C’était la même chose, sauf que la victime est restée en vie. » Dimanche 1er août 2010, Mathieu aurait téléphoné à sa victime  pour lui rendre 10 €. Il l’aurait entraînée à l’extérieur du village de Nages-et-Solorgues (Gard), avant de l’attacher par les poignets à un arbre et de lui imposer des rapports sexuels sous la menace d’un couteau.
(dimanche 1er août est un jour "neutre" pour l'intéressé)
édit 6/04/2016 : 1er août est à cinq mois de l'anniversaire, donc pas neutre mais période de pulsions)

autre édit :
«Cela s'est passé quelques jours avant les 16 ans de ma petite nièce, témoigne A D, (...)Elle a été sauvée par le fait qu'ils ont passé leur jeunesse ensemble, Mathieu avait mangé plusieurs fois à la table de la famille. C'est peut-être ce qui l'a retenu de la tuer»
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/11/22/01016-20111122ARTFIG00402-un-proche-de-la-1ere-victime-de-l-agresseur-d-agnes-parle.php






(1) édit 24/11 : "Les obsèques d'Agnès auront lieu à Paris samedi 26 novembre, le jour où l'adolescente, tuée la semaine dernière en Haute-Loire par un lycéen de son internat, aurait fêté son 14e anniversaire."
ceci nous donne une naissance le 26/11/1997 et la situation qui suit :
novembre 2011 (26/11/1997)

Lu 14
Ma 15
Me 16 E(8)
Je 17
Ve 18

(compatibilité des jours critiques émotionnels successifs - presque même cycle car aussi E8...)
je ne sais pas si on peut parler d'une totale coïncidence, puisque Agnès est une native du mercredi et qu'elle s'est fait tuer ce jour-là peut-être aussi parce qu'elle était trop confiante, se trouvant dans son jour critique émotionnel. le jour critique émotionnel est le jour où les deux scénarios en présence sont possibles : celui du crime (Mathieu natif du jeudi est entré dans son jour critique émotionnel dès mercredi fin d'après midi) et celui du manque de méfiance parce que l'on a ce jour-là plus envie d'aller vers l'autre. je m'étais intéressé aux rares données que j'ai trouvées concernant des enfants enlevés par des criminels : ils ont été enlevés leur jour critique émotionnel parce que à mon avis plus faciles à "embobiner" ce jour-là...
nous avons en tous cas réunis ici les trois "éléments critiques" et éléments "à risque" dont je parlais dans mon alinéa plus haut, et que je regarde toujours, et du coup on retrouve une bizarre coïncidence cyclique avec un jour critique émotionnel commun (plus précisément successif mais il se recoupe) et le quartier libre à ce moment-là...
la proximité de l'anniversaire est un autre élément à noter. (les deux personnes sont dans ce cas, et la première jeune fille agressée également.)

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