Robert Enke

Foot/Allemagne - Rien n'a changé depuis le suicide d'Enke, regrette Adler
Afp
04 Novembre 2010
Le gardien de but du Bayer Leverkusen, René Adler, regrette qu'aucune leçon n'ait été tirée dans le football allemand après le suicide de Robert Enke le 10 novembre 2009. "Rien n'a changé, mais c'est la nature même du football. Les gens viennent au stade, paient beaucoup d'argent et veulent voir de l'engagement et de la passion, mais surtout pas de la faiblesse, comme dans la société du reste. Je le regrette, mais c'est aussi la faute du football toujours plus rapide à tous les niveaux : quelqu'un peut être le Messie un jour et trois jours plus tard devenir un raté", a déclaré l'international allemand. Dépressif, Enke, coéquipier d'Adler en équipe d'Allemagne, s'est suicidé à l'âge de 32 ans le 10 novembre 2009 en se jetant sous un train.
http://www.rtlinfo.be/sport/le_foot/depeches/203087/foot-allemagne-rien-n-a-change-depuis-le-suicide-d-enke-regrette-adler

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Wikipédia :
Robert Enke, né le 24 août 1977 à Iéna et mort le 10 novembre 2009, était un footballeur allemand, évoluant au poste de gardien de but.
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Le 10 novembre 2009, Robert Enke se tue sur un passage à niveau. Son ami et conseiller Jörg Neblung déclare : « Je peux confirmer qu'il s'agit d'un suicide. Robert s'est suicidé peu avant dix-huit heures ». La police d'Hanovre évoque aussi la thèse du suicide.
Le 11 novembre 2009, Teresa Enke, conjointe du défunt, révèle durant une conférence de presse qu'Enke souffrait de forte dépression depuis 2004 et qu'il redoutait les conséquences de cette maladie sur son entourage. Le décès de sa fille Lara en 2006 avait également affaibli la santé mentale du gardien de but.
Il semble que ces derniers temps, Robert Enke se soit isolé dans cet état dépressif et en ait dissimulé la gravité à son entourage. Il s'en excuse dans une lettre à l'intention de Teresa, sa femme. Selon la police allemande, le jour de sa mort, Robert Enke n'aurait pas participé à son entrainement mais aurait patienté quelques heures à proximité d'une petite gare en banlieue de Hanovre avant d'accomplir son geste définitif.

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le suicide de Robert Enke l'an dernier le 10 novembre illustre hélas le mécanisme de la dépression septennale qui se prolonge jusqu'à un point de non retour : la forte dépression depuis 2004 date en effet du moment de l'entrée de Robert Enke dans sa période critique septennale des 28 ans (on y entre aux alentours de 27 ans et demi) .
et il se suicide au moment de l'entrée dans son jour critique émotionnel E 8 (le jour critique émotionnel est fréquemment le "jour du suicide" - c'est notre jour de naissance du fait d'un cycle psychique de sept jours et on y entre par un pic de pulsions la veille au soir aux alentours de 18 heures, lorsque démarre la journée chronobiologique du lendemain. Enke est un natif du mercredi : il se jette devant un train le mardi soir aux alentours de 18 heures).