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Sa belle-mère « l’énervait », il la poignarde à mort
Une femme de 66 ans a reçu dix coups de couteau dans la nuit de lundi à mardi. Son beau-fils, qui vivait chez elle, s’est rendu à la police juste après le meurtre.
Il était énervé. Voilà la seule explication qu’a livrée pour l’instant Karim, 41 ans, pour expliquer le meurtre de la seconde femme de son père, âgée de 66 ans, chez qui il était hébergé depuis sa sortie de prison en 2001.
Vers 3 heures dans la nuit de lundi à mardi, un homme pousse la porte du commissariat de Choisy.
Au policier présent à l’accueil, il annonce froidement qu’il vient de tuer sa belle-mère de plusieurs coups de couteau. Des policiers foncent alors à l’adresse indiquée par l’homme, allée de la Faisanderie à Orly. Munis de ses clés, ils montent jusqu’à l’appartement qu’il leur a désigné. Là, en poussant la porte, ils découvrent que l’homme ne leur a pas menti. Pire : c’est un véritable carnage. Sur le sol du salon gît le cadavre d’une femme qui se révélera être la belle-mère de l’homme qui s’est présenté à eux peu avant. Tout ce qu’il leur a avoué est vrai. La sauvagerie a été telle que la malheureuse est égorgée, victime d’une dizaine de coups de couteau.
Une sourde rancœur
Confié au service départemental de la police judiciaire, Karim est visiblement très énervé dès qu’il lui faut évoquer sa belle-mère. D’après ce qu’il évoque, ce sont des années de rancœur qui se sont accumulées jusqu’à la nuit tragique, une rancœur qu’il fait remonter à son enfance quand son père s’est remarié avec cette femme qu’il accuse de lui avoir gâché sa vie. Pourtant, à sa sortie de prison en août 2001, après avoir purgé une peine de douze ans pour meurtre , c’est à Orly, chez eux, qu’il trouve refuge. Il y restera même après le décès de son père. La cohabitation n’est pas facile, mais il a organisé sa vie sans vraiment tenir compte de sa belle-mère, vivant comme si elle n’était pas là. Jusqu’à la nuit dernière où un motif sans doute futile a suffi à faire exploser toute la rancœur qu’il avait accumulée contre elle. Connu des services de police pour divers méfaits comme des vols ou des violences avant le meurtre pour lequel il a été lourdement condamné, Karim n’avait pas refait parler de lui après sa sortie de prison.
Source : Le Parisien
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des années de rancoeur, puis un, voire deux déclencheurs... arrive la période critique septennale des 42 ans et peut-être un jour critique émotionnel, et c'est la catastrophe.
le meurtre précédent semble d'ailleurs dater de la période critique septennale des 21 ans.
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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