SKCenter :
Un patient poignarde un aide-soignant à Marseille
Les faits se sont déroulés à l'hôpital psychiatrique Edouard-Toulouse
Le suspect a pris la fuite aussitôt après le coup de couteau. Il a été appréhendé par la Bac Nord devant chez lui.
La jambe, plutôt que le thorax. Une blessure sérieuse à défaut d'une agression gravissime. Mardi, vers 14h30, un patient de l'hôpital psychiatrique Édouard-Toulouse (15e) a poignardé un aide-soignant qu'il venait de croiser dans un couloir de l'établissement, le blessant à la cuisse.
L'auteur des faits a ensuite pris la fuite, mais n'a pas tardé à être repéré, une fois l'alerte lancée par le directeur, Gilles Moullec : "Vu son état d'esprit, nous avions d'abord le souci de la protection des citoyens. Il a finalement été arrêté au bas de son domicile."
"Il ne se sentait pas bien" C'est une patrouille de la Bac Nord qui l'a interpellé. L'homme, âgé de 35 ans, n'a pas opposé de résistance particulière avant d'être entendu à l'hôtel de police. La victime, soignée sur place, a reçu plusieurs points de suture, mais son état n'a pas nécessité d'hospitalisation. En revanche, l'auteur des faits est retourné à l'hôpital après sa garde à vue.
"Il était suivi en ambulatoire et ne venait consulter qu'épisodiquement, précisait hier le directeur. À la permanence d'accueil, il a dit qu'il ne se sentait pas bien. Il a vu un médecin. C'est en quittant les lieux qu'il a sorti son couteau. Depuis hier, il a été placé dans notre service en hospitalisation d'office."
Depuis le 13 novembre 2008, ce type d'événement prend forcément une dimension particulière. Ce jour-là, un patient échappé d'un hôpital de Grenoble avait mortellement poignardé un étudiant de 26 ans. Gilles Moullec se disait soulagé hier soir : "Ce qui nous importe aujourd'hui, c'est la santé de notre agent et le fait que le patient ait pu être pris en charge rapidement."
Source : La Provence
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il faut accorder une attention particulière aux "septennaux", ces personnes qui sont parfois en pleine crise parce qu'elles arrivent ou séjournent dans l'une de leurs périodes critiques septennales.
ici l'intéressé a 35 ans (période critique septennale des 35 ans). et on pourrait vérifier s'il a agit son jour critique émotionnel, ce qui est souvent le cas puisqu'il s'agit du jour "déclencheur" par excellence. (natif du mardi ? - le jour critique émotionnel est toujours le jour de naissance, en raison de notre cycle psychique et émotionnel qui est de sept jours.)
lors du drame du 12 novembre 2008 (et non pas du 13 semblerait-il) la situation est la même : c'est un malade de 56 ans (période critique septennale des 56 ans) qui a agit un mercredi. et ce n'était apparemment pas son premier passage à l'acte un mercredi (sauf erreur son troisième): il faut savoir que les malades qui agissent de façon pulsionnelle ont tendance à agir toujours le même jour de la semaine, (leur jour critique émotionnel) résutat du cycle de pulsions/désinhibition dont j'ai parlé précédemment.
je n'ai pas trouvé la situation de la troisième personne.
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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