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Autopsie de Younes: "Manito" continue à poser problème aux enquêteurs
Un meurtre, pas un accident. B.LL'affaire Younes déchaîne un telle émotion médiatique (et pas seulement en Belgique) que les informations sur l'enquête en cours peinent plus que jamais à filtrer. Nous sommes toutefois parvenus à en savoir davantage sur les résultats de l'autopsie pratiquée sur le corps du garçonnet ce mercredi à Charleroi.
Selon des sources proches de l'enquête, l'examen écarte bien définitivement la thèse de l'accident. L'absence d'eau dans les poumons indique que Younes serait bien mort avant de tomber dans la Lys. L'on a appris également qu'aucune trace de sang n'avait été retrouvée dans la voiture des Jratlou. Aussi, et c'est le plus troublant, le visage de Younes présenterait des traces de coups récents.
Des coups qui n'auraient pas été portés à l'aide d'un objet selon nos sources. Sur ce point, et comme sur le déroulé précis de la nuit du 26 octobre, le père de Younes n'aurait pas apporté des explications jugées satisfaisantes par les inspecteurs.
D'une manière générale, il semble, quoiqu'en dise l'intéressé , que ce soit tout le comportement de Mohamed Jratlou qui pose question aux enquêteurs. L'homme, sous pression et présenté comme le coupable numéro 1, n'aurait jamais perdu son sang froid, et surtout ne se serait jamais scandalisé qu'on le soupçonne d'avoir tué son fils.
Flegmatique, mystérieux et froid, “ Manito ” se contenterait juste de livrer les mêmes versions aux enquêteurs. Récits qui justement posent problème. Selon nos sources, le timing qu'il livre ne serait pas cohérent. Et rendrait en tout cas impossible la théorie selon laquelle Mohamed Jratlou aurait perdu de vue son fils. Minute par minute, selon ses versions, le père aurait dû se trouver dans la rue à peine quelques secondes après la fuite de Younes. Comment dans ce cas ne pas le voir au bout la rue en train de déambuler à moitié habillé? Un meurtre, pas un accident.
Source : La Capitale
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c'est donc bien un meurtre.
situation des deux parents ? ce genre de conflit grave se terminant par un drame arrivent plus fréquemment en période critique septennale. et le passage à l'acte arrive le jour critique émotionnel.
si l'on veut vérifier cela il faut voir quel est le jour critique émotionnel du père et de la mère (car c'est majoritairement le jour des conflits dans les couples, et pour cette raison des drames).
le 26 octobre est un lundi.
j'ai la date de naissance de la mère (sous réserve qu'elle soit juste)
la mère est née le 9 juin 1967, ce qui veut dire qu'elle se trouve dans sa période critique septennale des 42 ans depuis décembre 2008... et sa situation lors de l'altercation et de la disparition de l'enfant :
octobre 2009 (9/06/1967)
Je 22
Ve 23 E(22) I(1)
Sa 24
Di 25 P(1)
Lu 26
elle nous dit juste la mère ne devait pas être en bonne forme physique, voire elle pouvait être mal, dimanche, avec un jour critique physique P1.
son jour critique émotionnel étant le vendredi (de jeudi soir à vendredi soir, il ne semble pas en cause).
et le mari ? 1941 semble-t-il...
pas trouvé le jour...
si on ne soupçonne pas les parents il ne reste que l'hypothèse d'un tiers mais ce serait une étonnante coïncidence qu'un petit gamin puisse se ballader la nuit sans rencontrer personne, sauf comme par hasard son assassin...
édit 15/11 :
situation de l'enfant :
octobre 2009 (4/02/2005)
Sa 24
Di 25 I(9)
Lu 26 P(1)
Ma 27
Me 28
c'est un jour critique physique P1 dans lequel il est entré le dimanche soir à 18H).
cela peut signifier que l'enfant n'était peut-être pas du tout en bonne forme physique : P1 est le jour le plus fort du cycle. il peut ne pas trop se ressentir mais à l'inverse il est souvent jour de fatigue, peut être jour de malaise dans sa version aggravée.
je ne m'étais pas arrêté à cette situation en P1 mais j'y reviens du fait que l'on a trouvé entretemps que l'enfant a été tué, et aurait été frappé avant puisque semble-t-il il portait des traces de coups.
or P1 est un jour critique physique lors duquel l'enfant peut être désagréable, insupportable, fatigué, pleureur (c'est le jour des bébés secoués à cause de cela).
çà peut donc être un indice intéressant ici...
et la maman ?
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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