suicide

LePost :

Suicide de deux surveillants de prison

Deux surveillants de prison se sont suicidés, hier et jeudi.

Des suicides qui ne sont pas survenus sur le lieux de travail des fonctionnaires.

Jeudi, c'est un surveillant de la prison de Villefranche-sur-Saône, dans le Rhône, qui s'est donné la mort, et hier, un surveillant de la maison d'arrêt de Besançon, dans le Doubs.

Selon FO-pénitentiaire, le suicide, jeudi à son domicile, d'un surveillant de la maison d'arrêt de Villefranche-sur-Saône, âgé de 37 ans et père de deux enfants « doit plus que jamais obliger l'administrations pénitentiaire à endiguer ce phénomène par une écoute, une vigilance, une reconnaissance des maux des personnels ».

De son côté, la CGT-pénitentiaire, indique que le surveillant de la prison de Besançon qui s'est suicidé hier, « souffrait déjà d'un épuisement professionnel certain, lié notamment aux mauvaises conditions de travail ».

Il était âgé de 36 ans.

Selon les syndicats de l'administration pénitentiaire, ces suicides seraient les 16ème et 17ème depuis le début de l'année parmi les 24.000 surveillants.

L'administration pénitentiaire a décidé fin octobre de constituer un groupe de travail sur la prévention des suicides de son personnel et le stress au travail, rappelle Le Point.

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je n'en sais pas plus que ce que contient l'article du Post. mais je pense toujours qu'il faudrait prendre les choses en amont : le début des problèmes remonte le plus souvent à l'arrivée d'une période critique septennale, ici probablement celle des 35 ans dans laquelle on entre à 34 ans et demi. les conditions de travail difficiles, le stress et la dépression septennale vont faire le reste. le déclencheur d'un passage à l'acte est souvent un "jour critique émotionnel", celui-ci étant un pic de dépression et de désespoir.
cela vaudrait la peine de vérifier tout cela pour - si mon hypothèse s'avère juste, ce que je crois - pouvoir parer à ce genre de drame qui disloque ensuite des familles entières.
les intéressés sont-ils natifs du jeudi et du vendredi ? (un passage à l'acte après 18 heures c'est la journée du lendemain qu'il convient de prendre en compte car les cycles psychiques et émotionnels dont je parle et qui sont à l'origine de certaines de nos pulsions, fonctionnenent par "journées" qui vont de 18H à 18H).