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Jean-Louis Muller brocarde «l'obstination des magistrats»
Jean-Louis Muller, un ancien médecin légiste condamné le 16 octobre 2008 par les assises du Bas-Rhin à vingt ans de réclusion criminelle pour le meurtre de sa femme, a brocardé aujourd'hui «l'obstination» et la «part de vengeance» des magistrats à son encontre.
M. Muller, dont le procès en appel doit se tenir du 14 au 25 juin à Colmar, n'a cessé de clamer son innocence dans le décès, en 1999, de son épouse, une documentaliste de 42 ans retrouvée morte une balle dans la tête au domicile conjugal d'Ingwiller (Bas-Rhin).
Initialement, le dossier avait été classé comme suicide avant d'être rouvert au printemps 2000. M. Muller avait alors été mis en examen pour meurtre.
Son cas fait l'objet d'un documentaire qui ouvrira le 9 décembre la série «Les 10 commandements» produite par la société Doc en Stock et diffusée de manière hebdomadaire sur la chaîne 13e Rue.
Invité devant quelques journalistes à l'occasion du lancement de cette série, M. Muller a stigmatisé aujourd'hui le manque d'objectivité des magistrats français, rappelant qu'en 2008, la France avait été condamné 15 fois pour procès inéquitable par la Cour européenne des droits de l'Homme.
Son avocat, François Saint-Pierre, a renchéri en stigmatisant «l'arbitraire intolérable des cours d'assises», avec des magistrats du parquet «qui ne savent pas ce que c'est que le doute».
«Les gens se disent, s'il est expert, il magouille (...) et en plus, j'ai le malheur d'être colonel de réserve et d'être tireur», s'est plaint son client. Aujourd'hui, «je lui en veux» de s'être suicidée, mais «je n'avais aucune raison» de la tuer. «On n'était pas en conflit», a-t-il martelé.
En 2007, au terme de plus de six ans d'instruction et 18 expertises et contre-expertises souvent contradictoires, il avait été renvoyé devant les assises, contre l'avis du parquet général.
A l'issue du verdict, ses trois avocats, qui avaient souligné lors du procès le manque de preuves contre leur client, avaient interjeté appel. Un mois après sa condamnation, M. Muller avait été remis en liberté, dans l'attente d'être rejugé.
Assurant que «la thèse du meurtre est matériellement impossible», M. Muller et Me Saint-Pierre ont indiqué jeudi avoir demandé au président de la cour d'assises d'ordonner une reconstitution. Acte qui a toujours été refusé jusqu'ici.
Source : Les Dernières Nouvelles d'Alsace
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42 ans est un "âge du suicide" puisque c'est la pleine période critique septennale.
on peut encore voir l'élément suivant qui est l'éventuelle présence du jour critique émotionnel de la victime, ce jour (le jour de la semaine où elle est née) étant un "jour du suicide".
de nombreux suicides à ce moment là en raison d'un effet de pulsions/désinhibition du fait d'un cycle psychique à pulsations hebdomadaires.
la situation de l'époux serait tout aussi intéressante...
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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