mardi 10 février 2009

compatibilité à risque ?

Une mère de famille tuée par balle dans sa chambre

Une froide détermination. Les coups de feu ont été tirés à plusieurs reprises en direction du lit conjugal.
Plusieurs impacts de balles auraient d'ailleurs été retrouvés dans la chambre. L'un d'eux a touché la jeune femme en pleine poitrine.
Était-elle debout ou déjà endormie ? Seule l'enquête le dira. Emmanuelle Letru, âgée de 27 ans, n'a malheureusement pas survécu à ses blessures.Cette jeune habitante de Lauris vivait dans cette petite villa du quartier des Iscles avec son compagnon et leur fille de 5 ans. Personne d'autre n'aurait été blessé dans la maison.
Visiblement traumatisé, le compagnon se serait précipité à l'extérieur pour appeler à l'aide, des automobilistes l'auraient même aperçu sur la route qui tentait d'arrêter les véhicules. Il était aux alentours de 1h 15 quand les secours ont finalement été prévenus.
La scène de crime a été immédiatement gelée, jusqu'à l'arrivée de la vice-procureure Christine Lefeuvre. Le médecin-légiste et les techniciens de l'identification criminelle ont ensuite pu débuter leurs constatations.
Pas la moindre présence d'arme dans la maison. Les abords ont également été passés au peigne fin.
En vain. Et hier encore, les gendarmes fouillaient les bennes à ordures ou moindres fossés du quartier. Les gendarmes recherchaient un fusil de chasse, approvisionné par des balles de calibre 12.

Le compagnon en garde à vue pour les besoins de l'enquête

Sur les déclarations du compagnon, les enquêteurs observaient, quant à eux, le plus grand mutisme.
Cet homme de 41 ans, crierait son innocence. Aucun élément à charge ne semblait, d'ailleurs, retenu contre lui.
Le couple semblait tranquille et n'était pas en instance de séparation. Logés modestement, ils étaient entourés de chevaux, de chiens et même de chèvres. La jeune maman était en contact avec les institutrices du village où sa fille allait à l'école. Elle croisait régulièrement certaines mères de famille comme elle. Et avait été aperçue, samedi soir par des élus, à la fête de Puget-sur-Durance. La veille du drame, le couple recevait des amis pour une banale soirée à la villa. Ces derniers avaient passé la nuit dans une fourgonnette garée dans le jardin. Les techniciens ont procédé aux relevés d'empreintes sur chacun des présents.
Le mystère reste donc entier et pour tenter d'y voir plus clair, le témoignage du compagnon est bien entendu capital. Auditionné plusieurs heures durant, le quadragénaire a été placé en garde à vue à la brigade de Cadenet. De source proche du dossier, le récit qu'il faisait du drame méritait d'être approfondi et affiné. C'est aux gendarmes de la section de recherche de Marseille, que le parquet d'Avignon a décidé de confier les investigations. Une autopsie de la victime doit avoir lieu demain.

Source : Le Dauphiné
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=3958&hl=

=============================

il se peut qu'il n'y ait rien entre les deux mais il y a quand même une période critique septennale - et plus précisément peut-être, le moment de l'entrée dans chacune des périodes (27 ans et demi et 41 ans et demi pour entrer dans les périodes respectives des 28 et des 42 ans...)...
cela peut être une période de forte tension, d'envie de suicide aussi (ici apparemment pas le cas d'après l'article, du moins) voir aussi la situation des "visiteurs", éventuellement...

Aucun commentaire: