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Alfred J. Gaynor est un tueur en série américain, né vers 1968 aux Etats-Unis.
En 1997 et 1998, il a violé et tué quatre femmes à Springfield, dans l'Etat du Massachusetts. Il s'en est pris exclusivement à des femmes noires, comme lui, et toxicomanes. Il les violait par sodomie puis les étranglait.
Il y a quelques jours, il a avoue le meurtre, le 20 Juillet 1996, de Amy L. Smith, dans son appartement de Dwight Street Extension. Le temps que son corps soit découvert, sa fille Destiny, 22 mois, qui s'était allongée à côté du cadavre, mourut de faim et de soif.
Ces deux morts choquèrent à l'époque la communauté.
Un coupable idéal fut trouvé: son petit ami, Paul Fickling, le neveu d'Alfred Gaynor. Il fut condamné à la perpétuité après avoir avoué son meurtre par étouffement et l'avoir placée dans un placard.
Pour l'avocat du District William Bennett, cet aveu est "aussi étrange que celui de Gaynor", au sujet duquel il reste sceptique.
A l'époque, tous les juges, malgré le manque de preuves, restèrent inflexibles quand à la culpabilité de Fickling. L'avocat de ce dernier, Greg T. Schubert, clame depuis des années avoir des "indices crédibles" de l'implication d'Alfred Gaynor.
Les méthodes utilisées dans les meurtres en particulier présentent d'étonnantes ressemblances. Gaynor a déclaré qu'à l'époque, il avait laissé faire car il était "convaincu que son neveu ne pourrait être condamné, étant innocent". Gaynor a à son tour décrit de manière précise le déroulement du meurtre, expliquant qu'il avait bu des bières et fumé du crack. Elle lui aurait alors refusé un prêt d'argent.
Bennett, déjà inflexible à l'époque, refusant toute espèce de révision ou d'investigations complémentaires, le reste aujourd'hui. Pour lui, la culpabilité de Fickling est "irréfutable". Des demandes d'expertises ADN furent toutes refusées.
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de très nombreux tueurs agissent et surtout "démarrent" lors d'une période critique septennale ou au moment de l'entrée dans cette période lorsque les pulsions sont les plus fortes, de sorte que je fais toujours le compte pour vérifier cela.
ici aussi si l'intéressé est né en 1968 il a agit en 1996, 1997 et 1998 : et c'est la période critique septennale des 28 ans que l'on retrouve.
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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