samedi 2 juillet 2022

monstre

« Tout le monde la présente comme un monstre » : flot d’indignation après la mort d’une fillette dans une crèche de Lyon L’employée de la crèche a reconnu, qu’excédée par les pleurs de l’enfant, elle l’avait aspergé puis lui avait fait ingérer un produit caustique.(...)Après avoir évoqué un geste accidentel, cette auxiliaire puéricultrice âgée de 27 ans a reconnu avoir aspergé l’enfant d’un produit caustique – type Destop — puis le lui avoir fait ingérer car elle ne supportait pas ses pleurs. (...) « Elle n’arrête pas de pleurer […], elle est consciente d’avoir commis un acte irréparable, », a expliqué son avocat Philippe Duplan, assurant que quand sa cliente « a vu les pompiers emmener l’enfant à l’hôpital, elle n’avait pas du tout pris la mesure des conséquences de son geste ». « Tout le monde la présente comme un monstre », a-t-il affirmé en référence au déferlement de colère sur les réseaux sociaux ces derniers jours, notamment de parents indignés.https://www.sudouest.fr/societe/tout-le-monde-la-presente-comme-un-monstre-flot-d-indignation-apres-la-mort-d-une-fillette-dans-une-creche-de-lyon-11502855.php 
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les situations gardienne et bébé sont à voir : bébé peut être maltraité, secoué, lorsqu'il ne cesse de pleurer, s'il se trouve dans un jour critique physique... l'enfant a peut-être aussi pleuré parce qu'il se sentait abandonné, le drame ayant apparemment eu lieu dans le premier quart d'heure de son arrivée à la crèche... mais ce n'est bien sûr pas une raison de le maltraiter...
c'est là que peut intervenir la situation psychique de l'auxiliaire : celle-ci se trouve à 27 ans, dans sa période critique septennale des 28 ans, les rythmes semestriels et courts restant à voir : l'addition des criticités (désinhibhition) peut produire un effet d'inconscience pouvant alors conduire lors de cette dépression septennale, à un comportement de coup de folie...

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