Les proches d'un quinquagénaire égorgé en février à Grenoble ont déposé plainte contre X pour homicide involontaire après avoir découvert que la suspecte, schizophrène, faisait l'objet d'un suivi psychiatrique ancien en raison d'une dangerosité potentielle, selon leur avocat.
Ce suivi sur décision des autorités avait été mis en place de longue date après un passage à l'acte violent dans son milieu familial,...Fin février, la victime, âgée de 52 ans, a été tuée d'un coup de cutter. Une femme de 57 ans avait ensuite reconnu les faits, évoquant «des voix» qui l'auraient poussée à agir, (...)
En 2008 à Grenoble, un étudiant avait été poignardé dans la rue par un patient schizophrène de l'hôpital de Saint-Egrève, qui s'était échappé du parc où il était autorisé à sortir. Sa famille, représentée par Me Gerbi, a obtenu en 2019 la condamnation définitive (à 18 mois de prison avec sursis) du psychiatre qui suivait le meurtrier, pour homicide involontaire. Cette affaire avait fait grand bruit dans le milieu de la psychiatrie.
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la psychiatrie devrait s'intéresser aux rythmes psychiques de l'humain... (elle ne les connaît pas à ce jour) (l'auteur du drame cité de 2008 était un récidiviste septennal de 56 ans (aussi comme ici période critique septennale des 56 ans) : les périodes critiques septennales et les jours critiques sont des épisodes de pulsions (rythmes courts toujours à voir - y compris pour les précédents - car ils montrent généralement les éléments déclencheurs principaux)
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