lundi 26 novembre 2018

violences conjugales

En France, 109 femmes ont été tuées par leur conjoint ou leur ex-conjoint en 2017 A ces 109 femmes victimes, il faut ajouter 16 hommes tués par leur partenaire ou ex-partenaire, et 25 enfants tués dans le cadre de violences conjugales.Tous les trois ou quatre jours, une femme meurt tuée par son compagnon ou ex-compagnon. En 2017, en France, elles sont 109 (contre 138 en 2016 et 136 en 2015) à avoir perdu la vie, selon l'étude nationale relative aux morts violentes au sein du couple pour l’année 2017, établie par la police, la gendarmerie et la Délégation aux victimes et publiée par le gouvernement. Seize hommes ont en outre été tués au cours de l'année 2017, ce qui porte à 125 le nombre de personnes mortes de la violence de leur partenaire ou de leur ex-partenaire de vie. Onze enfants sont morts en même temps que leur mère ou leur père et 14 enfants ont été tués dans le cadre de violences conjugales, sans qu'un parent ne soit tué. En incluant les suicides et les homicides de victimes collatérales, le nombre total de décès résultant de ces violences s'élève à 247 personnes. (...)
https://www.francetvinfo.fr/societe/violences-faites-aux-femmes/en-france-109-femmes-sont-mortes-victimes-de-leur-conjoint-ou-de-leur-ex-conjoint-en-2017_3052617.html
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cela reste à vérifier, mais je pense que les violences ont tendance à être liées aux jours et épisodes critiques des rythmes et cycles physiques et psychiques de l'humain : on peut donc connaître à l'avance les moments auxquels elles ont tendance à arriver et on sait pourquoi elles arrivent. cela doit permettre une efficace prévention...
le psychisme humains fonctionne en effet selon des oscillations périodiques provoquant la survenance de jours et d'épisodes de pulsions et de désinhibition : et c'est la conjugaison de ces deux effets à un moment donné qui va produire agressivité, dépression, et pour certains, tendance à être violents.
si l'on regarde de plus près les violences et drames arrivés on devrait pouvoir constater qu'ils ont tendance à arriver lors de trois "échéances" faciles à repérer et se remémorer :
- le jour de la semaine où les personnes sont nées ou à côté de ce jour (en raison d'une pulsation hebdomadaire de l'humeur et du psychisme depuis le jour de naissance)
- en épisode critique semestriel (autour de la période de l'anniversaire et à l'opposé, à six mois de l'anniversaire...
- autour des âges septennaux (âges de la table se sept) (en raison d'une pulsation à un rythme septennal à partir de la naissance)
ceci pour les éléments faciles à repérer...
il y a quelques éléments moins évidents que voici :
- un épisode critique P17/P18/P19 d'un rythme physique et psychique de 23 jours (P18 visible ici : http://biorythm.online.fr/w/ P17/P19 étant les jours précédent et suivant )
- et certaines périodes plus longues, que sont les années autour des âges de 23 ans33 ans et 47 ans : 
23 ans et 47 ans sont des années critiques d'un cycle physique de 23 années alors que 33 ans est une année critique d'un cycle intellectuel - cycle du cerveau, de 33 années)

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