suicide

Hauts-de-Seine : un gendarme accuse sa hiérarchie et se suicide  Le militaire a laissé une lettre d’adieu dans laquelle il accuse son supérieur d’être un “tyran”. Le major José Tesan avait atteint « le point de rupture ». Comme le rapporte Le Parisien ce lundi, un gendarme de 57 ans a mis fin à ses jours mardi dernier, le 18 septembre, au sein même du siège de la direction générale de la gendarmerie à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine), où il exerçait depuis de nombreuses années. Un suicide qui serait dû, selon sa lettre d’adieu publiée sur le site de l’association Profession gendarme, à sa hiérarchie et à une charge de travail démesurée. (...)« Ces deux dernières années ont été les pires de ma vie de gendarme […] Je n’arrive plus à supporter ce climat qui règne au boulot […] Bien qu’extrême, la seule solution que j’ai trouvée pour tenter de faire bouger les choses, c’est de partir définitivement », peut-on lire. C’est donc un signal d’alarme que le militaire souhaite donc faire passer. Il dénonce notamment « une pression énorme » de la part de son supérieur, un « tyran totalement imbu de lui-même » visiblement inapte à « manager des hommes ». (...) Une enquête judiciaire a été ouverte et les investigations confiées à l’Inspection générale de la gendarmerie nationale (IGGN), qui sera chargée de comprendre pourquoi le militaire n’avait pas informé son entourage de son mal-être. (...)
https://www.valeursactuelles.com/societe/hauts-de-seine-un-gendarme-accuse-sa-hierarchie-et-se-suicide-99225
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(les deux pires années correspondent à celles de la période critique septennale des 56 ans... lors d'une dépression septennale nous pouvons nous sentir harcelés... pas trouvé de données pour voir les rythmes courts qui généralement correspondent à une "situation suicide"...
voir aussi la situation du supérieur hiérarchique mis en cause : si en période critique l'on peut devenir "insupportable", l'on peut parfois devenir harceleur lorsque l'on se trouve soi-même en période critique septennale...)