vendredi 16 mars 2018

massacre

Trente ans de prison pour le massacre de sa famille Conformément à ce qui avait été requis contre lui, Yassine Mechta a été condamné ce vendredi à trente ans de réclusion assortis d'une peine de sûreté des deux tiers, pour avoir tué six membres de sa famille.  Des années de violences conjugales, une jalousie paranoïaque aggravée par des addictions et un refus de se soigner, et le meurtre des six membres de sa famille. ... la cour a suivi l’avocat général Charlotte Millon pour qui le discernement de Yassine Mechta, 35 ans, était "altéré" au moment des faits, et non "aboli" comme le soutenait la défense. Pour l’avocat général, "ses passages à l’acte ont été facilités par la maladie psychique" mais Yassine Mechta "n’était pas en dehors de lui-même". ...Quatre de ses enfants, sa compagne et son frère assassinés La magistrate a détaillé comment, entre le 28 novembre et le 3 décembre 2015, dans cet appartement du 8e arrondissement de Lyon, Yassine Mechta a battu puis poignardé Caroline, sa compagne de 32 ans, avant de "méthodiquement" donner des coups de couteau à quatre de leurs enfants, âgés de 5 mois à six ans. Il s’était par la suite rendu chez son frère, Djamel Mechta, 49 ans, dans un foyer social près de Lyon, et l’avait poignardé dans son sommeil. L’accusé, violent depuis de nombreuses années à l’égard de sa compagne, consommant quotidiennement "15 à 20 bières", du whisky et "10 à 15 joints", n’a pas expliqué les raisons de son geste durant le procès. Récidiviste dans la violence Condamné à deux reprises en 2006 et 2012 pour violences sur sa compagne, il avait écopé de 30 mois de prison, dont 15 avec sursis assorti d’une mise à l’épreuve de trois ans et d’une obligation de soins. Obligation qu’il n’avait pas respectée et le couple avait repris la vie commune. En 2014, Yassine Mechta avait été hospitalisé en psychiatrie à la demande d’un de ses frères, parce qu’il «entendait des voix». Il était ressorti, quinze jours plus tard, avec un traitement antipsychotique, qu’il avait toutefois «rapidement arrêté». De nouveau en proie à un «sentiment de persécution», en août 2015, il avait fait un bref passage à l’hôpital psychiatrique du Vinatier, près de Lyon, et en était ressorti à sa demande. «Si j’aurais (sic) continué mon traitement, peut-être que tout cela ne serait pas arrivé», a dit l’accusé avant que la cour ne se retire pour délibérer.
https://www.republicain-lorrain.fr/faits-divers/2018/03/16/trente-ans-de-prison-pour-le-massacre-de-sa-famille
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les rythmes et cycles auraient pu intéresser ici aussi, bien avant qu'arrive le drame et il ne serait peut-être effectivement pas arrivé : condamnations en 2006 - 2012 - 2018 (23/24 ans - période critique septennale des 21 ans puis année critique P1, 2012 est la période critique septennale des 28 ans alors que le moment du massacre est l'année critique intellectuelle i1 (du cerveau) on sait tout cela à l'avance y compris très souvent par les rythmes courts (à voir) les accès de violence...
(compagne même année critique que son époux donc compatibilité des rythmes, et frère en période critique septennale des 49 ans)

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