samedi 2 septembre 2017

violences

Après avoir été condamné pour meurtre, il bat sa compagne Depuis sa condamnation pour homicide volontaire en 2002, l'ex-légionnaire n'avait plus fait parler de lui À le voir littéralement pétri de regrets dans le box des accusés, on peine à croire qu’il a été condamné par le passé à 25 ans de réclusion pour une fusillade. À 55 ans, Éric Murat, reconnu coupable par la cour d’assises de la Gironde, en 2002, de la fusillade mortelle perpétrée en 1998 à Salleboeuf, a fait l’objet ce vendredi après-midi d’une comparution immédiate devant le tribunal de grande instance de Toulouse pour des violences conjugales. Ayant profité d’une libération conditionnelle, il avait alors trouvé un travail dans la région toulousaine et n’avait plus fait parler de lui jusqu’à ce mardi où la situation a « dégénéré », à Lanta, selon son propre aveu. Vraisemblablement alcoolisé depuis plusieurs jours - il reconnaît boire quotidiennement une bouteille de rosé et un demi-litre de Ricard -, l’individu a fouetté à l’aide d’un torchon le visage de sa concubine avant de la molester. "J'aurais pu la tuer" Alors même qu’il avait enterré ses clés et son portefeuille dans le jardin, pour l’empêcher de fuir, la victime est parvenue à mettre la main sur ses clés de voiture et s’est réfugiée dans une boulangerie de la route de Toulouse d’où elle appellera les gendarmes de la communauté de brigades de Balma, renforcés par le peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG) de Toulouse - Saint-Michel. Ceux-ci ont d’ailleurs eu beaucoup de fil à retordre lors de l’interpellation du quinquagénaire puisqu’il était « quasi ivre mort », (...)
http://www.ladepeche.fr/article/2017/09/01/2637439-apres-avoir-ete-condamne-pour-meurtre-il-bat-sa-compagne.html
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nombre de problèmes sont entre autres liés aux épisodes critiques de nos rythmes et cycles psychiques... ici 1998 semble être la période critique septennale des 35 ans... et aujourd'hui la personne se trouve en période critique septennale des 56 ans... les rythmes courts - jours critiques pulsant à l'intérieur de ces périodes longues - sont aussi à voir... à ceci viennent bien sûr s'ajouter les problèmes d'alcoolisme, mais ceux-ci peuvent également être liés à l'irruption et au passage dans nos jours et épisodes critiques...

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