samedi 2 septembre 2017

suicide

Ma fille aurait vingt ans  01.09.2017  «Aujourd’hui ma fille Caroline aurait 20 ans, mais nos cœurs ne sont pas à la fête. Mon ange n’est plus là car elle a décidé de se suicider le 18 janvier 2015. Mon cœur de mère est anéanti en pensant à tout ce qui aurait pu être et qui ne sera plus. Je suis aussi dans la colère, parfois même la rage et c’est ce qui me pousse à écrire ces lignes. Je lance un appel aux autorités et aux politiciens en leur demandant de protéger le pont de Zaehringen. Les panneaux de prévention sont déjà une première étape, mais pourquoi ne pas tout simplement protéger ce pont? Même si vous pensez à raison que cette protection ne va pas résoudre le problème du suicide, pensez que si cela peut sauver une seule vie, alors oui l’investissement en vaut largement la peine! J’invite ceux qui ont la possibilité de changer les choses à méditer ceci: «Le suicide n’épargne aucune famille quelle que soit son appartenance sociale, religieuse ou ethnique. Ne pensez surtout pas que cela ne peut pas vous arriver. Moi aussi j’y ai cru, à tort, jusqu’au jour où ma vie a basculé.» Mes pensées vont aussi aux familles de toutes les personnes qui, comme ma fille, sont malheureusement déjà passées à l’acte. Catherine Hitz, Villars-sur-Glâne
https://www.laliberte.ch/news/ma-fille-aurait-vingt-ans-406251
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la découverte, puis une information restent à faire... sur les épisodes "à risque" que sont nos jours critiques (le jour critique émotionnel est le "jour du suicide" - on se suicide ce jour-là - le jour de la semaine où on est né - ou à côté de ce jour, ce qui est aussi hélas le cas ici : 
(née lundi, suicide dimanche à l'arrivée du lundi)(à cinq mois de l'anniversaire)


18 janvier 2015 (1/09/1997)
Je 15
Ve 16
Sa 17
Di 18 P(1)
Lu 19 E(22)
Ma 20
Me 21
Je 22 I(17)

(en cas de méforme, soucis et problèmes latents des accès de désespoir peuvent survenir et être très accentués avec l'arrivée puis le passage dans notre jour critique émotionnel (toujours le jour de la semaine où nous sommes nés) : ne JAMAIS donner suite aux envies de suicide qui peuvent prendre ceux qui ont des idées suicidaires, car il s'agit d'un quasi "piège" lié à un effet fort du rythme naturel de nos humeurs et notre psychisme. se dire que çà sera différent et passé demain. (ce rythme "pulse" de façon hebdomadaire notre vie durant, pouvant alors induire de fortes journées de dépression)

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